Constantine-Transport : Un dispositif spécial pour le Ramadhan

# Administrateur | 28/08/2008 | Info

> CONSTANTINE INFO

Transport urbain et suburbain : Un dispositif spécial pour le Ramadhan
Transport urbain

Avec une plus forte demande qui génère des tensions sur les différentes lignes reliant la ville de Constantine à ses banlieues, ainsi qu’aux communes avoisinantes, le mois de Ramadhan a souvent été la période des grandes appréhensions pour les citoyens, contraints de faire le pied de grue devant les stations de bus et de taxis.


Dans ce contexte, et après les multiples doléances exprimées par les Constantinois, l’on apprendra qu’un dispositif sera mis en place par la direction des transports de la wilaya de Constantine dans le but d’adapter le transport urbain et suburbain aux horaires de Ramadhan. Les transporteurs devront ainsi prolonger leurs prestations de service le plus tard possible dans la nuit, jusqu’à minuit au moins. Ils devront aussi continuer à prendre en charge les usagers le plus tard possible avant la rupture du jeûne. Par ailleurs, la direction des transports prévoit également d’intervenir en cas de tensions, en dépêchant des bus de renfort sur les lignes en difficulté. Cette mesure d’exception concernera surtout les lignes reliant la ville aux communes avoisinantes entre 16h 30 et 18h 30 notamment. La direction se dit, par ailleurs, à l’écoute de toutes les APC pour assurer un transport fluide durant le mois sacré.

Mais, l’image, au mois de Ramadhan dernier, des nombreux usagers dans les arrêts, attendant un hypothétique bus pour regagner leurs demeures à temps, est toujours présente dans les mémoires. Selon un responsable de la direction des transports, « le problème se pose surtout une heure ou deux avant la rupture du jeûne et en fin de soirée à partir de 23 h », celui-ci ajoutera : « Les perturbations sont quasi inévitables durant cette période. Il faut savoir que la majorité des chauffeurs et receveurs assurant le plus grand nombre de dessertes n’habite pas dans le périmètre de la ligne desservie, et par conséquent ceux-ci sont contraints de se mettre hors service bien avant l’heure de la rupture du jeûne, et un peu plus tôt la nuit, sachant qu’ils doivent reconduire les bus au parking, lequel est généralement situé loin de la ligne desservie, avant de renter chez eux. Cela nécessite près d’une heure, voire beaucoup plus ». Pour le citoyen, il faudra attendre les premiers jours du mois sacré pour bien voir si les services de la direction des transports seront capables de tenir leurs promesses, sachant que les nouvelles donnes du projet du tramway et les perturbations du plan de circulation auront une incidence sur la qualité des services.

Alors que les transporteurs privés, dont le nombre a été considérablement réduit, n’assurent plus une couverture de toutes les lignes avec une rotation irrégulière, les « gros » engins bleus de l’ETC ont été sérieusement pénalisés après leur transfert vers la station Khemisti, où leur nombre reste toujours en deçà de la demande exprimée, surtout vers les destinations de Djebel Ouahch, Sidi Mabrouk et Zouaghi. Pour les habitants de la nouvelle ville Ali Mendjeli, il sera dur de trouver un moyen de transport, surtout que les passagers se trouvent forcés de se déplacer jusqu’à la gare routière Est pour « dénicher » un bus. Une véritable corvée durant le mois sacré, particulièrement quand les taxis deviennent « une denrée rare » à quelques heures de la rupture du jeûne.

[ source ]
Par F. Raoui , S. Arslan
El Watan, Ă©dition du 28 AOUT 2008

Algérie - Réduction jusqu’à 60 DA sur les produits Cevital

# Administrateur | 28/08/2008 | Info

à l’occasion du mois de Ramadhan

Réduction jusqu’à 60 DA sur les produits Cevital


Reduction sur les produits CevitalComme à l’accoutumée, le groupe Cevital a annoncé des baisses de prix sur ses produits à l’occasion du mois sacré. Huiles végétales, margarines, beurre, eaux minérales, sucre et autres produits du groupe connaîtront des baisses oscillant entre 2 et 60 dinars selon la catégorie et le volume de contenance des produits.

Ainsi, pour la bonbonne de cinq litres d’huile, les prix varieront entre 630 et 775 dinars selon la qualité. Par exemple, Fleurial+ qui est le produit phare de Cevital sera cédé à 775 dinars les cinq litres contre 835 dinars habituellement, alors que le prix d’Elio, la marque d’huile végétale la plus vendue par Cevital, passera à 630 dinars. Une réduction de 7 DA par litre sera appliquée pour cette huile. «Nous avons fait un très grand effort pour la baisse des prix», a déclaré à ce sujet le patron du groupe, M. Issad Rebrab lors d’une conférence de presse animée à l’hôtel Hilton et consacrée à l’annonce de ces réductions. Lesquelles concernent également le sucre à hauteur de 2 DA/kg. « Pour les huiles, la tendance des prix des matières premières est à la baisse alors que le prix du sucre connaît ces derniers temps une augmentation sur le marché international. C’est pour cette raison que la baisse n’est que 2 DA/kg», a encore expliqué M. Rebrab en précisant que la quantité de sucre qui sera commercialisée durant le mois de Ramadhan est de 75 000 tonnes.

Ce qui équivaut à un sacrifice de 150 millions de dinars pour le groupe. Outre les huiles et le sucre, les réductions des prix toucheront également les margarines et le « s’men » (- 5 DA/kg), les eaux minérales (- 5 DA pour le fardeau de 6 bouteilles de 1,5 litre), a affirmé M. Rebrab qui a annoncé par la même occasion le lancement de nouveaux produits : la tomate concentrée, le beurre cédé à 94 DA le paquet de 200 grammes et la limonade (différents goûts) produite à l’unité COJEK d’El Kseur et rachetée par le groupe Cevital.

Saisissant l’occasion de cette sortie médiatique, le premier responsable du groupe a annoncé des investissements dans l’agriculture, plus précisément dans les produits maraîchers.

Les agriculteurs seront alimentés en plants par Cevital qui rachètera par la suite la production. «Ainsi, nous contribuerons à la régulation du marché des fruits et légumes qui n’aura pas à subir les fluctuations des prix comme c’est le cas à la veille de chaque Ramadhan.» L’autre créneau que compte investir Cevital concerne la semence de pomme de terre. Il est également prévu la réalisation de centrales logistiques et de chambres froides à travers les différentes régions du pays (centre, Constantine, Sig, El Oued). Pour ce projet, des difficultés sont à signaler en matière de foncier. Dans certains endroits, la réalisation de ces infrastructures est lancée alors que, dans d’autres régions, l’attente ne fait que se prolonger puisque, pour chaque centrale, une superficie de 20 hectares est nécessaire. Le ministère de l’Agriculture a été sollicité à cet effet mais le problème tarde à être réglé selon Rebrab qui a avancé le chiffre de 10 milliards de dinars pour l’ensemble de ces
centrales logistiques.

Promotion spécial Ramadhan pour les produits Samha et Hyundai Motors Algérie

En plus de la réduction des prix décidée sur la gamme des produits agroalimentaires, des prix
promotionnels sont prévus sur les produits des autres filiales du groupe Cevital. Il s’agit des produits de la filiale Samha spécialisée dans l’électroménager et l’électronique et des véhicules commercialisés par HMA (Hyundai Motors Algérie). C’est ce qu’a annoncé hier M. Rebrab en parlant de « surprises pour Ramadhan ». Et ce, sans toutefois donner des détails sur la fourchette des réductions. Interrogé sur la taxe sur les véhicules neufs décidée par le gouvernement dans le cadre de la loi de finances complémentaire, le patron de Cevital a expliqué : « Cette taxe importante ne peut pas être prise en charge par les concessionnaires. Ces derniers sont obligés de l’ajouter dans le prix du véhicule. Ce qui va diminuer la demande et les ventes ». « C’est le client finalement qui va payer cette taxe », a-t-il regretté en conclusion.


[ source ]
Par Samira Imadalou
Photo : Riad
La Tribune, Ă©dition du 28 AOUT 2008

Le Consul général de France - ce qui va changer pour le visa

# Administrateur | 27/08/2008 | Info

> Evénement :

Le Consul général de France à Alger au Quotidien d'Oran : Tout ce qui va changer pour le visa


A partir du 1er octobre prochain, le consulat général de France à Alger chargera une société privée de recevoir les demandes de visas. C'est ce que le Consul général appelle l'externalisation, un processus mis en oeuvre en Chine. Dans cette interview, Francis Heude en explique les raisons et les objectifs visés par son lancement à Alger.


Le Quotidien d'Oran: Vous venez de rendre publique une note pour que les demandes de visa ne soient plus envoyées par la poste mais adressées directement au consulat. Pourriez-vous nous en dire plus ?

Francis Heude: C'est une opération qui est prévue à partir de la fin du mois d'août, date à laquelle nous n'accepterons plus de demande de visa par courrier. Nous renverrons donc aux expéditeurs les dossiers qui nous parviendraient après cette échéance.

Nous instaurons, à partir du mois de septembre, un système de comparution personnelle avec une prise de rendez-vous au préalable. Le rendez-vous sera pris par l'intermédiaire de notre centre d'appel qui est bien connu de notre public demandeur de visa -le 1573- numéro qu'il faut appeler aujourd'hui pour obtenir un rendez-vous de son choix pour se présenter au Consulat.

C'est un centre d'appel qui a été présenté à la presse il y a à peu près deux ans, en 2006. Le mois de septembre, qui est pour nous en terme de visa une période creuse, et correspond cette année au mois de Ramadhan, est une période propice pour mettre fin à cette ancienne organisation basée sur les demandes par courrier.


Q.O.: Avant d'aller plus loin pour ce qui est de ces changements, nous savons que le 1573 fonctionne difficilement.

Y aurait-il du nouveau Ă  cet effet ?

F.H.: Nous savons, par un certain nombre de retour, qu'effectivement, il y a parfois des délais d'attente, il y a parfois une indisponibilité de ce numéro. Nous sommes en relation constante avec les responsables de ce centre d'appel pour que les choses se passent dans les meilleures conditions possibles. Mais ils sont confrontés régulièrement, tous les jours, sur un créneau qui est celui de 10-14h, à une affluence record en terme d'appel à laquelle il leur est difficile, le plus souvent, de faire face.

Donc, le conseil à l'égard du demandeur, c'est plutôt d'appeler avant 10h et après 14h tout en sachant que notre prestataire centre d'appel fait tout ce qu'il peut pour donner satisfaction dans les meilleures conditions possibles aux demandeurs.

Ce qu'il y a, par contre, comme vraie difficulté sur le 1573, c'est que c'est un numéro qui ne peut pas être atteint à partir d'un mobile mais seulement à partir d'un téléphone fixe...


Q.O.: Le système mis en place il y a à peu près deux ans devait faire, en sorte, qu'il n'y ait plus de queue devant le consulat, ce qui n'a pas été le cas.

F.H.: Je crois qu'il faut distinguer deux périodes, celle antérieure au 1er mai 2006, période pendant laquelle vous aviez, dans la rue, des centaines de personnes qui avaient reçu une convocation leur demandant de se présenter tel jour au consulat. Effectivement, jusqu'au 1er mai 2006, c'était une situation quotidienne, cinq jours par semaine devant l'entrée du consulat général. L'instauration d'une prise de rendez-vous préalable a complètement supprimé la file d'attente. Aujourd'hui, et depuis le mois de mai 2006, si vous passez devant le consulat, vous aurez remarqué une file d'attente jusqu'au mois de février 2008, sur le côté de l'entrée des Français qui continuaient à avoir un accès libre au consulat. D'où souvent une file d'attente dans la rue. Mais côté visa, les seules personnes que nous voyions stationnées sur le trottoir sont les accompagnateurs des demandeurs de visa. Pas du tout de file d'attente depuis le mois de mai 2006. Donc, le système de prise de rendez-vous au préalable, de ce point de vue là, a parfaitement fonctionné.


Q.O.: Est-ce que ce système a permis d'augmenter le nombre de visas ou son niveau reste très « politique » ?

F.H.: D'abord, il n'y a pas de « niveau politique ». Ensuite, il n'a pas réussi à augmenter le nombre de visas parce que ce n'était pas sa vocation. La vocation du système de rendez-vous était de fluidifier les conditions d'accueil de nos services, de faire en sorte que les personnes n'aient plus à attendre des heures avant d'être reçues.


Q.O.: Mais on gagne du temps dans le traitement des dossiers...

F.H.: Non plus. Il ne s'agissait pas pour nous de gagner du temps. Il s'agissait de faire en sorte que les conditions de réception des demandeurs soient plus dignes.

De ce point de vue, l'objectif a été atteint. En ce qui concerne le nombre de visas délivrés, il n'y a pas d'objectifs politiques. Vous savez que pour délivrer un visa, il faut qu'il soit demandé.


Q.O.: Mais lorsqu'il est demandé, il n'est pas délivré...

F.H.: Sauf que le constat que nous portons ces dernières années sur les visas en Algérie, c'est d'abord que nous sommes confrontés à une baisse très sensible et régulière de la demande de visa, là j'ouvre une parenthèse : pour délivrer 800.000 visas comme nous le faisions au tournant des années 90, il faut qu'il y ait 800.000 demandes. Si vous avez 200.000 demandes, vous ne pouvez pas délivrer 800.000 visas. Les demandes ont diminué de manière tout à fait significative. Ce qui a signifié aussi qu'avec des demandes en diminution, nous avons un taux d'accord qui augmente parce que nous avons des demandes de meilleure qualité. Notre taux de refus, qui a été pendant plusieurs années supérieur à 45%, est aujourd'hui en dessous des 40%.


Q.O.: Comment expliquez-vous cette baisse des demandes?

F.H.: Elle a plusieurs explications. La première, c'est l'instauration au 1er janvier 2003 des frais des dossiers sur les visas. C'est-à-dire avant de décider si nous accordons ou si nous refusons un visa, nous considérons qu'il y a des frais à acquitter. Ce sont des frais d'examen, d'instruction inhérent à cette demande. Nous savions que dans le cas algérien, l'instauration des frais de dossier au 1er janvier 2003, allait forcément provoquer une chute importante de la demande. Nous avions estimé que nous passerions d'environ 800.000 visas demandés en 2002 à environ 500.000 en 2003.

En fait, la chute a été beaucoup plus importante que cela puisque nous sommes passés sous les 400.000 visas demandés, une chute de plus de 50% en un an.


Q.O.: Mais ça pénalise de larges couches de la population qui ne peuvent plus ni avoir le visa ni voyager du moment que les frais de visas sont excessifs.

F.H.: Sur la baisse de la demande, il y a aussi le fait que sur la période 2003 jusqu'à aujourd'hui, un certain nombre de demandeurs algériens ont compris qu'ils n'étaient pas éligibles au visa et ont cessé d'en demander. Il y a aussi troisièmement...


Q.O.: Excusez-moi, Monsieur le Consul général, mais l'éligibilité, ce n'est pas l'argent qui doit la déterminer.

F.H.: Il ne s'agit pas de faire une sélection par l'argent.


Q.O.: On le comprend comme ça, justement.

F.H.: Non, parce que si on appliquait strictement la réglementation Schengen et notamment les ressources que doivent avoir les demandeurs de visa pour être éligibles au visa Schengen, avec un SMIG égal à 120 euros, on ne délivrerait pratiquement pas de visa en Algérie.

Donc, il faut bien que nous prenions en considération d'autres critères de revenu notamment les revenus des répondants en France pour nous permettre finalement de délivrer un visa alors même que les revenus intrinsèques de la personne sont insuffisants.


Q.O.: Il y a quand même une sorte d'élimination voulue puisque vous étiez persuadé qu'en instaurant des frais de visas importants, il va y avoir chute de la demande, qu'il va y avoir systématiquement une certaine catégorie de personnes qui vont en être exclues, ce qui est clair.

F.H.: Ce n'est pas tout à fait ça. L'effet d'éviction portait sur la demande redondante. C'est-à-dire que vous aviez, en 2002, un demandeur qui faisait 10 demandes en se disant que sur les dix, il y en a bien une qui aboutirait, il le faisait parce qu'il n'avait rien à payer si ce n'est que le prix de quelques photocopies et 10 timbres.

Ça, c'est la situation en 2002. S'il veut faire la même chose en 2003, il lui faut payer 10 fois 35 euros, il ne le fera pas.

Ce que nous avons dégonflé très rapidement d'une année à une autre, c'est le caractère redondant de cette demande. Et je voudrais terminer sur le troisième élément qui, à nos yeux, fait que la demande a diminué et qui est extrêmement important pour nous, c'est la délivrance de plus en plus fréquente de visas de circulation, c'est-à-dire des visas avec des validités supérieures à un an et qui font que le titulaire de ce type de visa passe moins souvent par le guichet. Aujourd'hui, il faut savoir qu'un visa sur quatre est un visa de circulation. Ce qui explique cette baisse de la demande. C'est arithmétique. C'est quand même un quart des personnes à qui nous donnons ce type de visa, ce qui est énorme. Ceux qui en bénéficient d'une manière générale, sont tous ceux qui contribuent à la vitalité, à la dynamique de la relation bilatérale, c'est bien évidemment les hommes d'affaires au premier plan, ce sont des fonctionnaires aussi dans le cadre de nos projets de coopération, des enseignants algériens qui vont plusieurs fois par an en France pour des formations dans le cadre de l'Ecole doctorale de français par exemple. Et ce sont aussi plus simplement des Algériens pour lesquels nous nous apercevons, à la lecture de leur passeport, qu'on leur a délivré plusieurs visas de courts séjours sur une période récente et plutôt que de les voir se présenter plusieurs fois au guichet, nous leur délivrons un visa de circulation, ça leur rendra service, ça nous rendra service.

Notre but, ce n'est pas de faire passer systématiquement et régulièrement des personnes devant nos guichets pour lesquelles nous savons qu'il n'y a aucun problème à leur délivrer un visa.

Q.O.: Ce système reste fonctionnel jusqu'au 30 septembre. Et le 1er octobre, on doit s'attendre à quelque chose de nouveau ?


F.H.: Oui, le 1er octobre, la grande innovation sera le visa biométrique qui va se faire à Alger comme il se fait depuis quelques années à Annaba et depuis quelques mois à Oran. La différence à Alger est que nous sommes confrontés à un volume de demandes qui est considérable, qui est très largement supérieur à 100.000 demandes par an pour 2008, d'après nos prévisions. Il était beaucoup plus important dans les années précédentes pour les raisons que nous avons évoquées. Donc, il fallait, dans le cas d'Alger, mettre en place une organisation particulière. Cette organisation, dans la mesure où encore une fois la délivrance des visas à Alger, l'examen des demandes, s'inscrit dans un cadre plus général qui est celui de la facilitation de la circulation des personnes, il nous fallait dans la mesure où nous souhaitions profiter de cette occasion pour améliorer les conditions d'accueil et les délais de traitement, une solution complètement nouvelle, c'est l'externalisation.

L'externalisation, c'est confier à une société de service dont c'est le métier, l'accueil des demandeurs des visas. Ce système est opérationnel notamment en Chine. C'est une société de service privée française - Telesmart - qui a été sélectionnée à la suite d'un appel d'offres auquel ont répondu plusieurs sociétés internationales, une société algérienne aussi. La sélection s'est faite dans le courant du premier semestre et nous avons signé un agrément avec Telesmart international à la mi-juillet pour une mise en oeuvre au 1er octobre.


Q.O.: Comment cela va-t-il se passer exactement ?

F.H.: Par un système de prise de rendez-vous soit par Internet soit par téléphone avec un centre d'appel qui ne sera plus le 1573 mais un centre d'appel Visa France accessible à partir d'un numéro fixe classique -un 021- non surtaxé.


Q.O.: Ça marchera mieux que le 1573 ?

F.H.: Nous espérons que ça marche aussi bien voire mieux que le 1573 ! Ce système de rendez-vous à la demande, ce sont les personnes qui choisissent à quel moment elles veulent se présenter chez Visa France.

Sur Internet, vous avez accès à un planning, vous choisissez votre créneau, vous imprimez votre confirmation de rendez-vous chez vous et vous vous présentez chez Visa France à la date choisie par vous. Par téléphone, c'est la même chose avec l'engagement -il faut le savoir- d'obtenir un rendez-vous au plus tard dans les 72 heures. Ce qui est un progrès absolument remarquable.


Q.O.: Donc, les demandeurs de visas vont désormais s'adresser directement à la société privée, dès qu'ils ont le rendez-vous, ils ramènent le dossier...

F.H.: Ils présentent le dossier, ils règlent à la fois les frais de dossier et la rémunération du prestataire...


Q.O.: Pour ce qui est de la constitution du dossier, ils trouveront tout sur Internet ?

F.H.: Oui, avec des fiches qui ont été complètement revues, simplifiées et allégées notamment pour le renouvellement des visas de circulation. Ça, vous pouvez le vérifier sur le site Internet de Visa France et sur le site du Consulat dans les toutes prochaines semaines, au plus tard le 15 septembre.


Q.O.: Qu'est-ce qui a été supprimé par exemple ?

F.H.: Pour des renouvellements de visa de circulation, on n'a plus besoin de contrat de travail, de bulletin de salaire, on sait qui est la personne. Une attestation de travail nous suffit si la personne est toujours dans la fonction dans laquelle elle était lorsque nous lui avons délivré le premier visa de circulation. On n'a pas besoin de ressources non plus, on sait que c'est une personne qui voyage sans difficulté entre les deux pays. C'est donc un allègement très sérieux des pièces à fournir notamment lorsqu'il s'agit de renouvellement de visa. La personne se présente donc chez Visa France, elle règle les frais de dossier, la prestation de Visa France qui s'élève à 23 euros et non pas à 25 euros comme en Chine. Ces règlements se font en espèces et non plus par chèque de banque, pour éviter donc le coût supplémentaire des chèques de banque. Si bien que ces 23 euros qui correspondent à la rémunération de la prestation de Visa France, on peut en déduire les 10 ou 13 euros qui correspondaient à la fourniture d'un chèque de banque, donc le coût supplémentaire net pour le demandeur est de l'ordre de 10 euros, ce qui est quand même très peu de chose pour la prestation fournie. Une fois le dossier déposé, la personne se voit remettre un identifiant Internet, ce qui lui permettra, dans les jours qui suivent, de suivre son dossier sur le site de Visa France, elle saura où il en est : « il a quitté Visa France, il est au Consulat, il a été étudié par le consulat, le passeport a été retourné à Visa France». Les seuls visas que nous gardons en direct au consulat et pour lesquels nous continuerons à recevoir des personnes, ce sont les visas médicaux et les visas à titre humanitaire, pour des personnes qui se rendent par exemple à des obsèques. Nous le faisons souvent.


Q.O.: Le tout se fera en combien de temps ?

F.H.: Sur les rendez-vous, l'engagement de 72 heures est un engagement d'aujourd'hui. Nous avons l'ambition de descendre jusqu'à 48 heures dans le courant de l'année 2009. En terme de délai de traitement, pour le demandeur normal, classique, nous prenons l'engagement d'une délivrance en moyenne 10 jours après la visite à Visa France. Et sur une partie plus ciblée de notre population de demandeurs de visa, c'est-à-dire les visas de circulation, les visas introduits par des sociétés, les visas pour les journalistes, là l'engagement, c'est un visa qui est délivré entre 5 et 6 jours ouvrables maximum. Enfin, lorsque le passeport revient chez le prestataire, il y a un e-mail ou un SMS, au choix du demandeur, qui lui est envoyé pour lui dire que votre passeport vous attend chez Visa France. Un autre verrou que nous allons faire sauter à cette occasion, c'est la durée de validité des visas de circulation. Vous vous souvenez, nous avions eu plusieurs échanges à ce sujet, quand nous avions décidé de limiter à deux ans les visas de circulation parce que nous considérions qu'il y avait une absence totale de réciprocité du côté algérien. Et que tant qu'il n'y avait pas d'avancée significative du côté algérien, on restait à deux ans. Avec le visa biométrique, on a décidé de supprimer ce verrou et de passer pour ceux qui y seront éligibles à quatre ans.


Q.O.: Même s'il n'y a rien de changé du côté algérien ?

F.H.: Même s'il n'y a rien de changé du côté algérien.

Q.O.: Le visa biométrique, on en parle beaucoup, en quoi consiste-il exactement en plus de l'empreinte digitale ?

F.H: L'empreinte des dix doigts...


Q.O.: Déjà qu'on nous fait enlever les chaussures dans les aéroports...

F.H.: ...et la numérisation de la photo, c'est tout. Pas d'empreinte de l'iris.

Q.O.: Donc le visa biométrique, ce n'est pas pour faciliter la libre circulation des personnes mais pour la lutte contre le terrorisme, le crime organisé...

F.H.: Le visa biométrique répond à deux objectifs, d'abord un objectif de sécurité, s'assurer de l'identité des personnes et faciliter le passage à la frontière. Lorsqu'avec un visa biométrique vous pouvez immédiatement, sans aucune ambiguïté, prouver votre identité en apposant simplement un de vos doigts sur un lecteur optique, c'est extrêmement confortable.


Q.O.: Pour nous, ce sont toujours des conditions en plus.

F.H.: Sauf que là, on n'est pas dans du franco-français, ni dans de l'européen. On est dans du mondial. Et le visa biométrique, l'Algérie va en faire, très très vite.


Q.O.: Le choix d'une société privée pour le traitement des dossiers de visas nous éloigne complètement du système de Nantes où toutes les données étaient centralisées ?

F.H.: C'est tout à fait nouveau. Nous nous sommes demandés ce qu'était notre véritable coeur de métier. Est-ce de recevoir des dossiers, de percevoir des frais de dossier, de restituer un passeport ? Ou est-ce plutôt d'instruire une demande de visa et de décider de délivrer un visa ? A l'évidence, notre métier, c'est cela et tout ce qui est en amont et en aval peut être fait par d'autres et beaucoup mieux que par nous. C'est ça le constat. On sait qu'une société privée comme Telesmart va recruter non pas 70 personnes comme en Chine mais plus de 100 personnes pour Alger. C'est quelque chose que nous ne pouvons pas faire. Nous devons voir ce que nous devons faire par nous-même et ce que nous pouvons déléguer. Il y a une spécificité algérienne qu'il faut respecter. On ne fait pas du visa de la même manière en Chine et en Algérie. Ici, nous avons une histoire à assumer. Et cette histoire là fait que la barre est placée un peu plus haut en terme d'exigences.


Q.O.: C'est un peu pour ça que vous avez opté pour la mise en place de ce système en Algérie en premier et pas dans un autre pays de la région ?

F.H.: Bien sûr ! Parce que d'une part, il y a le volume de la demande qui est considérable et ensuite il y a l'affirmation des deux présidents de faciliter la circulation des personnes et il faut nous inscrire dans cette dynamique. C'est donc bien mettre en place un outil moderne, performant et réactif.



Q.O.: On pourrait le sentir autrement, nous en Algérie, un consulat qui prend ses distances vis-à-vis d'une population qu'il n'aimerait peut-être plus voir devant ses portes, qu'il préfère éloigner...

F.H.: Non, ce n'est pas possible parce que si je vous suis dans votre analyse, pourquoi alors rechercher des conditions d'accueil bien supérieures à ce que nous pourrions faire dans notre consulat ? Si nous voyons ça comme ça, là, il aurait suffi d'un hangar un peu aménagé dans lequel on aurait reçu les demandeurs de visas sans se soucier du tout des conditions d'accueil. Ce que nous mettons en place, ce n'est pas du tout ça. C'est un accueil que vous ne voyez dans aucune agence de voyages ni dans aucune banque en Algérie. Vous n'êtes pas obligée de me croire mais vous viendrez visiter les locaux avec vos consoeurs et vos confrères pour voir comment ça se passe.


Q.O.: La demande de visa est retenue ou rejetée selon quels critères ?

F.H.: Il y a une vérification des justificatifs. S'il en manque, la société dira à la personne qu'elle a le choix entre compléter son dossier ou bien il est envoyé au consulat et qu'il y a un risque accru de refus. Si le dossier est complet, il y a moins de risque de rejet. La société privée doit saisir des éléments basiques de la demande, l'état civil, procèdera à la prise d'empreintes biométriques, bien évidemment sous contrôle d'un fonctionnaire du consulat qui sera en permanence dans ses locaux. Tout ce qui est saisi sur informatique passe sur les fichiers informatisés du consulat et le fichier papier est remis au consulat le lendemain matin. La société Visa France ne conserve aucune trace à la fois informatique ou papier du passage de la personne. Ça, c'est une obligation qui correspond à une demande de la CNIL, la Commission nationale informatique et liberté française.


Q.O.: Quelles sont les raisons d'un rejet d'une demande?

F.H.: Le risque migratoire..

Q.O.: La commission européenne a évoqué, il y a deux ans, l'installation d'un guichet unique de délivrance des visas pour les Etats Schengen. Qu'en est-il de ce projet ?

F.H.: On est encore dans une logique de délivrance de visa qui est quand même très nationale. Mais on sent bien qu'à terme, il faudra rechercher une unicité de guichet et que ça n'a pas beaucoup de sens pour un certain nombre de partenaires à la convention de Schengen de continuer à entretenir à grands frais des bureaux nationaux. La logique est de définir un partenaire leader par région, lui confier ce guichet unique et de mutualiser un certain nombre d'actions. Au plus tard d'ici 5 ans, on aura une mutualisation qui commencera à prendre forme. Quand le système VIS (visa biométrique) sera généralisé en 2010, nous aurons une base unique de données pour l'ensemble des visas demandés à tous les partenaires. Pour l'instant, ce que nous voyons comme possibilité, c'est de créer des guichets de proximité. Par exemple, dans deux ou trois ans, lorsque nous aurions tiré toutes les conséquences de l'externalisation à Alger, nous pourrions peut-être, avec l'accord de Paris, décider de demander à notre prestataire ou à un autre d'ouvrir des guichets de proximité. Nous pourrions ainsi décider d'ouvrir une antenne du prestataire à Tizi Ouzou, à Béjaïa, à Ghardaïa, à Tamanrasset...


Q.O.: Comment se portent les relations algéro-françaises ?

F.H.: J'ai le sentiment qu'elles se portent très bien. Dans la partie qui concerne les affaires consulaires, les choses se passent bien. La visite d'Etat du mois de décembre dernier, s'est particulièrement bien passée. Il y a une feuille de route qui a été définie par les deux présidents dont l'une des répercussions au niveau consulaire est extrêmement encourageante. C'est le principe de réciprocité dans le domaine de la circulation des personnes. Dans ce domaine, nous constatons un déséquilibre.


Q.O.: Cela veut dire qu'il y aurait une amélioration du côté des visas algériens?


F.H.: Il n'y a pas eu d'amélioration mais on ne désespère pas. Ce que nous souhaitons, ce n'est pas simplement une amélioration ponctuelle des conditions de délivrance dans l'un de vos 17 consulats en France mais c'est quelque chose de beaucoup plus ambitieux. C'est, en fait, avoir le pendant d'un texte qui est l'Accord de 1968 sur la circulation et le séjour des Algériens en France. Nous souhaitons avoir un accord qui définit les conditions de circulation et de séjour des Français en Algérie.


Q.O.: Est-ce qu'il y a eu une demande formelle des autorités françaises ?

F.H.: Oui et la réponse a été positive sur le principe. L'Algérie considère effectivement qu'il y a place dans ce domaine pour une réciprocité. De la même manière que le ressortissant algérien en France est considéré de manière complètement dérogatoire au droit commun, le ressortissant français pourrait recevoir un traitement qui serait également dérogatoire au droit commun. Pour faire simple, aujourd'hui, dans un bureau des étrangers de préfecture en France, vous avez deux droits qui sont appliqués, le droit commun et le droit résultant de l'accord de 1968. C'est-à-dire que vous avez tous les étrangers et vous avez l'Algérien. Ce que nous souhaitons, c'est la même chose.


Q.O.: Il y a eu des attentats ces derniers jours qui nous ont replongés dans les années 90. A votre avis, c'est une recrudescence qui n'était pas attendue ?

F.H.: Nous faisons confiance aux autorités algériennes pour combattre ce fléau qui a déjà tant fait souffrir les Algériens. Vous savez que nous avons une excellente coopération dans la lutte contre le terrorisme. Nous la poursuivrons aux côtés des Algériens, car nous nous sentons solidaires. Nous avions tiré un certain nombre de conséquences pour ce qui est de nos intérêts en demandant un certain nombre de choses à nos interlocuteurs algériens comme mesures de sécurité complémentaires. Les réponses ont été extrêmement attentives depuis le 11 décembre 2007. Ça s'est fait vraiment dans de bonnes conditions.


Q.O.: Est-ce qu'il y a des instructions qui ont été données à la communauté française en Algérie ?

F.H.: Nous avons renouvelé nos instructions de vigilance parce que nous avons considéré que la densité des attentats du mois d'août et la proximité du Ramadhan faisaient qu'il fallait conseiller à nos ressortissants de ne pas baisser la garde.


Q.O.: Comment expliquez-vous qu'Al Qaïda qui s'identifie au Maghreb islamique -et je ne souhaiterais pas que ça se passe ailleurs, loin de là- frappe seulement en Algérie ?

F.H.: Je ne suis pas un spécialiste de ces questions de terrorisme. Vous savez aussi bien que moi qu'il n'y a pas qu'en Algérie que le terrorisme existe. D'autres pays de la région ont été touchés. Mais pour ce qui est de l'Algérie, nous sommes surtout choqués par les horreurs commises par les terroristes, qui nous affectent beaucoup.


Q.O.: Vous connaissez bien l'Algérie pour y avoir séjourné dans les années 70. Comment expliquez-vous cette concentration du terrorisme en Kabylie ?

F.H.: Je pense que malheureusement, le relief de cette si belle région est propice au déplacement des terroristes.


Q.O.: Le gouvernement algérien a décidé d'accorder la majorité du capital à l'Etat en cas de partenariat avec les étrangers. Est-ce que cela changerait quelque chose dans l'esprit des investisseurs français par exemple ? Est-ce que la taxe sur l'achat de véhicules pousserait par exemple les constructeurs automobiles à s'installer en Algérie ?

F.H.: Je n'ai pas d'analyse sur ce sujet. Mais je peux vous dire, par contre, que les investisseurs seront toujours prêts à venir s'implanter et créer des emplois en Algérie. Plus de 20.000 emplois créés en Algérie par des entreprises françaises, ce n'est pas rien !

[ source ]
Interview Réalisée Par Ghania Oukazi
Le Quotidien d'Oran, 27 Aout 2008

Ramadhan-Algérie : Intensification des opérations de contrôle

# Administrateur | 27/08/2008 | Info

> ORAN INFO

DCP OranRamadhan : Intensification des opérations de contrôle

Des opérations effectuées après les heures de travail et les week-ends avaient permis de dresser de nombreux PV et de proposer huit boucheries à la fermeture, sur la vingtaine que compte le marché de la rue des Aurès.


Des opérations de contrôle, qui ont ciblé les commerces, notamment les boucheries, les boulangeries, les marchands de fruits et légumes, les crémeries et autres fast-foods, ont permis aux équipes de la DCP de dresser un total de 123 procès-verbaux et de saisir 650 kg de produits impropres à la consommation. Le responsable du commerce a souligné que sa Direction a décidé de lancer des poursuites judiciaires contre certains commerçants, notamment contre ceux qui s’opposent aux contrôles des agents de la DCP.

L’intensification des opérations de contrôle intervient en parallèle des dernières mesures prises par la DCP, à savoir des opérations de contrôle après les heures de travail et les week-ends. Le même responsable avait indiqué que ces opérations avaient permis de dresser de nombreux PV et de proposer huit boucheries à la fermeture, sur la vingtaine que compte le marché de la rue des Aurès. Le même responsable avait annoncé que le contrôle sera renforcé durant le mois sacré du Ramadhan, notamment au niveau des commerces qui proposent des produits de large consommation.

Coordonner les opérations
D’autre part, et toujours à propos du mois sacré du jeûne, et dans un souci d’organiser les opérations de solidarité, des sources proches de la wilaya indiquent que des instructions ont été données par la direction de l’action sociale pour prendre contact avec l’ensemble des communes et coordonner les opérations afin d’unifier les listes de bénéficiaires des aides durant ce mois. Nos sources soulignent qu’en plus des enveloppes dégagées par la wilaya, les APC et la DAS, quelque 4 millions de DA ont été débloqués par le ministère de la Solidarité. Ainsi, plus d’un million de DA seront consacrés aux familles démunies.

[ source ]
Par B. M. A.
El Watan, Ă©dition du 27 AOUT 2008

Algérie - Mise en garde contre toute spéculation

# Administrateur | 27/08/2008 | Info

Mise en garde contre toute spéculation

Le prix du LSP entre 2 et 2,5 millions DA


Le prix du LSPPour empêcher à l’avenir les constructions illicites et les habitations non conformes aux normes de l’urbanisme, il est institué un corps de contrôle qui se chargera de veiller à l’application rigoureuse des règles urbanistiques.

Cette démarche est inscrite dans le cadre de la nouvelle loi sur le parachèvement des bâtisses adoptée dernièrement par les deux Chambres parlementaires, publiée au Journal officiel et dont les textes d’application seront achevés prochainement. Il s’agit, en fait, de renforcer le contrôle par le biais d’agents habilités à ce genre de mission, le but étant de mettre un terme aux dépassements en tout genre qui peuvent être enregistrés et surtout veiller au parachèvement des constructions.
Le ministre de l’Habitat qui a évoqué cet aspect du renforcement du contrôle a reconnu qu’il y a quelque peu un laisser-aller dans ce domaine à cause du manque de contrôleurs à même de couvrir l’ensemble du territoire national.

La vulgarisation de cette nouvelle loi 08-15 du 20 juillet 2008 se fera au niveau des regroupements régionaux qui vont être organisés dans les prochains jours à travers le pays. C’était à l’occasion de la réunion, hier, des directeurs de l’urbanisme et de la construction (DUC) au siège de son département ministériel que Noureddine Moussa a indiqué que la loi de finances 2009 fera obligation de livrer les cités entièrement achevées et avec les équipements nécessaires pour une vie décente. Interrogé sur les prix des logements socio-participatifs (LSP) que certains promoteurs appliquent et qui dépassent les 2 500 000 DA fixés par l’Etat pour ce qui est des grandes villes et à 2 000 000 DA pour les autres régions, Moussa dira que son département a eu écho de cela et qu’il sanctionnera quiconque prendra l’initiative d’augmenter les prix. « Je mets en garde ceux qui se hasarderont à appliquer des prix exorbitants », menace le ministre qui dira au cours de la réunion : «Nous sommes là pour veiller aux intérêts des citoyens.» Et d’ajouter : « Le climat entre l’administration et le citoyen doit être sain et empreint de confiance.» Aussi, des orientations ont été données pour alléger les procédures et remettre au citoyen son permis de construire et le certificat de l’urbanisme dans les délais requis.

« Même si la réponse de l’administration doit être négative, il faut informer quand même.» Pour cela, le premier responsable du secteur appelle les directeurs de l’urbanisme à mettre en place des passerelles de communication entre eux et les citoyens. Par ailleurs, le ministre a aussi instruit les DUC de « veiller à l’aspect utilité publique de l’esthétique urbaine consacré par la nouvelle loi sur le parachèvement des constructions ». A ce propos, et plus exactement concernant les paraboles, le ministre a déclaré qu’il faut trouver une solution définitive à ce problème. «Nous sommes en train de travailler au niveau central pour régler définitivement cette histoire.»
Le respect de l’architecture et des spécificités dans chaque région, les cahiers des charges qui doivent être élaborés et validés par la DUC ce qui fera gagner beaucoup de temps, l’identification des terrains non constructibles et en faire des espaces verts pour bloquer l’urbanisation anarchique et leur
occupation illicite sont autant d’orientations adressées par Noureddine Moussa aux DUC.

Un autre point important soulevé par Moussa a trait à la flambée des cours des matériaux de construction, ce qui lui fera dire que « la conception des projets est déterminante quant aux prix de réalisation ».

Le ministre a informé les DUC qu’une enveloppe de 328 milliards de dinars avait été mobilisée durant ces trois dernières années pour l’amélioration et la viabilisation des voiries et réseaux divers (VRD) à travers plus de 12 000 cités regroupant 3,2 millions logements et abritant plus de 20 millions de personnes.
Ces opérations d’aménagement sont devenues nécessaires «pour mettre un terme au phénomène de l’urbanisation anarchique qui a déformé le tissu urbain des grandes villes algériennes», a soutenu le ministre.

[ source ]
Par Badiaa Amarni
La Tribune, Ă©dition du 27 AOUT 2008

Algérie - La qualité et les prix préoccupent les consommateurs

# Administrateur | 27/08/2008 | Info

à quelques jours du début du mois de Ramadhan

La qualité et les prix des produits préoccupent les consommateurs


Qualite et prixAlors que de rares et ultimes coups de bendir se font entendre cette semaine, annonçant les dernières fêtes familiales et le retour des vacances marquant la fin de la saison estivale, les ménages s’apprêtent à vivre le mois de Ramadhan avec la rentrée sociale attendue avec plusieurs bouleversements. En ce sens que les activités commerciales ont enregistré une forte augmentation ces derniers jours du fait que toutes les familles sont en train de faire leurs emplettes en produits de consommation et autres en perspective du mois de Ramadhan. Pour certains, il s’agit de s’approvisionner afin de parer à d’éventuelles surprises concernant les prix des différents produits, tels les légumes secs, l’huile de table et le sucre, pour d’autres, quel que soit le prix, l’idéal est d’acheter des produits de qualité afin d’éviter d’être l’otage de commerçants véreux et autres vendeurs qui n’hésitent pas à enfreindre la loi pour venir exposer des produits de consommation sans mesures d’hygiène, au risque d’entraîner des effets négatifs sur la santé des consommateurs, et ce, pour s’enrichir à l’occasion de ce mois placé pourtant sous le signe de la piété qu’on ne retrouve guère sur le terrain ni dans les faits et gestes des commerçants.

Alors qu’on enregistre une inquiétante inactivité des associations de protection des consommateurs au niveau local, la seule garantie qui reste pour les citoyens, c’est la
vigilance, en prenant le soin par exemple de s’approvisionner chez des commerçants et de réclamer des produits conservés dans de bonnes conditions. Car, en dépit des mesures prises pour endiguer le commerce illicite et informel par la Direction du commerce et des prix (DCP) de Bouira, dont les responsables indiquent avoir intensifié leurs actions de contrôle et les sorties sur le terrain pour inspecter les prix et la qualité, des produits de large consommation peuvent être à l’origine d’intoxications alimentaires et autres maladies. Surtout que, cette année, le mois de Ramadhan coïncide avec une période relativement chaude qui nécessite donc une prise en charge adéquate en matière de conservation et d’exposition pour les produits périssables et sensibles, notamment les yaourts, le lait, les produits carnés, les viandes rouge et blanche, les boissons et les jus. Un contrôle strict est ainsi prévu au niveau des différents magasins de détail, des grossistes et des grandes surfaces et sera effectué par les agents de la DCP, les services d’hygiène des différentes communes qui seront soutenus par les services de sécurité, afin de procéder au contrôle de la qualité des produits commercialisés, sur place par le contrôle de l’étiquette du produit et au niveau des laboratoires par l’analyse microbiologique des produits suspectés.

Mais reste à savoir si les effectifs et les moyens dont disposent les services de la DCP sont suffisants pour contrôler des milliers de commerçants et mettre fin au commerce illicite à l’occasion de ce mois.

[ source ]
Par Nacer Haniche correspondant Ă  Bouira
La Tribune, Ă©dition du 27 AOUT 2008

France - Transport : Fillon confirme la mise en place d'un dispositif

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

TRANSPORTS
Prime transport : Fillon confirme la mise en place d'un dispositif

"Les partenaires sociaux ont eu tout l'été pour proposer quelque chose d'intelligent. (...) S'ils ne le font pas (avant le 15 septembre), on mettra en place un dispositif", prévient François Fillon. La présidente du Medef est "très réservée" sur une éventuelle prise en charge de cette prime par les entreprises.


Prime de transportEn marge d'une visite sur le thème du soutien scolaire à Avrillé (Maine-et-Loire), François Fillon a confirmé, lundi 25 août, que "le principe d'une participation de l'entreprise aux frais de transport du salarié" ne pouvait être remis en cause, malgré les réticences du Medef, et affirmé qu'un "dispositif" serait mis en place, qu'il y ait un accord entre les partenaires sociaux ou non.

"Les partenaires sociaux ont eu tout l'été pour proposer quelque chose d'intelligent. J'attends qu'avant le 15 septembre ils le fassent, et s'ils ne le font pas, on mettra en place un dispositif", a prévenu le Premier ministre, confirmant les propos du ministre du Budget, Eric Woerth, qui avait déclaré dans la matinée que les modalités concernant l'aide au transport pour les salariés seraient décidées "courant du mois de septembre" pour intégrer cette mesure au projet de loi de finances 2009.

Exonération de charges sociales pour les entreprises

"Il y a plusieurs voies" pour financer cette aide au transport, avait poursuivi Eric Woerth, comme "la possibilité d'exonérer de charges sociales les prises en charge par les entreprises des frais de transports, frais de transports collectifs (...) ou frais de transport dans certaines conditions de sa voiture".
"Je vois que c'est difficile. Je vois que le Medef a un peu de mal à réunir l'ensemble des partenaires sociaux sur ce sujet, c'est comme ça", a-t-il regretté. Mais "on l'a indiqué, on le fera", avait-il souligné.

Le gouvernement a annoncé en juin une aide financière directe "sur la feuille de paye" pour aider les salariés confrontés à la hausse du coût des trajets domicile-travail, l'Etat prévoyant de compenser les frais pour l'entreprise en lui apportant une "aide fiscale".

Directement sur la fiche de paye

"Je rappelle quand même que le dispositif existait, qu'il avait été mis en oeuvre, simplement il ne fonctionnait pas. Il avait été créé et le patronat comme les organisations syndicales l'avaient accepté", a expliqué François Fillon, dans une allusion au "chèque transport" lancé en février 2007.
"Ce qu'on veut changer, c'est les modalités de mise en oeuvre de ce dispositif, c'est-à-dire qu'on ne veut plus d'un chèque, on veut qu'il soit sur le fiche de paye du salarié", a souligné le Premier ministre.

"Mais le principe lui-même d'une participation de l'entreprise aux frais de transport du salarié, qui existe déjà dans les entreprises de certaines régions, notamment d'Ile-de-France, est un principe qui existait et que nous ne pouvons pas remettre en cause", a-t-il ajouté.

Guerre des nerfs entre le Medef et FO

Dimanche, la présidente du Medef, Laurence Parisot, s'est dite "très réservée" sur une éventuelle prise en charge par les entreprises de la prime de transport promise par le gouvernement.

Réagissant aux propos de cette dernière, le secrétaire général de Force Ouvrière (FO), Jean-Claude Mailly, a demandé lundi au gouvernement de mettre en application "dès maintenant" sa proposition. Interrogé dans une interview au Parisien, daté de lundi, sur "qui paiera ?" ce dispositif, Jean-Claude Mailly a répondu : "Les employeurs bien sûr, avec déduction fiscale", en rappelant que les employeurs franciliens financent déjà la carte orange pour moitié.

Avis favorables de la CGPME et de l'UPA

"D'autres régions le font aussi. Il suffit d'étendre ce dispositif avec un élément nouveau: c'est de permettre aux salariés qui ne peuvent pas prendre les transports collectifs de pouvoir utiliser cette prime pour payer les frais d'essence", a-t-il ajouté.

Jean-Claude Mailly a également rappelé qu'il a écrit aux représentants patronaux à ce sujet et a indiqué avoir reçu "deux réponses positives de la CGPME (Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises) et de l'UPA (Union Professionnelle artisanale) pour engager des négociations".
"Quant au Medef, j'ai eu une fin de non recevoir le 22 août, Mme Parisot nous renvoyant sur des négociations d'entreprise, de branches ou sur l'Etat", indique-t-il. "Je demande donc, dès maintenant, au gouvernement de mettre cette mesure en application", conclut le syndicaliste.

[ source ]
NOUVELOBS.COM | 25.08.2008 | 15:52

Algérie - Des ateliers d’initiation sont organisés en marge du Festival

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

Des ateliers d’initiation sont organisés en marge du 1er Festival international de la littérature et du livre de jeunesse

Quand culture rime avec lecture


atelier d'initiationL’allégresse, la joie et l’enthousiasme sont encore au rendez-vous à l’esplanade de Riad El Feth, qui accueille depuis le 21 et jusqu’au 29 août, les activités du 1er Festival culturel international de la littérature et du livre de jeunesse. L’animation destinée à l’enfant occupe une place considérable dans cet événement culturel. Nombre
d’ateliers et aires de jeux sont mis à la disposition des enfants, qui viennent en masse, en compagnie de leurs parents, pour donner une touche et une couleur festives à la manifestation qui se veut une fête pour l’enfant tout en gardant le livre en arrière-plan.

Dès 16h, la place de Riad El Feth est envahie de petits anges, venus de partout découvrir les activités qui leur sont destinées. A ce propos, Mme Samia Echikh, chargée de l’animation, affirme : « Je suis épatée par le nombre d’enfants qu’on reçoit quotidiennement depuis l’ouverture du festival.» « Pistes d’écriture », « parcours pour rêveurs », « jardin des mots », sont les titres artistiques que les organisateurs ont donnés aux différents ateliers de lecture, de conte, de peinture et de bricolage, qui font l’animation du festival. L’atelier de peinture, un espace d’éducation créatrice pour les enfants, attire beaucoup de jeunes visiteurs, lesquels peuvent peindre à volonté ; ils n’ont qu’à choisir leurs propres sujets. Une fois le dessin terminé, l’enfant doit remettre sa «petite œuvre» à l’animateur de l’atelier qui doit noter les coordonnées du «jeune artiste». Généralement, l’enfant parvient à maîtriser son pinceau, puis à peindre spontanément, explique Mme Echikh. A la fin du festival, tous les dessins seront exposés et un prix sera remis au meilleur, a-t-elle ajouté.

« Boîtes à idées », un atelier de bricolage, donne l’occasion à l’enfant d’intervenir et de proposer une série de jeux ou une autre idée. «Les enfants ne sont pas seulement des consommateurs. Parfois on est étonné par leurs propositions», souligne la chargée de l’animation. Cet atelier consiste à proposer des jeux en plein air, dont un grand jeu d’échecs, oû plusieurs petits peuvent intervenir, sous le regard bienveillant des animateurs. L’atelier d’écriture connaît également un afflux important. Il en est de même pour «jardin des mots», où les enfants viennent découvrir de belles histoires racontées par des spécialistes. Le clown Didine, l’écrivain Hamid Skif, l’auteur guadeloupéen Max Rippon, l’écrivaine Djohar Amhis, le Camerounais Mbala Elanga Edmond figurent parmi les spécialistes venus raconter aux enfants des histoires ou leur lire des contes qui les font rêver. « Ils se sont joints à nous pour le plaisir de lire, un plaisir qu’ils comptent faire partager au plus grand nombre de jeunes », a indiqué Mme Echikh à propos de « ces passeurs d’histoires venus aussi conter la part d’un grand héritage populaire ». Toute cette animation donne davantage d’énergie aux jeunes visiteurs qui passent d’un
atelier à l’autre. L’activité culturelle permet à l’enfant de découvrir et de s’approprier son environnement, d’entrer en relation avec les autres et de s’exprimer.

[ source ]
Par Tassadit Lazili
La Tribune, Ă©dition du 26 AOUT 2008

Algérie - Protection du marché de la viande ovine

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

Protection du marché de la viande ovine

La prorogation de l’interdiction d’importation souhaitée


viandes ovinesLa décision de suspendre les importations de viande ovine, prise par le gouvernement en mai dernier, jusqu’à la fin de ce mois d’août, va–t-elle être prorogée ou levée ? A l’époque, l’Exécutif avait justifié une telle mesure par souci de protéger le cheptel ovin national en proie à la sécheresse, obligeant de nombreux éleveurs à ne trouver d’autre alternative que de vendre leurs bêtes, d’où un flux important de moutons sur le marché de bétail. L’objectif étant de trouver un débouché à la très forte offre. Cela étant, la donne n’est plus la même en ce sens que, durant la période du mois de Ramadhan, la consommation en viande ovine s’accentue et, du coup, il faudra bien un réajustement de l’offre et de la demande. Pour ce faire, un retour aux importations de viande ovine paraît tout à fait logique. Ce que ne partagent pas certains connaisseurs du marché de la consommation de viande rouge. Ces derniers arguant que l’importation de la viande n’a eu jusque- là aucun impact sur les étals, du fait de la faible consommation de viande de mouton congelé. C’est ce que confirme l’association des importateurs de viande, témoignant que le gros de leur chiffre d’affaires se réalise dans la viande bovine. Dans ce même ordre d’idées, il est bon de rappeler qu’au lendemain de la prise de décision d’interdire l’importation de viande ovine les importateurs avaient estimé que cette mesure ne pouvait avoir de conséquences sur leurs activités pour la forte raison que le volume des achats extérieurs est constitué à 90% de viande bovine, alors que celui de la viande ovine reste minime, même en période de Ramadhan. Et selon le président de l’association qui déclarait à la presse, «ces importations devaient cesser automatiquement pour sauver nos éleveurs de pertes financières imminentes en raison du bradage de leur troupeau de moutons auquel ils étaient contraints faute d’alternative». Du côté des éleveurs, on espère que cette décision de suspension temporaire va devenir permanente, car «elle n’a rien apporté de concret sur le marché du détail. La demande reste faible et les prix entre la viande locale fraîche et celle importée congelée ne sont pas trop éloignés». Les cours mondiaux actuels n’incitent guère à importer en quantité importante, nous a indiqué un importateur. Par ailleurs, il y a lieu de rappeler qu’il existe un excédent en matière de production ovine, tel est le constat de terrain avancé par le ministère de l’Agriculture.
A préciser dans la foulée que la production a atteint 20 millions de têtes d’ovins. Ce qui a engendré de graves problèmes de commercialisation compte tenu des prix appliqués sur les étals des bouchers. Selon la tutelle, pour éviter un tel cas de figure, il y a lieu de mener une campagne d’abattage de millions de moutons, soit l’équivalent de 60 000 tonnes de viande. Et si cela devait se faire, cette viande serait conservée dans des chambres froides pour constituer des stocks dans la perspective de réguler le marché de la viande le moment opportun, c’est-à-dire quand le marché enregistre de fortes hausses. Il reste que la perspective d’exporter n’est pas encore à l’ordre du jour, du fait que nous arrivons toujours à remplir au minimum des conditions imposées par les marchés mondiaux.
Ce à quoi l’on devrait vite remédier dans l’optique d’encourager nos éleveurs à plus de production.

[ source ]
Par Ziad Abdelhadi
Photo : Riad
La Tribune, Ă©dition du 26 AOUT 2008

Algérie - De nouvelles mesures pour la commercialisation du ciment

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

Elles concernent les entreprises clientes, la revente, le conditionnement et la transformation

De nouvelles mesures pour la commercialisation du ciment dès septembre


cimentUn nouveau dispositif de commercialisation du ciment sera effectif à partir de septembre prochain. En vertu de ces nouvelles mesures, la clientèle des entreprises publiques de ciment sera soumise à un nouveau cahier des charges. Ce dispositif sera appliqué aux entreprises de réalisation, aux conditionneurs de ciment, aux revendeurs-grossistes et aux entreprises de transformation, ont indiqué plusieurs entreprises publiques, selon l’APS.

Ainsi, à partir du mois prochain, toute demande d’achat de ciment formulée par une entreprise chargée d’un programme de réalisation ne pourra être recevable par la cimenterie que si elle remplit des conditions obligatoires fixées par les entreprises publiques de ciment.

En clair, pour les entreprises-clientes chargées d’un programme de réalisation (autoroute, barrage, logements, aéroport, ports…), les cimenteries publiques exigeront d’elles la déposition d’un contrat de réalisation et d’un état des besoins mensuels approuvé et visé par les responsables du projet (maître de l’ouvrage et éventuellement le bureau d’études), et de s’engager à informer la cimenterie pour tout arrêt de chantier.

Ce nouveau cahier des charges stipule également que les entreprises de réalisation s’engagent à ne pas procéder à la revente du ciment en l’état et à disposer de moyens de transport du ciment adaptés à l’enlèvement des quantités nécessaires. L’entreprise-cliente devra aussi déposer une copie du registre du commerce auprès du CNRC et une copie de son numéro d’identification statistique (NIS) ainsi que d’une carte fiscale portant son numéro d’article d’imposition. Concernant les revendeurs-grossistes dont la vocation est la revente en l’état et en gros du ciment, il leur sera exigé non seulement des copies du registre de commerce auprès du CNRC et de leur NIS ainsi que d’une carte fiscale, mais de disposer aussi en propriété ou en location (acte de propriété ou bail de location dûment établis) d’une infrastructure, adaptée et autorisée, de stockage et revente, de surface couverte de 400 m² au minimum.

Les revendeurs-grossistes doivent aussi disposer de moyens propres adaptés de transport, ou d’un contrat dûment établi avec un transporteur, alors que les quantités de ciment mises à disposition seront fixées en fonction de la capacité de transport dont dispose le client.
Une avance commerciale à l’entreprise de ciment représentant 10% du montant du programme annuel contracté sera exigée d’eux, en outre.
En ce qui concerne le prix de vente, le grossiste s’engagera par écrit à ce que son niveau de marge commerciale sur toutes les ventes de ciment sac qui seront effectuées par lui, soit conforme à celui fixé par les textes réglementaires dès leur promulgation.

Par ailleurs, les conditionneurs de ciment et les entreprises de transformation seront également soumis à un nouveau cahier des charges. Pour les conditionneurs du ciment en vrac, ils seront tenus, entre autres, de disposer d’un agrément des installations de stockage et de conditionnement de ciment délivré par le laboratoire CETIM, d’enregistrer leur marque et leur label de conditionneur au niveau de l’INAPI et de s’engager à inscrire obligatoirement sur leurs sacs l’origine du ciment ensaché, pour le suivi de la traçabilité du produit.

Quant aux entreprises de transformation dont l’activité consiste en la transformation du ciment en matériaux de construction par des procédés industriels, elle sont aussi soumises à plusieurs conditions, dont l’agrément des installations de transformation du ciment délivré par le laboratoire CETIM (conformité et capacité de production), disposer de moyens de transport du ciment adaptés à l’enlèvement des quantités nécessaires au fonctionnement de leurs installations techniques, et s’engager à ne pas commercialiser le ciment en l’état. Précisons enfin que les entreprises publiques de ciment comprennent 12 cimenteries totalisant une capacité de production de 11,6 millions de tonnes de ciment par an.

[ source ]
Par SmaĂŻl Boughazi
Photo : Sahel
La Tribune, Ă©dition du 26 AOUT 2008

Algérie - Le cirque Amar parle de son périple

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

Oran :

Le cirque Amar parle de son périple


« On a commencé par Oran, ça nous a porté bonheur », a affirmé hier Mme Isabelle Gillier, directrice-adjointe du cirque Amar, lors d'un point de presse organisé à l'hôtel Royal à l'occasion de la tournée spéciale Ramadhan du « Cirque Amar sur Glace » du 26 août au 3 octobre prochain. Une première à Oran et à travers tout le pays pour un nouveau spectacle inédit qui vient allier le patinage artistique très esthétique et la magie du cirque traditionnel. Cette tournée, tant attendue et à laquelle un intérêt particulier a été accordé par les organisateurs, a nécessité, selon notre interlocutrice, de concevoir un nouveau chapiteau d'une capacité de 1.500 places afin d'accueillir en même temps les deux pistes : glace et traditionnelle. Autant de nouveautés représentées par des ballets sur glace, des numéros de jonglage, d'équilibrisme avec les assiettes, un numéro de haute école, le globe et ses cinq motos, en plus du traditionnel où des artistes et des techniciens venus des quatre coins du monde ont pris part au montage de ce spectacle. En retraçant l'historique de la «Eurl Amar», une société de droit algérien créée en 2005, Mme Gillier a tenu à préciser que trois tournées nationales du cirque ont été effectuées depuis cette date, en 2006, 2007 et 2008. Pour l'année en cours, le cirque a pu traverser 19 wilayas du pays réparties entre le Sud, l'Est et le Centre, sachant qu'après cette tournée spéciale Ramadhan à Oran, le cirque sur glace sera présent à Relizane du 5 au 17 octobre. D'autre part, tout en mettant l'accent sur les nouveautés introduites en matière de diversification culturelle des spectacles du cirque Amar, qui, rappelons-le, est placé sous le parrainage du ministère de la Culture, l'oratrice a indiqué que pour cette année, figurent un clown et un dompteur de crocodiles algériens parmi l'équipe. Avec ce nouveau challenge artistique du cirque à deux pistes, les organisateurs vont pouvoir proposer un spectacle varié, sachant que plus de 400.000 spectateurs ont découvert la représentation sous le chapiteau en 2007, parmi lesquels plus de 250.000 démunis, malades ou handicapés.

[ source ]
par K. Assia
Le Quotidien, Ă©dition du 26 AOUT 2008

Algérie - Les prix des légumes ont augmenté dans les marchés

# Administrateur | 26/08/2008 | Info

A l’approche du mois sacré

Flambée des prix des légumes


Legumes

Les prix des légumes ont augmenté dans les marchés de gros à moins d’une semaine du mois de Ramadan.


La hausse des prix de la salade, qui est passé de 80 Da à 120 Da, a été expliquée par la canicule de cette année. Toutefois, les commerçants redoutent une éventuelle crise de pomme de terre, dont le prix du kilogramme a atteint 25 da dans les marches de gros, si les autorités concernées n’ordonnent pas de commercialiser le plus tôt possible les quantités de ce produit stockées.

Les prix des légumes ont augmenté depuis environ une semaine, créant un climat de panique, devenu malheureusement habituel, à l’approche du Ramadan de chaque année, allant à l’encontre des assurances qui ont été données par le ministère du Commerce et celui de l’Agriculture. Même les grossistes ont été étonnés par cette hausse des prix des légumes, que l’on a stocké, il y a quelques jours, suite à leur abondance et leur prix pas trop élevés suite à la baisse de la demande.
A noter que le prix de l’ognon n’a pas augmenté, allant de 7 à 10 Da. Pour ce qui est du prix des haricots verts, il est estimé à 60 da dans les marchés de gros, et à 90da dans les marchés de détail. Toutefois, certains prix restent inconcevable, à l’instar du poivron, qui a augmenté depuis une semaine, atteignant 30 da dans les marchés de gros et plus de 50 da dans les marchés de détail.

[ source ]
El Khabar, Ă©dition du 26 AOUT 2008

Algérie -Crédits à la consommation, mais gare au surendettement

# Administrateur | 25/08/2008 | Info

Crédits à la consommation en Algérie

Des facilitations mais gare au surendettement

credits a la consommationA la faveur du lancement, il y a quelques années, des crédits à la consommation, de plus en plus d’Algériens contractent des dettes auprès des banques et arrivent difficilement à les rembourser.

Le surendettement des ménages ne leur donne plus les moyens de faire face à leurs dépenses au quotidien. Cette situation risque de leur nuire davantage surtout à l’approche de deux événements importants dans la vie des Algériens, le Ramadhan et la rentrée scolaire qui se succèderont encore une fois cette année.

De plus en plus de ménages algériens, et parce que nombreux sont ceux qui n’ont pas les moyens nécessaires, se rabattent sur les banques pour financer leurs différents projets, entre autres, l’achat d’un véhicule, d’appareils électroménagers ou encore d’un logement.

Beaucoup de ces institutions bancaires, surtout étrangères, financent ce genre de crédits, à l’exemple de la Housing Bank et de Cetelem, filiale de la banque BNP Paribas. Cette dernière intervient aujourd’hui sur trois activités principales. Il s’agit du crédit à l’automobile, du financement des biens d’équipement des ménages et, depuis janvier 2008, a été introduit le prêt personnel qui représente un peu moins de 10% de la production globale mensuelle, pour un montant moyen de crédit de 250 000 DA.

Etude personnalisée du client pour tout crédit
Lors des octrois des crédits, la banque procède à une étude personnalisée du client, basée sur la vérification de sa solvabilité en intégrant aussi bien ses charges que ses revenus afin de lui assurer l’équilibre de son budget. Cetelem affirme «dire non aux clients» lorsque l’opération de crédit n’est pas raisonnable ou risque de nuire à l’intérêt du demandeur. Le taux de refus enregistré à ce jour au niveau de cette banque est estimé à environ 40% des demandes effectuées.
Sur les problèmes rencontrés par la banque, notamment en ce qui concerne les difficultés des clients à rembourser le crédit, la responsable Action commerciale et marketing de cette banque a déclaré que Cetelem «est très attentive lors de l’étude des dossiers de crédit à maintenir l’équilibre du budget de ses clients». Malgré tout, ajoute-t-elle, «des incidents peuvent survenir et, suivant les cas et les situations, Cetelem privilégie la solution amiable avant d’entamer des procédures juridiques». Il faut savoir que le niveau d’impayés enregistré à ce jour reste raisonnable. Le taux de pertes prévues par l’entreprise est de 2% mais, dans l’immense majorité des cas, tout se passe bien.

Les taux d’impayés dans les normes
De son côté, la Housing Bank estime que le taux d’impayés enregistré se situe dans les normes admises en Algérie et dans les pays en voie de développement.
Depuis avril 2008, «les banques déclarent les crédits octroyés à une structure appelée la centrale des risques, au niveau de la Banque d’Algérie», nous explique la responsable du marketing au niveau de cette institution. Ce qui constitue, selon elle, «une première étape dans la création de la centrale des ménages visant justement à éviter le surendettement des ménages». Notre interlocutrice ajoute aussi que «la banque prépare actuellement le lancement de nouveaux produits». Il s’agit des produits d’épargne et des produits électroniques. Il faut rappeler que la Housing Bank a lancé, dès le démarrage de ses activités, des crédits à la consommation en vue de répondre aux besoins d’un segment important de sa clientèle, à savoir celui des particuliers. Au départ, «nous avons commercialisé les crédits immobiliers, les crédits véhicules et les crédits à la consommation ainsi que les avances sur salaires. Par la suite, nous avons élargi notre gamme aux crédits voyages, mariages et formation», souligne notre interlocutrice. Tous ces produits sont actuellement disponibles au niveau des agences de la Housing Bank. Selon la responsable du marketing, «le bilan est positif et le portefeuille des crédits aux particuliers est en constante évolution notamment avec la mise en place des conventions de financement des besoins des salariés des sociétés». Pour ce qui est des conditions d’octroi des crédits, elles sont liées essentiellement aux revenus du postulant. Ce dernier doit disposer de revenus lui permettant de régler sa mensualité tout en assurant la couverture des charges familiales. Il est donc exigé du postulant, pour l’étude d’un dossier de crédit, de disposer d’un salaire régulier et d’un poste de travail permanent.

Les spécialistes dans le domaine des finances ont mis en garde les Algériens contre tout abus dans la demande de crédits alloués à la consommation. Ils expliquent que ces crédits peuvent menacer l’équilibre des revenus des familles en Algérie. Même si le taux paraît faible par rapport aux autres crédits, ils représentent toutefois un risque vu leur croissance et leur diversité.

210 milliards de dinars de crédits en 2007 aux familles
Globalement, le volume des crédits accordés l’année dernière par les banques activant en Algérie a dépassé 2 100 milliards de dinars. 90% de ces crédits, soit l’équivalent de plus de 1 890 milliards de dinars, ont été accordés aux entreprises, alors que les 10% qui restent, soit l’équivalent de 210 milliards de dinars, ont été accordés aux familles et aux personnes. Deux tiers des crédits accordés aux particuliers sont des crédits immobiliers remboursés sur une échéance de 10 à 30 ans.

Il faut retenir qu’une centrale des risques sera mise en place à la fin de l’année 2008 ou au début de 2009. Son rôle consiste en la gestion des crédits à la consommation accordés par les banques publiques.

Son intervention sera nécessaire en cas de défaillance budgétaire enregistrée dans les portefeuilles chargés de ce genre de crédits, notamment les crédits automobiles, pour l’électroménager et même l’immobilier.

Les Algériens, au rythme des dettes qu’ils contractent auprès des banques pour financer leurs projets, soit l’achat d’une voiture ou encore d’un logement, voire des appareils électroménagers pour équiper leur maison, risquent d’être surendettés, surtout ceux qui contractent plusieurs crédits à la fois.

Beaucoup disent qu’ils ne savent plus à quel saint se vouer ni encore comment passer le mois de Ramadhan, et encore moins préparer la rentrée scolaire de leurs enfants qui exige souvent des dépenses supplémentaires.

Certains, à force de dettes auprès des banques, ne gardent qu’une infime partie de leurs salaires.
Ne dit-on pas qu’il faut toujours avoir la tête sur les épaules et vivre selon ses capacités.

Assurances-crédits : 200 millions DA de chiffre d’affaires au premier trimestre 2008

Une croissance de 42% sur le nouveau produit assurance-crédit à la consommation a été enregistrée au premier trimestre 2008 avec environ 200 millions de dinars de chiffre d’affaires réalisé sur cette période, a récemment indiqué le Conseil national des assurances (CNA).

Ce dernier, qui a rendu publique cette information, fait savoir que « l’évolution du chiffre d’affaires de cette nouvelle branche d’assurance est liée à celle du crédit à la consommation (immobilier, véhicules, etc.) qui connaît un engouement de plus en plus important de la part des ménages ».
Le CNA fait remarquer que les compagnies d’assurance évoluant dans cette branche ont relevé « une forte augmentation de leurs chiffres d’affaires, notamment dans le crédit à l’immobilier où plusieurs conventions de partenariat ont été signées avec les banques ».

Il faut rappeler que l’assurance-crédit occupait durant les trois premiers mois de l’année 2008 un taux de 0,81% de la production globale du secteur des assurances contre 0,76% au 1er trimestre 2007.

Cette tendance haussière du crédit à la consommation risque de fléchir les mois prochains, prédisent les spécialistes et ce, en raison de la nouvelle taxe imposée pour l’achat d’un véhicule neuf qui va faire reculer les ventes. Une autre raison qu’avancent les spécialistes est aussi le recul de la demande des ménages des crédits immobiliers à cause des retards accusés par les entrepreneurs pour l’achèvement des chantiers, notamment pour ce qui est de la formule LSP.

[ source ]
Par Badiaa Amarni
Photo : S. ZoheĂŻr
La Tribune, Ă©dition du 25 AOUT 2008

Algérie - Marché des fournitures scolaires

# Administrateur | 25/08/2008 | Info

Marché des fournitures scolaires

L’informel bat son plein

Fournitures scolairesLe marché informel continue de gangrener plusieurs secteurs devant l’incapacité des pouvoirs publics à y faire face. En cette fin d’été et à l’approche de la rentrée scolaire, l’occasion est donnée aux adeptes du commerce informel de refaire surface et d’essayer d’en tirer profit au maximum.

Crayons, stylos, trousses, cahiers, protège-cahiers, pâte à modeler et autres articles d’origine chinoise font la joie des jeunes vendeurs de circonstance qui ne ratent pas l’occasion d’investir dans l’informel pour un mois. L’activité se concentre dans certains quartiers érigés en «zones de fournisseurs». Et ce, en l’absence du contrôle de l’Etat. Une absence de plus en plus remarquée puisqu’elle touche d’autres activités commerciales notamment à l’approche du mois de Ramadhan. Concernant les fournitures scolaires, il faut dire que le développement de l’informel n’arrange guère les libraires, les papetiers attitrés…
En somme, les spécialistes dans ce créneau ne cessent de se plaindre. «Nous n’arrivons pas à travailleur. Nous sommes envahis par l’informel», confie une libraire installée à Alger-centre dont les locaux sont presque déserts à quelques jours de la rentrée. Et, pourtant, elle s’est bien préparée. «Je me suis approvisionnée en produits de qualité, mais vous voyez, les clients n’arrivent pas encore.

Il faut attendre la rentrée pour voir», ajoutera-t-elle avec une note d’espoir. Car, expliquera-t-elle, «il y a des parents qui ne jouent pas avec la qualité même s’ils déboursent plus». Techno, un grand magasin d’articles scolaires situé en pleine rue Larbi Ben M’hidi, ne désemplit pas.
Il enregistre une affluence régulière en cette fin août. Mais les prix affichés ne font qu’éloigner les clients qui n’ont d’autre choix que de se rabattre sur les produits chinois. «Certes, les produits sont de qualité. Mais c’est trop cher. Un trousseau complet peut aller jusqu’à 5 000 dinars. Ce qui n’est pas possible», raconte un père de famille. Cela dit, il est utile de noter que certaines familles se permettent le luxe d’offrir à leurs enfants ce genre de produits. Mais, dans la majorité des cas, ceux qui se retrouvent dans l’obligation de faire face aux fournitures de trois enfants scolarisés et parfois plus n’ont pas d’autre choix. Ils optent pour les prix relativement bas proposés par les commerçants informels dont l’existence remonte à quelques années. Nous assistons, en effet, de plus en plus à l’importation en masse des fournitures scolaires de Chine. Ces articles «Made in China» envahissent le marché au détriment de la production nationale connue pour sa qualité.

Certes, les parents ont le choix à quelques jours de la rentrée mais la qualité n’y est pas. Il faut la payer cher. Or, ce n’est pas possible pour les bourses avec l’accumulation des dépenses. Entre le mois de Ramadhan, l’achat des vêtements pour l’Aïd, qui interviendra quinze jours après la rentrée scolaire, la tâche s’annonce des plus dures pour les parents. Lesquels finiront par opter pour les produits moins tendance, de moindre qualité mais meilleur marché. Ils savent que ce sont des produits de piètre qualité. Ils se rabattent sur les produits chinois, pratiquement sans concurrence en matière de prix sur le marché de la fourniture scolaire en Algérie comme c’est le cas d’ailleurs dans d’autres pays.

Les produits algériens sont presque en voie de disparition étant complètement «voilés» par la marchandise chinoise, pourtant nuisible. Car, faut-il le noter, les articles sont dans la majorité des cas fabriqués avec des matières premières nocives. Le comble, ils ne durent même pas un trimestre.

Les parents sont dans l’obligation de renouveler le trousseau scolaire plusieurs fois durant l’année. Même le cartable n’y échappe pas. En fin de compte, ce qu’ils gagnent à la rentrée lors de l’achat des fournitures, ils le perdent au cours de l’année.

[ source ]
Par Samira Imadalou
La Tribune, Ă©dition du 25 AOUT 2008

Algérie - Fini les habitations inachevées

# Administrateur | 25/08/2008 | Info

LA LOI EST ENTRÉE EN VIGUEUR DEPUIS CETTE SEMAINE
Fini les habitations inachevées

Il s’agit maintenant de voir si le département de l’habitat suivra l’application de cette loi qu’il a lui-même défendue bec et ongles.


habitations inacheveesLes autorités semblent décidées à mettre fin à l’anarchie frappante constatée dans le secteur de l’habitat et de l’urbanisme. La loi régissant ce domaine, publiée dans le Journal Officiel en date du 3 août dernier, est entrée en vigueur le samedi 23 du même mois.

Au terme de cette loi, il est exigé à tout propriétaire d’une habitation de procéder à l’achèvement de la construction et de respecter « l’harmonie des formes et la qualité des façades d’une construction y compris celle des espaces extérieurs ». L’article 2 de cette loi, interdit « la création d’un lotissement ou d’un groupe d’habitations sans l’obtention préalable d’un permis de lotir délivré conformément à la législation et à la réglementation en vigueur ».

Le même article interdit « l’édification de toute construction dans un lotissement non autorisé ». L’article 4, « interdit l’édification de toute construction dans tout lotissement créé en conformité aux prescriptions des instruments d’urbanisme, si les travaux de viabilité et d’aménagement prévus dans le permis de lotir ne sont pas achevés ».

Il convient de souligner que les mesures de mise en conformité des constructions en vue de leur achèvement, prennent fin dans le délai de cinq ans, soit en 2013. Il s’agit maintenant de voir si le département de l’habitat suivra l’application de cette loi qu’il a lui même défendue bec et ongles. Théoriquement, les pouvoirs publics comptent veiller à l’application de ces nouvelles mesures. Selon l’article 27 de cette loi, «sur la base des informations fournies par le déclarant, les agents de l’Etat et communaux chargés de l’urbanisme, sont tenus d’effectuer une visite sur les lieux et de constater l’état de non-conformité des constructions». Il faut dire qu’une anarchie sans précédent est constatée ces dernières années à travers les villes du pays. La tragédie nationale qu’a vécue l’Algérie a été pour beaucoup dans l’exacerbation du phénomène des constructions anarchiques. Rien que dans la daïra de Dar El Beïda, à Alger, sur les 20 lotissements édifiés, 15 sont construits illégalement. Pis encore, ils ne répondent à aucune règle urbanistique.

Les façades de ces bâtisses dont la majorité est inachevée, ont un air maussade. Que prévoient les pouvoirs publics contre ce genre de pratique, d’autant que d’aucuns estiment qu’il est trop tard pour procéder à leur démolition? La réponse semble inconnue même pour les autorités. Par ailleurs, s’agissant des propriétaires ne respectant pas la présente loi, des sanctions rigoureuses sont prévues à leur encontre. Selon l’article 74 de cette loi, « est puni d’emprisonnement de six (6) mois à deux (2) ans et d’une amende de cent (100.000) dinars à un million (1.000.000) de dinars quiconque crée un lotissement ou un groupe d’habitations sans permis de lotir ».

En cas de récidive, la peine est portée au double. D’autres sanctions, plus lourdes, sont prévues à l’encontre de quiconque procède à la vente d’un lot d’un lotissement ou le groupe d’habitations, si le lotissement ou le groupe d’habitations n’a pas été autorisé ou dont les travaux de viabilité n’ont pas été encore provisoirement réceptionnés. Une peine de six (6) mois à un (1) ans de prison et une amende de cent mille (100.000) dinars à un (1) million (1.000.000) de dinars ou l’une des deux peines, est prévue à l’encontre des concernés.

En cas de récidive, il peut être prononcé une peine d’emprisonnement de un (1) à cinq (5) ans et l’amende portée au double. Maintenant que la loi devant régir le secteur de l’habitat est là, il ne reste qu’à l’appliquer. Et c’est là où le bât blesse. Car en Algérie, depuis toujours, l’on met en place des lois, mais on n’a jamais veillé à les faire respecter.

[ source ]
Par Hakim KATEB
L'Expression, Ă©dition du 25 AOUT 2008

Algérie - Du bonheur, de la joie et de la lecture pour les enfants

# Administrateur | 25/08/2008 | Info

1er Festival culturel international de la littérature et du livre de jeunesse

Du bonheur, de la joie et de la lecture pour les enfants


1er Festival culturelDe loin, un énorme jeu de lumière donnant éclat et luminosité à la stèle de Maqam Echahid attire les gens. Quand on s’approche peu à peu de la stèle, et un peu plus bas, d’autres petites lumières illuminent nombre de tentes et de chapiteaux dressés sur l’esplanade de Riad El Feth à Alger. C’est le décor de la première édition du Festival international de la littérature et du livre jeunesse. En plus des lumières qui annoncent les festivités de ce rendez-vous culturel, il suffit de suivre les cris et les rires des enfants pour arriver au bon endroit.
Car la manifestation qui se tient du 21 au 29 août, consacre un volet animation pour enfants, considérable et important.

Les tentes abritent des ateliers de peinture, de lecture et de créativité, faisant appel à toute forme d’intelligence et de talent de l’enfant. Ce dernier est libre de ses choix, libre de rester, de changer d’atelier, de les associer, ou d’aller voir ce qui se passe dans les environs, papillonner un peu partout, comme il peut rester juste comme spectateur. Les enfants ne voient pas le temps passer grâce à des activités originales, qui les distrairont tout en les amusant. De leur côté, les parents sont contents de voir leur progéniture occupée à des tâches intéressantes et qui les passionnent, et courant dans tous les sens. «Ces animations créent une incroyable dynamique pour les enfants. Je vois les miens, ils n’arrêtent pas de passer d’un atelier à un autre, d’un livre à un autre, ils veulent tout faire et tout découvrir, ils ne veulent pas rentrer à la maison. Nous sommes là depuis 16 h, et il est 20h45, ils n’ont même pas eu le temps de manger», dit un père de trois enfants, content de voir ses angelots heureux. Quant aux enfants, pas la peine d’essayer de les approcher, ils sont tellement plongés dans leurs petites tâches qu’ils n’ont pas le temps de parler, en train de jouer et de prendre des photos avec les clowns. Pour certains, c’est pour la première fois qu’ils voient ce personnage comique, avec un grand nez rouge, et un maquillage de toutes les couleurs.

Les autres tentes, font office de stands où plusieurs livres et ouvrages sont exposés.
Des éditeurs algériens et étrangers sont au rendez-vous de la manifestation littéraire dont Casbah éditions, la Bibliothèque verte, les éditions Hachette, Edif 2000, Dalimen, Chihab édition, les libanais Dar El Ilm Lilmalayin, Dar Aouidat,… Les stands ne se vident pas des rires et des cris des petits qui font la joie des grands, ils regardent de près les livres et les feuillettent tranquillement. «J’aime bien la lecture, et je trouve que ces livres sont intéressants et très jolis», dit Omar, un enfant de 8 ans, rencontré dans un stand. Le chérubin croisé à l’espace réservé pour la Bibliothèque verte raconte comme un «petit homme» les moments qu’il a passés sur l’esplanade de Riad El Feth. «D’abord, j’ai fait un dessin, et il est beau, ensuite j’ai pris des photos avec les clowns, c’est la première fois que je les vois, j’ai couru avec mes deux sœurs, et je suis le plus rapide, bien sûr. Juste après, j’ai mangé avec mes parents et mes sœurs. Maintenant, je vais voir ce que je vais acheter comme livres. D’ailleurs, je dois faire vite, parce que la pièce théâtrale va commencer dans un moment. Heureusement que j’ai laissé ma sœur pour me garder la place.» En effet, quand nous avons accompagné le petit Omar, il n’y avait aucune place vide sur les gradins. Les comédiens se mettaient en place. On laisse Omar et ses sœurs s’installer au milieu des autres enfants pour profiter de ces moments de joie et de bonheur.

[ source ]
Par Tassadit Lazili
Photo : S. ZoheĂŻr
La Tribune, Ă©dition du 25 AOUT 2008

Algérie - Ne vous affolez pas pour une légère hausse

# Administrateur | 25/08/2008 | Info

LES DISTRIBUTEURS DES MARCHÉS DE GROS RASSURENT
« Ne vous affolez pas pour une légère hausse »

Les prix connaîtront la hausse habituelle à pareille époque, mais se stabiliseront dès la 1re semaine de jeûne


Ne pas surtout s’affoler outre mesure. Tel se veut le message rassurant prôné hier par Mohamed Medjber, mandataire de son état et président des distributeurs au marché de gros des Eucalyptus (Alger).

Les produits maraîchers, a-t-il dit à l’adresse des journalistes venus nombreux à cette conférence de presse, connaîtront certes une «légère hausse» au début du mois sacré de Ramadhan, mais, souligne-t-il, ce mouvement ne sera que conjoncturel. Il reflètera d’abord une situation naturelle, de fin de saison et une «très forte augmentation» de la demande en cette période comme relevé chaque année à l’approche du mois de jeûne. Les prix se stabiliseront d’eux mêmes à peine une semaine plus tard lorsque la frénésie des jeûneurs-consommateurs se calmera.

Pour justifier ses dires et démentir par là une rumeur grondante sur une éventuelle hausse des prix exagérée dans les marchés, il citera les prix de gros de certaines denrées de la saison, enregistrés hier matin (dimanche) au marché des Eucalyptus.

A savoir la courgette, reine des légumes pendant le Ramadhan dans la préparation du F’tour et notamment de la fameuse Chorba ou la H’rira, selon les régions. Elle était cédée à 35 DA le kilogramme en gros, la tomate 15 à 20 DA/kg, les haricots verts 45 DA et l’oignon était échangé contre 10 DA le kilo. Exhibant une facture établie le 5 août courant, il dira que la tomate avait été alors vendue en gros à 6/DA le kilo. La différence de prix est de taille entre ce prix de gros et celui appliqué sur les étals de marché où elle avait atteint 15/18 DA/kg. Il a regretté que les plans de culture respectés jadis, ne le sont plus de nos jours.
Les transports
Le légume arrivé à maturité était cueilli alors en trois phases. La première cueillette était consacrée à la consommation immédiate, la seconde destinée au stockage et la troisième réservée à l’exportation des primeurs. Cette pratique permettait de réguler le marché et dérouter les manoeuvres spéculatives. Sa réponse à la question relative aux prix exorbitants de la salade verte, a été des plus claires. C’est une plante qui ne peut survivre sous 45° de chaleur. On ne peut se permettre d’arroser longtemps un légume de cette catégorie qui est composé de 90% d’eau environ.

Les Hauts Plateaux, où la production de légumes et fruits est disponible, seront d’un secours appréciable pour les marchés du littoral. Pour la sempiternelle question de la pomme de terre, le légume du «pôvre», Medjber expliquera que cette année le produit est disponible. Elle a été mise au «frigo» pour être «distribuée au fur et à mesure des besoins et éviter ainsi une importation importante en devises fortes». Il précisera? en outre, que seuls la pomme de terre, dont la prochaine récolte ne se fera pas avant fin novembre prochain, et l’oignon peuvent être conservés dans des chambres froides. Certains fruits, comme la poire ou la pomme, peuvent l’être également. De son côté, Benabid Abdelali, président de la commission préparatoire du 4e congrès de l’Ugcaa (Union générale des commerçants et artisans algériens), présent à la conférence de presse, s’est étalé sur cette rencontre nationale qui va se tenir à Tipaza les 26, 27 et 28 janvier 2009 à l’occasion de la Journée nationale du commerçant algérien.

Quatre congrès régionaux précéderont cette date. Ils auront lieu, le 06 octobre prochain à Oran pour l’ouest du pays, à Annaba pour l’est le 13 du même mois, à Adrar (Sud) le 20 et à Alger le 27 pour le Centre. Les recommandations sur les travaux de ces régions seront présentées à la commission nationale du congrès.

Six points principaux seront examinés lors de ce congrès. Il s’agit de la promotion de l’activité commerciale, sa promotion, l’impact de la loi de finances, notamment en ce qui concerne le volet des impôts, les relations entre l’Ugcaa et la Casnos, et avec le Cnes ainsi que le rôle des Chambres de commerce et l’artisanat local.
La préparation de la réunion de l’Union arabe des syndicats de commerçants, figure parmi les sujets qui seront examinés. A ce propos, des contacts fructueux ont d’ores et déjà été établis avec quatre pays: la Tunisie, le Liban, l’Egypte et le Bahreïn.

[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, Ă©dition du 25 AOUT 2008

Algérie - Le Ramadhan fixé au 1er septembre

# Administrateur | 24/08/2008 | Info

L’ASSOCIATION SIRIUS D’ASTRONOMIE AFFIRME
Le Ramadhan fixé au 1er septembre

Le télescope Hubble pourrait prédire le début de Ramadhan de 2060, mais le ministère des Affaires religieuses préfère s’en tenir à l’observation à l’oeil nu, comme le recommande le Coran.


Ce n’est pas une prédiction, c’est une affirmation. Ramadhan 2008 débute lundi 1er septembre. L’association Sirius d’astronomie de Constantine tient, à travers un communiqué, à informer le public sur les données astronomiques relatives à la nouvelle Lune du mois de Ramadhan 1429 qui détermine le début du mois de jeûne.
Selon l’association, la conjonction (l’instant où la Lune s’intercale entre la Terre et le Soleil) du mois lunaire correspondant au début du Ramadhan 1429, aura lieu le samedi 30 août 2008 à 20h58, heure d’Algérie. Astronomiquement, il est impossible d’observer le croissant lunaire, ce jour là, à l’heure du coucher du soleil. En effet, la lune apparaîtra avant le coucher du soleil et sera en dessous de l’horizon à ce moment-là. Elle apparaîtra 17’ avant le soleil à La Mecque, 15’ en Algérie du Nord, et 13’ à Marrakech. L’association Sirius affirme que toute prétention d’avoir vu le croissant le samedi soir, ne peut-être que rejetée et considérée comme erronée. La lune apparaissant avant le soleil, le 1er Ramadhan ne peut être que le 1er septembre.

Il découle de l’impossibilité de l’observation du croissant lunaire le samedi à partir de toutes les wilayas d’Algérie ainsi que du Monde islamique, que le 1er du Ramadhan ne pourra donc pas être dimanche 31 août.

Un avis partagé par le Dr Loth Bounatiro qui a déclaré à L’Expression que «le mois sacré de cette année ne peut être que lundi 1er septembre et que la conjonction, cette année, va permettre à 1,2 milliard de musulmans d’entamer le jeune le même jour». Notre tentative de contacter au téléphone le ministère des Affaires religieuses et des Waqfs, qui est, selon la tradition, seul habilité à émettre une fatwa sur la date effective du début du mois sacré, a été vaine. En se déplaçant sur les lieux, l’institution semble déserte. «Tout le monde est en congé» nous dira l’agent de sécurité. Sur notre insistance, il nous conduit vers le directeur de l’orientation religieuse. Le responsable semble très convaincu des arguments scientifiques à propos de la conjonction mais, «nous nous tiendrons à l’observation à l’oeil nu du croissant lunaire pour déterminer le début et la fin du mois sacré», a-t-il souligné. Depuis longtemps, la date du Ramadhan en Algérie a toujours été sujette à polémique.

Les données scientifiques, surtout cette année, confirment précisément que le Ramadhan devrait être le 1er septembre. Cependant, les autorités officielles privilégient les méthodes traditionnelles. Certaines pratiques ont la peau dure.

[ source ]
Par Abbas AĂŹT HAMLAT
L'Expression, Ă©dition du 24 AOUT 2008

France - Du nouveau pour les visas de court séjour

# Administrateur | 24/08/2008 | Info

CONSULAT GÉNÉRAL DE FRANCE À ALGER
Du nouveau pour les visas de court séjour


Afin de réduire les délais de traitement des demandes de visas de court séjour, le Consulat général de France à Alger informe qu’à compter du dimanche 31 août 2008, le dépôt des demandes de visas de court séjour se fera directement dans les locaux du Consulat général, uniquement sur rendez-vous, obtenu en appelant le numéro abrégé 1573, accessible de 08h00 à 19h00 du samedi au jeudi.

Les rendez-vous peuvent être demandés dès à présent. Les demandes de visas parvenues par la Poste après le jeudi 28 août 2008 ne pourront plus être étudiées et seront retournées à leur expéditeur. Les dossiers devront impérativement comprendre les pièces indiquées sur le site Internet du Consulat général(www.consulfrance-alaer.org), rubrique «visas» et être accompagnés d’un bordereau d’expédition rapide obtenu auprès des entreprises Chronopost ou Fedex pour permettre le retour du passeport.

[ source ]
Par R.N
L'Expression, Ă©dition du 24 AOUT 2008

Algérie - Campagne Nationale de Prévention routière

# Administrateur | 24/08/2008 | Info

CAMPAGNE NATIONALE DE PRÉVENTION ROUTIĂRE
Des photos choc pour convaincre
Prevention routiere
La campagne nationale de prévention routière se poursuivra jusqu’au 15 septembre prochain.


La campagne nationale de prévention routière a fait escale, ce week-end, dans la ville côtière de Aïn Taya. oeuvre dumouvement associatif national, de la Sûreté nationale et de la Direction des transports, cette campagne a pour slogan «Le dépassement dangereux, un dépassement contre la vie». Selon Flora Bouberghout, présidente de l’association El Baraka, qui participe activement aux différentes campagnes de prévention routière, la ville de Aïn Taya a accueilli cette action de sensibilisation, en raison de sa situation géographique qui fait d’elle un axe de transit obligé pour des milliers d’estivants. Mme Bouberghout rappelle que le coup d’envoi de la présente campagne a été donné le 5 août dernier, à proximité du tunnel de Oued Ouchaieh, à Alger, notamment par El Baraka et le C-RA (Croissant-Rouge algérien) et relève également que plusieurs handicapés adhérant à son association participent encore à cette entreprise.

De son côté, Hammadi Omar, de la Direction des transports, note que la même campagne est allée auparavant à la rencontre des automobilistes, notamment au relais Sidi Fredj-La Bridja, à l’ouest de la capitale, un point de passage particulièrement prisé par les vacanciers.

Notre interlocuteur qui évoque la distribution d’affiches et d’autocollants pour les usagers de la route, relève la période très meurtrière allant du 8 au 15 août derniers; il annonce alors plus de 115 morts et près de 1445 blessés pour 702 accidents. Soit une moyenne journalière de 19 morts, 206 blessés et 102 accidents. Signalons que l’actuelle campagne de prévention routière vient d’avoir lieu sur la paisible placette de Aïn Taya, où un karting pour enfants a été aménagé. Sur ce dernier, les petits, accompagnés de leurs parents, ont eu la possibilité d’effectuer un circuit où leur ont été enseignées les bases du Code de la route et les règles élémentaires de prévention routière. Ces derniers ont bénéficié, à la fin de leur passage, d’un «permis de conduire provisoire». Alors que sur les abords de la chaussée principale de la cité ont été exposés aux passants et aux visiteurs des panneaux flanqués de photos choc. En effet, des images prises sur le vif par la Sûreté nationale et la Direction des transports montrent crûment les drames occasionnés par l’imprudence des automobilistes.

Le but de pareille méthode, précise-t-on, est de sensibiliser durablement les citoyens sur les conséquence de certaines conduites irresponsables, comme la conduite sous l’effet de la drogue et de l’alcool.

Les dépassements dangereux sont à l’origine de 8 à 9% des accidents de la circulation routière en Algérie, selon les statistiques officielles.
D’où l’actuelle campagne de sensibilisation ayant pour thème «Le dépassement dangereux, un dépassement contre la vie». 91% des accidents de la route en Algérie sont dus au facteur humain, et parmi ces facteurs «il y a l’excès de vitesse» signale-t-on. L’excès de vitesse, lié au dépassement dangereux notamment en zone rurale où l’on enregistre le taux le plus élevé d’accidents avec 54,66%, est, dans tous les cas, la cause principale des accidents de la route en Algérie. Bien que cette action soit menée au niveau local et national avec le concours de plusieurs ministères et institutions, cela reste «insuffisant», estiment enfin les observateurs.

[ source ]
Par Salim BENALIA
L'Expression, Ă©dition du 24 AOUT 2008

Algérie - fruits et légumes de plus en plus chers

# Administrateur | 24/08/2008 | Info

Les fruits et légumes de plus en plus chers

Les couffins allégés par les augmentations des prix

couffins allegesLe mois de Ramadhan approche. Le repère infaillible pour annoncer l’imminence de ce mois sacré, en attendant de voir le croissant, c’est la mercuriale. Chaque année, le même scénario se répète. A quelques semaines du premier jour du Ramadhan, les prix des produits alimentaires sont revus à la hausse. Particulièrement ceux des légumes et des viandes : produits phares dans les plats ramadhanesques. Malgré les mises en garde récurrentes du ministère du Commerce et de ses directions, les choses ne s’arrangent pas. Les prix augmentent et la danse du couffin se déclenche (forcément, il se sent plus léger). Aux consommateurs de trouver l’équilibre instable entre le pouvoir d’achat et les exigences caloriques multipliées au quintuple par un état psychique obnubilé par la nourriture. Le marché de Badjerrah est réputé pour être le lieu où les fruits et légumes sont à la portée des petites bourses. Un marché populaire et populeux. A une semaine de l’apparition du croissant annonçant le nouveau mois lunaire, les produits agricoles se font désirer sous le regard tantôt doux d’envie, tantôt sévère de colère ou carrément baissé de dépit, des chalands qui, d’ores et déjà, ont l’estomac qui gargouille. Les prix affichés sont certes moins élevés qu’ailleurs, néanmoins, il y eu augmentation. La pomme de terre, star des étals, est proposée entre 22 et 25 DA le kilogramme. La tomate atteint les 25 DA. La courgette, presque boudée toute l’année, se fait désirer avec ses 35 DA le kg. La carotte, l’aubergine et le poivron vert sont à 25 DA. Et pour les amoureux des plats relevés, le piment est aussi à 25 DA. Remarque : 25 DA semble être le tarif de référence !?

Notons que, si les prix affichés sont inférieurs à ceux appliqués ailleurs dans l’Algérois, la qualité de la marchandise laisse à désirer. Les légumes ne paraissent pas de «toute fraîcheur». On a carrément l’impression qu’ils ont souffert pour arriver sur les lieux. Les tomates et les aubergines sont desséchées. Mais les gens achètent. «Que voulez-vous qu’on fasse ? Dans une ratatouille, cela ne se verra pas», plaisante un quadragénaire aussi léger que son couffin. «Je profite des prix actuels, car je suis persuadée que ces tarifs seront revus à la hausse», se désole une grand-mère, chétive, remplissant à ras bord son sac à roulettes. Mais à quoi est due, encore une fois, cette augmentation des prix ? Il y a deux mois, l’Office national des statistiques (ONS) avait affiché un indice général des prix à la consommation «en recul de 2,2% sur la période mai/juin 2008». Cette régression a été expliquée principalement par la baisse des prix des produits alimentaires et particulièrement agricoles.

Les légumes frais avaient enregistré une baisse de 25%, la pomme de terre de 5,6% pour la même période. Qu’est-ce qui s’est passé depuis ? D’après un commerçant, l’augmentation des prix a d’abord été constatée au niveau des marchés de gros. «La courgette, qui était à 20 DA le kg, se vend à 50 DA. La tomate est passée de 8 à 10 puis à 20 DA.
En revanche, la pomme de terre n’a pas connu, elle, une augmentation de prix remarquable» témoigne-t-il. Selon lui, cet accroissement des prix n’est pas seulement du à l’avènement du mois de Ramadhan.

« On est entre deux saisons. Les récoltes de l’été commencent à tarir. Et celles de la nouvelle saison ne sont pas encore disponibles. En ce qui concerne la salade, les surfaces cultivées ne sont pas suffisantes. C’est pour cela que le prix avoisine les 90 DA le kg », tente d’expliquer le jeune commerçant de légumes qui s’est rendu le matin même dans les marchés de gros de la région d’Alger.

Notons que la viande blanche n’est pas en reste dans ce phénomène d’augmentation des prix. Le poulet a atteint 200 contre 170 DA le kg il y a quelques semaines. La viande ovine coûte, selon le morceau choisi, 620 DA le kg et la bovine avoisine les 550 DA. L’économie de marché libère la concurrence et les prix, mais des mécanismes économiques existent pour mettre un frein à la tendance inflationniste. Si le commerce est surtout régi par la loi de l’offre et de la demande, n’importe qui ne peut et ne doit pas faire n’importe quoi, pour autant.

L’Etat régulateur doit se manifester et encadrer cette anarchie. Faire appel au bon cœur des commerçants, des spéculateurs et autres boursicoteurs n’a jamais rien apporté et le citoyen continue à payer le prix fort.

[ source ]
Par Samir Azzoug
Photo : S. Zoheir
La Tribune, Ă©dition du 24 AOUT 2008

Alger - Le mois « sucré » de Ramadhan

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

> ALGER INFO

Le mois « sucré » de Ramadhan

Les mêmes questions reviennent à l’approche de chaque mois de Ramadhan qui tient déjà en haleine les ménages. Elles sont devenues encore plus pressentes, au double sens, ces dernières années où les événements se chevauchent.


Rentrée sociale et mois hégirien de Ramadhan arrivent presque à la même période, avec toutes les gymnastiques « dépensières » auxquelles sont forcées les familles. Pourtant, aucun ne peut se permettre de renoncer à ces moments qui « font les bons musulmans que nous sommes », rétorqueront les Algérois. Sauf que le côté sacré de ce mois n’est plus dans les discussions des Algérois. Le mois « sucré » oblige toujours à payer des factures salées. Des mesures sont-elles prises par les pouvoirs publics pour en amoindrir les effets ? La loi du marché prime et le ministère du Commerce laisse faire, en abandonnant ce rôle de régulation qui devrait être le sien. Des circulaires sont émises par le ministère du Commerce, toujours prompt à prendre des mesures à l’occasion de chaque événement pour « marquer le coup ». Celle de ces derniers jours oblige les commerçants à « modifier au préalable leur registre de commerce » pour tout changement de commerce.

En ligne de mire, les vendeurs de zlabia. Pourtant, presque une même circulaire fut établie l’année dernière à la même période, portant obligation aux commerçants d’avoir l’autorisation préalable des pouvoirs publics avant chaque décision de changer de « commerce ». A-t-elle été respectée ? « Lorsque l’on voit cette profusion de commerces ouverts et le choix qui s’offre aux clients des gargotes et autres cafés, on ne peut qu’en douter », s’écrie-t-on. L’effectivité des lois pose problème dans les zones de non-droit que sont devenus les marchés de gros de la périphérie et même du centre-ville. On se rappelle la frénésie ayant précédé l’Aïd El Kébir où des individus se sont improvisés maquignons dans les grandes rues de la capitale. Des vendeurs de baguettes de pain se transforment en vendeurs de zlabia, cette succulente confiserie que n’apprécient les Algérois que durant ce mois « trop gras ».

[ source ]
Par Nadir Iddir
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

Alger - « Il ne faut jamais mélanger chaâbane avec ramadhan » ?

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

> ALGER INFO

portefeuille algerois

Entre les dépenses de jeûne et celles de la rentrée scolaire



La conjoncture met à mal le portefeuille des Algérois

Traditionnellement, les Algérois préparent l’arrivée du Ramadhan des jours, voire des semaines à l’avance. L’est de la capitale ne semble cependant pas échapper à cette pratique ancrée dans les mœurs depuis des lustres. A Aïn Taya comme à Bordj El Bahri, ou encore à El Marsa, les habitudes convergent toutes vers un seul objectif, celui d’accueillir le mois sacré dans des conditions agréables.


Ne dit-on pas : « Il ne faut jamais mélanger chaâbane avec ramadhan » ? Cet adage bien de chez nous ne reflétant nullement la réalité du quotidien en ce mois hégirien de chaâbane. Cette partie de la côte est algéroise se trouve en fait « noyée » dans les senteurs de Ramadhan. A Quahouet Chergui, les « commerçants » de z’labia et de qalb ellouz anticipent l’événement en s’improvisant, dès maintenant. En l’absence d’un véritable travail de contrôle, les commerces subissent des conversions de conjoncture, « il est question de rentabiliser nos commerces durant ce mois par des marchandises en vogue afin de compenser d’éventuelles pertes », souligne un buraliste converti en vendeur de gâteaux, tartelettes et autres gourmandises convoités durant le mois sacré. Au niveau des foyers, le Ramadhan est l’occasion pour les bourses les plus favorisées de renouveler les ustensiles de cuisine et de repeindre les maisons. Pour les moins aisés, ils tiennent néanmoins à ce que le logis soit avenant et propre ; un toilettage général de la maison s’impose quelques jours avant le début du carême, les mères de famille briquent tout, la maison, le linge et doivent également rouler le couscous, aliment nécessaire à toute la maisonnée durant le Ramadhan.

Ce rituel qui précède ce mois comprend également les différents achats de circonstance. Faute cependant de structures commerciales devant satisfaire cette attente, les habitants de cette localité de l’Algérois sont contraints, pour effectuer leurs achats, de se déplacer dans d’autres localités, ou se tourner vers les vendeurs informels qui ont pignon sur rue. Eu égard cependant à l’expérience des années précédentes qui a démontré que les prix des fruits et légumes et des viandes avaient tendance à « s’affoler », quelques jours avant le mois sacré, les citoyens s’attendent à ce que les prix grimpent, qui d’ailleurs connaissent d’ores et déjà une augmentation considérable, donnant un avant-goût sur ce que sera la mercuriale durant le mois de jeûne.

Flambée des prix…
Les prix des produits sont passés du simple au double. La pomme de terre qui coûtait à peine 25 DA le kilogramme il y a quelques jours seulement, est montée à 55 DA. La courgette est cédée entre 50 et 60 DA le kilo, contre 25 DA il y a une semaine. « Tous les produits ont été augmentés de 40, voire 50% », se lamentent des pères de famille. Et d’ajouter : « Même si nous pouvons faire face aux dépenses de ce mois, la rentrée scolaire va éroder encore plus notre pouvoir d’achat. » Le Ramadhan, qui coïncide cette année avec la rentrée scolaire, va certainement mettre à rude épreuve le budget des familles. De nouvelles galeries sont ouvertes le long du boulevard principal de la ville ainsi que plusieurs luxuriants espaces de commerce au niveau du quartier d’Ouled El Hadj qui drainent ces jours-ci la clientèle, notamment pour acheter les habits et l’électroménager. Les épiciers sont parfois dépassés devant l’afflux remarquable des consommateurs, en grande partie citadins.

Profitant de la disponibilité des denrées alimentaires, les chefs de famille s’approvisionnent d’une manière précoce en prévision de toute fluctuation probable du marché dès le premier jour du mois de Ramadhan. Inquiets ou avisés, les habitants des coins enclavés se précipitent sur l’achat des semoules, de l’huile de table et de sucre. « Dieu merci, tout est pour le moment disponible. On ne saura pas si cela continuera ou bien s’il s’agit seulement d’une faveur à l’approche du cher mois de carême », se demande un citoyen venant du sud-est de la commune où il n’y a que les marchands de détail et quelques boutiques d’alimentation générale. Ces commerçants profitent de l’aubaine pour faire leurs stocks en marchandises de large consommation. Même les réparateurs font des facilités pour entretenir les fourgons de transport collectif et les véhicules particuliers servant, dans le monde rural, les « fraudeurs ».

Tout est possible en ces « moments d’émotions » précédant le premier jour de Ramadhan, lequel reste, au vu des connaisseurs, une période des commerces prospères, contrairement à sa « vocation » initiale de mois de culte, de bienfaisance et d’entraide. A Baraki, c’est tout bonnement la prospérité précaire ! Les prix des légumes et des fruits ont baissé sensiblement sur le marché central de la ville. Les tomates et la pomme de terre sont cédées à 20 DA le kg, les fraises sont vendues à 50 DA le kg. L’écart entre les prix d’il y a une semaine et ceux en cours, a atteint les 40 dinars pour la grande partie des produits et fruits. Quant aux épices, il y a lieu de signaler les importantes offres faites par les revendeurs de la ville qui se sont certainement approvisionnés en substance de la place de l’atlas blidéen, connu pour la vente d’épices du terroir indispensables aux saveurs des menus ramadhanesques. En outre, les tapis et les meubles sont exposés à des prix concurrentiels. Selon des commerçants, les citadins sont d’habitude appelés à renouveler leurs meubles en prévision du Ramadhan.

Il y en a qui procèdent par la même occasion au renouvellement de la peinture des pièces de leur maison. « Les familles originaires de Baraki veillent à respecter ces traditions menacées par la modernité », fait remarquer un sédentaire au quartier d’El Baraka. Coïncidant avec la rentrée scolaire, les magasins d’habits affichent des remises sur les prix des vêtements pour enfants. « Des réductions sont également faites sur les prix des habits pour hommes et femmes, comme si l’on se préparait à une joyeuse fête », dit une jeune fille de la cité des 2004 Logements. Mais « tout le monde s’interroge si cette prospérité perdurera ou si ce n’est qu’une situation précaire », conclut une enseignante issue d’une famille défavorisée vivant au quartier populaire d’El Merdja.

[ source ]
Par E. Yazid, K. Saci
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

Algérie - Lac Temacine à Ouargla : Un coin de fraîcheur

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

> RÉGIONS

lac TemacineLac Temacine à Ouargla : Un coin de fraîcheur pour les ksouris

Le lac Temacine est l’un des plus beaux et prestigieux lacs salés de la wilaya de Ouargla. Situé en bordure du ksar du même nom et du siège de la zaouïa Tidjania, c’est le lieu le plus fréquenté par les habitants de la région mais aussi ceux des wilayas limitrophes.



Sa situation actuelle, notamment la pollution et la dégradation de la palmeraie environnante, font craindre le pire aux habitants de Temacine qui voient d’un œil plaisant ces baignades tout en restant vigilants par rapport à l’hygiène des lieux. Le lac de Temacine se situe dans la vallée de oued Rhir, à Touggourt, qui est une entité géographique située sur l’axe nord-sud Biskra-Ouargla d’environ 150 km. Elle se distingue en tant que zone dépressionnaire à écoulement d’eau permanent vers le collecteur principal de drainage qui fait transiter plus de 150 millions de m3/an. L’activité économique de la vallée est axée principalement sur la phœniciculture mais garde son cachet touristique dont la réputation dépasse les frontières de la région, voire du pays.

Ce lac est un symbole hautement traditionnel. Sa situation géomorphologique se présente en une dépression qui est a priori un exutoire naturel de toutes les eaux d’irrigation drainées salées à plus de 10 g/l de résidu sec, et ce à partir des palmeraies limitrophes. Ce lac reçoit également les rejets d’eaux usées, notamment de la commune de Temacine. En plus de ces contraintes de salinité des eaux et de la pollution, viennent s’ajouter les dépôts d’ordures ménagères.

Le réaménagement de la zone humide de Temacine est donc devenu l’une des principales préoccupations du secteur de l’eau et de l’environnement dans la wilaya de Ouargla. C’est notamment l’une des premières recommandations de l’Agence du bassin hydrographique du Sahara ABHS qui s’attelle depuis quatre ans d’existence à attirer l’attention des autorités locales sur la nécessité de protéger les nombreuses zones humides de la wilaya. Le réaménagement du lac et sa protection durable contre la pollution nécessitent, selon les recommandations de l’ABHS, plusieurs actions intersectorielles en vue de combattre l’utilisation abusive des eaux profondes pour l’irrigation par submersion qui se sont traduites par la remontée de la nappe phréatique devenue nuisible pour les cultures et les palmeraies, Ainsi, le plan de sauvegarde du lac Temacine comporte la prise en charge des rejets des eaux usées urbaines dans le grand canal de oued Rhir et notamment dans le lac de Temacine, la remise en état et le curage du canal de oued Rhir, qui constitue l’émissaire principal de drainage agricole et des eaux usées, des campagnes d’actions de sensibilisation en direction des riverains et notamment en direction des écoliers par l’ABHS, et enfin l’étude de la possibilité de réutiliser les eaux usées pour l’agriculture, en collaboration avec les établissements publics de l’ ONA et de l’ONID.

[ source ]
Par Houria Alioua
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

Le coût exorbitant du gaspillage de la nourriture

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

> DERNIĂRE

gaspillage

Il a pour effet de réduire considérablement les ressources mondiales en eau



Le coût exorbitant du gaspillage de la nourriture

Des experts ont déploré hier, lors d’une conférence à Stockholm, le fait que la moitié de l’eau utilisée pour l’agriculture soit gaspillée, en soulignant que ce gâchis contribue amplement à la baisse des ressources mondiales en eau.


« Il y a un gâchis d’eau énorme dans la nourriture qui est produite, car 50% de ce qui est cultivé est perdu ou gaspillé », a reconnu le directeur du programme scientifique à l’Institut international de l’eau de Stockholm (SIWI), Jan Lundqvist, lors de la Semaine mondiale de l’eau à Stockholm. L’information, rapportée par l’APS, précise que des quantités énormes de nourriture et par conséquent d’eau sont perdues dans les champs, lors du transport, dans les supermarchés, les restaurants et les cuisines des foyers, a fait savoir une étude du SIWI qui a organisé cette conférence. L’Institut a relevé, dans un nouveau rapport sur l’économie de l’eau et la réduction du gaspillage dans la chaîne alimentaire publié à l’occasion de cette rencontre, qu’aux Etats-Unis par exemple, 30% de la nourriture, représentant 48,3 milliards de dollars, sont gaspillés chaque année. « Cela correspond à 40 trillions de litres d’eau d’irrigation, assez d’eau pour subvenir aux besoins de 500 millions de personnes », selon le rapport.

Pour cette étude, la manière dont la nourriture est gaspillée dépend largement de la société dans laquelle elle a été produite et consommée. Ainsi, les pertes dans l’agriculture sont souvent dues, dans les pays pauvres, au défaut de structures pour entreposer la nourriture et la conserver au frais ou à de mauvais moyens de transport. Quant aux sociétés plus riches, une grande partie du gaspillage se produit au moment de la consommation. Les changements de régime alimentaire et la demande grandissante de produits nécessitant beaucoup d’eau, comme la viande de bœuf, amplifient le gaspillage d’eau, a poursuivi le rapport. « Dans ces sociétés, les gens ne savent pas d’où vient leur nourriture ni ce qu’il faut pour la produire », a commenté M. Lundqvist, en ajoutant que la production d’un seul kilo de viande de bœuf nécessite entre 10 et 15 t d’eau. « Si l’on jette la moitié de ce kilo, cela signifie que l’on a jeté 7,5 t d’eau », a-t-il souligné, relevant que plus de 500 t de viande de bœuf avariée avaient été récemment rappelées aux Etats-Unis. Le rapport du SIWI a, par ailleurs, appelé les gouvernements à tenter de réduire la quantité de nourriture gaspillée d’au moins 50% d’ici 2025.

[ source ]
Par A. Z.
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

Algérie - Foncier urbain : 16 000 propriétés régularisées

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

> ORAN INFO

Foncier urbain : 16 000 propriétés régularisées

Sur les 18 000 dossiers traités dans le cadre de l’opération d’assainissement du foncier urbain, plus de 16 000 cas ont été régularisés, apprend-on de sources proches de la Direction des domaines. Nos sources précisent que l’opération se poursuit toujours.


Pour ce qu’est du foncier agricole, nos interlocuteurs indiquent qu’aucun dossier n’est en instance et que les dossiers transférés par la Direction des services agricoles sont systématiquement pris en charge. Concernant le dossier lié au foncier industriel, qui constituait la première des contraintes que rencontrent les investisseurs à Oran, notre source a affirmé que le problème ne se pose plus pour les vrais investissements. Elle a précisé que le foncier est disponible vu que toutes les demandes ont eu une réponse positive. A titre d’exemple, notre interlocuteur cite qu’une récente visite effectuée par le directeur des domaines à la zone d’activité de Bethioua pour l’inspection d’une assiette foncière de plus de six hectares sur laquelle une importante usine d’aluminium sera érigée par une multinationale.

Oran dispose d’une réserve de plus de 100 hectares, répartis à travers 10 zones d’activités industrielles dont Bethioua, Boutlelis, Kessiba, Arzew et Misserghine.D’autre part, ajoutent nos sources, le secrétariat du Comité d’assistance et de localisation de l’investissement et de régulation foncière (CALPI-REF), qui a remplacé, en avril 2007, le CALPI, a traité et agréé des projets orientés en majorité vers les zones industrielles et d’activité de la wilaya d’Oran. A titre d’exemple, 27 dossiers ont été traités et agréés au cours du premier trimestre de cette année. Ces dossiers, qui totalisent un investissement global de plus d’un milliard de DA et qui offrent 288 opportunités d’emploi, concernent plusieurs segments d’activité dans le secteur de la PME-PMI. Cependant, plusieurs promoteurs ont soulevé l’écueil du foncier industriel qui entrave la concrétisation de plusieurs initiatives à Oran, qui dispose pourtant d’un potentiel non négligeable en mesure de faire d’elle un pôle attractif pour les capitaux aussi bien nationaux qu’étrangers. Par ailleurs, nos sources indiquent que, depuis la création de l’agence foncière en 2003, plus de 660 actes de propriété ont été établis au profit d’investisseurs de la région, excepté pour ceux de la zone d’activité de « Ayayda » pour non conformité des aménagements avec les caractéristiques du site. Concernant les conflits relatifs au foncier, nos interlocuteurs indiquent que l’Etat obtient gain de cause dans 95% de cas.

[ source ]
Par B. M. A.
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

Algérie - Guelma FM bientôt sur les ondes

# Administrateur | 23/08/2008 | Info

Guelma FM bientĂ´t sur les ondes



Début des émissions prévu pour le 1er novembre

Si les délais de construction et d’aménagement du siège de la radio, ainsi que l’installation du matériel sont respectés, la radio locale Guelma FM émettra le 28 octobre sinon le 1er novembre prochain.


Elle couvrira probablement l’Est algérien via le relais hertzien de la Mahouna culminant à plus de 1 100 m d’altitude. Ainsi, le souhait d’écouter un jour une radio, diffusant des informations relatives à la wilaya de Guelma, à partir de Guelma, est visiblement en bonne voie d’être réalisé. Cette station sera abritée par l’ex-siège de la bibliothèque communale, sis route de Belkheïr, à quelques mètres du local de l’UGTA. Le projet entre, nous dit-on, dans le cadre d’un programme national visant à doter l’ensemble des wilayas, au niveau du territoire national, d’une antenne radiophonique locale. La wilaya vient par conséquent en 40e position. A ce sujet A. Mellouk, directeur de Guelma FM déclare : « Guelma est en retard, mais mieux vaut tard que jamais ! » et d’ajouter : « Nous travaillons sur plusieurs fronts, la priorité ces jours-ci est au recrutement, par voie de concours oral et écrit, de journalistes, animateurs, techniciens et réalisateurs, qui aura lieu du 24 au 27 du mois en cours. Le dépôt des dossiers s’est déroulé dans de bonnes conditions. Nous allons démarrer la diffusion tout d’abord avec un staff de 25 personnes. Le personnel recruté, exclusivement résidant dans la wilaya, bénéficiera de stages pour assurer le bon fonctionnement du matériel ». Concernant la fréquence sur laquelle devra émettre Guelma FM, on nous fera savoir que la télédiffusion d’Algérie (TDA) y travaille.

Selon le directeur, le relais hertzien, situé sur les hauteurs du relief de la Mahouna, permettra, même avec un émetteur de 10 kW, de couvrir une bonne partie des wilayas limitrophes (Annaba, Skikda, Constantine, Souk Ahras, Oum El Bouaghi et El Tarf). Néanmoins, il est attendu l’augmentation des performances de celui-ci afin de porter la voix de Guelma FM au-delà même des frontières tunisiennes. A l’instar des autres médias lourds, télévisuels et presse écrites, les journalistes et animateurs de cette nouvelle radio auront l’importante mission de faire connaître la wilaya sous toutes ses facettes. Sur ce point, le directeur précisera : « Un travail de proximité avec les citoyens, mouvements associatifs, collectivités locales, diverses directions, université, etc. est dans nos objectifs ». Nous noterons enfin que l’ex-siège de la bibliothèque communale a été entièrement refait à neuf. Deux studios, l’un pour la production et le second pour la diffusion, sont pratiquement achevés, ainsi qu’une salle de rédaction pour les journalistes. Une extension du siège est en cours de construction, il s’agit du bloc administratif de la radio et d’un logement de fonction. a signaler que les travaux sont confiés à deux entreprises pour plus de 10 MDA (millions) déboursés par la wilaya de Guelma.

[ source ]
Par Karim Dadci
El Watan, Ă©dition du 23 AOUT 2008

France - stages de soutien scolaire des élèves de CM1-CM2

# Administrateur | 22/08/2008 | Info

65.000 élèves de CM1-CM2 inscrits pour les stages de soutien scolaire


stages de soutien scolaire

Mychèle Daniau AFP/Archives¦ Soutien scolaire


Environ 65.000 écoliers de CM1 et CM2 sont inscrits pour les stages gratuits de soutien scolaire qui auront lieu la semaine prochaine, a-t-on appris vendredi auprès du ministère de l'Education. Ce chiffre sera affiné la semaine prochaine, au regard des effectifs réellement constatés, a-t-on précisé. Les élèves seront encadrés par 22.000 enseignants volontaires, rémunérés en heures supplémentaires.

Mis en place par le gouvernement, ces stages d'une semaine sont organisés pendant les vacances scolaires par groupe de six élèves maximum dans les locaux des écoles publiques. Ils ont lieu trois heures par jour, pendant cinq jours, pour des remises à niveau en français et mathématiques.

Visite de François Fillon

Le premier ministre François Fillon et le ministre de l'Education Xavier Darcos feront lundi une visite dans une école primaire à Avrillé dans le Maine-et-Loire, sur ce thème.

Lors de la première session, pendant les vacances de Pâques, 83.000 élèves avaient participé à ces stages. Lors de la deuxième session, début juillet, 50.000 élèves s'étaient inscrits. Le dispositif sera poursuivi pendant l'année scolaire 2008/2009.

A Pâques, le dispositif a coûté 5,3 millions d'euros à l'Education nationale. Ceux de juillet et août devraient coûter au total 7,8 millions, avait indiqué le ministère en juillet.

[ source ]
avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 22/08/2008 - 15h47

France - Circulation: ce sera orange et rouge ce week-end

# Administrateur | 22/08/2008 | Info

Circulation: ce sera orange et rouge ce week-end


grands retours

AFPTV¦ Départs en vacances:
chassé-croisé des automobilistes. Durée: 0mn54.


A l’heure des grands retours avant la rentrée, ce dernier week-end d’août promet d’être chargé. Les routes seront encombrées dès vendredi, classé orange, prévient Bison futé.

Mais le pire sera à venir. Samedi, la journée est classée orange au niveau national et rouge dans la moitié sud du pays. Dimanche, c’est en région parisienne que les difficultés devraient se concentrer. « Les vagues de retours concernent de manière plus équilibrée les vendredis, samedis et dimanches », note toutefois le Centre national d’information routière (CNIR), en ajoutant qu'il « en résulte un étalement favorable à une bonne répartition des trafics et par là même à une limitation des difficultés sur le chemin du retour des vacances ».

Pour les heureux qui ont pris leurs vacances en décalé, la route dans le sens des départs sera dégagée partout sauf samedi, où le quart sud-est du pays, y compris la région Rhône-Alpes, sera orange.

[ source ]
Sa. C.
20Minutes.fr, Ă©ditions du 22/08/2008 - 08h31

Algérie - Aïn Témouchent / Eau potable

# Administrateur | 22/08/2008 | Info

AĂŻn TĂ©mouchent / Eau potable

La fin des restrictions


Ain Temouchent

Infrastructure • Avec la réception des projets engagés, depuis quelques années, les citoyens de cette wilaya disposeront de ce précieux liquide, sans avoir à attendre devant les robinets.

La direction de l’hydraulique de la wilaya de Aïn Témouchent a annoncé «la fin de la gestion restrictive de l’eau potable» pour les premiers mois de l’année 2009. Le chef de service de l’AEP de cette direction, M. Cheikh Belghaba, a indiqué à cet effet que la population de Aïn Témouchent pourra, dès cette date, « disposer de l’eau courante 24 heures sur 24 ».
La dotation qui est, actuellement, de 100 litres/jour en moyenne, répartie sur des plages horaires attribuées, périodiquement, selon les ressources disponibles d’une localité à l’autre, passera à 250 litres ce qui représente «une augmentation de 150 %», a-t-il précisé.

La consommation quotidienne de la wilaya en eau potable grimpera, alors, Ă  100 000 m3, en ne comptant que sur la production de la station de dessalement de Beni Saf (200 000 m3/jour) et dont la mise en service est attendue pour janvier prochain.

A ce propos, le responsable de l’AEP a signalé que les travaux de terrassement sur 11 kilomètres de la conduite d’adduction qui alimentera le cratère de «Dzioua» à partir de cette station, viennent d’être achevés et la pose de celle-ci débutera prochainement. En prévision de ces nouvelles ressources qui effaceront, définitivement, le spectre de la pénurie d’eau potable et les contraintes du rationnement de la population, la wilaya a prévu de réaliser un programme très consistant d’adduction et d'ouvrages hydrauliques qui va toucher toutes les localités, a expliqué M. Belghaba.

Ce programme, pour lequel une enveloppe de 1,75 milliard de dinars a été octroyée par l’Etat, permettra de poser 170 km de conduite pour desservir, sur trois couloirs, le précieux liquide stocké dans la retenue de « Dzioua ».
De là, un quatrième couloir de 30 km devant alimenter Aïn Témouchent, Chabaat El-Leham et El-Malah, sera pris en charge financièrement par l’ADE. Les travaux démarreront après l’achèvement des études prévues dans deux mois.
Le déficit de Aïn Témouchent en eau potable atteint 38 000 m3/jour, selon une dotation aléatoire qui dépend du transfert de Beni Bahdel (15 000 m3) et de sa production locale (17 000 m3), unités de dessalement de Chott El-Ouard et Bouzedjar ( 3 300 m3), rappelle-t-on. Un forage débitant 600 m3/jour a été mis en service, dimanche dernier, à Sidi Boumediene.

Le responsable de l’AEP à la direction de l’hydraulique a précisé qu’une remise en service d’un forage situé à M’Saïd doit, aussi, améliorer la distribution dans la région de Bouzedjar, de même que sera renforcé, début septembre, le quota attribué à la commune de Aïn Ahlem, après la mise en service du forage de Aïn Bessal (commune de Emir Abdelkader).

[ source ]
Par R. L. / APS
InfoSoir, Ă©dition du 21 Aout 2008

France - Les associations se divisent sur le coût de la rentrée

# Administrateur | 21/08/2008 | Info

Les associations se divisent sur le coût de la rentrée


cout de la rentree

Mychele Daniau AFP/Archives¦
Fournitures scolaires en vente dans un supermarché en 2007


Bataille de chiffres sur le coût de la rentrée scolaire. Mardi, l’association Familles de France dévoilait ses chiffres pour la rentrée 2008. Selon l’association (habituellement classée à droite), le coût de rentrée pour un enfant rentrant en 6e serait en baisse de 7,67% par rapport à 2007. Familles de France attribue cette diminution à l’accord passé entre le gouvernement et huit grand groupes de distribution sur une quarantaine de fourniture scolaires (la liste « Darcos »).

Cette baisse ne s’explique pourtant pas par une chute des prix en grandes surfaces: ils sont quasi stables par rapport à 2007. En revanche, les magasins spécialisés auraient fait chuter leurs prix de 30,27% en un an. Au final, le coût moyen de rentrée pour un collégien s’élèverait à 190,82 euros, auquel il faut ajouter de nombreux frais annexes (assurance, livres, coopérative, associations…), qui ont eux doublé depuis 2007.

D’autres associations de familles se sont élevées contre ces chiffres. La Confédération syndicale des familles (CSF), qui doit publier mardi prochain ses propres estimations, a estimé qu’elle ne sera «certainement pas sur les chiffres» de Familles de France. Au contraire, elle table même sur une «petite hausse», voisine de 1%.

Inflation Ă  3,6%
Quant à l'Union des familles laïques, elle constate une hausse «d'environ 3%» du coût de la rentrée. Face à ces différentes estimations, l’UFL demande une réunion avec l’ensemble des associations pour élaborer une méthodologie commune, et en finir avec ces batailles de chiffres.

La FCPE, principale fédération de parents d’élèves et classée à gauche, préfère attendre les chiffres de la CSF, qu’elle juge plus fiables. Son président, Jean-Jacques Hazan, regrette que le ministère de l’Education n’ait pas consulté d’autres associations que Familles de France et la Peep, plutôt en accord avec le gouvernement. Il s’étonne également des chiffres de Familles de France: «Avec une inflation de 3,6% selon l’Insee, je ne comprends pas comment on peut dire que la rentrée coûtera moins cher.»

[ source ]
Sy M. avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 20/08/2008 - 13h05

Algérie - Les stocks des climatiseurs ont été épuisés

# Administrateur | 21/08/2008 | Info

LES STOCKS DES CLIMATISEURS ONT ÉTÉ ÉPUISÉS
Les Algériens boulimiques d’air frais
climatiseurs
Sonelgaz met en garde les consommateurs contre l’utilisation abusive de ces appareils connus pour être énergivores.


Après la ruée vers les antennes paraboliques qui couvrent les terrasses de nos bâtiments, aujourd’hui, c’est au tour des climatiseurs de se disputer la place sur les façades de nos immeubles. Les professionnels de la climatisation se frottent les mains, les ventes n’ont jamais atteint un tel niveau. En témoignent les quantités énormes de climatiseurs vendus cet été! C’est la haute saison pour le matériel de climatisation. Les professionnels du métier se disent débordés et l’engouement pour les produits de climatisation est visible. Le marché bénéficie d’une forte demande, tant dans le segment résidentiel que professionnel. Une multitude de marques se partagent le premier commerce. Les professionnels parlent de pas moins de 50 marques dont une flopée de chinoises.

Il fut un temps où les climatiseurs étaient exclusivement l’apanage des milieux professionnels. De nos jours, c’est devenu un des éléments essentiels du cadre de vie de nos concitoyens. En fait, c’est un nouveau comportement culturel qui s’installe dans notre pays. Le boom qu’enregistrent actuellement les ventes des climatiseurs est essentiellement dû au changement remarquable du comportement du consommateur dans notre société. «Le stock des climatiseurs et des ventilateurs est épuisé depuis 20 jours!», nous a indiqué un commerçant rencontré près de la place du 1er-Mai (Alger). Cette rupture de stock traduit le rush des citoyens sur ces appareils générant la fraîcheur. Il y a à peine deux décennies, avoir un climatiseur chez soi était un luxe. A présent, c’est devenu une nécessité, vu les hausses fréquentes des températures qui atteignent parfois plus de 40°. Mais ce qui a booster les ventes c’est surtout la vente par facilités de paiement, effective depuis quelques années pour les produits électroménagers, ainsi que le crédit à la consommation qu’offrent différentes banques. Les ménages échaudés par les températures caniculaires des étés précédents, ont pris les devants et ont économisé pour pouvoir s’offrir ce confort. «Impossible de dormir ou même de fermer l’oeil dans cette chaleur doublée d’humidité!», nous confie un couple à la recherche d’un climatiseur. En effet, durant cette période de forte chaleur, les magasine de vente des ventilateurs et climatiseurs sont envahis par les clients. On enregistre une forte tension sur ces appareils. Les ventilateurs sur pied coûtent 2600 à 3600 DA, alors que les simples se vendent entre 1900 et 2200 DA, d’ailleurs ils se vendent comme des petits pains. Les appareils d’air conditionné ne sont pas en reste. «Les prix démarrent à 25.000 DA selon les marques», affirme un commerçant situé à la rue Hassiba Benbouali (Alger). Cette ruée vers ce genre d’appareils électroménagers risque d’engendrer un sérieux problème de consommation électrique locale, provoquant des délestages. Dans ce sillage, contactée par nos soins, une source proche de l’entreprise Sonelgaz met en garde les consommateurs contre l’utilisation abusive de ces appareils connus pour être très gourmands en énergie électrique.

Le marché de l’électronique en général et celui des climatiseurs en particulier souffrent d’un manque flagrant de statistiques. Aux yeux de tous les opérateurs qui interviennent dans ce créneau dans notre pays, il est difficile d’avancer des statistiques précises à ce propos. Par ailleurs, on déplore la concurrence déloyale qui empoisonne toujours le marché algérien. Des climatiseurs affichés à 20.000, voire à 18.000 DA sont proposés aux clients. «De tels prix prouvent automatiquement que le produit est de moindre qualité, importé en Algérie de Chine, de Turquie et de Dubaï», lance, tout de go, un commerçant rencontré à Alger-Centre. Il ajoute que le client doit faire la différence entre le produit qui répond aux normes internationales liées à la qualité, à la technologie avancée, à la consommation faible d’énergie et au respect de l’environnement, et celui des autres marques. Certes, les prix de ces climatiseurs sont élevés (entre 25.000 DA et 50.000 DA), mais le citoyen se trouve dans l’obligation les acheter.

Le marché de la climatisation progresse à grands pas. La technologie du froid continue son ascension. Les marques déclinent de nouveaux modèles à en perdre la tête. Les gammes se diversifient, on assiste à un élargissement de l’offre tant en qualité qu’en prix. La climatisation se démocratise. Mais pour passer du chaud au froid, quelques économies s’avèrent nécessaires.

[ source ]
Par Lynda BEDAR
L'Expression, Ă©dition du 21 AOUT 2008

Algérie - Les prix flambent à la veille du mois de Ramadhan

# Administrateur | 20/08/2008 | Info

> ECONOMIE

fruits et legumesMarché des fruits et légumes : Les prix flambent à la veille du mois de Ramadhan

A quelques jours du mois de Ramadhan, les marchés des fruits et légumes se mettent d’ores et déjà au régime d’une véritable bourse de valeurs. Ça flambe de partout et la spéculation va bon train.


Les ménages, eux, entrent dans la peau de victimes arnaquées sans pour autant envisager l’exclusion des fruits et légumes de la table durant le Ramadhan. « Excessif ! », lance une dame à la figure d’un détaillant du marché Ali Mellah (place du 1er mai), commentant les prix affichés sur les étals. Lui répliquant sans détour, le marchand, ferme et inflexible, n’a trouvé à dire que ceci : « Attendez quelques jours et vous verrez les véritables tarifs. » Ça promet ! Les agriculteurs, eux, ne cessent de crier à « l’arbitraire ». Il y a quelques jours, ces derniers avaient dénoncé les tarifs d’achat « injustement bas et les prix de vente scandaleusement élevés ». Visiblement, un dysfonctionnement semble exister sur le circuit de commercialisation. Mais sur les marchés de détail, c’est le duel récurrent entre marchands et clients. Au marché Ali Mellah de la place du 1er Mai (ex-Champ de manœuvre), des vendeurs à la sauvette, postés à l’entrée du marché, proposent de la pomme de terre, des tomates et des fruits à des prix soigneusement calculés. Histoire de séduire les petites bourses, disent-ils. Des pêches à 70 DA le kilo, des raisins cédés à 50 DA et des pommes de terre à 30 DA. Mais ce petit marché de fortune installé clandestinement à l’entrée du « bazar » ne fait pas le bonheur des commerçants dit « réglos » de l’intérieur. Le marché dit formel n’est pas mieux loti.

A l’intérieur, c’est une pagaille épouvantable. Outre le mélange d’odeurs acres et repoussantes qui fait fuir le plus téméraire des clients, sur les étals, les prix affichés inquiètent plus d’un. La pomme de terre fraîche affiche 40 DA le kilo, alors que celle provenant des chambres froides est proposée à 30 DA. La tomate est cédée à 40 DA, les haricots verts à 100 DA, la carotte à 50 DA, la courgette à 60 DA, le poivron et le piment à 90 DA et l’oignon à 25 DA, alors que la laitue, qui habituellement orne les tables, est pratiquement introuvable ou commercialisée à des prix qui dépassent l’entendement. Les pics de ces derniers jours semblent être injustifiés d’autant que les prix pratiqués sur les marchés de gros sont inférieurs aux tarifs des marchés de détail, si l’on se réfère aux agriculteurs, premier maillon de la chaîne. Manifestement, les ménages en ont gros sur le cœur. Face à cette situation, la stupéfaction de tout un chacun se fait entendre. Les prix ont connu une envolée en un laps de temps très court. Un vieillard témoigne avoir payé, le week-end dernier, la pomme de terre à 15 DA le kilo sur la route reliant Bouira à Alger. Le vieil homme, à la figure ridée, reste perplexe devant les prix appliqués sur les marchés de l’Algérois. « Tu aurais dû faire le plein au lieu de venir te plaindre chez moi. Ici, je paye ma place et ce n’est point avec 15 DA le kilo de pomme de terre que je vais régler ma facture de location », lui lance un marchand décidément décontenancé par ses propos.

De Meissonnier Ă  Bab El Oued, les pieds dans les Ă©gouts
Les ménagères et chefs de famille risquent de perdre la raison face à cette flambée, qui s’accentue à l’approche du mois sacré. Les commerçants se complaisent dans le rôle de spéculateurs contribuant à tirer les prix vers le haut, au grand dam des consommateurs. A Meissonnier (centre d’Alger), les vendeurs du marché informel font la loi. L’accès principal au marché fermé pour des raisons inconnues annonce la couleur. Avant de recevoir le choc des prix, les clients doivent emprunter une ruelle boueuse à l’aspect bleuâtre longeant de gros containers à ordures pour pouvoir enfin entrer au marché. On est en début d’après-midi. A cette heure-ci, les derniers cageots de fruits et légumes sont habituellement vendus à des prix plus abordables que ceux pratiqués dans la matinée. Ce n’est pas le cas à Meissonnier, où les commerçants sont maîtres des lieux, en l’absence des autorités censées réguler le marché. Le client est loin d’être roi. Les prix sont les mêmes qu’ailleurs, c’est-à-dire élevés. Selon les commerçants, il ne sied plus de parler de prix mais en termes de disponibilité des produits. Le marché repose sur la notion de rareté. « On dirait que vous n’avez aucunement été touché par la crise de la pomme de terre, c’est pourquoi vous parlez aujourd’hui de prix exagérés », nous lance un détaillant de légumes installé à l’intérieur du marché.

Et d’ajouter : « Si vous êtes des services d’hygiène, le nettoyage des lieux ne relève pas de mes prérogatives. » Parler des tarifs pratiqués par ces mêmes marchands est considéré comme un péché et/ou outrage impardonnable. Qui osera défier ces mêmes commerçants face au caractère exorbitant des tarifs appliqués ? « C’est l’effet de l’approche du mois de Ramadhan », notera une dame que nous avons interrogée. Au marché des trois Horloges de Bab El Oued, sous un soleil de plomb, les marchands exerçant dans l’informel à l’extérieur du marché attirent plus de foule. Et pour cause : « A l’intérieur, on vous propose des légumes à un prix plus élevé qu’ici. Le prétexte invoqué est lié au fait qu’ils payent une taxe auprès des autorités. C’est complètement insensé car il ne s’agit que d’une petite taxe insignifiante », fait valoir un commerçant exerçant à l’entrée du marché. L’idéal serait que producteurs et vendeurs mangent dans le même plat, payé au même prix qu’ils appliquent sur le marché. Mais en toile de fond de cette problématique, figure une mission non accomplie par l’Etat : celle de réguler le marché.

[ source ]
Par Ali Titouche
El Watan, Ă©dition du 20 AOUT 2008

Constantine - Nouveau dispositif pour la rentrée scolaire

# Administrateur | 20/08/2008 | Info

> CONSTANTINE INFO

Nouveau dispositif pour la rentrée scolaire

En application de l’instruction interministérielle n° 15/08 du 22/06/2008, émanant conjointement du ministère de l’Intérieur et celui de l’Education nationale, suite à laquelle il a été décidé de ne plus exiger des parents d’élèves le dépôt des actes de naissance retirés du registre de l’état civil (copie n° 12),demandé chaque année pour les inscriptions scolaires, l’APC a pris les mesures nécessaires pour que le retrait d’un simple extrait de naissance soit délivré sur la seule présentation du livret de famille (copie n°13), selon un communiqué adressé à la presse par les services du cabinet du P/APC de Constantine. Cependant, et pour alléger la charge devenue trop lourde pour les parents à la veille de chaque rentrée scolaire, le fameux document ne sera demandé que pour l’inscription en première année primaire, en cas de changement d’établissement et pour les examens de fin de cycle.

[ source ]
Par S. A.
El Watan, Ă©dition du 20 AOUT 2008

Algérie - Des projets hydrauliques accusent des retards

# Administrateur | 18/08/2008 | Info

Mobilisation des ressources hydriques

Des projets hydrauliques accusent des retards


Pour répondre au défi de demain en matière de ressources hydriques, de grands projets structurants ont été annoncés cette dernière décennie. Certains ont été livrés, d’autres sont en cours de réalisation alors que le reste en est au stade de l’étude. Pour ceux dont l’échéance de fin des travaux est prévue à l’horizon 2009, rien n’indique que les délais des travaux seront respectés et cela pour différentes raisons.

Si le volet finance de ces grands projets structurants dont le délai de livraison est fixé avant la fin de l’année prochaine est définitivement réglé, la partie exécution des travaux semble plutôt traîner la patte. C’est le cas par exemple du système Mostaganem-Arzew-Oran, un transfert des eaux captées de l’oued Chellif pour
desservir les villes de Mostaganem, Arzew et Oran. On impute les retards des chantiers à plusieurs facteurs tels que la nature des terrains qu’empruntent les canalisations, les multiples déviations (routes, ouvrages d’art, pipes, lignes électriques) les déplacements de bâtisses ou de cimetières …

Selon certaines sources au fait du dossier, l’étude de réalisation s’est faite dans la précipitation sans tenir compte de beaucoup de paramètres. Cela dit, ce projet dont on a toujours affirmé qu’il va définitivement régler la question de l’alimentation en eau potable de ces trois régions à la merci du stress hydrique depuis des lustres, vient d’être relancé après avoir connu de nombreux reports d’échéance de fin de travaux mais est-ce pour autant qu’il sera livré comme prévu dernièrement. D’autant plus que des périmètres entiers de terres arables attendent d’être irrigués à partir de ce système, d’où l’intérêt d’aller vite en besogne. De nombreux autres projets structurants et aussi importants que le MAO sont en attente d’être réceptionnés dans les délais mais une majeure partie va certainement connaître des retards eu égard au rythme d’exécution des travaux. Dans ce contexte, il est à noter que, dans ses visites d’inspection des chantiers, le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a constaté de visu des retards, quand ce n’est pas des chantiers à l’arrêt, ce qui l’a poussé à adresser des avertissements aux entreprises auxquelles a été confié le projet et à leur demander de reprendre les travaux au plus vite. Des constats qui font planer le doute sur la réalisation des objectifs arrêtés par le gouvernement. Un Exécutif qui clame haut et fort qu’à l’horizon 2009 le problème de l’eau ne sera plus qu’un lointain souvenir. On pourrait le croire dans la mesure où, certes, une multitude d’actions sont menées dans ce sens par le gouvernement qui a d’ailleurs consacré un important budget au secteur des ressources en eau sans pour autant que les travaux accusent des taux d’avancement appréciables. Ainsi, devant les besoins non satisfaits et sans cesse croissants en eau de l’AEP, de l’irrigation et des industries, tout retard dans la réalisation de projets relatifs à la mobilisation des ressources en eau pénaliserait des populations entières et peut aussi laisser en jachère les potentialités agricoles de régions dont l’essor dépend de la disponibilité de la ressource hydrique.

[ source ]
Par Ziad Abdelhadi
La Tribune, Ă©dition du 18 AOUT 2008

Algérie - L’autoroute Est-Ouest sera-t-elle livrée à temps ?

# Administrateur | 18/08/2008 | Info

Un délai de 40 mois est exigé pour sa réalisation

L’autoroute Est-Ouest sera-t-elle livrée à temps ?


Lancé le 18 septembre 2006, le projet de l’autoroute Est-Ouest, géré par l’Agence nationale des autoroutes, devra s’achever dans un délai ferme de 40 mois. Ce mégaprojet, étant donné sa taille, son ampleur et son budget, a connu un retard dans son lancement. Prévu initialement en 2005, le coup d’envoi de la réalisation de ce projet de 12 milliards de dollars n’a été donné que près de deux ans plus tard. C’est en mars 2007 que le président de la République a posé, à Hammadi dans la wilaya de Boumerdès, la première pierre du projet. Lors de cette cérémonie d’inauguration, le chef de l’Etat a beaucoup insisté sur le respect des normes internationales dans la construction du projet, mais surtout sur les délais de réalisation. En effet, d’une longueur de 927 km, ce projet, reliant les frontières tunisiennes à celles du Maroc en passant par 24 wilayas du Nord algérien, s’inscrit dans le cadre du plan de soutien à la croissance économique. Répartie en trois lots, l’autoroute Est-Ouest sera réalisée en 2x3 voies sur décision du président Bouteflika, puisque, initialement, elle était prévue en 2x2 voies.

La réalisation des lots Centre et Ouest a été confiée à deux entreprises chinoises, la China Citic Group et la China Railway Construction Corporation (CRCC) et celle de l’Est à la compagnie japonaise Cojaal.

Le gouvernement a mis en place toutes les conditions nécessaires à la réalisation du gigantesque chantier. A cet effet, lors de toutes ses sorties d’inspection, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a indiqué qu’aucun prétexte ne sera admis en cas de retard dans l’exécution de ce projet d’importance nationale.

A quelques mois de la date fixée pour l’achèvement des travaux, de nombreux observateurs restent sceptiques quant au respect des délais de réalisation. Mais M. Amar Ghoul est catégorique : «Les travaux ne connaissent aucun retard.» Récemment encore, le ministre a affirmé que le taux de réalisation de l’autoroute a atteint 60%. Il a tout de même reconnu les difficultés rencontrées dans différents chantiers. A Constantine, M. Ghoul a, bien sûr, imputé les difficultés à la géologie. «D’ici à la fin de 2008, les wilayas de Sétif, Bordj Bou Arréridj, Constantine et Mila pourront livrer quelques tronçons de l’autoroute», a-t-il affirmé. Une question reste posée : les 40% restant des travaux seront-ils réalisés en quelques mois ? Le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a reconnu dernièrement, en marge des travaux du Conseil de la nation, l’existence d’obstacles à la réalisation de plusieurs projets. Il donnera à ce propos l’exemple de la réalisation de l’autoroute Est-Ouest.

Pour lui, « les projets n’avancent pas très vite parce que, parfois, il y a des terrains qui ne sont pas libérés. De plus, la commission nationale des marchés a des centaines de cas qu’elle n’a pas encore examinés et qu’elle doit étudier ».

Ces obstacles relevés par le chef de l’Exécutif seront-ils levés pour permettre l’achèvement des travaux dans les délais fixés ? En tous les cas, le ministre chargé du secteur est optimiste. L’avenir nous le dira.

[ source ]
Par Chafaa BouaĂŻche
La Tribune, Ă©dition du 18 AOUT 2008

Algérie - Prélude à un mois de ramadhan très cher

# Administrateur | 17/08/2008 | Info

Les prix des produits alimentaires enregistrent une hausse inquiétante

Prélude à un mois de ramadhan très cher

Ramadhan tres cherSans motif économique réel, les commerçants balisent pour une hausse des prix des fruits et légumes. Une hausse substantielle est, en effet, enregistrée depuis quelques jours dans les marchés du pays, y compris dans ceux communément appelés marchés de l’informel.

Surpris par cette flambée injustifiée, les consommateurs se trouvent obligés de subir la loi des vendeurs. Pour eux, il s’agit bien d’une mercuriale annonciatrice d’un mois de ramadhan dur à gérer pour les ménages tenus d’affronter, quelques jours plus tard, une rentrée scolaire et son lot de dépenses en vertigineuse hausse. La parenthèse des prix abordables de certains produits alimentaires n’a pas duré longtemps.

Un constat que chaque Algérien peut vérifier ces jours-ci au marché ou chez le vendeur du coin où les prix ont doublé.
« La salade est à 80 et 100 DA le kilogramme, alors qu’elle était vendue à moins de 40 DA au cours de la semaine dernière. Même chose concernant le prix du poivron qui a doublé », témoignent des pères de famille estomaqués par la fièvre des prix. La situation n’est pas sans pousser les citoyens à revoir leurs dépenses en espérant voir le gouvernement prendre des mesures porteuses et efficaces. L’attente du consommateur est d’autant plus légitime que le pouvoir d’achat de l’Algérien est jugé très faible.
Officiellement, une série de mesures ont été prises dans l’objectif d’empêcher la machine spéculative de sévir. Dans ce sens, le gouvernement a ciblé les produits les plus consommés par les Algériens.

Le gouvernement a ainsi pris des mesures visant la régulation des produits de large consommation comme la pomme de terre, la viande, la tomate et l’oignon.
Doté d’une enveloppe de 3 milliards de dinars, « ce système ne se veut pas une solution de conjoncture, mais sera appliqué dès qu’une abondance de production est enregistrée dans la récolte d’un produit », estime-t-on au niveau du ministère de l’Agriculture.

Mais le soutien par l’Etat des prix de large consommation n’arrange pas assez le consommateur qui ne doit pas subir des prix ne répondant pas à la loi du marché. Le marché vit une situation un peu déroutante où l’abondance des produits ne génère pas une réduction des prix. Au niveau de la direction des prix et du contrôle, on estime que l’Etat peut intervenir dès que les prix échappent à toute logique. Les citoyens consommateurs n’accordent pas de crédit à une telle thèse. Pour eux, le marché en Algérie évolue sans tenir compte de la moindre loi. Ce qui est loin d’être faux : l’outil de contrôle des prix étant la facturation, cette dernière n’a jamais été un souci pour les spéculateurs.

Contrôler la marge bénéficiaire du commerçant ? La réglementation ne prévoit pas des mesures dans ce sens. « Le commerçant a la latitude de pratiquer la marge bénéficiaire qu’il veut, allant de 10 à 100%, dans la mesure où le marché est libéralisé », nous indique un responsable au niveau de la direction de la concurrence et des prix. Le gouvernement prévoit également le plafonnement des prix de la semoule et de la farine, comme il a annoncé la création d’un office dont la mission est de veiller sur une stabilisation des prix du marché. Mais depuis quand une institution, aussi outillée soit-elle, a pesé dans la définition des prix en Algérie.
La population n’ignore pas les règles de fonctionnement du marché qui n’obéit à aucune réglementation.
[ source ]
Par Amirouche Yazid
Photo : Riad
La Tribune, Ă©dition du 17 AOUT 2008

Alger - Station de dessalement du Hamma : Pannes

# Administrateur | 17/08/2008 | Info

> ALGER INFO

Station de dessalement du Hamma : Pannes récurrentes

Des pannes périodiques affectent la station de dessalement de l’eau de mer du Hamma comme celle signalée jeudi dernier.


Des ingénieurs spécialistes ont été appelés à la rescousse pour en réduire les effets, affirment des sources proches du projet. George El Haddad, directeur général de Hamma Water Desalination (HWD Spa), la joint-venture assurant la mise en marche de l’usine, affirme pour sa part que la panne de jeudi n’est pas catastrophique. « La panne de cet après-midi de jeudi n’a pas duré trop longtemps, tout juste deux heures. Ces sont des choses qui arrivent toujours. C’est comparable à une coupure d’électricité qui peut affecter le domicile d’un particulier mais sans grandes conséquences. En somme, rien de plus anormal », relève El Haddad en affirmant que des « réglages » ont été nécessaires à l’occasion. Sans trop s’étendre sur l’origine de la panne, le DG de HWD relèvera que l’alimentation du grand Alger « se fait normalement ». « Aucun souci ne doit être fait », poursuit-il. Les pannes ont-elles augmenté depuis la mise en fonction de l’usine à la mi-février dernier ? Motus et bouche cousue. Au problème de la pollution vite battu en brèche par la société semble s’ajouter le problème de la mise en marche quotidienne de l’usine. La joint-venture est détenue par Ionics (Etats-Unis), à hauteur de 70% et par AEC et l’Algérienne des eaux (ADE) à hauteur de 30%. L’usine du Hamma a été construite sous forme de « build, own and operate », obligeant la société réalisatrice à en assurer la gestion durant une période de 25 ans pour le propriétaire actuel. Quelque 200 000 m3/jour est le volume de l’eau devant être « mis sur le marché » par cette usine composée de trois unités avec neuf trains de 25 126 m3/j chacun. Le tiers de eaux dans la capitale seront ainsi produites par la station du Hamma.
[ source ]
Par Nadir Iddir
El Watan, Ă©dition du 17 Aout 2008

Plus d’un milliard de personnes manque d’eau

# Administrateur | 17/08/2008 | Info

SEMAINE INTERNATIONALE DE L’ASSAINISSEMENT ET DE L’HYGIĂNE Ă€ STOCKHOLM
Plus d’un milliard de personnes manque d’eau
manque d'hygiene
« 5000 enfants meurent chaque jour de diarrhée à cause du manque d’hygiène et de toilettes décentes.»


Assainissement et hygiène. Ce sont deux questions fondamentales qui méritent qu’on s’y attarde et sur lesquelles 2500 experts se penchent, à l’occasion de la semaine internationale de l’eau qu’abrite Stockholm à partir de demain. Ce 18e rendez-vous planétaire placé sous le thème « Progrès et perspectives dans le domaine de l’eau: pour un monde plus propre et plus sain », aura lieu au moment où plus d’un tiers de l’humanité est privé d’installations sanitaires. Le cas de l’Algérie figure parmi les plus édifiants. Saleté, irresponsabilité des uns, incivisme et indifférence des autres...font de nos villes des dépotoirs à ciel ouvert. Elles « surclassent » d’autres villes méditerranéennes réputées avoir atteint le point culminant de la saleté.

En cette période caniculaire, des milliers de personnes atteintes de maladies respiratoires, chroniques ou autres, subissent les conséquences des odeurs nauséabondes que dégagent nos cités.

« La capitale a besoin de rénover toutes ses infrastructures en matière d’approvisionnement en eau, d’hygiène, d’assainissement et de maintenance des bâtisses pour les hisser au niveau des capitales du monde ou celles de pays de même rang », avait déclaré le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, M.Zerhouni. Ce constat est vécu à travers les quatre coins de la planète. Au moment où l’urgence de mener des actions communes s’impose, les responsables des différents pays se regardent le nombril.
Cette situation risque d’avoir des conséquences dramatiques sur la santé publique et représente un véritable défi pour la communauté internationale, l’eau étant une ressource vitale de plus en plus rare. Les facteurs qui démontrent que la goutte d’eau se raréfie sont multiples. Avec l’accroissement de la population mondiale au développement rapide de l’Asie et de l’Afrique, les réserves en eau de la planète risquent, en effet, de s’épuiser, dénoncent à l’unisson les orfèvres en la matière. 1/5 de la population mondiale souffre aujourd’hui d’un manque d’eau. Terrible! Effectivement, c’est terrible car ce chiffre atteindra 30% en 2025. Cette confirmation émane des Nations unies qui ont décrété 2008 année internationale de l’assainissement.

La situation ayant atteint son paroxysme, un accent particulier sera mis sur les dangers liés au manque d’hygiène et d’installations sanitaires, auxquelles 2,6 milliards de personnes n’ont pas accès. Alarmant!Gravissime! « Ce n’est pas très populaire de parler de toilettes, d’excréments et de menstruations, mais ce sont des questions-clés étroitement liées au développement », a expliqué à l’AFP Stephanie Blenckner, porte-parole de l’Institut international de l’eau (SIWI), organisateur de l’événement. Les chiffres donnent le tournis. « 5000 enfants meurent chaque jour de diarrhée à cause du manque d’hygiène et de toilettes décentes », a-t-elle ajouté. Et de mettre en exergue le rôle primordial que joue l’éducation autour de ces questions. Un autre thème abordé sera celui de l’impact des activités humaines sur l’environnement. « Il faut bien comprendre que ce que l’on mange, ce que l’on achète, ont des conséquences immédiates sur les ressources en eau », a expliqué Mme Blenckner.

D’autre part, elle a rappelé que les pays européens n’étaient pas épargnés par le problème de l’eau, relevant que « 20 millions d’Européens n’ont pas accès à des installations sanitaires décentes ».
Durant la rencontre qu’abrite la capitale suédoise, les experts plancheront également sur les solutions concrètes qui peuvent être apportées pour s’adapter aux changements climatiques. « La question n’est plus de savoir s’il y a un changement du climat ou pas. On sait qu’il y a un réchauffement climatique et il faut maintenant réagir », enchaîne Mme Blenckner.
[ source ]
Par Fouad IRNATENE
L'Expression, Ă©dition du 17 Aout 2008

Algérie - 5 milliards de dollars supplémentaires pour l’importation

# Administrateur | 15/08/2008 | Info

Suite à la flambée de l’euro et des prix des produits de première nécessité

L’Algérie débourse 5 milliards de dollars supplémentaires pour l’importation


L’Algérie souffre des répercussions de la hausse des prix des produits industriels et alimentaires de première nécessité. Cela se voit clairement à travers la hausse record de la facture de l’importation depuis le début de l’année.

L’Algérie a déboursé, jusqu’à présent, plus de 5 milliards de dollars supplémentaires, par rapport à l’année dernière. Ce chiffre devrait augmenter suite à la hausse de l’enveloppe de l’importation des produits de première nécessité, qui est passé de 48 à 109% depuis le début de cette année.

Ces chiffres, fournis par les différentes institutions, chargées du commerce extérieur, reflètent les fluctuations enregistrées dans les importations de l’Algérie. Ils expriment également la faiblesse du réseau industriel et agricole algérien et l’incapacité de l’Algérie à réduire sa dépendance de l’étranger, notamment en ce qui concerne les produits alimentaire.

Selon les chiffres officiels fournis par les services des Douanes, les importations de l’Algérie ont augmenté au premier semestre de l’année de 37,70%, par rapport à la même période de l’année dernière. Elles ont atteint 17,914 milliards de dollars, contre 13,009 milliards de dollars, l’année dernière.
Nous constatons que le taux le plus élevé a été enregistré pour les produits alimentaires, atteignant 64,41%. La facture d’importation de ces produits a augmenté de 2 milliards de dollars. Elle devrait augmenter cette année et dépasser le seuil des 7 milliards de dollars.
[ source ]
ElKhabar, Ă©dition du 15 Aout 2008

Une compagnie sucrière nigériane va ouvrir une usine en Algérie

# Administrateur | 15/08/2008 | Info

Industrie sucrière : Une compagnie sucrière nigériane va ouvrir une usine en Algérie


sucre industrieUne des sociétés cotées à la Bourse du Nigeria (NSE), Dangote Sugar Refinery Plc, a déclaré mardi qu'elle allait ouvrir une usine en Algérie l'année prochaine, conformément à sa stratégie d'expansion.

"L'année dernière, nous avons commencé à exporter nos produits vers le Ghana et certains pays enclavés comme le Mali et la Guinée en passant par le Sénégal dans le cadre de notre stratégie d'expansion", a déclaré le directeur général de la compagnie, Abdullahi Sule.

"Nous avons déjà commencé la construction d'une usine en Algérie, nous espérons qu'elle entrera en service en 2009", a dit M. Sule à des investisseurs et agents de change mardi en présentant "Les faits derrière les chiffres" à la Bourse.

Il a indiqué que la compagnie, qui figurait dans le sous-secteur Alimentation/Boissons et Tabac de la Bourse, avait acheté 75% des parts de la société Savannah Sugar, créée par le gouvernement nigérian en 1980 mais qui avait fini par faire faillite avant d'être privatisée.

Dangote a démarré ses activités en 1978 comme une entreprise de commerce du sucre familiale et a été cotée en Bourse en 2007.

Ses principales activités sont le raffinage et la commercialisation du sucre, son exportation vers les pays de la sous-région d'Afrique de l'Ouest et l'Afrique du Nord.

Elle est stratégiquement située à Apapa, le centre industriel de la capitale économique Lagos dans le sud-ouest du Nigeria et profite de la proximité des ports maritimes de Tin Can Island et Apapa.

Selon le directeur général, les bénéfices de la compagnie ont augmenté au fil des ans, sa production étant passée de 434.000 à 469.000 tonnes de sucre au cours du premier semestre de 2008 grâce à une "équipe directoriale efficace et déterminée".

M. Sule a ajouté que le classement financier de l'entreprise était bon, avec un chiffre d'affaires pour les six premiers mois de l'année qui a atteint 43 milliards de nairas contre 40 milliards de nairas enregistrés au cours de la même période l'année dernière (1 dollar US = 118 nairas).

Huit milliards de nairas ont été versés au titre des dividendes en 2007 et 10,2 milliards de nairas au premier semestre de 2008.

"Nous espérons maintenir et dépasser le taux de rentabilité actuel. Nous sommes une entreprise qui est passée du statut d'emprunteur net à celui de déposant net. Pour notre programme d'expansion, nous avons déjà dans notre escarcelle 150 millions de dollars pour financer le projet en Algérie. En ce qui concerne les ressources, la compagnie est dans une bonne situation financière. Nous n'avons pas l'intention de tirer plus d'argent du marché", a indiqué M. Sule.

Le Nigeria, selon le directeur général, a un taux de consommation de sucre très bas, comparé aux autres pays de la sous-région ouest-africaine.

Le Nigeria a un taux de consommation de 7,5 kg de sucre par habitant, le Ghana de 15 kg et l'Algérie, qui a le taux de consommation le plus élevé d'Afrique, 35 kg.

Le Brésil, plus gros producteur mondial de sucre, a un taux de consommation de 56 kg par habitant.

Un responsable de la NSE, qui représentait son directeur général, Binus Yaroe, a souligné que le marché du sucre au Nigeria était énorme en raison de sa population de 140 millions d'habitants.

Il s'est félicité de l'initiative de la compagnie d'étendre son marché au-delà du Nigeria.
[ source ]
La Tribune, Ă©dition du 14 AOUT 2008

L’Algérie deuxième producteur de pomme de terre en Afrique

# Administrateur | 15/08/2008 | Info

Avec 1,9 millions de tonnes sur une superficie de 90 milles hectares

L’Algérie deuxième producteur de pomme de terre en Afrique


pomme de terreL’Algérie occupe la deuxième place, après l’Egypte, dans la production de la pomme de terre en Afrique pour l’année 2007, selon un rapport de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture « FAO » de l’année en cours concernant le volume de la production mondiale de cette matière à large consommation dans le pays.
Les chiffres présentés dans le rapport indiquent que la production nationale a atteint un million et neuf cents milles tonnes durant l’année en cours, cultivée sur une superficie estimée à 90 milles hectares et la moyenne de récolte dans un seul hectare a atteint 21 tonnes, alors que l’Egypte réserve une superficie de deux millions d’hectares pour cultiver cette matière, sa production est estimée à 2.6 millions de tonne pour la même année.

Selon le rapport de la FAO, l’entrée de la pomme de terre en Algérie remonte au milieu de la première décennie du dix neuvième siècle, elle a été cultivée principalement pour l’exporter vers le marché Français. Apres l’indépendance, les agriculteurs récoltaient 250 milles tonnes par année en méditerranée, un tiers de cette quantité était destiné aux marchés d’exportation.

A partir de ce moment là, la pomme de terre est devenue un produit important pour la consommation locale, la production de l’année 2006 a réalisé un record avec 2.18 millions de tonnes. Ce qui a lieu à dire, c’est que la pomme de terre est cultivée sur une superficie atteignant les 90 milles hectares, comme elle peut être cultivée et récoltée dans n’importe quelle région du pays et à n’importe quel mois de l’année.
[ source ]
ElKhabar, Ă©dition du 15 Aout 2008

Algérie - Le Festival de la chanson raï

# Administrateur | 13/08/2008 | Info

Après avoir quitté Oran et s’être installé à Sidi Bel Abbès

Le Festival de la chanson raï lève le rideau sur sa 3e édition

Festival du RaiAprès des semaines de polémique et d’attente, les sonorités raï vont enfin être au centre des célébrations ! Le coup d’envoi de la 3e édition du Festival de la chanson raï a été donné, lundi dernier soir, au stade du 24 Février de Sidi Bel Abbès. Après l’institutionnalisation et la délocalisation du Festival national de la chanson raï, c’est un public plutôt soulagé qui s’est déplacé pour assister à son inauguration.

Dans l’allocution d’ouverture de cette nouvelle édition organisée pour la première fois à Sidi Bel Abbès, sous le slogan «art et patrimoine», la représentante de la ministre de la Culture, Mme Bencheikh, citée par l’APS, a tenu à souligner que ce festival «constitue une forme de reconnaissance envers ceux qui ont donné beaucoup à la chanson raï à l’instar de cheikh Abdelmoula, le défunt Zergui, de Raina Raï, et une opportunité pour les jeunes talents de la chanson raï de s’affirmer». Pour d’autres, notamment ceux qui ont tenté de défendre bec et ongles la tenue de la 17e édition de ce festival à Oran, celui de Bel Abbès sera vécu comme un camouflet. Mais trêve de querelles ! L’heure est à la célébration de la musique, un art censé adoucir les mœurs…

Le plateau artistique de la première soirée était riche et varié par la présence de nombreuses stars du raï, en l’occurrence Hakim Salhi, cheb Redouane, et cheba Sihem. D’emblée, cette dernière ouvrira le bal en captivant le public belabessien. Elle interprétera des chansons connues qui n’ont pas laissé l’assistance indifférente. Tour à tour, Hakim Salhi, Redouane, Mazouzi et cheb Sofiane suivront le rythme en créant une ambiance festive bien spécifique à la musique raï, qui ne manque pas de s’affirmer de plus en plus comme la musique favorite des Algériens.

Mais avant de savourer ses notes mélismatiques et ses envolées lyriques, le public découvrira un tableau artistique retraçant l’historique et l’évolution de la musique raï allant du bédoui typique représenté par Bouteïba Saïdi jusqu’à la nouvelle forme du raï représentée par le chanteur Djillali du célèbre groupe Raïna Raüi de Sidi Bel Abbès.
Ce festival, animé par l’artiste Hadjem Cherif (H’mimiche), s’étalera jusqu’au 16 août prochain avec la participation de plusieurs vedettes nationales de la chanson raï. Abdelkader El Khaldi, Zahouania, Houari Benchenet, Houari Dauphin, Mohamed Lamine, cheb Anouar et d’autres jeunes chanteurs sont tous au rendez-vous. Donc, beaucoup de bonheur pour les habitants de Sidi Bel Abbès et autant de regrets pour ceux d’Oran qui se sont vus privés d’un festival qui les avait fait vibrer 16 années durant !
[ source ]
Par Fella Bouredji
Photo : ZoheĂŻr/span>
La Tribune, Ă©dition du 13 AOUT 2008

Algérie-France, Feu vert de la CE : une alliance Sonatrach-Total

# Administrateur | 13/08/2008 | Info

Algérie-France : Feu vert de la CE pour une alliance Sonatrach-Total pour réaliser un projet pétrochimique
Feu vert de la CE pour une alliance Sonatrach-Total pour réaliser un projet pétrochimique




sonatrah-TotalLa Commission Européenne a autorisé hier une alliance entre Sonatrach et Total pour la construction d'un complexe pétrochimique à Arzew (ouest algérien), projet qui doit être réalisé en joint venture entre ces deux compagnies, a indiqué la commission dans un communiqué.

"La Commission européenne a accordé cette autorisation en vertu du règlement sur les concentrations, l'acquisition du contrôle en commun de deux nouvelles sociétés constituant une entreprise commune (coentreprises) entre Total SA de la France et la Société nationale pour la recherche, la production, le transport, la transformation et la commercialisation des Hydrocarbures SPA de l'Algérie (Sonatrach)", a-t-elle précisé.

Selon la même source, le dossier a été examiné selon la procédure dite "simplifiée", réservée aux dossiers ne posant pas à priori de problème de concurrence.
Ce projet, dont l'investissement est estimé à 3 milliards de dollars, comprend un craqueur d'éthane et trois lignes de produits. Le démarrage des unités est prévu dans cinq ans.
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 12-08-2008

Classement mondial «Top Airline Group» : Air Algérie 113ème

# Administrateur | 11/08/2008 | Info

Classement mondial «Top Airline Group» : Air Algérie 113ème




air algerie logoLa compagnie aérienne algérienne Air Algérie est classée au 113ème rang dans le classement mondial des compagnies aériennes, publié par la célèbre revue anglaise «Airline Business», spécialisée dans l’aviation. La revue qui publie chaque année le «Top Airline Group», classe les 150 premières compagnies aériennes dans le monde (passagers et fret). Il faut noter que dans ce Top Airline 2007, les compagnies aériennes sont classées en termes de chiffre d’affaires réalisé au cours de l’exercice précédent. Et Air Algérie se trouve donc en bas de l’échelle. La compagnie, qui a transporté en 2007, 3,5 millions de passagers et 20.000 tonnes de fret, avec un chiffre d’affaires en évolution de 22% par année depuis la période 2002, est classée derrière l’Egyptien Egypte Air (82) et le marocain Royal Air Maroc (73). La compagnie nationale devance, toutefois, le tunisien Tunisiair (115) pour se situer dans un bon positionnement africain et arabe. Quant au reste du classement, nous retrouvons toujours en tête du peloton le groupe franco-néerlandais Air France-KLM, suivi de l’allemande Lufthansa et l’américaine FedEx. En Afrique, South African Airways est la première compagnie africaine qui figure sur cette liste mondiale. De la 39ème place en 2006, elle est passée à la 43ème place en 2007, soit quatre points en moins. Royal Air Maroc est classée deuxième compagnie africaine après la compagnie South African Airways. Kenya Airways est au 100ème rang et Tunisair au 115ème rang. Dans les pays arabes, c’est Emirates Group qui vole la vedette cette année. De la 18ème place en 2006, la compagnie émiratie est passée à la 15ème place, se positionnant ainsi comme la meilleure compagnie aérienne arabe.

Difficile conjoncture
Pour sa part, la Saudi Arabian Airlines est classée au 29ème rang contre le 28ème rang en 2006. Après Emirates Group et Saudi Arabian Airlines, Qatar Airways est la troisième compagnie arabe dans ce Top Airline 2007. En 2006, la compagnie qatarie occupait la 49ème place, aujourd’hui elle est classée à la 50ème place par Airline Business. En Europe, en plus d’Air France-KLM et Lufthansa, il y a la compagnie aérienne espagnole Iberia qui est arrivée à garder sa place au 21ème rang dans ce classement international. Actuellement, Iberia est en discussions de fusion avec British Airways qui occupe la 8ème place mondiale. Pour cette année, les professionnels du transport aérien s’attendent à une conjoncture de plus en plus difficile. Selon l’Association internationale du transport aérien, la situation va «empirer». La facture pétrolière pèse lourd sur les finances des compagnies aériennes.

Aux Etats-Unis, toutes les grandes compagnies, à l’exception de Southwest, viennent d’enregistrer des pertes et sont contraintes de réduire leurs vols, leurs flottes et leurs effectifs. D’ici un an, le Top Airline 2008 d’Airline Business révélera le nom des compagnies aériennes qui sont arrivées à gérer cette situation de crise. Il est évident que la compagnie algérienne est arrivée à gérer cette crise et l’on prévoit un important rebond dans le classement en faveur d’Air Algérie, si toutefois, parvenait-elle à émettre des prix compétitifs sur le marché international.
[ source ]
Par Le Financier 10 August, 2008 03:10:00
dz-web, Ă©dition du 11 Aout 2008

Tunisie Place de Marché et CEDEM Algérie lancent une plateforme

# Administrateur | 11/08/2008 | Info

Tunisie Place de Marché et CEDEM Algérie lancent une plateforme B2B en ligne


made in algeriaTunisie Place de Marché vient de signer un contrat de partenariat avec CEDEM Algérie pour le lancement de la 1 ère Place de marché de l'Algérie www.made-in-algeria.net au mois d'octobre 2008. A l'instar de www.made-in-tunisia.net, cette plateforme est dédiée aux entreprises souhaitant accéder à une banque de données sur les produits, opportunités d'affaires, entreprises, marchés publics et gré à gré de l'Algérie.

Le portail regroupera les modules suivants :

• Un moteur de recherche par mot clé (par produit, entreprise, achat/vente, affaires B2B, appels d'offres, actualité) et guidée par thème (secteur, activité, catégorie de produits…)

• La publication des dernières demandes d'achat, offres de vente, opportunités d'affaire et appels d'offres classés par pays émetteur.

• Une sélection de dossiers, publi-reportages sur les produits, les évènements, le savoir faire et les nouveaux projets des entreprises…

Le lancement de ce portail s'inscrit dans la stratégie des dirigeants de la société à mettre en place un réseau d'affaires entre plusieurs pays pour tirer partie de l'effet de synergie du commerce électronique B2B. « Les entreprises tunisiennes auront la possibilité de s'informer des opportunités d'affaires et de se mettre en relation avec les 25 000 entreprises algériennes qui seront référencées dans la place » : affirme Mr Ali BABBOU, initiateur du projet.
[ source ]
Par Investir en Tunisie 11 August, 2008 03:15:00
dz-web, Ă©dition du 11 Aout 2008

Yahoo ! offre plus de contrĂ´le Ă  ses internautes

# Administrateur | 11/08/2008 | Info

> MULTIMEDIA

Yahoo ! offre plus de contrĂ´le Ă  ses internautes



Le groupe internet Yahoo ! a annoncé, vendredi dernier, octroyer à ses internautes plus de contrôle sur leurs données privées en ligne, en leur permettant de refuser de recevoir des publicités ciblées.


Yahoo ! étend ainsi à son réseau de sites une option qui existait déjà dans des sites partenaires, indique un communiqué. Elle sera opérationnelle d’ici à la fin du mois. Cette annonce fait suite à des inquiétudes récentes du Congrès américain sur l’utilisation des données privées des internautes à des fins commerciales. Dans ce cadre, le Congrès a envoyé des requêtes à 33 entreprises américaines. « Yahoo ! est pleinement conscient que la confiance de nos internautes est notre meilleur atout, aussi travaillons-nous à créer l’expérience en ligne la plus fiable possible », a commenté le groupe. « Les consommateurs aiment avoir le choix quand il s’agit de personnaliser leur activité en ligne, et ils ont déjà montré leur forte préférence pour des publicités qui sont plus pertinentes à un niveau individuel. Toutefois, nous comprenons que certains internautes préfèrent ne pas recevoir de publicités ciblées et notre nouvelle option leur donnera plus de choix », a ajouté Yahoo !.
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 11 Aout 2008

Alger - Vers un assainissement global des Ĺ“uvres universitaires

# Administrateur | 10/08/2008 | Info

La direction générale de l’ONOU veut sévir

Vers un assainissement global des Ĺ“uvres universitaires


DG ONOULa direction générale de l’Office national des œuvres universitaires (ONOU) poursuit son programme d’assainissement et de remise à jour du secteur à travers le territoire national.

Des changements importants devront être entrepris à la tête des directions des œuvres universitaires au niveau des wilayas du pays, nous dit-on également. La rentrée universitaire 2008/2009 sera marquée par de nouvelles mesures notamment pour ce qui est de la gestion des marchés publics, de la nomination des responsables et directeurs des résidences universitaires et autres mesures disciplinaires à l’encontre des contrevenants et fauteurs de troubles au sein du secteur. On croit savoir également que la direction générale de l’ONOU va titulariser quelque 8 248 vacataires à travers les différentes résidences universitaires.

Les partenaires sociaux seront appelés à suivre ce mouvement global de changement indispensable à la survie du secteur gangrené par la mauvaise gestion et les innombrables tares. Le cas de la wilaya d’Oran est assez édifiant sur la manière dont est géré le secteur, notamment à travers la mafia qui a établi sa mainmise sur toutes les résidences et créé une rente inimaginable. Le cas de ce syndicaliste arrivé à l’âge de la retraite, soutenu par l’Union de wilaya UGTA pour des raisons évidentes, est assez significatif quant à la destination des fonds publics. Le nouveau directeur général de l’ONOU, M. Bellocif, a du pain sur la planche. Sa disponibilité et son courage devront venir à bout de ces stigmates qui gangrènent le secteur. Des changements radicaux sont nécessaires, voire indispensables à Oran en vue d’une bonne rentrée universitaire. Il y a lieu de signaler que, durant la semaine dernière, une commission supervisée par le directeur de l’administration et des moyens de l’ONOU a procédé à l’installation du nouveau directeur des œuvres universitaires de la wilaya de Sidi Bel Abbès, nous dit-on. A Oran, le préjudice porté aux caisses de l’ONOU est inimaginable. Après l’affaire des mises en débit d’office comme trouvaille de ce syndicaliste qui se graisse les pattes, nous avons appris que des stades ont été réalisés à hauteur de 280 millions de centimes, alors que deux autres cités se sont distinguées par leur austérité.

Le même stade, avec les mêmes dimensions et probablement plus meilleur, a été facturé à moins de 170 millions de centimes. Le contrôle de la gestion de la DOU semble passer à côté de l’essentiel pour s’intéresser à huit tickets de restaurant manquants dans d’autres structures rebelles. Il s’agit là d’écarts considérables dans la réalisation de ces stades triphasés qui devraient intéresser les responsables centraux. Autre phénomène inquiétant, la présence de directeurs de plus de 7 années dans une même résidence. Ce qui est anormal. Autre exemple, un ouvrier professionnel devient directeur d’une résidence universitaire et s’enrichit à vue d’œil. Cela n’arrive qu’à Oran. Où sont passés les représentants de l’ONOU à Oran ?
[ source ]
Par Mohamed Ouanezar, correspondant Ă  Oran
Photo : S. Zoheir
La Tribune, Ă©dition du 10 AOUT 2008

Algérie - Le marché informel prend de l’ampleur

# Administrateur | 10/08/2008 | Info

Le marché informel prend de l’ampleur

Les limites de la coercition


marche informelLa neutralisation du commerce informel s’est imposée comme une étape nécessaire pour la maîtrise de l’économie nationale. L’ampleur prise par le phénomène pousse de manière discontinue les autorités à prendre différentes mesures pour rétablir l’activité commerciale légale dans toute sa diversité. Officiellement, une campagne sans merci est menée contre tous ceux qui activent dans ce créneau. Alors qu’il est impératif d’éradiquer ce genre d’activités qui empoisonne l’économie nationale, les mesures prises par les pouvoirs publics semblent pécher par leur inefficience. La preuve : les marchés informels prolifèrent. Comme si ceux qui y activent échappaient à tout contrôle. Les citoyens s’en rendent compte dès qu’ils sont à la recherche d’un objet à acheter. Ils sont informés dès lors de «la disponibilité de l’objet dans certains marchés et à un prix très abordable». Devant un pouvoir d’achat en net affaiblissement, les Algériens n’hésitent pas naturellement à aller à la recherche de l’achat le moins coûteux.
La population se soucie très peu de la qualité de la marchandise mise en vente. A El Hamiz (Alger), tout se vend et tout s’achète, sans la moindre facturation. A Tedjanent, c’est le même constat. Dans ces lieux, les règles commerciales n’ont pas leur place. Tout le monde préfère vendre et acheter en marge de toute réglementation. Manifestement, les services concernés par l’opération de contrôle se révèlent impuissants devant l’extension de cette activité. Ce n’est pas le renforcement du nombre de contrôleurs qui va freiner la vitesse du phénomène même si le ministère du Commerce tente d’étoffer son personnel en lançant, il y a deux semaines, un appel de recrutement de 500 inspecteurs principaux de la qualité et de la répression des fraudes. Il est à noter que le niveau du commerce informel s’accroît à l’approche de chaque rentrée sociale avec l’exposition à la vente de différents articles scolaires…

Devant l’incapacité du gouvernement à neutraliser ces zones de nuisance à l’économie nationale, plusieurs acteurs du secteur ont émis des propositions, dont la défiscalisation et la régularisation de ceux qui s’adonnent à cette activité. Pour le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, « l’allègement des charges fiscales et parafiscales des entreprises est une solution idéale pour lutter contre le marché informel en Algérie ».

Le même responsable avait ajouté que «le marché informel en Algérie constitue un danger car c’est une activité qui ne paye pas d’impôts et exerce une concurrence déloyale sur une activité déclarée». Certains disent que le problème se pose au niveau de l’importation. Pour le président de l’UGCAA, « il existe une loi qui régit et qui classe les importateurs. Cette loi fixe le minimum du capital qui permettrait à toute personne d’exercer l’importation ».

La mesure est bonne, selon M. Souilah, car, avait-il expliqué précédemment, la nouvelle disposition juridique va permettre à tout le monde d’accéder à l’importation.
La nouvelle loi va encourager la concurrence dans le domaine de l’importation, ce qui favorisera la lutte contre l’informel. Ainsi, les personnes intéressées par l’importation ne seront pas contraintes de travailler dans la clandestinité.
[ source ]
Par Amirouche Yazid
Photo : Riad
La Tribune, Ă©dition du 10 AOUT 2008

Le président chinois a prononcé un discours très fort

# Administrateur | 10/08/2008 | Info

Le président Hu Jintao : « Les jeux Olympiques sont non seulement une grande fête sportive, mais aussi et surtout une plate-forme d’échanges »




President Chinois JOLe président chinois a prononcé un discours très fort, jeudi, lors d’un déjeuner offert à plus de 80 chefs d'Etat, chefs de gouvernement et membres de familles royales venus assister à la cérémonie d'ouverture des JO

Le président chinois a prononcé un discours très fort, jeudi, lors d’un déjeuner offert à plus de 80 chefs d'Etat, chefs de gouvernement et membres de familles royales venus assister à la cérémonie d'ouverture des JO. Un discours où le président rappellera que : " Le mouvement olympique, né il y a plus de 2.800 ans au site sacré d'Olympie, est un précieux patrimoine spirituel et culturel laissé par les Grecs anciens à l'humanité. Tandis que le mouvement olympique moderne, fondé en 1894, a hérité les traditions olympiques et est devenu, au bout de nombreuses années d'évolution, la fête culturelle et sportive la plus populaire et la plus influente dans le monde d'aujourd'hui. "
De ce fait, selon lui, au cours des jeux Olympiques précédents, les sportifs des différents pays, fidèles à la devise " Plus vite, plus haut, plus fort " n'ont jamais cessé de rechercher la perfection, en faisant preuve d'opiniâtreté et de persévérance. " Par les exploits ainsi réalisés, ils ont contribué au développement du sport dans le monde '' a-t-il dit en précisant que les jeux Olympiques sont non seulement une grande fête sportive, mais aussi et surtout une plate-forme d'échanges culturels. " En rassemblant les gens de différents pays et de différentes nations, aux cultures différentes, le mouvement olympique international renforce la connaissance mutuelle et l'amitié entre les peuples du monde, et apporte par là une contribution majeure à la noble cause de la promotion de la paix et du développement de l'humanité ", a-t-il ajouté.

Par ailleurs, M. Jintao dira que le monde d'aujourd'hui fait face à des opportunités de développement inédites, mais aussi à des défis sérieux sans précédent. " On a besoin, plus que jamais, de se comprendre, de se tolérer et de coopérer. Les jeux Olympiques de Beijing représentent non seulement une chance pour la Chine, mais aussi une chance pour le monde. Nous devons, à travers la participation aux jeux Olympiques, contribuer à faire rayonner l'esprit olympique de solidarité, d'amitié et de paix, et à promouvoir la communication entre les hommes, l'approfondissement de la connaissance mutuelle, le raffermissement de l'amitié et le dépassement des divergences, de sorte à instaurer un monde harmonieux de paix durable et de prospérité partagée. "

Enfin, le président affirmera que le fait d’organiser les jeux Olympiques à Pékin, " est un rêve séculaire de la nation chinoise, une aspiration commune de tous les Chinois. Depuis la désignation de Beijing en 2001 comme ville d'accueil des jeux Olympiques, le gouvernement et le peuple chinois ont rempli scrupuleusement les engagements solennels pris devant la communauté internationale et déployé tous leurs efforts pour mener à bien les préparatifs, conformément au concept d'une olympiade verte, high-tech et humaine. Je suis convaincu qu'avec le soutien du CIO et de la grande famille olympique internationale, nous serons capables d'offrir, tous ensemble, une olympiade originale et de grande qualité ", a-t-il enfin souligné.
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 08-08-2008

Près de 3500 Algériens se sont installés en 2007 au Canada

# Administrateur | 10/08/2008 | Info

> ACTUALITÉ

Canada Logo

Immigration légale



Près de 3500 Algériens se sont installés en 2007 au Canada

En 2007, 3414 ressortissants algériens ont été admis régulièrement à immigrer au Québec (Canada).


C’est le chiffre publié par le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles, qui a déposé un dossier cet été à l’Assemblée nationale du Québec, et qu’a rapporté vendredi la presse canadienne. L’Algérie est ainsi pour 2007 le troisième pays d’origine de l’immigration, devant le Maroc, premier avec 3612 nouveaux immigrants et la France avec un total de 3467. Le Québec a accueilli 45 221 immigrants en 2007, un nombre inférieur à l’objectif de 48 000 admissions fixé par le gouvernement local. La Colombie, la Chine, la Roumanie, le Liban et le Mexique figuraient aussi parmi les plus grands réservoirs de candidats à l’immigration au Québec, qui occupe le deuxième rang au Canada, très loin derrière l’Ontario a admis, en 2007, 111 369 immigrants, soit 47% du total d’arrivants débarqués officiellement au Canada pendant l’année (236 689 personnes). Ces chiffres ne tiennent pas compte des clandestins.
[ source ]
Par W. M.
El Watan, Ă©dition du 10 Aout 2008

Alérie - alléger les contraintes des citoyens

# Administrateur | 10/08/2008 | Info

Une préoccupation majeure : alléger les contraintes des citoyens




Les titulaires de comptes au niveau des PTT (salariés, retraités, boursiers...) accueilleront sans doute avec beaucoup de satisfaction la nouvelle annonçant incessamment la fin des longues attentes et autres désagréments auxquels ils sont habituellement confrontés, lors des opérations de retrait d’argent au niveau des guichets des chèques postaux.

Les services du chef du gouvernement viennent d’annoncer, en effet, qu’une série de mesures ont été prises pour éviter les tensions habituellement observées pendant les périodes de forte affluence des usagers suite au virement des salaires et pensions. La promesse est faite pour que les choses se passeront dans la célérité avec une bonne qualité du service. Cette amélioration de la qualité des prestations de cet important service public que sont les PTT doit intervenir pour garantir une rentrée scolaire et un début de mois de Ramadhan dans les meilleures conditions possibles du point de vue des relations entre les usagers et la poste. Autres bonnes nouvelles, c’est la mise en circulation de billets de 200 dinars fraîchement sortis de la planche à billets de la Banque d’Algérie et le retrait progressif des vieux billets qui sont dans un état lamentable.

Il est question, également, d’améliorer le fonctionnement des distributeurs automatiques de billets installés au niveau des banques et bureaux de poste. Les mesures qui viennent d’être décidées n’ont pas un caractère conjoncturel, mais sont appelées à s’inscrire dans la durée, souligne-t-on, et à cet égard, on indique qu’un suivi de la mise en œuvre des mesures prises sera assuré. De quoi rassurer les nombreux usagers de la poste et particulièrement ceux qui profitent actuellement des vacances qui se réjouissent certainement à l’idée qu’ils aborderont la rentrée et le Ramadhan en étant allégés de ce genre de souci. De quoi préserver encore pour un temps les précieuses batteries qu’on s’est attaché à recharger pendant les vacances.

L’allégement des contraintes des citoyens constitue une préoccupation majeure du gouvernement. Des investissements importants sur le budget de l’Etat vont dans la réalisation de logements, d’infrastructures de transport (métro, autorail, téléphériques...), contribuant au bien-être des citoyens et au dynamisme de l’activité économique.
[ source ]
Par Brahim
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 09-08-2008

Une cérémonie en l’honneur des sportifs algériens à Pekin

# Administrateur | 09/08/2008 | Info

Le chef de l’Etat les a fortement encouragés

Une cérémonie en l’honneur des sportifs algériens à Pekin


JO ceremonieLa présidence de la République a organisé jeudi dernier, en fin d’après-midi, à Pékin, au luxueux hôtel «Regent» une cérémonie en l’honneur des 61 sportifs algériens engagés dans les compétitions des jeux Olympiques dont le coup d’envoi a été donné hier soir. Le chef de l’Etat, M. Abdelaziz Bouteflika, qui a assisté à cette cérémonie en compagnie de son ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Hachemi Djiar, a tenu à saluer tous les athlètes présents. Il a, en outre, adressé à chacun d’eux des messages de soutien d’encouragement. Une manière de les motiver à la veille de cet événement planétaire. Le président du Comité olympique algérien (COA), Mustapha Berraf, a également assisté à cette cérémonie, ainsi que quelques autres personnalités et le staff diplomatique algérien exerçant à Pékin. Les anciennes gloires Hassiba Boulmerka et Nordine Morsli ont été conviées aussi.

Pour rappel, le président Bouteflika se trouve depuis jeudi dernier dans la capitale chinoise pour assister à la cérémonie d’ouverture des JO sur invitation de son homologue chinois, Hu Jintao. Plusieurs autres chefs d’Etat y ont pris part. Les sportifs algériens, qui n’ont pu cacher leur joie de voir le chef de l’Etat venir jusqu’à eux pour les encourager, ont été très réceptifs à ses messages de soutien. La jeune judokate Soraya Haddad nous a déclaré, à la fin de la cérémonie, qu’elle était très émue par cette visite. Même chose du côté de tous les autres athlètes qui se précipitaient vers lui pour prendre des photos. Le président du COA a estimé pour sa part que le fait que le président de la République s’est déplacé pour assister à cette cérémonie prouve qu’il donne une importance majeure au sport algérien. C’est dire que cette fois-ci l’Etat a mis énormément de moyens pour faire réussir la participation algérienne. Il est à noter que le montant global de la participation algérienne à ces JO avoisine les 177 millions de dinars (1,4 million euros environ), selon les chiffres donnés récemment par le président du Comité olympique algérien.

Et si Bouteflika s’est envolé à Pékin pour assister à la cérémonie d’ouverture, et, pour l’occasion, rencontrer les athlètes algériens, il faudrait que ces derniers ne déçoivent pas. D’ailleurs, il est utile de rappeler que des récompenses ont été promises aux sportifs qui décrocheront des médailles. Une médaille d’or vaut 70 000 dollars, l’argent 40 000 et le bronze 20 000 dollars. D’autre part, un logement et une voiture seront également offerts à chaque médaillé. En tout cas, durant cette cérémonie, les uns et les autres donnaient l’air d’être optimistes pour la suite des événements. Pour rappel, l’Algérie sera présente à Pékin dans 12 disciplines. Les premiers à entrer en lice sont les judokas.
[ source ]
Par A. A.
La Tribune, Ă©dition du 09 AOUT 2008

Les 29èmes jeux Olympiques se sont ouverts hier à Pékin

# Administrateur | 09/08/2008 | Info

Les 29èmes jeux Olympiques se sont ouverts hier à Pékin

Grandioses… Chinois !


JO grandiose chinoisGrandiose. Magnifique. Somptueuse. Ces mots se révèlent insignifiants pour décrire la magnificence de cette cérémonie d’ouverture des 29èmes jeux Olympiques (JO) d’été. Jamais un pays n’a réussi un tel spectacle. La cérémonie chinoise surclasse de loin toutes les cérémonies organisées à ce jour et place la barre très très haut pour les futurs organisateurs des JO. Sous les caméras des télévisions de la terre entière, les Chinois ont tenu en haleine les 5 milliards de téléspectateurs qui ont suivi le magistral spectacle. De véritables prouesses techniques doublées d’incontestables performances humaines ont rendu hommage à la culture millénaire du pays.

La Chine a prouvé qu’elle n’est pas seulement le pays le plus peuplé du monde, mais c’est aussi le pays qui sait vanter son histoire et sa culture ô combien riche et glorieuse. C’est dans son nouveau stade national, baptisé le «Nid d’oiseau», pouvant contenir 91 000 spectateurs, que les Chinois ont reçu près de 80 chefs d’Etat, dont le président de la République Abdelaziz Bouteflika, le président américain George W. Bush, Le Premier ministre russe Vladimir Poutine et le Français Nicolas Sarkozy.
Et c’est devant les maîtres du monde que les Chinois ont prouvé qu’ils étaient les maîtres indétrônables de la cérémonie. Entre magie, splendeur, faste et somptuosité, la scénographie orchestrée par le cinéaste Zhang Yimou a dirigé d’une main de maître les jeux de lumières et la synchronisation humaine époustouflante, mobilisant pas moins de 14 000 personnes.

Deux mille huit caissons «fous» (percussions antiques) ont fait une entrée magistrale pour lancer le compte à rebours jusqu’à l’ouverture officielle de la cérémonie par le premier feu d’artifice, à 20 heures locales (13h, heure algérienne). La fête chinoise démarre avec le message de bienvenue de l’inévitable Confucius («N’est-ce pas un bonheur d’avoir des amis qui viennent de loin ?»), pour revenir vers la mère patrie par la lecture du poème A la gloire de notre pays, et la levée du drapeau rouge à cinq étoiles par des militaires entourés des gamins représentant les 56 ethnies du pays.

Les Chinois ont rappelé à la terre entière que l’invention du papier, c’était la Chine antique. L’hommage à leurs ancêtres qui ont su mettre l’humanité sur le chemin de l’écriture s’est illustré par le grand parchemin sur lequel se relayaient des danseurs peintres introduisant ainsi l’art de l’écriture. Dans une chorégraphie de blocs mouvants, animés par des humains, les sociétaires du spectacle ont réussi une performance éblouissante. La musique est introduite à travers l’opéra puis les cinq dynasties chinoises (Tang, Song, Yuan, Ming et Qing). Des musiciens aux trônes ascensionnels en colonnes imposantes terminaient en stylites mélomanes. La modernité n’a pas été à l’écart dans le spectacle chinois. La fluorescence d’une masse humaine ondoyante et chatoyante cernait le célèbre pianiste Lang Lang et son instrument, jusqu’à bâtir en pyramide humaine le stade olympique «Nid d’oiseau». Un tableau forçant l’admiration des plus exigeants.

La fête chinoise n’aurait pas été édifiante sans la démonstration des arts martiaux. Les Chinois ont choisi le «tai chi chuan» pour l’occasion, représentant l’harmonie entre l’homme et la nature avant qu’une boule sorte de terre, la Terre justement, entourée de centaines de femmes brandissant des portraits d’enfants de toutes origines. L’ouverture de la Chine sur le monde s’accomplit avec l’entrée dans le stade des 204 délégations d’athlètes. S’égrenant derrière la délégation grecque et son porte-drapeau, les Chinois ont tenu à marquer de leur sceau le défilé des délégations en imposant leur alphabet pour l’ordre d’entrée au stade.

De mémoire de jeux Olympiques, jamais un pays n’a réussi de telles prouesses. La Chine a réussi son pari. Exaltant avec magnificence leur civilisation, les Chinois ont démontré au monde entier que leur puissance n’est pas seulement économique, qu’elle est avant tout civilisationnelle. Car un peuple qui compte sa civilisation par plusieurs millénaires ne saurait être en deçà de la grandeur et des exploits de ses augustes ancêtres.
[ source ]
Par Abdelghani Aïchoun, envoyé spécial à Pékin
La Tribune, Ă©dition du 09 AOUT 2008

Algérie - retraités : pensions inférieures à 20 000 DA exemptes de l’IRG

# Administrateur | 09/08/2008 | Info

> ÉCONOMIE

Travailleurs retraités : Les pensions inférieures à 20 000 DA exemptes de l’IRG

La loi de finances 2008 complémentaire a introduit de nouvelles mesures fiscales en faveur de certaines catégories de personnes et d’activités.


Il s’agit, en premier lieu , de la hausse du seuil de l’exonération accordée aux travailleurs handicapés moteurs, mentaux, non-voyants et sourds-muets en matière de l’IRG qui passe de 15 000 DA à 20 000 DA, selon un communiqué de direction générale des impôts (DGI), rendu public jeudi dernier. Cette mesure, indique la même source, « vise à ne pas pénaliser les travailleurs handicapés qui ont perdu l’avantage afférent à la franchise de l’impôt sur le revenu global (IRG/salaires), et ce, suite à la révision du barème IRG ». Les travailleurs retraités dont les pensions de retraite du régime général sont inférieures à 20 000 DA n’étaient pas en reste. Ils seront exempts de l’IRG.
Ces mesures aspirent, ajoute la DGI, à soutenir le pouvoir d’achat de certaines catégories sociales démunies et pouvoir accéder à certains produits. Désormais, l’acquisition de PC portables sera moins onéreuse. Le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) aux opérations de vente des PC portables a été ramené de 17 à 7%, selon les dispositions de la loi de finances complémentaire de 2008. D’après la DGI, cette réduction est accordée jusqu’au 31 décembre 2009 en vertu de l’article 24 de la même loi. Par ailleurs, plusieurs dispositions ont été décidées en faveur de certaines activités culturelles. La loi de finances complémentaire 2008 a étendu l’exonération des livres et ouvrages de tous les droits et taxes, accordée en faveur du Salon international du livre d’Alger (SILA). Elle ambitionne, précise le communiqué de la DGI, à « favoriser l’acquisition du livre par le public ». Les libraires en seront les premiers bénéficiaires. Aussi, les recettes provenant des droits d’entrée dans les musées nationaux et parcs zoologiques seront exemptes en matière de droit de timbre de quittance. Cette exonération ne concerne, comme l’indique la DGI, que « les musées et les parcs zoologiques identifiés en tant que tels et dont la gestion est désintéressée et ne profite pas aux autres établissements à but lucratif »
[ source ]
Par Hocine Lamriben
El Watan, Ă©dition du 09 AOUT 2008

Algérie - La datte précoce, le mets de l’été à El Oued

# Administrateur | 07/08/2008 | Info

Proposée à des prix oscillant entre 100 et 200 DA le kg

La datte précoce, le mets de l’été à El Oued

A El Oued, les premières dattes de la saison agricole, appelées localement «ratb» ou «bsser» (datte précoce), fait l’essentiel du menu gastronomique en cette période de grandes chaleurs. Connues également dans d’autres régions sous les appellations «m’naguer», «bakour» ou «bleh», ces primeurs de dattes, qui ont fait leur apparition encore plus prématurément cette saison en raison de la grande vague de chaleur qui sévit depuis la mi-juillet, sont sur les étals improvisés de différents points de vente, marchés, épiceries de fortune ou carrément dans la rue. Ces fruits, dont la cueillette se fait généralement tôt le matin pour préserver les régimes du dessèchement, sont proposés actuellement à des prix oscillant entre 100 et 200 DA le kg, selon la qualité, après avoir franchi, au tout début, le seuil des 400 DA, rapporte l’APS.

Selon plusieurs marchands de primeurs, la tendance est à la baisse des prix du fait de l’importance des quantités cueillies et déjà exposées, pour atteindre les 40-60 DA par kilogramme dans les prochains jours. Ce fruit de taille moyenne, mielleux, aux reflets mordorés, moitié mûr, moitié âpre encore jaunâtre, est collecté de différentes palmeraies. Il ne peut pas être vendu à grande échelle dans les régions du nord du pays car il est très vulnérable aux fluctuations climatiques et pourrit vite lorsqu’il ne trouve pas les conditions adéquates de conservation.

De nombreux ménages de la wilaya d’El Oued optent volontiers, face à l’importance de l’offre et la relative modicité des prix, pour ce plat frugal et hautement riche en protéines, assorti de coupes de lait de chèvre, pour bien se rassasier et étancher sa soif dans ces régions désertiques. Cheikh El Hadi Lobza, un sage bien connu d’El Oued, se rappelle que ce fruit a de tout temps constitué le plat prédominant sur les mets cuits, et a toujours représenté la meilleure offrande qu’on puisse faire à un être cher pendant les dures journées de l’été saharien.
[ source ]
Par la RĂ©daction nationale
La Tribune, Ă©dition du 07 AOUT 2008

Métro d’Alger: le projet initial ne sera pas livré avant 2014

# Administrateur | 05/08/2008 | Info

Métro d’Alger: le projet initial ne sera pas livré avant 2014 -REVELATION


Les retards s’accumulent et les dépenses s’envolent pour le métro d’Alger. Selon une source proche du dossier, les principaux partenaires étrangers de l’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), dont le français RATP, ont signé récemment des avenants à leurs contrats qui prévoient notamment une révision à la hausse des tarifs des prestations. Cette révision est intervenue après de fortes tensions entre EMA et ses partenaires.

Les difficultés techniques et les choix initiaux des Algériens ont nécessité de nombreux aménagements et travaux couteux qui ont été facturés à l’EMA. Les aires d’entretiens et de stationnement des futures rames et les quais sont sous-dimensionnés par rapport à la taille des rames. Le métro d’Alger, avant même son lancement, va nécessiter de nombreuses modifications.

Selon la même source, l’ouverture du métro évoqué par Amar Tou lors de sa visite du chantier hier concerne trois stations, entre Hai el Badr et la Grande Poste, soit quelques kilomètres. On est loin du projet initial. Ce dernier, prévoyait un réseau de plus de 65 kilomètres, avec notamment une desserte de l’aéroport international Houari Boumèdiene. Mais après des années de ratages et de nombreux surcoûts – le chantier a failli être fermé en 1990-, le gouvernement a décidé de revoir à la baisse ses ambitions en réalisant une première partie de 13 stations avant de prévoir le lancement d’une extension.

Résultat : le réseau du métro, tel qu’il a été lancé initialement ne sera pas délivré avant au moins 2014, selon les dernières prévisions jamais rendues publiques. Reste une question : combien aura coûté le projet ? « Plus de 100 fois le prix initial », selon une source proche de l’EMA. Aucun chiffre officiel n’est disponible.
[ source ]
Par sonia lyes le 05/08/2008 Ă  11:47
Tout sur l'Algérie, édition du 05 Aout 2008

Algérie - Concours d'Astronomie Cirta Science

# Administrateur | 04/08/2008 | Info

CONCOURS D’ASTRONOMIE CIRTA SCIENCE
Les lauréats à l’Agence spatiale européenne


Les premiers lauréats du concours Cirta science organisé par l’association Sirius d’astronomie de Constantine, ont réalisé leur rêve: visiter les installations de l’Agence spatiale européenne (ESA) près d’Amsterdam (Hollande) et le centre d’entraînement des astronautes européens à Cologne (Allemagne). Selon un communiqué de l’association, rendu public samedi, les heureux gagnants que sont Akram Yasser Benmissi, Yahia Achour et Abderrahmane Amirèche ont vécu, entre le 21 et le 25 juillet dernier, un voyage inoubliable qui les a menés à Bruxelles, Liège, Cologne et Amsterdam. Ils en sont rentrés émerveillés par ce qu’ils ont vu, fait et rencontré durant ce voyage qu’ils ont effectué en compagnie du Dr Djamel Mimouni, président de Sirius. Lors de ce périple, ils ont vécu en quatre jours un concentré d’événements extraordinaires où ils ont été reçus par les responsables des centres spatiaux, conversé avec des astronautes de renom qui étaient des mythes à leurs yeux et ont pu observer de près des satellites européens sur leur banc d’essai à quelques jours de leur lancement. De l’aveu des responsables même de ESA, ces «prodiges» de Constantine sont la première délégation algérienne et arabe à visiter ces centres de haute technologie. Pour rappel, le concours Cirta science qui constitue une première en Algérie, a mis en compétition dans sa 1ère phase, 500 meilleurs élèves de 50 lycées de la wilaya de Constantine. Devant le succès de cette initiative, l’association Sirius compte rééditer l’expérience l’année scolaire prochaine et lui donner une dimension nationale.
[ source ]
Par R.N
L'Expression, Ă©dition du 03 Aout 2008

Algérie - Les bio agresseurs en ligne de mire

# Administrateur | 04/08/2008 | Info

BIODIVERSITÉ

Les bio agresseurs en ligne de mire


biodiversiteL’Algérie connaît un rythme rapide de dégradation de la diversité biologique et agricole.


Le patrimoine biologique algérien est essentiellement associé à un espace physique marqué par l’aridité climatique et l’exiguïté des espaces exploitables. Les parcours et les forêts constituent la grande partie, soit 40 millions d’hectares, des espaces destinés aux activités agro-sylvo-pastorales. Le territoire valorisé par l’agriculture, évalué à 8 millions d’hectares, est l’apanage d’une diversité de milieux où l’on retrouve une variabilité génétique importante. Selon des experts algériens, l’Algérie fait partie de cette région méditerranéenne considérée comme étant un centre de grande variabilité génétique, ce qui lui permet d’être la source pour de nouveaux caractères recherchés pour l’amélioration de la productivité agricole. Mais, à l’instar des tendances observées à l’échelle mondiale, confirmées par les divers Sommets de la terre (Stockholm, Rio et Johannesburg), l’Algérie connaît un rythme rapide de dégradation de la diversité biologique et agricole. Bien que la disparition de variétés végétales et de types de populations animales soit un phénomène naturel, son accélération ces dernières décennies, a été à l’origine de la rupture des équilibres naturels, de la dégradation des biotopes et de l’érosion génétique chez beaucoup d’espèces. Laquelle accélération est induite par les pressions exercées par le développement des activités humaines et les transformations socioéconomiques. Cela peut constituer un motif de préoccupation pour les pouvoirs publiques et les communautés rurales. D’éminents experts à l’instar de MM.Farrah et Yahiaoui déclarent: «En Algérie, les pertes de terres cultivées avoisinent moyennement les 59% et celle des animaux à 56%.» Cette situation ne va pas sans induire des incidences sur l’alimentation des populations et les tendances enregistrées, ici et là. Ces impacts peuvent devenir impérieuses et préoccupantes. Selon les mêmes spécialistes, l’allusion est, dans notre cas, faite aux nombreuses et infructueuses tentatives d’organiser notre agriculture. La valorisation des ressources biologiques nationales ne saurait se faire en rupture avec le dynamisme des communautés rurales et les écosystèmes qui constituent, en dernière instance, les supports humains et physiques de la biodiversité.

Pour rappel, le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, M.Chérif Rahmani, a présidé, mercredi dernier en son siège ministériel à Alger, une cérémonie en l’honneur du sous-secrétaire général de l’ONU, directeur exécutif de la Convention des Nations unies pour la diversité biologique, M.Ahmed Djoghlaf. Cet hommage lui a été rendu pour tous les efforts qu’il déploie pour la protection de l’environnement et le développement durable dans le monde.

Cette rencontre a été marquée également par la signature d’une convention sur la préservation de la biodiversité en Algérie. L’accord a été signé entre le département ministériel de M.Rahmani et le secrétariat de l’ONU, chargé de la protection de l’environnement. Cette convention stipule l’envoi, en Algérie, d’équipes techniques spécialisées dans la protection de l’environnement. Elle tient aussi à mettre à la disposition de notre pays tous les moyens nécessaires pour la préservation de la biodiversité. «Cette distinction est un honneur pour moi et me rend de plus en plus humble», a déclaré, ému, M.Djoghlaf. Pour sa part, M.Chérif Rahmani a déclaré: «De ce fait, nous avons décidé de mener une campagne de sensibilisation pour la préservation des espèces vivantes. Nous avons déjà adopté un programme à ce propos. Incessamment, nous allons donner le coup d’envoi pour lancer cette campagne à Alger.» Et d’ajouter: «Avec la fondation Déserts du monde, nous allons sillonner le Sud algérien au cours de cette campagne.»
[ source ]
Par Lynda BEDAR
L'Expression, Ă©dition du 04 Aout 2008

RĂ©serve de chasse de Tlemcen : Une richesse faunique

# Administrateur | 04/08/2008 | Info

> RÉGIONS

Réserve de chasse de Tlemcen : Une richesse faunique à préserver

Créée en février 1983 par décret exécutif, la réserve de chasse de Tlemcen, qui occupe une superficie de 2 156 hectares, est située dans la forêt domaniale de Hafir, à environ 26 km au sud-ouest du chef-lieu de wilaya.


« La zone est caractérisée par un climat méditerranéen de type bioclimatique subhumide à variante fraîche. C’est un relief caractérisé par un ensemble montagneux constitué d’une ligne de crêtes où culmine le djebel Ras Moutas à 1 303 m d’altitude », indique M. Lokman Guellil, le directeur. Avant-hier, il a été procédé au lâcher de trois couples de mouflons à manchettes. « Notre mission est celle de protéger, de développer la faune et d’aménager le biotope des espèces qui y vivent en mettant en place, notamment, tous les équipements et moyens nécessaires pour permettre au gibier de vivre dans des conditions optimales, tels l’aménagement de points d’eau, l’amélioration des conditions de son alimentation et l’inventaire du patrimoine cynégétique de la réserve, puis en faire un lieu d’observation, de recherches et d’expérimentation du comportement de la faune existante ». M. Guellil dira : « Nous nous attelons à créer des unités de gestion cynégétiques de 150 à 200 hectares, avec des réserves de reconstitution de 15 à 20 hectares, des centres de reproduction de 250 mètres carrés, la mise en place d’un bassin d’eau, le captage et l’aménagement de sources, l’acquisition du matériel technique d’élevage (audiovisuel, d’observation, de capture et de marquage), la sensibilisation des chasseurs de la population riveraine et enclavée sur l’importance du patrimoine faunistique et floristique, l’instauration de la quiétude et la lutte contre le braconnage, entre autres… » La réserve de chasse de Tlemcen compte 99 espèces animales qui se répartissent en 12 espèces de mammifères, dont 7 sont protégées et 3 introduites, 10 espèces reptiles et 7 espèces d’amphibiens, dont 2 sont protégées.
[ source ]
Par C. Berriah
El Watan, Ă©dition du 04 Aout 2008

Éclipse du soleil en Chine

# Administrateur | 03/08/2008 | Info

> ÉPOQUE

Éclipse du soleil en Chine

Les JO perturbés ?



Une foule impressionnante s’est bruyamment massée à Novossibirsk (Sibérie), la plus grande ville d’où on pouvait voir, vendredi dernier, l’éclipse du Soleil, que de nombreux Chinois associent pourtant au malheur, observée aussi par les Canadiens, Norvégiens et Mongols.


Ce phénomène solaire, également visible au Groenland, a provoqué un mini-boom touristique dans les régions sibériennes, prises d’assaut à l’occasion par des myriades de curieux, malgré des prix d’hôtels que les médias russes ont qualifiés de vraiment « astronomiques ». Les télévisions ont montré les badauds, parmi lesquels une dizaine de milliers de visiteurs, dont des étrangers, alignés sur les berges de l’Ob, l’immense fleuve baignant Novossibirsk, agglomération de l’ouest de la Sibérie. « Cela faisait peur. Tout est devenu sombre et le vent s’est mis à souffler », a raconté l’un d’eux.

Plus de 1000 autres personnes ont, elles, choisi la cité de Nadym, située au-dessous du cercle polaire, dans le grand Nord russe, où le phénomène a pu être vu le plus longtemps. Dans les régions septentrionales de Chine, des milliers de personnes se sont rassemblées pour contempler l’éclipse, une semaine avant les Jeux olympiques. L’éclipse devait être visible en totalité, au maximum pendant deux minutes, sur une ligne de 10 200 km, allant du nord-est du Canada au nord-ouest du Groenland, puis à l’océan glacial Arctique, au nord de la Sibérie et à l’ouest de la Mongolie, avant de prendre fin, deux heures plus tard, dans le nord de la Chine, à 11h20 GMT.
Des astrologues et experts du Feng Shui ont averti que le phénomène pouvait venir perturber les JO de Pékin, ce que contestent les autorités. En Norvège, où l’on n’avait plus vu d’éclipse totale depuis 1954, l’absence de lumière solaire a été complète une minute et demie durant dans le nord-est de l’archipel arctique, peu peuplé du Svalbard (Spitzberg). L’armée russe s’est de son côté voulu rassurante en affirmant officiellement que l’éclipse ne pouvait pas empêcher le fonctionnement de ses « systèmes de contrôle des missiles stratégiques ».
[ source ]
Par N. B.
El Watan, Ă©dition du 03 Aout 2008

Algérie - La brocante à Médéa

# Administrateur | 02/08/2008 | Info

> ÉPOQUE

Brocante MedeaLa brocante à Médéa : Aubaine pour les uns, tracas pour les autres.

Les magasins de brocante, très nombreux à Médéa, sont d’un grand secours pour les familles aux revenus modestes qui viennent régulièrement s’équiper à moindre coût, en produits de tout genre, mais également vendre ou échanger des objets usagés.


Concentrés pour l’essentiel au niveau des vieux quartiers de la ville de Médéa, ces magasins de brocante, une quinzaine au total, forment une sorte de « marché de négoce », où des dizaines de meubles et d’appareils électroménagers changent quotidiennement de main. Si la multiplication de ce type de magasins constitue une aubaine pour les familles aux maigres ressources, assurées de vendre à bon prix leurs meubles ou appareils usagés et d’en acquérir, aussi facilement, des produits similaires, retapés ou rafistolés, cette profusion de brocantes est autrement vue par les propriétaires de ces commerces. Ces derniers parlent de « chute » du chiffre d’affaires, en raison de la « concurrence » que se livrent les commerçants, non sans évoquer le « recul » du pouvoir d’achat de pans importants de la population. Les gens vendent pratiquement tout ce qu’ils jugent encombrant ou superflu pour pouvoir payer des factures, rembourser des dettes contractées ou pour faire face aux dépenses quotidiennes.
Un commerçant relèvera un « recul » des ventes, regrettant ainsi les années « fastes », où son magasin ne désemplissait jamais de clients à la recherche d’un meuble à un « bon prix ». Pour lui, cette situation s’explique, d’une part, par les effets de la concurrence, mais également par le changement de comportement des citoyens qui préfèrent, selon lui, consacrer l’essentiel de leur budget à la consommation, au lieu de dépenser leur argent dans des meubles ou des produits pas nécessairement « indispensables ». Un brocanteur installé à la place Bologhine, au centre-ville de Médéa, ne manquera pas de signaler que ce métier passe par une étape difficile, dont les conséquences se font déjà ressentir, affirmant que certains lots de meubles passent trois à quatre mois avant d’être revendus à des prix dégraissés, alors qu’il y a quelques années, les gens commandaient à l’avance leurs produits. « Il nous arrive de jeter d’anciens meubles invendus qui, à force de les déplacer, finissent par s’user davantage ou se briser, engendrant un manque à gagner supplémentaire. » En dépit de ces difficultés, la brocante reste un ultime refuge pour nombre de familles, notamment celles issues des zones enclavées qui, faute de ressources financières suffisantes, préfèrent se rabattre sur ces magasins pour s’offrir un meuble ou un appareil électroménager « bon marché ».
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 02 Aout 2008

Alger - La rue Hassiba se relooke (ex. Sadi Carnot)

# Administrateur | 02/08/2008 | Info

> ALGER INFO

La rue Hassiba se relooke


Pour de nombreux visiteurs, la rue Hassiba Ben Bouali (ex.rue Sadi Carnot) est en train de se relooker. Profitant d’un mouvement intense de visiteurs charriés par les attraits de la saison estivale, les gérants des magasins, situés de part et d’autre de cette importante artère de la capitale semblent adopter « une certaine actualisation » quant aux habitudes de consommation. « Il est tout à fait clair que les propriétaires des magasins sont, cette fois-ci, décidés à rompre avec un mode de consommation jugé caduc par une bonne majorité de clients. Ils ont enfin relooké leurs devantures en nous proposant une gamme variée d’effets vestimentaires et de produits cosmétiques vraiment prisés. C’est un peu onéreux, mais nous avons l’embarras du choix », a estimé une estivante en provenance d’une ville de l’intérieur du pays. En effet, il est loisible de constater que ces boutiques réaménagées et entretenues à l’occasion ne désemplissent pas. L’après-midi surtout, ces lieux semblent renouer avec une affluence d’autrefois. « Les clients fuient le commerce informel qui propose des prix bas, certes, mais pour faire écouler que de la bagatelle. Moi personnellement, j’ai organisé cette sortie en compagnie de mon mari et de mes enfants. Nous avons trouvé des tenues vestimentaires attrayantes. Certains articles exposés à l’intérieur des devantures sont programmés dans nos achats », a encore confié la même vacancière.
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 02 Aout 2008

L’histoire du marbre algérien

# Administrateur | 30/07/2008 | Info

Palais de l’antiquité … la Maison-Blanche et le Rockefeller Center

L’histoire du marbre algérien



C’est ce qui ressort des résultats d’une étude réalisée par des experts de l’association américaine (Asmosia). Une équipe de chercheurs américains venus en mission récemment en Algérie, invités par l’Agence nationale de géologie et de contrôle minier (Angcm), a prélevé des échantillons de marbre dans les mines et carrières d’Algérie, mais aussi sur des reliques conservées dans les musées ou les vestiges antiques du pays.


Cette équipe, qui s’intéresse à l’histoire et à la géographie du marbre, a « établi des corrélations inattendues, sinon surprenantes », affirme l’Association pour l’étude du marbre et d’autres pierres de l’antiquité (Asmosia) dans ses conclusions rendues publiques par l’Angcm, un organisme relevant du ministère de l’Energie et des Mines. S’il est bien établi que les mines de marbre de Filfila (Skikda) avaient été abondamment mises à contribution par l’empire romain pour embellir ses palais et châteaux, il a aussi été démontré que le marbre dit gréco scritto, un marbre blanc utilisé comme revêtement des thermes romains antiques de Chieti en Italie, provenait en réalité de plusieurs carrières d’Algérie. Le marbre du cap de Garde, dans l’Est algérien, a été ainsi identifié dans des sites antiques de Tunisie, notamment à Kef, Kairouan et Carthage, mais aussi en Italie, particulièrement à Cinitile, près de Nola, à Campania, à Sainte Agathe, à Ravenne et Ostie. Mieux encore, des parements en marbre abondamment utilisés lors de la réhabilitation en 1814 des bâtiments de la Maison-Blanche à Washington portent les couleurs chatoyantes de l’onyx de Aïn Smara. Plus étonnant encore, et en ce qui concerne l’époque contemporaine, le marbre de Bouhanifia a servi aux Etats-Unis à embellir un gratte-ciel prestigieux, le Chrysler Building. Un marbre jusque-là étiqueté « Morocco marble ». Quand au marbre décorant le célèbre Rockefeller Center, il vient des carrières de Kristel (ouest du pays), soutient l’Asmosia dans son étude, faisant remarquer que les marbres de Filfila, de très grande notoriété, étaient recherchés pendant l’époque romaine pour leurs qualités exceptionnelles dans le domaine de la sculpture.
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 30 Juillet 2008

Algérie, Sidi Bel Abbès au rythme des danses populaires

# Administrateur | 29/07/2008 | Info

Pour la 4e édition du Festival international dédié à cet art

Sidi Bel Abbès au rythme des danses populaires

festival de sidi bel abbesLa quatrième édition du Festival des danses populaires, qu’abrite la wilaya de Sidi Bel Abbès, constitue un événement culturel dont la clôture, aujourd’hui, n’est pas faite pour plaire à la population. Et pour cause ! Des milliers de visiteurs, qui étaient au rendez-vous, ont su profiter tout au long du festival des activités prévues, notamment des spectacles de danses, des expositions, des conférences et des défilés.

Des scènes explosives, impressionnantes et festives se sont enchaînées dans le stade ou dans le théâtre de Verdure. Les mordus de cet art n’ont pas manqué de suivre bon nombre de compétitions.
Des performances de haut niveau ont ébloui les spectateurs. Les groupes de Tunisie et du Mali ont marqué des points samedi dernier, suivis par une série de défilés organisée par les danseurs tchèques, jordaniens, marocains, bulgares et des locaux… Pour dimanche dernier, la Syrie et l’Egypte ont donné le maximum pour représenter comme il se doit leurs pays respectifs.

Les Serbes, les Palestiniens, les Grecs et les Algériens en ont laissé plus d’un ahuri devant de grandioses spectacles. Les nuits où chaque groupe a tenté de démontrer ses performances avec de jeunes danseurs talentueux et des tableaux à vous couper le souffle par la qualité d’exécution sur scène ont été autant de moments de fête.
Ce Festival a drainé une grande foule, et plusieurs numéros ont fort impressionné l’assistance. Ces séries de danses, qui prendront fin aujourd’hui, ont connu un succès sans précédent, et l’ensemble des groupes a été chaleureusement applaudi.

Les danseurs, qui ont satisfait les spectateurs par leur prestation athlétique toute en beauté, ont réchauffé la foule au grand complet. Pour cette dernière journée, d’autres groupes et danseurs ne manqueront pas d’enflammer la ville de Sidi Bel Abbès.

Des centaines de chorégraphies de tout acabit ont été présentées en compétition, un record. L’affluence a été plus grande que jamais, et, grâce aux nouveaux sites de compétition, le public a pu se promener d’une salle à l’autre. Cette quatrième édition, selon certains artistes interrogés, a été une aubaine pour s’amuser en découvrant d’autres styles et de nouvelles techniques avec des sommités du milieu, une occasion pour eux de se mêler aux professionnels. Cette édition, note-t-on, a été marquée par plusieurs éléments. Notons, entre autres, la qualité et la quantité d’artistes professionnels venus d’un peu partout, et les autorités de la wilaya ont pris toutes les dispositions nécessaires pour le bon déroulement de cette manifestation. Cette édition, bien accomplie, a été l’occasion de découvrir d’autres cultures, comme celles de Turquie, de Syrie, de France, d’Espagne, etc. D’autre part, il faut se rendre compte que cette rencontre est un espace de découverte de la danse, qui est un langage, lequel interprète beaucoup de choses, tout en reflétant l’image et le mode de vie des peuples. Chaque jour, un programme de concerts et de danses a été présenté pour rythmer les nuits d’été à Sidi Bel Abbès. Un moyen aussi d’accueillir les pays participants, avec l’organisation de ces spectacles, expositions et conférences. Lors de la clôture, les lauréats seront primés, et toute la ville, avec des milliers d’hôtes, passera sa dernière nuit blanche sous le ciel étoilé en cette fin de juillet.
[ source ]
Mohamed Medjahdi correspondant à Sidi Bel Abbès
Photo : S. ZoheĂŻr
La Tribune, Ă©dition du 29 Juillet 2008

Algérie - Festival international de la danse populaire

# Administrateur | 27/07/2008 | Info

Sidi Bel Abbès : 4ème édition du Festival international de la danse populaire

Un public comblé

De notre correspondant à Sidi Bel Abbès
Mohamed Medjahdi


FestivalSidi Bel Abbès vibre au rythme du Festival de la danse populaire. Toute la ville vit dans la joie et l’ambiance. Vendredi dernier, les groupes ont animé des défilés dans la wilaya de Aïn Témouchent.

Les deux groupes venus de France et du Mali ont égayé les Témouchentois. Pendant une semaine, les citoyens peuvent assister à des spectacles de danse professionnelle en soirée sous un chapiteau ancien, à des rencontres avec les danseurs, à une chorégraphie déambulatoire en plein air, suivi d’un bal spectacle sur le parvis du théâtre de Verdure et le stade de la ville. La journée de vendredi dernier a été marquée également par un concours entre les groupes polonais, marocains, bulgares, de Tamanrasset et de Bouira. De leur côté, le Sénégal, les locaux représentés par Illizi, Béchar, Khenchela, etc. ont effectué un grand défilé. Une danse composée d’une multitude de corps qui dessineront des mouvements linéaires, des courbes au cœur du paysage urbain avec les compagnies de différentes régions du pays et autres internationales.

Ce festival, indiquent des spécialistes, est en définitive un événement de rencontres et de convivialité ayant pour but de valoriser les arts et les artistes populaires tout en pensant à tous les chanteurs, musiciens, danseurs, anonymes et méconnus, qui ont continué à célébrer leur art. Au sujet de la danse populaire, un Français nous explique que la rareté des informations sur la danse populaire ancienne, l’inconsistance de la plupart des histoires de la danse quant à tout ce qui précède l’avènement du ballet, le manque d’exigence méthodologique dans la plupart des recherches ethnologiques conduites aujourd’hui, obligent à un regard critique averti. Cette critique s’applique par ailleurs à toute source écrite, descriptions et observations diverses, œuvres littéraires, manuels de danse, recueils et notations musicales, etc.). Seul un progrès dans la recherche permettra d’élucider les mystères de la danse et d’expliquer l’énigme. Cette édition, qu’abrite la ville de la Mekkera, est marquée par des conférences et expositions… où l’accent a été mis sur toute une histoire de cet art, puisque, aujourd’hui plus que jamais, des artistes de différents horizons précisent que les danses traditionnelles ou populaires sur scène et les festivals de folklore sont devenus des expressions vivantes de profonds changements culturels et sociaux de notre société.

Lors des conférences, on a souligné que la danse populaire a subi d’importantes modifications liées aux spécificités sociales et économiques de chaque nation…. Les groupes, les organisateurs de festivals et le public peuvent comprendre les démarches intellectuelles qui mènent aux différentes formes d’expression de la danse populaire sur scène. Cette grande manifestation culturelle est également l’occasion de rapprocher les peuples, car la culture, comme l’a souligné la ministre de la Culture, est un moyen d’inculquer la culture de la paix.
[ source ]
Mohamed Medjahdi
Photo : Riad
La Tribune, Ă©dition du 27 Juillet 2008

Plan d’insertion professionnelle au profit des jeunes diplômés

# Administrateur | 26/07/2008 | Info

Plan d’insertion professionnelle au profit des jeunes diplômés

Les nouvelles promesses du ministère du Travail


Plan insertionAu moment où des jeunes de quartiers se livrent des batailles mortelles pour gagner l’exclusivité du «droit» à gérer un espace de stationnement de véhicules, les autorités se plaisent à livrer des chiffres en parfait déphasage avec la réalité. Quand le procédé ne donne pas le fruit escompté, on fait alors recours à des promesses d’insertion professionnelle. «Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale envisage de prendre en charge 400 000 demandeurs d’emploi pour la période 2009-2013 dans le cadre de l’application du nouveau plan relatif au travail.

Ces contrats d’insertion professionnelle sont destinés aux jeunes demandeurs d’emploi pour la première fois, ceux issus de l’enseignement secondaire et les diplômés des centres de formation professionnelle qui représentent, selon les statistiques du secteur, 64% des sans-emploi», a indiqué jeudi dernier le directeur du travail au ministère, M. Saïd Anane, en marge de la conférence nationale des militantes du parti du Front de libération nationale (FLN).
Selon le même intervenant, le gouvernement algérien a mis en place des mécanismes en mesure de générer des postes d’emploi au profit des jeunes diplômés.
La «volonté» des autorités à atteindre cet objectif se traduit par la consécration d’un budget, estimé à 63 milliards de dinars, à l’emploi. Même si le fait de débloquer de grosses sommes d’argent ne veut nullement dire que les objectifs seront réalisés, le représentant du ministère se veut optimiste quant à la réduction du taux de chômage en Algérie.

«La prise en charge de 400 000 demandes d’emploi nous permet d’être optimistes quant à la réduction du taux de chômage de 11,8 à 9% à l’horizon 2013», a-t-il déclaré. Un bilan initial a été déjà établi, note la même source, qui souligne que «ce plan d’action est entré en vigueur début juin avec la création de 28 000 emplois dans le secteur économique». M. Anane remarque que «70% des demandeurs d’emploi sont âgés de moins de 30 ans et n’ont pas d’expérience». Un fait qui explique, selon lui, «le déséquilibre entre la performance, l’offre d’emploi et les besoins du marché du travail». Le plan du ministère du Travail repose sur la signature de contrats d’insertion professionnelle liant les nouveaux titulaires de diplômes et des entreprises économiques aussi bien publiques que privées.

Les clauses des contrats dissuaderont néanmoins toute la masse juvénile même si elle est en quête d’un statut social. Explication : dans les mécanismes inscrits au titre de ce plan figurent des contrats d’insertion de nouveaux diplômés au niveau des entreprises économiques publiques et privées avec un salaire de 12 000 DA pour les diplômés universitaires et de 10 000 DA pour les techniciens supérieurs. De telles mensualités n’attireront personne.
Bien au contraire, elles pousseront la jeunesse à ne plus rien attendre des autorités et regarder du côté de la mer…
[ source ]
Par Amirouche Yazid
La Tribune, Ă©dition du 26 Juillet 2008

Oran - troisième séisme de l'année 2008

# Administrateur | 26/07/2008 | Info

> ORAN

Séisme, effets collatéraux : Les « victimes » cachées d'Oran


Jeudi 24 juillet, troisième séisme de l'année 2008; 4,2 sur l' échelle de Richter, une réplique de celui du 6 juin. La secousse n'a pas été trop forte, mais...
Au delà des murs lézardés et des fractures en tous genres, le dernier séisme qui a frappé Oran, le 6 juin dernier, et à y regarder de plus près, a fait plus de victimes qu'il n'y paraît. « A vrai dire, c'est la succession de deux tremblements de terre, dans un espace de temps réduit, qui est responsable de ce que nous vivons.» La sentence, quoique réductrice, est celle d'un oeil averti des changements du microcosme local. En effet, il aura fallu deux séismes, proches dans le temps et de magnitudes relativement élevées pour que la certitude des Oranais s'effrite et tombe, accompagnant la peinture des vieux murs. « La réaction des gens s'explique, outre par la crainte légitime de mourir, par le manque de confiance manifeste dans la solidité de leur toit », analysera froidement Hakim, sociologue, mais également contaminé par la peur collective comme il l'admet volontiers. Le 9 janvier et le 6 juin 2008 resteront gravés dans la mémoire locale même si trouver un Oranais qui te donne la date exacte relève de la gageure. « Oui, et comment !» se remémore Hacène. « C'était la nuit, les deux fois mais pour te dire quand est-ce exactement, là tu m'excuseras», poursuit le jeune homme, les yeux bridés synonymes d'un effort mnémonique. Mais de l'avis général, ce qui a profondément changé dans la perception des réalités reste cette terreur indescriptible qui ne lâche plus les Oranais. Peu habitués aux humeurs de la croûte terrestre, Oran était épargnée par les mouvements de la terre si ce n'était les ondes de choc des trois dévastateurs séismes qu'a connus l'Ouest du pays. El-Asnam, Hacine, à Mascara, et Aïn Témouchent ont définitivement consacré la région comme à haut risque sismique mais Oran passait toujours à travers. Toujours ou presque avec quelques secousses telluriques, histoire de se rappeler au souvenir des Oranais et leur rappeler que le passé de la ville a été endeuillé par un tremblement de terre ravageur. Cette peur panique se traduit par l'apparition de nouvelles phobies liées au souvenir des deux nuits et nombre de gens ont développé, au passage, des réflexes à leur corps défendant à chaque secousse provoquée. Malika, la quarantaine entamée, avoue sursauter à chaque passage de camion ou claquement de porte. «Je ne m'explique pas ce qui m'arrive mais depuis le dernier séisme, je vis un véritable cauchemar. Si en janvier, j'avais relativement assuré, vis-à-vis de mes enfants, je ne te cache pas que j'ai paniqué lors du deuxième tremblement de terre, en fuyant l'appartement et laissant les enfants à la charge de leur père », ajoute-t-elle toute honte bue. Rachid, surveillant dans un établissement scolaire, fait, lui aussi, partie de cette catégorie de «contaminés». Sa réaction, il l'a qualifie de primitive mais ne s'en excuse pas pour autant. Il admet, un peu gêné, avoir piétiné des femmes et des enfants rencontrés dans la cage d'escalier lors de sa fuite effrénée. « J'étais paniqué. C'était indescriptible cette terreur d'être enterré vivant sous son propre toit. Il n'est pas rare que je me réveille et je me surprends à épier les bruits de la nuit, en redoutant le pire». Comme Malika et Rachid, ils sont légion à voir leurs nerfs mis à rude épreuve. «Beaucoup de gens se sont présentés aux urgences dans un état de choc et il était difficile de les rassurer », affirme un infirmier de service lors de la nuit du 6 juin. Depuis, il n'est pas rare de voir des «victimes» du séisme suivre un traitement médical. « Oui, il y a des gens qui viennent pour acheter des anxiolytiques », confirmera Toufik, vendeur dans une pharmacie à la périphérie d'Oran. Les plus touchés évoquent, sur le bout des lèvres, un mensonge qui veut qu'on minimise de la magnitude du dernier tremblement de terre. Même si leur incrédulité se heurte aux informations des centres spécialisés, le CRAAG en tête, ils n'en démordent pas et accusent des « on » de leur cacher la vérité. « On nous ment pour éviter de créer la panique. Le séisme a été tellement violent qu'il a été ressenti en Espagne», argumente Nadir, un étudiant qui aime voir des « complots » partout.

D'autres se sont redécouverts la foi et se sont rappelés à leur Créateur. « Les mosquées ont été littéralement prises d'assaut par les gens pour salat el icha, quelques minutes après la secousse du 6 juin », ironise Salah. Outre les nerfs, dommages collatéraux des deux dernières secousses, l'immobilier semble avoir été directement touché. L'impact médiatique des deux événements a eu un effet dévastateur sur les cours de l'immobilier puisque, selon certains courtiers, bien au fait de la bourse du « toit », les cours ont été légèrement revus à la baisse par rapport à l'année dernière et les vacanciers marquent plus de temps d'hésitation avant de s'engager pour une location. « Ce n'est qu'un début, vous allez voir, et au prochain séisme de cette ampleur, les cours vont s'écrouler », explique Mohamed, gérant d'une agence immobilière. Il va plus loin en murmurant que des personnes bien installées songent sérieusement à vendre leurs biens avant la survenue d'autres événements. Les sorties médiatiques des experts en sismologie, qui demandent la reclassification d'Oran dans la nomenclature des risques sismiques, ne sont pas pour rassurer les plus optimistes. Quoiqu'il en soit, la peur d'un nouveau tremblement de terre semble bien ancrée dans les esprits et chaque jour, on s'attend à ce que la terre bouge et fasse s'écrouler les dernières certitudes.
[ source ]
par Moncef Wafi
Le Quotidien d'Oran, Ă©dition du 26 Juillet 2008

Algérie : séisme fortement ressenti à Oran

# Administrateur | 25/07/2008 | Info

Algérie : séisme fortement ressenti à Oran


La région d’Oran a été secouée eaujourd'hui en fin d’après-midi, à 18h19, par un tremblement de terre qui a été fortement ressentie par la population locale, selon le correspondant de toutsurlalgerie.com sur place. L’épicentre du séisme, d’une magnitude de 4,3 degrés sur l’échelle de Richter, a été localisé à 67 km au Nord-Ouest d’Oran, en mer, selon des données du Centre Sismologique Euro-Méditerranéen.

Selon notre correspondant, aucun mouvement de panique n’a été observé chez la population, en dépit de la forte secousse. On ignore si ce tremblement de terre, le deuxième en moins de deux mois, a fait des dégâts. Le 6 juin dernier, Oran et ses environs, avaient été secoués par un séisme d'une magnitude de 5,6 degrés. Il avait causé la mort d’un pêcheur en mer et quelques dégâts au niveau des immeubles de la ville.
[ source ]
Par TSA le 24/07/2008 Ă  18:50
Tout sur l'Algérie, édition du 25 Juillet 2008

Yahoo! et son actionnaire Carl Icahn trouvent un accord

# Administrateur | 22/07/2008 | Info

INTERNET
Yahoo! et son actionnaire Carl Icahn trouvent un accord

L'homme d'affaires américain, détenteur de près de 5% de Yahoo!, renonce à faire remplacer la totalité du conseil d'administration du groupe internet, qu'il jugeait responsable de l'échec des négociations avec Microsoft.


Yahoo

(c) Reuters

Le portail internet et moteur de recherche Yahoo! a annoncé, lundi 21 juillet, avoir conclu un accord mettant fin au conflit qui l'opposait à l'activiste Carl Icahn, détenteur de près de 5% du groupe.

Carl Icahn, mécontent du rejet par Yahoo! de l'offre de rachat de Microsoft, voulait faire voter par les actionnaires du moteur de recherche l'éviction de la totalité de ses administrateurs - y compris du directeur général Jerry Yang - et leur remplacement par des hommes à lui, dans le but de rouvrir les négociations avec le numéro un mondial des logiciels.

Selon le compromis, Yahoo! précise que huit des neuf membres de son conseil d'administration solliciteront leur réélection lors de l'assemblée générale du groupe le 1er août - tous sauf le patron d'Activision - et que la nomination de Carl Icahn et de deux ses alliés sera proposée aux actionnaires.

Mettre fin au conflit

En conséquence, le conseil d'administration sera élargi pour compter désormais 11 membres.
Dans sa campagne pour renverser les administrateurs de Yahoo!, Carl Icahn ne semblait pas avoir obtenu le soutien de tous les grands actionnaires de Yahoo!.
Ainsi, Legg Mason, deuxième actionnaire institutionnel de Yahoo! avec 4,4% du capital, avait indiqué vendredi se ranger derrière le conseil d'administration actuel. Il avait demandé à Carl Icahn et à Yahoo! de mettre fin à leur différend avant l'assemblée générale du 1er août.
Le principal actionnaire de Yahoo! est Capital Research & Management, avec 16,3% du capital. La société n'a pas encore fait officiellement connaître sa position.
Selon le blog ALLThingsD, elle Ă©tait plutĂ´t encline Ă  ne pas voter pour le conseil d'administration de Yahoo!.
Les grands actionnaires estimaient qu'à côté de la vente à Microsoft - qui a fait savoir entre temps qu'il n'était plus intéressé que par la partie moteur de recherche de Yahoo! - Carl Icahn n'avait pas montré de plan concret pour redresser le groupe qui perd des parts de marché face à Google.

Chute de l'action Yahoo!

Dans les premiers échanges, Yahoo! perdait 3,2% à 21,75 dollars. L'action se négocie nettement en dessous du prix de rachat de 33 dollars par action proposé par Microsoft, avant le retrait de son offre en mai.
Yahoo! doit publier ses résultats trimestriels jeudi.

Selon le communiqué publié lundi, Carl Icahn qualifie le compromis trouvé de "bon". Il dit continuer à penser qu'une vente à Microsoft de Yahoo! dans son ensemble ou simplement de la partie moteur de recherche doit être examinée.
[ source ]
(avec AFP)
NOUVELOBS.COM | 21.07.2008 | 16:20

Annaba - Colonies de vacances : Les camps font la joie des enfants

# Administrateur | 22/07/2008 | Info

> ANNABA INFO

Colonies de vacances : Les camps font la joie des enfants

La saison estivale 2008 bat son plein dans la ville de Annaba, en attendant l’arrivée des aoûtiens. Hippone, qui s’est mise aux couleurs de l’été, en dépit d’une préparation mi-figue mi-raisin pour accueillir la saison, vit au rythme des vacances, même si elle ne se fait plus désirer par ses amoureux, arrivant souvent de régions lointaines, du pays et de l’étranger, pour passer quelques moments agréables au bord de ses magnifiques plages.


Aujourd’hui, comme hier, ce sont surtout les enfants qui font l’animation estivale dans les colonies de vacances. Cette année, l’ouverture des camps de colonies de vacances s’est faite à partir de la plage Rizzi Amor, où 200 bambins, représentant un premier contingent, s’adonnent à de longues baignades et à des activités culturelles et de loisirs sous l’œil vigilant d’un personnel dévoué. Pas moins de 250 autres enfants, dont une centaine de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), ont été installés, pour leur part, dans le camp de la plage de Aïn Achir, un coin idéal pour le repos et la détente, un site agréable où le rêve se mêle à l’extase. Plus de 2 500 enfants ont été programmés, cet été, pour bénéficier des colonies de vacances, indiquent les services de la direction de la jeunesse et des sports. En outre, 5 centres d’accueil, dont 2 réservés aux enfants aux besoins spécifiques, sont disponibles et déjà fonctionnels. Ces structures ont fait l’objet de travaux d’aménagement dans le but de rendre agréable le séjour des enfants en provenance des wilayas de Tébessa, Souk Ahras, Mila et Constantine. En plus de l’ambiance festive dans les camps de colonies, des excursions sont organisées au profit des enfants par les structures de jeunesse. Cette initiative est favorablement accueillie par les bénéficiaires et leurs parents, du fait des conditions appréciables caractérisant ces sorties. L’auberge de jeunesse est, par ailleurs, un lieu très convoité par les jeunes désireux de passer quelques jours de vacances à moindres frais. Le plan bleu offre, quant à lui, l’opportunité aux enfants des communes éloignées, de goûter aux plaisirs de la mer. Celui-ci prévoit le transport et l’encadrement de 1600 enfants tout au long de la saison estivale.
[ source ]
Par T. G.
El Watan, Ă©dition du 22 Juillet 2008

Oran - Rentrée scolaire 2008-2009

# Administrateur | 21/07/2008 | Info

> ORAN INFO

Rentrée scolaire 2008-2009

20 millions de dinars pour les élèves nécessiteux


Pour la rentrée scolaire 2008/2009, la wilaya d’Oran a prévu de débloquer une enveloppe financière évaluée à 20 millions de dinars au profit de quelque 95 000 élèves issus de familles nécessiteuses, apprend-on de source informée.


Selon les estimations, la somme prévue serait sensiblement la même que celle distribuée l’année dernière, en dépit de l’augmentation constante du nombre de ces élèves. En effet, beaucoup d’enfants pauvres font chaque année leur première entrée.L’indemnité de 2000 dinars – la même pour les trois cycles scolaires - va tomber à point nommé pour les nombreuses familles en difficulté, étant donné que la rentrée va s’effectuer cette année pendant le mois de ramadhan.
Un mois durant lequel les foyers ont tendance à améliorer l’ordinaire en matière de nourriture. Ce qui nécessite des dépenses difficilement supportables pour les revenus modestes, d’autant qu’il faut aussi faire face aux achats d’habits neufs pour l’Aïd el Fitr, célébré à la fin du mois sacré. On apprend, par ailleurs, que des associations de parents d’élèves ont demandé aux services concernés de veiller à ce que l’indemnité de 2 000 dinars parvienne aux familles qui sont réellement dans le besoin et qu’elle leur soit versée dès la rentrée pour leur permettre l’acquisition des fournitures scolaires exigées.
[ source ]
Par A. Yacine
El Watan, Ă©dition du 21 Juillet 2008

Algérie - Lait en sachet, nouvelle règle d’approvisionnement

# Administrateur | 20/07/2008 | Info

Lait en sachet


Les producteurs soumis à une nouvelle règle d’approvisionnement


lait en sachetDans les prochains mois, les producteurs de lait pasteurisé en sachet (LPS) à partir de la poudre de lait seront soumis à une nouvelle règle de livraison par l’Office national interprofessionnel du lait et de ses dérivés (ONIL). Ces derniers seront dorénavant approvisionnés en fonction du taux d’intégration de lait cru dans leur production. En clair, l’approvisionnement sera proportionnel aux litres de lait cru que les opérateurs auront achetés auprès des éleveurs de vaches laitières et non selon un quota calculé à partir de leur capacité réelle de production. Une mesure qui vise à assurer aux éleveurs la vente de leur lait cru et, par effet d’entraînement, d’encourager cette catégorie professionnelle dans leur activité. Il est vrai qu’une telle orientation, si elle vient à se concrétiser, sera tout à l’avantage des deux parties, aussi bien les transformateurs que les producteurs de lait cru, en ce sens que chacun y trouverait son compte, alors que ce n’est pas ce qui est constaté actuellement. En effet, des laiteries sont entièrement consacrées à la transformation de la poudre de lait en LPS, ignorant la production de lait cru local. C’est du moins l’argument avancé par le docteur Rachid Benaïssa, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, lors de son intervention donnée devant les cadres du secteur, réunis hier en son siège pour prendre acte des préparatifs du lancement prochain des contrats de performance auxquels sera soumise chaque wilaya dans un but essentiel, celui du renouveau de l’économie agricole et du développement rural. Le premier responsable du secteur a attiré l’attention des participants à cette réunion sur l’intérêt d’une telle initiative «qui est, en fait, une vision globale mais très étudiée, qui va permettre à coup sûr de relancer le secteur sur des bases saines et où la stratégie en matière de politique agricole sera d’autant plus claire». Il déclare aussi à l’auditoire que les lignes directrices du renouveau de l’économie agricole et rurale qui s’articulent autour de neuf grands axes vont servir de feuille de route «pour arriver à mettre en synergie toutes les compétences».

Toujours au sujet de cette feuille de route, M. Benaïssa exigera de ses cadres de «traduire au plus vite en actions concrètes sur le terrain, toutes les décisions que nous avons prises et celles à venir», non sans rappeler de «libérer toutes les initiatives qui s’inscrivent dans ce cadre. Notons également que, dans son intervention, le ministre de l’Agriculture s’est longuement attardé sur le nouveau système de régulation des produits agricoles de large consommation (Syrpalac). «Un moyen qui a commencé à porter ses fruits puisque nous avons constaté sur le terrain une revue à la hausse des prix de gros de la pomme de terre de 3 à 5 DA par rapport à ce qu’ils étaient auparavant, où, faut-il le rappeler, le tubercule s’est écoulé à 5 DA le kilogramme, créant ainsi de fortes inquiétudes chez les agriculteurs versés dans ce type de culture», a expliqué le docteur. Il précisera par ailleurs que dans le cadre du Syrpalac, il a été enregistré à ce jour le stockage de près de 30 000 m3 de pomme de terre pour des capacités nationales de stockage réel de 1 700 000 mètres carrés.

Rappelons que, dans la conférence de presse organisée après son allocution devant les cadres, le ministre a tenté d’éclairer au mieux les journalistes sur la feuille de route qu’il compte mettre en œuvre et d’annoncer que les contrats de performance prendront effet d’ici la fin de l’année. Il a tenu enfin à faire comprendre aux médias qu’il ne peut y avoir d’agriculture moderne sans une industrie agroalimentaire efficiente. Et d’expliquer : «L’industrie agroalimentaire est le moteur de modernisation de l’agriculture.»
[ source ]
Par Ziad Abdelhadi
Photo : de LSP
La Tribune, Ă©dition du 20 Juillet 2008

Algérie - Identification des puces anonymes : le 10 octobre 2008

# Administrateur | 20/07/2008 | Info

Identification des puces anonymes : le 10 octobre 2008, dernier délai pour les opérateurs mobiles


Lancée en date du 27 février 2008 par l'Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications(ARPT), l'opération d'identification des puces mobiles anonymes sera clôturée officiellement le 10 octobre prochain, a appris toutsurlalgerie.com de source proche du ministère des télécommunications. Ce nouveau délai a été fixé après plusieurs semaines de négociations avec les opérateurs de téléphonie mobile. Les puces qui ne seront pas identifiées avant cette date seront définitivement désactivées. Actuellement, près de six millions de puces sont concernées.

Mais selon notre source, l'ARPT entend faire la différence entre les clients anonymes qui ont acquis leurs cartes SIM avant le 27 février et ceux les ayant achetées après cette date. Les premiers seront dans l'obligation de se faire identifiés avant le 10 octobre. Mais ceux dont les puces ont été acquises sans papiers d’identité après le 27 février seront appelés à régulariser leur situation au plus tard dans les trente jours qui suivent la date de communication à l’ARPT de leur activation. Une fois ce délai passé, les puces dont les détenteurs ne sont toujours pas connus seront suspendues jusqu'à leur identification définitive. Cependant, dans les deux cas, toute puce non identifiée après le 10 octobre sera désactivée d'une manière définitive, c'est-à-dire sans aucune réactivation possible.

Selon notre source, l'ARPT a pris également une autre décision de taille : à compter du 15 septembre prochain, l’activité des puces anonymes sera définitivement interdite. Aucune puce ne sera activée par l'opérateur qu'une fois son identification est certifiée avec des documents d’identité officiels. Par ailleurs un contrôle régulier du respect de ces décisions sera assuré : les opérateurs seront désormais tenus de transmettre à l'ARPT un point de situation sur l'état d'avancement de l'opération d'identification.
[ source ]
Par ahcene said le 20/07/2008 Ă  18:10
Tout sur l'Algérie, édition du 20 Juillet 2008

France - Vacances : 255 km de bouchons sur les routes

# Administrateur | 19/07/2008 | Info

BISON FUTE

Vacances : 255 km de bouchons sur les routes

Après un pic de 384 km de bouchons relevé à la mi-journée, la tendance est à la baisse au milieu de l'après-midi.



Vacances

(Sipa)

Plus de 250 km de bouchons étaient relevés samedi 19 juillet à 14h30 sur l'ensemble du territoire, en raison d'une nouvelle vague de départs en vacances, selon le Centre national d'information routière (Cnir).
Le pic de la journée a été enregistré à 12h30 avec 384 km de ralentissement.
La tendance est actuellement Ă  la baisse.
La journée reste cependant classée "rouge" au niveau national dans le sens des départs mais est classée"vert" dans celui des retours, sauf en Rhône-Alpes où elle est classée "orange".

8 km de ralentissement en Ile-de-France, 247 km en province

Seuls 8 kilomètres de ralentissements étaient signalés en Ile-de-France, mais le Cnir relevait à la mi-journée des difficultés pour le transit Nord/Sud.
En province, on signalait un total de 247 km de ralentissements dans le sens des départs.
La plus grosse difficulté se trouvait toujours sur l'A7 avec 53 km de bouchons cumulés autour de Valence.
L'autre grosse difficulté concerne les départs vers l'Espagne par Bordeaux (A10, N10 et A63) et depuis Orange par l'A9. Le Cnir relevait notamment 14 km de bouchons à Ingré (A10), dans le secteur d’Orléans et 14 km à la Crèche (A10), avant Niort.

Vacances des Anglais

Pour cette troisième vague de départs en vacances, Bison Futé prévoyait "d'importants bouchons". Les vacances scolaires des Anglais commencent ce week-end, ce qui vient renforcer les flux de circulation à partir du Nord-Pas-de-Calais en direction du sud.
Bison Futé recommande donc "de manière générale" d'éviter de circuler ce samedi.
Dans le sens des départs, il conseille d'éviter de circuler sur les grands axes de 7H00 à 16H00 dans une "large moitié nord", entre 9H00 et 17H00 dans une "large moitié sud" et entre 10H00 et 18H00 en Normandie et en Bretagne.
Dans le sens des retours, le Cnir conseille d'Ă©viter de rouler samedi sur les grands axes entre 9H00 et 18H00 dans le quart-sud est du pays jusqu'au nord de Lyon.
Bien que dimanche soit classé "vert" dans les deux sens, Bison Futé invite les automobilistes à rejoindre les grandes métropoles avant 17H00 dans le sens des retours.
[ source ]
(avec AFP)
NOUVELOBS.COM | 19.07.2008 | 16:26

Nissan Algérie : Troisième édition du Nistec

# Administrateur | 19/07/2008 | Info

> Édition Web

Nissan algerieNissan Algérie : Troisième édition du Nistec

La troisième édition du concours international des techniciens du service après vente de Nistec (Nissan international service technical contest) s’est déroulé il y a quelques heures au centre du service après vente Nissan Algérie, situé à Rouiba.


Nissan Algérie, représentant exclusif du constructeur japonais, consacre ainsi la tradition d’évaluer ses techniciens selon les standards internationaux de la marque. Les épreuves qui se sont déroulé ont été scindées en trois exercices. L’objectif est la mise en valeur et l’amélioration des compétences des techniciens exerçants dans les ateliers de Nissan Algérie. A travers le concours Nistec 2008, Nissan Algérie veut créer une émulation au sein de ses équipes au bénéfice de ses techniciens et par prolongement au profit de sa clientèle. Sefiane Hasnaoui, vice-président de Nissan Algérie, a souligné : "il s’agit de tirer profit des épreuves afin d’offrir le meilleur service après vente et permettre une adaptabilité à toutes les situations rencontrées lors des différentes interventions sur les véhicules". Face à la complexité croissante du marché des véhicules, la vitesse du changement et le nombre de publicités et de promotions, Nissan Algérie mise sur le marketing et le service après vente. Les clients potentiels disposent de peu de temps pour faire des recherches et pour prendre la décision finale d’achat. Ils sont submergés par le flot d’informations et de publicités qui proviennent de toutes parts. Selon les responsables du constructeur japonais, il s’agit d’offrir durablement la meilleure prestation possible. A travers ce concours annuel, Nissan Algerie peut évalue les aptitudes de ses techniciens et celles des techniciens de son réseau de distribution à intervenir, diagnostiquer et réparer les différents véhicules de la marque. Les vainqueurs de ce concours iront ensuite se mesurer à leurs collègues des autres pays, dans une finale qui se tiendra à Dubaï.
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©dition du 19 Juillet 2008

L'homme le plus grand d'Algérie

# Administrateur | 17/07/2008 | Info

L’HOMME LE PLUS GRAND D’ALGÉRIE AURA UNE MAISON À SA TAILLE
A chacun un nid Ă  sa mesure


D’une taille de 2,4 mètres, ce jeune homme aura une demeure à sa hauteur.


Il s’appelle Rachid Bara. Il s’apprête à déménager «bientôt» et loger dans une nouvelle maison plus spacieuse et surtout «adaptée» à sa taille. Une anecdote plutôt anodine n’était la taille de Rachid. En effet, c’est l’homme le plus grand d’Algérie. Il mesure 2m 40.

La nouvelle demeure en cours de construction à proximité de l’ancien foyer familial, est située à la périphérie de la localité de Khems-Djouamaâ, dans la wilaya de Médéa, ont indiqué, à la presse, des responsables de l’APC. Financée sur le budget de l’Etat, elle permettra à son nouveau locataire de bénéficier de tout le confort nécessaire, sans avoir à subir les différents tracas du quotidien, auxquels il est constamment confronté.

Tous les paramètres en relation avec sa taille ont été pris en compte lors de la conception de la maison. Le but est de faciliter ses déplacements à l’intérieur, de sortir facilement, et surtout de surmonter un obstacle de taille, celui du mobilier qui sera adapté à ses mensurations, ont indiqué ces mêmes responsables.

Rachid Bara a soufflé, en mai dernier, sa 34e bougie...dans la solitude. Pesant 75 kilos, il sort rarement de chez lui, à Khems-Djouamaâ, une commune enclavée de 8000 habitants, située à 58 km à l’est de Médéa.

Ses rares apparitions en public remontent à 2005. Depuis un accident de la circulation, en 2006, suivi d’un long séjour à l’hôpital de Berrouaghia, Rachid vit cloîtré dans sa chambre. Il passe le plus clair de son temps, allongé sur son lit, avec pour seul compagnon son téléviseur.

Outre ses ennuis de santé, l’homme le plus grand d’Algérie rencontre mille et une difficultés. Celles, par exemple, de trouver des vêtements à sa taille, des chaussures ou bien un moyen de locomotion adapté à sa taille pour pouvoir respirer l’air de la campagne, voir des gens, discuter avec eux, s’attabler dans un café ou vivre...le plus normalement du monde.

Issu d’une famille nombreuse aux conditions modestes, Rachid partage, avec ses quatorze frères et soeurs, une maisonnette construite par son défunt père...à la taille de toute la famille, hormis la sienne!
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, Ă©dition du 17 Juillet 2008

Algérie - Queens Grass va refaire la pelouse du stade du 5 Juillet

# Administrateur | 16/07/2008 | Info

Algérie : la société hollandaise Queens Grass va refaire la pelouse du stade du 5 Juillet


C’est finalement la société hollandaise Queens Grass qui a été choisie pour refaire la pelouse du stade du 5-Juillet à Alger, fermé depuis janvier dernier. Selon nos informations, les responsables du stade ont entamé les démarches administratives nécessaires pour lui octroyer le contrat dont on ignore le montant.

Queens Grass est connue pour avoir effectué plusieurs réalisations d'envergure à travers le monde. Elle a pris en charge la pose de pelouses de plusieurs stades réputés en Europe. Parmi eux : Old Trafford, le mythique stade de Manchester United (Angleterre), les stades de l'AC Milan (San Siro) et de la Juventus (Italie), ceux du CSKA Moscou et du Zenit St Petersburg (Russie), celui de Fenerbahçe (Turquie), de Panathinaikos (Grèce)... En Algérie, Queens Grass a déjà réalisé la nouvelle pelouse du stade Chahid Hamlaoui de Constantine.

La réouverture attendue du 5 juillet devrait permettre aux Verts d'évoluer dans leur stade habituel. En raison de sa fermeture prolongée du stade, l'équipe nationale de football était en effet contrainte d'aller jouer au stade de Blida peu adapté à des rencontres de niveau international. Même la dernière Coupe d'Algérie et la finale de la Ligue arabe des champions se sont déroulées à Blida. Récemment, Rachid Zeroual, le premier responsable du complexe Mohamed Boudiaf, auquel appartient le stade du 5-Juillet, a laissé entendre que la pelouse sera prête pour le prochain match des Verts, le 5 septembre, face au Sénégal. Les travaux de drainage, précédant la mise du gazon, sont donc en phase d'être terminés.
[ source ]
Par hamid benayad le 15/07/2008 Ă  18:11
Tout sur l'Algérie, édition du 16 Juillet 2008

Algérie - quatre centrales électriques hybrides solaire-gaz avant 2015

# Administrateur | 16/07/2008 | Info

L’Algérie construira quatre centrales électriques hybrides solaire-gaz avant 2015


L'Algérie compte réaliser quatre centrales électriques hydrides solaire-gaz avant 2015, selon une source du ministère de l’Energie et des mines. La première centrale, d'une capacité de 150 MW, est en construction à Hassi Rmel, dans le sud du pays. Sa mise en service est prévue pour l’année 2009.

Les trois autres usines seront lancées entre 2010 et 2012 : elles seront implantées à Naâma, Meghair près d'El Oued et Hssi R'mel. Ces centrales seront réalisées par New energy Algeria (Neal) dont le capital est détenu par Sonatrach (45%), Sonelgaz (45%) et le groupe privé SIM (10%). Par ailleurs, la Neal projette de réaliser quatre fermes éoliennes de 10 MW chacune dont deux à Tindouf et les autres à Bechar et Timimoune.

Pour sa part, le groupe privé Cevital prévoit de réaliser la première centrale thermique-solaire du pays en 2009. Cevital finalise actuellement des discussions avec plusieurs groupes étrangers spécialisés : le français Veolia, l’allemand Man, l’italien Enel et l’américain United Technologie Corp. Les détails du projet devraient être connus dans les prochaines semaines.
[ source ]
Par ali idir le 16/07/2008 Ă  14:49
Tout sur l'Algérie, édition du 16 Juillet 2008

soutien financier de la France à l'aménagement du territoire

# Administrateur | 16/07/2008 | Info

Algérie: soutien financier de la France à l'aménagement du territoire


Paris et Alger ont conclu une convention selon laquelle la France accordera un soutien financier à la politique algérienne d'aménagement du territoire, a annoncé mercredi le ministère de l'Environnement, de l'Aménagement du territoire et du Tourisme. Ce soutien, dont le montant n'a pas été indiqué, sera prélevé sur le Fonds français de solidarité prioritaire (FSP). Le ministre de l'Environnement, de l'Aménagement du territoire et du Tourisme, Cherif Rahmani, a précisé que cette convention aurait une durée de deux à trois ans.

Cette convention prévoit la formation des formateurs dans le domaine de l'aménagement du territoire et la création d'un observatoire des territoires appelés à recevoir des investisseurs et des populations, des pôles de compétitivités, selon le ministre.

L'Algérie a déjà lancé la construction de deux pôles de compétitivité, l'un à Sidi Abdellah près d'Alger, spécialisé dans les nouvelles technologies de l'information, et l'autre à Boughezoul (sud), spécialisé dans les énergies renouvelables.
[ source ]
Par AFP le 16/07/2008 Ă  15:15
Tout sur l'Algérie, édition du 16 Juillet 2008

Lancement du site officiel des Jeux Olympiques

# Administrateur | 15/07/2008 | Info

J-24 AVANT LES JO
Lancement du site officiel des Jeux Olympiques

Le site est disponible en cinq langues, dont le français. Il diffusera en direct les résultats de la compétition ainsi que les différentes conférences de presse du comité d'organisation.


site JO
Le site officiel des jeux Olympiques de PĂ©kin


L

es organisateurs des jeux Olympiques de Pékin ont officialisé le lancement du site officiel, disponible en cinq langues (chinois, anglais, français, espagnol et arabe), mardi 15 juillet.
Les informations officielles sur les JO, qui s'ouvrent le 8 août à Pékin, sont relayées par le site (http://fr.beijing2008.cn/news/), qui diffusera notamment en direct les résultats des différentes épreuves, ainsi que conférences de presse du comité d'organisation (Bocog).

Cinq langues

"Le site officiel est en cinq langues, chinois, anglais, français, espagnol et arabe, une première pour les sites internet des jeux Olympiques", a affirmé Mme Wang Hui, responsable des médias et de la communication du Bocog, lors de la présentation du site à la presse.
Un des principaux portails chinois, Sohu.com, qui a conclu un accord de partenariat en 2005 avec les organisateurs des JO, a aidé à la construction de ce site officiel.
[ source ]
NOUVELOBS.COM | 15.07.2008 | 14:22

Panasonic dans l’arène olympique

# Administrateur | 15/07/2008 | Info

> ÉPOQUE

Produits Ă©lectroniques

Panasonic dans l’arène olympique



Forte de ses 20 dernières années d’expérience, Panasonic, l’un des leaders mondiaux de l’électronique grand public et professionnelle, travaille sur le projet olympique le plus important et le plus difficile : les Jeux olympiques de Beijing (Pékin).


Ce sera la première production de Jeux olympiques intégralement effectuée en haute définition, ce qui signifie que les spectateurs pourront profiter des épreuves avec une clarté et une netteté inégalées. Même si seulement 91 000 personnes pourront entrer dans le National Stadium pour suivre la cérémonie d’ouverture, grâce à la technologie HD de Panasonic, des millions de personnes dans le monde pourront suivre la cérémonie et les jeux aussi intensément que s’ils y étaient présents. C’est pourquoi le slogan olympique de Panasonic est : « partager la passion ! » Ces jeux attirent les médias et l’attention du monde entier pendant deux semaines tous les quatre ans, ce qui fait d’eux l’épreuve sportive majeure sur la planète.

Ils touchent des milliards de personnes dans plus de 200 pays et territoires dans le monde. Panasonic ambitionne d’offrir les images, le son et l’ambiance du terrain aux spectateurs, grâce à ses grands écrans vidéo et ses systèmes audio professionnels, et aux spectateurs dans le monde grâce à la diffusion réalisée avec son équipement de diffusion numérique. Les ingénieurs travaillent pour développer des produits audio/vidéo plus sophistiqués. La diffusion des jeux dans le monde est une occasion de perfectionner d’autres produits, comme la gamme des TV plasma Viera, les enregistreurs de DVD DIGA et les caméscopes e.Cam. Représentés en Algérie par Rafidain Business Center, de nouveaux produits de cette marque japonaise (Lumix camera, Home cinéma, chaîne hi-fi) seront mis en évidence à cette occasion, d’après la chargée du marketing de RBC.

Selon elle, deux produits connaissent actuellement un succès : les climatiseurs, des produits très demandés en cette période de forte chaleur et les batteries pour véhicules automobiles. On évoque souvent la climatisation comme l’arme absolue pour ne plus subir les températures insupportables de l’été caniculaire. La lutte contre le bruit est un point fort de la climatisation qui permet en été de goûter une véritable sensation de fraîcheur sans devoir ouvrir les fenêtres. Parce qu’il tient une place de plus en plus importante dans le salon, l’écran se doit d’être beau et d’adopter un design fin et épuré. Panasonic a ainsi entièrement revu le dessin de ses écrans haut de gamme. La nouvelle gamme plasma Viera a été conçue autour d’un verre spécifique d’une solidité extrême qui recouvre toute la surface de l’écran. Ce nouveau revêtement offre une meilleure résistance aux chocs, sécurisant le transport comme le nettoyage des écrans, ainsi qu’un nouveau traitement anti-reflet pour profiter au mieux de son écran quelles que soient les conditions d’exposition
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©dition du 15 Juillet 2008

Algérie-Chlef - Rush sans précédent sur le littoral

# Administrateur | 14/07/2008 | Info

> CHLEF INFO

Vacances : Rush sans précédent sur le littoral

Le littoral de la wilaya, qui s’étend sur 120 km, connaît un afflux d’estivants jamais enregistré auparavant.


Pour le seul mois de juin, il est fait état de 500 000 personnes ayant fréquenté les plages, contre 57 000 durant la même période de la saison écoulée. Selon un cadre de la direction du Tourisme, cette ruée s’explique notamment par le climat chaud qui y règne et l’amélioration des conditions d’accueil au niveau des 22 plages autorisées à la baignade, dont une dizaine ont fait l’objet de concession cette année, sur la base d’un cahier des charges élaboré par le ministère de tutelle. L’autre facteur positif est sans conteste la mise en place de 16 camps de toile, dont 7 sont gérés directement par des agences de voyages de Chlef, d’Alger et de Blida.
Certaines d’entre elles ont fait venir des immigrés établis en France, d’autres ont accueilli des familles du territoire national. Dans les deux cas, le séjour est grandement mis à profit pour goûter au plaisir de la mer et admirer le paysage féerique qui caractérise la côte de la wilaya. Cela va de Tigheza à la limite entre Chlef et Tipaza, jusqu’aux dunes de sable de Decheria, à la frontière avec Mostaganem. Les autorités locales ont pris les dispositions nécessaires pour faciliter l’accueil et les déplacements des estivants. Le seul point noir demeure le carrefour à l’entrée de Ténès où de longues files d’attentes sont régulièrement observées par les automobilistes.
[ source ]
Par A. Y.
El Watan, Ă©dition du 14 Juillet 2008

Alger - Un littoral pauvre en bassins

# Administrateur | 14/07/2008 | Info

> ALGER INFO

Un littoral pauvre en bassins


En cette période de grandes chaleurs moites, on assiste au grand rush des estivants vers les côtes littorales. La wilaya d’Alger compte quatorze communes qui ont les pieds dans l’eau, certaines disposent de sites balnéaires propres à la baignade et au farniente, d’autres sont longées de plages aux abords desquelles sont plantés des panneaux indiquant l’interdiction formelle de faire trempette, à cause des maladies dites d’été qu’on peut choper des eaux usées et autres déchets solides déversés à longueur d’année.
Soit. Une interrogation, cependant, nous interpelle : Combien y a-t-il de piscines publiques open air dans ces communes bordées par une cinquantaine de kilomètres de rivages à même de permettre aux estivants et amateurs de la natation de profiter des bienfaits de la nage ? Hormis celles répertoriées au niveau de quelques complexes hôteliers et celles datant de l’époque coloniale qui se comptent sur les doigts d’une seule main, sans oublier bien sûr les deux bassins olympiques du complexe nautique Mohamed Boudiaf et autres installations semi-olympiques fraîchement réalisées par la DJS, les édiles qui se sont relayées depuis l’indépendance n’ont jamais jugé utile d’intégrer dans leur plan de développement communal une structure du genre sur le bord de la mer.

De l’extrême ouest à l’extrême est de la côte littorale de la wilaya d’Alger, pas une seule commune n’a inscrit dans ses tablettes une structure de ce type dans une portion de crique ou de calanque. Pourtant, en utilisant l’eau de la grande bleue pour alimenter les bassins, l’opération devient aisée. Pour être simplet, cela constitue une économie non négligeable, dans la mesure où le traitement de l’eau de mer est moins coûteux que celui de l’eau douce. Une telle installation nautique permettra, par ailleurs, d’éviter les plages à risques, en attendant bien sûr la réalisation des stations d’épuration des eaux usées de nature à assainir nos sites balnéaires.
[ source ]
Par M. Tchoubane
El Watan, Ă©dition du 14 Juillet 2008

Alger - La piscine semi-olympique de Ben Omar (Kouba)

# Administrateur | 14/07/2008 | Info

> ALGER INFO

La Piscine semi-olympique (Kouba) : Opérationnelle a partir de demain

La piscine semi-olympique de Ben Omar, inaugurée récemment, sera opérationnelle à partir du 15 juillet. Elle accueillera les adhérents relevant des différentes catégories.


D’après M. Chadi, cadre de la direction de la jeunesse et des loisirs (DJSL) et en même temps directeur de cette nouvelle infrastructure, 1980 dossiers ont été déposés par les intéressés au niveau de la direction. A cet effet, un programme, qui s’étalera jusqu’au 8 septembre est élaboré. Il inclut des séances à l’intention des différentes catégories d’âges, à savoir les enfants, les adolescents et les adultes et des contraintes qui en sont liées. « Du samedi au jeudi, les séances commencent à 9h et se terminent à 22 h », a précisé M. Chadi. La journée du vendredi est prévue pour le nettoyage, bien que cette opération soit assurée quotidiennement. Le même cadre indique cependant que des séances d’initiation sont programmées à l’intention des différentes tranches d’âges. « Concernant les adultes, la sécurité n’est pas négligée. Pour les enfants, un vigoureux système de sécurité est mis en place. Ils sont dans une école et ils n’y viennent pas pour s’amuser », a-t-il encore ajouté. L’avantage qui mérite d’être noté est que cette structure est dirigée par un personnel qualifié, a cité M. Chadi, issu du Groupe laïque secondé de M. Doukhane, entraîneur national. L’apport de ces deux cadres ne peut que favoriser la promotion de ce sport de proximité à Kouba.
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 14 Juillet 2008

Algérie - Randonnée à la Base nautique de Zéralda

# Administrateur | 13/07/2008 | Info

> ALGER INFO

Randonnée à la Base nautique de Zéralda


zeraldaDu plaisir malgré les tracas bureaucratiques

La base nautique n’est plus ce qu’elle était. Seuls quelques parasols et des chaises longues sont proposés aux plaisanciers par cet après-midi de jeudi où l’affluence n’est guère importante à Zéralda. « Des pédalos, mais aussi des jet-skis sont proposés aux habitués de l’endroit », rectifie Yamani (El Hadj pour ses intimes). « On propose le parasol à 200 DA et 100 DA de plus pour les deux chaises », relève-t-il.


Et ceux qui viennent avec leurs propres affaires et s’installent ici, bénéficient, semble-t-il, des mêmes avantages qu’el Hadj offre aux « siens ». Yamani et ses associés semblent ne pas trop comprendre la réglementation qui leur fait perdre un gagne-pain. « On s’en tient au contrat signé avec la direction. Mais celle-ci et le nouvel exécutif local n’y tiennent pas compte », tempête-t-il. L’Apc de Zéralda semble décidée, ces dernières années, à reprendre en main ses plages.
« A elle, tout lui revient », gronde el Hadj, pas du tout serein, se tenant droit à l’entrée de la « Base » nautique, barrée par une plaque sur laquelle sont indiqués en grosses lettres les « avantages » offerts aux plaisanciers. A part les quelques tentes aménagées à la hâte, des parasols avec des chaises, rien ne semble distinguer cette plage des autres. Elle n’a de base nautique que le nom, mais les « gérants » y tiennent, en dépit les nouvelles injonctions de l’administration. Yamani qui a envisagé de « faire quelques investissements » doit remiser ses ambitions comme il y a été contraint l’année dernière. « La douche et les toilettes qu’on a aménagées à l’entrée ont été détruites ; pas question pour le moment d’aménager l’endroit. Les estivants n’en profitent pas par la faute des administrateurs », insiste-t-il. Interdiction leur a ainsi été faite de construire une quelconque bicoque. Niet de l’administration. Sauf que les jeunes affirment entretenir toujours l’endroit et assurer aussi sa sécurité. Les plaisanciers viennent de partout, « du Grand-Alger, mais pas seulement ; d’ailleurs, les étrangers qui viennent chez nous s’y plaisent. On ne leur en veut pas s’ils aménagent leurs coins à eux », atteste El Hadj, en disant que ces étrangers repartent dégoûtés par ce qui s’y trouve et lui font remarquer que « l’on ne mérite pas toute cette beauté ».
Ulysse sans Pénélope...
Accompagné de ses amies, Salim vient de Aïn Naâdja et semble s’y plaire aussi. Attablé autour d’une meïda installée là par les chargés du « camp », il relève, sourire aux lèvres, que l’endroit diffère des autres plages de l’ouest de la capitale, « prises d’assaut » par des « beggaras (vachers) sans grâce mais qui claquent du fric à tour de bras. Ils s’offrent tout mais nous on a la tranquillité ici. » Plus loin, Ali nous a apostrophés. Venu de Sidi Moussa avec sa marmaille, il ne repart que le soir, « à 19 heures ». El Hadj est comme Ulysse mais ne semble pas décidé à quitter les berges. Aussi, il n’a pas souvenance de sa Pénélope, mais mène à sa manière une guerre de Troie. Prise en sandwich entre des plages « plutôt cotées », Base nautique (Il y en a plusieurs, laissent entendre les gérants) n’en finit pas de connaître des problèmes. « C’est nous-mêmes qui l’avons arrangée ; il vous suffit de creuser quelques centimètres à peine pour toucher des déblais, la route qui faisait rejoindre la rive au T installé plus loin, était pleine de rochers ; là aussi, c’est nous-mêmes qui avons ramené du sable et l’avons couverte. Que l’on ne vienne pas nous la retirer », lance l’ami d’El Hadj.
De l’emploi, la concession en a crĂ©Ă© Ă©galement, dira El Hadj, tout sourire, en retirant de sa pochette mise en bandoulière des cartes d’identitĂ© de jeunes « saisonniers » venus de plusieurs rĂ©gions du pays. « C’est lĂ  la preuve que les règles, on y tient », insiste-t-il. Des saisonniers, on en trouve partout sur les plages ; surveillant et tenant en respect d’éventuels dĂ©linquants qui auraient pu gĂŞner les familles. « Personne ne les embĂŞte, mais la nuit la plage ne nous appartient pas, d’autres personnes en prennent possession », relève El Hadj en nous montrant du doigt les rĂ©sidences, « des F2 », longeant sa « parcelle » oĂą la nuit, semble-t-il, « tout est permis ». MĂŞme constat sur l’autre Base nautique. D’autres travailleurs de Altour affirment ĂŞtre dans leur droit. Ils ont pris leur retraite, guère paisible pourtant. « Ceux qui occupent les autres plages sont dans l’illĂ©galitĂ© mais n’ont jamais Ă©tĂ© inquiĂ©tĂ©s. Doit-on payer la â€â€tchippa’’ et avoir ses entrĂ©es dans l’administration locale pour travailler en paix », lance Rachid qui affirme avoir travaillĂ© dans son entreprise comme chef d’atelier depuis 1969 et a bĂ©nĂ©ficiĂ© avec ses deux autres collègues de la concession mise Ă  leur disposition depuis 1996. « Nous payons toujours les charges et les taxes qu’on doit. Un contrat a Ă©tĂ© signĂ© avec la direction. Les gendarmes qui n’en tiennent pas compte nous ont saisi Ă  deux reprises. 20 millions de pertes », affirme-t-il en disant que ses travailleurs fuient toujours Ă  la vue des darkis. Autre mĹ“urs loin des tracas bureaucratiques : de plus en plus d’étrangers s’installent sur cette plage qui ne paie pourtant pas de mine. Un Italien semble s’y plaire. Cela fait plus de 15 ans qu’il a un pied-Ă -terre Ă  Alger, lui qui travaille dans une sociĂ©tĂ© Ă©trangère installĂ©e sur les hauteurs de la capitale. « A chaque fois qu’il n’y a pas trop de boulot, je viens ici », marmonne-t-il dans un français hĂ©sitant. Sa compagne algĂ©rienne s’y plaĂ®t aussi. Preuve en est son bronzage. « C’est ici que l’on prĂ©fère se retrouver en famille », rit-elle en dĂ©cochant un regard Ă  son mari napolitain.
[ source ]
Par Nadir Iddir
El Watan, Ă©dition du 13 Juillet 2008

Euronews lance sa version en arabe

# Administrateur | 13/07/2008 | Info

CHAINE D'INFORMATION
Euronews lance sa version en arabe

La chaîne qui diffuse les fameux "No comment" (des images fortes de l'actualité diffusées sans commentaire de journalistes) s'est lancée samedi, à la suite de France 24 et de la BBC, dans une huitième langue: l'arabe.


Euronews arabe
L

a chaîne Euronews a lancé samedi 12 juillet sa version en arabe, ce qui fait la huitième langue dans laquelle est émise la télévision européenne d'information.
La chaîne confirme ainsi sa volonté d'étendre sa diffusion à un public plus large que les seuls Européens. C'est déjà la raison pour laquelle elle avait développé une version en russe, avant de lancer cette version arabe.
Pour preuve, Euronews ne cible pas seulement les arabophones d'Europe, mais également ceux du monde entier, soit plus de 250 millions d'individus, selon la chaîne.

Deux autres chaînes en arabe

Une version en arabe avait déjà été lancée en 1997 mais avait été abandonnée deux ans plus tard. Avec cette seconde tentative, la chaîne européenne d'information rejoint France 24 et la BBC, qui émettent en arabe depuis respectivement avril 2007 et mars 2008. Deux autres chaînes émettant dans cette langue, et sont reçues en Europe: la chaîne américaine Al-Hurra ("la libre") et la russe Russia ai Yaum ("la Russie aujourd'hui").
Les programmes en arabe seront les mêmes que dans les sept autres langues (allemand, anglais, espagnol, français, italien, portugais et russe), avec les mêmes images: un journal toutes les 30 minutes, des magazines courts de société, de culture, de sport, d'économie ainsi que son fameux "No comment" (des images fortes de l'actualité diffusées sans commentaire de journalistes).
Jusqu'ici, le monde arabe devait se contenter de ces programmes en français ou en anglais.

6 à 7 millions de téléspectateurs

Le budget de la version d'Euronews en arabe est financé par la Commission européenne et atteint 5 millions d'euros par an, soit 10% du budget total de la chaîne.
Dix-sept journalistes de huit nationalités ont été recrutés. Ils seront basés, comme les 200 autres journalistes de la chaîne originaires d'une trentaine de pays, près de Lyon.

Il y aura en outre un correspondant dans un pays arabe qui n'a pas encore été choisi.
En Europe, selon l'institut Telmar Peaktime, Euronews, qui est diffusée dans 130 pays, est regardée par 6 à 7 millions de téléspectateurs par jour, ce qui en fait une chaîne d'information beaucoup plus regardée sur le continent que CNN et BBC World.
[ source ]
Par NOUVELOBS.COM | 12.07.2008 | 13:16
NOUVELOBS.COM, Ă©dition du 12 Juillet 2008

Blida - Saison estivale dans la ville des roses

# Administrateur | 12/07/2008 | Info

> BLIDA INFO

Saison estivale dans la ville des roses


Quand on n’a que les fontaines…
Blida - fontaine


Si sous d’autres cieux, la saison estivale est synonyme de vacances, de plages ou de repos, la plupart des Blidéens se retrouvent désarmés devant la chaleur caniculaire et la sécheresse qui caractérisent ces mois de congés, en l’absence de structures de loisirs et de divertissement.


Dans un passé récent, on n’avait pas à se soucier des vacances, puisque on pouvait se permettre de faire des randonnées en famille à oued Sid El Kebir. Ce dernier se trouve, aujourd’hui, à sec, alors qu’entretemps, c’est tout un bidonville qui est érigé. Ce sont les enfants innocents, voire naïfs, qui, faute de mieux et en quête de fraîcheur, se mettent à nager dans les eaux stagnantes de la fontaine de l’esplanade du 1er Novembre, plus connue sous le nom de place Ettoute ou place Clemenceau. Pour la santé de ces enfants, souvent en bas âge, on peut repasser.

Après la fermeture de la piscine communale de Bab Sebt et la surcharge de la piscine semi-olympique de l’OPOW, mitoyenne du stade Tchaker, le choix n’est plus permis. Au niveau de la direction de la jeunesse et des sports (DJS) de la wilaya de Blida, on saura qu’il existe plusieurs projets en cours de lancement, comme les trois piscines semi-olympiques à Boufarik, Meftah et El Affroun. Le coût minimum de ces trois infrastructures est estimé à plus de 180 millions de dinars. « Avant la décennie noire, nous avions 90 centres de vacances s’étalant de Damous à Zéralda et 10 autres centres au mont de Chréa. Aujourd’hui, toutes ces structures ont disparu. Il n’y a plus de colonies de vacances depuis 1992. Même le centre, dont dispose l’APC de Blida, n’ouvrira pas ses portes cette année, faute de moyens financiers », apprend-on auprès d’un responsable de la DJS.

D’autres familles préfèrent ne pas prendre de congé durant cet été, faute de moyens et de se consacrer à la rentrée scolaire et sociale ainsi qu’au mois de Ramadhan. « On a préféré, mon mari et moi, de sacrifier les vacances et de se préparer au mois sacré et aux charges de la rentrée », dira une enseignante au lycée Ibnou Rochd de Blida. En attendant que les différents projets inscrits voient le jour et que le plan Bleu démarre, les petits enfants continuent à fréquenter les différentes fontaines de la ville des Roses dans l’espoir d’avoir un peu de fraîcheur, même si cela se fait au détriment de leur santé...
[ source ]
Par Asma Bersali
El Watan, Ă©dition du 12 Juillet 2008

Bac France: les candidats au rattrapage fixés sur leur sort

# Administrateur | 11/07/2008 | Info

Bac: les candidats au rattrapage fixés sur leur sort


Bac France resultats

Fred Dufour AFP¦
Résultats du baccalauréat au
lycée Ampère à Lyon, le 4 juillet 2008


Les candidats au baccalauréat qui devaient repasser certaines épreuves seront fixés sur leur sort vendredi, quelques jours après la publication des premiers résultats. Ces résultats définitifs concernent toutes les filières du bac (général, technologique et professionnel).

> Retrouvez tous les résultats sur le site
du ministère de l'Education nationale.

Le taux de réussite du premier coup est d’ores et déjà en baisse: de 75,5% pour le bac général, en 2007, il est, en 2008, de 74,9%. Ces chiffres provisoires ne prennent pas en compte 7 académies (environ 20% des inscrits).
[ source ]
20Minutes.fr, Ă©ditions du 11/07/2008 - 07h54

Cuba disposée à assurer une formation à 1000 étudiants

# Administrateur | 10/07/2008 | Info

> ACTUALITES

Coopération algéro-cubaine

La Havane disposée à assurer une formation à 1000 étudiants



L’Algérie et Cuba ont engagé plusieurs projets de coopération dans le domaine de la tannerie et de la pétrochimie ainsi que celui du tourisme.


L’ambassadeur de Cuba à Alger, Roberto Blanco Dominguez, a exprimé hier la disposition de son pays à assurer une formation en médecine à quelque 1000 étudiants algériens. Invité du forum d’El Moudjahid, l’ambassadeur cubain a souligné la volonté de son pays à assurer cette formation « à titre gratuit », à quelque 1000 étudiants algériens, au sein des différents instituts cubains de médecine, précisant que cette démarche s’inscrit dans le cadre de la coopération algéro-cubaine axée essentiellement sur le domaine de la médecine. M. Blanco Dominguez a, par ailleurs, estimé la valeur globale des projets cubains engagés dans divers domaines en Algérie à plus de 300 millions de dollars. Il s’agit de la réalisation de sept établissements hospitaliers spécialisés en ophtalmologie, en pédiatrie et en obstétrique, dont certains ont été réceptionnés, tel l’hôpital de Djelfa spécialisé en ophtalmologie qui compte 146 spécialistes cubains, et ce, dans l’attente de la réception des hôpitaux de Ouargla, El Oued et Béchar, prévue en fin d’année.

L’ambassadeur cubain a, par ailleurs, fait état de la réalisation d’une société mixte de fabrication de seringues, en coopération avec l’institut Pasteur, un projet qui constitue, a-t-il dit, « un autre jalon de la coopération entre les deux pays dans le domaine médical », qui englobe les équipements médicaux et la fabrication de médicaments génériques. En dépit d’une faible coopération économique entre l’Algérie et Cuba par rapport au domaine médical, M. Blanco Dominguez a souligné, selon l’APS qui a rapporté l’information, que les deux parties ont engagé plusieurs projets de coopération dans le domaine de la tannerie et de la pétrochimie. S’agissant du domaine touristique, l’ambassadeur cubain a évoqué la possibilité de programmer des vols charters directs Alger-Cuba en vue d’éviter aux Algériens les escales. Enfin, M. Blanco Dominguez, dont les fonctions prendront fin en septembre prochain, a salué « les relations privilégiées entre l’Algérie et Cuba fondées sur la fraternité et la solidarité ».
[ source ]
Par R. N.
El Watan, Ă©dition du 10 Juillet 2008

Algérie - Les résultats du Bac à partir de minuit : Faites le 62 62 ! Mobilis

# Administrateur | 09/07/2008 | Info

Mobilis en partenariat avec l’ONEC vous donne : Les résultats du Bac à partir de minuit : Faites le 62 62 !




L’opération résultats du bac sera lancée à partir d’aujourd’hui à minuit, par Mobilis en partenariat avec l’ONEC. En envoyant leur numéro d’inscription au 62- 62, les candidats reçoivent immédiatement la réponse.

Cela dit, tous les résultats seront affichés à partir de demain au niveau des établissements scolaires. Selon les premières estimations, le taux de réussite avoisine les 55%. De très bons résultats sont enregistrés par les candidats relevant du nouveau système d’enseignement, où le nombre de reçus avec mention est de 800 bacheliers. «On a enregistré de très bonnes moyennes au niveau des copies des élèves, issus du système de la réforme, qui varient entre 16 et 20/20. C’est un plaisir de corriger de telles copies», nous confie un enseignant qui a préféré garder l’anonymat.

Pour l’ancien bac, l’on compte un nombre important de reçus en série lettres par rapport aux autres séries.
Pour leur part, les responsables du ministère de l’Education nationale, qui organisent, aujourd’hui à 10 h, une conférence de presse consacrée aux examens d’entrée en 6e et à ceux du BEM, estiment : «Les résultats du bac de la présente session sont les meilleurs depuis 1962 et dépassent ceux enregistrés durant l’année précédente».
Il y a lieu de rappeler que pour l’année précédente, on comptait 207.342 bacheliers qui ont arraché leur «visa» d’accès à l’université sur 403.971 inscrits, soit un taux de 53,29%. Un résultat jugé très appréciable comparativement aux sessions précédentes. C’est un résultat record et une performance jamais égalée depuis l’indépendance». En effet, jamais un tel chiffre n’a été réalisé depuis près de 47 ans. Une légère progression 2,14 points est enregistrée par rapport à l’année 2006.
L’analyse des résultats selon le sexe démontre une certaine domination de l’élément féminin qui a enregistré 62,86%, soit 130.329 filles, contre 37,14% candidats du sexe masculin, soit 77.012 garçons.

S’agissant des mentions, on note le record également pour ce qui est des mentions très bien, car compter 236 admis avec mention très bien, dont 132 filles et 104 garçons scolarisés, reflète une nette évolution qualitative des résultats. D’ailleurs, le taux de reçus avec mention est estimé à 32,61%, soit 67.594 élèves.
Pour les responsables du secteur, ces résultats confirment que l’école algérienne s’est désormais installée de façon durable et structurelle dans une dynamique de la réussite.

Toujours pour ce qui est des mentions très bien, la filière sciences de la nature et de la vie occupe la première place avec 183 mentions, suivie de la filière sciences exactes avec 28 mentions. La troisième place revient à la filière comptabilité avec 10 mentions. Par contre, les filières chimie et gestion comptent 4 mentions chacune, suivies de la filière éléctrotechnique avec 3 mentions et celles des lettres et sciences islamiques et travaux publics avec 2 mentions chacune.
Si on remonte à 1994, on remarque que le nombre de reçus avec mention très bien ne dépassait pas 7 candidats. Ce nombre est passé à 95 en 2005. Par contre, le nombre des mentions très bien, bien et assez bien) est passé de 4.461 en 1994, à 10.749 en 1998, à 25.858 en 2000, à 42.623 en 2004, à 30.502 en 2005 et à 48.065 en 2006 pour atteindre l’année passée 61.604 reçus avec mention. Ce chiffre, faut-il le préciser, dépasse le nombre de reçus au bac en 1992 qui représentait un taux de 10% seulement, dont 60% de rachat.
[ source ]
Par Sarah SOFI - 08-07-2008 Ă  22:00
El Moudjahid, Ă©dition du 09 Juillet 2008

Alger - De grands projets de développement pour la capitale

# Administrateur | 09/07/2008 | Info

APW Alger

Session ordinaire de l’Apw d’Alger


De grands projets de développement pour la capitale

Après plusieurs reports, la session ordinaire de l’APW d’Alger s’est tenue hier au siège de l’ex-CPVA sous la présidence de Abdelaziz Djeffal et Rabah Mokdad, SG de la wilaya, représentant le wali Addou Mohamed-Kébir, retenu pour un cas de force majeure.


À l’ordre du jour, trois points principaux : les programmes de développement des secteurs importants, le dossier lié à la gestion de la ville et l’état d’avancement des grands projets structurants de la capitale.

D’emblée, le SG de la wilaya d’Alger a rappelé que le niveau de l’enveloppe financière consacrée à la relance économique de la capitale a connu, ces dernières années, une importante hausse. Entre 2005 et 2008, il a atteint 205,6 milliards de dinars en dehors du programme du logement et les opérations centralisées, soit 2 334 opérations inscrites dans divers programmes. Les secteurs de l’hydraulique et de l’enseignement supérieur sont en tête en matière d’investissement avec 15% chacun du budget global, suivis des travaux publics et grands aménagements (13%), de la jeunesse et des sports (10%). Cet intérêt pour la capitale est constaté également dans le volume qui lui est accordé dans le budget supplémentaire (BS) atteignant 26,5 milliards de dinars du budget de l’État, en plus du montant de la caisse de wilaya au profit de la jeunesse de 1,38 milliard de dinars, de la Caisse commune des collectivités locales (CCCL) d’un montant de 160 millions de dinars, soit un total de plus de 28 milliards de dinars.

Alimentation en eau potable, le grand soulagement
Parmi les programmes de développement les plus importants, la wilaya d’Alger a gagné, depuis 2007, la bataille de l’eau. L’apport quotidien de 180 000 m3 à partir du barrage de Taksebt, le dédoublement de la chaîne côtière (station de pompage 3, Zéralda-Aïn Bénian, soit 22 km linéaire), le château d’eau de Thessala El-Merdja de 500 m3, d’un autre de 1 000 m3 à Birtouta ont permis une nette amélioration dans l’alimentation en eau potable dans toute la wilaya avec un volume de 730 000 m3/jour, permettant une quote-part de 155 litres/j/habitant. Ainsi, le programme de distribution permet à 29 communes une distribution de 24h/24 avec 50% de la population concernée, 9 communes bénéficient de six à vingt heures par jour, soit 17% de la population. Cette situation s’est encore améliorée depuis la mise en service de la station de dessalement d’El-Hamma qui fournit 200 000 m3/j. Parallèlement à ces opérations, des stations d’épuration (Step) avec réutilisation de l’eau dans l’agriculture ont permis de mettre un terme au recours à l’assainissement direct en mer et d’ouvrir par la même occasion six nouvelles plages autorisées à la baignade. Dans le domaine des travaux publics, plusieurs opérations ont abouti à régler les contraintes générées par les points noirs et améliorer la fluidité de la circulation routière. Lié à ce dernier secteur, le secteur des transports connaîtra en plus des réalisations de 2007, le lancement de 6 parkings d’une capacité globale de 3 800 véhicules situés à El-Harrach, Hydra (Bois-des-Pins), El-Madania (avenue des Frères Bouaddou), El-Biar (Châteauneuf), Sidi-M’hamed et Kouba. Un nouveau téléphérique reliant Oued Koriche à Bouzaréah sera également opérationnel vers la fin de cette année. Huit gares routières à Chéraga, Birkhadem, Tarourah, 2-Mai, Boumati, Ben Aknoun, Bouzaréah et Bachdjarah viendront renforcer celles existantes.

L’urbanisme, la gestion de la ville et les projets structurants
En 2007, la wilaya a procédé au réaménagement de 9 sites, 6 autres sites ont été lancés, alors qu’un
programme important à l’effet d’améliorer le cadre de vie a été rendu opérationnel au niveau des agglomérations et cités avec notamment l’installation d’équipements de proximité, et par ailleurs l’embellissement de l’environnement. La Direction du logement a, pour sa part, réceptionné 10 043 logements concernant les formules LSL (2 823), LSP(1 261) location-vente (4 409), promotionnel (1 550). De même que 3 223 logements ont été lancés.

L’amélioration de la qualité de la vie ne peut se faire sans une meilleure gestion de la ville.
Depuis 2004 pas moins de 1 800 points noirs ont été éradiqués. 41 communes ont pu bénéficier d’une subvention globale de près de 500 millions de dinars.
Dans le cadre d’un programme visant à donner à Alger le statut d’une ville méditerranéenne, la wilaya sera dotée d’un laboratoire de contrôle géré par l’Erma. De même que la révision du Pdau, l’aménagement de la baie d’Alger, le plan lumière constituent les grands projets structurants, préoccupation particulière du wali. Ces chantiers seront complémentaires de beaucoup d’autres projets qui tendent à donner à la capitale la place qu’elle mérite.

Les membres de l’APW devraient dans la journée d’hier faire lecture d’un programme de travail proposé par l’actuel mandat (2007//2012), et qui a reçu l’approbation le 12 mars dernier. Mme Lardjane, présidente de la commission chargée de l’élaboration dudit programme, cite un certain nombre de recommandations dont “la préservation des œuvres d’art qui reflètent notre culture”, la généralisation de l’informatique en matière d’état civil, la rénovation des sièges des APC au même titre que ceux des circonscriptions administratives. Nous y reviendrons.
[ source ]
Par ALI FARES
Liberté, édition du 09 Juillet 2008

Algérie: le groupe français JCDecaux remporte le contrat...

# Administrateur | 09/07/2008 | Info

Algérie: le groupe français JCDecaux remporte le contrat de concession publicitaire de l'aéroport d'Alger


Le groupe français de matériel urbain et d’affichage JCDecaux annonce avoir remporté le contrat de concession publicitaire de l'aéroport d'Alger portant sur l'ensemble de ses terminaux et des espaces extérieurs. Le montant du contrat n’a pas été communiqué.

Le spécialiste français de la communication extérieure indique que l'aéroport d'Alger représente une capacité totale de 10 millions de passagers et a accueilli près de 4 millions de passagers en 2007, connaissant une croissance du trafic (+9% en 2007) nettement supérieure à la moyenne mondiale.

JCDecaux Algérie y est présent depuis fin 2007 dans 21 aéroports de province
[ source ]
Par hayet zitouni le 09/07/2008 Ă  08:34
Tout sur l'Algérie, édition du 09 Juillet 2008

Jardin d’essais : Le poumon d’Alger sous scellé

# Administrateur | 08/07/2008 | Info

> ALGER INFO

Jardin d’essais : Le poumon d’Alger sous scellé

Malgré les rumeurs, l’ouverture du Jardin d’essais n’est pas encore à l’ordre du jour. Comme si face à un tel joyau, Alger avait peur de ses ambitions. Il est en quelque sorte à l’image de l’Algérie, transmettant un emblème de beauté et de richesse en réponse à l’abandon et au dépérissement.


Il est vrai que répondre à tant d’envergure demande de l’engagement et de la responsabilité. Un réel défi s’impose aux autorités puisque les lieux nécessitent des projets à la hauteur de ce qu’ils inspirent. Bon nombre de travaux ont été faits pour la réhabilitation, le jardin botanique a retrouvé sa splendeur. La première fois que l’on pose le regard sur cette terre riche mais fragile, on ne peut qu’être subjugué par la diversité esthétique.

L’adjectif commun utilisé par chaque visiteur est « paradisiaque ». Mais il ne faut pas pour autant se limiter à de l’autosatisfaction. Cet espace au potentiel énorme, décrit comme le 5e plus beau jardin au monde, doit avoir un avenir aussi large que la perspective de ses innombrables allées. Pourquoi alors installer de communes buvettes à la place de restaurants de spécialités qui pourraient avoir le mérite d’attirer à la fois les familles et les touristes ? Les Algériens retrouveraient ainsi un espace de convivialité, loin de la promiscuité de leur logement. Les horaires d’ouverture ne faciliteront pas non plus la venue d’une population active ; puisque tel un « black-out », elles ne dépasseront pas 17 h l’hiver et 19 h l’été. Au diable donc les douces soirées que les Algérois auraient pu passer au sein de cet espace divin, qui leur revient de droit. De plus, l’idée d’une taxe, sur les produits commercialisés au cœur de la structure, n’est pas négligeable. Cette dernière pourrait servir à financer les agents affectés à la sécurité et à l’entretien du jardin, de renommée internationale. Dans ce cas comme dans d’autres, le patrimoine d’Alger amène à voir grand. Alors, laissons les Algérois y respirer à pleins poumons.
[ source ]
Par D. R. Laoufi
El Watan, Ă©dition du 08 Juillet 2008

DES ÉTRANGERS VEULENT S’ÉTABLIR EN ALGÉRIE

# Administrateur | 08/07/2008 | Info

DES ÉTRANGERS VEULENT S’ÉTABLIR EN ALGÉRIE
3752 demandes de résidence enregistrées


Ce sont les chiffres annoncés hier par un communiqué de presse émanant de la Sûreté nationale.
En effet, du 1er au 15 juin 2008, les services de la Sûreté nationale ont enregistré 3752 demandes de résidence de la part de ressortissants étrangers et en ont délivré 4771.

Le communiqué annonce aussi l’expulsion de 310 étrangers de 22 nationalités différentes. Cependant, le document de la Sûreté nationale ne précise pas les noms des pays où résident ces demandeurs de résidence.

En effet, il serait intéressant de savoir si ces demandeurs sont des Africains fuyant la misère qui sévit au Sahel, des Européens, des Chinois dont le nombre est de plus en plus croissant dans les chantiers de construction, ou tout simplement des amoureux de l’Algérie.

Par ailleurs, le même document a annoncé la demande de 164 actes de mariage mixtes sans pour autant préciser si les motifs de ces demandes relèvent du simple désir de mariage ou alors d’une formalité pour satisfaire les critères nécessaires pour s’établir en Algérie.
[ source ]
Par Yasmine ZOUAGHI
L'Expression, Ă©dition du 08 Juillet 2008

Aéroport d’Oran : La nouvelle piste sera réceptionnée en août 2009

# Administrateur | 07/07/2008 | Info

> ORAN INFO

Aéroport d’Es-Sénia : La nouvelle piste sera réceptionnée en août 2009

La seconde et nouvelle piste de l’aéroport international d’Oran-Es-sénia sera réceptionnée dans le courant du mois d’août 2009, indique-t-on au niveau de l’Entreprise de Gestion des Services Aéroportuaires (EGSA). Selon les cadres de l’entreprise, les travaux de cette nouvelle piste de 3 000 mètres, de type A, avec toutes ses dépendances (4 bretelles) ont été confiés à un groupement Brésilo-Portugais.


LancĂ©s en novembre 2006, ils accusent Ă  prĂ©sent un taux apprĂ©ciable dans leur rĂ©alisation, avec plus de 60% d’avancement. Une fois rĂ©ceptionnĂ©e ainsi que les essais d’homologation pour le trafic aĂ©rien, il est prĂ©vu la fermeture au trafic de l’actuel piste. Celle-ci, longue de 3 000 mètres Ă©galement, rĂ©alisĂ©e dans les annĂ©es 80, a bĂ©nĂ©ficiĂ© au titre du programme d’amĂ©nagement d’une extension de 600 mètres. Sont Ă©galement prĂ©vus certains travaux d’expertise sur l’actuel ouvrage en raison de l’état de salinitĂ© du sol et des effets de l’érosion. L’on saura que le montant initiĂ© pour ce programme, pour l’amĂ©nagement uniquement des infrastructures d’accueil des aĂ©ronefs, porte sur une enveloppe de l’ordre de 2,5 milliards de dinars. Ce programme de rĂ©alisation d’une nouvelle piste comporte Ă©galement des travaux d’amĂ©nagement pour lâ€actuelle piste, des opĂ©rations pour l’extension du parc spĂ©cialisĂ© dans le fret afin d’accueillir 3 avions par jour ainsi que celui destinĂ© au stationnement des avions. Ce parc sera dotĂ© de trois nouvelles aires de stationnement pour la rĂ©ception Ă©ventuelle des nouvelles gĂ©nĂ©rations de gros porteurs. Actuellement, le parc qui a accueilli plus de 11 000 aĂ©ronefs pour l’annĂ©e 2007, dispose de 12 aires de stationnement.

Ces aires qui nécessitent des opérations de mise à niveau ont été réalisées en même temps que l’actuel aéroport, durant les années 1980, quand le trafic aérien ne dépassait pas les 500 000 passagers, avec des pics pour les départs vers les lieux saints de l’Islam pour l’ensemble des hadjs de plusieurs wilayas de l’ouest, sans oublier le retour des émigrés au pays pour leurs vacances. L’on saura que dans le cadre d’une vison future sur les plans économique et touristique qu’enregistre la région de l’ouest, l’aéroport d’Oran- Es-sénia vient de bénéficier d’un ambitieux projet d’extension et de modernisation des équipements ainsi que de mise à niveau de ses structures internes. Il s’agit de la mise en place d’un nouveau module de haut standing pour le traitement essentiellement du trafic international, notamment d’ici l’horizon 2025, indique-t-on auprès de la direction de l’EGSA. Le trafic des passagers au niveau d’Es-Sénia, qui enregistre plus de 900 000 pêrsonnes, est appelé à doubler en prévision de cette échéance. L’adaptation de ce nouveau module, dont les études seront lancées incessamment, rappelons-le, doit se faire pour répondre aux besoins et satisfaire la demande tant sur le plan local que régional, sachant que l’ouest du pays dispose de 11 aéroports pouvant faire appel à tout moment à celui d’Oran. Ces travaux d’aménagement permettront dans un proche avenir à l’actuel aéroport d’Oran d’être au diapason du développement du trafic aérien et celui de l’aéronautique. L’on saura par exemple qu’à travers les différents couloirs aériens du territoire national transitent quotidiennement plus de 300 avions civils. Ces derniers peuvent à tout instant solliciter une éventuelle assistance technique.
[ source ]
Par Tegguer Kaddour
El Watan, Ă©dition du 07 Juillet 2008

COMMUNAUTÉ ALGÉRIENNE À L’ÉTRANGER

# Administrateur | 07/07/2008 | Info

COMMUNAUTÉ ALGÉRIENNE À L’ÉTRANGER
L’Algérie veut tirer profit de sa diaspora


L’Etat commence à penser sérieusement aux moyens à mettre en place pour faciliter les conditions d’intégration de cette communauté.


De nouvelles orientations sont données aux ambassadeurs et consuls d’Algérie. Il s’agit notamment de prendre en considération la communauté algérienne établie à l’étranger. Les autorités algériennes confirment que celle-ci a un rôle très important à jouer dans le développement du pays. C’est l’idée que défend même, Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères. Intervenant hier lors d’un séminaire, des chefs de postes diplomatiques et consulaires organisé à la résidence El-Mithak, M.Medelci affirme que la communauté algérienne constitue une «partie prenante et essentielle» de la Nation. Il a mis en exergue le message que véhicule l’intégration du segment «communauté nationale à l’étranger» au secteur de la Solidarité nationale. Le ministre a indiqué, à cet égard, que cette intégration mettra, au profit du pays, le potentiel représenté par la communauté algérienne établie à l’étranger en matière de « savoir-faire, de ressources et de disponibilité » et la mettra en communion avec le reste du peuple algérien qui, a-t-il dit, suivant les propos rapportés par l’APS, «lui aussi doit être informé de ce qu’est la communauté nationale à l’étranger». C’est dans ce contexte que le ministre a insisté sur la nécessité d’une meilleure façon de communiquer et d’informer entre les Algériens installés à l’étranger et les différents services consulaires algériens. Cela afin, explique le ministre, de pouvoir «mieux écouter les préoccupations des ressortissants algériens, percevoir leurs messages et assurer d’autres niveaux de solidarité, outre la solidarité humaine». Et d’enchaîner: «Peut-être dans certains cas nous, qui sommes ici dans le pays, avons une vision un peu étriquée de ce que représente notre communauté à l’étranger. Il faut donc que cette communication entre Algériens puisse se faire d’une manière plus large, plus intelligente et plus mobilisatrice», a-t-il précisé. M.Medelci a ajouté que la communication « doit donner l’occasion aux uns et aux autres de mieux approcher la vérité ».

Des programmes d’actions conjoints entre les secteurs des Affaires étrangères et celui de la Solidarité nationale seront élaborés et concrétisés selon les moyens disponibles en faveur de la communauté nationale à l’étranger, a-t-il ajouté. En sa qualité de premier responsable de cette communauté, Djamel Ould Abbès, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale établie à l’étranger, a annoncé que son département oeuvrera à la protection des droits de la communauté algérienne. « La consolidation des liens avec la communauté nationale à l’étranger se fixe comme objectif premier de mettre à contribution la ressource humaine pour l’intérêt du pays et l’octroi, à ceux dont l’incapacité de produire est établie, le droit à une juste reconnaissance dans la dignité et le respect », a-t-il déclaré. Il a insisté que l’Etat veillera pour assurer la protection des droits des Algériens établis sous d’autres cieux. M.Ould Abbès reste confiant que l’Algérie peut tirer profit de cette communauté, estimée à plus de 4 millions de personnes. La communauté nationale pourrait être l’arme économique du pays, a t-il conclu.
[ source ]
Par Tahar FATTANI
L'Expression, Ă©dition du 07 Juillet 2008

La gastronomie française inscrite au patrimoine mondial?

# Administrateur | 06/07/2008 | Info

La gastronomie française inscrite au patrimoine mondial? Ce n'est pas gagné


Gastronomie française
AFPTV¦ Des chefs se mobilisent pour l'inscription
de la gastronomie au patrimoine mondial (durée: 1mn33)


La gastronomie française doit-elle compter au patrimoine de l’Unesco? La question fait polémique. «Il n'y a pas de catégorie à l'Unesco pour la gastronomie», a déclaré Chérif Khaznadar, président de l'Assemblée générale des Etats membres de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l'Unesco, lors d'une table ronde organisée dans le cadre du premier festival gastronomique «Gastronomy by the Seine», qui se tient de vendredi à dimanche sur des yachts à Paris. «La convention, ni dans l'esprit, ni dans la lettre, ne peut inclure la gastronomie».

Khaznadar a souligné que seuls des «éléments» précisément identifiés pourraient figurer sur une liste du patrimoine immatériel. Le patrimoine immatériel, tel qu'il est défini dans une convention de 2003, comprend notamment les «pratiques sociales, rituels et événements festifs» et les «savoir-faire liés à l'artisanat traditionnel».

Ce à quoi Jean-Robert Pitte, ancien président de la Sorbonne chargé par Nicolas Sarkozy de piloter le dossier de candidature, a riposté: «il faut être du Sud et avoir une petite bourrée, une petite danse» à faire inscrire. «En revanche, cet élément majeur de la culture française» qu'est la cuisine «pour lui n'y entre pas», a-t-il déploré, rappelant que Khaznadar «n'est pas le seul à décider».

Une rengaine commune

Si le Nicolas Sarkozy avait annoncé le 23 février que la France allait déposer auprès de l'Unesco une demande de classement de sa gastronomie au patrimoine mondial immatériel de l'humanité, la France n’est pas le seul pays à tenter sa chance. Le Mexique s’y était déjà frotté, en 2005, ainsi que l’Italie. Mais en vain.

Aucune gastronomie n'a pour l'instant été inscrite au patrimoine immatériel de l'humanité. L'Unesco devrait faire connaître sa décision début 2010.

[ source ]
AA avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 05/07/2008 - 17h10

ILS SONT PRĂS DE 900.000 Ă€ VENIR PASSER LEURS VACANCES

# Administrateur | 05/07/2008 | Info

ILS SONT PRĂS DE 900.000 Ă€ VENIR PASSER LEURS VACANCES AU PAYS
Les émigrés arrivent


EmigresUn programme d’un million d’euros, intitulé «Bienvenue au pays», sera lancé à partir d’aujourd’hui.

La saison estivale permet à de nombreux Algériens, résidant à l’étranger, de retrouver le pays en venant y passer leurs vacances. Les uns retrouvent leurs racines, voire des souvenirs évanescents.

En revanche, ceux de la nouvelle génération découvriront le pays de leurs ancêtres. Ainsi, pour cette saison estivale, près de 900.000 Algériens sont attendus, a indiqué le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, Djamel Ould Abbès.

Un programme d’un montant de 100 millions de DA (1 million d’euros) intitulé «Bienvenue au pays» sera lancé à partir d’aujourd’hui, a ajouté le ministre. L’objectif de ce programme est «d’accueillir dans de bonnes conditions de convivialité les ressortissants algériens à leur arrivée et lors de leur séjour dans le pays. Il vise également à faciliter leurs démarches administratives et douanières dans les ports, aéroports et aux frontières terrestres», a précisé M.Ould Abbès. «19 espaces d’accueil et d’accompagnement ont été aménagés au niveau des ports et aéroports pour accueillir les Algériens établis à l’étranger durant la saison estivale 2008», a-t-il ajouté, lors de l’installation d’un comité national chargé de préparer l’accueil des émigrés. Afin de bien préparer cet événement, Air Algérie a renforcé ses capacités.

L’entrée en service, le 2 mai dernier, du billet électronique, n’est pas étrangère à cette parade. Manifestement, cela va permettre de gagner du temps et de faire face à la demande. Première des représentations de la compagnie à l’étranger, «France-Nord-est», comme son nom l’indique, est en charge de toute la partie nord de l’Hexagone. Outre Paris (Orly et Roissy Charles-de-Gaulle), elle gère les escales de Lille et de Metz auxquelles s’ajoute celle, provisoire, de Mulhouse à la frontière Est. La vente de billets du programme d’été - la période allant du 26 juin à début septembre - a commencé prématurément cette année.

Air Algérie a mis en ligne son offre «été» le 6 février dernier, avançant le dispositif d’un mois par rapport à la saison dernière. Pour la seule France-Nord, la compagnie a mobilisé quelque 79.000 sièges dans le sens aller vers l’Algérie. Le gros de l’affluence est attendu entre début juillet et début août. Pour le retour vers l’Hexagone, des vols supplémentaires ont été d’ores et déjà prévus pour parer à toute éventualité.

Rien que sur Paris - la région Ile-de-France étant la première zone de concentration de l’immigration algérienne -, le pavillon national a jugé utile de renforcer son programme par 37 vols supplémentaires. 15 vols décolleront depuis Alger, 9 vols partiront d’Oran et de Béjaïa, 3 de Tlemcen et 1 de Sétif. 14 autres supplémentaires relieront l’Algérie à Metz: 6 d’Oran, 2 de Béjaïa, 5 de Constantine et 1 de Chlef.

Autre région à forte implantation algérienne, Lille sera reliée à l’Algérie par 8 vols supplémentaires pour la phase retour: 3 depuis Oran, 2 depuis Tlemcen, 2 depuis Constantine et un à partir de Béjaïa. Mulhouse, un aéroport également fréquenté par les Algériens installés en Suisse et en Allemagne, bénéficiera de deux vols supplémentaires depuis Annaba.

Cette offre additive en sièges répond à la singularité de cette année. «La rentrée des classes coïncidant avec le début du Ramadhan, Air Algérie a décidé de mettre tous les atouts de son côté pour assurer aux ressortissants un retour dans les meilleures conditions», dit-on à la représentation de l’avenue de l’Opéra à Paris.
[ source ]
Par Lynda BEDAR
L'Expression, Ă©dition du 05 Juillet 2008

Algérie - Le plastique menace la santé publique

# Administrateur | 05/07/2008 | Info

> ENQUETE

Le Plastique menaceSachets, jouets, pots de crème, cuillères… : Le plastique menace la santé publique

A défaut d’interdire l’emballage en plastique, ce qui, il est vrai, constitue une entreprise techniquement ardue et financièrement complexe, les pouvoirs publics ont préféré partir en croisade contre le sachet noir. Mais force est de constater, aujourd’hui, que son interdiction a donné des idées aux transformateurs qui se sont vite mis… à la couleur ! Dès lors, la nature a pris des couleurs, et comme ses fabricants se recrutent souvent dans la filière de l’informel, les préceptes de confection des sachets, notamment la traçabilité, sont bafoués, et par voie de conséquence, sa nocivité sur la santé des Algériens reste bien réelle. Et au bout du compte, la fabrication informelle du plastique est devenue un véritable filon menaçant sérieusement notre santé et notre environnement. Le danger est d’autant plus inquiétant quand on sait également que nos enfants tripotent constamment des jouets en plastique extrêmement contaminants ou dégustent une glace dans un pot fabriqué à partir de… batteries de véhicules usagées !


Le polyéthylène (extrait du pétrole), qui entre dans la constitution des sachets plastiques, a été inventé dans les années 1930 et son utilisation s’est généralisée dans les magasins durant les années 1970. Or, cet emballage alimentaire s’est avéré, avec le temps, néfaste pour l’environnement en raison de sa longue durée de vie variant entre 100 et 1000 ans, selon les experts ! Un sac ou une bouteille en plastique, dont le temps de biodégradabilité est d’au moins un siècle, font partie de ces déchets dont il est difficile de se débarrasser facilement, et dont l’impact sur la santé et l’environnement est lourd à supporter.

En France, 17 milliards de sacs plastiques sont utilisés par les consommateurs ; en Angleterre, c’est une affaire de 8 milliards de sacs, alors qu’en Chine, la quantité des sacs utilisés serait de l’ordre de 2 milliards d’unités. Les chiffres diffèrent d’un pays à l’autre, en fonction, évidemment, des mesures prises par chaque Etat pour réduire leur utilisation en les substituant notamment par le sac en papier recyclé, comme c’est le cas en Chine, à Taiwan ou en Irlande. En Algérie, en l’absence de données exhaustives, le sac plastique est non seulement largement utilisé dans tous les commerces, mais il est quasi impossible d’avoir une idée sur le nombre d’unités servant à emballer les courses les plus variées des consommateurs. En effet, si sous d’autres cieux le sac plastique est pratiquement banni, dans notre pays, le problème se résume, pour l’heure, à une simple affaire de couleur.

En déclarant la guerre au sachet noir, et en mettant au point une réglementation coercitive relative au contrôle de la conformité des sacs plastiques destinés à emballer des aliments, les décideurs n’ont pas, par contre, interdit leur emploi. Le combat, qu’a décidé de mener le gouvernement algérien, s’inscrit pour l’instant dans un cadre se limitant strictement à la normalisation de la fabrication des sachets plastiques, conformément aux dispositions réglementaires en vigueur. Autrement dit, les producteurs de sachets plastiques, devant contenir des denrées alimentaires, sont tenus de les fabriquer à partir de matière première vierge de propylène non recyclé, non régénéré, non déclassé et destiné à la production de film pour contact alimentaire. De même, les encres utilisées pour l’impression de motifs, de mentions ou de sigles ne doivent pas contenir des substances chimiques toxiques comme le plomb, le cadmium, le mercure ou l’arsenic, lesquels peuvent provoquer des intoxications, des convulsions, des encéphalopathies ou encore un arrêt cardiaque.

Le noir détrôné
Le fameux sachet noir, principal « instigateur » des mesures prises par le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, contient justement ces éléments toxiques dont la dangérosité sur la santé publique et ses effets néfastes sur l’environnement ne sont plus à démontrer. Mais en dépit de cela, et nonobstant le décret exécutif n° 04-210 du 28 juillet 2004 définissant « les modalités de détermination des caractéristiques techniques des emballages destinés à contenir directement des produits alimentaires ou des objets destinés à être manipulés par des enfants », le sachet noir continue, néanmoins, à être utilisé dans le commerce. La « traque », menée depuis deux ans par les services concernés, semble certes avoir réduit quelque peu son utilisation, mais dans certains commerces, il a encore de beaux jours devant lui. Certains commerçants estiment, à ce titre, que « tant que le sachet noir sert à emballer des produits non alimentaires, il ne représente aucun danger ». Au même titre d’ailleurs que les sachets plastiques en couleur (marron, mauve, bleu, jaune, à rayures…) dans lesquels on nous emballe pain, fruits et légumes et autres denrées alimentaires. Ces sacs en couleur ne comportent aucun marquage, aucun sigle ni logo, conformément aux dispositions réglementaires en vigueur.
Outre sa fabrication à partir d’une matière première vierge, le sachet plastique alimentaire ne doit pas, faut-il le signaler, contenir des additifs en vue d’augmenter son opacité à l’exception du dioxyde de titane qui donne au sachet une couleur blanche laiteuse, et doit impérativement comporter la raison sociale, l’adresse, les coordonnées du fabricant, le numéro du lot, la date de fabrication, le logo du fabricant et / ou de l’importateur et le sigle d’alimentarité du produit. Au demeurant, tout sac plastique qui n’est pas de couleur blanche et dénué de système de traçabilité n’est pas réglementaire ! Selon M. Djena, cadre à la direction de l’environnement de la wilaya de Constantine, « toute couleur en dehors du blanc est suspecte et tout sachet plastique en couleur est banni ». Pourtant, dans chaque commerce de la ville, dans les marchés, les supérettes et même dans les boulangeries, les sacs en couleur non conformes sont numériquement majoritaires par rapport au sac blanc réglementaire. Cela dit, il existe aussi des sachets blancs non conformes, parce qu’ils ne comportent aucune indication ni traçabilité. Interrogés, à ce propos, certains consommateurs reconnaissent ne pas faire attention à la conformité du sachet plastique à condition que ce dernier ne soit pas noir. Le problème se pose aussi pour les sachets de congélation, d’autant que ces derniers ne comportent aucune indication de conformité, alors qu’ils sont utilisés dans tous les ménages. A ce titre, il faut savoir que seuls les sachets transparents sont réglementaires puisqu’ils ne contiennent ni colorants ni additifs. Ceux de couleur, jaune généralement, sont donc à éviter, nous dit-on.
Les brigades pluridisciplinaires, composées de représentants des directions de l’environnement, du commerce, de l’énergie et des mines, des services de sécurité et de l’APC de Constantine, opèrent, chaque semaine, des contrôles au niveau des différents commerces et marchés de la ville et procèdent à chaque sortie, nous dit-on, à la saisie de sachets plastiques non conformes, mais l’emprise tentaculaire de l’informel est tellement insidieuse que malgré les saisies et les opérations de contrôle effectuées, les sachets non réglementaires régénèrent, en permanence, à la faveur de l’impunité dont jouissent certains transformateurs de plastique.

L’informel et ses complices
A cet effet, l’on apprendra auprès de la direction de l’environnement de la ville du Vieux rocher que les sorties effectuées par les services concernés ont permis de saisir, entre le 1er janvier et le 22 avril 2008, 44 kg de sachets plastiques suspects, soit 16 700unités, alors qu’en 2007, la « récolte » s’est élevée à plus de …100 kg ! « Nous n’avons pas de producteurs à Constantine. Ces sacs plastiques proviennent de Sétif et de Bordj Bou Arréridj, véritables plaques tournantes de l’informel. Il y avait auparavant un Chinois qui fabriquait des sachets non conformes ; il s’est installé à Sétif au niveau de la zone industrielle de Mezloug après la fermeture de son usine en 2006 à cause, justement, de la non-conformité de ses sachets », nous précise-t-on à la direction de l’environnement. Selon d’autres sources, il semblerait que la production de sacs plastiques non réglementaires soit l’œuvre de quelques « gros poissons » implantés, laisse-t-on entendre, au niveau de la zone industrielle de Mezloug, et qui bénéficieraient de « certaines complicités ». A cet effet, l’on apprendra que le ministère de l’Environnement a été saisi, à ce sujet, par les autorités compétentes, mais, pour le moment, aucune sanction ne semble avoir été prise à leur encontre. Partant, l’on s’interroge pour quelles raisons ces producteurs irrespectueux de la loi continuent d’inonder le marché constantinois et autres de sacs non conformes sans être le moins du monde inquiétés ?

Rassurant, pour sa part, M.Djena estime qu’« en deux ans d’application de la réglementation, il y a une nette amélioration de la situation, vu les saisies opérées chaque semaine ». Et d’ajouter : « Nous avons également constaté une prise de conscience chez les citoyens, lesquels doivent justement refuser que les commerçants leur emballent des denrées alimentaires dans des sachets non conformes. » Cependant, tant que la réglementation est encore ignorée par certains producteurs qui utilisent des matériaux recyclés provenant d’emballages ayant préalablement servi au conditionnement de diverses substances toxiques, la santé des consommateurs restera menacée à cause de ce que les experts qualifient de « migration des substances nocives du sachet vers la denrée alimentaire », à l’exemple de l’arsenic contenu dans le sachet noir notamment, et que l’on présente comme étant cancérigène. Sur le plan environnemental aussi, la facture risque d’être lourde : non biodégradable, le sachet plastique contribue à asphyxier les arbres, à enlaidir les villes, à obstruer les avaloirs et à dégrader les milieux naturels. Les répercussions des sachets plastiques sur les écosystèmes sont, estiment les écologistes, considérables.

Les sachets usagés éparpillés dans la nature sont récupérés, avant d’être enfouis et « cela n’a aucun impact sur l’environnement et c’est le seul moyen de les éliminer », nous confie-t-on à la direction de l’environnement de Constantine. Quant à l’éventualité d’utiliser des sacs en papier, l’on nous répondra que cela représente une entreprise ardue, d’autant que les sacs en papier sont plus coûteux. Aux dernières nouvelles, l’on apprend que la wilaya de Constantine compte prochainement pondre un arrêté interdisant les sachets en couleur. Seront uniquement tolérés les sacs blancs portant, bien évidemment, la mention « alimentaire » et tous les renseignements exigés sur le fabricant. Une petite révolution salutaire en attendant, un jour, que l’Algérie se mette à l’heure du…Rwanda où le sachet plastique est tout simplement totalement interdit !
[ source ]
Par Lydia R.
El Watan, Ă©dition du 05 Juillet 2008

Des millions de vacanciers pour les premiers départs de l'été

# Administrateur | 05/07/2008 | Info

Des millions de vacanciers pour les premiers départs de l'été




Vincent Nguyen AFP/Archives¦
Des voyageurs sur le quai avant de monter Ă  bord
de leur train, le 14 juillet 2007 gare de Lyon Ă  Paris

Des millions de vacanciers sont attendus sur les routes, dans les aéroports et les gares pour le début des vacances scolaires, marquant ainsi le coup d'envoi des grands déplacements estivaux.

Sur les routes, le Centre national d'information routière prévoit un vendredi rouge en Ile-de-France et dans la vallée du Rhône la journée de vendredi dans le sens des départs. Pour le reste du pays, elle est colorée en orange.

Bison futé annonce aussi un samedi chargé, classant la journée rouge dans le sens des départs.

Si la journée de dimanche est classée verte, Bison Futé conseille cependant, pour les retours de week-end, de prévoir un retour vers les grandes villes avant 16H00.
Dans les gares, la SNCF prévoit 1,3 million de voyageurs entre jeudi et samedi avec 1.520 trains prévus dont 1.040 TGV. Comme pour tous les grands départs, la plus grosse affluence est prévue à la gare Montparnasse à la gare de Lyon, à destination de la Bretagne et vers la façade Atlantique d'une part et pour les voyages vers les Alpes, la Provence, la Côte d'Azur et Languedoc-Roussillon.

Les fameux "gilets rouges" viendront aider les vacanciers à retrouver leur chemin tandis que dans les aéroports parisiens, ce sont les "gilets orange" qui seront chargés de guider les voyageurs. Aéroport de Paris (ADP) prévoit 1,2 million de passagers dans les aéroports d'Orly et Roissy entre jeudi et dimanche, avec en moyenne, 200.000 passagers à Roissy et 100.000 à Orly attendus chaque jour.

Mais vendredi, les départs pourraient être perturbés par un appel à la grève lancé dans les entreprises de sûreté avec des retards dans les deux aéroports.
ADP comme la SNCF ont prévu des animations pour égayer les départs: cours de danse gratuits dans les salles d'embarquement des aéroports, animations festives sur les quais de la gare de Lyon vendredi.

L'aéroport de Nice, troisième aéroport de France après Orly et Roissy, s'attend à un trafic "important mais pas exceptionnel" le week-end prochain à l'occasion des grands départs.

Comme le week-end dernier, sont prévus 380 mouvements aller-retour samedi et 356 dimanche.

[ source ]
© 2008 AFP
20Minutes.fr, Ă©ditions du 04/07/2008 - 12h09

Algérie: opération de sensibilisation sur les risques sismiques

# Administrateur | 04/07/2008 | Info

Algérie: opération de sensibilisation sur les risques sismiques en préparation


ALGER, 3 juillet (Xinhua) -- La Protection civile algérienne prépare une opération à l'échelle nationale de sensibilisation sur les risques sismiques pour inculquer aux citoyens les gestes et les conduites à prendre avant, pendant et après un séisme, a rapporté l'agence de presse algérienne APS citant une source de l'institution.

"Une importante opération de sensibilisation sur les risques sismiques à l'échelle nationale est en phase de préparation au niveau de la Protection civile, dans le but d'inculquer la culture du risque sismique chez les citoyens et leur apprendre les conduites à tenir lors d'un séisme", a indiqué à l'APS le chargé de la communication à la Direction générale de la Protection civile, le commandant Farouk Achour.

L'opération comprendra plusieurs activités, dont la distribution de dépliants et d'affiches au niveau des établissements scolaires et d'associations, de compact-disc (CD) préventifs, et l'organisation de journées d'information au niveau des communes et le lancement de caravanes de sensibilisation à travers les wilayas, a-t-il précisé en marge du lancement officiel de la manifestation "Un drapeau dans chaque foyer".

L'opération vise notamment à apprendre aux gens des réactions et réflexes utiles, avant, après et pendant un tremblement de terre, a précisé le commandant Achour, estimant qu'elle permettra de réduire le nombre de victimes et de blessés en cas de fortes secousses.

La sensibilisation portera, également, sur la manière de positionner les objets et les meubles à l'intérieur des maisons, a- t-il dit.

L'Algérie, qui se trouve à la jonction des plaques africaine et euro-asiatique, est un pays sismiquement actif. Un séisme de magnitude 6,8 sur l'échelle ouverte de Richter avait frappé en mai 2003 le nord du pays, faisant quelque 2.300 morts et environ 10. 000 blessés, sans compter une perte matérielle de plus de 5 milliards de dollars.

[ source ]

PAYS-BAS : Le tabac banni des lieux publics

# Administrateur | 02/07/2008 | Info

PAYS-BAS
Le tabac banni des lieux publics


L'interdiction entre en vigueur dès le 1er juillet. Les cafés, restaurants et coffee-shops craignent une baisse de leur fréquentation.


tabac banniLa Hollande rejoint, mardi 1er juillet, le groupe des pays européens qui interdisent le tabac dans les lieux publics. L'interdiction prend effet dès ce jour.
Les restaurants, cafés et coffee-shops néerlandais redoutent cette entrée en vigueur de l'interdiction. "Des sondages montrent que 60% des patrons pensent vendre leur établissement", expliquent les représentants du secteur sur leur site internet horecasite.nl. En juin, 1.600 établissements étaient à vendre, contre 1.350 en janvier.
Les coffee-shops se trouvent, pour leur part, confrontés à une situation paradoxale : l'autorisation de fumer un joint demeure, à condition que l'herbe ne soit pas mélangée à du tabac. La Hollande est le seul pays de l'Union européenne à autoriser cannabis et haschisch dans les cafés sous licence depuis 1976.

L'Allemagne aussi

En interdisant le tabac dans les lieux public, les Pays-Bas s'inscrivent dans le sillage des pays européens qui tentent de limiter la consommation pour des raisons de santé. La Grèce a amorcé le mouvement dès 2002, en l'interdisant dans les lieux publics. Un nouveau projet de loi prévoit une extension de l'interdiction aux cafés et restaurants à partir de 2010.
En Allemagne, à la traîne en la matière, les délais de tolérance aux lois anti-tabac entrées en vigueur au début de l'année, prennent fin ce même jour. Les contrevenants s'exposent désormais à des amendes.
Si la consommation de tabac est officiellement proscrite dans les lieux publics, les restaurants et discothèques peuvent, en théorie, se doter de salles pour fumeurs séparées. D'un Land à l'autre, les lois anti-tabac et ses dérogations sont variables, l'Allemagne ayant refusé de légiférer sur le plan national.

SĂ©duire de nouveaux clients

Au Pays-Bas, pour faire face au mécontentement des propriétaires de bars et restaurants, un bureau de recherches sur la santé a affirmé que ceux-ci pourraient séduire quelque 800.000 nouveaux clients non-fumeurs et asthmatiques.
Les exploitants de bars ont entamé une action en justice, traitée le jour même de l'entrée en vigueur de l'interdiction.
Des actions de protestations sont aussi programmées. Un cinéma de Rotterdam distribuera des cigarettes à ses clients qui pourront profiter du tabac, quitte à enfumer la salle, pendant la projection du film "Coffee and Cigarettes". Deux librairies d'Amsterdam offriront un cigare aux acheteurs et des soirées spéciales fumeurs sont prévues dans plusieurs cafés.

Vendredi, le gouvernement a prévenu que l'interdiction s'étendrait aux tentes et auvents des établissements. Les autorités en charge de la sécurité alimentaire ont averti que les inspections débuteraient immédiatement. Une amende de 2.400 euros attend les contrevenants.
Le Bureau central des statistiques a indiqué que le nombre de fumeurs aux Pays-Bas a baissé de 100.000 depuis 2000, et que moins d'un Néerlandais sur quatre fume encore.

[ source ]
NOUVELOBS.COM | 01.07.2008 | 15:33

France - La réforme du bac pro est « justifiée »

# Administrateur | 02/07/2008 | Info

La réforme du bac pro est « justifiée »


reforme du bac

François Guillot AFP/Archives¦
Une épreuve du baccalauréat le 12 juin 2006
dans un lycée parisien


« La décision de s’orienter vers un baccalauréat professionnel en trois ans afin de favoriser l'élévation du niveau de qualification par la poursuite des études est justifiée » par le fait que les niveaux de qualification requis sur le marché du travail ne cessent de progresser, selon un rapport du secrétaire d’Etat à la Prospective, Eric Besson, rendu public ce mercredi.

Ce rapport, intitulé «l’employabilité des jeunes issus de l'enseignement professionnel initial du second degré», avait été commandé par le ministre de l’Education Xavier Darcos et s’appuie sur plusieurs études et statistiques. «L’employabilité» est déterminée par le taux d’emploi en sortie de formation, le type de contrat et le salaire.

L’apprentissage: la voie la plus sure vers l’embauche

La réforme du «bac pro» vise aussi le développement de l’apprentissage, une décision «conforté par l'insertion plus aisée des sortants ayant suivi cette voie.» A la fin de leur formation, les apprentis ont plus de chance d’être recruté en CDI et leur taux d’emploi est de 64% contre 49% pour les lycéens en bac pro qui n’ont pas suivi d’apprentissage.

Selon le rapport, «le taux d'emploi est plus élevé au sein d'une filière pour les bacs pros: près de 20 points d'écart en 2007 entre les sortants de bacs pros et les CAP-BEP.» Or, aujourd’hui sur 100 jeunes qui entrent en BEP après la troisième, seuls 46 seulement poursuivent en bac pro et un sur trois seulement décroche le diplôme. La réforme vise donc à encourager les jeunes à obtenir le bac pro.

Le taux d’emploi varie selon le sexe. En 2007, le taux d’emploi chez les filles était de 41% contre 54% chez les garçons. Il existe aussi une forte disparité selon les régions, reflétant la situation de l’emploi local, sauf dans le Nord-Pas-de-Calais, le Languedoc-Roussillon et la Picardie, ainsi que dans les départements d'outremer, où le taux d’emploi est en-dessous de la moyenne nationale.

Cinq secteurs emploient plus d’un diplômé sur deux: le bâtiment, le commerce/immobilier, l'hôtellerie-restauration et le secteur «industrie mécanique, électricité, métallurgie.»

[ source ]
KG avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 02/07/2008 - 12h03

France - Moins d'Ă©preuves au bac et plus de contrĂ´le continu?

# Administrateur | 02/07/2008 | Info

Moins d'Ă©preuves au bac et plus de contrĂ´le continu?


Bac2008 France
Pierre Verdy AFP/Archives¦
Des lycéens attendent la distribution des sujets de philosophie,
première épreuve écrite du baccalauréat général


Le bac a 200 ans, est-ce donc l’heure d’un petit coup de neuf? C'est en tout cas l'avis de Jean-Marie Jutand, le médiateur de l'Education nationale. Il remettait ce mardi le 9e rapport annuel sur le baccalauréat. Et pour lui, il faut «alléger le nombre d'épreuves» en se recentrant sur les disciplines fondamentales.

Il juge ainsi «excessif le nombre d'options», comme «les langues régionales rares, le surf. Nous savons bien (...) que si on passait le bac avec 6 épreuves ou 12, on aurait le même résultat à 98%. Donc pourquoi ne pas l'alléger?», s'interroge notamment le médiateur.

Tensions autour du contrĂ´le continu

Une des solutions envisagées serait d'introduire «une dose de contrôle continu». Une proposition qui risque fort de finir dans les placards, si l'on se souvient de la mobilisation lycéenne en 2005 contre la réforme du baccalauréat.

Selon Roland Huber, co-secrétaire général au Snes, le principal syndicat des professeurs du secondaire, la réduction du nombre d'épreuves répond surtout à «une motivation financière: cela coûte moins cher de faire du contrôle continu».

Mais pour lui, le contrôle continu «risque de dévaloriser le bac. Aujourd'hui, tout le monde passe le même examen, le diplôme a la même valeur quel que soit le lycée d'où l'on vient.»

Et vous, pensez-vous qu'il faille réduire le nombre d'épreuves au bac? Le contrôle continu est-il la solution?

[ source ]
Sylvain Mouillard avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 01/07/2008 - 19h12

Tassili Airlines compte acquérir neuf nouveaux aéronefs

# Administrateur | 02/07/2008 | Info

Tassili Airlines compte acquérir neuf nouveaux aéronefs


Sonatrach, à travers sa filiale de transport aérien Tassili Airlines, va lancer en juillet un avis d'appel d'offres national et international pour l'acquisition de neuf nouveaux avions moyen porteurs, a indiqué, hier, le directeur exécutif chargé des finances de Sonatrach, M. Ali Rezaïguia.

M. Rezaïguia a précisé, dans une déclaration à la presse en marge de la signature d'un accord d'assurance entre Sonatrach et la CAAR, que l'appel d'offres qui concerne six avions d'une capacité de 100 à 150 places et trois autres d'une capacité de 70 places, "figurera dans le bulletin des appels d'offres du secteur de l'énergie et des mines (Baosem) en ce mois de juillet".

"Nous lançons un appel d'offres national et international et chaque compagnie peut soumissionner", a-t-il ajouté. Pour revenir à Tassili Airlines, cette compagnie, qui a été restructurée en groupe aérien de trois filiales (Naftassili Air, Tassili Airlines et Tassili Agro-Aérien), compte avec ces nouvelles acquisitions renforcer et développer sa flottille destinée, dans un premier temps, à assurer le transport du personnel des compagnies opérant dans le secteur de l'énergie et des mines, a précisé M. Rezaïguia.

Elle devrait assurer, à partir de 2009, le transport public domestique et international de passagers et de marchandises, mais aussi investir le secteur agricole, notamment dans les activités de lutte anti-acridienne et de lutte contre les feux de forêt, a-t-il poursuivi. Pour pouvoir assurer tous ces objectifs, ce nouveau groupe aérien, qui ambitionne de devenir le deuxième opérateur public à l'intérieur du pays, après Air Algérie, a bénéficié d'un budget conséquent destiné à l'acquisition d'une nouvelle flotte de 41 aéronefs comprenant, entre autres, des avions agricoles, des hélicoptères et des avions d'affaires.

D'ailleurs un budget spécial, de plus d'un milliard de dollars, a été dégagé par la société mère, Sonatrach. Toute cette flotte va servir à transporter, bien sûr, les travailleurs de la compagnie, à travers les différents sites qu'elle exploite, de même que cette nouvelle politique d'acquisition va permettre de résorber le déficit en matière du transport aérien à l'intérieur du pays.
[ source ]
Par A. Z.
EL MOUDJAHID - 01-07-2008 Ă  21:02

Algérie - Plages interdites à la baignade : Les causes de l’interdiction

# Administrateur | 28/06/2008 | Info

> ALGER INFO

plages interditesPlages interdites à la baignade : Les causes de l’interdiction

En plus de la pollution qui reste la principale cause de l’interdiction de certaines plages à la baignade qui représentent 69 % du nombre des plages interdites, soit 17 sites, on dénombre, selon le directeur de l’Agence chargée de la promotion et de la protection du littoral (APPL), « près de 17 autres plages qui sont interdites à la baignade pour de multiples raisons, autres que la pollution ».


Il s’agit, dans ce contexte, de fermetures opérées pour des raisons naturelles, telles que la dangerosité ou l’absence d’accès, ou pour des raisons qui ont trait à l’intervention humaine, telles que les travaux. Globalement, pour la saison estivale 2008, les plages interdites à la baignade, pour différentes raisons confondues, sont, selon notre interlocuteur, au nombre de 34, soit 17,30 km de la longueur du linéaire côtier de la wilaya, soit 42% du nombre total des plages et 39 % de la longueur totale des plages. Ces dernières font partie du littoral algérois qui s’étend, pour rappel, de l’oued Mazafran à l’ouest, jusqu’à oued Reghaïa à l’est sur 97,5 km. Les principaux sites interdits à la baignade pour cause de pollution restent, cependant, ceux se trouvant dans la commune de Mohammadia. Il s’agit des plages Lido, Mazella et Pins Maritimes (près de 1961 m). Aussi, des plages de Aïn Benian, telles El Bahdja et l’Ilot, dont le total de la longueur linéaire vient en seconde position avec 530 m. En troisième position arrive la commune de Raïs Hamidou avec 235 m (Vigie la grande, Sport nautique et Rascasse). Quoique de moindre importance, d’autres sites de baignade, pareillement fermés pour cause de pollution, viennent s’ajouter à la longue liste des sites très pollués, il est question des plages : Lafayette, Campino dans la commune de Hammamet ; ou encore de Kaâ Sour, Sablettes, Piquet Blanc, Coco Plage, Stamboul, Champs de tir, lesquelles se trouvent dans plusieurs communes du littoral algérois.

Les plages interdites à la baignade pour cause de dangerosité, c’est-à-dire qui présentent des rochers à fleur d’eau, sont selon le même responsable, « au nombre de 10 ». En terme de longueur linéaire, cela se traduit par la classification suivante : la commune de Bologhine vient en première position avec 910 m. Les sites qui arborent cette topographie sont : Eden, L’Olivier, La Poudrière, Deux Châteaux, et Le Petit Bassin. En seconde position, la commune d’El Marsa, avec deux sites, Sidi El Hadj et El Marsa centre, totalisant une longueur de 269 m. Arrivent ensuite les plages Les Ondines à Bordj El Bahri, La Fontaine à Aïn Benian et Sidi Fredj ouest dans la commune de Staouéli. Abordant la question relative aux plages interdites à la baignade pour causes de travaux, le directeur de l’APPL dira : « Celles-ci sont au nombre de cinq. » Et d’ajouter : « Quatre d’entre-elles se trouvent au niveau de la commune de Aïn Taya et une dans la commune de Cheraga. » A Aïn Taya, il s’agit des plages Zarzouria, Aïn Beïda, Tamaris, et de Kef Aïn Taya. A Cheraga, il est question de la plage Les Dunes. Les cinq plages, qui totalisent une longueur linéaire d’environ 3500 m, connaissent des travaux d’enrochement, notamment à Aïn Taya, où ces derniers sont axés sur le confortement des falaises qui subissent, depuis maintenant plusieurs années, une importante érosion côtière. En ce qui concerne les plages interdites à la baignade pour cause d’absence d’accès, elles sont au nombre de deux, apprend-on auprès de notre interlocuteur. Il s’agit de La Crique dans la commune de Raïs Hamidou et de Belvédère dans la commune de Hammamet. Par ailleurs, trois plages ont étaient rouvertes cette année, Les Oiseaux, Verte Rive, et La Frégate. Ces dernières étaient fermées pour cause de pollution.
[ source ]
Par K. Saci
El Watan, Ă©dition du 28 Juin 2008

France - Week-end vert-orange pour les premiers départs en vacances

# Administrateur | 27/06/2008 | Info

Week-end vert-orange pour les premiers départs en vacances


Depart vacances

AFPTV ¦ Chassé-croisé des vacanciers. Durée: 1mn34

Bison futé prévoit une circulation fluide pour les premiers départs en vacances d'été, à partir de ce vendredi, sauf pour la journée de samedi, classée «orange» dans le sens des départs dans toute la France.

Pour justifier ce pronostic, le Centre national d'information routière (Cnir) explique que cette période, «située avant le début officiel des congés scolaires, connaît de forts flux de circulation alimentés en grande partie par des véhicules venant du nord de l'Europe» qui sont susceptibles de créer des difficultés de circulation significative samedi.


Eviter la région parisienne


Ce jour-là, Bison futé recommande d'éviter de transiter par la région parisienne et de quitter cette région entre 9 et 13h. Il suggère aussi d'éviter les autoroutes A6 (de Paris à Beaune et de Beaune à Lyon) et A31 des frontières du nord jusqu'à Beaune entre 9h et 13h.

Il recommande aussi d'Ă©viter le contournement de Lyon et l'autoroute A7 entre 9h et 13h.
[ source ]
20Minutes.fr, Ă©ditions du 27/06/2008 - 11h24

La bourse des métiers et de l'apprentissage aura son siège à Alger

# Administrateur | 24/06/2008 | Info

La bourse des métiers et de l'apprentissage aura son siège à Alger avant la fin 2008


La bourse des métiers et de l'apprentissage (BMA) qui est en phase de projet aura son siège à Alger avant la fin de l'année 2008, ont indiqué hier, des responsables du ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels lors du séminaire consacré à l'étude et l'enrichissement de ce projet. "Dans une première étape, il sera procédé à l'ouverture du siège de la BMA à Alger, puis des antennes seront installées au niveau de chacune des grandes villes du pays, à savoir Oran, Annaba, Constantine, Sétif, Bejaia et Tizi Ouzou", ont précisé ces responsables. La bourse des métiers et de l'apprentissage et ses antennes comprendront des espaces pour les entreprises et les jeunes afin de leur permettre de s'informer sur les offres de formation, notamment par apprentissage, la liste des diplômés en formation professionnelle , les métiers porteurs et conditions d'accès à la formation. Un projet de texte portant statut de cette bourse est en cours d'élaboration pour définir les dispositions, missions et les mesures d'organisation et de fonctionnement. Cette bourse des métiers, qui sera considérée comme un "baromètre" mesurant l'offre et la demande de formation, sera placée sous la tutelle du ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels. Elle sera administrée par un conseil d'administration qui comprendra notamment des représentants de plusieurs secteurs et départements ministériels ainsi que des représentants d'agences, offices, organisations syndicales et patronales et chambre de métiers et d'artisanat.
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EL MOUDJAHID, Ă©dition du 24 Juin 2008

Algérie : Surenchère sur les dates d’ouverture

# Administrateur | 24/06/2008 | Info

allee bambousVisite dans plusieurs chantiers par des Ă©lus de la wilaya
Surenchère sur les dates d’ouverture


Plus d’une quinzaine de projets ont été au programme de la visite des élus de l’APW, dimanche dernier. « Ces sorties permettront, insiste le chef de la délégation M. Rabhi, la mise en œuvre des décisions contenues dans le plan d’action, étrenné par les élus au début de l’actuel mandat ».


La première halte a été à la station de dessalement du Hamma, fonctionnelle depuis février dernier. Pour le directeur de l’hydraulique, M. Amirouche, le tiers des besoins des Algéois en eau en est tiré, « soit pas moins de 200 000 m3 par jour. L’Algérienne des eaux (ADE) a obligation d’acheter l’eau traitée », fera-t-il remarquer en assurant que l’emplacement de la station aurait pu être ailleurs, sauf que le choix a été fait afin de la coupler à la centrale électrique, située plus loin.

La délégation a fait un détour par le jardin d’Essais du Hamma. Les ouvriers en sont aux dernières retouches. Seul point mis en exergue : la date d’ouverture au public. Réplique du wali délégué de Hussein Dey M. Boucetta : « En septembre, au plus tard, tous les travaux seront achevés. L’inauguration se fera en temps voulu, mais il ne faut pas se presser ». Pour M. Boucetta, il faut, par contre, voir le travail accompli par les trois maîtres d’ouvrage que sont son administration ainsi que les directions de l’hydraulique et du logement. L’autonomie en eau est mise en évidence par le directeur de l’hydraulique : « En plus de capter une source, 4 puits ont été réhabilités. Un réservoir de 1000 m3 est aussi exploitable. » Le directeur du logement, M. Smaïn relèvera pour sa part que plus d’une quarantaine de familles ont été relogées alors qu’une vingtaine sont placées provisoirement dans des chalets. Cette opération a rendu possible la récupération des logements d’astreinte. Des gérants ont été désignés et auront à prendre en charge les deux buvettes et le restaurant, contre le paiement d’un loyer de 80 000 DA par mois. Obligation leur est faite de fermer aux heures réglementées, 19 h en été et 17 h en hiver. « Plusieurs anciens pensionnaires du parc zoologique (des animaux) furent par ailleurs récupérés du parc de Ben Aknoun et de nouvelles acquisitions très coûteuses, relève le directeur du jardin, M. Zeriat, ont été faites avec le soutien, en partie, de sponsors. » Seul regret, l’allée des Bambous, qui pour sa régénérescence, l’actuelle EPE a sollicité l’expertise des Chinois, « dépérit et finira par disparaître inéluctablement ».

Direction Kouba, oĂą ont Ă©tĂ© inspectĂ©es la piscine de 500 places, qui doit ĂŞtre inaugurĂ©e incessamment, et la maison de jeune d’Appreval, avant le dĂ©part des Ă©lus vers les logements des Bananiers. Cependant, ces mĂŞmes Ă©lus sont septiques quant aux dates d’ouverture des projets finis. Il en est ainsi des lycĂ©es de Verte Rive Ă  Bordj El Kiffan et de Bentalha qui devaient ĂŞtre inaugurĂ©s l’annĂ©e dernière. « Une salle de sport a Ă©tĂ© ajoutĂ©e », relève-t-on Ă  Bentalha. « L’école de football de Sidi Moussa â€â€™vĂ©ritable joyau’’, insiste M. Lebka, wali dĂ©lĂ©guĂ© de Baraki, ne verra pas de sitĂ´t ses portes ouvertes aux adeptes du sport roi ». « Toute ouverture est du seul ressort des politiques. L’Etat spectacle semble prendre le dessus », s’emporte un Ă©lu qui a pris part Ă  « cette balade des Ă©lus », comme l’a affirmĂ© son collègue, sceptique.
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Par Nadir Iddir
El Watan, Ă©dition du 24 Juin 2008

Téléphonie mobile

# Administrateur | 23/06/2008 | Info

Téléphonie mobile

Telephonie

Les Européens pourraient payer les appels reçus


La plus haute torture que pourrait subir un détenteur de téléphone mobile en Algérie, serait de lui faire payer les appels qu’il reçoit. Une hérésie pour un « bipeur » invétéré. Aussi impensable que cela puisse paraître en Algérie, les abonnés au mobile en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), paient sans broncher les appels qu’ils reçoivent.


Pour les Européens, il semblerait que ce système pourrait être introduit dans le futur. La Commission européenne s’est dit, lundi dernier, prête à laisser le champ libre aux opérateurs. « Pourquoi pas ? Le marché se développe, on ne devrait pas en rester aux règles qui ont été en place pendant dix ans », a répondu Viviane Reding, commissaire européenne chargée des télécommunications, à une question en ce sens du Financial Times publié lundi dernier. Mais « c’est aux opérateurs de décider », a-t-elle ajouté. « Si les opérateurs pensent que c’est attractif pour leurs clients, s’ils ont quelque chose d’autre pour convaincre les consommateurs, que cela pourrait être intéressant pour eux, nous ne dirons rien contre », a précisé le porte-parole de la commissaire, Martin Selmayr. « Nous ne forcerons pas non plus les entreprises à aller dans ce sens ». La tarification des appels reçus, selon le système dit du « bill-and keep », est la norme aux États-Unis ou dans certains pays d’Asie.Les Européens la connaissent seulement pour le « roaming », ou itinérance, quand ils utilisent leur téléphone portable à l’étranger. Recevoir un appel dans leur propre pays en revanche ne leur coûte rien aujourd’hui.
Du moins en apparence. Au lieu de facturer son client, l’opérateur de la personne appelée demande à celui du client qui appelle, quand leurs réseaux sont différents, de lui verser des « frais de terminaison d’appel ». Ces frais, censés couvrir le coût d’utilisation du réseau, sont finalement répercutés dans le prix des appels passés par les consommateurs. Après les tarifs de roaming, plafonnés l’année dernière, en attendant des mesures similaires pour les SMS, voire l’internet mobile, la Commission, persuadée de faire baisser les prix, veut s’attaquer aux frais de terminaison. Viviane Reding doit lancer d’ici fin juin prochain, une consultation publique sur une proposition visant à harmoniser le mode de calcul de ces frais et à « faire converger les frais de terminaison mobile avec ceux du fixe », aujourd’hui moins élevés, selon son porte-parole. « Ce que nous aimerions faire, c’est nous débarrasser des frais de terminaison très élevés et inégaux en Europe, qui à la fin doivent être payés par les consommateurs », a-t-il expliqué. Selon la Commission, ces frais variaient en octobre entre 2,06 centimes d’euro par minute à Chypre et 18,82 centimes en Bulgarie, avec une moyenne européenne à 9,67 centimes.
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Par A.F.P., Samir Ben
El Watan, Ă©dition du 23 Juin 2008

MÉTRO D’ALGER : une autre année de retard

# Administrateur | 23/06/2008 | Info

MÉTRO D’ALGER
Encore une autre année de retard


Metro AlgerLe métro d’Alger ne sera opérationnel que d’ici une année, selon les responsables de l’entreprise.


Encore une fois, l’ouverture du métro d’Alger au grand public ne se fera pas à la date prévue. Annoncée pour la fin de l’année en cours, la nouvelle date de l’inauguration de ce projet tant attendu, est reculée au 5 juillet 2009. Cette annonce a été faite hier par le directeur général adjoint de l’Entreprise du métro d’Alger, Tayeb Zendaoui, au cours d’une inspection sur quelques chantiers de la capitale. Cette visite a été organisée pour les élus de l’Assemblée populaire de la wilaya d’Alger.

Quant au tramway, son premier tronçon reliant Bordj El Kiffan aux Bananiers, il sera inauguré en août 2009 pour être complètement achevé en août 2010.

Au Jardin d’Essai du Hamma, dont la réhabilitation tire en longueur, les journalistes étaient surpris par les réticences des responsables quant à l’ouverture de ce jardin au public. A ce propos, on a avancé qu’elle aura lieu « probablement » en septembre prochain. Annoncée plusieurs fois comme imminente, l’ouverture du parc reste tributaire, semble-t-il, d’une décision politique. « Les oracles ne se sont pas prononcés », insistent des connaisseurs.

Dans la circonscription d’Hussein Dey, le projet de la piscine olympique et la Maison de jeunes de l’Appreval à Kouba ont également été visités. L’inauguration de ces deux établissements se fera le 5 juillet prochain, nous assure-t-on. Avant de prendre la route vers Bordj El Kiffan, les élus ont supervisé des travaux d’aménagement de la cité des 5 000 logements Mokhtar-Zerhouni (Les Bananiers).

Cette cité regroupe plusieurs types de logements, entre autres, logement social, socio-participatif et Aadl. A Bordj El Kiffan, les élus ont sillonné la route Nationale 24. Les travaux de doublement de cette route ne sont pas totalement achevés. Dans la commune de Bab Ezzouar, ont été inspectés le lycée Sorecal et la faculté de mathématiques de l’université des sciences et technologie Houari-Boumediene (Usthb). Ensuite, c’est au tour du Centre des Affaires, situé sur le terrain attenant à l’hôtel Mercure. La direction est prise par la suite vers la circonscription de Baraki où a été visitée l’une des trois stations d’épuration (Step) que compte la capitale.

La délégation s’est ensuite dirigée vers la localité de Bentalha avec la visite du nouveau lycée et a écouté la présentation du programme d’aménagement en cours dans l’agglomération de Bentalha.

L’école de football de Sidi Moussa, dont l’ouverture n’est connue que des seuls décideurs, tarde à prendre corps. Une autre infrastructure sportive d’importance a également fait l’objet d’une visite: il s’agit du nouveau stade de Baraki doté de quelque 5400 places.
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Par Lynda BEDAR
L'Expression, Ă©dition du 23 Juin 2008

Reynolds revient en Algérie après une longue période d’absence

# Administrateur | 22/06/2008 | Info

stylos Reynolds

Leader mondial dans les outils de bureautique


Reynolds de retour en Algérie

Reynolds revient en Algérie après une longue période d’absence. Leader mondial dans la fabrication des stylos et d’outils bureautiques, Reynolds entend investir de nouveau dans le marché algérien, et ce, à la faveur d’un partenariat avec AlgeriaPens.


Tunis : De notre envoyé spécial


« Nous comptons dépasser le stade des 60 millions de stylos Reynolds vendus en Algérie. A ce moment-là, nous allons investir sans doute dans les installations de production », nous a déclaré, à Tunis, Feliachi Fouad, directeur général d’AlgeriaPens, seul partenaire de Reynolds en Algérie. Mais pour la première phase, cette entreprise qui est issue, faut-il le préciser, de la multinationale américaine Sanford, compte d’abord réussir son opération commerciale. Reynolds avait décidé de délocaliser la production de sa filiale Reynolds France chez son partenaire tunisien, SIAB. En Tunisie, grâce à SIAB, Reynolds est devenu une société des plus importantes dans le monde avec une capacité journalière d’un million de stylos. Cette société, qui exporte aux quatre coins du monde, a réalisé un chiffre d’affaires de l’ordre de deux milliards de dollars en 2007. Reynolds était absent en Algérie depuis 1996. Idem pour Bic, son premier concurrent à travers le monde. Les deux marques ont quitté le territoire algérien pour des raisons liées à la contrefaçon qui gangrène le marché algérien. « Nous sommes prêts à contribuer à hauteur de 50% dans la mise en place d’un laboratoire de contrôle de qualité en Algérie », déclare Anis Riahi, responsable à SIAB Reynolds, s’exprimant lors d’une rencontre avec la presse, tenue dans les locaux de sa société, sise à Tunis. « Le marché algérien est l’un des plus importants pour nous », estime encore Anis Riahi.

Lui emboîtant le pas, Feliachi Fouad, directeur général d’AlgeriaPens, se basant sur une étude de marché réalisée par sa société, estime que le potentiel du marché algérien est évalué à 250 millions de stylos par an. Selon lui, le partenariat entre Siab Reynolds et AlgeriaPens vise, en premier lieu, à couvrir le marché algérien avec environ 20 millions de stylos Reynolds, et à terme, à hauteur de 60 millions, soit 30 à 35% des parts du marché national. A ce stade, les deux partenaires ont prévu de passer à la vitesse supérieure avec l’installation d’équipements de production Reynolds en Algérie. « Nous sommes sensibles à la qualité. Il y va de la crédibilité et de la réputation de Reynolds », soutient Anis Riahi, responsable à SIAB Reynolds. C’est pourquoi il se dit prêt à financer un laboratoire de contrôle de qualité en Algérie. A Tunis, les installations de SIAB Reynolds, au niveau de toute la chaîne de production, sont équipées de laboratoires de contrôle de qualité. En Algérie, 95% des parts du marché sont envahies par la contrefaçon, se référant à l’étude faite par AlgeriaPens. « C’est pourquoi nous retardons l’installation d’une unité de production Reynolds en Algérie », indique également Anis Riahi. AlgeriaPens, née en janvier 2008, entend croiser le fer avec les « contrefacteurs » en commercialisant cette année 20 millions de stylos Reynolds en Algérie. L’objectif premier étant de couvrir à terme 30 à 35% des parts du marché pour s’élancer dans la production locale. Quelque 80 millions de stylos sont commercialisés par SIAB Reynolds en Afrique noire, 30 millions au Maroc et 35 millions en Tunisie. Pour atteindre l’objectif escompté, les deux partenaires, Siab Reynolds et AlgeriaPens, entendent jouer sur le prix, la distribution sélective et une politique de communication minutieusement confectionnée et un plan spécial pour faire face à la contrefaçon. Il faut quand même dire que le pari est osé.
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Par Ali Titouche
El Watan, Ă©dition du 22 Juin 2008

Suspension en eau potable dans plusieurs quartiers d'Alger

# Administrateur | 22/06/2008 | Info

Suspension de l'alimentation en eau potable dans plusieurs quartiers d'Alger les 24 et 25 juin


Plusieurs quartiers d'Alger-Centre connaîtront, les 24 et 25 juin, une suspension de l'alimentation en eau potable, a indiqué hier, la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL) dans un communiqué. Cette suspension concernera les communes de Bab El Oued, Casbah, Oued Koriche et Alger (en partie), Hammamet, Rais Hamidou et Bologhine. Les coupures d'eau interviennent suite à des travaux de maintenance sur des équipements hydromécaniques, entrepris dans le cadre du projet de modulation de pression, suivi du nettoyage du réservoir principal de distribution situé à Telemly (Alger centre), précise la même source. L'alimentation en eau potable dans les quartiers sus cités reprendra progressivement dès l'achèvement des travaux, assure-t-on.
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El Moudjahid 21-06-2008 Ă  23:06
EL MOUDJAHID, Ă©ditions du 22 Juin 2008

Constatnine : RĂ©alisation prochaine de trois auberges de jeunes

# Administrateur | 22/06/2008 | Info

Constatnine : RĂ©alisation prochaine de trois auberges de jeunes


Trois nouvelles auberges de jeunes d’une capacité d’accueil globale de 200 lits, seront réalisées au cours de l’année prochaine à Constantine dans le cadre de la promotion du tourisme des jeunes, a indiqué, samedi, le directeur de wilaya de la jeunesse et des sports (DJS). Ces structures seront dotées "d’espaces de loisirs, de l’outil informatique avec connexion internet et de différents services pour assurer les meilleures conditions de séjour aux jeunes qui transiteront par Constantine, notamment durant la saison estivale", a précisé M. Zakaria Korichi. Les trois nouvelles infrastructures sont prévues à Constantine-ville (100 et 50 lits) et au complexe sportif "Chahid Hamlaoui" (50 lits), a ajouté le DJS, précisant que la dernière auberge sera destinée à la " préparation physique des sportifs et à l’accueil de jeunes athlètes devant participer à des compétitions régionales ou nationales". La wilaya de Constantine dispose à l’heure actuelle de deux auberges, la première, située à la cité Filali (60 lits) a reçu durant la saison 2007-2008 plus de 5.000 jeunes, tandis que la seconde (60 lits également), implantée à El Khroub, nécessite des travaux de réhabilitation, a indiqué le DJS.
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El Moudjahid 21-06-2008 Ă  23:05
EL MOUDJAHID, Ă©ditions du 22 Juin 2008

Une faille de sécurité dans Firefox 2 et 3

# Administrateur | 21/06/2008 | Info

Une faille de sécurité dans Firefox 2 et 3

Une vulnérabilité a été découverte dans Firefox 2. Elle existe également dans la version 3, qui vient tout juste d'être diffusée.



Découverte par TippingPoint DVLabs, la faille a aussitôt été signalée à la fondation Mozilla. Tant qu'une correction n'a pas été publiée, TippingPoint DVLabs se refuse à en publier la nature. L'organisme de sécurité Secunia classe cette faille comme hautement critique.

La vulnérabilité peut être exploitée dans une page Web piégée ou si l'utilisateur clique sur un lien frauduleux dans un mail par exemple. En attendant qu'un patch de correction soit disponible il est recommandé de ne pas visiter de page Web douteuse ni de cliquer sur un lien inconnu.

Cette coïncidence est une malchance pour la fondation Mozilla qui a fait une spectaculaire campagne de publicité pour la sortie de la nouvelle version de Firefox. Mais il n'y a finalement là rien de bien extraordinaire : il ne se passe guère de semaine sans qu'une faille soit découverte dans des programmes réputés.

On peut simplement regretter que celle-ci n'ait pas été détectée plus tôt alors que cela fait plusieurs mois que Firefox 3 est disponible en version bêta et en Release Candidate. Sans parler de la version 2, utilisée depuis plusieurs années...
Firefox3

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Par Jean-Pierre Louvet - Futura-Sciences
20Minutes.fr, Ă©ditions du 20/06/2008

Aigle-Azur" assurera 420.000 sièges cet été

# Administrateur | 21/06/2008 | Info

"Aigle-Azur" assurera 420.000 sièges cet été entre la France et l'Algérie


La compagnie "Aigle-Azur" mettra 420.000 sièges entre la France et l'Algérie pour la saison estivale en vue de faire face à la demande exceptionnelle pendant cette période de l'année, a indiqué vendredi à l'APS le directeur général de cette compagnie M. Meziane Idjerioudène. Les rotations des avions d'Aigle-Azur concerneront treize aéroports algériens à partir de sept aéroports français et inversement et ce en utilisant les onze appareils dont dispose la compagnie.
"De plus, a ajouté M. Idjerouidène, nous comptons renforcer notre présence dans les escales pour accueillir dans les meilleures conditions les passagers dans les deux sens". La nouveauté dans le programme 2008 par rapport à celui de l'année dernière réside dans l'ouverture de la ligne Mulhouse-Sétif-Mulhouse.
Interrogé sur les prix proposés, le directeur général d'Aigle-Azur a annoncé l'introduction des réductions pour la première fois durant la période estivale.
"Nous entendons poursuivre notre politique de promotion sur l'Algérie" a précisé M. Idjerouidène qui signale que "plus les réservations se feront tôt, plus les tarifs seront intéressants". Nous maintenons une dynamique tarifaire permanente afin de rapprocher les familles depuis les deux rives et nous tenons à les encourager à se déplacer plus tout au long de l'année".

Membre actif d'IATA depuis mai dernier, "Aigle-Azur" a introduit récemment le programme de fidélité "Azur Plus" qui permet de cumuler les points pour bénéficier de gratuités et autres avantages.
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Par EL MOUDJAHID 20-06-2008 Ă  23:29
EL MOUDJAHID, Ă©ditions du 21 Juin 2008

ALGERIE - FACE AU FLUX DES IMAGES VIA LES SATELLITES

# Administrateur | 21/06/2008 | Info

FACE AU FLUX DES IMAGES VIA LES SATELLITES
Boukerzaza recommande la vigilance


Ministre BoukerzazaLe système de communication arabe est dépourvu d’une immunité en termes de législation.


Afin de faire face aux différentes exigences de l’évolution rapide des sociétés arabes dans le domaine de l’information, Abderrachid Boukerzaza, ministre de la Communication, a appelé à partir du Caire, à faire preuve de vigilance et de réaction. Il a déclaré que « le développement exige l’adoption d’approches et de mécanismes efficients en vue d’évaluer l’efficacité de nos politiques nationales ».

A travers son allocution, à la 41e session ordinaire des ministres arabes de l’Information, le ministre a plaidé pour la prise de position à l’égard des dangers guettant les sociétés arabes. Il révélé aussi que le système de communication arabe, est dépourvu d’une immunité en termes de législation, de professionnalisme et d’études spécialisées. A cet effet, le ministre a proposé l’élaboration de réglementations spécifiques. A l’instar des cahiers des charges des entreprises de radio et de télédiffusion par satellite, le ministre a rappelé la nécessité de respecter le texte des principes de diffusion via le satellite et la création d’une autorité supérieure de régulation audiovisuelle pour veiller au respect des législations. M.Boukerzaza a précisé aussi que « le consommateur arabe est devenu aujourd’hui une donnée essentielle dans la création de l’acte médiatique. Il l’est devenu, non seulement pour des considérations économiques, mais parce qu’il constitue un objectif essentiel dans les politiques d’hégémonie médiatique et en raison de son pouvoir d’influence sur l’opinion publique arabe ». Les pays arabes assistent quotidiennement à un important flux médiatique vers leurs sociétés.

« Ce déversement comporte des messages de formes diverses. Ils sont axés sur des supports technologiques renouvelés », a indiqué le ministre. Les messages diffusés par les média étrangers ne se limitent pas aux informations. Ils touchent également, selon le représentant algérien, les domaines récréatifs, culturels, les feuilletons et les films.

L’« objectif étant d’influencer au maximum ces sociétés de manière directe ou indirecte », a-t-il souligné. A ce propos, les résultats de cette influence se reflètent sur les attitudes du téléspectateur arabe et sur ses réactions vis-à-vis des questions nationales et internationales. « Cette influence a également touché les professionnels dont la production manque d’originalité, pour certains, et d’innovation pour d’autres », regrette M.Boukerzaza.

Le document appelle à permettre le plein exercice du droit du citoyen à recevoir tous les programmes émanant de l’ensemble des pays de la Ligue arabe, notamment les programmes d’information régionaux, internationaux et sportifs. Il insiste sur la nécessité du respect de la propriété intellectuelle, conformément aux réglementations internationales en vigueur.
Aucune loi ni aucune mesure ne peuvent rivaliser la conscience et la culture d’un peuple face aux dangers qui font irruption via les satellites.
[ source ]
Par Abbas AĂŹT HAMLAT
L'Expression, Ă©ditions du 21 Juin 2008

L’Algérie compte 23.000 travailleurs étrangers en majorité des Chinois

# Administrateur | 20/06/2008 | Info

L’Algérie compte 23.000 travailleurs étrangers en majorité des Chinois


L’Algérie compte 23.000 travailleurs réguliers, dont une majorité de Chinois, a annoncé le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh. «Le nombre de travailleurs étrangers possédant un permis de travail en Algérie a atteint 23.000 en 2007, soit 0,70% du nombre total des travailleurs salariés en Algérie», a déclaré le ministre jeudi soir devant l'Assemblée nationale.

La main-d'oeuvre chinoise, employée essentiellement dans le bâtiment et les travaux publics par les groupes chinois sélectionnés par l'Algérie, arrive en tête avec près de 19.000 travailleurs soit 0,38% de la main-d'œuvre algérienne, a-t-il précisé. M. Louh a souligné que l'Algérie avait fait appel une main-d'œuvre étrangère qualifiée pour exécuter les grands projets, notamment les travaux publics et l'hydraulique, a-t-il dit. Ces travailleurs disposent de visas ne dépassant pas trois mois et un permis de travail provisoire et doivent regagner leur pays à l'expiration de ces autorisations, a-t-il souligné.

Un groupe de BTP chinois est engagée, avec un groupe japonais, dans la construction de l'autoroute Est-Ouest. D'une longueur de 1.216 km et d'un coût de 11 milliards de dollars. Des groupes de BTP chinois sont également engagés, avec des entreprises algériennes, dans la réalisation d'un programme d'un million de logements, qui doit être achevé en 2009.
[ source ]
Par AFP le 20/06/2008 Ă  12:26
Tout sur l'Algérie, édition du 20 Juin 2008

François Fillon attendu demain à Alger : une journée pour l’Algérie ...

# Administrateur | 20/06/2008 | Info

François Fillon attendu demain à Alger : une journée pour l’Algérie, une autre pour Bouteflika


Le premier ministre français François Fillon entame demain une visite officielle de deux jours à Alger. De sources gouvernementales françaises, on apprend qu’il sera à la tête d’une délégation ministérielle comprenant Christine Lagarde ministre de l’Économie, Hervé Morin ministre de la Défense, Valérie Pécresse ministre délégué à l’Enseignement Supérieur et Alain Marleix secrétaire d’Etat à l’Intérieur et aux collectivités locales. Une délégation de chefs d’entreprise l’accompagnera, composée notamment de dirigeants de Total, Lafarge, EADS et Arianespace.

Le premier ministre français sera accueilli à l’aéroport par son homologue Abdelaziz Belkhadem avec lequel il aura un entretien puis une séance de travail élargie avec les ministres concernés avant un déjeuner officiel. Dans l’après midi, il se rendra à l’Ecole Supérieure des Affaires qui a développé un partenariat avec l’université de Lille 2 et l’école de commerce HEC. Il recevra ensuite la communauté française la communauté française.

La journée de dimanche sera entièrement consacrée à des entretiens avec le président de la République Abdelaziz Bouteflika avant que le premier ministre français ne dépose une gerbe au sanctuaire des Martyrs à Riyad El Feth.

Dans l’entourage de François Fillon, on souligne que cette visite, la première depuis 22 ans d’un premier ministre français vise « au renforcement de la relation bilatérale », après la visite d’Etat du président Sarkozy en décembre et les visites ministérielles de Michèle Alliot-Marie, Bernard Kouchner et Jean Louis Borloo.

Cette visite sera pour les Français l’occasion de renforcer la coopération économique et le dossier du nucléaire civil avec en toile de fond la question de la mémoire alors que les Français estiment avoir fait de nombreux gestes avec le discours de Nicolas Sarkozy à l’université de Constantine et le discours de l’ambassadeur Bajolet où il reconnaissait les crimes commis le 8 mai 1945.

Cette visite sera l’occasion de réitérer l’invitation faite au président Bouteflika d’une visite officielle à Paris, à quelques semaines d’un sujet qui sera certainement au cœur des entretiens : l’Union pour la Méditerranée et la participation de l’Algérie.
[ source ]
Par hayet zitouni
Tout sur l'Algérie, édition du 20 Juin 2008

Recensement : Alger reste la plus grande ville du pays

# Administrateur | 19/06/2008 | Info

Alger, plus grande ville du pays

Alger reste la plus grande ville du pays. La population de cette wilaya est estimée, selon le dernier recensement général de la population, à 2 947 446 habitants.


Elle était lors du recensement de 1998 de 2 580 570 habitants. La population féminine d’Alger compte 1 470 423, alors que celle masculine atteint 1 477 023, selon les mêmes résultats. Pas moins de 508 775 logements habités sont enregistrés et 559 736 ménages recensés dans cette wilaya. La wilaya de Sétif arrive en deuxième position avec 1 495 403 habitants, dont une population féminine de 736 208 et masculine de 759 195. Le nombre de logements habités s’élève à 217 766 pour 244 190 ménages. La wilaya d’Oran se situe en troisième position avec 1 442 956 âmes, dont une population féminine de 720 382 et masculine de 722 574. Les logements habités à Oran atteignent 266 853 pour 266 853 ménages. Viennent ensuite les wilayas de Djelfa avec 1 164 870 habitants, Batna avec 1 126 809, Tizi Ouzou 1 119 646 et Blida 1 009 752. C’est dans ces grandes villes que se concentre la majorité des habitants. Ce qui fait que l’Algérie devient un pays de plus en plus urbain. Plus de 80% de la population algérienne vivent dans les villes, dont la majorité est concentrée sur le littoral, selon les résultats de l’ONS. Alors que dans les années 1960, 1970 et 1980, « la population urbaine n’était que de 30% et le reste était rural », a indiqué hier le ministre de l’Intérieur. Il y a une année, le ministre de l’Aménagement du territoire avait estimé que plus du tiers des Algériens vivront dans les grandes villes en 2025. « Un total de 14 millions d’habitants occuperont les grandes villes d’ici l’horizon 2025 », avait déclaré Cherif Rahmani.
[ source ]
Par R. Bel
El Watan, Ă©dition du 19 Juin 2008

Premier passeport biométrique algérien avant fin 2009

# Administrateur | 19/06/2008 | Info

Premier passeport biométrique algérien avant fin 2009


Le premier passeport biométrique algérien sera réalisé avant la fin 2009, a annoncé hier à Oran le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Noureddine Yazid Zerhouni. Le passeport biométrique sera délivré avant la fin 2009 conformément à la réglementation de l'Organisation internationale de l'aviation civile, a affirmé le ministre en signalant la prochaine réalisation d'une nouvelle carte d'identité nationale "informatisée". M. Yazid Zerhouni s'exprimait en marge d'une visite de travail effectuée en compagnie du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, M. Noureddine Moussa.
[ source ]
Par El Moudjahid - 18-06-2008 Ă  23:18
El Moudjahid, Ă©dition du 19 Juin 2008

Algérie - Ça bouge aux Affaires étrangères

# Administrateur | 19/06/2008 | Info

PLUSIEURS DIRECTIONS ONT ÉTÉ CRÉÉES PAR DÉCRET PRÉSIDENTIEL
Ça bouge aux Affaires étrangères


MinistereAELe principal objectif de ces nouvelles directions est de redonner à la diplomatie algérienne son aura, après une éclipse forcée.


Du nouveau au ministère des Affaires étrangères. Le département de Mourad Medelci sera complètement restructuré à la faveur du décret présidentiel portant organisation de l’administration centrale du ministère des Affaires étrangères, paru dans le Journal Officiel dans son dernier numéro du 4 juin.
De nouvelles directions seront mises en place avec pour objectif principal de redonner à la diplomatie algérienne son aura après une éclipse forcée, et ce, malgré le discours officiel qui persiste à prouver le contraire.

Avec ces changements, le département de M.Mourad Medelci ne sera plus une administration bureaucratique mais s’impliquera directement dans les missions diplomatiques.
Le premier point à retenir de ce lifting tant attendu, a trait au fait que le premier magistrat du pays qui dirige, selon la Constitution, la diplomatie étrangère, reste convaincu aujourd’hui que ses efforts seront voués à l’échec s’ils ne sont pas inéluctablement soutenus par les principaux relais diplomatiques.
Concernant le décret en question, il affiche une volonté de la part de l’Algérie à renforcer la coopération dans le domaine sécuritaire. Dans ce sens, une sous-direction de la sécurité régionale est créée.
Elle est chargée de l’analyse et de la gestion des questions ayant trait à la sécurité en Europe et dans l’espace euro-méditérranéen. Du suivi des relations de l’Algérie avec l’Otan. Mais aussi de la coordination et du suivi de nos relations avec l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (Osce).
Afin d’assurer une meilleure coordination de l’action politique, il a été décidé de créer une sous-direction de la planification et de la programmation des politiques. Elle aura pour mission l’établissement des propositions d’action concordant avec les objectifs de la diplomatie nationale et de la divulguer au niveau de nos représentations diplomatiques.

L’autre nouveauté à mettre en exergue est l’installation, au niveau du ministère des Affaires étrangères, d’un département chargé des compétences à l’étranger, des programmes et des affaires sociales. Ce dernier est chargé de tenir un fichier sur le mouvement associatif algérien et les compétences nationales à l’étranger, de contribuer à la promotion des mécanismes facilitant l’apport des compétences nationales à l’effort de développement national.
Ces missions ne s’arrêtent pas à ce stade. Cette entité récupère une partie des prérogatives attribuées au défunt ministère délégué chargé des Relations avec le Parlement.
Il procédera notamment, à l’établissement des statistiques relatives à la communauté nationale à l’étranger.
Et aussi de participer à toute opération impliquant l’engagement de la communauté nationale établie à l’étranger, « que ce soit pour la participation de celle-ci aux consultations électorales ou pour les manifestations de solidarité ». Rappelons que, selon les statistiques officielles, plus de 40.000 cadres algériens vivent en exil.
Le volet économique n’est pas en reste. Personne n’ignore qu’en dépit des mesures prises en faveur de la promotion de l’investissement en Algérie, notre pays ne constitue pas une destination de prédilection pour les opérateurs économique étrangers.

La situation sécuritaire, les lourdeurs bureaucratiques découragent nos partenaires. Le décret en question permet la mise en place d’une direction des affaires économiques et financières internationales.
Son rôle sera axé sur la préparation des négociations commerciales multilatérales, la conduite des négociations des accords d’établissement des zones de libre-échange et du suivi de leur mise en oeuvre.

Un autre département chargé de la promotion et du soutien aux échanges économiques contribuera, pour sa part, à la mise en oeuvre de la politique de soutien et de promotion des exportations hors hydrocarbures.
Il aura également pour charge de fournir les informations et les analyses économiques nécessaires à la pénétration du marché extérieur et de soutenir les entreprises algériennes dans leurs efforts en ce sens.

Le texte de loi stipule la mise en place d’un réseau d’informations commerciales et de banques de données et de recueillir, d’analyser et de communiquer des données et informations statistiques du commerce extérieur aux partenaires intéressés.

Enfin, sur le plan de la communication institutionnelle, un domaine qui fait tant défaut à l’Algérie, le décret en question renforce les missions et les prérogatives de la direction de la communication.
[ source ]
Par Achira MAMMERI
L'Expression, Ă©dition du 19 Juin 2008

Algérie: tremblement de terre dans la région de Chlef

# Administrateur | 18/06/2008 | Info

Algérie: tremblement de terre dans la région de Chlef


Un séisme d'une magnitude de 4,7 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée mercredi dans la région de Chlef, à 200 km à l'ouest d'Alger, a annoncé le Centre algérien de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).

L'épicentre de ce tremblement de terre, ressenti à 14H24 (13H24 GMT), a été localisé à 20 km au nord-ouest de la ville de Chlef, a précisé le CRAAG qui n'a pas fait état de victimes ni de dégâts.

La région de Chlef avait été frappée le 10 octobre 1980 par un séisme d'une magnitude de 7,1 degrés, qui avait fait au moins 5.000 morts.
[ source ]
Par afp le 18/06/2008 Ă  16:34
Tout sur l'Algérie, édition du 18 Juin 2008

France - Bac de philo: retrouvez les corrigés de la série L

# Administrateur | 17/06/2008 | Info

Bac de philo: retrouvez les corrigés de la série L


bacphilo

Jacques Demarthon AFP
Les candidats planchent sur l'Ă©preuve de philosophie
du baccalauréat le 16 juin 2008 au lycée Chaptal à Paris

L'épreuve de philosophie du bac général s'est achevée ce lundi à midi en France métropolitaine. Caroline Bline avait donné ses conseils pour réussir l'examen le jour J. 20minutes.fr lui a demandé ses premières pistes concernant les sujets de la série L, ainsi qu'à François L'Yvonnet, également professeur de philo.

Pour la série L:

Les deux enseignants estiment que les candidats de cette série ont été confrontés à des sujets difficiles et techniques. «Ils supposaient une connaissance étroite du cours, ce qui n'est pas forcément le plus intéressant», estime François L'Yvonnet.

- « La perception peut-elle s'éduquer? »
« La perception était une notion du programme. C'est Le concept du sujet à développer. Il faut d'emblée distinguer la perception au sens de « sensation » physique, qui renvoie aux cinq sens, de la perception comme phénomène intellectuel et rapport au réel.

Carole Bline suggère trois parties:
I - Non, la perception ne s'éduque pas car elle est spontanée et du domaine des sens. C'est un rapport immédiat au monde. Le candidat peut faire référence à Platon et à l'allégorie de la caverne.
II - Si l'on prend la perception dans sa seconde acceptation, c'est-à-dire un phénomène intellectuel, elle peut bien sûr s'éduquer et être améliorée. Il faut d'ailleurs se méfier de la perception au sens de sensation car elle est trompeuse. Le candidat peut de nouveau faire référence à Platon, qui privilégiait à cet égard la raison, ainsi qu'à Descartes.
III - La perception est toutefois un accès au réel plus riche que la raison et c'est en cela qu'elle peut et doit être éduquée. L'art en est le meilleur exemple. « L'artiste voit et donne à voir », rappelle François L'Yvonnet. Le candidat peut faire référence à Nietzsche dans cette troisième partie, précise Carole Bline.

- « Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible? »
« Ce sujet est très bateau, il suffisait de bien maîtriser le cours», observe Carole Bline. Il fallait, souligne-t-elle, bien rappeler ce qu'est le vivant dans l'introduction (de la plante à l'homme en passant par l'animal). « C'est l'enjeu même de la biologie, qui est une science assez tardive car on a longtemps étudié “la vie” et non le “vivant” », ajoute François L'Yvonnet.

LĂ  aussi, trois parties Ă©taient possibles, selon Carole Bline:
I - « Oui, dans la mesure où la science permet d'étudier les mécanismes du vivant. Elle a même permis de sortir de la thèse du vitalisme, défendue depuis Aristote jusqu'au 17e siècle. Suggérant qu'une force vitale distingue l'inerte du vivant, elle a alimenté la conception religieuse et métaphysique du vivant.
II - Toutefois, le « vivant » ne peut être limité à une matière entièrement maîtrisable par la science. Kant distinguait ainsi le vivant d'un objet en prenant l'exemple du mécanisme d'une montre: malgré son ingéniosité, elle ne peut ni se réparer toute seule ni se reproduire. Le vivant est donc caractérisé par le projet vital qui l'anime. « Le candidat pouvait se servir de son cours sur l'esprit et la matière », souligne Carole Bline.
III - « Cette partie pouvait être consacrée à l'aspect moral de la question », explique cette dernière. Une approche exclusivement scientifique du vivant est dangereuse dans la mesure où celui-ci ne peut pas être considéré uniquement comme un objet d'étude. Exemple: les expérimentations sur les animaux. La souffrance de ces derniers est réelle, contrairement à qu'affirmait Descartes.

- Expliquer un extrait des « Cahiers pour une morale» de Sartre.
« Ce texte jonglait avec les concepts de contingence et de hasard, explique François L'Yvonnet. Le premier fait référence au libre-arbitre cartésien, où le sujet s'autodétermine, le second au déterminisme radical, où le sujet n'a pas le choix. C'est de la rencontre entre les deux que naît la liberté “en situation”. Exemple: la scène du meurtre dans “L'Etranger” de Camus. Face à une situation donnée, hasardeuse (un homme a le soleil dans les yeux), le sujet agit d'une certaine façon (il tire sur l'individu qui est en face de lui). Il signifie le monde par son action, lui confère du sens », conclut François L'Yvonnet.
[ source ]
Recueilli par Catherine Fournier
20Minutes.fr, Ă©ditions du 16/06/2008 - 13h10

Le cinéaste égyptien Youssef Chahine dans le coma

# Administrateur | 17/06/2008 | Info

Youssef Chahine dans le coma


youssef Chahine

Christophe Simon AFP/Archives ¦
Le cinéaste égyptien Youssef Chahine
lors du 64ème Festival international
de films de Venise le 7 septembre 2007.

« Grave ». Ainsi a été qualifié l’état de santé du plus célèbre des cinéastes égyptiens, Youssef Chahine, réalisateur notamment de «Le Chaos» en 2007 et avant, de «Le Destin» (1987), une dénonciation du fanatisme, «La Terre» (1969) et «Alexandrie, Pourquoi» (1978), premier volet d'une trilogie autobiographique et récompensé en 1997 par le Prix du cinquantième anniversaire du Festival de Cannes pour l'ensemble de son œuvre.



A 82 ans, il se trouve dans le coma à la suite d'une hémorragie cérébrale et va être transféré d'urgence à Paris pour y être soigné.

Transfert d'urgence
Chahine, accompagné de sa nièce, a été conduit en ambulance à l'aéroport du Caire pour se rendre en France.
[ source ]
20Minutes.fr, Ă©ditions du 16/06/2008 - 11h00

Visite surprise du P-DG d’Air Algérie à l'aéroport de Sétif

# Administrateur | 17/06/2008 | Info

Visite surprise du P-DG d’Air Algérie à l'aéroport de Sétif


Le P-DG d'Air Algérie, M. Ouahid Bouabdallah, a effectué dimanche une visite de travail à l'aéroport international de Sétif, au cours de laquelle il est allé à la rencontre des cadres et travailleurs de l'entreprise et s'est entretenu avec ses interlocuteurs sur les perspectives de l'entreprise d'une part et des mesures qui vont être prises au profit de l'aéroport de Sétif, lequel connaît une intense activité particulièrement durant la période estivale.

Cette visite du premier responsable de la société a été saluée par l'ensemble des personnels qui ont tenu à cette occasion à rassurer M. Ouahid Bouabdallah de leur entière disponibilité et de leur volonté de redoubler d'efforts pour hisser Air Algérie au rang des grandes compagnies.

Le Pdg d'Air Algérie a exprimé sa satisfaction pour le travail accompli au niveau de l'aéroport de Sétif et a promis d'autres rendez-vous avec ses interlocuteurs « pour impulser ensemble une plus grande dynamique à l'entreprise.”
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition 16-06-2008 Ă  23:43

Algérie - 30 minutes gratuites vers Nedjma pour les clients Star

# Administrateur | 17/06/2008 | Info

Wataniya Télécom Algérie Nedjma : 30 minutes gratuites vers Nedjma pour les clients Star


Bonne nouvelle pour les clients Star !
Du 1er juillet au 31 décembre 2008, ils pourront profiter de 30 minutes d'appels gratuits vers le réseau Nedjma après le 1er rechargement de 100 DA et plus. Tous les clients Star (existants et nouveaux clients) dont les puces sont activées avant le 30 juin 2008 sont concernés par cette nouvelle promotion. L'enregistrement à cette promotion peut se faire entre le 16 juin et le 31 décembre 2008 en composant *530# sur le téléphone mobile. Au premier rechargement effectué à partir du 1 juillet, le client Star profitera immédiatement de ses 30 minutes gratuites vers le réseau Nedjma, valables 30 jours. Les minutes gratuites sont divisibles et le client peut appeler plusieurs fois jusqu'à leur épuisement. Ainsi, chaque mois calendaire et ce jusqu'au 31 décembre 2008, les clients Star bénéficieront de 30 minutes gratuites après le 1er rechargement effectué durant le mois. La promotion «30 minutes gratuites» de Nedjma permettra ainsi à ses clients Star de communiquer en toute liberté avec leurs proches sans avoir à débourser davantage.
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition 16-06-2008 Ă  23:43

Algérie - Béjaia - Secousse tellurique d'une magnitude de 3 degrés

# Administrateur | 17/06/2008 | Info

Hier, à 10h 29 : Secousse tellurique d'une magnitude de 3 degrés dans la wilaya de Béjaïa


Un séisme de magnitude 3,0 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistré hier à 10h29 mn dans la wilaya de Béjaïa, a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L'épicentre de cette secousse tellurique a été localisé à 13 km à l'est d'Akbou (Béjaïa), a précisé la même source.
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition 16-06-2008 Ă  23:43

Recensement : 34,8 millions d’Algériens au 16 avril 2008

# Administrateur | 16/06/2008 | Info

recensement 2008Recensement : 34,8 millions d’Algériens au 16 avril 2008


34,8 millions d’Algériens résidaient en Algérie au 16 avril 2008, selon les résultats préliminaires du 5ème recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) rendus publics aujourd’hui.


"34,8 millions de personnes résidaient en Algérie au 16 avril 2008", précise le document de l’Office national des statistiques (ONS). "Cette population comprend la population des ménages ordinaires et collectifs (34,23 millions), celle des ménages nomades (230.000) et la population résidente dans les établissements spécialisés (population comptées à part, 300.000)", précise encore le document de l’ONS. Par rapport au recensement de 1998, il ressort un taux d’accroissement annuel moyen intercensitaire de 1,72%, relève-t-on. La population des ménages nomades est concentrée pour 73%, soit 168.000 personnes, dans six wilayas à savoir Djelfa, El Bayadh, El Oued, Naâma, Tamanrasset et Laghouat. Le nombre moyen de personnes par ménage (taille du ménage) est de 5,9, indique-t-on. Cette taille était de 6,6 personnes en 1998. Ces résultats sont appelés à être affinés et complétés à l’occasion de l’exploitation informatique des feuilles de ménage, ajoute l’ONS.
[ source ]
El Watan, Ă©dition du 16 Juin 2008

l'iPhone 3G sera en France en juillet

# Administrateur | 16/06/2008 | Info

En bref : l'iPhone 3G sera en France en juillet


Alors que les rumeurs allaient bon train, Steve Jobs a présenté hier lundi, comme prévu, le deuxième téléphone d'Apple. Au menu, 3G, GPS et prix revu à la baisse.


Les geeks attendaient, impatients. Oui, ils vont enfin pouvoir faire la queue pour acheter leur nouveau téléphone portable. L'iPhone est mort. Vive l'iPhone 3G. Il s'agit bien du même appareil mais auquel ont été ajoutées des fonctionnalités supplémentaires, qui, pour la plupart, étaient déjà connues. Steve Jobs a montré son dernier-né lors d'un salon des développeurs aux Etats-Unis, la World Wide Developers Conference (WWDC).

Extérieurement, le modèle ne change guère et se fait remarquer par des boutons plus costauds et une prise jack standard. L'autonomie est augmentée et annoncée jusqu'à dix heures en 2G, c'est-à-dire sur les réseaux à bas débit du GSM.

L'électronique embarquée a évolué elle aussi. Le nouvel iPhone est compatible avec les réseaux 3G type UMTS et leur haut débit. Comme prévu, un récepteur GPS est désormais intégré. Il affiche la position sur une carte Google Map. Lorsque l'on prend une photographie, il est possible de la géotagger, c'est-à-dire y inscrire les coordonnées du lieu.

Côté logiciel, Jobs a présenté IPhone 2.0, la deuxième version de l'ensemble de programmes inclus dans le téléphone. On remarque notamment Mobile Me, outil de synchronisation avec des gestionnaires d'agendas sur Mac ou PC (dont Microsoft Exchange), une fonction qui vise clairement la concurrence avec le Blackberry, chouchou des hommes d'affaires.

Quant à la disponibilité, Apple a annoncé la date du 11 juillet pour une vingtaine de pays, dont la France. Orange, qui distribuera l'iPhone 3G, le présentera le 17. Revu à la baisse, le tarif est de 300 dollars en version 16 Go et de 200 en version 8 Go. La conversion brute en euros donne donc respectivement 193 et 128.

iPhone

[ source ]
Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences Le 10 juin 2008 Ă  12h35
Futura-Sciences, Ă©dition du 16 Juin 2008

2ES JOURNÉES EURO-MAGHRÉBINES SUR LA COMMUNICATION...

# Administrateur | 16/06/2008 | Info

2ES JOURNÉES EURO-MAGHRÉBINES SUR LA COMMUNICATION PUBLICITAIRE
Le rendez-vous des professionnels


Les journées euro-maghrébines sur la communication publicitaire, dont les travaux s’ouvrent demain sous le patronage du ministre de la Communication, à l’initiative de la société RH. International, semblent gagner en audience. Plusieurs sociétés étrangères garderont l’oeil ouvert sur ce grand chantier qui détermine la qualité et la compétence des professionnels de ce secteur. Il est évident que c’est dans de pareilles occasions que l’on juge la performance des uns et des autres.

La concurrence, étant en alerte permanente, ne donnera aucun change aux agences, si ces dernières ne s’améliorent pas et surtout ne participent pas aux grandes compétitions. La communication événementielle, à titre d’exemple, prend de plus en plus d’importance parmi les outils de communication. Alliant convivialité et communication de marque, il permet de capter toute l’attention de son public ciblé, afin de lui faire vivre une expérience de marque engageante. Lancement de produits, ouverture de succursales, promotion des ventes, les événements se multiplient et deviennent davantage participatifs.

Fort heureusement, que plusieurs entreprises arrivent Ă  faire des dĂ©monstrations de compĂ©tence et font face Ă  la concurrence qui vient d’outre-mer. Plusieurs partenaires marquent de leur logo leur prĂ©sence comme Air AlgĂ©rie, Entv, Enrs, Medialgeria, Al Pub, Avenir DĂ©coration, AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com, Internet Djawab. Cette seconde Ă©dition est aussi celle des mĂ©dias, des annonceurs, des agences et du sport. Un rendez-vous mais aussi un moment fort pour une organisation de professionnels Les avis des intervenants confirment tout l’intĂ©rĂŞt qu’ils accordent Ă  cette manifestation. A titre d’exemple, Luc Laurentin Limelight-Consulting ´´Spotlight your company to make it shine´´ Ă©crivait Ă  l’organisateur: « Aujourd’hui, Ă  la faveur du franchissement de nouveaux seuils de la mondialisation, le rĂ©el - un rĂ©el nouveau, qui a changĂ© - s’impose avec force et l’on dĂ©couvre brutalement... la complexification de marchĂ©s devenus mondiaux et totalement dĂ©cloisonnĂ©s, la nĂ©cessitĂ© d’un pilotage â€â€™Ă  vue’’ alliant alternativement long terme et tactique, la combinaison entre rĂ©el-virtuel, mondialisation-globalisation, commerce-branding, relation aux affaires-relations aux consommateurs, qui se situent dans un mĂŞme espace temps, la perte de repères entraĂ®nĂ©e par l’évolution des comportements des consommateurs, le chambardement du tout numĂ©rique, ce numĂ©rique qui s’apprĂŞte Ă  sortir du monde virtuel dans lequel l’enferment ordinateurs, tĂ©lĂ©phones et autres terminaux, pour intĂ©grer les matĂ©riaux et les corps du rĂ©el, l’impĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© du retour sur investissement, bref, un grand nombre de facteurs qui remettent en question les modes de raisonnement, les schĂ©mas d’organisation et contraignent Ă  rĂ©inventer les entreprises.» GĂ©rer l’existant ne suffit plus, loin s’en faut. Il faut d’urgence inventer des solutions nouvelles, innover sur tous les fronts, notamment ceux du marketing et de la communication. Le monde Ă©tant devenu trop-complexe, les entreprises vont devoir inventer des solutions solidairement, en mettant Ă  contribution les talents respectifs de tous les hommes et toutes les organisations, grandes ou petites, locales ou lointaines, publiques ou privĂ©es, qui peuvent fonctionner en synergie avec elles. Une rencontre comme celle qui va se tenir Ă  Alger est dans ce contexte, une formidable opportunitĂ©. Merci aux organisateurs. Rendez vous demain Ă  l’hĂ´tel El Aurassi.
[ source ]
Par R.N
L'Expression, Ă©dition du 15 Juin 2008

Algérie - Recrutement de paramédicaux

# Administrateur | 15/06/2008 | Info

Recrutement de paramédicaux


Dans le cadre de la nouvelle politique du ministère de la Santé relative au recrutement de 6000 paramédicaux en Algérie afin d’étoffer le secteur de la santé par ce personnel « vital » pour les différents établissements sanitaires, la wilaya de Blida renforcera davantage ses différentes structures de santé en personnel paramédical afin de pallier le manque flagrant en paramédicaux comme les sages-femmes, les anesthésistes-réanimateurs ainsi que les diplômées en soins généraux.

D’après le directeur de la santé au niveau de la wilaya de Blida, toutes les demandes sont censées être suivies d’un recrutement sur titre, et ce vu le besoin pressant de ce type de personnel. Dans ce sens, les intéressés n’ont qu’à déposer leurs dossiers au niveau de la direction en question afin d’être recrutés par la suite.
[ source ]
Par M. B.
El Watan, Ă©ditions du 15 Juin 2008

les pilotes d'Air Algérie veulent ouvrir un nouveau chantier

# Administrateur | 15/06/2008 | Info

Pilotes de ligne : Le SPLA exige un statut particulier


Après avoir obtenu une augmentation des salaires, les pilotes de la compagnie nationale Air Algérie veulent ouvrir un nouveau chantier, le plus important, selon eux. Il s’agit du statut particulier des pilotes. Pour le Syndicat des pilotes de ligne algériens (SPLA), l’élaboration du statut particulier demeure une exigence.


« L’élaboration de ce texte est resté lettre morte depuis 1989. Pourtant l’article 4 de la loi 90-11 permet à notre corporation d’avoir un statut particulier pour mieux gérer nos carrières », nous déclare Abdelkrim Segouane, membre dudit syndicat. Cette question sera, indique-t-il, à l’ordre du jour du congrès des pilotes de ligne algériens (toutes compagnies confondues) devant se tenir le 21 juin prochain à Alger. Pour le syndicaliste, il faut absolument préparer les textes protégeant les droits des pilotes algériens en prévision de l’ouverture du marché du transport aérien national aux compagnies privées. Revenant sur l’accord relatif à l’augmentation des salaires des travailleurs d’Air Algérie, signé récemment entre les sections syndicales et la direction de l’entreprise, Abdelkrim Segouane se dit satisfait. « Le syndicat est content, parce que cette augmentation intervient après deux ans de retard. Mais, ce n’est qu’à la fin du mois qu’on pourra savoir si l’augmentation répond aux aspirations des pilotes. Nous avons toujours exigé une harmonisation des salaires », déclare-t-il. Avec un salaire de 2000 euros/mois (200 000 DA en moyenne), les salaires des pilotes algériens, explique encore notre interlocuteur, demeurent très bas en comparaison avec ceux de leurs collègues marocains (6000 euros), tunisiens ou égyptiens. « Nous ne faisons pas de comparaison avec les pilotes des compagnies européennes ou celles du Golfe où les salaires varient entre 11 000 et 12 000 euros. Nous voulons uniquement que nos salaires soient mis à niveau avec ceux appliqués dans les pays voisins qui ont le même niveau de vie que nous », ajoute-t-il. « Le pilote algérien, enchaîne-t-il, gagne plus en recourant à des heures supplémentaires. » « Toutefois, le nombre d’heures supplémentaires est limité pour des raisons de sécurité des passagers », soutient-il. Le syndicat de l’entreprise (UGTA) se dit également satisfait. « Pour nous, l’accord signé est satisfaisant et tous les travailleurs sont contents », atteste Hamid Bali, secrétaire général de l’entreprise. Ce dernier précise, toutefois, que son syndicat « attend toujours la réforme salariale à travers l’élaboration d’une nouvelle grille des salaires ». « Il faut revoir la grille des salaires applicable actuellement en adoptant un nouveau classement », explique-t-il, affirmant que cette question n’a pas été discutée avec la direction de l’entreprise.
[ source ]
Par Madjid Makedhi
El Watan, Ă©ditions du 15 Juin 2008

BNP Paribas, vient de lancer une vaste campagne de recrutement

# Administrateur | 15/06/2008 | Info

Portes ouvertes Ă  BNP Paribas El DjazaĂŻr


BNP Paribas El Djazaïr, filiale à 100% de BNP Paribas, vient de lancer une vaste campagne de recrutement mass media (affichage, presse, radio et web) dédiée au recrutement des jeunes diplômés.
Elle se veut être un moyen d’accompagner le développement de ses activités dans notre pays. Dans ce cadre, le groupe entend recruter de nombreux collaborateurs dans les fonctions de chargés d’opérations bancaires, de commercial et de directeur d’agence.
Cette campagne, qui s’étalera sur trois semaines, sera clôturée par les portes ouvertes qui se tiendront du 15 au 19 juin sur l’Esplanade de Riadh El Feth.
Des entretiens immédiats seront accordés aux profils correspondant aux recherches du groupe et une embauche pourra leur être proposée si l’entretien s’avère concluant. Ce type d’opération de recrutement, initié et organisé en France depuis plusieurs années par le groupe, est une première pour une banque en Algérie.
[ source ]
Par K. B.
El Watan, Ă©ditions du 15 Juin 2008

Algérie - Logements location-vente ou LSP lancés par l’AADL

# Administrateur | 14/06/2008 | Info

Logements location-vente ou LSP lancés par l’AADL de Bouira
Les retards dans les travaux engendrent le désarroi des bénéficiaires


logementsDe notre correspondant Ă  Bouira
Nacer Haniche


Lancé en 2003 par l’AADL, le projet des 300 logements location-vente est revenu cette semaine à la pointe de l’actualité. Alors que la première tranche de ce projet a été achevée et distribuée aux 132 bénéficiaires au niveau de la cité Aigoun de la ville de Bouira, les postulants pour la seconde tranche, c’est-à-dire les 168 logements confiés par le même promoteur à l’entreprise Diar Safami, dans la banlieue ouest du chef-lieu de wilaya, sont toujours en attente d’habiter leurs logements.

En effet, dans une requête envoyée aux pouvoirs publics, les bénéficiaires de la seconde tranche se sont interrogés sur le retard, de cinq ans, accusé dans la réalisation, alors que le délai fixé au départ n’était que de 18 mois. Et ils ont déclaré que la distribution de la première tranche n’a pas été effectuée dans la transparence, tel qu’il est fait dans les autres régions du pays. Selon ces derniers, ces retards ainsi que la non-publication de la liste des bénéficiaires qui se sont acquittés, dès le début du projet, du montant fixé par l’agence, ont eu des répercussions négatives sur leurs familles, du fait qu’ils ne peuvent pas postuler à d’autres formules de logement, lancées par l’Etat au cours de cette période, telles que le logement social participatif ou l’achat de logements de particulier à particulier par le biais du crédit CNEP. Les mêmes plaignants ajoutent avoir été obligés de vivre au cours de cette période dans l’instabilité, en louant des logements avec de très forts loyers chez des privés. Face à cette situation, les bénéficiaires, qui se sont constitués en association dite «association Cité 168 logts AADL Bouira», interpellent les autorités pour qu’elles suivent de près ce projet afin d’accélérer les travaux de réalisation en obligeant le promoteur et les entreprises sur place à respecter leurs promesses. Pour commencer, les membres de ladite association exigent la liste nominative des 168 bénéficiaires ainsi que la distribution des blocs de logements qui sont déjà achevés en accordant la priorité aux premiers postulants qui ont payé la première tranche du montant fixé, dès le lancement de cette formule. Par ailleurs, d’autres postulants ayant déposé leur dossier auprès de l’AADL de Bouira en 2005 pour bénéficier du projet des 130 logements LSP destinés aux travailleurs de l’éducation, sont dans l’expectative et attendent toujours la fin des travaux. En effet, sur le site qui a été choisi pour ce projet, le rythme des travaux a déçu la majorité des bénéficiaires qui se sont acquittés en août 2007 du paiement de leur contribution à cette formule, du fait que le chantier qui a été entamé en novembre de la même année n’a pas encore atteint un avancement de 10% dans les travaux.
Pour les responsables de cette agence, le retard est dû au manque d’entreprises intéressées par la réalisation au prix du mètre carré qui est fixé actuellement par l’Etat, alors que celles qui ont été retenues sur place sont «titubantes» et ont des difficultés pour construire, notamment depuis la récente flambée dans les prix des matériaux de construction.

De leur côté, les bénéficiaires issus du secteur de l’éducation sont dans un désarroi total après avoir bien cru que cette formule allait les faire sortir de la précarité et de l’instabilité. Face à cet état de fait et vu le silence qui a été affiché par la direction de l’éducation sollicitée par les enseignants de suivre ce projet vital pour les enseignants et les fonctionnaires du secteur, nous avons appris que le CNAPEST de Bouira s’est saisi dernièrement du problème et compte intervenir auprès des pouvoirs publics et du nouveau wali pour qu’ils instruisent le promoteur et les entreprises d’accélérer les travaux de ce projet, dont l’inscription remonte à 2003 suite à une promesse donnée par les autorités de la wilaya, pour répondre à une revendication de l’octroi de logements exprimée par les enseignants du secondaire durant le débrayage qui avait paralysé le secteur à la même époque.
[ source ]
Par Nacer Haniche
Photo : Riad
La Tribune, Ă©ditions du 14 Juin 2008

British Airways : « Le marché algérien est prometteur

# Administrateur | 14/06/2008 | Info

British Airways : « Le marché algérien est prometteur »


Le représentant de la compagnie British Airways en Algérie et au Maghreb a exclu hier, du moins pour le moment, toute augmentation des prix du billet d’avion en dépit de la hausse des prix du kérosène. Il a affirmé en outre que « le marché algérien a enregistré de bons résultats sur le plan commercial ». British Airways a commencé à desservir l’Algérie depuis le 5 janvier 2004. Elle n’effectuait que trois vols hebdomadaires avant de passer à quatre vols hebdomadaires et à un vol quotidien. Depuis le 31 mars dernier, les vols de British Airways en provenance de l’Algérie ont été transférés au terminal 5 d’Heathrow, l’un des plus grands aéroports européens qui permet aux passagers algériens de faire des continuations. Il a divulgué la possibilité d’ouvrir de nouvelles lignes qui relieront Londres à certaines villes algériennes, telles que Oran et Constantine, mais qui sont encore « au stade de l’étude ». Tout en regrettant la non-programmation de vols supplémentaires pendant la saison estivale durant laquelle un nombre important d’Algériens résidant à l’étranger viennent au pays, il assure que le souci de British Airways est de « proposer des tarifs concurrentiels par rapport à ceux que pratiquent les autres compagnies aériennes ».
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©ditions du 14 Juin 2008

Algérie - La nouvelle bouteille de gaz Naftal arrive

# Administrateur | 14/06/2008 | Info

Elle est transparente, plus légère et n’explose pas
La nouvelle bouteille de gaz Naftal arrive


Fini les accidents d’explosion au gaz qui se produisent en un grand nombre au niveau des foyers algériens. Une nouvelle bouteille de gaz sera bientôt commercialisée par l’entreprise Naftal dont le prototype est exposé à son stand à la Foire internationale d’Alger (FIA).

C’est ce que nous apprennent les représentants au niveau du stand de cette société nationale. La particularité de cette bouteille est le fait qu’elle est sécurisée et n’explose pas. Même au milieu du feu, cette bouteille n’explose pas et se dilate seulement. Elle est aussi 50 fois plus légère que la bouteille conventionnelle puisqu’elle est fabriquée à base de fibres de verre. En plus de sa légèreté, cette bouteille qui existe en 6 et 10 kilos permet de voir le niveau de gaz puisqu’elle est transparente. Cette bonbonne dispose d’une poignée pour son soulèvement, en plus d’un cache de protection. Naftal a aussi exposé un nouveau modèle de bouteille en acier, de même qu’un nouveau détendeur permettant la sécurité. Ce même détendeur empêche la fuite du gaz. Interrogé pour savoir quel serait le prix de la nouvelle bouteille de gaz, nos interlocuteurs disent qu’il sera administrés par le ministère de l’Energie mais elle sera sûrement un peu plus chère que l’ancien modèle. Néanmoins, nous apprenons qu’un premier arrivage de 1 000 bouteilles est déjà au niveau du port et sera bientôt mis sur le marché. Beaucoup de visiteurs au niveau du stand de Naftal ont manifesté leur intérêt pour cette bonbonne, et n’ont cessé de poser des questions sur sa particularité et surtout sur sa disponibilité sur le marché national. Les représentants de Naftal étaient là pour répondre aux interrogations des clients.

Il faut savoir que Naftal a opté pour cette bouteille pour permettre plus de sécurité à sa clientèle dont beaucoup utilisent encore les butanes à gaz. Beaucoup d’accidents sont survenus à cause du non-suivi des consignes de sécurité. Car l’utilisation de ce genre de bouteilles a ses normes, et quiconque ne s’y conforme pas risque jusqu’à sa vie.

Par ailleurs, Naftal a exposé un autre produit consistant en la carte prépayée. Cette dernière permet le paiement des produits Naftal (carburants, lubrifiants, lavage…) au niveau de toutes les stations réparties sur le territoire national. Les avantages qu’offre cette carte à puce, c’est la sécurité. En effet, elle évite aux usagers de la route, surtout lors de longues distances, de circuler avec de l’argent. Elle permet aussi un meilleur contrôle, soit la traçabilité aux entreprises. C’est-à-dire, et grâce aux tickets remis à la suite du remplissage de carburants, les responsables au niveau de ces entreprises peuvent gérer et contrôler au mieux les dépenses en carburants.
[ source ]
Par Badiaa Amarni
La Tribune, Ă©ditions du 14 Juin 2008

France - Des sénateurs proposent de passer le bac en deux ans

# Administrateur | 13/06/2008 | Info

Des sénateurs proposent de passer le bac en deux ans


bac en 2 ans

Jean-Philippe Ksiazek AFP/Archives ¦
Une épreuve du baccalauréat 2005
passée au lycée Aragon à Givors

La mission sénatoriale « A quoi sert le bac? » a rendu jeudi ses conclusions et propose de passer le bac en deux ans, en décalant de nouvelles épreuves comme les langues vivantes à la fin de la classe de première.

Le groupe de travail sur le baccalauréat, présidé par le sénateur UMP Jacques Legendre, regrette que les sélections des cursus universitaires se fondent sur les notes du contrôle continu et non sur les résultats du bac. Passer un maximum d'épreuves à la fin de la première permettrait ainsi de redonner du poids au bac. Les élèves ayant échoué en première pourront repasser les épreuves en terminale.


Session de rattrapage en septembre


Par ailleurs, la mission constituée à l'occasion des 200 ans du bac envisage d'instituer une session de rattrapage en septembre qui remplacerait les oraux organisés juste après le bac. L'objectif est de laisser aux élèves le temps de rattraper leurs lacunes pour aborder dans de bonnes conditions l'enseignement supérieur.

Les sénateurs, reprenant l'esprit des propositions de Nicolas Sarkozy, veulent en finir avec la suprématie du bac S. Pour cela, ils proposent de supprimer les filières en supprimant les coefficients sur les matières du tronc commun. Les élèves auraient ensuite le choix entre 3 options: une dans le domaine scientifique, une dans le domaine littéraire et une dans le domaine économique et social.


Un «droit opposable» à la poursuite des études


Pour contrer les accusations de « bac bidouillé », les sénateurs proposent de rendre public les consignes de notations envoyés aux correcteurs. La mission parlementaire fait une autre proposition forte: garantir à tout élève sortant du système éducatif sans le bac un crédit de formation professionnelle de deux ou quatre années (deux ans pour les titulaires du BEP, quatre ans pour les autres). Une sorte de « droit opposable » à la poursuite des études.

Ce rapport sera remis à Xavier Darcos, le ministre de l'Education nationale. Le sénateur Jacques Legendre a prévenu: « Nous souhaiterions que le ministère songe aux économies à long-terme [d'une réforme du bac] plutôt qu'aux petites économies sur l'organisation du bac ».
[ source ]
Par Vincent Glad
20Minutes.fr, Ă©ditions du 12/06/2008 - 20h58

France - Les astuces pour réussir son épreuve de philo le jour J

# Administrateur | 13/06/2008 | Info

Les astuces pour réussir son épreuve de philo le jour J


bac France
Martin Bureau AFP/Archives ¦
Des lycéens prennent connaissance de leurs sujets
du baccalauréat de philosophie, le 11 juin 2007 à Paris

Lundi 16 juin, c'est le grand saut. Les candidats au bac général et technologique de la métropole attaquent l'examen par la sacro-sainte épreuve de philosophie. Qu'ils aient révisé ou non, il faudra bien mettre à profit les quatre heures imparties pour essayer de décrocher la moyenne, voire plus. 20minutes.fr a demandé à Carole Bline, professeur de philosophie au lycée Jean-Monnet, à Joué-les-Tours (Indre-et-Loire), ses conseils pour réussir le jour J.

Mais d'abord, pour ceux qui terminent leurs révisions...
« Il est trop tard pour bachoter la pensée des auteurs au dernier moment. Mieux vaut apprendre les définitions des grands concepts philosophiques (liberté, travail, conscience, vérité...) pour avoir les moyens d'aller plus loin sur un sujet que le café du commerce.»

Ne pas se ruer sur le commentaire de texte
« Contrairement à ce que l'on croit, c'est l'épreuve la plus difficile car il faut un énorme recul par rapport aux notions abordées en terminale. Les élèves qui n'ont pas assez révisé se contentent de paraphraser et ça se voit tout de suite. Mieux vaut opter pour l'un des deux sujets de dissertation. Attention, si l'un d'entre eux a été traité dans l'année, il ne faut surtout pas restituer son cours par coeur et rendre une copie un peu «plan plan ». Ce que le correcteur récompense avant tout, c'est la prise de risque dans la réflexion. Le mieux est donc de choisir le sujet le plus généraliste.»

Décortiquer tous les mots de l'énoncé
« C'est la première chose à faire, qui doit prendre environ un quart d'heure. On entoure tous les mots et on écrit sur un brouillon tout ce que ça évoque, en faisant appel à sa culture générale, philosophique, historique, son expérience... En général, deux grands concepts se dégagent du sujet. Exemple: « La culture permet-elle d'échapper à la barbarie? » Il faut réécrire l'énoncé en définissant les termes «culture» et « barbarie », qui peuvent être entendus de plusieurs façons.

Elaborer le plan, avec au moins deux parties
« Dans la première partie, on donne toujours «l'opinion commune». A la question «la culture permet-elle d'échapper à la barbarie? », par exemple, le bon sens répond « oui ». Cette partie est importante car elle permet de définir les concepts auquel le sujet fait référence. Dans la deuxième partie, on va plus loin, on nuance, on trouve des contre-exemples, dans l'histoire, la pensée philosophique ou la vie tout simplement.

La troisième partie est facultative. Mieux vaut ne pas en faire que d'écrire une sorte de mixte des deux premières et de se contenter de répondre « peut-être». Il faut donner une réponse, car la philosophie, c'est avant tout la recherche d'une vérité. Donc, on rédige une conclusion, dans laquelle on résume ce qu'on a dit auparavant et on donne son avis. Les ouvertures sont à éviter, car c'est déjà pas mal d'avoir essayé de répondre à la question posée.

L'exercice de la troisième partie est à réserver aux très bons élèves, qui peuvent essayer de démolir le sujet, en faisant référence à l'évolution de la pensée philosophique. La question « la culture permet-elle d'échapper à la barbarie? », par exemple, ne se pose plus depuis que Nietzsche a cassé l'idéal défendu par Platon sur la nature humaine. La culture permet de se confronter à la barbarie plutôt que d'y échapper.»

Commencer à rédiger au bout d'1h30-1h40
« Après avoir listé toutes ses idées dans chaque partie, on se lance dans la rédaction. Attention, on ne commence pas un paragraphe par «Pour Platon ou pour Nietzsche». On formule soi-même une question ou une idée, et on cite ensuite les auteurs. Si on n'est pas un littéraire, on privilégie les phrases courtes. On rend une copie aérée, avec de belles transitions. Le correcteur doit voir que la pensée est méthodique et évolutive. Et que le candidat a pris du plaisir à réfléchir par lui-même. »

Débat: Et vous, quelles sont ou ont été vos astuces pour réussir cette épreuve? Donnez-nous vos conseils ci-dessous
[ source ]
Recueilli par Catherine Fournier
20Minutes.fr, Ă©ditions du 12/06/2008 - 20h58

Oran - Un régime d’octroi de visa plus souple aux universitaires

# Administrateur | 13/06/2008 | Info

Visite du consul général de France : Un régime d’octroi de visa plus souple aux universitaires


« Je suis un fervent défenseur du principe de la libre circulation des personnes », a déclaré mardi le Consul général de France à Oran, René Levray, au terme de sa visite de deux jours à Sidi Bel Abbès. Répondant à une invitation de la chambre de commerce et d’industrie de la Mekerra (CCIM), le Consul de France a rendu visite à plusieurs opérateurs économiques de la région et a été reçu par les responsables de l’université Djilali Liabes. Au siègé du rectorat, M. René Levray a annoncé de nouvelles modalités devant faciliter, à partir de 2009, l’obtention de visas pour les étudiants et le personnel enseignant. Ainsi, les tests de connaissance de la langue, exigés aux étudiants désirant poursuivre leur formation en France, ne s’effectueront plus à Alger, a affirmé le Consul. « Les tests se feront à Oran ou bien à Tlemcen », a-t-il ajouté. S’agissant de la réouverture du Centre culturel français (CCF), le Consul général de France a préféré laisser le soin aux responsables du service culturel de l’ambassade de France de « juger de l’opportunité » d’une telle structure à Sidi Bel Abbès. « Une délégation composée de fonctionnaires de l’ambassade de France fera le déplacement à Sidi Bel Abbès dans les mois prochains pour procéder à une évaluation », dira-t-il.
[ source ]
Par M. Abdelkrim


El Watan, Edition du 12 Juin 2008

Compagnie nationale Air Algérie, Les salaires augmentés de 15%

# Administrateur | 12/06/2008 | Info

salaires

Compagnie nationale Air Algérie


Les salaires augmentés de 15%


Les employés d’Air Algérie vont enfin pousser un ouf de soulagement. La direction générale a officialisé hier l’accord portant sur une revalorisation conséquente de leurs salaires à hauteur de 15%.


Wahid Bouabdellah, PDG de la compagnie, et les délégués des six syndicats de l’entreprise ont signé hier l’accord salarial qui a nécessité plus de deux années de négociations. Cette majoration des mensualités des employés d’Air Algérie, qui a coûté la bagatelle de 959 millions de dinars, bénéficiera à l’ensemble des travailleurs de la compagnie, du simple appariteur au commandant de bord.

Le directeur général a expliqué qu’une commission d’experts planchera dès aujourd’hui sur la « hiérarchisation » de ces augmentations selon les postes. En réalité, l’accord a été déjà approuvé le 8 juin par le conseil d’administration de la compagnie. Air Algérie, faut-il le rappeler, est l’une des rares entreprises publiques à avoir accusé un retard dans la signature de sa convention de branche à cause de la maladie de son ancien PDG, le défunt Tayeb Benouis, mais aussi à cause de l’âpreté des négociations avec les partenaires sociaux.

Pour Wahid Bouabdallah, ces augmentations sont « directement liées à la productivité et à la performance ». Il s’est défendu hier d’avoir cédé au « chantage » des pilotes. A certains représentants de syndicats qui évoquaient hier dans leurs interventions « d’autres revalorisations », il leur signifiera : « Vous avez eu ce que vous vouliez ! » Et en bon pompier, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, intervient pour calmer les ardeurs de ses « lieutenants » en les invitant à ne pas être « agressifs » et d’éviter la « confrontation ».

Le patron de la centrale syndicale s’est mystérieusement félicité de cet « événement politique et syndical ». Cela étant, la direction d’Air Algérie précise que cette revalorisation des salaires, à l’exception de la prime spécifique à l’activité de maintenance aéronautique en cours d’élaboration, est effective « dès la paie du mois de juin 2008 ». En clair, les 15% sont déjà dans les poches des employés d’Air Algérie.

Sur un autre plan, le patron du pavillon national a réaffirmé que la flotte de la compagnie atteindra 50 avions à l’horizon 2025. Il rappellera que le programme de renouvellement de la flotte de la compagnie, entamé depuis des mois, prévoit l’acquisition de 10 avions moyen-courriers à 150 sièges et de 2 avions-cargos. Cette opération permettra de renouveler la flotte de la compagnie et d’améliorer ses performances.

S’agissant de la saison estivale, Wahid Bouabdallah a annoncé qu’Air Algérie a affrété des avions pour faire face au flux croissant de nos émigrés, mais aussi « à la grande concurrence imposée par les compagnies aériennes mondiales ». A signaler que la flotte d’Air Algérie compte actuellement 33 avions dont 31 pour le transport des passagers et 2 avions-cargos.
[ source ]
Par Hassan M.
El Watan, Edition du 12 Juin 2008

Algérie - l’université prête à accueillir tous les nouveaux bacheliers

# Administrateur | 12/06/2008 | Info

univertsiteHarraoubia : l’université prête à accueillir tous les nouveaux bacheliers


L’université algérienne est "entièrement prête" à accueillir l’ensemble des nouveaux bacheliers quel qu’en soit le nombre, a affirmé le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia.


Invité de l’émission Tahaoulate (mutations) diffusée sur les ondes de la chaîne I, M. Harraoubia a indiqué que son secteur dispose de places pédagogiques "suffisantes" pour accueillir les nouveaux étudiants, quelles que soient les spécialités choisies, avant de préciser que les universités sont dotées de tous les équipements et de toutes les commodités à même de permettre aux étudiants de "suivre leur cursus dans les meilleures conditions". Sur les 21 pôles universitaires programmés, le secteur a déja réceptionné ceux de Tlemcen, Sétif, Annaba, Sidi Belabbes alors que la réception du pôle de M’sila se fera fin 2008, a indiqué le ministre.
[ source ]
El Watan, Edition du 12 Juin 2008

Alger : British Airways programme deux vols supplémentaires

# Administrateur | 12/06/2008 | Info

Desservant depuis janvier dernier Alger avec un vol quotidien
British Airways programme deux vols supplémentaires de nuit


British AirwaysM. David Fordham est depuis le 1er mai dernier le nouveau Country Manager de la zone Afrique du Nord auprès de la compagnie aérienne British Airways. Un premier contact avec la presse a été organisé hier sur le stand de la British Airways à la Foire internationale d’Alger.

A l’entame de son intervention, David Fordham a tenu à souligner que l’entrée en service du terminal 5 de Londres va apporter beaucoup de commodités à tous les passagers de la compagnie qui assure jusqu’à 150 destinations à l’international, dont Alger depuis le mois de janvier dernier avec un vol quotidien.

Le Country Manager rappellera par la même occasion l’ouverture, depuis le 1er mars dernier, d’une nouvelle agence sise au centre d’affaires jouxtant la Bibliothèque nationale du Hamma. Cependant, il restera avare quant au nombre de passagers transportés entre les deux capitales depuis l’ouverture de la ligne. Il restera également muet en ce qui concerne le taux de remplissage. A propos des dispositions que pourrait prendre British Airways durant la saison estivale sur la destination Alger, il a expliqué que sa compagnie a prévu des vols de nuit. La British Airways a pour stratégie « de réviser ses programmes de vols sur telle ou telle destination selon les opportunités qui se présentent », ajoute-t-il. Lors de cette prise de contact, le Country Manager a tenu à dire que sa compagnie n’envisage pas pour l’instant d’augmenter les prix de ses billets en raison de l’envolée du pétrole, précisant, toutefois, que « jusqu’à 120 dollars le baril de pétrole cela restait encore rentable, mais, au-delà, l’hypothèse deviendrait plausible ». Sur ce dernier sujet, on apprendra également que le coût des carburants dans cette compagnie britannique a augmenté de 124 millions de pounds malgré un dollar américain faible. Le coût hors carburants devrait augmenter de 3 à 3,5%, soit 200 millions de pounds de plus que l’année précédente, a déclaré le conférencier. « Sur le marché actuel des prix du pétrole, nos cours de carburants augmenteront d’environ un milliard de pounds sur l’exercice de l’année prochaine », précisera-t-il.

A la question des commodités apportées à la clientèle au nouveau terminal, le représentant de British Airways en Libye, Tunisie, Algérie et Maroc a expliqué : « La problématique du visa de transit ne va plus se poser, puisque nos clients en partance vers les Etats-Unis ou le Canada ne seront plus concernés. Ils pourront même passer la nuit dans un hôtel de Londres sans aucune formalité de transit.» En ce qui concerne la destination Hassi Messaoud, qui existait auparavant, le Country Manager a été clair : « Cette destination reste au stade de l’étude pour l’instant.» Enfin, en réponse à la question d’une consœur relative au ciblage de la clientèle sur les vols Londres-Alger, il dira fermement : « Nous ne faisons aucune distinction, tous nos passagers sont logés à la même enseigne.»
[ source ]
Par Ziad Abdelhadi
Photo : Riad
La Tribune, Edition du 12 Juin 2008

Algérie - Edition des nouveaux annuaires particuliers et professionnels.

# Administrateur | 12/06/2008 | Info

Après la version en ligne lancée par Algérie Télécom l’année dernière :


13 ans après la parution du dernier annuaire, soit en 1995, Algérie Télécom, avec le concours de la société Les Pages Maghreb, a édité cette année les nouveaux annuaires particuliers et professionnels. C’est ce qui a été annoncé en grande pompe hier, lors d’un point de presse tenu à la Safex. Le P-DG de cette société, de droit algérien, le Français Michel Bisac, a indiqué que la version en ligne des annuaires a été mise en route l’année dernière, à l’occasion de la 40ème Foire internationale d’Alger (FIA). L’édition en papier de cette année est considérée, selon la même source, comme une mine d’informations pour tous les usagers (privés ou professionnels). « Ces annuaires regroupent plus de 3 millions d’abonnés au téléphone fixe et plus de 220 000 entreprises référencées », a précisé M. Bisac, excluant, de ce fait, les personnes ou les entreprises qui ne désirent pas y figurer, classées ainsi dans « la liste roug e». En déclarant que la version en papier prend en ligne de compte l’aspect régional des wilayas, en ce sens qu’il existe des annuaires pour l’est du pays, pour l’Oranie, Alger, le Centre et le Sud, l’orateur a fait savoir que tous ces manuels sont d’ores et déjà disponibles sur tout le territoire national, et ce, dans les agences Actel, ainsi que les points de vente relevant d’AT. Les annuaires des particuliers seront commercialisés au prix de 480 DA l’unité, alors que ceux des professionnels seront cédés à 2 500 DA. Ces prix ont été fixés, pour rappel, en vertu du décret numéro 03-436 du 22 novembre 2003, définissant les modalités de mise à disposition de l’annuaire téléphonique par les opérateurs de réseaux de télécommunication. « Les annuaires professionnels contiennent des informations économiques et constituent un outil de travail indispensable aux entreprises », précise-t-il.

S’agissant du nombre d’exemplaires tirés, la même source l’a estimé à plus de 150 000, dont 100 000 concernent les professionnels. De son côté, le chargé de communication d’Algérie Télécom, Abdelkrim Meziani, n’a pas manqué, tout au long de son intervention, de rappeler les points positifs d’une telle opération, qu’il qualifie, à juste titre, de « stratégique ». « Cette option traduit une aspiration légitime, qui consiste à placer l’Algérie en position d’investir durablement dans l’innovation et de relever le défi de la modernisation », soutient-il. Affirmant avec une certaine fierté que son groupe compte pas moins de 10 millions d’abonnés, le représentant d’AT dira que la parution de ces agendas vient à point nommé confirmer la politique prônée par son entreprise, qui n’est autre que « la quête constante de la qualité » et surtout « permettre au pays d’être au rendez-vous du nouveau millénaire ».

A la question de savoir le coût global de cette opération, M. Meziani s’est contenté de dire qu’il s’agit là d’«un contrat gagnant-gagnant» entre AT et Les Pages Maghreb.
[ source ]
Par Salah Benreguia
La Tribune, Edition du 12 Juin 2008

Adrar(Algérie) : L’aéroport sera fermé pour des travaux

# Administrateur | 12/06/2008 | Info

Adrar : L’aéroport sera fermé pour des travaux


A moins de 10 jours de la fermeture de l’aéroport d’Adrar, fixée pour le 14 juin, le directeur des travaux publics, Mustapha Daoud, assure que l’entreprise publique « EVSM » chargée de l’exécution du projet de renforcement de la piste d’atterrissage (3 000 m x 45 m ) est fin prête. Il affirme aussi que le délai contractuel ne saurait dépasser les 6 mois au lieu de 9 afin de pouvoir livrer la piste en janvier 2009. Ce projet a été confié à cette entreprise algéroise pour une autorisation de programme estimée à 155 milliards de centimes. Pour rappel, tous les vols destinés pour Adrar seront transférés, à compter du 15 juin prochain, sur la plateforme aéroportuaire de Timimoun « Gourara ».
[ source ]
Par A. A.
El Watan, Edition du 12 Juin 2008

Mini-sommet arabe, hier, à Tripoli en présence du Président

# Administrateur | 11/06/2008 | Info

Mini-sommet arabe, hier, à Tripoli en présence du Président Bouteflika : Une “approche partagée” autour du projet d’Union pour la Méditerranée


bouteflikaTripoliLe mini-sommet des chefs d'Etat et de gouvernement arabes, tenu à Tripoli (Libye), a permis d'avoir une "approche partagée" autour du projet de l'union pour la Méditerranée (UPM), a indiqué, hier, à Tripoli le ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines,
M. Abdelkader Messahel. "La réunion de Tripoli a permis aux Chefs d'Etat et de gouvernement d'avoir une approche partagée de ce que peuvent être les intérêts des pays de la rive sud de la Méditerranée", a affirmé M. Messahel dans une déclaration à l'issue du mini-sommet arabe. Le ministre a qualifié cette rencontre d'"initiative heureuse" qui a permis aux Chefs d'Etat participants de se concerter et d'échanger leurs points de vue et faire des propositions dans le cadre du processus de consultations "qui va se poursuivre".

Il a annoncé, à cette occasion, une réunion de haut niveau le 27 juin prochain à Bruxelles pour l'élaboration de la déclaration qui devra être adoptée à Paris. Une réunion des ministres des Affaires étrangères se tiendra à la veille du sommet pour finaliser le projet de déclaration qui sera soumis aux Chefs d'Etat lors du sommet prévu le 13 juillet à Paris, a-t-il souligné.


Entretien Bouteflika-El Gueddafi


Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, s’est entretenu, hier à Tripoli, avec le Guide de la Révolution libyenne, le colonel Maammar El Gueddafi. L’entretien a eu lieu à l’hôtel Corenthia peu avant le début des travaux du mini-sommet de Chefs d’Etat arabes qui sera consacré au projet de l’union pour la Méditerranée.
Les Présidents syrien Bachar al-Assad, mauritanien, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, et le Premier ministre marocain, Abbas El Fassi, se sont joints, par la suite, à ces entretiens.
Le Président de la République était arrivé auparavant dans la capitale libyenne pour prendre part à ce mini-sommet qui devrait regrouper également le Président tunisien, Zine El Abidine Ben Ali.


Le Président Bouteflika adresse un message de remerciements au Président El Gueddafi


Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a adressé, hier, un message de remerciements au Guide de la Révolution libyenne, le colonel Maamar El Gueddafi pour l'"accueil et l'hospitalité" dont il a été entouré lors de sa visite à Tripoli où il a pris part a un mini-sommet arabe consacré à la concertation sur le projet de l'union pour la Méditerranée.

"Après avoir renoué les liens de fraternité et d'amitié avec Votre Excellence par une rencontre fructueuse qui nous a permis de nous concerter conformément à l'esprit de solidarité et au destin commun qui nous lient, il m'est agréable de vous adresser mes vifs remerciements et toute ma gratitude pour l'accueil et l'hospitalité dont vous m'avez entouré", a écrit le Président Bouteflika dans son message.
"Je suis optimiste quant aux résultats de notre rencontre et je demeure confiant que l'échange de vues auquel nous avons procédé sera suivi d'une unification des visions et d'une coordination que nous avons sans cesse oeuvré à élargir et à en consolider l'efficacité au sein même de nos relations aux plans arabe, africain, méditerranéen et international", conclut le Président de la République.


En survolant le territoire tunisien : Message du Président Bouteflika au Président Ben Ali


Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a adressé hier un message à son homologue tunisien, M. Zine El Abidine Ben Ali, dans lequel il lui a fait part de son attachement à l'élargissement et à la promotion de la coopération bilatérale entre les deux pays dans les différents domaines.
"Il m'est particulièrement agréable, au moment où je survole le territoire de votre pays, de vous adresser mes salutations fraternelles, de vous faire part de ma profonde considération et de mes vœux de bonne santé et de bien être, et au peuple tunisien frère de réaliser ses aspirations au progrès et à la prospérité sous votre direction éclairée", écrit le Chef de l'Etat dans son message.
"Il me plait à cette occasion - ajoute le Président Bouteflika - de vous exprimer ma fierté des relations fraternelles exceptionnelles qui lient nos deux pays et de vous assurer de mon attachement permanent à œuvrer avec vous pour l'élargissement et la promotion de notre coopération bilatérale dans les différents domaines au mieux des intérêts de nos deux peuples et pour concrétiser leurs ambitions à hisser ces relations au plus haut niveau de fraternité et de solidarité, sur la voie de l'édification de notre Maghreb arabe".


Le Président de la République a regagné, hier, Alger


Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a regagné Alger, hier, en fin d'après-midi en provenance Tripoli (Libye) où il a pris part au mini-sommet arabe consacré à la concertation sur le projet d’union pour la Méditerranée (UPM).
Outre le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, le Guide de la Révolution libyenne, le colonel Maammar El Gueddafi, les chefs d'Etat de Tunisie, Zine El Abidine Ben Ali, de Mauritanie, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi et de Syrie, Bachar al-Assad, ont participé à ce mini-sommet.
Le Maroc a été représenté, quant à lui, par son Premier ministre, Abbas El Fassi.
[ source ]
Par EL MOUDJAHID - 10-06-2008 Ă  23:18
Ph.: T. Rouibah
El Moudjahid, Edition du 11 Juin 2008

Algérie - Secousse tellurique de 3,1 degrés dans la wilaya de Bejaïa

# Administrateur | 10/06/2008 | Info

Hier à 19h 07 : Secousse tellurique de 3,1 degrés dans la wilaya de Bejaïa


Un séisme de magnitude 3,1 sur l'échelle de Richter a été enregistré hier, à 19h 07 dans la wilaya de Bejaia , a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.
L'épicentre de cette secousse tellurique a été localisé à 3 km au sud-ouest d'Aokas, selon la même source.
[ source ]
Par El Moudjahid - 09-06-2008 Ă  22:49
El Moudjahid, Edition du 10 Juin 2008

La bibliothèque du Centre culturel algérien de Paris sur le Web

# Administrateur | 09/06/2008 | Info

Le site propose Ă©galement des documents audiovisuels
La bibliothèque du Centre culturel algérien de Paris sur le Web


La bibliothèque du Centre culturel algérien de Paris vient de mettre en ligne ses fonds archivistiques pour faciliter aux utilisateurs la recherche à distance de documents nécessaires à leurs travaux.

Pour le moment, seuls les ouvrages et autres écrits en langue française, qui sont les plus demandés par les chercheurs, ont été répertoriés et mis en ligne. Le travail se poursuit pour le reste des fonds documentaires en langue nationale. Pour la partie documentaire en langue française, les références concernant les titres et documents disponibles en ligne touchent différents domaines, de l’histoire à la littérature et la culture, en passant par la politique, l’économie, les sciences humaines et les études sociologiques. Pour les recherches, l’internaute dispose de différents types de recherche : simples, en multi-critères et par termes. Comme pour les autres sites Web, la
recherche se fait par inscription du nom de l’auteur, du titre du livre, de la
collection, des catégories, ou bien par celle de tous les champs à la fois. Le site propose également des documents audiovisuels, entre films, documentaires et autres vidéos traitant de l’Algérie. Les auteurs des documents mis en ligne sont aussi bien des nationaux que des étrangers.
Le travail de numérisation et de mise en ligne a été lancé il y a deux années. Il est pris en charge par toute l’équipe de la bibliothèque. «Nous sommes fréquemment sollicités par des chercheurs, des universitaires et des étudiants de France et même d’autres pays, en quête de documents ou de données nécessaires pour leurs travaux», a expliqué la responsable de la bibliothèque.

Le Centre culturel algérien de Paris dispose de plusieurs espaces d’expression culturelle et artistique, dont un hall où sont exposées tout au long de l’année des œuvres de peinture, des photos, des sculptures ou des produits de l’art traditionnel, une bibliothèque de consultation comprenant environ 30 000 places, une vidéothèque et des salles de conférences. Sur son site Internet, www.cca-biblio.com, le CCA diffuse des programmes diversifiés qu’il propose à son public. Il édite également une revue trimestrielle, Kalila, dont le second numéro est attendu pour juillet prochain.
[ source ]
Par Farah Bachir-Cherif
La Tribune, Edition du Lundi 09 Juin 2008

Thème d’un séminaire international qui débute demain à Alger

# Administrateur | 09/06/2008 | Info

Thème d’un séminaire international qui débute demain à Alger
La gestion immobilière en quête d’une assise législative et réglementaire


gestion immobAlger abritera à partir de demain un séminaire international sur la gestion immobilière. La rencontre, qui regroupera des experts internationaux de divers horizons, traitera de la problématique de la gestion immobilière à ses différents niveaux : la législation, la réglementation, le financement, la copropriété et la préservation du patrimoine immobilier. Les travaux de ce séminaire se dérouleront en ateliers.
Pour le premier thème, les participants auront à débattre du cadre législatif et réglementaire, de l’assurance immobilière et de la gestion des contentieux ainsi que du règlement de la copropriété.

L’atelier consacré à la copropriété, le troisième dans l’ordre, sera vraisemblablement le plus attendu par les spécialistes qui prendront part à cette rencontre initiée par le ministère de l’Habitat. Les participants
aborderont, entre autres, la gestion de la copropriété, l’installation des organes de gestion de la copropriété, la sécurité des sites d’habitation et, enfin, la gestion des conflits de voisinage. La préservation du patrimoine immobilier est un thème qui ne manquera pas de susciter l’intérêt et la curiosité des professionnels du secteur. Il sera question de la maintenance, de la réhabilitation et de la sensibilisation des usagers sur la conservation du patrimoine immobilier. Il y a quelques jours, le ministre de l’Habitat, Noureddine Moussa, déclarait que la problématique de l’entretien se pose avec acuité en Algérie. Le même responsable a d’ailleurs exprimé son souhait de voir le séminaire d’Alger apporter des réponses fiables et applicables pour le cas de l’Algérie. Dans l’objectif d’enrichir les débats, des experts internationaux sont sollicités pour présenter différentes expériences.

L’objectif optimal recherché à travers la tenue de ce séminaire est d’élaborer des recommandations qui permettront au département de Noureddine Moussa d’encadrer et de réglementer la gestion immobilière. Cette dernière souffre, selon le constat établi par les spécialistes, de l’absence de textes législatifs et réglementaires.
Au niveau du ministère, on rappelle que ce séminaire vient en prolongement d’une série d’ateliers initiés par l’Agence d’amélioration et de développement du logement (AADL) en 2007 sur la gestion immobilière, afin d’approfondir la réflexion et arrêter un programme de travail qui serve à améliorer cette gestion.
[ source ]
Par Amirouche Yazid
La Tribune, Edition du Lundi 09 Juin 2008

Foire d'Alger : l'inauguration est reportée à demain

# Administrateur | 08/06/2008 | Info

ALORS QUE L’INAUGURATION OFFICIELLE EST REPORTÉE À DEMAIN
700.000 visiteurs attendus Ă  la 41e FIA


Alors que la 41e Foire internationale d’Alger n’était pas encore inaugurée, Djaâboub, ministre du Commerce, a annoncé 700.000 visiteurs pour cet important événement économique qui a drainé l’année dernière à peine quelque 500.000 visiteurs.

Cette déclaration a eu lieu en présence du staff directeur de la Société algérienne des foires et exportations (Safex) dont Rachid Gasmi qui a révélé, pour sa part, que cette manifestation jouit cette année de mesures exceptionnelles de sécurité, tout en rendant hommage aux corps de sécurité dans ses différentes composantes.
Au même moment, l’ambassadeur du Portugal dont le pays participe à cette manifestation à titre d’hôte d’honneur, a fait savoir que le Portugal «ne fait pas dans le business du container» insinuant par là que le Portugal compte investir résolument et pour le long terme dans le pays.

Signalons que l’ambassadeur des Etats-Unis à Alger s’est rendu hier au stand américain (au pavillon G) où il s’est entretenu avec quelques représentants de firmes américaines installées en Algérie.

La tournée de l’ambassadeur avait également lieu en marge de toute inauguration officielle. Inauguration annoncée finalement pour aujourd’hui à midi.
Notons que Rachid Gasmi, en sa qualité de directeur général de la Safex, a promis une prolongation de la durée de la Safex d’au moins 48 heures en raison justement du retard observé dans l’inauguration.

Cette prolongation aura alors lieu sous deux différentes formules. Soit en nuitée, c’est-à-dire par des ouvertures quotidiennes qui se poursuivront jusqu’à 21 heures, sinon par un week-end entier. En effet, l’inquiétude était grande hier face au report de l’inauguration qui leur a fait craindre d’accuser, à leur détriment et au détriment des visiteurs, des journées sèches.

Finalement, Gasmi a promis une prolongation au compte de la Safex. Il est donc attendu que la présente édition de la FIA se poursuive au-delà de la date butoir du 13 juin prochain, au grand bonheur de la quarantaine de pays qui y participent.
[ source ]
Par Salim BENALIA
L'EXPRESSION, Edition du Dimanche 08 Juin 2008

Oran - la population vit toujours dans l’angoisse d’une autre secousse.

# Administrateur | 08/06/2008 | Info

oran

Un séisme de 5,5 sur l’échelle de Richter a semé la panique vendredi soir


Oran a eu peur


Fortement secouée, la population d’El Bahia vit toujours dans l’angoisse d’une autre secousse. Onze blessés, une personne disparue et beaucoup de frayeur, tel est le bilan du séisme qui a frappé la ville dans la soirée de vendredi dernier, selon la Protection civile.


Oran. De notre bureau
Une minute à peine après la secousse qui a été très fortement ressentie cette fois, comparée au tremblement de janvier dernier à Oran, les premières personnes apeurées commençaient déjà à quitter leurs immeubles, dans la précipitation, dans le calme, c’est selon, mais parfois dans la panique.
Ce dernier cas concerne surtout, et c’est compréhensible, les immeubles menaçant ruine des vieux quartiers, mais aussi ceux érigés sur une certaine hauteur et où la coupure soudaine d’électricité, amplifiant l’effet surprise, a créé des mêlées dans les escaliers. Ignorant les consignes de sécurité pour ce genre de situations, les habitants veulent sortir en se dirigeant toujours plus bas. « J’habite une tour résidentielle de plusieurs étages et dès que je me suis retrouvé dans les escaliers, d’ailleurs je ne sais même plus comment, il y a eu une coupure d’électricité, et là ça a été carrément la pagaille avec toutes ces femmes qui criaient et les gens qui se bousculaient », témoigne un résidant qui a préféré se retirer loin de sa cité, une des tours de plus de 10 étages, pour retrouver ses esprits.

Dans les rues et les places publiques, ce sont surtout les femmes portant des bébés emmitouflés dans des petites couvertures qui attirent l’attention. L’instinct maternel fonctionne à merveille. Des petits groupes se forment laissant place aux commentaires où souvent la réalité de la tectonique des plaques, à cause de l’imprévisibilité de ses effets, laisse place aux signes du Divin. « Ce sont des signes que Dieu envoie à ses fidèles pour leur rappeler qu’il ne faut pas s’éloigner du droit chemin », prétend un commerçant.

Alors que certains essayent de raisonner « scientifiquement », d’autres n’avaient que l’invocation du nom de Dieu (chahada), le premier pilier de l’Islam, en bouche surtout au moment du séisme. « Tu vas voir, tout à l’heure, les mosquées seront pleines à craquer, beaucoup plus que d’habitude », ironise un marin, la dernière prière de la journée, el icha, n’étant pas encore passée. Sa « prophétie » allait effectivement se réaliser, car tout de suite après un ami à lui est venu lui confirmer ses dires. « Moi je n’ai pas paniqué pour la simple raison que j’ai l’habitude avec les tempêtes et les tangages des bateaux », se justifie-t-il. L’irrationalité va jusqu’à lier le tremblement au climat et à cette période précisément. « Un malheur te fait pleurer, un autre te fais rire. » On fera, par ailleurs, sien cet adage populaire pour mettre en avant l’autodérision et rire de sa propre attitude au moment de l’incident.

La plupart des gens ont l’oreille collée sur leur portable. On tente de s’enquérir des nouvelles des proches, mais également de la localisation de l’épicentre du tremblement de terre, et vu la force de la secousse, on craint le pire. Ce qui a sans doute eu comme conséquence la congestion des réseaux et les difficultés à communiquer. Les nouvelles, lorsqu’elles arrivent, sont rassurantes, mais les échos proviennent de Mostaganem, de Sidi Bel Abbès, même de Frenda où, selon des témoignages, la secousse a été ressentie. Habituellement presque inexistante pour un soir de vendredi, la circulation automobile a repris. Mieux vaut être en voiture que sur les hauteurs. Une heure après, beaucoup de gens refusent toujours de regagner leur domicile alors que la radio locale a fait parler le chef de l’exécutif qui a lancé des appels au calme en assurant que seuls des blessés légers ont été recensés et qui étaient dus essentiellement à la panique.

Quelques plafonds de bâtisses anciennes sont néanmoins tombés, comme cet escalier à Sidi El Houari et dont la nouvelle avait déjà fait le tour au même titre que cet homme qui aurait sauté du 2e étage. Sur place, ce quartier où on craint le pire à chaque secousse tient bien et a très vite repris son calme. « Pour la première fois de ma vie je suis sortie effrayée en criant tellement j’ai ressenti la terre s’échapper sous mes pieds », confie une femme. Certaines femmes ont même eu des malaises qui ont parfois nécessité des consultations médicales comptabilisées dans le premier bilan des « blessés » du séisme.
[ source ]
Par Djamel Benachour>
El Watan, Edition du Dimanche 08 Juin 2008

Séisme en Algérie : pas de dégâts, 11 blessés légers

# Administrateur | 07/06/2008 | Info



Séisme en Algérie : pas de dégâts, 11 blessés légers




07-06-2008 08:58:42


ALGER, 6 juin (Xinhua) -- Un séisme de magnitude 5,5 sur l'échelle ouverte de Richtcer, survenu vendredi soir dans la région algérienne d'Oran (nord), a fait 11 blessés légers à cause de la panique, a annoncé la protection civile de la wilaya d'Oran qui n'a pas fait état de dégâts.

Selon l'agence de presse algérienne APS, les habitants de plusieurs wilayas et villes, notamment Oran, Mascara, Mostaghanem et Ain Temouchent, où on a ressenti cette secousse, ont quitté précipitamment leurs demeures, ce qui a provoqué une grande panique au sein de la population.

L'épicentre de la secousse tellurique, qui a eu lieu à 21h02 ( 20h02 GMT) a été localisé à 30 km au Nord-ouest d'Oran (en mer), selon le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) de l'Algérie.

L'Algérie, qui se trouve à la jonction des plaques africaine et euro-asiatique, est un pays sismiquement actif. Un séisme de magnitude 6,8 avait frappé en mai 2003 le nord du pays, faisant quelque 2.300 morts et environ 10.000 blessés, sans compter une perte matérielle de plus de 5 milliards de dollars.
[ source ]
Xinhua - Edition du 07 Juin 2008


Un forum à Paris pour impulser la création d’entreprises

# Administrateur | 06/06/2008 | Info

Un forum à Paris pour impulser la création d’entreprises et l’insertion des jeunes


Un forum consacré à la place des jeunes et de la société civile dans l’union pour la Méditerranée sera animé samedi par de hautes personnalités du pourtour méditerranéen à Paris.


Cette rencontre, première du genre, est organisée par l’agence franco-algérienne de coopération développement (Médafco Développement) en collaboration avec l’Agence franco-algérienne de coopération et de développement (Afac développement) dans la perspective du sommet prévu à Paris le 13 juillet et du premier Forum de la Méditerranée consacré à la jeunesse et la société civile, qui se tiendra au Maghreb en octobre prochain.
L’objectif principal est d’enrichir le débat, d’impliquer les jeunes et la société civile dans la construction d’une Union pour la Méditerranée sur des bases solides et pragmatiques qui tiennent compte de toutes les contraintes ainsi que des intérêts de l’ensemble des parties prenantes. Selon le président et fondateur de Médafco, Kamel Osmane, contacté à Paris, « il s’agit de voir comment mettre en place un dispositif pour impulser la création d’entreprises, l’insertion des jeunes et la qualification des ressources humaines dans le sud de la Méditerranée ». D’éminentes personnalités, entres autres, Nassif Hitti, ambassadeur de la Ligue arabe à Paris, docteur Ghaleb Bencheikh, président de la Conférence mondiale des religions pour la paix, docteur Guy Feuer, spécialiste des rapports Nord-Sud et du développement, Mme Samar Sassine, présidente de l’Association du dialogue interculturels et interreligieux (ADICR), docteur Omar Massalha, directeur à l’Unesco, secrétaire général du Forum méditerranéen de la paix, animeront ces débats auxquels vont participer des conseillers du président Sarkozy.

Les participants y débattront des thèmes, notamment l’insertion professionnelle des jeunes et la création d’emplois, et aussi comment l’Union pour la Méditerranée pourrait-elle servir de catalyseur à la qualification puis à l’insertion des jeunes, quels dispositifs méditerranéens peut-on prévoir pour soutenir les créateurs d’entreprises, paix et amitié entre les peuples méditerranéens, comment surmonter les tensions liées à l’histoire coloniale et à l’ignorance entre les civilisations et comment gérer les conflits qui entravent actuellement l’édification d’une union effective. Dans ces projets qu’elle propose pour l’union pour la Méditerranée, Médafco estime que ce qu’attendent les jeunes de cette union pour la Méditerranée, ce ne sont pas des dons de la providence, mais les aider à cultiver leurs compétences et leur talent, puis de les accompagner par la suite pour convertir ce savoir-faire acquis en création de richesses. Pour Médafco, il faut donner à ces millions de jeunes du sud de la Méditerranée la chance d’accéder aux savoirs modernes, puis les accompagner dans leur insertion professionnelle pour en faire des locomotives du développement de leur pays.
[ source ]
Par Rabah Beldjenna
El Watan - Edition du 06 Juin 2008

Algérie - Découverte archéologique à Tipaza

# Administrateur | 05/06/2008 | Info

Découverte archéologique à Tipaza


TipazaUne huilerie antique sous terre


« C’est un élément archéologique unique dans toute la wilaya de Tipaza, précise l’archéologue Bensalah Abdelkader ; j’en ai vu un seul identique à Berzéguane dans la wilaya de Tébessa. »


Une équipe mixte d’archéologues de Tipaza et d’Alger a été dépêchée sur les hauteurs du chef-lieu de la wilaya de Tipaza, exactement sur le site où doit être érigé le futur pôle universitaire. Trois jours après leur arrivée, les archéologues ont mis au jour une ferme qui était enfouie sous la terre, dans laquelle se trouvaient des éléments archéologiques, qui justifiaient l’existence d’une huilerie antique datant entre le 1er et le IVe siècles après J. C. Un broyeur d’olives, des éléments de seuil de la porte, le contrepoids, mais une partie du bassin de décantation pour la purification de l’huile a été malheureusement détruite en 2007 par l’engin qui était en opération sur le tracé du projet de la voie express reliant Alger à Cherchell. C’est le secteur de l’hydraulique qui avait entrepris les travaux de pose de la canalisation relative au dédoublement du réseau de l’AEP, reliant Sidi Amar à Tipaza, nous confirme un technicien. Le secteur de l’hydraulique, quant à lui, dément cette information de destruction. Le hasard a voulu que ces objets archéologiques aient été découverts sur le site où devait être érigé l’institut national de l’archéologie. L’étude de l’ensemble des tessons de céramiques ramassés sur le site déterminera la date exacte de ces vestiges archéologiques. Par conséquent, tout dépendra des résultats des sondages qui seront effectués sur différents niveaux, car la réalisation du centre universitaire sur ce site précis est tributaire des conclusions des sondages et de l’importance des vestiges mis au jour. Il n’en demeure pas moins que depuis la fin de l’année 2004, la wilaya de Tipaza s’était montrée soucieuse envers la préservation des patrimoines appartenant aux civilisations passées. Elle avait même engagé des travaux en collaboration avec le secteur de la culture pour réhabiliter et sauver le site de Tipaza, classé patrimoine culturel mondial par l’Unesco. Ainsi, à la suite de cette dernière découverte, les autorités de la wilaya ont promis de prendre des mesures pour préserver les sites archéologiques sans pour autant se désister sur la réalisation du centre universitaire. « Il existe plusieurs techniques de préservation des éléments archéologiques », nous indique un archéologue d’Alger, rencontré sur le site de l’huilerie antique. L’équipe d’archéologues sera renforcée par d’autres effectifs qui vont arriver de Blida et aussi d’Alger, afin d’accélérer les fouilles et les recherches sur ce site.
[ source ]
Par M’hamed H.
El Watan - Edition du 05 Juin 2008

AlgĂ©rie - L’AGENOR RÉCUPĂRE LES MÉTAUX PRÉCIEUX

# Administrateur | 05/06/2008 | Info

L’AGENOR RÉCUPĂRE LES MÉTAUX PRÉCIEUX
« Ne jetez plus vos bijoux»


L’Agence nationale des métaux précieux (Agenor) lancera prochainement une opération-test de récupération des métaux précieux, a indiqué cette société dans un communiqué.
Cette opération intervient dans le cadre de la mise en oeuvre progressive des dispositions et procédures contenues dans l’agrément obtenu en avril 2008, relatives à la récupération et au recyclage des métaux précieux, a souligné la même source. L’opération consistera, dans un premier temps, à récupérer contre rémunération du déposant, les bijoux ou objets en matières précieuses tels l’or et l’argent, couramment appelés ´´bijoux cassés´´.

L’expertise, le pesage, la détermination de la valeur et le paiement des bijoux et objets en métaux précieux se fait sur place par ses techniciens à l’exception des pièces importantes dont l’expertise se fait au niveau du laboratoire de l’entreprise en présence du client. Au 1er trimestre 2008, son chiffre d’affaires a évolué de +43% par rapport au 1er trimestre 2007, tandis que sa valeur ajoutée a progressé de +67%. Selon ses prévisions, son chiffre d’affaires devrait être doublé en 2008 pour être porté à près de 600 millions de DA.
[ source ]
Par R.N
L'Expression - Edition du 05 Juin 2008


Algérie - La flore et la faune menacées à Tizi Ouzou

# Administrateur | 04/06/2008 | Info

Journée internationale de la biodiversité


la faune TiziLa flore et la faune menacées à Tizi Ouzou


La wilaya de Tizi Ouzou renferme une biodiversité très riche à l’instar des autres régions du pays. Elle est considérée même parmi les plus élevées du bassin méditerranéen. Cela a fait l’objet d’une rencontre tenue à la maison de la culture de Tizi Ouzou, à l’occasion de la Journée internationale de la biodiversité (22 mai).


Le secteur de l’environnement a identifié un réseau d’aires protégées constituées de 11 parcs nationaux et 5 réserves naturelles à travers le territoire national qui englobent des écosystèmes uniques et représentatifs de la diversité biologique du pays, établis. A cet effet, deux parcs nationaux appartenant à la richesse naturelle de la Kabylie ont été classés dans le même sillage. Le Parc national du Djurdjura, qui se situe dans la région de Bouira, s’étend sur une superficie de 18 850 ha. Il abrite plus d’une vingtaine d’espèces de mammifères. Le beau massif représente le lieu de prédilection de plusieurs rapaces. Il est constitué des plus belles forêts de la région telles les forêts de Aït Ouabane, de Tigounatine.

On peut y visiter les grottes du Macchabée et du Léopard. Il s’y trouve le gouffre le plus profond d’Afrique, près de Tikjda. Le Parc national de Gouraya, situé au nord-ouest de avec sur une superficie de 2080 ha, offre des paysages exceptionnels. Créé en 1984, il n’a été lancé qu’en 1993. Une multitude de sites caractérise la zone : le Pic des singes à 430 m d’altitude, considéré comme l’un des points les plus beaux du site ; le Fort de Gouraya au niveau du point culminant, le tombeau de Lala Gouraya ainsi que des grottes plus ou moins importantes. Malheureusement, ce patrimoine naturel subit une forte dégradation. La faune et la flore sont de plus en plus menacées à Tizi Ouzou, malgré les efforts de prévention et de lutte pour la préservation de la biodiversité de la région.

Les ordures ménagères, qui offrent un spectacle des plus navrants, sont l’un des facteurs les plus nuisibles à la biodiversité. Pour remédier à cela, la direction de l’environnement vient d’achever un centre d’enfouissement technique des déchets. Le CET se localise à Oued Falli, à la sortie-est du centre-ville de Tizi Ouzou.

C’est une décharge contrôlée qui consiste à traiter de manière écologique et rationnelle les déchets de trois communes. En effet, ce centre recevra les déchets ménagers de Tirmitine, Tizi Ouzou et Draâ Ben Khedda afin d’éliminer les décharges actuelles sources de nuisance. Le projet a en fait bénéficié d’une enveloppe de 300 millions de dinars en 2005. D’une profondeur de 50 m, le casier, une immense cuvette, est conçu pour durer plus de 20 ans, avec une capacité de stockage de 370 000 t. Le centre n’est pas encore mis en service, en attendant la réalisation d’un centre de recyclage des déchets. Des bassins de décantation sont en voie de réalisation dans les communes maritimes. On compte 3 à Tigzirt et 4 à Azeffoun. Dans la première commune, on a réalisé une station d’épuration (STEP) de type monobloc qui prend en charge les rejets de 5000 habitants (ville de Tigzirt, plages Tasalast, Feraoun et le port).

La station est en phase d’essai et l’on évoque une proposition d’extension. Les travaux sont engagés par la direction de l’environnement et le suivi assuré par direction de l’hydraulique. La ville côtière d’Azeffoun a bénéficié d’un montant de 241 millions de dinars pour la réalisation d’un collecteur d’assainissement et d’une station d’épuration qui sont déjà en service. Le service des réseaux divers et voiries dénonce l’incivisme qui règne à Tizi Ouzou.
[ source ]
Par Goulmane Samira
El Watan - Edition du 05 Juin 2008

Foire d’Alger du 7 au 13 juin : Réalisation d’un parking

# Administrateur | 04/06/2008 | Info

Foire d’Alger


Réalisation d’un parc en un temps record

Souvent, les citoyens se gardent d’aller à la foire d’Alger à cause du problème de parking.
Un cauchemar pour les visiteurs. Pour la nouvelle édition de la Foire internationale d’Alger, qui aura lieu du 7 au 13 juin, la Safex a pris les devants en réalisant un nouveau parc en un temps record. Ce parc de 1 500 places est situé dans le prolongement de l’ancien hôtel Ziri (actuellement siège de l’École algérienne supérieure des affaires), en se rendant vers Bordj El-Kiffan.
[ source ]
Par :Rubrique Radar
Liberté - Edition du 04 Juin 2008

Des entreprises brésiliennes de l'agroalimentaire attendues à Alger

# Administrateur | 04/06/2008 | Info

Des entreprises brésiliennes de l'agroalimentaire attendues à Alger


Le secrétaire de la Défense de l'agriculture et de l'élevage et de l'approvisionnement brésilien, M. Inàcio Alfonso Kroetz, effectuera du 13 au 16 juin une visite de travail en Algérie.

Le responsable brésilien sera accompagné d'une forte délégation d'hommes d'affaires brésiliens. Selon un communiqué rendu public hier, c'est l'ambassade de la République Fédérative du Brésil à Alger qui organise cette mission en collaboration avec le ministère algérien de l'Agriculture et du Développement rural. Cette visite, souligne le communiqué, s'inscrit dans le cadre du développement des relations bilatérales, l'échange des expériences dans le secteur de l'agriculture. Le séjour du responsable brésilien en Algérie et les entretiens qu'il aura avec les responsables algériens permettront aussi l'étude des voies et moyens de renforcer la coopération et les échanges entre les deux pays dans le domaine de l'industrie agroalimentaire.

La délégation commerciale, attendue à Alger, est composée des représentants de 11 entreprises du secteur agroalimentaire, (industrie laitière, alimentaire et de la viande).

Lors de son séjour dans notre pays, la délégation brésilienne devrait rencontrer des représentants du ministère de l'Agriculture et du Développement rural et ceux du ministère du Commerce. Une rencontre de mise en relation d'affaires avec les opérateurs économiques algériens est prévue le 15 juin. Les inscriptions pour la participation à cette rencontre se font par le biais de la section commerciale de l'ambassade du Brésil à Alger. Au lendemain de l'arrivée de la délégation à Alger, à savoir le 14 juin, les responsables brésiliens animeront une conférence de presse à l'hôtel Sofitel.
[ source ]
par Djamel B.
Le Quotidien d'Oran - Edition du 04 Juin 2008

Les stocks en blé couvrent les besoins de l’Algérie au-delà de 2008

# Administrateur | 03/06/2008 | Info

Le directeur général de l’OAIC l’a affirmé hier
Les stocks en blé couvrent les besoins de l’Algérie au-delà de 2008


ble en stockL’Algérie couvrira ses besoins en blé pour l’année 2008. C’est du moins ce qu’a affirmé hier, M. Mohamed Kassem, directeur général de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), organisme chargé de la régulation du marché national des céréales et de l’approvisionnement des semouleries et des minoteries en produits céréaliers. Le directeur général de l’office a assuré à l’occasion d’une conférence de presse que les stocks en blé constitués par l’OAIC « peuvent couvrir les besoins du marché national pour l’année 2008 et bien au-delà ». Une affirmation qui écarte les craintes relatives à l’épuisement des réserves du pays en cette matière. L’Algérie qui importe près de la moitié de ses besoins en blé meunier sur les marchés mondiaux, subit, à l’instar de tous les pays importateurs de cette matière, la flambée vertigineuse des prix du blé sur les marchés mondiaux.

Une situation qui impose aux pouvoirs publics une subvention permanente de la semoule et de la farine qui constituent l’aliment de base pour la quasi-totalité de la population. Le premier responsable de l’OAIC s’est donc montré rassurant sur le niveau des stocks du pays en blé. M. Kassem a affirmé dans ce contexte que lesdits « stocks sont suffisants pour couvrir toute la demande nationale pour une longue période », sans fournir toutefois de données chiffrées concernant le volume total des stocks disponibles.

Le directeur de l’OAIC a indiqué par la même occasion que le volume des achats effectués par l’office durant 2007 et une partie de 2008 sur les marchés internationaux a atteint 5,135 millions de tonnes de blé tendre, alors que les quantités des achats du blé dur ont été de l’ordre de 1,5 million de tonnes. Il convient de relever que la flambée des cours du blé ne connaîtra vraisemblablement pas une baisse sensible de sitôt. La production mondiale ne sera pas revue à la hausse notamment après l’apparition des biocarburants qui avalent à chaque nouvelle campagne agricole des millions d’hectares qui étaient destinés il y a quelques années seulement à la céréaliculture. Ce qui n’atténue en rien les craintes mondiales d’une pénurie de blé et d’une nouvelle envolée des prix face à une demande croissante.
[ source ]
Par Ghada Hamrouche
La Tribune - Edition du 03 Juin 2008

Alger - UNION POUR LA MÉDITERRANÉE - Forum méditerranéen

# Administrateur | 03/06/2008 | Info

UNION POUR LA MÉDITERRANÉE
Le projet «décortiqué» à Alger


unionEuroLe Forum méditerranéen qu’abritera la capitale algérienne sera une opportunité pour les partenaires des deux rives de mieux réfléchir au processus méditerranéen.


Avant Paris, l’Union pour la Méditerranée « sera étudiée en profondeur » à Alger ce week-end. Une douzaine de ministres des Affaires étrangères des deux rives décortiqueront formellement ce projet. Cette réunion s’inscrit dans le cadre du Forum méditerranéen, (FM), qu’accueillera la capitale algérienne, jeudi et vendredi prochains, à l’hôtel Sheraton.

C’est ce qu’a appris L’Expression d’une source diplomatique. Outre la Libye et la Slovénie, invités d’honneur en leur qualité de présidentes, respectivement de l’UMA et de l’UE, la même source confirme que 11 pays prendront part à cet événement. Il s’agit de la Libye, de l’Algérie, de l’Egypte, du Maroc et de la Tunisie du côté des pays arabes. Pour ce qui est des pays européens, on note la présence de l’Espagne, la France, l’Italie, la Grèce, le Portugal et Malte en sus de la Slovénie. Il y a lieu d’ajouter la participation de la Turquie.

S’expliquant sur le choix de ce thème, la même source a indiqué que l’ordre du jour de cet événement important pour l’Algérie tant sur le plan politique que diplomatique, a été arrêté après plusieurs concertations et consultations entre les pays membres. « Tous les pays membres sont d’accord sur le choix de ce thème », est-il indiqué.
Aux yeux des pays riverains, c’est la conjoncture qui a imposé ce sujet. Car la rencontre d’Alger intervient à la veille du Sommet de Paris prévu le 13 juillet prochain, auquel prendront part les chefs d’Etat des 27 pays de l’Union européenne, plus les pays du sud du pourtour méditerranéen. Selon les informations réunies, les chefs de la diplomatie méditerranéens débattront du projet portant « UPM » « en toute liberté et dans un cadre convivial ». Ça sera une occasion d’élargir les consultations sur un sujet très important qui concerne tous les pays de la Méditerranée, souligne la même source.

A noter que la conférence d’Alger réunit, pour la première fois un certain nombre de pays de la région, concernés par la problématique de la création de cette institution interméditerranéenne. Jamais, ce sujet n’a été discuté lors de rendez-vous politiques réunissant autour de la même table les représentants diplomatiques des deux rives. Même la réunion du Caire, le mois dernier, n’a vu la participation que de quelques pays arabes concernés par le projet. Le même constat s’applique à la dernière réunion des 5+5. La réunion d’Alger est donc nimbée d’un cachet particulier, caractérisé, entre autres, par une forte participation au niveau ministériel. De fait, Alger sera une étape de plus dans l’affinement du projet « UPM » et constitue, de ce fait, une halte importante. Certes, ce dernier ne constitue pas une halte décisive, mais une étape importante.

Une déclaration d’Alger pourrait conclure le conclave algérois des ministres méditerranéens. Depuis sa création en 1994, le FM a constitué une boîte à idées pouvant aider à la réussite d’autres processus existants ou en gestation. Il a ciblé et traité des sujets bien précis. Sur le plan politique, le Forum méditerranéen a donné une nouvelle dynamique à certaines questions liées, notamment, à la sécurité et à la stabilité de la région.

Il s’est doté d’un code de conduite de lutte antiterroriste. C’est ce document qui a inspiré le partenariat euro-méditerranéen qui, à son tour, a adopté, en 2005, un code similaire. Le FM a apporté son soutien au Processus de Barcelone en organisant son travail autour des thèmes qui relèvent du partenariat euro-méditérranéen.
Durant 14 ans d’existence, le Forum est devenu un véritable laboratoire où les pays riverains testent leurs idées auprès de leurs partenaires avant de les formuler, éventuellement, en propositions.

Dans les différentes décisions, l’Algérie a su apporter sa propre contribution en développant ses propres thèses sur les thèmes examinés. Alger a produit, conjointement, des documents de substance avec l’Italie sur la PEV (Politique européenne de voisinage) et la Tunisie sur le terrorisme et la migration. Il convient de noter que l’Algérie ne s’est pas prononcée sur l’UPM, attendant toujours les nécessaires clarifications de la part des maîtres de l’oeuvre du projet d’Union pour la Méditerranée.
Notre source indique, d’autre part, qu’il « ne faut pas s’attendre à une décision définitive de l’Algérie » dans le cadre de la conférence de ce week-end. En outre, les participants débattront d’un autre sujet lié à l’examen de la situation au Moyen-Orient. Cette question est inscrite comme premier point de l’ordre du jour et sera débattue jeudi, après la séance d’ouverture des travaux du Forum de la Méditerranée.
[ source ]
Par Tahar FATTANI
L'Expression - Edition du 03 Juin 2008

Algérie - Mila. secousse tellurique de magnitude 4,1 sur l’échelle de Richter

# Administrateur | 03/06/2008 | Info

Mila. Secousse tellurique de 4,1


Une secousse tellurique de magnitude 4,1 sur l’échelle de Richter a été ressentie hier à 18h36, à Mila, a-t-on appris de la direction de la Protection civile. L’épicentre du séisme a été localisé, selon la même source, à 14 km au sud-est de la ville. Notons que cette secousse a été aussi ressentie à Constantine, notamment dans les quartiers situés dans la banlieue ouest et sud de la ville, surtout dans les cités situées non loin de la RN5.
[ source ]
Par M. Boumelih - S. Arslan
El Watan - Edition du 03 Juin 2008

ALGER - Salle Atlas ex.Majestic (Bab El Oued) : Prochaine réouverture

# Administrateur | 02/06/2008 | Info

Salle Atlas (Bab El Oued) : Prochaine réouverture


C’est le 11 juin que devrait être rouverte la salle Atlas. Chapeautés par le ministère de la Culture, les travaux de réhabilitation de cette salle de spectacles n’ont pu prendre fin que ces derniers jours, sauf que quelques aménagements, insiste-t-on, sont toujours nécessaires.


Prévue pour février 2005, la réception des travaux a été plusieurs fois retardée. Seul motif avancé par les services du ministère de la Culture auxquels furent confiés les travaux : des compléments budgétaires qui tardaient à être « réceptionnés » par les entreprises engagées dans le projet. L’on fait remarquer également que plusieurs phases de travaux ont été nécessaires dans cette salle de plus de 3000 places. Celles ayant trait au confortement, aux travaux de menuiserie, faux plafonds et façades, furent menées au pas de charge. L’installation des équipements de sonorisation et autre tapisserie furent la dernière phase menée ces derniers mois. Les dernières intempéries n’ont pas épargné la structure. Des vérandas installées le long de l’entrée, ont vu leur plafond, récemment aménagé, s’affaisser. Les mauvaises langues font remarquer qu’en remplacement des stucs existants, de la dalle de sol a été accolée le long des façades, offrant un aspect lugubre à la structure.

La réception de l’ex-Majestic, « budgétivore » a été retardée par les suppléments budgétaires toujours réclamés par les entreprises et autres bureaux d’études. Plus de 80 milliards de centimes furent par ailleurs nécessaires pour l’achèvement de la salle, atteste-t-on. « Beit essaboune », comme se plaît à l’appeler la vox populi, a été fermée aux habitués depuis plusieurs années. L’ONCIC aura à gérer cette salle après avoir eu sous sa responsabilité El Mougar. Sauf qu’au niveau de la cellule de communication de cet office, l’on relève que les « passations » n’ont pas eu lieu, et que le ministère de la Culture, ont toujours la salle sous leur houlette. Rappelons que M.Seiberras, un entreprenant français qui s’est fait fort de construire cet édifice, considéré en ces temps, comme l’un des quatre plus grands au monde, avait fait aménager écuries et abris grillagés dans le sous-sol. Il n’y sont plus. La scène, recevant plus de 400 acteurs, pouvait être isolée de la salle en cas d’incendie.

[ source ]
Par Nadir Iddir
El Watan, Ă©dition du 02 Juin 2008

Lancement aujourd'hui du site Internet de l'AĂ©roport d'Alger

# Administrateur | 01/06/2008 | Info

Lancement aujourd'hui du site Internet de l'AĂ©roport d'Alger


C’est aujourd’hui que sera lancé le site internet de l’Aéroport International d’Alger, apprend t-on de la part du PDG de la Société de Gestion de l’Aéroport. Cette structure à laquelle on reprochait l’absence d’un site officiel distinct de celui de l’EGSA est désormais plus que jamais ouverte sur son public avec une stratégie de communication axée sur l’accessibilité et l’ouverture. Toutes les nouveautés et l’ensemble des vols programmés ainsi que les services dispensés ne seront plus, de ce fait, un secret pour personne !
[ source ]
El Moudjahid - Edition du 31 Mai 2008

Vers l’interdiction de la cigarette dans les lieux publics

# Administrateur | 01/06/2008 | Info

Tabac

Journée mondiale sans tabac


Vers l’interdiction de la cigarette dans les lieux publics

Après la signature de la convention cadre de lutte contre le tabagisme, l’Algérie semble faire un nouveau pas pour aller vers l’interdiction du tabac dans les lieux publics.


L’offensive vient d’un projet de loi que le ministère de la Santé vient de déposer au niveau du gouvernement, interdisant la cigarette dans les maisons et dans les voitures en présence des enfants. La réglementation en vigueur va être ainsi réactualisée. Un décret exécutif a été également élaboré, ciblant les lieux publics où l’usage du tabac est interdit. Le ministre de la Santé, Amar Tou, a réitéré, hier, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale antitabac, son engagement à mener à bien ces textes réglementaires. Il a rappelé que l’objectif visé est de réduire la prévalence du tabagisme, qui est de 19% selon l’étude STEP, d’au moins 5% par an dans la population générale, de réduire la prévalence du tabagisme à moins de 10% chez les jeunes et assurer la protection des non- fumeurs. La stratégie adoptée est axée aussi sur l’éducation des fumeurs, la création des consultations de tabacologie dans les centres hospitaliers, etc. L’expérience de l’hôpital Mustapha a été d’ailleurs présentée, hier, par Pr Nafti, chef de service à la clinique des maladies respiratoires. En termes de perspectives, le ministère de la Santé entend généraliser l’opération « hôpitaux sans tabac », les consultations de tabacologie dans tous les établissements de santé et la formation de tabacologues.

Par ailleurs, la Journée mondiale de lutte contre le tabac, célébrée le 31 mai, qui porte cette année le slogan « Jeunesse sans tabac, évitez le piège de la publicité » se veut un appel mondial contre l’industrie du tabac.« Le tabac est le seul produit de consommation légalement en vente qui entraîne la mort d’un tiers, voire de la moitié de ceux qui l’utilisent », dénonce l’OMS. Le directeur régional pour l’Afrique, Dr Luis G. Sambo, a tenu à préciser, lors de cette rencontre au ministère, à Alger, que la santé d’une grande proportion des jeunes dans le monde est sérieusement menacée par ces produits mortels. On compte 1,8 milliard de jeunes dans le monde, dont plus de 85% vivent dans les pays en voie de développement, qui sont la cible de campagnes agressives en faveur du tabac. Pour le représentant de l’OMS, il est clairement établi que l’exposition à la publicité directe ou indirecte en faveur du tabac ainsi que d’autres stratégies de commercialisation utilisées par l’industrie du tabac poussent les jeunes à faire davantage l’expérience du tabac et accroissent pour eux le risque réel d’en consommer régulièrement. Ainsi, il signale que ce 31 mai, à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, l’OMS lance une campagne « en faveur de l’interdiction totale de la publicité, des produits du tabac » et cela, dans tous les pays. Cette action représente surtout une nouvelle riposte face aux stratégies des industriels du secteur qui « dépensent chaque année des dizaines de milliards de dollars pour commercialiser leurs produits ». Et donc inciter les jeunes à fumer.

Pour l’OMS, cette campagne se justifie, d’autant plus que « la moitié des enfants vivent dans des pays qui n’interdisent pas la distribution gratuite de produits du tabac ». Elle s’appuie également sur des études comparant la situation avant et après une interdiction totale de la publicité. « La diminution de la consommation (dans ces conditions) peut atteindre 16% », ajoute-t-elle. Actuellement, seulement 5% de la population mondiale est protégée par une législation relative à l’interdiction de fumer et de faire la publicité sur les produits du tabac », lequel, rappelons-le, tue 4,9 millions de personnes par an dans le monde. Un chiffre qui devrait atteindre 8 millions d’ici à 2030.
[ source ]
Par Djamila Kourta
El Watan - Edition du 1er Juin 2008

L'Algérie, en acceptant l'Union méditerranéenne, entrouvre la porte du Maghreb

# Administrateur | 01/06/2008 | Info

L'Algérie, en acceptant l'Union méditerranéenne, entrouvre la porte du Maghreb


imgarticle

Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangèresAlger vient d’exprimer sa disposition à ouvrir ses frontières avec le Maroc, en affirmant que la question du Sahara qui se traite dans le cadre de l’ONU peut se transformer en un point d’entente.


Alger vient de se rétracter sur la question de l’ouverture des frontières, à laquelle le Maroc a appelé à deux reprises. Dans un entretien, mercredi, à la radio publique algérienne, Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangères, a déclaré que cette question peut être réglée en dehors du conflit autour du Sahara. «Les relations algéro-marocaines sont très fortes et le seul point de divergence entre nous, en l’occurrence la question du Sahara occidental, peut se transformer en un point d’entente, d’autant plus que cette question est traitée dans le cadre de la légalité internationale et conformément aux décisions des Nations Unies», a affirmé le chef de la diplomatie algérienne. A l’appel de Rabat, lancé le 20 mars et le 5 mai 2008, pour la réouverture des frontières, Alger a rétorqué que cette mesure devait entrer dans le cadre d’une solution globale des contentieux en suspens, posant comme préalable à cette mesure le règlement du contentieux du Sahara. Alger a répondu, deux jours après l’appel de Rabat, par la voix de son ministre de l’Intérieur, montrant qu’elle fait peu de cas des voies diplomatiques. «Il ne s’agit pas de construire un Maghreb où les uns gagnent et les autres perdent. Le Maghreb ne se limite pas seulement au Maroc et à l’Algérie. Il faut que tous les peuples se trouvant dans cet ensemble trouvent leur place», a déclaré le ministre algérien de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni. Une réponse inélégante à l’offre du Royaume qui a appelé le jeudi 20 mars «dans l’amitié fraternelle et la sincérité totale à une normalisation des rapports bilatéraux et à une ouverture de la frontière entre les deux pays».

A la main tendue du Maroc, Alger a choisi la voie du chantage sur la question du Sahara. Or, la nouvelle sortie du chef algérien de la diplomatie vient rompre avec cette voie en affirmant que le règlement de cette question relève des Nations Unies.
Maintenant, reste la question du timing. Le ministre Medelci s’est montré sur ce point élusif, pour ne pas dire carrément évasif. «Nous avons l’ambition d’ouvrir les frontières avec le Maroc dans l’avenir, mais il convient de réunir les conditions idoines à travers la concertation et le dialogue permanents» entre les deux pays, a déclaré le responsable algérien.



Union pour la Méditerranée : L'Algérie favorable


Après avoir émis des « réserves » sur le projet de création de l’Union pour la Méditerranée (UPM), initié par le président français Nicolas Sarkozy, l’Algérie se dit aujourd’hui favorable à cette initiative. «L'Algérie est intéressée par l'Union pour la Méditerranée (UPM)», a déclaré mercredi le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci. Le ministre a notamment souligné qu'il est demandé aux pays du sud de la Méditerranée de «consacrer des fonds ( à ce projet) alors que la contribution de l'Union européenne reste insignifiante», a-t-il dit. M. Medelci a par ailleurs souligné que l'UPM «peut constituer un nouvel outil de coopération qui vient compléter le processus de Barcelone qui comporte des lacunes». Il a insisté en même temps «sur l'importance de lui donner le temps nécessaire afin de lui conférer un contenu réel». Le processus de Barcelone est un partenariat lancé en 1995 par l'Union européenne en direction des pays du sud de la Méditerranée. Ce processus est considéré comme insuffisant par la plupart des pays du sud méditerranéen.
L'Algérie a manifesté son intérêt pour la création de l'UPM en estimant qu'il faudrait lui donner un contenu concret en termes de projets communs entre le nord et le sud de la Méditerranée.
Alger n'a toutefois pas encore indiqué si le président Abdelaziz Bouteflika allait prendre part au sommet de Paris le 13 juillet qui doit regrouper les candidats à l'UPM, à l'invitation du président français Nicolas Sarkozy.


[ source ]
Par : M’Hamed Hamrouch
aujourd'hui - Edition du 30 Mai 2008

La technologie italienne s’implante à Alger

# Administrateur | 31/05/2008 | Info

SÉCURITÉ ET PROTECTION CIVILE
La technologie italienne s’implante à Alger


L’Algérie abrite ainsi le second siège mondial de cette entité de sécurité et de secours.


L’Algérie abrite depuis jeudi le deuxième siège de «Rescue Network» à travers le monde. Ce centre, d’une superficie de 1000 mètres carrés, se veut être une solution pour toute la rive Sud de la Méditerranée. Cette nouvelle entité, témoin d’une coopération italo-algérienne tous azimuts, se place en Algérie, pays pivot à destination des pays africains en général et du Moyen-Orient en particulier.

L’un des projets de cette entreprise est de mettre en oeuvre des mécanismes nouveaux dans le domaine de la santé publique pour une prise en charge, notamment des populations rurales ainsi que pour d’éventuelles campagnes de vulgarisation et de dépistage.

Elle se propose également d’installer un système de télé-médecine comme solution aux déplacements des spécialistes. Sachant que l’Algérie est un pays «à grands risques» naturels (séismes), tout comme l’Italie, la mise en place d’une dynamique potentielle d’organisation des secours figure dans son plan de travail. Celui-ci prévoit une politique de formation de haut niveau pour tous les intervenants (médecins, infirmières, citoyens, protection civile...) ainsi que de formateurs. Rescue-Network est la finalité de l’objectif premier du groupe Facility Management Service - FSM, dont le siège opérationnel se trouve à Piacenza, ville d’inter-connection commerciale et industrielle du nord de l’Italie.

Cet objectif est, selon son président Francesco Bisaschi, de «rassembler toutes les opportunités mondiales dans son domaine».
Son alliance avec les grandes universités italiennes et celle de la prestigieuse université de Cambridge (Grande Bretagne), font d’elle une réalité utile pour les organismes publics, privés et même pour les Etats, en matière de consulting en adaptant des solutions adéquates, précises, et aussi moins onéreuses.
Elle fait partie aussi d’un important consortium italien, «From North Italy» qui regroupe plus de 1200 PME de l’Italie du Nord et dont le président n’est autre que F.Biasaschi.

Ce consortium peut aider les PME algériennes dans la recherche de solutions inhérentes à leur activité, affirme-t-on.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression - Edition du 31 Mai 2008

Algérie - LOI DE FINANCES COMPLÉMENTAIRE

# Administrateur | 31/05/2008 | Info

LOI DE FINANCES COMPLÉMENTAIRE
Les grandes lignes


Karim Djoudi, ministre des Finances, a consacré la grande partie de son intervention, jeudi, devant les sénateurs à expliquer l’essentiel des mesures qui seront contenues dans la loi de finances complémentaire. Un projet qui prend les allures d’un véritable plan de sauvetage.
Le représentant du gouvernement a, en effet, souligné que ce texte prévoit de nouvelles mesures pour réguler les dépenses publiques.
Des dépenses qui auront à couvrir les mesures prises par le gouvernement allant dans le sens du soutien au pouvoir d’achat des citoyens, citant sur sa lancée, la subvention des produits de consommation de base comme l’huile, le lait, les légumes secs et la tomate de conserve.
Ces subventions, remarquera le ministre, coûteront 160 milliards de dinars au Trésor public.

Le projet prévoit une enveloppe supplémentaire assurant la couverture financière ayant trait à la création de nouveaux postes budgétaires dans la Fonction publique, notamment les 20.000 postes de l’Education nationale. Sans oublier, bien sûr, la construction de logements pour les sinistrés de Chlef. Malgré un prix du baril de pétrole à 130 dollars, le gouvernement maintiendra le même prix de référence, 19 dollars, pour le projet de loi en question.
Dans un autre volet, le ministre a précisé que le gouvernement n’ a aucun droit de regard sur le taux d’intérêt fixé par les banques, qui est plutôt géré par la Banque centrale. Il rappelle aussi qu’il n’y a aucune entrave pour la création de banques islamiques en Algérie. Il a rappelé qu’un agrément a été accordé récemment à une banque islamique des Emirats arabes.

L’Association algérienne des banques et des établissements financiers, conclut-il, étudie actuellement l’élargissement du marché financier aux prestations bancaires obéissant aux principes de la charia.
[ source ]
Par Achira MAMMERI
L'Expression - Edition du 31 Mai 2008

SKIKDA - Policiers et pompiers préparent la saison estivale

# Administrateur | 29/05/2008 | Info

plageskikdaPoliciers et pompiers préparent la saison estivale

Sécurité maximale sur les plages


L’opération, lancée l’année écoulée, a connu un véritable succés. Veiller au confort, au bien-être et à la sécurité des estivants, c’est dans cet esprit que s’entame, cette année, la préparation de la saison estivale par les éléments de la Protection civile et ceux de la sûreté.


En effet, ces derniers estiment que la sécurité des estivants demeure une priorité pour laquelle ils déploieront tous leurs efforts et leurs moyens. Ainsi, et selon le directeur de la sûreté de wilaya, M. Sellami, « l’opération lancée l’année écoulée a connu un véritable succès. C’est pour cette raison que nous avons décidé cette année de renforcer le dispositif.

On a décidé de rajouter un nouveau centre pour la côte ouest de la ville de Skikda portant ainsi le nombre de postes à 3. Nos éléments assureront la sécurité des estivants à partir de la plage Château vert jusqu’à celle de Miramar ». Et d’ajouter : « La présence de nos équipes sera garantie H24, chose qui réduira considérablement les délits et les harcèlements auxquels peuvent être sujets les estivants ». En tenue blanche, les 54 policiers des plages, mobilisés cette année, effectueront leurs patrouilles motorisées ou pédestres au niveau des plages militaire, Paradis, Château vert, Miramar, ou encore à Aïn Doula dans la commune de Collo, ainsi qu’a Filfila. Le chargé de la communication revient lui aussi sur la réussite de la précédente campagne en déclarant : « Notre présence sur les plages est dissuasive pour d’éventuels délinquants ; seules 65 interventions ont été enregistrées en 2007, et elles étaient en majorité liées à des délits mineurs ». Pour sa part, la Protection civile se réjouit déjà des nouvelles acquisitions qui sont venues renforcer son dispositif matériel et humain, car « en plus des 6 nouvelles ambulances médicalisées dont nous venons de bénéficier, la wilaya a contribué, cette année, à l’achat d’un lot médicalisé et d’un lot de plage ainsi qu’à la prise en charge de 80 agents saisonniers », expliquera M. Chaâbane, directeur de la Protection civile, qui tiendra, par la même occasion, à souligner que « c’est uniquement au niveau de la wilaya de Skikda que les autorités locales participent à ce genre d’initiatives, qui ne font d’ailleurs que nous encourager dans notre travail ».

Disposant de 34 postes répartis à travers les 20 plages autorisées à la baignade, la direction de la Protection civile vient de se doter cette année d’un nouveau poste, qui devra assurer la surveillance de la plage-pilote Oued Ksob, dans la commune de Filfila. Qu’ils soient simples agents de surveillance, professionnels, plongeurs ou chefs de section, ils auront tous à travailler pour une seule cause, celle de la sécurité des baigneurs. En 2006 par exemple, 1983 interventions ont été enregistrées, où 1 030 personnes ont été sauvées contre 2 077 interventions l’année écoulée. Actuellement, les nouveaux lauréats du concours de recrutement de surveillants de plage, poursuivent une formation spécifique leur permettant d’apprendre les règles de base du sauvetage et les manières d’orienter et de conseiller les estivants, qui viennent chaque année par milliers, se dorer au soleil.
[ source ]
Par Dalel Daoud
El Watan - Edition du 29 Mai 2008

ORAN - Saison estivale : 472 maîtres nageurs seront recrutés

# Administrateur | 29/05/2008 | Info

Saison estivale. 472 maîtres nageurs seront recrutés


472 maîtres nageurs seront recrutés par la protection civile de la wilaya d’Oran pour surveiller les 29 plages autorisées à la baignade durant la saison estivale qui débutera dimanche prochain, a déclaré hier le directeur central des opérations de la protection civile dans une conférence de presse tenue au siége de l’unité de « Plateaux St Michel ». Selon lui, les nouvelles recrues de la wilaya d’Oran font partie des 6 000 autres qui seront reparties à travers toutes les plages des 14 wilayas côtières du pays. Ce qui donnera un maître nageur tous les 250 mètres a estimé ce commandant qui a déclaré que le nombre sans cesse croisant des décès par noyades, notamment dans les plages non surveillées, a fait réagir les plus hauts responsables de la protection civile pour prendre cette année de nouvelles mesures allant dans le sens de réduire ces noyades. 153 cas de décès dans les barrages des villes de l’intérieur ont été recensés durant l’année dernière et, afin d’y mettre un terme, des dispositions seront prises en collaboration avec les chefs des exécutifs des wilayas pourvues des infrastructures hydriques, pour la consolidation des systèmes de surveillance des barrages. Dans le même ordre d’idée, cet officier chargé des opérations a souhaité que les propriétaires et responsables des piscines publiques pratiquent des tarifs préférentiels, ne serait ce que pour les saisons estivales, afin de dissuader les jeunes à se baigner dans des barrages.
[ source ]
Par A. Belkedrouci
El Watan - Edition du 29 Mai 2008

L’Algérie importera 145.000 vaches

# Administrateur | 28/05/2008 | Info

importVachesPOUR PALLIER UNE RUPTURE DE STOCK DE LAIT
L’Algérie importera 145.000 vaches


Une stratégie de gouvernance basée sur l’importation fait peur


Le déficit à combler est énorme. Il est estimé à 900 millions de litres.


Encore une fois, l’Etat met la main à la poche. Pour désamorcer une grave crise de lait qui se profile dans six mois, l’Algérie importera 145.000 génisses. C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général au ministère de l’Agriculture lors de l’ouverture, hier, du 1er Salon international du lait et dérivés (Silait) au niveau de la Safex à Alger. Un Salon organisé sous le patronage du ministre de l’Agriculture et du Développement rural en partenariat avec la Chambre nationale de l’agriculture.
Cette décision d’importer des vaches est de nature à satisfaire la demande nationale estimée à plus de trois milliards de litres par an. « Cette mesure permettra de réduire la facture d’importation de lait en poudre, qui a atteint 600 millions de dollars par an, et de combler le déficit qui est estimé à 900 millions de litres », a indiqué hier, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture.

Dans six mois, le stock national de lait en poudre arrivera à son plus bas niveau. Les voyants sont déjà au rouge et l’alerte est donnée. Avec une consommation de 110 litres par an et par habitant, le lait demeure un produit stratégique pour le pays. En dépit de cela, c’est à six mois de la rupture des stocks que le ministère de l’Agriculture prend la décision d’importer des vaches. Une solution à très grands risques pour un produit qui relève de la sécurité alimentaire nationale.

Comment peut-on lier le sort de millions de personnes, particulièrement des enfants, à une opération hasardeuse? Un simple problème bureaucratique, un vent violent en haute mer qui fera chavirer le bateau, une épidémie, une grève de vétérinaires, sont autant de risques qui peuvent surgir en dernière minute et mettre la vie de millions d’Algériens en péril. Cela parce que l’Algérie manque de stratégie à long terme. Un fait d’une extrême gravité. Cela étant, cette mesure d’importation n’a pas été du goût des paysans et des techniciens de l’élevage.

« On ne peut même pas satisfaire le cheptel existant en matière d’aliments et on pense déjà à l’importation », lance un éleveur participant à ce Salon international. La problématique, selon un technicien, se résume à la conduite d’élevage et au manque de technicité. Les éleveurs étaient hier unanimes à dire que le problème du lait ne devrait pas exister en Algérie.

« Nous avons des pâturages, nous avons des cheptels, nous avons des paysans..., qu’ils nous facilitent simplement la tâche pour travailler», ont-ils déclaré.
Dans cet ordre d’idées, le secrétaire général de l’Union nationale des paysans algériens (Unpa), M.Allioui, a tiré à boulets rouges sur le ministre du Commerce, El Hachemi Djaâboub. « Ce sont les paysans qui connaissent les problèmes auxquels ils sont confrontés », a-t-il rouspété ajoutant que «ce n’est pas au ministre du Commerce de nous imposer ce que nous devons importer.»


Pour lui, les agriculteurs ont leur tutelle qui est habilitée à parler en leur nom. M.Ben Youcef, le directeur de l’Office national interprofessionnel du lait (Onil), soulève un autre problème. Celui de la collecte de lait cru qui reste relativement faible. « C’est à cause de ces insuffisances que le pays a eu recours à l’importation de la poudre de lait en grandes quantités », a-t-il déploré.

Etant donné que les prix de cette poudre ne cessent d’augmenter sur le marché international, il ne reste qu’une seule issue pour l’Algérie: celle de favoriser la production nationale et surtout le lait cru. En somme, la filière du lait souffre d’un éparpillement des intervenants qui entrave toute mise en place d’un management de qualité dans cette filière. C’est pour débattre de toutes ces questions que ce Salon a été d’ailleurs organisé. Une trentaine d’exposants ont pris part à ce rendez-vous international.
Ce Salon, selon l’organisatrice Abla Boutemen, est un espace de convergence d’abord, parce qu’il constitue un lieu de rencontre physique entre les différents acteurs. Il est également un espace d’échanges. En ce sens, le Salon offre une opportunité d’échange expérimental. Il veut remédier le caractère désarticulé de la filière.

L’Algérie dispose bel et bien de tous les moyens nécessaires à même de se démarquer des marchés boursiers, et atteindre ainsi l’autosuffisance en matière de lait et ses dérivés. C’est juste un problème de coordination entre les acteurs du secteur.
[ source ]
Par Abbas AĂŹT HAMLAT
L'Expression - Edition du 28 Mai 2008

Algérie - CARTE D’IDENTITÉ ET PASSEPORT BIOMÉTRIQUES

# Administrateur | 27/05/2008 | Info

CARTE D’IDENTITÉ ET PASSEPORT BIOMÉTRIQUES
Le projet sort des tiroirs


Ces importantes pièces d’identité seraient fin prêtes pour l’usage des citoyens algériens.


La carte nationale d’identité (CNI) et le passeport biométriques sortent enfin des tiroirs de l’administration. C’est ce que confirme le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, qui a signifié, à partir de Tiaret, que le feu vert de son département pour ces documents n’est plus une vue de l’esprit. Puisqu’il a clairement déclaré que ce projet ambitieux, d’ailleurs dicté par un contexte international, notamment américain et européen, passera incessamment devant le Parlement.

Cette déclaration du numéro un de l’intérieur est d’autant plus confortée par les responsables de sociétés de droit algérien, chargée justement de produire ce type de documents d’avant-garde. Aussi, ces importantes pièces d’identité seraient fin prêtes pour l’usage des citoyens algériens, du moins sur le plan opérationnel et dans l’absolu. Ce qui est largement corroboré par les propos du ministre d’Etat qui ajoute que son département est en train de mettre en oeuvre une carte d’identité biométrique et un passeport électronique: «Nous allons vers la mise en oeuvre d’une carte d’identité biométrique et d’un passeport électronique, dont le projet doit être présenté devant le Parlement». Selon M.Zerhouni, seuls quelques détails pratiques restent à étudier avant l’exécution de ce plan de numérisation. Quant aux femmes portant le hidjab (voile) et aux hommes avec barbe, dans le cadre de ces nouvelles pièces d’identité, le ministre a expliqué que pour les femmes, en général, une salle leur sera réservée pour la prise de photo, gérée par un personnel féminin.

Alors que le problème, selon lui, réside chez les hommes, indiquant que si le visage n’est pas découvert, la machine, qu’elle soit biométrique ou électronique, ne pourra pas reconnaître la personne et rejettera la carte d’identité ou le passeport. Cela pourra créer, a-t-il dit, des problèmes, par exemple, à celui qui se présentera au niveau de la police des frontières étrangère, laquelle est dotée de machines biométriques ou électroniques. Les dernières déclarations de Zerhouni, émises en marge de l’installation du wali de Tiaret, attestent finalement clairement que les autorités algériennes s’attellent désormais à la mise en circulation de ces documents numériques. Mieux, ces derniers sont, a priori, l’un des plus importants projets sur lesquels travaillent certaines entreprises algériennes qui ont massivement investi dans des équipements de dernière génération et fabriquent la carte électronique et la personnalise, au même titre que le permis de conduire électronique, la carte grise électronique ou le passeport biométrique. Le tout en exploitant le fameux système américain d’identification digitale Afis (Authentifing Finger System) développé par le FBI. Signalons que l’avènement de ces documents modernes a jusque-là pâtit de quelques freins. Particulièrement la problématique de l’autorité de sécurité qui s’est posée à un moment avec acuité. Puisque l’Algérie n’avait pas encore désigné l’autorité de sécurité. Cette autorité aura pour rôle de garder le code secret que renferme chaque document. En effet, chaque pièce aura une sorte de clé informatique ou PKI (Public Key informatique) qui est un code secret et qui assure la conformité du document. Rappelons enfin que c’est dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, qu’un programme de sécurisation des passeports a été mis en place et qui a conduit les Etats-Unis à demander une impression numérisée des photos, et l’intégration d’une puce électronique contenant les éléments d’identité. L’Union européenne fixait au 28 août 2006 l’exigence d’une puce électronique et à août 2008 la numérisation des empreintes digitales.

La France étant jusqu’à récemment, le seul des 27 pays figurant dans ce programme à n’avoir pas rempli les obligations qui étaient les siennes.
[ source ]
Par Salim BENALIA
L'Expression - Edition du 27 Mai 2008

Annaba - 8 800 visas accordés à avril 2008

# Administrateur | 24/05/2008 | Info

8 800 visas accordés à avril 2008


Selon Martin Gerald, le consul général de France à Annaba, sur les 15 000 demandes de visa reçues et traitées par ses services durant les quatre premiers mois de 2008, une suite favorable a été réservée à 8 800 dossiers, dont 2 634 de circulation. C’est-à-dire de plusieurs entrées avec une durée de validité égale ou supérieure à un an. Ils étaient 27 000 en 2007 à bénéficier d’un visa sur un total de 50 000 dossiers. Mieux encore, avec la généralisation de la biométrie à partir du 5 juin prochain, le nombre de visas accordés s’accroîtra certainement de plusieurs autres dizaines, devant en permettre l’amélioration du taux de délivrance. Tout porte à le croire, si l’on se fie aux déclarations du diplomate français qui précisera : « La comparution personnelle des demandeurs de visa permettra un dialogue avec les agents de ce service. Ces derniers seront en mesure de mieux estimer les raisons et les motivations des demandeurs, alors que jusqu-là nous ne pouvions juger que sur des dossiers de manière anonyme. C’est à ce titre que la comparution personnelle sera d’une grande utilité pour les demandeurs de visa ». Par ailleurs, le consulat français, à Annaba, a renvoyé aux intéressés tous les dossiers reçus après le 16 mai 2008 à la boîte postale BP323. Ceux-ci seront contraints de se soumettre à la nouvelle réglementation, en l’occurrence le dépôt des demandes au niveau du siège du consulat après avoir pris rendez-vous par téléphone au 1573, qui sera opérationnel fin mai en cours. Même les frais d’étude du dossier seront payables en espèces au guichet. « Malgré la contrainte du déplacement des personnes intéressées au siège du consulat, nous attendons de ces nouvelles dispositions des résultats favorables aux postulants au visa, qui se répercuteront positivement sur le taux de délivrance », ajoutera le consul de France.
[ source ]
Par M. F. G.
El Watan - Edition du 24 Mai 2008

Google Health, un carnet de santé personnel en ligne

# Administrateur | 24/05/2008 | Info

Google Health, un carnet de santé personnel en ligne

Google vient de lancer Google Health, un service gratuit qui se propose d’archiver et de gérer en ligne les données médicales personnelles.



Ce nouveau service, qui n’est encore disponible qu’aux Etats-Unis, propose aux internautes d’ouvrir un compte personnalisé, puis d’entrer leur poids, leur taille, ainsi que tous les paramètres médicaux connus. Le patient crée ainsi un véritable carnet de santé virtuel qu’il est le seul à pouvoir modifier, mais qui permet aux établissements de soins ou aux services médicaux d’obtenir tous les renseignements voulus ou indispensables très rapidement, y compris en cas d’urgence.

Google Health dispose aussi de fonctions permettant, par exemple, de rechercher un médecin dont la spécialité correspond aux pathologies indiquées ou d’alerter les patients sur les interactions possibles entre plusieurs médicaments qui lui ont été prescrits.


Google Health


Sécurisation des données garantie


Les pages personnelles des inscrits sont protégées par mot de passe, et selon Marissa Meyer, vice-présidente de la division des produits de recherche de Google, les systèmes de protection les plus perfectionnés ont été mis en place autour de Google Health afin d’assurer la protection et le caractère confidentiel des données.

Google se défend de toute intention marketing liée à son nouveau service et assure qu’il ne les utilisera pas pour actionner son propre dispositif de publicité ciblée, avec une précision de taille, toutefois : « sauf si la publicité présente un intérêt pour le patient, le groupe pouvant alors revoir sa stratégie ». Beaucoup apprécieraient que ce mot intérêt soit défini avec précision…

Google Health devrait bientôt être étendu à d’autres pays. La France accepte ce type de base de données sur Internet à condition que les hébergeurs se soumettent à une procédure d’agrément auprès du Ministère de la Santé et respectent la loi Informatique & Libertés, précise Jeanne Bossi, de la Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés).

GoogleHealt2

Une recherche de médecin avec le nouveau service de Google. Crédit Google


[ source ]
Par Jean Etienne
Futura-Sciences, Ă©ditions du 22/05/2008

A 64 ans, il va sauter de 40.000 m

# Administrateur | 24/05/2008 | Info

A 64 ans, il va sauter de 40.000 m et tenter de franchir le mur du son


michel fournier
Olivier Laban-Mattei AFP
¦ Le parachutiste français Michel Fournier,
le 21 avril 2008 Ă  l'AĂ©roclub de France Ă  Paris


Un parachutiste français de 64 ans doit tenter ce week-end un saut en chute libre de 40 km au dessus des grandes plaines de l'ouest canadien. Michel Fournier et son équipe effectuaient les derniers préparatifs à North Battleford, dans la province canadienne de la Saskatchewan, où une nacelle pressurisée accrochée à un ballon stratosphérique doit l'amener à une altitude de 40.000 mètres, d'où il se lancera dans le vide pour devenir le premier homme à franchir le mur du son.

« Tout se passe très bien. On est en train de contrôler tout le matériel, les tests vontbien, le moral est bon. Tout est OK », a-t-il dit à l'AFP jeudi soir.

Températures de -100°C


Si la météo le permet, l'ex-officier revêtu d'une combinaison pressurisée lui permettant

de supporter des températures de -100 degrés, s'élèvera à l'aube, dimanche ou lundi dans le ciel immense des prairies canadiennes pour ce saut historique autant que périlleux. A priori, le saut aura plutôt lieu dans la nuit de dimanche à lundi, a-t-il indiqué.

S'il réussit, il établira quatre records du monde: celui de la vitesse en chute libre (1.500 km/h), de la durée de la chute libre, de l'altitude de saut, ainsi que de l'altitude de vol humain sous un ballon.


8.600 sauts Ă  son actif


Mais, au delà de l'exploit, Michel Fournier qui a plus de 8.600 sauts à son actif et détient le titre français du plus haut saut en parachute à 12.000 mètres, s'est aussi fixé pour objectif « d'améliorer la sécurité des spationautes ». Ce saut « contribuera au développement des techniques et à la sûreté des vols stratosphériques du futur », à un moment où le tourisme de l'espace entre dans le domaine du possible, a fait valoir le spationaute français Jean-François Clervoy qui parraine la tentative.

Cette nouvelle tentative, après des années d'efforts, témoigne de la détermination du colonel parachutiste de réserve qui a déjà mené deux essais infructueux en 2002 et 2003.


« Le risque zéro n'existe pas »


Si cette fois son ballon amène Michel Fournier jusqu'à la stratosphère, sa vie dépendra de son équipement, de son alimentation en oxygène, de sa combinaison et des parachutes destinés à stabiliser sa chute et à la freiner avant de toucher le sol.

« Le risque zéro n'existe pas, mais on a tenté de tout prévoir », avait-il dit sobrement lors d'une conférence de presse fin avril à Paris.


Avec agence


[ source ]
20Minutes.fr, Ă©ditions du 22/04/2008 - 09h32
dernière mise à jour : 23/05/2008 - 16h21

Algérie - Une BD pour exorciser le séisme

# Administrateur | 22/05/2008 | Info

Une BD pour exorciser le séisme


Ils y ont consacré tous leurs lundis et tous leurs jeudis depuis trois mois et le résultat de leur travail est incroyable ! » M’hand Kasmi, professeur associé à l’Ecole nationale d’administration d’Alger et coordinateur du projet pédagogique, n’en revient toujours pas.


Fin juin sera éditée une BD unique en Algérie, sur la prévention du risque sismique, réalisée par 33 élèves du CEM Ibn Khaldoun à Boumerdès. Des élèves pas comme les autres puisqu’il s’agit « des enfants qui, il y a cinq ans, ont été directement ou indirectement touchés par le séisme, soit dans leur école, soit chez eux puisqu’ils habitaient la cité des 2000 Logements », ajoute-t-il. A l’origine de cette action pédagogique, l’association nationale de volontariat Touiza a cherché à sensibiliser les collégiens aux interactions entre l’homme et son milieu. Compte tenu de la fragilité de certains d’entre eux qui tardent à se relever de la catastrophe, la psychologue de l’établissement a suivi tout spécialement le groupe. L’encadrement a, quant à lui, été assuré par Mehdy Lalami, directeur du CEM Rabah Lasgaa, inspecteur d’éducation artistique, les professeurs de dessin, d’histoire-géo et M’hand Kasmi. Ce dernier, aussi consultant à Touiza, précise : « La bande dessinée aborde trois thèmes : la création du monde et le jeu des plaques tectoniques, la solidarité humaine et la prévention, c’est-à-dire ce qu’il faut faire en cas de séisme. » A travers les planches sont aussi évoquées les visites des enfants à l’Ecole des beaux-arts et au Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). En plus de l’atelier dessin, deux autres ateliers, un consacré au journalisme et un à la musique, ont été mis en place. « Ils ont ainsi réalisé un film sur leur expérience avec un journaliste et un caméraman », ajoute M’hand Kasmi. La BD, en version française et arabe, financée par l’association et la Fondation de France, sera distribuée à l’école, à la direction de l’éducation et au siège de Touiza. « Si des contributions extérieures le permettent, nous éditerons 2000 exemplaires pour Boumerdès, espère le coordinateur, voire plus pour une distribution dans les régions à risque sismique comme Chlef. »
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El Watan - Edition du 21 Mai 2008

AlgĂ©rie - TROISIĂME OLYMPIADE DES MÉTIERS

# Administrateur | 22/05/2008 | Info

TROISIĂME OLYMPIADE DES MÉTIERS
Les sélections locales débuteront samedi


La finale aura lieu Ă  Alger, le mois de juillet prochain.


Placée sous le signe de la reconnaissance et du défi de l’excellence dans l’apprentissage des métiers, cette manifestation régionale débutera le 23 mai au niveau des wilayas de Tipaza, Blida, Sétif, Annaba, Ouargla ainsi que Sidi Bel Abbès.

Organisé par le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels, qui a fait de la recherche constante de l’amélioration des qualifications et compétences des jeunes un objectif majeur, cet événement s’articule autour de plusieurs axes, notamment celui de l’évaluation de la politique nationale dans le domaine de la formation professionnelle, l’auto-évaluation en comparaison avec ce qui se fait dans les pays voisins et enfin l’acquisition des niveaux de qualification comparables à ceux qui sont standardisés par la globalisation des économies.

Ces sélections mobiliseront les jeunes participants face aux défis de la compétitivité et de la performance économique, ce qui pourrait contribuer à la diminution du taux de chômage en intégrant les jeunes qualifiés dans leur milieu professionnel.
C’est, aussi, une opportunité pour valoriser les métiers proposés aux entités économiques nationales désireuses de s’investir dans la promotion de la ressource humaine qualifiée.

A cet événement prendront part les apprentis et stagiaires lauréats des sélections locales tenues du 26 au 30 avril dernier. Issus des établissements de formation professionnelle, ils devront exceller dans les 25 spécialités professionnelles présentes et s’atteler à produire durant ces 4 jours, la meilleure performance.
La cérémonie de clôture sera organisée le 28 mai prochain, à l’honneur des trois premiers lauréats qui se verront attribuer des médailles.
Par ailleurs, les autres acteurs qui ont participé à cette troisième édition des Olympiades, les formateurs et membres du jury notamment, seront eux aussi distingués.
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L'Expression - Edition du 22 Mai 2008

Octroi des visas d’affaires long séjour : La France sollicite la réciprocité

# Administrateur | 21/05/2008 | Info

Octroi des visas d’affaires long séjour


La France sollicite la réciprocité

Si les 18 consulats algériens en France venaient à appliquer la réciprocité dans l’octroi des visas de circulation de long séjour au profit des hommes d’affaires français, nous sommes prêts à accorder à leurs homologues algériens des visas dont la durée sera équivalente à la période de validité du passeport. »


Annaba. De notre bureau

C’est le message qu’a voulu transmettre Gerald Martin, le consul général de France à Annaba, à l’adresse des autorités diplomatiques de notre pays. Cette déclaration est un clin d’œil avec lequel le diplomate français a tenté de séduire les décideurs algériens, en marge de l’annonce officielle à Annaba de la généralisation du visa biométrique à travers l’ensemble des consulats français en Algérie. Le but évident étant de reconquérir le terrain quelque peu perdu dans le monde des affaires. En vieux connaisseur des arcanes de la diplomatie, Gerald Martin a appuyé la « demande » de son pays par des chiffres faisant état de 2634 visas accordés sur un total de 8800 demandes durant les 4 premiers mois de l’année en cours, dont 42% professionnels et 53% touristiques. En 2007, ils étaient près de 27 000 à être accordés sur une demande globale de quelque 50 000 dossiers, dont 30% de circulation long séjour. Le diplomate français ne s’est pas arrêté là. Dans sa « plaidoirie », il a clairement affiché la volonté de son pays traduite par la souplesse, de mise, dans le traitement des dossiers leur étant soumis, car, estime-t-il, « si nous venions à appliquer à la lettre les dispositions exigées dans le cadre de l’accord Schengen, les chiffres avancés seraient de loin moins importants. D’autant que mon pays prend énormément compte de plusieurs facteurs dont la faiblesse des revenus des candidats. Aussi, les dossiers sont traités non sans humanisme. » En outre, la démarche ayant trait à la généralisation du visa biométrique n’est pas exclusivement liée à notre pays. Selon toujours Gerald Martin, d’ici fin 2008, voire 2009, l’ensemble des 300 postes diplomatiques français répartis à travers le monde seront dotés de ce système. Les fichiers d’empreintes digitales et les photos numérisées des demandeurs seront archivés au moins deux ans durant, et ce, précise la même source, pour leur éviter d’éventuels déplacements en cas de nouvelles demandes. Rappelons que le consulat général de France à Annaba, qui rayonne sur 14 wilayas de l’Est, a été retenu en juin 2005 au titre de poste pilote pour l’application progressive de la biométrie. Cette nouvelle mesure ne concernait pas l’ensemble des demandeurs. Cependant, à partir du 5 juin 2008, ces derniers seront soumis à cette nouvelle procédure.
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El Watan - Edition du 21 Mai 2008

Algérie - Risque de pollution au jardin d'essai du Hamma

# Administrateur | 21/05/2008 | Info

jardin

Risque de pollution au jardin du Hamma


La station de dessalement mise à l’index


Les rejets de saumure risquent, assurent des spécialistes, de nuire aux espèces faunistiques du jardin botanique. Une réelle menace de pollution pèse sur le Jardin d’essais du Hamma.


Les ingénieurs de l’Agence nationale de protection de la nature (ANN), qui ont participé à l’atelier international sur la revalorisation du jardin, tenu dimanche à la bibliothèque nationale, en ont la certitude. Les rejets de saumure de la station de dessalement, toute proche, pourraient constituer une menace de pollution, alors qu’elle en faisait auparavant l’objet. « Ces rejets risquent d’affecter à brève échéance la nappe phréatique du jardin et par-là même, les plantes dont une grande partie a disparu (plus de 600 espèces, susurre-t-on) », insiste une ingénieur du bureau d’hygiène communal (BHC) de Belouizdad. Preuve en est, les prélèvements effectués, il y a quatre ans, dans un puits qui fait apparaître un taux élevé de chlore. La mise en fonction de la station, qui produira quelque 200 000 m3/jour d’eau, ne fera, soutiennent-ils, que dégrader encore plus la situation du jardin botanique. Georges El Haddad, directeur général de la station, bat en brèche les affirmations des participants à l’atelier organisé par le mouvement écologique algérien (MEA), en collaboration avec l’Unesco, en relevant que des études d’impact sur l’environnement ont été faites avant que la décision d’investir soit prise. Pour M. El Haddad, s’il y a risque de pollution, c’est la station qui en sera affectée en premier. « Le tuyau de rejet est à 330 m de la côte. L’excès de salinité est perceptible sur 50 m. Après, la salinité redevient normale. « D’ailleurs, la quantité du sel retourne dans le tuyau dans une sorte de circuit fermé », assène-t-il, relevant que le Jardin d’essais, qui est à 200 m plus loin, n’a pas de nappe phréatique. L’eau qui s’y trouve vient de la montagne. Autre problème mis en relief par les participants à la rencontre de dimanche, les infrastructures autoroutières venues se greffer au Jardin botanique. Ghanem Laribi, architecte paysagiste, assure qu’aux différents travaux, qui ont « réduit » l’espace tout au long du XXe siècle, s’est ajoutée l’usine qui obstruera la perspective du jardin, surtout du côté ouest. Pour sa part, M. Azzi, directeur de l’ANN, ne s’est pas gêné en affirmant que les travaux menés « au pas de charge » font peser aussi une menace sur les espèces faunistiques. « Le fait d’installer des candélabres risque de gêner les oiseaux. On en avait à l’époque, mais tout le long des passages périphériques. Et on prenait le soin de les éteindre la nuit », atteste M. Azzi. « Aussi, que l’on cesse de parler de détritus ! », car il n’y en a pas. Les familles qui se trouvaient à l’intérieur du jardin en faisaient leur gagne pain. Ces gens ne doivent pas être traités d’indus occupants. » La réplique de Zeriat, directeur de l’EPA qui s’occupe désormais du jardin du Hamma, a été acerbe : « Les installations lumineuses existaient déjà. Nous n’avons fait que remplacer du vieux par du neuf. »
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El Watan - Edition du 21 Mai 2008

les internautes préfèrent la nourriture de British Airways à celle d'Air France

# Administrateur | 20/05/2008 | Info

Enquête Tripadvisor : les internautes préfèrent la nourriture de British Airways à celle d'Air France


tripadvisor› Le site Tripadvisor a publié un sondage réalisé auprès de 1.600 internautes et portant sur les agréments offerts par les compagnies aériennes.


En termes d’agréments, les Internautes ont plébiscité Virgin Atlantic devant Singapore Airlines, British Airways, Emirates et Jetblue. En terme de nourriture, Air France arrive à la quatrième position derrière Singapore, British Airways et Virgin Atlantic. Quant à Ryanair, elle a été désignée par l’étude comme la compagnie disposant des moins bons agréments et American Airlines a été choisie comme celle offrant la moins bonne nourriture. Il en ressort que 40% des sondés ont déclaré que la télévision intégrée au siège constitue leur divertissement préféré à bord. 26% des interrogés ont quant à eux déclaré qu’un repas entier constitue le point de confort qu’ils préfèrent chez une compagnie. Il est à noter que si cela se traduisait par une diminution du prix du billet, l’agrément à bord dont la plupart des passagers pourraient se passer est le snack gratuit (36 %.) Le fromage et les biscuits salés sont les snacks préférés des voyageurs, suivis par les fruits et les noix. La boisson la plus consommée est l’eau en bouteille, suivie par les boissons gazeuses et le vin. Par ailleurs, 37% des personnes sondées sont prêtes à payer jusqu’à 10% du prix en plus pour un siège plus confortable et un plus grand espace pour les jambes, alors que 22% seraient même prêts à payer jusqu’à 20% supplémentaires pour ce confort. Enfin, 32% ont déclaré qu’ils ne veulent payer aucun supplément.
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Le Quotidien du Tourisme - lundi 19 mai 2008 (21h42)

Algérie - Après la fermeture de l’aéroport d’Adrar

# Administrateur | 19/05/2008 | Info

airalgerie

Après la fermeture de l’aéroport d’Adrar, à compter du 15 juin prochain, pour réfection de la piste d’atterrissage, le trafic aérien sera transféré vers l’aéroport de Timimoun.


M. N. Hadj Larbi, DG de l’entreprise de gestion des services aéroportuaires d’Oran (EGSAO) et quelques cadres dirigeants dans la wilaya d’Adrar se sont réunis, vendredi et samedi, au niveau de l’aéroport de Timimoun. Ont également participé à ces réunions, les différents partenaires des plateformes aéroportuaires, à savoir les représentants d’Air Algérie, de la PAF, de l’ENNA, le chef de Daïra de Timimoun, le DTP et le directeur des Transports. Les interventions du premier responsable régional de l’EGSA ont été articulées sur les problèmes techniques liés aux transferts des équipements de l’escale d’Adrar vers celle de Timimoun, ceux liés à l’exploitation aéronautique, aux dispositifs à mettre en place au niveau de la plateforme pour assurer la facilitation et le bon traitement des passagers avec les commodités d’accueil. La mise à niveau de cet aéroport (de Timimoun) selon les normes internationales imposées par l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile (OACI), a été aussi au centre des préoccupations de ce gestionnaire des espaces aéroportuaires du Sud-ouest.


Mise Ă  niveau


On notera que cela fait près de 3 ans que les avions d’Air Algérie boudent l’escale de Timimoun. En effet, depuis tout ce temps la compagnie se refuse de desservir cette destination sous le motif de non rentabilité. Cependant, le délégué d’Air Algérie a assuré que les 8 vols hebdomadaires qui reliaient Adrar à destination d’Alger, Oran, Ouargla et B.B.M seront maintenus selon le même programme horaire existant. Pour ce qui est de la prise en charge du passager à partir de la ville d’Adrar vers l’escale de Timimoun, le directeur des Transports a fait savoir qu’une navette sera mise en service dans ce sens.
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El Watan - Edition du 19 Mai 2008

Algérie - Les Eaux de Marseille décrochent la gestion du réseau AEP

# Administrateur | 19/05/2008 | Info

Les Eaux de Marseille décrochent la gestion du réseau AEP


La Société des Eaux de Marseille (SEM) est à deux doigts d’obtenir le contrat de gestion déléguée des eaux de Constantine.


En effet, selon Messaoud Terra, directeur de l’alimentation en eau potable auprès du ministère des ressources en eau, la signature du contrat est imminente et devrait se faire en cours de semaine avec le partenaire français qui, pour rappel, est en charge de la modernisation du réseau d’AEP du groupement de Constantine. M. Terra a annoncé aussi que le montant du contrat ne dépasse pas les 28 millions d’euros en hors taxes, pour une durée de cinq ans et demi. Un premier avis d’appel d’offres international, émis il y a environ une année par les pouvoirs publics, s’est révélé infructueux avant que le département de Sellal ne décide d’octroyer le contrat après des mois de négociations à la Société des Eaux de Marseille, qui doit assurer par conséquent l’approvisionnement H/24 en eau potable de la principale métropole de l’est algérien. Selon un cadre de l’Algérienne des Eaux, ce passage sera précédé par la création d’une SPA avec de nouvelles structures qui compteront la SEM et l’ADE avant que cette dernière ne disparaisse définitivement. A noter aussi que l’ADE avait confié en 2005 la gestion des eaux d’Alger au groupe français Suez pour près de 120 millions d’euros, la gestion des eaux d’Oran à la société espagnole Agbar Agua pour environ 30 millions d’euros en 2007 et celle de Annaba (est) à la société allemande Gelsensasser pour près de 50 millions d’euros. Selon un responsable à l’ONA, la gestion des eaux de 9 autres villes du pays doit être confiée prochainement à des opérateurs étrangers.
[ source ]
El Watan - Edition du 19 Mai 2008

Algérie - Le Jardin d’Essai du Hamma toujours interdit au public

# Administrateur | 19/05/2008 | Info

jardinAUCUNE DATE N’EST AVANCÉE POUR SA RÉOUVERTURE
Le Jardin d’Essai du Hamma toujours interdit au public


Le jardin antique n’est classé ni jardin botanique ni patrimoine international.


La fabuleuse histoire du Jardin d’Essai du Hamma (Alger) ne cesse de séduire. Et pour cause, le célèbre jardin, vieux de plus de 150 ans, ne sera toujours pas rouvert au public. C’est ce qui ressort du 1er Atelier international sur la valorisation de ce dernier Eden d’Alger. Organisée par le Mouvement écologique algérien en collaboration avec l’Unesco (l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture), cette rencontre a eu lieu, hier, à la Bibliothèque nationale du Hamma. « Ce n’est pas facile de restaurer un jardin botanique », explique le directeur de l’Agence nationale pour la conservation de la nature, Laïd Azzi. C’est ce qui justifie le report constant de l’ouverture de ce vaste jardin antique au grand public. De report en report, le jardin est toujours en restauration. Des travaux y sont toujours menés, selon l’intervenant. De son côté, le directeur général du fameux jardin, Abdelrazak Zeriat, a annoncé l’ouverture en septembre prochain de certains établissements à l’intérieur du jardin, entre autres, la crèche, l’Ecole d’horticulture et le Centre d’éducation à l’environnement. Sans vouloir donner de date pour l’ouverture officielle du jardin, l’intervenant a indiqué qu’« une équipe technique chargée de la réhabilitation du jardin sera recrutée prochainement ». Et de poursuivre: « Depuis un an et demi, le Jardin d’Essai a été transféré de la tutelle du ministère de l’Agriculture à celle de la wilaya d’Alger. Ainsi, nous avons pu expulser les 43 familles qui logeaient dans ce jardin. Il y a même une salle des fêtes qui a été démolie ».

Pour sa part, Amina Fellousse, membre du Mouvement écologique algérien (MEA) a souligné que l’objectif de cet atelier est d’exhorter les pouvoirs publics à classer le Jardin d’Essai en tant que jardin botanique. « Et pourquoi ne pas lui donner l’appellation de Jardin botanique national », précise-t-elle à L’Expression. Et de souhaiter: « Nous voudrions également le classer en tant que patrimoine international.»

Lors des débats, M.Zeriat a rappelé que l’allée des Bambous, qui se trouve à l’extrême ouest du jardin, est la plus touchée par le laisser-aller. Selon lui, cette allée « étouffe à cause du béton posé par un ancien directeur » avant d’avertir « sans une décision clairvoyante, cet arbrisseau disparaîtra à tout jamais ». Par ailleurs, le même responsable a fait savoir que plus de 6000m2 de gazon ont été posés au niveau du Jardin, alors qu’une partie vient d’être ressemée à cause d’un virus ravageur. La rencontre a failli tourner court car l’intervention de l’actuel premier responsable du jardin a suscité l’ire du directeur de l’Agence nationale pour la conservation de la nature qui s’est senti visé. Il a, de ce fait, justifié que l’établissement a été bien géré sous sa tutelle. Il a renvoyé la balle, à son tour, aux autorités compétentes.
[ source ]
L'Expression - Edition du 19 Mai 2008



Le Jardin du Hamma

Algérie-France : Gestion des eaux de constantine

# Administrateur | 18/05/2008 | Info

Algérie : la gestion des eaux de Constantine confiée à la Société des Eaux de Marseille


La gestion déléguée de l'approvisionnement en eau potable et de l'assainissement de la ville de Constantine a été confiée à la Société des Eaux de Marseille (France), selon une source proche de l’Algérienne des eaux. Montant du contrat : 4,3 milliards de dinars, soit près de 45 millions d’euros pour une durée de 5 ans et 6 mois. La société française aura pour mission d’améliorer la distribution de l’eau potable dans la capitale de l’est du pays et d’apporter rapidement une solution permettant une disponibilité de l’eau dans les robinets des ménages 24h/24h.

Lancé une première fois en 2006, l’appel d’offres pour la gestion des eaux de Constantine avait été annulé une première fois en 2007, faute de candidats. La consultation a été relancée quelques mois plus tard, avec succès.

Avec l’attribution de ce nouveau contrat, les quatre principales villes du pays (Alger, Oran, Annaba et Constantine) voient leur approvisionnement en eau potable géré par des groupes étrangers à l’expérience et au savoir-faire reconnus. L’attribution de ce nouveau contrat intervient en effet quelques mois après celui de la gestion des eaux d’Oran : elle a été confiée au français Agbar, filiale de Suez, pour un montant de 50 millions d’euros. Les eaux de la ville d’Alger sont gérées par le groupe français Suez depuis 2005 dans le cadre d’un contrat de 5 ans pour un montant de 120 millions d'euros. Enfin, la gestion déléguée de l'approvisionnement en eau potable et de l'assainissement des villes d’Annaba et d'El Tarf a été accordée en 2007 au groupe allemand Gelsenwasser pour 50 millions d’euros.

Ces contrats s’inscrivent dans le cadre du programme gouvernemental destiné à sécuriser les approvisionnements en eau du pays. D’un montant de 14 milliards de dollars, il prévoit également la réalisation de 13 stations de dessalement de l'eau de mer à travers le pays.
[ source ]
Tout sur l'Algérie - Edition du 18 Mai 2008

ALGER - Journée sans voitures : Les piétons occupent la rue

# Administrateur | 17/05/2008 | Info

algersansvoituresJournée sans voitures : Les piétons occupent la rue


De Didouche Mourad à la place des Martyrs, l’itinéraire a été fermé à la circulation routière pour le plus grand bonheur des piétons. Hier a été marqué par l’organisation de l’opération baptisée « Alger sans voitures ». Des rues ont été concernées par l’idée initiée par radio Bahdja, à l’instar cependant de Didouche Mourad.


L’opération a commencé à partir de cette rue pour finir à la place des Martyrs, en passant par la Grande Poste, le carrefour de Tafourah, le Boulevard Zighout Youcef et enfin le Boulevard Che Guevara. Cette initiative a été prise par le ministère de de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement et du Tourisme, en partenariat avec la wilaya d’Alger, radio Bahdja, et plusieurs associations œuvrant pour la sauvegarde de l’environnement. Notons que les Algérois ont pris effectivement part à cette opération, en participant aux multiples activités qui leur ont été proposées tout le long du parcours : « Ces activités visent principalement la sensibilisation de la population, notamment les utilisateurs de voitures sur la protection de l’environnement », dira Doufene Rachid, président de l’association « Culture urbaine au service de l’environnement », avant d’ajouter : « Les habitants d’Alger devraient réduire l’utilisation de leurs voitures au sein de l’agglomération et utiliser les moyens de transport en commun, ou encore réinitier ces citadins aux plaisirs de la marche. »

Il a été mis au service des citoyens de la capitale trois bus roulant au gaz naturel et qui ont assuré durant toute la journée d’hier leurs déplacements vers les lieux des manifestations, tels que El Biar, Bab El Oued, la place des Martyrs, etc. Ce parcours de 3,5 km linéaires, et ce, du ministère de l’Urbanisme et de l’Habitat, dans les hauteurs de la rue Didouche Mourad, à la place des Martyrs. Des activités éclectiques ont étaient mises en œuvre au profit des jeunes de la capitale, dans une ambiance festive ; les promeneurs ont pu profiter des spectacles de clowns, des pièces de théâtre... Quant aux moins jeunes, ils ont été accueillis dans des ateliers de peinture sous la houlette d’étudiants de l’école des Beaux-Arts. Il a été également mis à la disposition des enfants pas moins de 80 vélos tout-terrain par l’association « SOS village » pour une balade sur le parcours. En outre, et au niveau de la place de la Grande Poste, un parcours pour l’apprentissage de la conduite et du code de la route a accueilli des vagues successives d’enfants qui ont été pris en charge par une équipe d’encadreurs spécialisés : « L’opération connaît une affluence des plus remarquables, depuis, en fait, les premières heures de la matinée », dira M. Messaouden ; chargé de l’organisation de cette opération. Le service d’ordre a été assuré par des brigades pédestres et autres moyens de circonstance. Ainsi a été le cas des autres organismes d’assistance sanitaire, tels que la Protection civile. En somme, seuls les véhicules prioritaires étaient autorisés à circuler et dans les cas de nécessité absolue. Cet événement festif a été toutefois entaché par quelques défaillances au niveau de l’organisation, puisque les activités culturelles et autres attractions n’ont pas touché tout le parcours. On pouvait voir des groupes d’enfants se livrer, paradoxalement, à des parties de foot sur la chaussée, en l’absence d’encadrement approprié.
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El Watan - Edition du 17 Mai 2008

Le ministre français de l'Environnement et de l'Energie le 31 mai à Alger

# Administrateur | 17/05/2008 | Info

Le ministre français de l'Environnement et de l'Energie le 31 mai à Alger
L’UPM, le gaz et le nucléaire


ministreFrLe projet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) a donné un nouveau coup d'accélérateur à la reprise des pourparlers entre Alger et Paris. En moins d'un mois seulement, Alger a accueilli deux ministres du gouvernement de François Fillon, et s'apprête à accueillir un troisième représentant du Quai d'Orsey. En effet, il s'agit du ministre français de l'Environnement et de l'Energie, Jean-Louis Borloo, qui est attendu à Alger pour une visite de travail de deux jours, les 31 mai et 1er juin prochain. Telle est l'information qui a été confirmée par des cercles proches des officiels parisiens. Les mêmes sources ont précisé également que la visite en question, troisième du genre qu'effectue un membre du gouvernement français à Alger ces derniers jours, aura comme point principal inscrit à son ordre du jour la poursuite des débats pour la maturation du projet de l'Union pour la Méditerranée, auquel Paris veut faire adhérer l'Algérie vivement. A cet égard, les mêmes sources ont expliqué que le ministre français de l'Energie et de l'Environnement sera reçu par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avec qui il aura à aborder ce sujet dans le but d'exposer les détails sur le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement des pays de la future Union pour la Méditerranée, que le président français, Nicolas Sarkozy, principal concepteur de ce nouvel ensemble régional, a prévu la tenue au mois de juillet prochain. Jusqu'à présent, l'Algérie, en tout cas, n'a ni confirmé sa participation au sommet en question, ni décliné l'invitation que ne cessent de lui réitérer les officiels parisiens. Il est à noter qu'avant la visite annoncée du ministre de l'Energie et de l'Environnement dans le gouvernement Fillon, deux ministres français se sont déjà rendus à Alger, en moins d'un mois, et tous deux ont été reçus par le président de la République. Il s'agit, faut-il rappeler, du ministre français de l'Intérieur, Mme Michèle Alliot-Marie, et du ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Ces deux derniers, outre le président Bouteflika, avec qui ils ont abordé le sujet de l'Union pour la Méditerranée, ils ont eu, chacun de son côté, des discussions avec leurs homologues respectifs, sur des sujets concernant leurs différents secteurs. C'est ainsi que la ministre française de l'Intérieur a eu à évoquer avec son homologue, Noureddine Yazid Zerhouni, les questions liées à la coopération dans le cadre de la lutte antiterroriste et du phénomène de l'émigration clandestine. Bernard Kouchner, lui, pour sa part, a eu à évoquer avec son homologue, Mourad Medelci, lors de son passage à Alger, divers sujets relevant de la coopération bilatérale entre les deux pays dans le domaine diplomatique. Pour ce qui est de la prochaine visite de Jean-Louis Borloo à Alger, il est fait savoir qu'outre le dossier de la future Union pour la Méditerranée, des discussions entre le ministre français et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil sont également programmées et porteront sur les perspectives de la coopération bilatérale entre les deux pays dans le domaine énergétique, dont le gaz, le pétrole et l'énergie nucléaire, des secteurs dans lesquels l'Algérie et la France se sont lancées dans une coopération étroite.
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Le Maghreb - Edition du 17 Mai 2008

Le surendettement des ménages en Algérie

# Administrateur | 17/05/2008 | Info

Le surendettement des ménages en Algérie


Le surendettement des ménages en Algérie est un phénomène nouveau chez les Algériens mais qui semble prendre de l’ampleur.


dettesLe surendettement en Algérie. (JPEG) La facilité d’accès au crédit et l’usage incontrôlé des chèques comme moyens de crédit en sont à l’origine. La multiplication des formules de crédits à la consommation en Algérie ne menacerait-elle pas les ménages algériens de surendettement ? Aujourd’hui cette question se pose avec acuité. Jamais les Algériens n’ont autant emprunté pour consommer. Les ménages sont de plus en plus friands en prêts bancaires. Mais qu’est-ce qui explique cette frénésie des Algériens à recourir à l’emprunt ? L’abondance de l’offre et la multiplication des innovations ne sont-elles pas aussi une puissante incitation au crédit à la dépense ? Le taux d’intérêt bancaire en Algérie demeure élevé. Ce taux varie en effet de 8,5 voire jusqu’à 10% en hors taxes, et auquel il faudra ajouter la fameuse TVA. Un taux qui n’a, certes, rien à voir avec ceux pratiqués dans les pays de l’Europe de l’Est où l’intérêt avoisine les 20%, mais tout de même reste-t-il assez onéreux pour les bourses moyennes. Il apparaît, à première vue, que les taux d’intérêt applicables sont différents d’une banque à l’autre et varient entre 7,5 et 10%. Le taux le plus bas est de 7,5% alors que le plus élevé est celui de 9,9 %, ce qui est déjà très élevé, en plus du paiement des frais de dossier qui égalent 1% du montant du financement et qui sont inclus dans la 1ère mensualité. Concrètement, les clients doivent se présenter auprès des distributeurs agréés par les banques, pour retirer un dossier complet de crédit. Mais, il faut dire que le surendettement est encore plus accentué chez les ménages à revenu moyen.

Dans une interview publiĂ©e par nos confrères de « La Nouvelle RĂ©publique », le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral de l’Association des banques et des Ă©tablissements financiers (ABEF), Abderrahamen Benhkalfa a dĂ©clarĂ© que « dans les pays dĂ©veloppĂ©s, il y a un taux d’endettement Ă©levĂ©, il n’y a pas un mĂ©nage qui n’est pas endettĂ©. Alors qu’en AlgĂ©rie, sur les 33 millions d’habitants, on compte 700.000 emprunteurs. Abdelatif Benachenhou a Ă©valuĂ© le marchĂ© algĂ©rien et l’a comparĂ© avec les autres pays dans son dernier ouvrage. L’encours au crĂ©dit immobilier par rapport au Produit intĂ©rieur brut (PIB) est quatre fois plus en AlgĂ©rie, en Iran et 3 fois plus par rapport Ă  chez nous et en Jordanie, 11 fois plus qu’en AlgĂ©rie ». Avant de rĂ©pondre Ă  une autre question de « La Nouvelle RĂ©publique » inhĂ©rente aux mĂ©canismes de protection des consommateurs, indiquant : « Pour ne pas se retrouver face au problème du surendettement, il faut d’abord protĂ©ger le client en l’informant sur la menace du surendettement. Les banques doivent obliger les emprunteurs Ă  dĂ©clarer les crĂ©dits dĂ©jĂ  pris. D’ailleurs, nous avons travaillĂ© sur un projet appelĂ© â€la centrale des risques mĂ©nages’ (CRM) que nous avons finalisĂ© l’annĂ©e dernière. Il est actuellement au niveau de la Banque d’AlgĂ©rie. La centrale des risques mĂ©nages sera opĂ©rationnelle en 2008. C’est une combinaison entre les règles et les logiciels, permettant ainsi la circulation de l’information entre toutes les banques de la place financière. C’est-Ă -dire Ă  chaque fois qu’un client contractĂ© un crĂ©dit dans une banque, il est automatiquement communiquĂ© Ă  la CRM ». Une solution qui pourrait rĂ©duire le nombre de personnes touchĂ©es par le surendettement en AlgĂ©rie.
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Algérie-dz -D'après le Financier - Edition du 16 Mai 2008

La France supprime l’autorisation administrative aux Cies aériennes

# Administrateur | 16/05/2008 | Info

Elle était exigée aux compagnies nationales de transport aérien
La France supprime l’autorisation administrative


La France vient d’abroger officiellement un texte datant de plus de 40 ans qui soumettait les compagnies aériennes battant pavillon national à une autorisation bisannuelle.


Le ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, a présenté un projet de loi autorisant l’approbation d’un accord relatif au transport aérien entre les gouvernements français et algérien, accord donnant un cadre juridique pérenne aux liaisons aériennes entre les deux pays. Il met fin à un système d’autorisations administratives bisannuelles soumis aux aléas politiques et économiques.

C’est en ce sens qu’il revêt une importance toute particulière, surtout si l’on tient compte de la croissance constante et rapide du trafic aérien (deux millions de passagers par an). Avec l’ouverture de l’espace aérien intérieur aux opérateurs privés, annoncé pour début 2009, les futurs transporteurs n’auront donc plus à attendre la fameuse autorisation délivrée par les pouvoirs publics français. L’Algérie et la France ont normalisé, en 2006, leurs relations dans le domaine du transport aérien en se dotant d’un cadre réglementaire. Ce texte a mis fin à une «situation de non-accord». Les deux pays n’étaient plus liés par un accord sectoriel depuis 1988. Elaboré dans les années 1960, l’ancien texte s’est vu rapidement dépasser par les évolutions du transport aérien. Négocié par les experts de l’aviation civile des deux pays, le nouvel outil assure un «cadre juridique stable» pour l’exploitation des liaisons aériennes entre les deux pays. Trois transporteurs (Air Algérie, Air France et Aigle Azur) opèrent à l’heure actuelle sur une quarantaine de dessertes entre les escales françaises et algériennes. En 2005, elles ont généré un trafic de quelque deux millions de passagers, en hausse de 9% par rapport à 2004. Pendant dix-sept ans, les opérateurs de l’aviation civile, faute d’outils réglementaires, ont travaillé dans une totale précarité. Avec la signature de cet accord, celui-ci complète le dispositif légal de la relation sectorielle bilatérale. Au plan des infrastructures des transports, l’Algérie a besoin d’un financement de l’ordre de 18 milliards de dollars. Pour les liaisons aériennes d’Air Algérie vers l’Afrique, la compagnie nationale avait, dès les années 70, investi ce marché mais, faute de rentabilité, certaines liaisons ont été supprimées. Aujourd’hui, la compagnie nationale étudie la possibilité de revenir sur certaines destinations africaines. Les liaisons aériennes vers l’Afrique sont un quasi-monopole de deux compagnies: l’une francophone et l’autre anglo-saxonne. Air Algérie dessert, en plus des capitales d’Afrique du Nord, six autres destinations africaines. Il s’agit de Nouakchott, Dakar, Bamako, Abidjan, Ouagadougou et Niamey.
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La Voix de l'Oranie - Edition du 15 Mai 2008

Algérie - Le jardin botanique de Rouiba se meurt

# Administrateur | 14/05/2008 | Info

Commune de Rouiba

jardin de rouiba
Le jardin botanique se meurt


Le fameux jardin public plus que centenaire est situé au cœur du tissu urbain de cette importante localité. Sa superficie, s’étalant sur plusieurs hectares, renferme une riche variété florale, dont certaines espèces rares sont protégées par les conventions internationales.


Selon notre source, il existe au niveau de ce site naturel plus d’une cinquantaine d’espèces végétales répertoriées par les services des forêts. Il s’agit de végétaux, tels les mimosas, le pin d’Alep, le platane d’Orient, le palmier des Canaries, le bananier des Sages, l’acacias, la sophora à deux fleurs et bien d’autres encore, qui sont autant d’espèces soumises depuis fort longtemps à une déperdition effrénée due aux aléas du temps et à la main destructrice de l’homme. La seule pépinière qui assurait un tant soit peu la régénération de certaines plantes a été délocalisée par l’APC afin de récupérer le terrain d’assiette qui demeure encore en jachère. En fait, ce joyau bioclimatique, conçu initialement pour être un espace de détente et d’embellissement du paysage urbain, ne fait plus des heureux parmi les amoureux de la nature et du repos en plein air. Un coup fatal a été porté depuis fort longtemps à l’aspect originel des lieux. De ce jardin botanique, doté initialement d’un agencement harmonieux, et qui faisait jadis la fierté des habitants de Rouiba, il ne subsiste hélas qu’une végétation effacée derrière des piliers en béton érigés à la limite des surfaces en matériaux synthétiques, disputant paradoxalement à cet espace sa vocation naturelle d antan.« Il est désolant de voir avec amertume ce magnifique jardin dépérir de jour en jour depuis plusieurs années sans qu’aucune solution ne soit réellement concrétisée afin de remédier à ce désastre. » Tels furent les propos de certains citoyens que nous avons rencontrés sur les lieux. A cette négligeance avérée s’ajoute encore l’initiation par l’ APC, dans les années 1990, d’ un projet d’aménagement aux contours farfelus dont les travaux ont carrément hypothéqué la vocation, voire la survie, de ce fleuron de l’écosystème urbain.En fait, depuis plus d’une dizaine d’années, des quantités considérables de béton ont été injectées avec désinvolture sur les racines de cette richesse biologique. En outre, les choses se sont bien aggravées depuis, face à la démission de l’APC par rapport au sort de ce chantier, dans un sens ou dans un autre. En conséquence, cet espace vert a été désormais reconverti involontairement en terrain de prédilection des délinquants de tout acabit, qui s’adonnent en groupes à la consommation d’alcool et de psychotropes au milieu des herbes folles et des immondices. Cette situation controversée n’a pas manqué de provoquer l’ ire et l’indignation de la population locale. « Des délits de tout genre sont commis en permanence à l’intérieur de ce jardin et au milieu de cette végétation sauvage. C’est devenu un lieu de débauche. Les adolescents qui fréquentent les lieux s’imprègnent déjà des méfaits de cette situation. Cela nous porte gravement préjudice », ont soutenu des retraités résidant à proximité des lieux.Néanmoins, devant autant de gâchis, l’administration locale semble enfin se ressaisir, en portant inscription d’ un plan de réhabilitation de ce jardin public dans le sens de le concilier avec son aspect authentique. En fait, selon notre source, une étude est déjà prévue sur la base de documents techniques anciens illustrant les aménagements qui prévalaient initialement. Il est envisagé, en somme, de reconstituer la variété florale à l’intérieur des carrés de jardins longés au milieu par des allées de promenade et ponctués par des bancs publics. « Tous les éléments d’ architecture et d’ aménagement seront scrupuleusement réintégrés afin d’ agrémenter ce lieu », a précisé notre source. Aussi, dans le but de tranquilliser les visiteurs, et particulièrement les familles, un poste de police est projeté à l intérieur de ce site. Une fois réalisé, ce projet sera d un apport certain à l’ équilibre bioclimatique de cette microzone. L’amélioration du bien-être et du cadre de vie du citoyen devra, bien entendu, connaître une avancée conséquente. Toutefois, malgré l’ ambition et la pertinence de ce programme auquel une enveloppe financière conséquente a été réservée, sa mise en œuvre tarde paradoxalement à être amorcée. Ceci, à l’ heure où les pouvoirs publics font de la préservation et de la promotion de l’environnement leur cheval de bataille.Il est aberrant et inadmissible de voir perdurer le retard qu’ accuse le lancement effectif de ce plan de sauvetage, malgré son urgence et sa priorité criante. Quand va donc cesser cette nonchalance qui pénalise la réappropriation de cet espace vert par le grand public ? A bon entendeur.
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El Watan - Edition du 14 Mai 2008

Algérie - Fouille archéologique à la place des Martyrs

# Administrateur | 12/05/2008 | Info

Fouille archéologique à la place des Martyrs


Une superficie de 1000 m2 a été clôturée au niveau de la place des Martyrs, et ce, en vue du lancement d’une opération de fouille destinée à un sondage archéologique dans le cadre du Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur des secteurs sauvegardés (PPSMVSS). L’opération préventive, dont l’étude est menée de concert entre le Cneru, le Centre national de recherches archéologiques et la direction de la culture, est motivée par le souci de préserver les vestiges romains souterrains et ce, en prévision du passage du métro d’Alger à ce niveau. « Nous devons tout faire pour éviter de détruire une page de notre histoire », dira le responsable patrimoine de la direction de la culture de wilaya, Farid Fettouche, soulignant que le coût de l’intervention est estimé à deux millions de dinars. Après la lecture du balayage par télédétection sur l’emprise du terrain, « il sera procédé à un décapage, suivi d’un sondage archéologique sur une profondeur de trois mètres, afin de déterminer les couches stratigraphiques du site », explique l’archéologue qui supervise l’opération, M. Azeddine Fergui. Il est prévu également un balayage similaire de deux autres périmètres au niveau de l’îlot Lallahoum, où des fouilles seront entreprises. Rappelons qu’il y a quelques années, un bassin d’une maison péristyle avec un panneau mosaïcal romain ont été mis au jour dans l’îlot Lallahoum. Après avoir été clôturé et protégé, le site est, depuis plusieurs mois, livré à lui-même et sert de gîte aux SDF.
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El Watan - Edition du 12 Mai 2008

CIRCULATION DES ÉTRANGERS EN ALGÉRIE

# Administrateur | 12/05/2008 | Info

CIRCULATION DES ÉTRANGERS EN ALGÉRIE
Zerhouni s’explique devant les sénateurs


Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni était, hier, chez les sénateurs. Après les députés, M.Zerhouni a défendu devant les sénateurs son projet de loi portant sur les conditions de circulation des étrangers en Algérie.
Il a été entendu par la commission juridique et administrative et des droits de l’homme du Sénat. La réunion a été présidée par la président de la commission, M.Brahim Laroussi, en présence du ministre des Relations avec le Parlement, M.Mahmoud Khedri. Pour convaincre, le patron de l’Intérieur a présenté un exposé détaillé sur le projet en question. Comme il a abordé les raisons ayant motivé la proposition de ce texte en remettant les mêmes arguments. «Le texte en vigueur actuellement n’est pas adapté aux développements intervenus dans ce domaine puisqu’il n’a fait l’objet d’aucun amendement depuis sa promulgation en 1966», a expliqué M.Zerhouni. Le ministre a également répondu aux préoccupations exprimées par les membres de la commission.
Un rapport préliminaire sur ce projet de loi est en cours d’élaboration au niveau de la commission. A rappeler que le projet de loi portant conditions d’entrée, de séjour et de déplacement des étrangers en Algérie a été adopté le 4 mai par l’Assemblée populaire nationale.
Ce projet introduit plusieurs mesures rigoureuses sur l’octroi de titre de séjour et les modalités d’installation sur le territoire algérien. Parmi les nouveautés, on citera l’assurance visa, le contrat de travail, la carte de séjour de deux et dix ans.
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L'Expression - Edition du 12 Mai 2008

Des sociétés spécialisées pour moderniser le réseau d’éclairage public d’Alger

# Administrateur | 07/05/2008 | Info

Algérie : des sociétés spécialisées pour moderniser le réseau d’éclairage public d’Alger


Alger veut moderniser son réseau d'éclairage public. La capitale vient de lancer un concours pour le recrutement de sociétés spécialisées dans les études et la réalisation d'un plan lumière pour mieux éclairer ses rues et ses principaux bâtiments.

Mal éclairée la nuit, Alger dispose d'un réseau d'éclairage public vétuste et démodé. Les bâtiments officiels ne sont pas différenciés par des lumières différentes par rapport aux autres édifices. Le président Abdelaziz Bouteflika s'est plaint, en public et à maintes reprises, de la mauvaise qualité de l'éclairage public des villes du pays.

La majorité des villes algériennes ne disposent pas de plans lumières établies par des bureaux d'études spécialisées et exécutées par des sociétés disposant d'un savoir-faire dans le domaine de l'éclairage public. Outre leur vétusté, ces réseaux sont mal gérés, faute de compétences dans ce domaine. Les communes sous-traitent souvent à des sociétés privées la gestion des lampadaires, mais les rues des villes restent curieusement sombres les nuits.
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Par ali idir le 07/05/2008 Ă  19:38
Tout sur l'Algérie - Edition du 7 Mai 2008

Algérie - Congrès international du pétrole

# Administrateur | 07/05/2008 | Info

Congrès international du pétrole

Les préparatifs s’intensifient


En perspective du congrès international du pétrole, prévu en 2010 à Oran, le wali a réuni hier l’ensemble des directions de wilaya, les chefs de Daïras et les maires du groupement d’Oran.


Selon des sources présentes à cette réunion, la rencontre à laquelle ont pris part de hauts responsables de la Sonatrach (organisatrice de ce congrès), a été consacrée essentiellement aux préparatifs de cette importante manifestation, notamment le circuit et les sites que visiteront, durant leur séjour à Oran, les quelque 4 000 hôtes de la ville. Aussi, affirme notre source, il était question du traitement et des aménagements à effectuer au niveau du port et de l’aéroport pour parer au nombre important de congressistes. Chaque secteur a été instruit pour certaines missions devant être accomplies dès à présent. La priorité devait être accordée à l’achèvement des infrastructures d’accueil, notamment le palais des congrès, l’hôtel Château neuf ainsi que les hôtels en cours de réalisation. Le wali a mis en avant la préparation des guides touristiques, des sites et monuments de la ville, la mise à niveau des hôtels, le traitement des routes, les aménagements des espaces verts, etc. Pour s’assurer de la bonne marche de ces préparatifs, nos sources indiquent qu’un comité de pilotage devrait être installé dans les tous prochains jours. Il aura pour mission de suivre de près les préparatifs. La rencontre a été aussi mise à profit pour lancer un appel aux citoyens, pour faire preuve de civisme notamment en matière de respect de l’environnement. Enfin, notre interlocuteur souligne que les chefs de Daïra étaient tenus de mettre un terme aux « éternels chantiers », notamment au centre-ville. Des mises en demeure devront être adressées aux propriétaires de ces projets pour achever leurs travaux dans les délais. Des instructions devront aussi être données aux propriétaires des immeubles pour entamer le ravalement des façades.
[ source ]
par Bouchra M. Ali
El Watan - Edition du 7 Mai 2008

Oran - Préparation de la saison estivale : L’accès aux plages est gratuit

# Administrateur | 03/05/2008 | Info

Préparation de la saison estivale : L’accès aux plages est gratuit


« La direction de l’environnement s’apprête à réceptionner deux cribleuses auprès d’un fournisseur local de Blida, à partir de la première semaine du mois de juin prochain.


Ce nouvel équipement, conçu essentiellement pour le nettoyage des plages, sera confié à Algérie Propreté et mis à la disposition des APC, suite à une location », a indiqué le directeur de l’Environnement lors de la réunion sur les préparatifs de la saison estivale 2008, qui s’est tenue mercredi dernier au siège de la Daïra de Bethioua. Animée par le wali d’Oran, cette rencontre a regroupé les chefs de Daïras et les P/APC des zones côtières est de la wilaya, ainsi que les directeurs de l’exécutif. Le problème du glissement de terrain au niveau de la plage de Aïn El Franine a été pris en charge. « Cette station balnéaire massivement fréquentée par les estivants se trouve actuellement dans un état piteux, depuis les dernières intempéries qui se sont abattues sur la région », avoue le chef de l’exécutif. Selon M. Senoussi, Chef de Daïra de Gdyel, le plan d’aménagement doit viser essentiellement la protection des escaliers de la plage de Aïn Defla ainsi que la réhabilitation d’un chemin reliant la zone côtière de Kristel aux deux plages de Aïn Defla et Dhalis. « Cette option permettra de renforcer le transport dans cette région, dont on recommande la mise en service d’au moins deux lignes spécialement pour la saison estivale, surtout qu’on prévoit la réouverture de la plage de Sidi Moussa qui était interdite à la baignade par manque de commodités », dit-il. Concernant la concession des plages, un avis d’appel d’offres sera lancé incessamment par la direction du Tourisme, vu que Mers El Hadjadj renferme l’une des plus grande plage de la wilaya, avec la réouverture de la plage d’El Mactaa. D’ailleurs, les arrêtés de concession des plages se trouvent actuellement au niveau de la DRAG (Direction de la Réglementation et des Affaires Générales) pour approbation. En fin, le wali rappelle que l’accès aux plages est gratuit.

[ source ]
Par B. Linda
El Watan - Edition du 3 Mai 2008

Essaim d’êta-aquarides dans la nuit du 5 mai : phénomène cosmique

# Administrateur | 03/05/2008 | Info

Essaim d’êta-aquarides dans la nuit du 5 mai

70 etoiles
Près de 70 étoiles filantes en une heure !


C’est l’un des passages d’étoiles filantes les plus intéressants de l’année : dans la nuit du 5 mai, si vous vous levez à l’aube vers les coups de 4 ou 5 heures, vous pourrez en voir jusqu’à 70 en une heure !



« Ce phénomène cosmique n’a en réalité rien à voir avec les étoiles. Il correspond à l’entrée dans l’atmosphère de petits météores. A nos yeux, ces essaims météoritiques semblent tous venir d’un même point du ciel », explique Ridha Lassoued, président de l’ Association algérienne des jeunes astronomes amateurs. Ce point imaginaire, dû à un effet de perspective, s’appelle le radiant. Et ce radiant se trouve dans une constellation qui donne son nom aux étoiles filantes. Celles que nous allons voir cette semaine s’appellent êta-aquarides parce qu’elles proviennent de la constellation du Verseau. Il en existe ainsi plus d’une trentaine mais toutes ne sont pas aussi spectaculaires. Cette année, deux autres rendez-vous sont importants : celui des Perséides constellation de Persée les 11 et 12 août, et celui des géminides constellation du gémeau le 13 décembre (voir encadré).

Comète de Halley

« Les essaims météoritiques sont en fait liés au passage d’une comète, poursuit Ridha. Chaque année au même moment, l’orbite de la Terre croise des nuages de poussière laissées par la comète. Les reliquats — grains de sable ou cailloux — apparaissent dans la traînée lumineuse derrière elles ».Les êta-aquarides, elles, sont associées à la comète de Halley, à l’instar des Orionides, visibles en octobre. L’essaim est en réalité visible entre le 19 avril et le 28 mai, mais le maximum de l’activité se situe les nuits des 5 et 6 mai. « Pour les trouver, conseille Ridha, cherchez le Nord et placez-vous au Sud-Est. Si le ciel est dégagé, on pourra bien les voir, d’autant que la lumière de la Lune qui est à son dernier croissant dont la luminosité étant très faible, ne gênera pas le spectacle ». Le mouvement de l’effet lumineux est dû à l’entrée du météore dans l’atmosphère, entre 120 et 60 km d’altitude. Lorsque le météore pénètre dans les couches supérieures de l’atmosphère de la Terre, il est porté à une très haute température par la friction des molécules d’air et les couches extérieures du météorite fondent. Les températures élevées des atomes qui se détachent de la surface ionisent les molécules et les atomes de l’air environnant en les énergisant brièvement. Au moment où ils perdent leur énergie, les atomes et les molécules produisent un phénomène lumineux que nous observons comme une brève traînée la nuit dans le ciel. « En général, ces météores se consument dans le ciel », poursuit Ridha.

Balles de tennis

Les poussières les plus petites sont volatilisées et les produits minéraux qui en résultent se condensent et tombent très lentement sur la surface terrestre. Les poussières de taille supérieure — qu’on appelle micrométéorites tombent en partie sur le sol comme des grains de sable. « Mais il peut arriver, même si c’est exceptionnel, qu’un caillou, s’il est de taille importante, termine sa course sur Terre et laisse un cratère à l’endroit de sa chute. Dans ce cas, il ne s’appelle plus météore mais météorite ». On considère qu’environ 500 pierres de la taille d’une balle de tennis atteignent ainsi le sol chaque année.

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Par MĂ©lanie Matarese
El Watan - Edition du 3 Mai 2008

Algérie - imprimantes : Epson présente des nouveautés

# Administrateur | 30/04/2008 | Info

Marché des imprimantes

Epson présente des nouveautés


Epson, constructeur d’imprimantes, de consommables, de scanners et de projecteurs multimédias, a clairement affiché hier à l’hôtel Hilton Alger ses intentions de développer son business en Algérie.


Jean-Pierre Lafargue, responsable commercial export, a affirmé : « Nous avons décidé de mettre 2008 sous la couleur du laser monochrome en opérant un repositionnement tarifaire de l’ensemble de notre gamme actuelle en baissant de 30 à 40% selon le modèle. Nous proposons des consommables d’origine les plus économiques de tout le marché. Il y a aussi l’apparition de deux nouveaux modèles laser monochrome : un modèle en 28 pages/minute et le second en 40 pages/minute. Nous fondons beaucoup d’espoir sur le modèle qu’on vient de lancer, AcuLaser M2000, qui aura pour particularité d’être une machine en standard avec 32 Mo de mémoire, offrant rapidité, qualité et efficacité à un utilisateur individuel comme à un petit groupe de travail. »Une nouvelle gamme de produits à technologie MicroPiezo a été présentée (B-300 et B-500 DN) qui aura pour vocation de mettre une solution d’impression rapide et économique à disposition des clients. Acteur majeur du marché ayant su tirer le meilleur des technologies phares (laser, jet d’encre, matricielle à impact), Epson ne pouvait manquer l’occasion d’associer ses nombreux savoir-faire pour franchir un nouveau cap de performances.Le chiffre d’affaires réalisé en Algérie est de plus de 10 millions d’euros. Le constructeur a enregistré en 2007 une croissance de 9,8% en chiffre d’affaires par rapport à l’année précédente et une évolution en volume de plus de 35%. L’Algérie est son premier marché au Maghreb. Il travaille avec un modèle 100% indirect (pas de vente directe aux grands comptes). « Nous confions la responsabilité de commercialiser nos produits à un réseau de distributeurs agréés : 4 grossistes assurent la garantie constructeur et un réseau de 7 partenaires privilégiés répartis sur le territoire national et des revendeurs agréés », souligne Jean-Pierre Lafargue.

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Par Kamel Benelkadi
El Watan - Edition du 30 Avril 2008

Algérie - Cinq ans après le séisme ...

# Administrateur | 30/04/2008 | Info

Cinq ans après le séisme


95% des sinistrés de Boumerdès sont relogéssinistres2003

95% des sinistrés du séisme qui a ébranlé la région de Boumerdès en mai 2003 ont été relogés.
L’annonce faite, hier, par le wali de Boumerdès, intervient au moment où des émeutes sont signalées à Chlef pour non prise en charge des sinistrés du séisme 1980 et à trois semaines de l’anniversaire du séisme de mai 2003. Les sinistrés relogés sont ceux dont les habitations ont été «siglées» dans la catégorie «Rouge», a précisé le wali, ajoutant que quelque 10 000 sinistrés ont été touchés par cette opération. D’après le premier responsable de la wilaya, «400 autres victimes du tremblement de terre seront relogées dès la réception de logements dans leurs communes d’origine, conformément à leur vœu de ne pas être transférées vers d’autres localités où il y a disponibilité de logements, à l’instar de Ouled Moussa et Boudouaou». Il rappellera que 6 000 unités sur les 8 000 destinées au relogement des sinistrés ont été livrées à ce jour. Pour ce qui est de celles qui ne sont encore affectées, le premier responsable de la wilaya expliquera que cela correspond à un «quota laissé en réserve» en vue du relogement de familles sinistrées, en tenant compte des «spécificités de chaque cas,
telle l’évolution de la taille des familles», expliquera-t-il en soulignant qu’à l’issue du recasement de tous les sinistrés recensés, les logements demeurés toujours inoccupés seront versés dans le logement social pour leur attribution automatique à des citoyens se trouvant dans le besoin. D’autre part, le wali relèvera l’existence de près de 16 000 chalets à travers la wilaya, dont 92% sont toujours occupés par des citoyens dans le cadre du logement social «suite à une opération de réaffectation par des commissions compétentes après le relogement des sinistrés».
Il rappellera que l’opération de transfert de la gestion de ces chalets des services de la wilaya vers l’Office de promotion et gestion immobilière (OPGI) se poursuit toujours. Il ajoutera qu’«à l’achèvement de cette opération, qui connaît un taux d’avancement de l’ordre de 70%, l’OPGI procédera à l’assainissement des listes des bénéficiaires». Evoquant les bénéficiaires qui auraient loué ou vendu leur chalet après leur relogement, le wali de Boumerdès dira que des poursuites judiciaires seront engagées à leur encontre. Il précisera que les concernés seront tenus de verser les fonds empochés au titre de ces transactions au Trésor public, alors que les tiers acquéreurs de ces chalets y demeureront jusqu’au règlement de leur situation qui se fera au cas par cas.

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Synthèse de Amel Bouakba
photo archives la Tribune

160 milliards DA pour subventionner des produits de large consommation

# Administrateur | 29/04/2008 | Info

Algérie : 160 milliards DA pour subventionner des produits de large consommation


Pour faire face à l’inflation, le gouvernement poursuit sa politique de subventions des prix des produits de large consommation. Pour l’année 2008, l’Etat va consacrer 160 milliards de dinars (1,6 milliards de dollars) pour maintenir les prix à un niveau accessible pour le citoyen. Ce montant a été révélé aujourd’hui par le ministre de l’Economie et des finances Karim Djoudi, sur les ondes de la radio nationale. Une grande partie de cette somme ira à la subvention du pain et du lait, deux produits très consommés par les Algériens.

Entre 2005 à 2007, les prix de produits de premières nécessités ont été multipliés par trois. Selon M. Djoudi cette envolée des prix est le résultat direct «de la tension mondiale sur les produits de première nécessité». Officiellement, l’inflation en Algérie se maintient autour de 4%, mais selon l’institut américain Casey Research, l’Algérie a enregistré en 2007 un taux d’inflation record de 12%.

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Par samia amine le 29/04/2008 Ă  15:11
Tout sur l'Algérie - Edition du 29 Avril 2008

Algérie - Un million de logements : La course contre la montre

# Administrateur | 25/04/2008 | Info

Un million de logements

La course contre la montre

habitat


• L’échéance 2009 pour la réalisation du programme présidentiel concernant l’habitat arrive à grands pas. Certes, les chiffres officiels sur le taux de réalisation sont satisfaisants et optimistes. Mais le déficit en logements devant la multiplication des cas sociaux sera-t-il enfin comblé ?

Au premier trimestre 2008, le ministère de l’Habitat a annoncé avoir réceptionné près de 460 000 unités en attendant les 545 000 en cours de réalisation qui devront être finalisées dans les prochains mois à venir.
Un taux de réalisation jamais atteint, selon le ministre de l’Habitat, Noureddine Moussa, qui intervenait, hier, mercredi, à l’occasion d’une réunion d’évaluation des programmes d’habitat. Devant les directeurs généraux des Opgi et les Directeurs du logement et des équipements publics (Dlep) des 48 wilayas, le ministre a tenu à faire le point sur les orientations préconisées par son département pour l’accélération du processus de livraison des programmes en cours de réalisation. Selon les déclarations du directeur des programmes d’habitat et de promotion immobilière, Mohamed Tahar Boukhari, les instructions ne sont pas toujours prises en compte par les directeurs du logement au niveau local.

Dans l’habitat rural qui représente 41% des logements réceptionnés, le ministère a annoncé, à l’occasion de cette réunion, la signature, très prochainement, d’une convention avec la Banque algérienne pour le développement rural (Badr) pour « ouvrir la porte à ceux qui n’ont pas de revenus fixes ».
Les aides de l’Etat liées à ce type de logement devront, par ailleurs, être conditionnées par la finalisation totale des logements, les aides devant être fractionnées suivant les étapes de réalisation. Le ministre a, dans ce cadre, insisté sur l’importance de la contribution des bénéficiaires qui doivent prendre en compte l'aspect architectural et la diversité des plans.
S’agissant des logements LSL (Logement social locatif), il est surtout question d’adapter les études aux spécificités locales sur le plan fonctionnel et architectural. L’autre directive abordée lors de cette réunion relative toujours aux LSL est celle qui touche aux formules d’actualisation et de révision des prix qui désormais doivent figurer dans le cahier des charges. Nous apprenons dans ce cadre que seules deux ou trois wilayas ont pris sérieusement en compte cette instruction, selon M. Boukhari qui déplore le manque d’intérêt porté aux aménagements extérieurs lors de la réalisation des programmes.

Pour ce qui du Logement social participatif (LSP), les aides ont été revues à la hausse, soit 700 000 DA au lieu de 500 000 DA Il s’agit, assure Noureddine Moussa, d’une aide unique sans modulation par rapport aux revenus. Pour aider les promoteurs et les inciter à remettre leurs œuvres dans les délais, le ministre a fait part de la décision de son département d'exonérer de l’ISB (coût de vente sur plan), ainsi que de l’IRG les promoteurs ayant respecté les délais arrêtés contractuellement avec un prix de vente à moins de 30 000 DA le mètre carré.

CNL : le salaire plafond porté à 72 000 DA
Le salaire plafond exigé pour bénéficier de l'aide au logement accordée par la Caisse nationale du logement (CNL) va passer de 60 000 DA à 72 000 DA a, par ailleurs, indiqué le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme. L'arrêté interministériel relatif à cette nouvelle disposition sera signé prochainement. La révision à la hausse de ce critère d'éligibilité pour bénéficier de cette aide s'explique par le fait que la dernière hausse des salaires allait exclure un grand nombre de postulants.

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Info Soir - Edition du 24 Avril 2008

Algérie - ... encourager le retour des cadres émigrés

# Administrateur | 25/04/2008 | Info

Algérie : le gouvernement annonce une nouvelle initiative pour encourager le retour des cadres émigrés


Le gouvernement veut encourager les compétences algériennes établies à l’étranger à rentrer en Algérie. Dernière annonce en date : selon une nouvelle disposition adoptée mardi par l’exécutif, les cadres émigrés qui décident de retourner en Algérie garderont l’ensemble de leurs acquis professionnels. Explication : les cadres émigrés de retour en Algérie garderont leurs statuts, titres, fonctions et le bénéfice des expériences scientifiques acquises à l'étranger.

L’information a été révélée, jeudi 24 avril, par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Rachid Haraoubia, lors d’une rencontre avec la presse nationale. Pour la première fois "un texte de loi préserve les acquis de nos cadres émigrés", a souligné M. Haraoubia.

Selon des statistiques officieuses, plusieurs milliers de cadres algériens ont été contraints à quitter leur pays durant les dix dernières années, dont un grand nombre sont employés en Europe. Parmi eux de nombreux médecin, enseignants, informaticiens…Pour la seule année 2007, plus de 500 médecins ont quitté l’Algérie pour l’Europe et le Canada. Aujourd’hui, ces compétences craignaient qu'à leur retour ils ne soient pas réintégrés dans leur fonction au niveau qu'ils avaient atteint avant leur départ.

Depuis l’arrivée au pouvoir du président Bouteflika, en 1999, les gouvernements successifs ont tenté de mettre en place une politique pour encourager le retour des compétences établis à l’étranger. Mais ces politiques ne semblent pas avoir donné les résultats attendus.
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Par sonia lyes le 24/04/2008 Ă  19:35
Tout sur l'Algérie - Edition du 25 Avril 2008

Union pour la Méditerranée et UMA L'Europe prend le Maghreb de vitesse

# Administrateur | 20/04/2008 | Info

Union pour la Méditerranée et UMA L'Europe prend le Maghreb de vitesse

UMA


A moins d'une semaine du cinquantenaire de la conférence de Tanger (27 avril 1958), le Maghreb reste une vague idée, alors que l'Union pour la Méditerranée, dans sa version édulcorée par l'Europe, essaie de se mettre en place.

Le secrétariat de l'Union pour la Méditerranée doit être situé sur la rive sud. C'est le souhait exprimé par le Premier ministre français François Fillion, à Rabat, où il participait à une réunion régulière entre les gouvernements français et marocain. Comme pour lever les doutes nés du remodelage de l'idée initiale du président Nicolas Sarkozy, le Premier ministre français a affirmé que le projet d'Union pour la Méditerranée était sur les « rails » afin de créer un « vrai partenariat » entre les deux rives en matière de développement durable et de sécurité.

De son côté, le Premier ministre marocain Abbas El-Fassi a déclaré que son pays est déterminé à «contribuer» à la réalisation du projet. Sans surprise, le chef du gouvernement marocain s'est lamenté sur l'impasse maghrébine et a fait valoir que le Maroc a émis des « signes » en direction d'Alger. Il faisait ainsi allusion à l'appel du ministère marocain à la réouverture des frontières qui avait été fraîchement accueilli par Alger, qui l'a considéré comme une simple opération médiatique. « Bruxelles nous répète que les pays du Maghreb doivent s'unir. C'est malheureux que d'autres nous le disent alors (que) c'est à nous à (nous) unir », a indiqué Abbas El-Fassi.

Accumulation d'occasions manquées

Le constat n'est pas faux et il pourrait d'ailleurs être répété mot par mot par les responsables algériens. A l'approche du cinquantième anniversaire de la conférence de Tanger, il est difficile de ne pas prendre acte de l'accumulation des occasions manquées. L'UMA s'est constituée alors que le conflit du Sahara Occidental existait. Cela signifiait que la divergence de fond sur la question du Sahara Occidental ne devait pas entraver le dessein stratégique de la construction de l'Union maghrébine. Que de Bruxelles à Washington on s'étonne et on s'impatiente du blocage maghrébin, ne sera pas d'un grand secours faute de volonté politique des Etats concernés. A terme, au vu des accords économiques qui se concluent avec l'Europe notamment, le Maghreb sera fait, contre sa volonté, par l'Europe.

L'ancien ministre marocain des Finances, Fathallah Oualalou, n'a pas tort de souligner qu'un Maghreb qui stagne n'aidera pas l'Union pour la Méditerranée à se mettre en place. Mais on peut faire confiance au Nord pour finalement sa propre version du Maghreb, dès lors que les pays concernés semblent s'en désintéresser. Les contours de l'Union pour la Méditerranée se tracent en dehors des pays maghrébins, qui finiront à prendre ce qu'on leur propose, à défaut de s'être constitués en pôle de négociation. Alors que l'Europe avance ses projets, le Maghreb approche, dans la désunion, du cinquantième anniversaire de la conférence de Tanger.
[ source ]
par M. Saâdoune
Le Quotidien d'Oran - Edition du 20 Avril 2008

Alger en bref

# Administrateur | 19/04/2008 | Info

Alger en bref


EL Harrach : Projet de stations de désodorisation


En parallèle à l’existence d’un projet de réalisation de trois stations de relevage tout au long de oued El Harrach, qui vont permettre le traitement des eaux de l’ oued pour une réutilisation éventuelle dans le domaine de l’agriculture et de l’industrie, le projet d’une station de désodorisation sera prochainement lancé par la SEAAL et piloté également par un laboratoire spécialisé à Kouba. Il s’agit d’un système expérimental comprenant deux stations, l’une sera installée au niveau de l’embouchure de l’oued, à proximité de l’endroit appelé Mazella, l’autre sur le rivage, nous précise-t-on au niveau de l’APC. « Ces stations auront le mérite d’améliorer le cadre de vie des riverains par une diminution considérable des odeurs nauséabondes qui émanent habituellement de l’oued », a dit le P/APC d’El Harrach. Rappelons que le niveau de pollution atteint par oued El Harrach est des plus élevés, nous indique-t-on au niveau des services de l’APC, le taux de mercure est cependant plus élevé par rapport à la norme internationale de 400 fois. Par ailleurs, nous avons appris des responsables locaux que ces stations seront opérationnelles l’été prochain.

Rue Bichat : Bruits assourdissants

Les résidants de la rue Bichat (actuellement Ayoub Seddik) n’en peuvent plus. Et pour cause, les bruits assourdissants de la rue parviennent jusqu’à l’intérieur des appartements. Toute la journée et durant une partie de la nuit, les résidants sont obligés de supporter les bruits des vendeurs et des jeunes qui s’adonnent le soir à leur jeu favori : le football. Même les malades de l’hôpital Mustapha en souffrent aussi, en raison de la proximité de l’endroit. Les habitants en appellent aux autorités locales, seules à même de prendre en charge cet aspect. Les policiers ont décidé de déloger les vendeurs à la sauvette, lesquels ont réoccupé le terrain sans être gênés.

Quahouet Chergui : Travaux de revĂŞtement

Des travaux de revêtement partiel ont été entamés au niveau du grand sens giratoire de Quahouet Chergui sur la RN 24, au grand dam des usagers de ce tronçon de route, qui assure en fait la jonction entre les localités de Bordj El Kiffan, Aïn Taya, Dergana et Alger-Plage. Ces travaux, effectués de nuit apprend-on auprès d’un responsable de l’entreprise chargée de la réalisation, ont pratiquement touché toute la surface de l’intersection en venant de Bordj El Kiffan à partir du pont de Quahouet Chergui, jusqu’aux arrêts de bus qui desservent Alger. Par ailleurs, des travaux de réfection des trottoirs des deux côtés de l’axe routier, Quahouet Chergui - Ben Zergua, sont en phase finale, nous indique-t-on. Notons toutefois que ces travaux ont été réalisé avec un matériau de moindre qualité, puisqu’il s’agit de bitume et non de carrelage.
[ source ]
Par R. A. I.
El Watan - Edition du 19 Avril 2008

Algérie - Un numéro vert pour les enfants, victimes de violences..

# Administrateur | 17/04/2008 | Info

Victimes de violences et d’outrages de la part des adultes

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Un numéro vert pour les enfants


Une campagne publicitaire sera lancée à travers l’ensemble des médias en vue d’encourager l’utilisation du numéro vert 30-33 auprès du grand public. Un centre d’animation pour la promotion des droits des enfants sera ouvert le 30 juin.


Le réseau algérien pour la défense des droits de l’enfant Nada vient de se doter d’un numéro vert, le 30-33, opérationnel à partir du 3 mai. Cette ligne téléphonique permettra aux enfants souffrant de maltraitance physique et morale ou autre problème sociopsychologique de prendre attache avec des voix capables de leur porter aide et assistance. Une équipe de spécialistes pluridisciplinaire, actuellement en formation, a été constituée par le réseau Nada dans le cadre d’un programme appelé « Je t’écoute ». Le centre d’animation pour la promotion des droits des enfants sera ouvert le 30 juin. Lancé officiellement jeudi dernier, au Palais de la culture, par la ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine, Mme Nouara Saâdia Djaâffar, ce projet, dont la réflexion a commencé depuis deux ans, vient répondre à une situation des plus troublantes que vit l’enfant en Algérie. Enlèvements, séquestrations, maltraitance familiale sont autant de violences subies par les enfants. Les opérateurs et conseillers de la cellule d’écoute ont débuté la formation depuis le 12 du mois en cours et une convention a été signée lundi à Alger entre le groupe Algérie Télécom (AT) et les Scouts musulmans algériens (SMA) en vue de mettre en place ce numéro vert 30-33. Le président de Nada, Abderrahmane Arar, a affirmé qu’une formation d’une semaine a été initiée au profit d’une douzaine d’experts chargés d’animer la cellule d’écoute et d’orientation quotidiennement de 9h à minuit. Une campagne publicitaire sera lancée à travers l’ensemble des médias en vue, selon lui, d’encourager l’utilisation de ce numéro vert auprès du grand public. Ce numéro, a-t-il ajouté, concernera uniquement la wilaya d’Alger pour s’étendre dans un deuxième temps aux autres wilayas du pays, a-t-il précisé. Par ailleurs, M. Arar a relevé que le programme « Je t’écoute » vise également la création, à l’avenir, d’un centre national pour la promotion des droits de l’enfant. Le même responsable a précisé d’autre part que le réseau mène l’ensemble de ses actions en faveur des droits de l’enfant et des mères, en collaboration avec de nombreux ministères dont ceux de la Justice, de l’Education nationale, de la Solidarité nationale et celui de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
[ source ]
par Djamila Kourta
Al Watan - Edition du 17 Avril 2008

5E RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA POPULATION ET DE L’HABITAT AUJOURD'HUI

# Administrateur | 16/04/2008 | Info

5E RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA POPULATION ET DE L’HABITAT
L’opération commence aujourd’hui


L’opération du 5e Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph) commence aujourd’hui. Cette opération est la cinquième depuis l’Indépendance. 72.000 agents sont mobilisés dont 80% de femmes universitaires, 4000 formateurs, 11.000 contrôleurs et 55.000 recenseurs.
Ce recensement permettra d’analyser la croissance démographique, les conditions sociales de la population et les résultats de la politique de développement en Algérie.
L’universitaire et spécialiste du mouvement syndical algérien, Nacer Djabi, a affirmé que « les questions liées à l’évolution démographique intéressent, à la fois les politiques et les chercheurs dans les différents domaines, comme elles sont nécessaires à toute approche se rapportant au champ de la recherche sociale.»
Il a souligné la nécessité de mettre les données récoltées, grâce à cette opération, à la disposition des chercheurs dans les différentes disciplines. « Avant, l’Office national des statistiques (ONS) prenait des années pour mettre l’ensemble des données à la disponibilité des chercheurs et des citoyens.» précise-t-il.
Nacer Djabi ajoute que «l’utilisation des nouvelles technologies de l’information permet de réduire le temps d’exploitation de ces données et leur mise à la disposition des chercheurs .»


Selon les responsables concernés, toutes les conditions sont réunies pour le bon déroulement de l’opération. L’enveloppe financière dégagée pour la réussite du recensement est de 2,6 milliards de dinars.
Le sociologue du Centre de recherche algérien du développement (Cread), Mohamed Saïb Musette, a accueilli favorablement la décision d’effectuer un recensement général de la population et de l’habitat chaque 5 ans. Il considère que la fréquence de 10 ans pour chaque nouveau recensement est relativement longue.
Le chercheur a, par ailleurs, relevé que les nouveautés introduites dans le recensement qui débute aujourd’hui, sont d’une utilité avérée pour permettre aux pouvoirs publics une meilleure visibilité de l’état socioéconomique du pays.
Concernant le mouvement migratoire, il a souligné que « ce sujet est abordé pour la première fois dans un recensement en Algérie ».
Il a indiqué: « On peut faire des sondages exhaustifs à partir des résultats du recensement.» « Ce genre de sondage permet de définir les besoins et imprimer une meilleure cohérence aux politiques des pouvoirs public s», conclut-il.
[ source ]
par Wassila BENHAMED
L'Expression - Edition du 15 Avril 2008

Prix Méditerranée 2008 : La baie d’Alger de Louis Gardel primé

# Administrateur | 09/04/2008 | Info

Prix Méditerranée 2008 : La baie d’Alger de Louis Gardel primé


Le prix Méditerranée 2008 a été attribué à l’écrivain français Louis Gardel pour son livre La baie d’Alger. Considérée parmi les plus belles baies au monde, à côté de celle de Rio de Janeiro, la baie d’Alger a inspiré de nombreux artistes étrangers et locaux.


Dessins et récits, mais aussi compositions musicales ont toujours essayé de percer le mystère du paysage saisissant d’une ville qui donne l’impression de flotter sur l’eau. Et parmi les noms qui ont consacré du temps pour décrire les enchantements d’Alger vue de la mer ou tout simplement d’un balcon d’une maison algéroise, l’écrivain français Louis Gardel. Ce dernier vient de recevoir le prix Méditerranée pour son dernier livre La baie d’Alger publié aux éditions Le Seuil. Le livre décrit les charmes qu’offre Alger aux visiteurs qui arrivent par la mer, ses façades blanchâtres et interminables alignées les unes après les autres, ses immeubles haussmanniens tournés vers la mer, ses plages et criques marquées du sceau de l’insouciance et d’une enfance heureuse dans une Algérie d’autrefois. L’auteur évoque aussi son fatal retour en France à l’approche de l’indépendance et se sert de la machine à remonter le temps pour figer éternellement les souvenirs qui ont marqué son enfance dans la ville blanche. En 1955, par exemple, lorsqu’il était élève au lycée français d’Alger ou alors sur les plages de Surcouf en compagnie de petites minettes, en filant des amours éphémères… Auteur prolixe, né à Alger en 1939, Louis Gardel n’a fait l’impasse sur aucun détail lorsqu’il décrit le climat précédant l’indépendance. Les départs successifs de ses amis, le temps qui passe et qui presse. Louis Gardel a publié huit livres en trente ans dont le célèbre Fort Saganne qui lui a valu le prix du roman de l’Académie française en 1980. La baie d’Alger s’inscrit, quant à lui, dans le prolongement logique de ce qu’il a écrit auparavant sur l’Algérie et la période coloniale. Un autre livre intitulé Le goût d’Alger est également en vente dans les librairies françaises. C’est un assemblage de textes compilés par Mohamed Aïssaoui, journaliste au Figaro. Rédigés par des auteurs de renom comme Karl Marx, Albert Camus, André Gide, Assia Djebar ou Guy de Maupassant, ils évoquent tous la beauté ensorceleuse d’Alger.
[ source ]
Par Yacine Farah
El Watan - Edition du 9 avril 2008

Algérie - PRIX DE L’HUILE ET DES LÉGUMES

# Administrateur | 08/04/2008 | Info

PRIX DE L’HUILE ET DES LÉGUMESministre
Le ministre du Commerce rassure


Le gouvernement est en train de chercher un mécanisme pour rendre abordables les prix des produits de large consommation.


La subvention des prix de l’huile et des légumes secs n’est pas exclue. Rassurant envers les citoyens, le ministre du Commerce, El Hachemi Djaâboub, affirme que l’Exécutif se charge sérieusement de ce dossier sensible. «Le gouvernement est en train de chercher un mécanisme pour rendre les prix des produits de large consommation abordables», a déclaré le ministre, en marge d’une séance plénière tenue hier à l’APN. A travers ses propos, M.Djaâboub voulait expliquer que le dossier n’est pas remis au placard. Bien au contraire, le gouvernement s’efforce de trouver une solution adéquate. Son département, faut-il le rappeler, a élaboré une étude sur la subvention des prix de l’huile et des légumes secs, il y a trois mois. «Cette étude porte sur la possibilité de l’établissement d’un prix plafond de l’huile à hauteur de 450DA les 5 litres et celui des légumes secs à 100DA le kilo», avait affirmé El Hachemi Djaâboub, lors de son passage au Sénat.
L’enveloppe affectée à cet effet, s’élève à 13 milliards de dinars. Ce projet est, depuis plus de deux mois, sur la table du gouvernement. Embarrassé par la flambée des prix des produits de consommation et des matériaux de construction, le gouvernement n’arrive plus à sortir la tête de l’eau. Après la pomme de terre, le lait, la semoule, le rond à béton, l’Exécutif compte revenir au panier de la ménagère. Les prix de l’huile et des légumes secs seront, apparemment, les prochains à bénéficier d’une aide de l’Etat. Quand?

Le ministre du Commerce n’a pas avancé d’échéance précise. Ce qui est certain, c’est que le gouvernement ne perd pas de vue ce dossier. Selon M.Djaâboub, ce n’est qu’une question de temps, le gouvernement refusant de suspendre la TVA sur l’huile. «Il n’est pas question de supprimer la TVA», avait déclaré sur un ton ferme le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, lors de l’ouverture de la session parlementaire de printemps.
Par cette déclaration, le patron de l’Exécutif avait répondu clairement aux opérateurs économiques qui demandent la suspension de la TVA. Certes, l’augmentation des prix de l’huile inquiète, mais le gouvernement refuse l’option de l’exonération des taxes sur l’importation des huiles végétales.

L’expérience de la pomme de terre a démontré l’échec de cette politique. Malgré la suspension de la TVA, les prix de la pomme de terre sont restés élevés pendant plus de trois mois. Cela confirme qu’une suspension de cette taxe n’entraîne pas systématiquement une baisse des prix des produits de consommation.
Le gouvernement pense, agir, autrement. M.Belkhadem n’avait ni exclu ni confirmé l’option de subvention des prix. «Nous attendons d’étudier le dossier pour ensuite décider», avait-il précisé. Il avait rappelé, dans ce sens, que l’Algérie «a pris les mesures pour soutenir les prix des céréales et du lait».
[ source ]
par Nadia BENAKLI
L'Expression - Edition du 8 Avril 2008

Algérie - Air France : Les e-services et le programme d’été 2008

# Administrateur | 08/04/2008 | Info

Air France : Les e-services et le programme d’été 2008


La compagnie Air France a inauguré sa nouvelle agence située à la tour Algeria Business Center, Pins maritimes à Alger, une tour d’affaires à mi-chemin entre la ville et l’aéroport.


D’une surface de 40 m2, elle répond aux dernières normes de confort et d’image de marque Air France : nouveau design, nouveaux décors intérieurs réalisés à partir de photos de paysages ou de détails symbolisant les cinq continents desservis par les lignes Air France. « L’inauguration de cette nouvelle agence témoigne de la priorité accordée par Air France à ses clients. Nous sommes ravis de partager avec vous ce moment important de l’histoire de notre compagnie en Algérie », a souligné Pierre Descazeaux, directeur général Europe et Afrique du Nord de la compagnie. Parmi les nouveautés, les clients peuvent désormais avoir accès à la réservation et à l’achat des billets Air France en se connectant au site Internet : www.airfrance.dz. Ce site est équipé d’un moteur de recherche qui permet en quelques clics de visualiser les promotions tarifaires au départ d’Alger, de connaître les disponibilités en termes de sièges disponibles ou tout simplement de réserver son prochain voyage et d’acheter son billet en ligne. Ce service est accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, ce qui confère une grande autonomie au client. Les clients en Algérie ont la possibilité de se préenregistrer, choisir leur siège de 30 heures jusqu’à 60 minutes avant l’heure limite d’enregistrement du vol. Il est opérationnel depuis mars 2007 et 4% des clients l’utilisent déjà. Le billet électronique a aussi fait son entrée en Algérie le 14 janvier 2007. Un an après son lancement, les résultats sont en augmentation : le taux d’utilisation avoisine les 96%. Le nouveau programme des vols et des horaires Air France en Algérie pour l’été 2008 est en vigueur du 30 mars au 29 octobre 2008 avec trois vols quotidiens vers le hub de Roissy Charles de Gaulle et un vol quotidien vers Marseille. Une fréquence supplémentaire renforcera le programme du 14 juillet au 25 août pour répondre à la grande affluence de la saison d’été. Air France a fait une progression de 5% depuis l’année dernière dans un contexte particulier (attentats du 11 avril 2007 à Alger, concurrence entres compagnies). Son hub reste sa pièce maîtresse et un outil stratégique. Cette plateforme de correspondance est devenue un argument de vente et un relais de croissance. Jean-François Fauveau, délégué régional Air France en Algérie, le prouve par des chiffres : plus de la moitié de la clientèle (55%) sont en continuation (réseau Province France ou long-courrier) et 45% fréquentent la ligne Alger-Paris. 30% est la proportion des hommes d’affaires qui utilisent la partie avant de l’appareil où sont situées les classes « à haute contribution » type classe affaires ou première classe. 80,8% est le taux de ponctualité. « Depuis l’ouverture du nouveau terminal de l’aéroport d’Alger en juillet 2006, la ligne a totalement changé. Il y a plus de sécurité et de fluidité. C’est la première et la dernière impression des visiteurs. »
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan - Edition du 8 avril 2008

Algérie - Compagnies aériennes : Maghlaoui confirme l’ouverture du ciel

# Administrateur | 07/04/2008 | Info

Compagnies aériennes

Maghlaoui confirme l’ouverture du ciel


Le ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui, a confirmé l’intention des pouvoirs publics à mettre fin au monopole de la compagnie nationale Air Algérie sur le marché de transport aérien domestique en procédant à l’ouverture de l’espace aérien au secteur privé. Des opérateurs privés seront autorisés à créer des entreprises de « taxi aérien » pour assurer des lignes intérieures. Cette mesure va s’accompagner par la création d’une nouvelle compagnie aérienne intérieure pour répondre à la demande croissante sur les lignes domestiques. Cette compagnie sera une filiale de la compagnie publique Air Algérie. Elle sera opérationnelle prochainement et sera dotée de 10 aéronefs, a précisé le ministre qui intervenait en Conseil de la nation. M. Maghlaoui a ajouté que la compagnie Tassili Airlines, filiale du groupe pétrolier Sonatrach, va acquérir en juin huit nouveaux appareils de 70 à 80 sièges pour assurer également des vols internes. Tassili Airlines, créée en 1998, était destinée au départ au transport du personnel des compagnies opérant dans le secteur de l’énergie et des mines. Elle doit se diversifier à partir de 2009 dans le transport domestique et international.
[ source ]
Par N. B.
El Watan - Edition du 6 avril 2008

Algérie - 5E RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA POPULATION ET DE L’HABITAT (suite)

# Administrateur | 07/04/2008 | Info

5E RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA POPULATION ET DE L’HABITATrecensement


Les nouveautés de l’opération


Les résultats provisoires de l’opération seront publiés fin mai 2008.


Mouvement de migration interne et à l’étranger de la population, mortalité maternelle et équipement des ménages. Ce sont, entre autres, les principales innovations du 5e Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph 2008).

Cependant, l’innovation la plus importante réside dans la confection, pour la première fois, d’un questionnaire communautaire concernant les préoccupations de la jeunesse sur les actions de développement à mener au niveau des communes, a indiqué, à l’APS, le directeur général de l’Office national des statistiques (Ons), M.Mohamed Boumati.
Ce questionnaire communautaire contient trois volets, à savoir les infrastructures (crèches, écoles, centres de formation professionnelle, polycliniques...), les types d’actions à développer dans les communes (santé, éducation, infrastructures routières, alimentation en eau potable et assainissement et énergie -raccordement à l’électricité et au gaz). Le troisième volet du questionnaire est consacré aux jeunes âgés de 15 à 29 ans, invités à exprimer leurs besoins (création des infrastructures, formation professionnelle et emploi), relève M.Boumati. Sur la tendance générale des indicateurs socioéconomiques, le premier responsable de l’Office estime, d’après les informations de la dernière opération de recensement 1998 et les données de l’état civil, qu’il y a une hausse des naissances due à une reprise dans le chapitre des mariages.
S’ajoutent à cela la baisse de la mortalité, l’allongement de l’espérance de vie et le recul de l’âge pour le mariage, à 31 ans pour les hommes et à 29 ans pour les femmes, et le début du vieillissement de la population. Tous ces éléments, selon lui, sont des indicateurs importants qui méritent d’être étudiés minutieusement pour prendre en charge les besoins exprimés et se préparer pour y faire face. Après le prochain recensement, prévu en 2013, chaque année les données seront actualisées automatiquement par l’administration.

Les préparatifs, qui ont débuté en septembre 2006, «permettront sans doute d’assurer la réussite de cette opération», assure M.Boumati, tout en relevant que chaque famille sera avertie par l’agent recenseur, la veille de son passage.
La loi garantit également aux personnes recensées que les informations communiquées ne pourront, en aucun cas, être utilisées à des fins de contrôle économique et financier, notamment fiscal, ou de répression économique.
Les résultats provisoires de l’opération du 5e Rgph, qui sera entamée le 16 avril prochain, seront publiés fin mai 2008.
[ source ]
par NaĂŻma HAMIDACHE
L'Expression - Edition du 7 Avril 2008

Algérie-France : Adrar : Gaz de France formera des cadres localement

# Administrateur | 04/04/2008 | Info

Adrar : Gaz de France formera des cadres localement


Le groupe « Gaz de France » a signé, mardi dernier, un protocole d’accord d’un partenariat avec l’université africaine d’Adrar.


Gaz de France a l’intention d’investir un million d’Euro dans ce projet de formation. Un programme d’accompagnement est initié et devrait contribuer à la création d’emplois locaux qualifiés par un effort de formation adaptée. L’objectif attendu par cette convention est de former une main d’œuvre locale spécialisée dans le domaine gazier. A cet effet, Gaz de France compte créer, au niveau de l’UA d’Adrar, un département des hydrocarbures destiné à la formation des étudiants et des enseignants des filières scientifiques. Le groupe envisage aussi de doter l’UA d’un nouveau laboratoire de langue afin de dispenser des cours intensifs en langue française. Dans cette perspective, l’encadrement et le corps professoral de l’UA se sont réunis, ce mardi, avec une délégation de Gaz de France afin d’approfondir et d’enrichir les modalités de cette convention. Aussi, par l’intermédiaire de son association interne « CODEGAZ », G.F compte mener des campagnes à caractère social, surtout dans les localités et Ksour qui se situent à proximité de ses champs de production, en l’occurrence Tsabit (à 70 km au nord d’Adrar). Rappelons aussi que G.F a contribué dans l’équipement de la polyclinique de Charouine et toujours par son association interne, elle a financé récemment la campagne de la FOREM, qui consistait à doter les élèves malvoyants et nécessiteux de paires de lunettes.
[ source ]
Par A. A.
El Watan - Edition du 5 avril 2008

indonésie:Il existe une possibilité de supprimer le visa pour les Algériens

# Administrateur | 04/04/2008 | Info

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Mme Yuli Mumpurni Widarso (Ambassadeur d’Indonésie à Alger)

ambasindonesie
« Il existe une possibilité de supprimer le visa pour les Algériens »


Un chiffre : 60% du café consommé par les Algériens proviennent d’Indonésie. Les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Indonésie, tous deux grands producteurs de gaz naturel, sont en augmentation constante. L’Indonésie aspire à attirer des investisseurs algériens et œuvre pour permettre à Sonatrach, principale firme algérienne, d’y avoir des projets mixtes. Djakarta souhaite renforcer la coopération culturelle et supprimer le visa pour les Algériens dans une perspective d’intensifier le flux touristique entre les deux pays.


Vous êtes à Alger depuis trois mois. Quelles sont, pour vous, les priorités de l’action en Algérie ?
Cette question m’a été posée par les députés à Djakarta durant l’examen de ma nomination en tant qu’ambassadeur. Il existe de grandes potentialités à exploiter pour diversifier et renforcer les rapports entre les deux pays dans le domaine économique, surtout qu’ils ont signé plusieurs accords de coopération impliquant les secteurs public et privé. Nous sommes en phase d’évaluation de ces accords signés après les visites respectives des deux chefs d’Etat pour mieux les appliquer. Au cours de ma mission à Alger, j’espère promouvoir les relations commerciales et culturelles. L’Algérie et l’Indonésie sont des pays en développement à majorité musulmane qui peuvent renforcer la coopération culturelle comme l’échange d’étudiants. Notre héritage culturel fait que nous avons des richesses communes. Une de mes priorités est également d’augmenter le nombre de touristes algériens vers l’Indonésie. Je dois redoubler d’efforts pour faire la promotion du tourisme indonésien en Algérie. Mes frères en Algérie connaissent bien l’Indonésie, mais je crois qu’ils ont besoin de remettre à jour leurs informations sur les réalités d’aujourd’hui.

Est-il possible d’ouvrir une ligne aérienne directe entre Alger et Djakarta ?
Le plan de Garuda Indonesia, notre compagnie aérienne, appliqué actuellement, prévoit la fermeture de certaines lignes vers l’Europe et l’ouverture de nouvelles liaisons vers le Moyen-Orient et l’Asie. Il faut que la compagnie étudie les coûts induits et la faisabilité commerciale, avant d’ouvrir une ligne directe vers Alger. Il existe actuellement une ligne directe Alger-Doha. A partir de la capitale qatarie, il y a des continuations vers Bali et Djakarta assurées par Qatar Airways. Je serais heureuse s’il existe une possibilité pour Air Algérie d’ouvrir une liaison vers l’Indonésie. Cela va offrir davantage de possibilité de coopération.
Vous voulez séduire les Algériens pour qu’ils visitent l’Indonésie, mais pour cela, il faut obtenir un visa...
L’Algérie fait partie d’une liste de pays pouvant avoir accès à des facilités pour l’obtention d’un visa de circulation en Indonésie. C’est un visa on arrival qui est obtenu à l’aéroport de Djakarta. A titre d’exemple, les Algériens qui sont en Malaisie ou à Singapour peuvent en avoir un à leur arrivée en Indonésie. Il existe une possibilité de supprimer le visa pour les Algériens. Cela obéit toutefois à la règle de la réciprocité. Le tourisme est pour nous l’axe central de l’investissement. Depuis la diminution de nos capacités de production pétrolière, nous sommes en quête de nouvelles sources d’entrée de devises. Le tourisme en fait partie. En 2007, 5,5 millions de touristes ont choisi la destination Indonésie. Notre objectif en 2008 est d’atteindre les 8 millions de visiteurs. Les potentialités touristiques sont grandes : naturelles, culturelles, ethniques... Nous avons une concurrence des pays voisins, mais il existe un accord entre nous pour favoriser une meilleure distribution du flux touristique. En 2007, nos entrées, grâce à ce flux, ont atteint les 5 milliards de dollars. Les provinces sont appelées à améliorer les infrastructures, les conditions d’accueil, de propreté et santé ainsi qu’à étudier les prix pour qu’ils soient compétitifs... surtout que nous avons connu de grandes catastrophes, comme le séisme et le tsunami en 2004 et en 2006, le réveil des volcans à Sumatra en 2007 et l’apparition de la grippe aviaire. Nous avons maîtrisé, grâce à l’aide de l’OMS, cette épidémie. Tous ces événements ont influé sur le tourisme, puisque le nombre des visiteurs a chuté dramatiquement. Pour combler le déficit, nous avons encouragé le tourisme local pour que le secteur ne connaisse pas de faillite, particulièrement à Bali et Djakarta. Nous avons installé un système d’alerte dans la région d’Aceh pour prévenir les tsunamis. Les choses ont repris leur cours naturel. La conférence mondiale sur le changement climatique, qui a eu lieu à Bali, est un signe de reprise de confiance, preuve que l’Indonésie est redevenue une place sûre. Améliorer l’image et reprendre la confiance sont un investissement dur et coûteux.

Quel est le volume des Ă©changes commerciaux entre les deux pays ?
Les échanges entre nos deux pays sont prometteurs. Plus de 60% du café consommé en Algérie sont importés d’Indonésie. L’Algérie importe également de grandes quantités de poudre de lait, de margarine, de bois, de contreplaqué, de tissus, de composants électroniques... Cela dit, il y a un déséquilibre dans la balance commerciale bilatérale en faveur de l’Algérie. L’Indonésie importe de l’Algérie du pétrole, des olives. Nous importons 320 000 barils de pétrole algérien par jour, soit presque 10% de l’ensemble de nos importations quotidiennes. Durant les 9 premiers mois de 2007, l’Algérie a exporté l’équivalent en valeur de 138 millions de dollars.
Ces quantités de pétrole vont-elles augmenter à l’avenir ?
Oui, il y a une possibilité d’acheter plus de pétrole à l’Algérie, compte de tenu de nos grands besoins en énergie. Nous venons d’ailleurs de signer un contrat avec la Libye pour importer plus de 200 000 barils de pétrole par jour. Je souhaite que Sonatrach puisse avoir des projets mixtes en Indonésie et que des investisseurs algériens s’y rendent pour étudier les opportunités d’affaires. Nous venons d’établir un accord avec des opérateurs économiques de Dubai. Pour 1,5 milliard de dollars, l’un d’eux va exploiter une mine de charbon au sud de Sumatra avec une perspective d’exportation. Le groupe émirati Emaar a visité l’Indonésie pour développer un projet touristique. Il en est de même pour le groupe saoudien Ben Laden qui s’intéresse à la construction d’une autoroute. Les Emirats arabes unis et le Qatar sont les principaux investisseurs arabes en Indonésie.

Quels sont les domaines d’investissement existants en Indonésie qui peuvent intéresser les Algériens ?
Je suis en phase d’étude des demandes faites par les investisseurs algériens, même si leur nombre est encore faible. J’ai un programme avec la Chambre de commerce algérienne pour réunir les hommes d’affaires algériens et leur présenter les opportunités d’affaires dans mon pays, où la loi sur l’investissement a été amendée en 2007, rendue plus attractive avec des mesures fiscales et douanières incitatives. Je vais également inviter des hommes d’affaire indonésiens en Algérie et organiser une rencontre avec des opérateurs économiques locaux en collaboration avec la Chambre de commerce. Cette rencontre aura lieu en marge de la réunion de la grande commission mixte algéro-indonésienne prévue en juin 2008, à la faveur de la tenue à Alger de la Foire internationale. Je souhaite une présence massive d’hommes d’affaires indonésiens à cette manifestation. Nous savons que l’Algérie comprend ce que nous avons enduré comme problèmes. Nous avons besoin de beaucoup de pétrole et nous saluons la réponse rapide de l’Algérie dans ce domaine. Nous pouvons développer des projets mixtes dans le secteur de la pétrochimie. L’Indonésie a une grande expérience dans ce secteur. Elle est parmi les premiers pays en Asie. En Afrique, l’Afrique du Sud et l’Algérie sont nos principaux partenaires. Notre relation commerciale avec les autres pays du continent est modeste.
Existe-t-il des opportunités de coopération dans le domaine des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) et de la pêche dans lesquelles l’Indonésie est en avance ? (que l’Indonésie maîtrise).
Il existe un accord sur les NTIC. L’Indonésie possède des satellites. Des pays de l’Asie et du Pacifique ont loué des transpondeurs sur ces satellites. Nous souhaitons que l’Algérie en fasse de même. L’Indonésie fait partie des pays leaders en matière de satellites de communication.Depuis 1985, nous avons œuvré pour connecter toutes les îles du pays au moyen de liaisons satellite. Nous veillons à développer la technologie dans ce domaine. Pour ce qui est du secteur de la pêche, je souhaite renforcer la coopération avec un échange de visites des responsables concernés. A titre d’exemple, les exportations indonésiennes en thon couvrent 30% des besoins de l’Union européenne, 20% de ceux du marché américain et 5% du Japon. Pour nous, la pêche est un secteur stratégique qui se modernise et fait travailler des centaines de milliers de personnes. Nous voulons respecter les normes internationales en la matière.

L’Indonésie est un grand producteur et exportateur de gaz naturel. Comment votre pays perçoit le projet de créer une OPEP du gaz, lancé par l’Iran et soutenu par le Venezuela et l’Iran ?
J’ai rencontré le ministre indonésien de l’Energie à plusieurs reprises. J’ai relevé que l’idée de création d’une OPEP du gaz est toujours au stade la réflexion. Le gaz est devenu un sujet stratégique dans le monde, surtout après la crise entre la Russie et l’Ukraïne. L’Europe dépend grandement du gaz russe. Aujourd’hui que les réserves de pétrole baissent (s’amenuisent), les Etats cherchent d’autres sources d’énergie comme le gaz et les biocarburants. L’Indonésie travaille avec des pays d’Amérique latine, comme l’Equateur, pour développer un carburant à base d’éthanol. Le monde entier est en quête de sources d’énergie alternatives qui respectent l’environnement.
Existe-t-il un intérêt pour l’énergie nucléaire ? Est-ce le fait d’être entouré de nations possédant des bombes atomiques, comme l’Inde et la Chine, est-il une menace ?
L’Indonésie développe actuellement l’énergie atomique pacifique. Nous sommes toujours au stade de la recherche au niveau du centre de Java. Actuellement, nous utilisons la recherche nucléaire dans le domaine de la santé. Il n’existe pas encore d’opportunités pour une coopération avec l’Algérie dans ce secteur. L’Indonésie a œuvré pour la création d’une zone de paix dans le sud-est de l’Asie. Une déclaration de l’Association of Southeast Asian Nations dont le siège est à Djakarta, ndlr ASEAN) a été signée par les pays membres appelant à l’instauration d’une zone libérée des armes nucléaires. L’Indonésie, qui est signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et du Traite pour l’amitié et la paix, ne veut pas se doter d’armes atomiques.

Vous considérez la coopération culturelle comme un axe prioritaire. Pourquoi ?
J’encourage l’initiative prise par le gouvernement indonésien pour établir un accord culturel. La proposition a été transmise au ministère algérien de la Culture. Nous souhaitons qu’elle soit étudiée à la faveur de la tenue de la commission mixte entre les deux pays. Mme Khalida Toumi, que j’ai rencontrée, est intéressée par cette proposition. Nous travaillons pour faire venir à Alger une délégation artistique en juin prochain. Je veux organiser le festival du film indonésien à Alger. J’ai demandé à mes collaborateurs de répertorier les salles de cinéma à Alger pour y programmer des projections. Le cinéma indonésien va être présent au prochain festival de Cannes en France. Il y a une possibilité pour que la délégation qui y participe se déplace en Algérie après.
[ source ]
Par Faycal Metaoui
El Watan - Edition du 5 avril 2008

Algérie - Catastrophe naturelle : « Pas de séisme ni de tsunami »

# Administrateur | 03/04/2008 | Info

Catastrophe naturelle : « Pas de séisme ni de tsunami »


Les rumeurs les plus folles ont circulé ces derniers jours quant à « un très fort séisme » qui va ébranler le bassin méditerranéen, plus particulièrement l’Algérie.


Il y a même eu des journaux qui ont colporté la nouvelle se fiant à des prévisions en provenance du Japon, paraît-il, avec l’assurance que le tremblement de terre sera même accompagné d’un fort tsunami. La tragédie de Boumerdès étant encore dans les esprits, une sourde panique s’est emparée de la population, essentiellement au centre du pays. Il a fallu que l’émission de la Chaîne III « De fil en aiguille » s’empare de l’affaire hier pour qu’une certaine quiétude regagne les esprits suite à l’intervention du médiatisé professeur Loth Bonatero, spécialiste en astronomie et techniques spatiales, qui dira : « L’information faisant état d’un imminent séisme de très forte intensité est complètement farfelue car dénuée de tous fondements scientifiques et logiques. Il y a d’abord le mois d’avril où l’influence de la lune est presque nulle sur ce genre d’événement, ensuite la science n’est pas en mesure de prédire pour le moment de telles catastrophes naturelles plusieurs jours à l’avance. » Le professeur Bonatero ne manquera pas de stigmatiser ce charlatanisme scientifique et s’étonnera que ce genre d’informations soit publié et amplifié sans que l’on daigne s’adresser aux compétences locales.
[ source ]
Par Hamid Bellagha
El Watan - Edition du 3 avril 2008

Alger-Baraki : La station d’épuration des eaux usées à l’essai

# Administrateur | 03/04/2008 | Info

Commune de Baraki : La station d’épuration des eaux usées à l’essai


La vétusté des conduites en place pose de sérieux problèmes techniques à travers 15 communes de la capitale.


Etant la première du genre à l’échelle nationale, la station d’épuration des eaux usées a été mise à l’essai depuis le mois de janvier 2007 avec des capacités de traitement de 250 000 m3 par an à titre expérimental, lance un responsable de cette importante infrastructure hydrique, soulignant qu’elle est équipée des débiteurs et procédés très sophistiqués. Leur parfaite maîtrise implique, en effet, un encadrement technique en mesure d’aboutir à réaliser les plans d’action conçus pour faire face à des situations d’assainissement des plus compliquées, poursuit le même interlocuteur.

Les populations concernées par les interventions de cette troisième station, en nombre, dans la wilaya, sont estimées en première phase à plus de 900 000 personnes vivant dans les communes de la Mitidja, où 5 d’entre elles viennent de se doter de réseaux d’assainissement, notamment les quartiers des Eucalyptus et ceux des localités semi- urbaines à Raïs et Nezzali, connues sous le nom de Ronda, relevant tous les deux de la commune de Sidi Moussa. Par la suite, la plupart des communes du centre du pays bénéficieront des traitements des eaux usées à la faveur de l’introduction à court terme d’autres techniques d’épuration, ajoute le responsable de l’exploitation. S’étendant actuellement sur une superficie de 10 km, le bassin de traitement reçoit les eaux évacuées d’El Harrach, de Semmar, et prochainement celles des Eucalyptus et de Birtouta. Selon un ingénieur en hydraulique, les équipes s’attellent en cette période d’essai à enlever les matières solides du cours des eaux pour éviter d’obstruer la canalisation ou toutes contraintes de nature à empêcher ou compliquer le processus technique des opérations de traitement méthodique. En l’occurrence, ce sont surtout le bois, les matières en fer et en plastique et d’autres effets domestiques solides qui bouchent énormément la canalisation d’évacuation.

En réalité, la vétusté des conduites en place pose de sérieux problèmes techniques à travers 15 communes de la capitale. « Les opérations nécessaires à effectuer au niveau des anciens quartiers sont autant coûteux en argent et temps que celles à inscrire dans les nouveaux projets de raccordement au réseau d’assainissement au niveau des agglomérations jusqu’à présent dépourvues, notamment à l’est d’Alger », précise la même source. Quant à la station de Réghaïa, rouverte en 1997, les tâches sont des plus délicates. Selon les techniciens du terrain, la pollution qu’a connue cette région durant les dernières années est exacerbée par la négligence de certains habitants à l’égard des flaques d’eaux stagnées, et parfois au rejet des ordures ménagères dans les conduites d’eaux en l’absence des camions d’éboueurs. Néanmoins, l’expérience acquise jusqu’ici pourrait amener les techniciens à mieux prendre en charge la situation. Après la réouverture de la station de Bouzaréah en 2007, les équipes de traitement se partagent les missions difficiles à mener tous les jours. A cela s’ajoute le rôle de la station de Baraki, « en tant qu’opérateur de haut rang dans le domaine de la préservation de l’environnement », estiment les experts algériens.

Les eaux usées ayant été par le passé déversées dans des terrains agricoles seront désormais transférées au barrage de Douéra qui est en cours de réalisation. « L’agriculture sera, évidemment, le secteur bénéficiaire dans la plaine de la Mitidja ainsi que d’autres activités productives dépendant des eaux à travers les wilayas du centre avoisinantes », conclut un responsable des ressources en eau.
[ source ]
Par E. Yazid
El Watan - Edition du 3 avril 2008

Algérie - Des hélicoptères pour les gardes-côtes

# Administrateur | 03/04/2008 | Info

SURVEILLANCE DES EAUX TERRITORIALES
Des hélicoptères pour les gardes-côtes


Ces acquisitions permettront d’agir rapidement et avec plus d’efficacité, notamment dans les opérations de recherche et de sauvetage.


Les gardes-côtes algériens veulent se moderniser. Ils seront équipés prochainement de moyens d’intervention aériens. « Les gardes-côtes seront dotés d’hélicoptères avec des équipes spécialisées », a indiqué, hier, le chargé de l’information, le lieutenant-colonel Deffiri, à l’occasion du 35e anniversaire de la création de ce corps.
Ce nouveau matériel, ajoutera-t-il, est inscrit dans le programme d’équipement du corps des gardes-côtes et sera acquis prochainement. Selon ses propos, les moyens dont dispose actuellement ce corps ne lui permettent pas d’accomplir ses multiples missions dans la protection du domaine maritime national et le sauvetage des navires ou embarcations en difficulté. La surveillance des eaux territoriales algériennes, 140.000km², nécessite des moyens matériels performants. D’autant plus que les côtes algériennes connaissent une recrudescence des activités illégales à l’exemple de la contrebande et de l’immigration clandestine, a-t-il indiqué. Le conférencier expliquera à ce sujet qu’un patrouilleur met 3 à 4 heures de temps pour arriver à un navire se trouvant à 15 miles marins de la côte. Avec l’introduction des hélicoptères, ce genre d’opérations sera effectué en l’espace de 30 minutes. « Les moyens aériens vont nous permettre d’agir rapidement et avec plus d’efficacité, notamment pour ce qui concerne les opérations de recherche et de sauvetage », souligne-t-il. Ce même officier fera savoir que des hélicoptères et des avions sont utilisés dans certaines opérations mais de manière insuffisante.

Il soulignera, pour ce qui est de la lutte contre l’immigration clandestine, que « la mission des gardes-côtes est humanitaire et non pas dissuasive ». La seule motivation de ce corps de sécurité qui intervient en coordination avec les services de sécurité est « de sauver les vies de jeunes Algériens ». Parlant toujours de la modernisation de ce corps chargé de la surveillance des côtes et des eaux territoriales algériennes, le conférencier annoncera l’acquisition de remorqueurs en haute mer. Des moyens qui font défaut actuellement aux gardes-côtes nationaux. Le lieutenant-colonel Deffiri indiquera en ce sens que le naufrage du Béchar aurait pu être évité si nos gardes-côtes étaient équipés de remorqueurs en haute mer. Et de rappeler que, « lors du naufrage du Béchar, on a fait appel aux Espagnol s». Ces derniers, selon lui, sont arrivés plusieurs heures après que le bateau ait sombré. Par ailleurs, le chargé de l’information au sein de l’ANP, niera complètement les informations faisant état du vol des richesses maritimes par des bateaux de pêche étrangers. « Nous n’avons enregistré aucun cas de violation de nos eaux territoriales.», a-t-il affirmé. Le chef du département des affaires maritimes au niveau du Service national des gardes-côtes (Sngc), le lieutenant-colonel Zrizer, expliquera, pour sa part, que « les bateaux de pêche étrangers, autorisés, activant dans les eaux territoriales algériennes, disposent d’autorisations obtenues dans le cadre de contrats conclus avec le ministère de la Pêche ».
Et d’ajouter: « Les bateaux de pêche interceptés en situation illégale seront saisis ». Interrogé sur les 6 navires saisis par les gardes-côtes au cours de l’année 2007, le lieutenant-colonel Zrizer affirmera qu’il ne s’agit nullement de bateaux de pêche. Il ajoutera que ces navires ont été saisis pour des raisons liées à des litiges commerciaux ou pour non-conformité aux normes internationales.

Indiquons, enfin, que le bilan 2007 des activités des gardes-côtes fait ressortir l’interception de plus de 1080 immigrés clandestins dont 34 étrangers. Cela, outre la saisie de 166kg de drogue et 45kg de corail. Les gardes-côtes ont effectué l’année passée, plus de 85.000 opérations de contrôle de navires.
[ source ]
par Farouk DJOUADI
L'Expression - Edition du 3 Avril 2008

L’Algérie est prête à faire face à un tremblement de terre ...

# Administrateur | 02/04/2008 | Info

Le ministre de l’Habitat, Nourredine Moussa, invité de Fatour Essabahministre habitat


« L’Algérie est prête à faire face à un tremblement de terre de n’importe quelle magnitude »


M. Nourredine Moussa, ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, invité de Fatour Essabah, a révélé que la nouvelle politique de son secteur, qui est toujours en débat, cible l’octroi du logement à ses bénéficiaires, à travers un fichier national qui aidera à vérifier la véracité des informations sur tout demandeur de logement à l’avenir.
Noureddine Moussa a précisé que « le Gouvernement a anticipé la nouvelle politique et l’a accompagnée par la création d’un arsenal juridique et des caisses d’assurance ainsi que les établissements d’hypothèques ». Il a aussi révélé qu’« une caisse pour la garantie des financement des opérations de finition des constructions inachevées verra le jour après l’approbation par le Parlement du projet de loi de conformité des constructions et leur finition ».
Le ministre de l’Habitat prévoit que le décret exécutif relatif aux nouveaux mécanismes de logement, qui passe de la formule de logement social au logement public de location, contribue à alléger la crise du logement. Il a déclaré : « le logement social nous a causé beaucoup de problèmes, et à chaque opération de distribution, apparaissent les protestations et les plaintes ».
Parmi les avantages de cet amendement, l’invité de Fatour Essabah a précisé que « l’offre va comprendre de nouvelles catégories, marginalisées jusque là, comme les instituteurs et les enseignants ».

Un bureau d’études portugais pour la réurbanisation de la capitale

Le ministre de l’Habitat a révélé l’agrément d’un bureau d’études portugais afin d’élaborer un schéma directeur pour l’aménagement et l’urbanisation de la capitale, ainsi que l’actualisation de 800 plans.
Moussa a précisé que la construction à partir de l’urbanisme permet de régir les bâtisses sur les surfaces en Algérie, et elle s’appui sur la loi 29/90 relative à l’aménagement et l’urbanisation.
Le ministre a admis que le plan qui a été installé dans les années 1990 ne remplit pas toutes les exigences, vu qu’il a été formulé dans une conjoncture où manquaient les outils suffisants et où il était nécessaire de fournir des photos prises par satellite. Il a également indiqué que le plan a besoin d’actualisation, des rencontres ont été organisées qui devraient permettre de réaliser 1800 plans pour l’aménagement et l’urbanisme, avec l’importance de revoir l’état juridique des terres du point de vue de la propriété.

« L’Algérie est prête à faire face à un tremblement de terre de n’importe quelle magnitude »

Noureddine Moussa a révélé que le laboratoire d’essais relatifs aux tremblements de terre va être opérationnel à partir du mois de juin prochain. Selon lui, cet espace, qui se trouve à El Achour, est le premier du genre en Afrique, et il intervient dans le cadre des nouvelles législations adoptées par l’Algérie après le tremblement de terre de Boumerdés en 2003. Les experts spécialisés dans le génie antisismique vont pouvoir effectuer des essais, afin de prendre les précautions et les mesures nécessaires en cas de tremblement de terre.

Dans le même cadre, le ministre de l’Habitat a déclaré que les propriétaires de projets de logement doivent effectuer les études géotechniques qui déterminent la qualité de la terre. Ces études entrent, selon l’invité de Fatour Essabah, dans le cadre des nouvelles mesures relatives à la résistance aux tremblements de terre, après que l’Algérie ait été classée zone à haute activité sismique, chose confirmée par des experts algériens et étrangers juste après le tremblement de terre de 2003.
[ source ]
Par D. B/ H. S/ Traduit par F.L
El Khabar - Edition du 2 Avril 2008

Algérie - l’une des plus grandes usines de dessalement au monde

# Administrateur | 01/04/2008 | Info

STATION DE DESSALEMENT DE MAGTAĂ‚
Le singapourien Hyflux décroche le marché


La station est l’une des plus grandes usines de dessalement au monde, si ce n’est la plus grande.


Le groupement singapourien Hyflux, a décroché le marché de réalisation et d’exploitation de la station de dessalement de Magtaâ dans la wilaya d’Oran. Il a été choisi parmi six soumissionnaires, par la commission d’évaluation des offres. Hyflux a proposé 0,5577 dollar pour le m3 d’eau dessalée, soit quelque 40,15 dinars. Il a été choisi par l’Algerian Enrgy Company (AEC) hier, lors de l’ouverture des plis des offres commerciales qui s’est déroulée au siège de la Sonatrach.
L’unité de dessalement de l’eau de mer de Magtaâ coûtera plus de 460 millions de dollars. Sa capacité de production serait de 500.000 m3/jour et ferait d’elle l’une des plus grandes usines de dessalement au monde, si ce n’est la plus grande.
Le projet devra être réalisé dans un délai de 36 mois.

Une société mixte, MTM SPA, sera créée pour assurer le suivi de toutes les étapes de ce projet. Elle sera détenue à hauteur de 51% par Hyflux et 49% par l’AEC.
Quant au financement du projet, il sera assuré à hauteur de 30% par les fonds propres du groupement Hyflux alors que les 70% restants seront financés localement par des banques publiques algériennes avec la Banque nationale d’Algérie (BNA) comme chef de file.

Située dans la commune de Mers El Hadjadj (wilaya d’Oran), la station de Magtaâ est considérée comme le projet de dessalement «le plus important au monde» sur le plan du volume de production (500.000 m3), selon Sari Amenallah, directeur de l’AEC. Le projet est destiné à l’alimentation en eau potable de la région oranaise.
Lors de cette cérémonie, le directeur de l’AEC a annoncé, par ailleurs, pour la première décade d’avril prochain l’ouverture des plis relatifs aux projets des stations de dessalement de Ténès (Chlef - 200.000 m3), Oued Sebt (Tipasa - 100.000 m3) et El-Tarf (50.000 m3).

Les offres techniques de 13 entreprises et groupements d’entreprises internationales ont été retenues en mai dernier. Il s’agit des derniers projets de dessalement prévus par le programme quinquennal (2005-2009) qui en compte treize. Avec sa faible pluviométrie, la région de l’ouest du pays est connue pour son déficit en eau.
L’alimentation en eau potable de la ville d’Oran s’est faite, antérieurement à 1880, par le captage de la source de Ras El Aïne débitant 50 l/s environ d’eau douce. L’accroissement des besoins a nécessité, après cette date, le rapprochement des eaux de Brédéah jusque-là de bonne qualité avec un débit voisin de 80 l/s.
Depuis 1999, la qualité de ces eaux est devenue saumâtre.

Le résultat, sans doute, d’un mélange d’eau douce-eau salée dû à la présence de deux aquifères superposées, sans limites étanches les isolant.
L’intensité de plus en plus élevée des pompages le long du couloir Bou-Tlélis-Oran laisse supposer que ces nappes, superposées à ce niveau, souffrent d’un régime de surexploitation.

Avec cette capacité, soit 500.000 m3 de plus, il n’y a plus lieu de s’inquiéter, sachant que les besoins quotidiens des habitants de la wilaya d’Oran sont actuellement estimés à 360.000 m3/j.
[ source ]
par Abbas AĂŹT HAMLAT
L'Expression - Edition du 1 Avril 2008

Algérie : ratification de la convention de partenariat avec la France

# Administrateur | 01/04/2008 | Info

Algérie : ratification de la convention de partenariat avec la France



L'Algérie a ratifié la convention de partenariat avec la France. Le président Abdelaziz Bouteflika a signé le décret ratifiant cette convention signée le 4 décembre dernier à Alger lors de la visite d'Etat du président français Nicolas Sarkozy. Le décret vient de paraître au Journal officiel.

La convention ratifiée est une reconduction sur cinq ans de celle signée entre les deux pays en 1986, avec l'introduction de plusieurs nouveautés. Le document couvre plusieurs domaines de partenariats dans les domaines sécuritaires, économiques, politiques, administratives, culturelles et scientifiques. Les deux pays s'engagent par exemple à développer les établissements scolaires algériens en France et français en Algérie. Paris et Alger ont également convenu de développer en Algérie des pôles d'excellence algéro-français, le renforcement de la coopération entre les écoles et les universités des deux pays, la formation des cadres algériens.

Selon la convention, l'Algérie bénéficiera de l'aide de la France pour moderniser les structures de l'Etat et moderniser l'administration. Les deux pays se sont engagés à favoriser le retour en Algérie des compétences algériennes basées en France et à améliorer le climat des investissements en Algérie.

Côté français, la convention est en attente de ratification. "Nous avons un processus de ratification un peu long", précise une source diplomatique française.

La ratification de cette convention devrait contribuer à la relance les relations algéro-françaises qui traversent une période de froid glacial depuis la visite du président Sarkozy en Algérie. Les deux pays ne se sont pas parlé beaucoup depuis cette visite. En quatre mois, seules trois visites ministérielles ont eu lieu. Le ministre algérien des finances Karim Djoudi s'est rendu, début mars, à Paris pour signé un accord mettant fin au vieux contentieux historique dans les assurances. Le ministre de l'Aménagement du territoire, Chérif Rahmani a pris part, quelques jours plus tard, au Salon du Tourisme à Paris. Côté franais, hormis le secrétaire d'Etat à la Défense Alain Marleix, aucun autre haut responsable français ne s'est déplacé durant cette période en Algérie.
[ source ]
Par ali idir le 01/04/2008 Ă  13:01
Tout sur l'Algérie - Edition du 1 Avril 2008

Algérie - RECENSEMENT DE LA POPULATION ET DE L’HABITAT

# Administrateur | 31/03/2008 | Info

RECENSEMENT DE LA POPULATION ET DE L’HABITAT
L’ONS « compte » avec les Algériens


Les problèmes de la jeunesse, à l’exemple de l’emploi et de l’immigration, seront abordés dans cette opération.


Engagés depuis septembre 2006, les préparatifs pour le 5e recensement général de la population et de l’habitat Rgph-2008 ont atteint un stade avancé. Une équipe d’ingénieurs de l’Office national des statistiques s’est déployée, hier au niveau des rédactions pour remettre des documents explicatifs concernant cette opération d’envergure devant commencer le 16 avril prochain et prendre fin le 29 du même mois. Près de 61.500 agents et 5800 véhicules seront mobilisés pour mener à bien cette opération. Les recenseurs ont déjà bénéficié de cycles de formation spécifique et seront dotés de documents d’identification et d’habilitation. Des innovations ont été apportées au questionnaire de recensement, appelé Questionnaire communautaire et de proximité. Cet outil est conçu pour recueillir le maximum d’informations relatives aux conditions générales de la vie quotidienne des citoyens. Les citoyens seront invités à donner des réponses portant pratiquement sur tous les aspects de leur vie quotidienne. L’alimentation en eau, l’électricité et le gaz, l’évacuation des eaux usées et les biens possédés seront abordés, lors de ce recensement. Cela en plus d’autres questions portant sur l’adaptation des familles algériennes aux nouvelles technologies, à l’exemple de l’Internet. Les citoyens seront invités également, à donner des informations précises sur le nombre et la qualité des membres de leurs familles ayant quitté le pays. D’autres questions inhérentes à la vie professionnelle des Algériens et les moyens de transport utilisés ont été introduites dans le Questionnaire communautaire et de proximité. Les problèmes de la jeunesse, à l’exemple de l’emploi et des loisirs, seront aussi abordés dans cette opération.

Les familles nomades vivant dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux n’ont pas été en reste dans ce 5e recensement. Un questionnaire spécial est destiné à cette frange d’Algériens. Les questions concernant les familles nomades portent, entre autres, sur la superficie des terres possédées, le nombre de tentes et de têtes de bétail. Cela, en plus d’autres questions liées aux périodes de déplacement desdites familles. Les données, une fois récoltées, pourraient servir d’indicateurs importants pour l’Etat et les collectivités locales, en matière d’analyse et de planification d’actions. Les informations seront assurément d’une grande utilité dans la lutte contre le chômage, l’étude afférente à l’habitat, la structure démographique et le niveau d’instruction. Il faut dire, toutefois, que les quatre recensements de la population initiés à ce jour ont buté, entre autres problèmes, sur la «défiance» de la société. Par manque de confiance à l’égard de l’administration ou par réflexe négatif, plusieurs ménages donnent de fausses informations. Les agents du recensement sont délibérément mal informés par certains ménages en quête de logement ou d’aide sociale. Indiquons enfin que le prochain recensement se fera en principe au cours de l’année 2013, soit 5 ans seulement après le Rgph-2008.

Les autorités ont avancé que l’Etat dispose actuellement de moyens humains et matériels qui lui permettent de rapprocher les échéances et de ramener le recensement général de la population à tous les cinq ans.
[ source ]
par Abbas Farouk DJOUADI
L'Expression - Edition du 31 Mars 2008

ARCHIVES DE LA PÉRIODE OTTOMANE : L’Algérie aura des copies

# Administrateur | 31/03/2008 | Info

ARCHIVES DE LA PÉRIODE OTTOMANE
L’Algérie aura des copies


«Les originaux font partie aussi de notre patrimoine», a affirmé le responsable turc.


Le directeur des archives turc est formel. «La Turquie remettra bientôt des copies à l’Algérie, car les originaux font partie aussi de notre patrimoine», a déclaré Yusuf Sarinay, en marge de l’ouverture de la semaine culturelle des archives algéro-turque, samedi, à Alger. Cette manifestation se déroulera jusqu’au 3 avril prochain. L’initiative est prise par les Archives nationales en collaboration avec l’ambassade de la Turquie en Algérie.
De son côté, M.Chikhi, directeur des Archives nationales, a assuré qu’«il y aura des négociations avec les deux partenaires dans ce domaine durant cette semaine».
Avec pour thème «Algérie et la Turquie, ensemble pour défendre le territoire de l’Islam», au cours de cette semaine culturelle des archives algéro-turques les deux parties organisent «une exposition qui reflète l’amitié et la grande histoire ottomane en Algérie», a déclaré Abdelmadjid Chikhi, directeur des Archives nationales.
L’exposition regroupe des documents sur l’organisation des deux institutions, militaire, sociale et l’organisation administrative des provinces. L’exposition comprend aussi plusieurs cartes géographiques sous le thème «Le développement de l’empire ottoman depuis 1673».

«L’Algérie à l’époque ottomane», l’exposition a mis en exergue la situation des peuples, notamment lors des guerres.
Le directeur des Archives nationales turc Yusuf Sarinay, a affirmé qu’il est satisfait de cette collaboration. Les Ottomans ont séjourné plus de trois siècles en Algérie.
Un passage très controversé, notamment chez les politiques et les historiens. Certains disent qu’il s’agissait d’une occupation. D’autre, en revanche, soutiennent que les Turcs sont venus en amis.

L’ exposition retrace le vécu de tout un peuple comportant des copies originales des traités de paix et de commerce signés entre la Régence d’Alger et les pays européens, notamment avec la Suède en 1785, le Danemark en 1772, l’Espagne en 1791, les Pays-Bas en 1757 et en 1695 avec le Royaume-Uni. L’exposition comprend quelque 450 registres du fonds des Archives nationales relatifs à la période ottomane.
Lors de cette rencontre, une conférence de presse a été animée par les deux directeurs, algérien et turc, sur les relations qui lient ces deux pays. «Nous sommes très heureux de la collaboration entre nos deux pays.»
Dans cette optique, le directeur des Archives nationales a reçu un catalogue de la part de son homologue turc ainsi que deux lettres datant de l’époque de l’Emir Abdelkader.
Pour enrichir les connaissances des participants sur cette époque, l’historien et universitaire Ali Tablit a exposé une analyse intitulée «La marine algérienne durant l’époque ottomane». «La marine algérienne était très présente en Méditerranée et a même participé à la défense de pays voisins.»
Cette marine a permis à l’Algérie de construire toute une nation, a-t-il indiqué.
[ source ]
par Abbas Hakima SMAĂŹL
L'Expression - Edition du 31 Mars 2008

Espace Schengen : Les contrĂ´les frontaliers abolis...

# Administrateur | 31/03/2008 | Info

Espace Schengen : Les contrôles frontaliers abolis dans les aéroports de 8 pays européens


Les contrôles frontaliers ont été abolis dans les aéroports de huit pays d'Europe centrale et de Malte pour les passagers effectuant des vols à l'intérieur de l'espace Schengen de libre circulation.
Cette abolition de contrôles dans le trafic aérien intervient après l'élargissement de la zone Schengen à neuf nouveaux membres de l'Union européenne, après l'ouverture de leurs frontières terrestres et maritimes le 21 décembre. Suite à l'adhésion de Malte et de huit pays ex-communistes (Estonie, Lettonie, Lituanie, Hongrie, Pologne, Slovaquie, Slovénie, République tchèque), quelque 400 millions de personnes peuvent voyager sans passeport dans 24 pays européens.
Des cérémonies ont marqué l'événement samedi dans les pays concernés, notamment à l'aéroport de Tallinn en Estonie, ainsi qu'à Varsovie où un nouveau terminal a été inauguré in extremis à l'aéroport d'Okecie. L'espace Schengen de libre circulation compte actuellement 24 pays (22 des 27 Etats de l'UE, plus l'Islande et la Norvège). Chypre, membre de l'UE, la Suisse et le Liechtenstein, non membres, doivent y adhérer vers la fin de 2008.
[ source ]
Par El MOUDJAHID - 30-03-2008 Ă  21:06
El MOUDJAHID - Edition du 31 Mars 2008

Dimension humaine des relations euro-méditerranéennes

# Administrateur | 31/03/2008 | Info

Dimension humaine
des relations euro-méditerranéennes


La dimension humaine des relations euro-mĂ©diterranĂ©ennes doit-elle ĂŞtre abordĂ©e uniquement sous l’angle des flux migratoires, prĂ©occupation centrale des EuropĂ©ens ? Cette dimension est, du point de vue de l’AlgĂ©rie, au cĹ“ur mĂŞme de la problĂ©matique de l’union pour la MĂ©diterranĂ©e. L’AlgĂ©rie, par la voix de son ambassadeur en France, a exprimĂ© sa vision de l’union pour la MĂ©diterranĂ©e en gestation, mais aussi ses rĂ©serves et ses mises en garde contre un Ă©ventuel Ă©chec d’un projet, qui devait, Ă  l’origine, rĂ©unir les seuls pays riverains de la MĂ©diterranĂ©e, mais qui, depuis le 13 mars, est Ă©largi Ă  l’Union europĂ©enne. D’union de la MĂ©diterranĂ©e, le projet devient projet pour la MĂ©diterranĂ©e, après avoir Ă©tĂ© revu et corrigĂ© par l’Allemagne, puis avalisĂ© par l’Union europĂ©enne. Le glissement sĂ©mantique de l’intitulĂ© n’est pas neutre. Ni sur le contenu du projet, ni sur ses modalitĂ©s et règles de fonctionnement, ni sur ses visĂ©es et objectifs. « Une approche novatrice impliquerait de ne pas parler dĂ©sormais de â€â€maĂ®trise concertĂ©e de flux migratoires’’, mais de la dimension humaine des rapports entre l’Europe et les pays du Sud ; dimension qui doit ĂŞtre au cĹ“ur mĂŞme de la problĂ©matique de l’union pour la MĂ©diterranĂ©e », a indiquĂ© l’ambassadeur d’AlgĂ©rie en France. Et d’ajouter qu’« on ne peut pas, comme le faisait le processus de Barcelone, continuer Ă  prĂ´ner la libre circulation des biens, des capitaux et des services et, en mĂŞme temps, multiplier les restrictions donnant ainsi aux populations impliquĂ©es le sentiment d’être exclues d’un processus qui les concerne au premier chef ». Pour enfin plaider pour un « Schengen-mĂ©diterranĂ©en », a indiquĂ© Missoum Sbih, confortĂ© par son collègue du Maroc, lequel pays s’est pourtant montrĂ© très enthousiaste jusque-lĂ . Le clivage entre la vision portĂ©e par le Nord et celle du Sud est lĂ . Le Conseil europĂ©en des 13 et 14 mars a fait de la coopĂ©ration avec la MĂ©diterranĂ©e une des prioritĂ©s politiques de l’Union europĂ©enne avec la promesse de construire un nouveau mode de coopĂ©ration, fondĂ© sur la paritĂ© Nord-Sud et sur une liste de projets concrets. Mais n’est-ce pas lĂ  un Barcelone II revu et corrigĂ©, centrĂ© d’abord sur les intĂ©rĂŞts bien entendu de l’Europe qui se profile ? Pour lui permettre de rĂ©pondre d’abord Ă  ses besoins de main-d’œuvre qualifiĂ©e, de marchĂ©s, de sources d’approvisionnement Ă©nergĂ©tique ? Quelle part d’initiative pour le Sud Ă  ce projet ? Pour quels bĂ©nĂ©fices ? « On est passĂ© d’un projet d’union Ă  une union de projets Ă  gĂ©omĂ©trie variable », a avancĂ© l’ambassadeur d’AlgĂ©rie en France. Il appartient aux pays de la rive sud d’approfondir leur rĂ©flexion, de formuler leurs propositions, de faire valoir leurs intĂ©rĂŞts, s’ils veulent rĂ©ellement ĂŞtre un partenaire actif de ce projet d’union de la MĂ©diterranĂ©e, pour qu’il ne se fasse pas pour eux et sans eux.
[ source ]
Par Nadjia Bouzeghrane
El Watan - Edition du 31 Mars 2008

Algérie - 5e recensement général de la population et de l’habitat

# Administrateur | 29/03/2008 | Info

5e recensement général de la population et de l’habitat : Mieux cerner les besoins de développement


Cette opération d’envergure nationale, la cinquième du genre depuis l’Indépendance, concernera l’ensemble du territoire et permettra de constituer une banque de données précises sur la population et l’habitat sur la base de millions de questionnaires répartis en trois principales catégories destinés aux ménages. Le premier « questionnaire ménage ordinaire et collectif » (MOC) donne une définition économique de ce dernier comme étant un groupe de personnes vivant sous le même toit. Le second intitulé « questionnaire nomade » cerne les ménages nomades parmi ceux qui disposent en guise de logement, une tente ou autre construction précaire effectuant des déplacements périodiques ou fréquents alors que le « questionnaire population comptée à part » regroupe les personnes vivant dans les hospices, les bases de vie etc..
D’autres questionnaires sont également prévus à l’endroit des «sans domicile fixe» ou les SDF comme ils sont communément désignés.
L’initiative complexe, qui sera menée avec le concours technique de l’Office national des statistiques qui intervient dans la conception des ces documents, consiste à fournir une base de sondage fiable pour diverses enquêtes statistiques prévues par différentes institutions en rapport entre autres avec la main d’œuvre, la consommation des ménages, l’urbanisme et l’aménagement du territoire ainsi que l’évolution démographique. Il s’agira d’élaborer un outil d’évaluation, de suivi et de mise en œuvre des politiques de développement tant aux plans régional que national d’autant plus qu’il permet d’actualiser les données existantes et de ressortir les principaux indicateurs de la situation socioéconomique par wilaya et par commune.
Aussi, l’élaboration des plans de sondage de l’ensemble des enquêtes auprès des ménages par l’ONS à travers la base de sondage effectuée durant toute la période inter censitaire se fera en référence aux résultats du dernier recensement, soit celui de 1998. Cette opération, qui intervient dans une phase de grandes mutations, permettra d’autre part, une meilleure appréciation de la qualité des données issues d’autres sources. Des principes fondamentaux qui guideront l’opération, il y a lieu de souligner que les thèmes à couvrir sont tributaires de plusieurs facteurs à savoir «la comparabilité dans le temps», la comparabilité internationale», le niveau de qualification du personnel recenseur», «la limitation de l’opération dans le temps » et «la satisfaction des besoins du plus grand nombre d’utilisateurs» de l’information collectée.

Les caractéristiques démographiques, socioéconomiques
et de l’habitat, trois grands thèmes retenus


Les caractéristiques démographiques comportent une série d’intitulés dont la structure de la population par âge et par sexe, la natalité, la fécondité et la mortalité, la migration interne et la migration internationale. L’approche de la natalité à travers le recensement donne cet avantage de disposer d’estimations au niveau géographique le plus fin, des taux bruts de natalité par wilaya et par commune, des taux de fécondité générale ainsi que des taux bruts de mortalité. Par ailleurs, l’analyse de la migration interne est l’une des priorités du recensement en Algérie. La répartition spatiale de la population et les mouvements migratoires inter wilayas et inter communes s’avèrent ainsi, des éléments fondamentaux dont la maîtrise s’impose dans le «domaine de l’aménagement du territoire pour une allocation optimale des ressources en matière de planification et de prévisions». Dans le même contexte, l’intégration de la migration internationale est justifiée par l’absence de données à travers d’autres sources d’où la nécessité de disposer de statistiques pour l’étude du phénomène.
Au chapitre des indicateurs socioéconomiques, le recensement abordera les questions liées à la composition des ménages, l’éducation, la scolarisation et l’analphabétisme et, en toute évidence l’activité économique. Il s’agira d’identifier la typologie des ménages et des familles en Algérie et les mutations opérées conséquemment aux évolutions socioéconomiques ce qui permettra d’élaborer les programmes de logements, d’initier des actions sociales au profit des populations vulnérables. Le recensement à ce niveau est censé également fournir des données précises sur l’analphabétisme et les taux de scolarisation par palier nécessaires à l’élaboration des politiques d’éducation. Sur un autre registre, les statistiques économiques devront permettre de «mesurer l’activité économique des ménages et de faire ressortir les disparités régionales». Le troisième grand volet inclut le type d’habitat, la commodité du logement, le logement et réseaux publics et, enfin, les conditions de vie des ménages.
Akila D.

A retenir

L’exécution du RGPH est prévue du 16 au 30 avril 2008 alors que la campagne de sensibilisation qui a débuté le 1er mars devra durer jusqu’au 30 avril.
Des sessions de formation pour l’encadrement de l’opération ont été programmées du 15 mars au 3 avril pour les formateurs et du 15 mars au 14 avril pour les contrôleurs et les recenseurs
La récupération des documents du RGPH est prévue du 2 au 31 mai 2008
Un effectif de 61 448 personnes soit 42 511 recenseurs, 8 652 contrôleurs, 2 548 formateurs, 2 455 délégués et 5 282 éléments de réserve est prévu au titre du RGPH
Le 5e recensement intervient après ceux effectués en 1966, 1977, 1987 et 1998.
[ source ]
Par Akila D. - El MOUDJAHID 28-03-2008 Ă  20:58
El MOUDJAHID - Edition du 29 Mars 2008

Séisme : Le CRAAG a lancé depuis 2004 une étude

# Administrateur | 29/03/2008 | Info

Séisme : Le CRAAG a lancé depuis 2004 une étude pour connaître les structures actives


L’Algérie est située dans une zone sismique et la possibilité de la survenue d’un tremblement de terre est envisageable. En effet, estiment les experts, l’on enregistre régulièrement des secousses, plus ou moins importantes, certaines d’entre elles sont ressenties, alors que d’autres passent inaperçues pour la population, car elles sont de faibles magnitudes.
Il faut dire aussi que ces répliques permettent de dégager la pression cumulée par la terre. Pour ces derniers, l’activité sismique, au nord du Maghreb est incluse dans le contexte géodynamique planétaire, puisqu’il représente la marge frontale nord de l’Afrique, au sens tectonique africaine. Cette plaque africaine, selon les spécialistes, se déplace vers le nord, à raison de 0,8 centimètre par année. Au cours de ce déplacement, la plaque africaine entre en collision avec la marge frontale sud de la plaque européenne. Il en résulte, la formation d’un ensemble de parties en contact.
Autrement dit, un affrontement entre la marge africaine qui intègre le Maghreb et la marge sud (Europe), représentée par la France, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, entre autres.
Cet affrontement entre les plaques remonte à 65 millions d’années environ, donnant ainsi naissance à un écrasement des deux marges de la chaîne de montagnes (chaîne alpine), allant jusqu’en Chine. Les montagnes du Maghreb, dont l’Atlas saharien et l’Atlas tellien, sont incluses dans la chaîne alpine.
Ce sont, à vrai dire, les résultats de l’évolution de cette chaîne qui ont abouti à la configuration de la géodynamique actuelle.
La sismologie de cette chaîne est, de ce fait, l’expression saccadée des petites déformations qui s’accumulent le long des failles de cette chaîne.
Pour rappel, le CRAAG a lancé en 2004 une étude géophysique sur la marge sismique, en mer. Cette même étude est toujours en cours pour identifier les structures actives.
[ source ]
Par Samia D. 28-03-2008 Ă  20:58
El Moudjahid - Edition du 29 Mars 2008

réception prochaine de deux nouveaux sous-marins et acquisition de 4 frégates

# Administrateur | 28/03/2008 | Info

Algérie : réception prochaine de deux nouveaux sous-marins et acquisition de 4 frégates


L'Algérie réceptionnera en 2009 un nouveau sous-marin classique de fabrication russe. La marine nationale a entamé la formation de sous-mariniers pour prendre possession de son troisième sous-marin. Des équipes seront envoyées sur le chantier naval russe de St-Petersbourg où sont fabriqués les sous-marins.

L'Algérie dispose actuellement de deux sous-marins opérationnels de fabrication russe. La marine nationale devra réceptionner un quatrième sous-marin en 2010 pour renforcer ses moyens militaires. Le Maroc a, de son côté, tenté d'acquérir quatre sous marins, mais le projet n'a pas abouti faute de financement. Plus riche que son voisin de l'ouest grâce aux recettes pétrolières et gazières engrangées ces dernières années, l'Algérie compte s'affirmer comme la seule puissance militaire maghrébine.

Seul pays maghrébin qui dispose de sous-marins, l'Algérie compte acquérir quatre frégates. L'Allemagne serait bien placée pour décrocher ce marché, devant la France et la Russie. Actuellement, la marine algérienne ne dispose pas de frégates.
[ source ]
Par ali idir le 27/03/2008 Ă  18:37
Auto Algérie - Edition du 28 Mars 2008

Algérie - Il cause des dégâts à Bouira

# Administrateur | 25/03/2008 | Info

Il cause des dégâts à Bouira


Quand le sanglier prolifère...


On signale sa présence en grand nombre dans les différentes localités de la wilaya.


Les dégâts occasionnés aux récoltes par le sanglier peuvent parfois prendre l’allure d’une calamité.ela est d’autant plus préjudiciable pour une région à vocation agricole, car on assiste ces dernières années à une prolifération de cet animal nuisible. On nous avait déjà signalé sa présence en grand nombre aux abords immédiats de Adjiba. Dernièrement, on l’ a repéré au lotissement 338, au nord-ouest de Bouira où il vient fourrer son groin dans les poubelles puis renverser le contenu par terre. Il n’y a pas si longtemps encore, un agriculteur à El Mokrani, dans la daïra de Souk El Khemis, à 45 km à l’ouest de Bouira, se plaignait à un député des importants dommages enregistrés sur ses terres agricoles par cet animal armé de redoutables défenses qui lui permettent de défoncer un champ de blé ou un jardin. Ce même député nous en parlait alors que sur notre route, à l’entrée du village de Saïd Abid, à 6 km à l’ouest de Bouira, deux sangliers qui tentaient de traverser la RN 18, ont été fauchés par un véhicule. L’un est mort sur place alors que l’autre n’était que blessé. Le député rapporte que l’agriculteur d’El Mokrani voulait prendre son fusil pour chasser cet animal, véritable saccageur de récoltes, mais que les autorités s’y opposaient. Une vétérinaire que nous avions croisé, il y a peu de temps, à la Chambre d’agriculture, refuse de parler de prolifération à propos du sanglier mais reconnaît que les agriculteurs sont confrontés à d’importants dégâts causés par cette bête terrible, comme cet agriculteur à Rehimet, au nord-ouest de Bouira qui en une nuit, a vu son verger d’amandiers dévasté par une horde de sangliers. Mais il faut savoir que le sanglier fait partie de l’écosystème forestier et sa disparition ne peut s’envisager sans de grosses conséquences sur le système écologique.
[ source ]
Par Ali D.
El Watan - Edition du 25 Mars 2008

France : Les agences de voyages résistent à Internet

# Administrateur | 24/03/2008 | Info

Les agences de voyages résistent à Internet


Le nombre de points de vente reste stable. Nouvelles Frontières a décidé d'étoffer son réseau.


Cette année, Nouvelles Frontières ouvrira une quarantaine d'agences pour être plus proche de ses clients. Il s'agit de petites boutiques d'une cinquantaine de mètres carrés environ ouvertes dans les villes moyennes où le voyagiste n'est pas encore présent. Son objectif est de couvrir 70 % du territoire contre 46 % aujourd'hui. Le pas-de-porte, le fonds de commerce et les travaux de rénovation sont financés à 85 % par Nouvelles Frontières. « Nous voulons permettre à de jeunes créateurs d'entreprise qui n'ont pas forcément les moyens financiers nécessaires d'ouvrir leur propre agence et de développer notre marque, explique Jean-Marc Siano, directeur général de Nouvelles Frontières. Sur un coût moyen d'investissement de 70 000 euros par agence, nous demandons au candidat d'apporter 15 % de la somme. Nous avons déjà reçu 600 dossiers, dont certains viennent de responsables d'agences concurrentes. »

Le voyagiste consacrera 2,4 millions d'euros pour étendre son réseau de distribution. Une nouvelle preuve qu'Internet n'a pas supprimé les agences de voyages.

Contact humain

Aux États-Unis, la multiplication des sites de voyages a entraîné la disparition de 30 % des agences de voyages. Le même scénario était attendu en France. Quand Internet semblait s'imposer comme le premier réseau de distribution, Air France et la SNCF réformaient, en 2003, le système de commission des agents de voyages sur la vente de titres de transport. Cinq ans après, Internet n'a pas remporté la victoire. « Il se crée plus d'agences qu'il ne s'en ferme, observe Rachid Temal, directeur au Comité régional du tourisme d'Ile-de-France. Malgré le fort développement d'Internet, il y a toujours aujourd'hui autant d'agences de voyages en France : 5 500. »

Le Web, qui réalise le quart des transactions, s'est révélé complémentaire. « Internet est le meilleur ami de l'agence de voyages, assure Jean-Marc Siano. 70 % des gens qui franchissent leur seuil ont déjà consulté Internet et veulent avoir des réponses précises à leurs interrogations. Ils ont besoin pour cela d'un contact humain. » Écouter le client : c'est le message que martèle Georges Colson, président du Syndicat national des agents de voyages (Snav) à ses adhérents. « Votre agence n'est pas un comptoir d'enregistrement, c'est un lieu d'échanges, a-t-il répété lors du congrès du Snav, la semaine dernière à Biarritz. Veillez à ce que vos clients n'attendent pas. Soyez curieux, apprenez à les connaître. Soyez aussi proches d'eux que leur médecin de famille. »
[ source ]
par Éric de La Chesnais
Le Figaro - Edition du 24 Mars 2008

ANNONCÉE POUR FIN MARS, L'OUVERTURE DU JARDIN D'ESSAI EST REPORTÉE

# Administrateur | 24/03/2008 | Info

Alors qu’elle était annoncée pour fin mars

jardin
« L’ouverture aurait lieu début avril »


L’échéance ne sera peut être pas tenue : prévue pour fin mars, l’inauguration du Jardin d’Essais du Hamma n’aura lieu qu’au début du mois d’avril. Pour seul argument, le directeur de l’établissement, M. Zeriat, assure qu’il n’est guère facile d’arrêter une échéance au bout de laquelle il est possible d’ouvrir au public l’espace, « lorsque l’on sait que le jardin, ayant nécessité beaucoup de travaux, a fermé il y a dix ans ».



Ceux-ci ne prendront pas fin avec l’ouverture du jardin, mais continueront toujours dans cet espace de quelque 30 ha. « Nous procéderons par tâtonnement. Les besoins seront pris en charge au fur et à mesure », relève-t-il. Du nouveau, par contre, il y en a, atteste le directeur qui affirme qu’un travail poussé à été entrepris par le désormais établissement du Jardin d’Essais, mis sous la tutelle de la wilaya d’Alger, en vertu du décret exécutif 350-06 du 5 octobre 2006. « Quelque 400 rosiers de 70 variétés différentes ont été acquis, et une collection de palmiers le sera dans les prochains jours », relève M. Zeriat qui a affirmé que quelque 600 espèces ont été perdues. Le zoo, qui date de 1900, ne sera pas en reste : des « petites » acquisitions ont été faites par la direction du jardin. « Nous étions en pourparlers avec les responsables du parc de Ben Aknoun pour ramener des animaux, le plutôt sera le mieux. Un appel d’offres international est intervenu à cet effet », indique-t-il. Aussi, le Centre d’éducation à l’environnement a été complètement rénové et il aura à accueillir des enfants. L’accès au jardin est de 20 DA pour les adultes et de 10 DA pour les enfants. « D’autres formules pourraient être à l’étude pour prendre en charge les familles nombreuses. Elles concerneront les abonnements et autre tarifs forfaitaires », atteste le directeur en signalant qu’un centre d’accueil et d’information, « véritable joyau » situé à la porte nord, est en chantier. « Pas question que les voitures garent à l’intérieur », insiste-t-il, en assurant qu’« un parking sera aménagé à l’extérieur sur les trottoirs faisant face à l’entrée nord du jardin ». « Deux kiosques ont complètement été rénovés et l’établissement lancera un avis d’adjudication pour céder leur gestion incessamment », déclare Zeriat qui affirme que deux groupes de sanitaires seront réceptionnés. La sécurité des visiteurs sera assurée par plus de 60 agents. « Il n’est pas question d’engager une société de gardiennage qui coûte très cher. Ceux qui sont actuellement au jardin seront formés par la Protection civile. Un programme qui aura trait, par exemple, à la lutte contre les incendies débutera aujourd’hui (hier) », relève-t-il. Seul couac : l’école d’horticulture, touchée de plein fouet par le séisme, ne sera pas prête. « Le bâtiments nécessitent de gros travaux qui ne prendront fin qu’en été », insiste l’ancien directeur de l’Epic Edeval qui s’est chargé du gros des travaux à l’intérieur de l’enclos. Comme convenu dans la délibération de l’administration, la formation, devant être organisée dans les locaux de l’école, n’aura pas lieu, mais se fera toujours à l’intérieur. « Les jardiniers en fonction auront une formation de trois mois pour se parfaire. Sera concerné, en premier lieu, un groupe de 15. Il assurera l’entretien du jardin », relève-t-il en assurant que l’Epic qui s’est occupé de cet aspect « quittera incessamment le jardin », et seuls les employés de l’établissement de wilaya auront à prendre en charge l’entretien. Les ingénieurs de l’ANN ne se représentent pas cet « obstacle », sur lequel butte la direction. « Finis les problèmes. L’abcès a été crevé », assure M. Zeriat.
[ source ]
Par Nadir Iddir
El Watan - Edition du 24 Mars 2008

REBOISEMENT : L’Algérie veut régénérer ses forêts

# Administrateur | 22/03/2008 | Info

REBOISEMENT
L’Algérie veut régénérer ses forêts


30 millions d’hectares sont menacés de désertification en Algérie.


350 agents de la Sûreté nationale ont participé ce week-end à une opération de reboisement à la forêt de Baïnem (Alger) à l’occasion de la Journée de l’arbre. « La DGF a planté 120 millions d’arbres en 2007 sur 74.000 hectares. C’est ce qui permet à l’Algérie de figurer parmi les 5 premiers pays sur le plan mondial en matière de reboisement », a indiqué un responsable de la Sûreté nationale.

Le même responsable a ajouté que cette superficie sera reboisée durant l’année en cours pour « atteindre les 100.000 hectares par an à l’horizon 2009-2010 ». Le plan de reboisement élaboré par le gouvernement a permis, par ailleurs, « de mettre en valeur 3.000.000 hectares et traiter 500.000 hectares », a-t-il encore renchéri.
Une source proche du ministère de l’Agriculture et du Développement rural a indiqué que « l’Algérie a reboisé plus de 1.300.000 hectares depuis l’Indépendance à nos jours ». En Algérie, 30 millions d’hectares sont menacés de désertification en Algérie, dont 5 millions d’hectares sont très sensibles, selon des études effectuées par les services du ministère de l’Agriculture. Cela étant, l’Algérie n’est pas à la traîne en matière de reboisement. L’Organisation des Nations unies (ONU) classe l’Algérie en deuxième position après la Chine en matière de reboisement, de préservation des forêts et de lutte contre la désertification, a indiqué le directeur de la lutte contre la désertification, de la mise en valeur des terres et du reboisement à la direction générale des forêts (DGF), M.Abdelkader Khelifa. De son côté, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a piloté jeudi dernier une opération de mise en terre de quelque 300 jeunes plants à Sidi Abed sur les hauteurs du mont Doui dans la commune de Aïn Defla en appelant, à cette occasion, les différents intervenants à « redoubler leurs efforts dans les opérations de reboisement des abords de l’autoroute Est- Ouest ».
Pour rappel, la lourde tâche de faire face au phénomène de la désertification et de l’érosion des sols, incombe en premier lieu à la direction générale des forêts (DGF).
Créée en 1995, sous tutelle du ministère de l’Agriculture, la DGF s’appuie sur un organe national de coordination. Celui-la a été mis en place en 1998. Il est chargé de suivre l’ensemble des activités ayant trait à la lutte contre la désertification. La loi de finances complémentaire pour 2002 a institué un Fonds de lutte contre la désertification et pour le développement du pastoralisme et de la steppe.
[ source ]
par Lynda BEDAR
L'Expression - Edition du 22 Mars 2008

Lili Boniche s’en va, il fut une figure majeure de la musique...

# Administrateur | 20/03/2008 | Info

Il fut une figure majeure de la musique populaire algéroise

liliboniche


Lili Boniche s’en va


Décidé à moderniser son style, Lili Boniche avait initié un genre populaire à part, mélangeant rumba, paso doble, tango, mambo, musique arabo-andalouse et écrivant des chansons en « francarabe ».


Le chanteur Lili Boniche, figure de la musique judéo-arabe et vedette de la chanson populaire algéroise dans les années 1930 et 1940, est décédé le 6 mars à Paris à l’âge de 85 ans, a appris hier l’AFP, dans son entourage familial. Après de longues années passées loin du milieu artistique professionnel, le « crooner de La Casbah » avait été redécouvert par les jeunes générations dans les années 1990, sur scène comme sur disque. Lili Boniche, dont l’épouse est décédée quelques jours après lui, avait publié en 1999 l’album Alger, Alger, produit par l’Américain Bill Laswell, puis, en 2003, œuvres récentes, avec la collaboration du chanteur -M- et du batteur Manu Katché. Certaines de ses chansons avaient été utilisées dans les films Le grand pardon, La vérité si je mens ou Mémoires d’immigrés.

Lili Boniche était né en 1922 à Alger, dans une famille juive. Dès l’âge de 10 ans, il avait été l’élève de Saoud l’Oranais, maître du hawzi, dérivé populaire de la musique classique arabo-andalouse. Devenu un virtuose du luth, il s’était vu confier une émission hebdomadaire sur Radio Alger à l’âge de 15 ans. Décidé à moderniser son style, Lili Boniche avait ensuite initié un genre populaire à part, mélangeant rumba, paso doble, tango, mambo, musique arabo-andalouse et écrivant des chansons en « francarabe » (un mélange des deux langues). Il avait notamment repris la chanson Bambino de Dalida. Après avoir délaissé la musique pour épouser une comtesse, il avait pris la direction de quatre cinémas à Alger. Il était parti pour la France après l’indépendance de l’Algérie en 1962 et s’était reconverti dans les affaires (la restauration ou la vente de matériel de bureau). Bien qu’il n’ait jamais abandonné le chant, le luth et la guitare, Lili Boniche ne se produisait alors plus que dans les fêtes et les mariages, avant de retrouver la scène et les studios au tournant des années 1980 et 1990. Lili Boniche apparaissait dans le récent documentaire Alger-Oran- Paris, les années music-hall, aux côtés d’autres artistes emblématiques de l’Algérie des années 1950, comme son ami Maurice El Medioni ou Reinette l’Oranaise.
[ source ]
Par A.F.P.
El Watan - Edition du 20 Mars 2008

Jumelage Oran-Bordeaux

# Administrateur | 19/03/2008 | Info

Jumelage Oran-Bordeaux


Stage de formation pour les pépiniéristes communaux


Dans le cadre du protocole d’accord de jumelage des villes de Bordeaux (Sud-est de la France) et d’Oran, un deuxième stage de formation est envisagé au cours de cette année au profit des agents et cadres des pépinières relevant de la division de protection de l’environnement et du service informatique de la commune d’Oran, apprend-on auprès de l’administration du siège de l’Hôtel de Ville.


L’objectif de ce cycle de formation est d’acquérir une base d’information et de réflexion sur l’environnement. Les stagiaires auront également l’occasion de faire l’état des lieux des pratiques environnementales et organisationnelles de la commune d’Oran et trouver des pistes d’amélioration adaptées au contexte de la cité de Sidi El-Houari, à la lumière des visites effectuées en 2006 par la délégation des élus et techniciens de la mairie de Bordeaux à Oran. Rappelons à ce propos que le premier stage s’est déroulé à Bordeaux, à la suite des visites réciproques des maires des deux villes. Il a concerné 20 participants, dont 4 élus de l’APC et 16 cadres des divisions de l’hygiène et de l’assainissement et de la protection de l’environnement ainsi qu’un responsable syndical. Les thèmes principaux de ce stage, encadré par des spécialistes bordelais, a permis à la délégation oranaise de s’initier aux méthodes modernes de destruction des déchets et de recyclage des ordures ménagères, de l’utilité des incinérateurs et de la technique de ramassage, de tri sélectif des déchets toxiques, notamment hospitaliers et de la protection de l’environnement.
[ source ]
par A. Denia
El Watan - Edition du 19 Mars 2008

Alger - Cinq nouvelles radios locales lancées

# Administrateur | 18/03/2008 | Info

Cinq nouvelles radios locales lancées


Cinq nouvelles radios locales seront lancées d’ici le 1er mai prochain, a annoncé, hier, le directeur général de la Radio nationale, M.Azzedine Mihoubi, lors de la célébration à Alger du premier anniversaire de la Radio internationale de l’Enrs. Il a indiqué que le programme de mise en place de ces radios sera complété, en relation avec Télédiffusion d’Algérie (TDA) pour la partie technique d’émission, dans les prochains mois à une cadence accélérée, pour promouvoir « l’information de proximité et les cultures locales ».
Azzedine Mihoubi a salué dans ce contexte l’effort de l’Etat et des collectivités locales dans le lancement de ces radios qui viennent renforcer le dispositif national de couverture pour « porter haut et fort la voix de l’Algérie ».
Le directeur de la Radio internationale M.Mohsen Slimani a énuméré pour sa part «les pas accomplis par cette jeune radio, grâce au dynamisme de son jeune staff journalistique et technique» avant que le secrétaire général du ministère de la Communication ne réitère la ferme volonté des pouvoirs publics à aider à l’éclosion de ces médias de proximité et à accompagner les initiatives de l’Enrs.
Des responsables et journalistes-animateurs ont été récompensés à l’occasion de cette célébration.
[ source ]
par R.N
L'Expression - Edition du 18 Mars 2008

Algérie - préparatifs pour le recensement général de la population

# Administrateur | 18/03/2008 | Info

Préparatifs du recensement


Les préparatifs pour le recensement général de la population, prévu du 17 au 30 avril prochain, abordent leur phase ultime avec le regroupement, dans les jours qui viennent, des agents qui seront engagés dans cette opération, à l’effet de suivre une formation. La touche finale pilotée par la direction de la Planification et de l’Aménagement du Territoire s’emploie, sous la férule d’un ingénieur statisticien de la wilaya, à doter les exécutants des outils règlementaires nécessaires à leur mission. A raison d’un agent pour 80 foyers, les 524 employés du recensement à l’échelle de la wilaya sont secondés par des assistants et peuvent par ailleurs compter sur des suppléants pour les contacts destinés à préserver les particularités.
[ source ]
par M. S.
El Watan - Edition du 18 Mars 2008

Oran - Recensement de la population le 15 avril prochain

# Administrateur | 10/03/2008 | Info

DĂ©mographie : Recensement de la population le 15 avril prochain

La 5ème opération de recensement de la population et de l’habitat (RPH) débutera le 15 avril prochain à travers l’ensemble des 26 communes de la wilaya d’Oran.


Un éventail composé de 5 catégories a été concocté à l’effet de permettre une meilleure prise en charge de l’évolution sociale, professionnelle et culturelle de l’individu. Un maillage qui sera mené par 2 210 agents et enquêteurs relevant des différents services de la wilaya. La première catégorie concerne la famille et l’habitat, suivie par le ciblage de la fonction et de l’âge ainsi que de la nationalité de l’individu recensé. La troisième catégorie touche les nomades originaires des Hauts Plateaux pour l’identification du tracé de leur itinéraire de circulation, le nombre de leurs tentes et de leur cheptel. Il s’agit pour les agents recenseurs de définir avec exactitude les préoccupations et les demandes de cette population en perpétuel mouvement. Le quatrième volet de recensement est destiné à la population incarcérée et aux personnes âgées hébergées dans les centres d’accueil. Enfin, la cinquième catégorie des personnes ciblées par cette opération concerne les citoyens sans logement, les ressortissants étrangers et les jeunes âgés entre 15 et 29 ans.
[ source ]
Par A. Br.
El Watan - Edition du 10 Mars 2008

Algérie : Des chaînes télévisées régionales seront créées

# Administrateur | 03/03/2008 | Info

BOUKERZAZA À CONSTANTINE
« Des chaînes télévisées régionales seront créées »


de la Communication a réaffi mé, hier, que l’Etat n’est pas près d’ouvrir le champ audiovisuel au privé. En visite de travail à Constantine, Abderrachid Boukerzaza a, néanmoins, annoncé que les stations de télévision seront prochainement transformées en chaînes régionales. Les premiers essais auront lieu en juillet prochain. Ce projet fait partie des cinq pôles de communication retenus par le gouvernement et approuvés par le président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, a indiqué le ministre de la Communication. Ces pôles concernent Alger, Oran, Constantine, Béchar et Ouargla. Tandis que deux émissions quotidiennes seront prévues, à partir du 5 juillet prochain, via le service Internet en attendant la liaison qui s’effectuera graduellement par des satellites, a encore affirmé M.Boukerzaza. Pour ce faire, il sera procédé à l’extension des émetteurs de Kef Lakhel. Auparavant, le ministre de la Communication s’est rendu aux stands des exposants au Palais de la culture Malek-Haddad.

Il s’est rendu, ensuite, à la station de transmission de la télévision située à Kahf Lakhal sur les hauteurs de Djebel El Ouahch. Boukerzaza s’est dirigé, enfin, à la nouvelle imprimerie de Boumerzoug. Ce projet a été lancé en 2005 et inauguré en 2007. L’imprimerie de Constantine offre ses services en couleurs à une trentaine de journaux, dont L’Expression, Echourouk, El Moudjahid, Ennasr, Le Soir d’Algérie...
[ source ]
Par Ikram GHIOUA
L'Expression - Edition du 3 Mars 2008

Tigzirt (Algérie) : Restauration des ruines Romaines

# Administrateur | 02/03/2008 | Info

Tigzirt : Restauration des ruines Romaines


Le séisme de mai 2003, qui a touché la ville balnéaire de Tigzirt, a sérieusement endommagé les vestiges des ruines romaines de la ville et le mausolée de Samaâ à Taksebt, un village historique, dans la commune d’ Iflissen. Suite à la mobilisation des citoyens et les dénonciations des pillages des monuments, une importante enveloppe budgétaire vient enfin d’être débloquée par le ministère de la Culture pour la restauration et la préservation de ce patrimoine en perdition. D’ailleurs, des travaux sont menés sur le terrain par des spécialistes et des archéologues envoyés spécialement d’Alger, a-t-on constaté. Entre outre, un inventaire sera fait prochainement sur la base duquel un plan de mise en valeur sera conçu au grand bonheur des habitants de Tigzirt qui attendent depuis longtemps la prise en charge de ces ruines. L’espoir de l’ouverture d’un musée local d’archéologie et d’histore, à la hauteur de la richesse de la région en la matière, est sans cesse renouvelé par les associations culturelles pour préserver toutes les pièces et les objets d’antiquité dont certains se trouvent actuellement à l’office de tourisme de Tigzirt.
[ source ]
Par A. Igoudjil
El Watan - Edition du 2 Mars 2008

Algérie - DÉBUT DE MISE À LA CIRCULATION DES NOUVEAUX AUTORAILS

# Administrateur | 28/02/2008 | Info

DÉBUT DE MISE À LA CIRCULATION DES NOUVEAUX AUTORAILS DE LA SNTF
En voiture!


Des journées portes ouvertes seront organisées dans toutes les villes desservies par ces autorails.


Les nouveaux autorails seront mis en circulation le 10 mars prochain. C’est la direction de la Société nationale des transports ferroviaires (Sntf) qui l’a affirmé dans un communiqué parvenu, hier, à notre rédaction.
Cet événement va donc transformer le monde du rail en Algérie.

Ces nouvelles acquisitions sont d’un confort égal aux meilleurs standards européens. Ils offriront un transport moderne et performant et procureront à la clientèle la sécurité et un luxe absolus lors de leurs déplacements.
Le communiqué indique que des journées portes ouvertes seront organisées dans toutes les villes desservies par ces autorails. Cette action permettra de mieux familiariser le citoyen à ce nouveau moyen de transport. Le public pourra ainsi, découvrir ces machines toutes neuves dans les gares suivantes: Tlemcen et Sétif le 5 mars, Bordj Bou Arréridj et Sidi Bel Abbès le 6 mars. Le 8 mars viendra le tour de Bouira et Oran.
Des campagnes d’information et de communication accompagneront ces journées. Une couverture médiatique sera assurée par les radios locales et la presse écrite.

A noter que d’autres réseaux de chemin de fer seront aussi desservis au fur et à mesure de la réception de ce nouveau matériel.
La commande passée par la Sntf auprès du constructeur espagnol CAF, sera totalement satisfaite en novembre prochain. Le coût global de cette opération s’élève à 580 milliards de dinars.
Il convient de rappeler qu’au début de cette année, la Sntf a organisé un voyage inaugural et d’essai de ces autorails nouvellement acquis. La presse avait été conviée à cet événement. Le voyage a eu lieu à partir de la gare de l’Agha jusqu’à la ville de Blida.
Durant le mois de janvier, la ville d’Oran a été ralliée à partir d’Alger en un temps record: 4 heures.
La vitesse de ces machines peut atteindre 160km/h avec une sécurité totale et permettent de réduire substantiellement les temps de parcours. L’autorail est composé de trois rames de 200 places assises. Il peut être jumelé pour doubler ses capacités de transport.
Cette nouveauté contribuera à la modernisation du transport ferroviaire en Algérie répondant, ainsi aux besoins, de transport et de confort des voyageurs. Conçu selon un «design moderne», l’autorail est doté de nombreuses commodités dont un système d’ouverture automatique des portières et un système de climatisation.
[ source ]
Par Lounès GUERMOUR
L'Expression - Edition du 28 FĂ©vrier 2008

Alger :Les opérateurs de téléphonie mobile sommés d’identifier leurs abonnés

# Administrateur | 28/02/2008 | Info

Ils ont jusqu’à fin avril pour se conformer à la loi


Les opérateurs de téléphonie mobile sommés d’identifier leurs abonnés


L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a sommé les opérateurs de téléphonie mobile d’identifier, avant fin avril, l’ensemble de leurs abonnés, a indiqué hier à Alger le président du conseil de l’ARPT, Mohamed Belfodil.


« Les puces non identifiées seront résiliées à partir de cette date », a encore averti M. Belfodil lors d’une conférence de presse. « Une procédure a été élaborée en collaboration avec l’ensemble des opérateurs afin de pallier le phénomène des puces non identifiées », a-t-il précisé, ajoutant que « l’ARPT n’a pas usé de méthodes brutales jusqu’à présent en raison des priorités économiques ». M. Belfodil a tenu toutefois à préciser que le contrôle de la vente des puces téléphoniques, considérées comme un produit commercial, « n’est pas du ressort de l’ARPT, mais de celui des services concernés », relevant par-là même que le taux des puces non identifiées est de « 10% ou 15% ». L’ARPT a également exhorté les opérateurs de la téléphonie mobile de répertorier leurs abonnés dans le but d’élaborer un annuaire téléphonique, a-t-il relevé. Par ailleurs, le président de l’ARPT a affirmé que l’opération de la nouvelle numérotation à dix chiffres de la téléphonie mobile, lancée le 22 février, « ne connaît aucun problème ou complication ». S’agissant de la téléphonie de 3e génération et du Wimax (Worldwide Interoperability for Microwave Access), M. Belfodil a indiqué, selon l’APS qui a rapporté l’information, que les résultats de l’étude, en cours de réalisation, sur les voies et moyens d’intégrer ces nouvelles technologies dans le marché national « seront connus vers la fin du mois de mars ». Il a également annoncé que le même mois verra l’ouverture des plis relatifs au lancement du service universel en Algérie, un dispositif d’« une importance capitale », selon l’orateur, dans le sens où il permettra aux habitants des zones rurales et autres régions enclavées d’accéder aux services des télécommunications. Son financement se fera par la contribution des opérateurs de téléphonie à hauteur de 3% de leur chiffre d’affaires, et si cela s’avère nécessaire, par une contribution de l’Etat, a précisé M. Belfodil.
[ source ]
Par Aniss Z.
El Watan - Edition du 28 FĂ©vrier 2008

Algérie - Transport ferroviaire : extension du réseau ..

# Administrateur | 28/02/2008 | Info

Transport ferroviaire

Dédoublement des voies et extension du réseau


Dans l’objectif de répondre aux conditions du développement économique et aux exigences du transport confortable des voyageurs et des marchandises, la SNTF compte réaliser une importante extension du réseau ferroviaire, notamment par la création d’une Ligne à Grande Vitesse (LGV).


Cette ligne attendue, qui va permettre le désenclavement des hautes pleines intérieures et qui reliera la zone de Oued Tlélat à la frontière marocaine, soit sur une distance évaluée à 220 kilomètres, sera spécifiée par un plan de dédoublement des voies électrifiées. Cette nouvelle technique, qui devait être achevée pour la prochaine année, a été étudié pour emprunter l’actuel tracé au Sud traversant les monts de Tlemncen. A cet effet, les organismes concernés sont obligés de réaliser plusieurs ouvrages d’art pour la conciliation et le confortement de la ligne. Pour le transport uniquement des marchandises, une nouvelle gare sera réalisée à Es Sénia et servira pour le transfert des wagons spécialisés dans le transport des productions. L’année dernière, la SNTF avait réalisé plusieurs projets dans le but de réhabiliter le réseau ferroviaire, telle que la ligne principale Oran-Alger. Elle prévoit dans ce sens la consolidation de celle du port d’Oran, sur une distance de 16 kilomètres, comme elle aspire à évoluer le trafic des voyageurs jusqu’à 80 millions de passagers à l’horizon 2010. Actuellement, ce mouvement n’atteint que 30 millions de personnes.
[ source ]
Par Rym S.
El Watan - Edition du 28 FĂ©vrier 2008

Microsoft Windows Server 2008 bientôt disponible en Algérie

# Administrateur | 27/02/2008 | Info

Microsoft Windows Server 2008 bientôt disponible en Algérie
Microsoft Windows Server 2008 sera lancé en Algérie, le 10 mars prochain. Ce système de gestion de serveurs, considéré comme le plus avancé du moment, sera lancé en Algérie quelques jours seulement après son lancement mondial, prévu pour demain à Los Angeles (USA). C’est ce qu’a annoncé l’entreprise dans un communiqué rendu public hier. Microsoft Windows Server 2008 est, selon le communiqué, « une nouvelle génération du système » d’exploitation Windows Server conçue pour aider les administrateurs système à rationaliser leurs infrastructures, en mettant à la disposition des organisations de toute taille les technologies de virtualisation, de sécurité et de haute disponibilité qui leur étaient jusqu’ici inaccessibles. Il permet d’automatiser certaines tâches de gestion quotidienne, de renforcer la sécurité et d’augmenter l’efficacité et la disponibilité.
[ source ]
Par A. M. M.
El Watan - Edition du 27 FĂ©vrier 2008

Algérie : Application de la nouvelle grille des salaires

# Administrateur | 25/02/2008 | Info

Application de la nouvelle grille des salaires : Le décret signé aujourd’hui par Bouteflika


Le décret portant application de la nouvelle grille des salaires sera signé aujourd'hui par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé, hier, à Skikda, le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens, M. Abdelmadjid Sidi Saïd. Le secrétaire général de la Centrale syndicale, qui intervenait au cours d’un meeting organisé à la salle Aïssat-Idir à l’occasion du 52e anniversaire de la création de l’UGTA, a précisé que "sous l’impulsion du Chef de l’Etat, les fonctionnaires auront leur nouvelle fiche de paie en avril 2008". La nouvelle grille des salaires concerne, "à titre transitoire", 1.557.000 fonctionnaires, a ajouté M. Sidi Saïd devant le représentant du Président de la République à ces festivités, M. Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la Présidence, des cadres syndicaux issus de l’ensemble du pays et de nombreux travailleurs. M. Boughazi a lu, au cours de cette rencontre, une lettre du Président de la République à l’occasion de la commémoration du 52e anniversaire de la création de l’UGTA.
[ source ]
par El MOUDJAHID - 24-02-2008 Ă  22:17
El Moudjahid - Edition du 25 FĂ©vrier 2008

ALGER - Tremblement de terre de magnitude 2,5 Ă  ZĂ©ralda

# Administrateur | 25/02/2008 | Info

Hier soir Ă  18h 44 : Tremblement de terre de magnitude 2,5 Ă  ZĂ©ralda


Un tremblement de terre de magnitude 2,5 sur l'échelle de Richter a été enregistré hier soir, à 18 h 44 mn, à Zéralda, (W. d'Alger), indique le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG). L'épicentre de ce séisme a été localisé à 8 km au sud-est de la ville Zéralda, précise la même source.
[ source ]
par El MOUDJAHID - 24-02-2008 Ă  22:10
El Moudjahid - Edition du 25 FĂ©vrier 2008

ALGER : Inauguration de la Station de Dessalement du Hamma

# Administrateur | 25/02/2008 | Info

station hammaEN INAUGURANT LA STATION DE DESSALEMENT DU HAMMA
Bouteflika étanche la soif des Algérois


La nouvelle bataille d’Alger, celle de l’eau, vient d’être gagnée avec l’inauguration de la station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma.


Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a inauguré, hier, le mégaprojet de la station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma. D’une capacité de 200.000m3 par jour, cette station devra définitivement sécuriser la capitale en matière d’alimentation en eau potable. Classée comme étant la plus grande usine de dessalement d’eau en Afrique, la station a été conçue à base d’un système de très haute technologie.
Sa mise en service va permettre de régler l’épineux problème de l’eau. Les Algérois ne seront plus agacés par les coupures constantes d’eau et les jerrycans. Désormais, les robinets couleront à flots. L’entrée en service de cette station vient mettre fin à l’épisode d’une longue pénurie d’eau.
Les Algérois seront épargnés par cette crise pendant une période de 25 ans. Environ 1,7 million de m3 seront destinés à l’alimentation de la capitale. Par cette réalisation, l’Algérie a franchi un grand pas en matière de sécurité hydrique. Selon de nombreux spécialistes, l’un des plus grands défis de l’humanité dans les décennies à venir est le problème de l’eau.

C’est pourquoi le président de la République a tenu, personnellement, à donner le coup d’envoi officiel du projet. En programmant sa sortie médiatique, le chef de l’Etat a voulu marquer l’événement du 37e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures. Effectivement, le projet était à la hauteur de l’événement. Accompagné respectivement par les ministres de l’Intérieur, de l’Energie et des Mines et de la Solidarité nationale, le chef de l’Etat, arrivé vers 10 heures du matin au niveau de la station, a eu droit à des explications sur le fonctionnement de cette station. Une illustration sur écran lui a été présentée par les responsables. Le programme national de dessalement d’eau de mer s’étalera jusqu’à 2011.
Il comporte, notamment, la réalisation de treize stations qui permettent à l’Algérie de produire, après traitement, plus 2 millions de m3 d’eau par jour. Le chef de l’Etat a, ensuite, fait le tour des installations où il a donné le coup d’envoi de l’opération de pompage de l’eau au complexe de distribution situé à Kouba.

S’étalant sur une superficie de 50.000 m2, la station d’El Hamma est composée de trois unités de dessalement qui utilisent la technologie de l’osmose inverse. Celle-ci consiste à extraire de l’eau douce d’une eau dessalée. Ce mégaprojet a été réalisé par la société américaine Geonics qui détient 70% du capital de l’entreprise chargée de la réalisation, de l’exploitation et de la maintenance des installations.
Pour reprendre l’avis d’un expert: «Il ne faut plus craindre quant à la viabilité de cette technologie et aux éventuelles pannes qui risquent de surgir, les Américains ne font jamais les choses à moitié, ils vont jusqu’au bout de leur travail.» Sur un investissement global de 250 millions de dollars, la compagnie américaine a participé avec un montant de 184 millions de dollars. «Nous sommes fiers d’avoir été le partenaire de la construction de l’usine de dessalement d’eau. C’est un exemple parfait qu’un partenariat public-privé peut répondre aux besoins urgents en eau», a déclaré le président général de GE Water Process Technologies.

Après cette étape, le président s’est rendu à Kouba pour inaugurer le complexe hydraulique. Doté de 4 réservoirs d’eau d’une capacité de stockage de 20.000 m3 chacun, ce complexe s’inscrit dans le projet du raccordement de la station de dessalement d’El Hamma.
Lors de sa visite, le chef de l’Etat a insisté sur la moyenne d’alimentation des citoyens en eau potable. «Je veux savoir la moyenne d’alimentation en d’eau potable», a-t-il dit avant de renchérir: «Il faut mettre fin au problème des fuites d’eau.» Si le président a insisté sur les deux points, ce n’est pas pour rien.

Les fuites d’eau et l’alimentation ont toujours posé de sérieux problèmes. Concernant la qualité de l’eau, les responsables ont assuré que l’eau provenant de la station de dessalement a atteint un taux de qualité de 99,7%, donc conforme, selon eux, au normes internationales. Ils ont également indiqué que, durant la phase de démarrage, entre 8 et 10 échantillons sont prélevés quotidiennement et analysés, pour arriver au cours de l’année à un taux de qualité de 99,9%. Cela dit, il n’y a rien à craindre. Les Algérois peuvent boire l’eau dessalée en toute confiance.
[ source ]
par Nadia BENAKLI
L'EXPRESSION - Edition du 25 FĂ©vrier 2008

Algérie - Transports publics : 60 millions de voyageurs par an

# Administrateur | 25/02/2008 | Info

tramway

Modernisation des transports publics


60 millions de voyageurs par an


Le tramway, ce moyen de transport déjà connu des Algérois, reviendra bientôt. Il sera rapide et propre, parce que non polluant. Cette démarche des pouvoirs publics s’inscrit dans une vision globale qui tend à améliorer les déplacements au sein de la capitale, en favorisant ainsi les transports de masse et en redéfinissant la circulation sur les routes.


Pour cela, l’Etat a décidé de réaliser une ligne de tramway de 16,9 km entre Alger et Bordj El Kiffan, qui constitue le tronçon prioritaire. Cette ligne atteindra à terme la localité de Dergana sur une distance globale de 23,2 km. L’avancement des travaux connaît toutefois un retard de vingt-six mois. A ce propos, Omar Khalouia, directeur des projets tramway et transports par câble, dit appréhender un retard par rapport au planning initial de 26 mois. « Nous avons pris les décisions qui s’imposent en pareilles circonstances. Ces dispositions font qu’aujourd’hui on peut respecter les échéances stipulées dans le contrat ». Et d’expliquer ensuite que les problèmes d’ordre administratif sont pratiquement tous réglés. Il s’agit dans ce contexte d’expropriations, d’autorisations de déviation routière et d’autorisations d’interventions en sites urbains.

Au sujet des expropriations, notre interlocuteur a dit que « l’opération est terminée à 99%. 180 locaux commerciaux ont été attribués au même temps que les 138 logements. Ces chiffres n’incluent pas les expropriations qui sont effectuées sur les sites des travaux d’extension ». En effet, sur le tronçon prioritaire, deux acquisitions sont en cours d’être réceptionnées à Bordj El Kiffan au profit des ateliers de la maintenance. Notant également qu’au niveau des Fusillés, trois expropriations ont été opérées et qui sont rendues nécessaires par la nature de la gare multimodale des Fusillés où effectivement convergeront métro, bus et tramway. En outre, les responsables, qui ont à charge l’opération des expropriations, ont acquis pour le projet une implantation pour la base vie du chantier de Bordj El Kiffan. Les indemnisations sont estimées à 1,5 milliard de dinars. En ce qui concerne l’obtention des autorisations temporaires de déviation, cela se fait, nous précise-t-on, au fur et à mesure que les travaux avancent. En ce qui concerne les taux d’avancement des travaux, le même responsable nous a expliqué qu’en termes d’étude, le taux d’avancement en matière de matériel roulant est de 100%. La fabrication en usine a été lancée en octobre 2007. La première rame sera livrée en novembre 2008, suivra par la suite une moyenne de deux à trois rames par mois. En matière d’équipements système, l’étude générale a été réalisée à 100%. La réalisation physique montre que 15% des rails sont déjà posés. Toujours dans la partie étude, l’équipement énergie est en cours de fabrication : 15 lots ont été réceptionnés en usine, ils seront expédiés de France prochainement.

L’équipement de l’atelier de maintenance a Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ© Ă©galement en usine, le reste de l’équipement de signalisation, de tĂ©lĂ©communication et du système de billetterie sera livrĂ© avant la fin de l’annĂ©e en cours. Les moyens de pose de la voie ont Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ©s en juillet 2007, au niveau de la base travaux aux Bananiers. Cet appareillage a la capacitĂ© de poser 70 mètres de rails par jour. En conclusion, M. Khalouia a dit : « La partie Ă©quipement reprĂ©sente deux tiers en valeur financière du projet », et d’ajouter : « Il n’y a dans ce chapitre aucun retard, les dĂ©lais ont Ă©tĂ© respectĂ©s par le fournisseur. La partie â€â€™travaux infrastructures’’ reprĂ©sente en poids le tiers du projet », soutient M. Khalouia. Dans le volet Ă©tude, le taux d’avancement des Ă©tudes d’exĂ©cution, notamment la rĂ©alisation du tracĂ©, le taux d’avancement est de 100%. Celui des dĂ©viations des rĂ©seaux, les Ă©tudes ont Ă©tĂ© faites Ă©galement Ă  100% sur la base des documents fournis par les concessionnaires. Toutefois, selon le directeur du projet, « entre la thĂ©orie et la rĂ©alitĂ© du terrain, il y a souvent un Ă©cart, car beaucoup de problèmes surviennent au fur et Ă  mesure que l’on avance dans les travaux, les plans sont parfois imprĂ©cis. Il y a toujours des surprises ». Et d’expliquer : « Ce genre d’études est normalement rĂ©alisĂ© en amont. Les travaux de dĂ©viation des rĂ©seaux sont effectuĂ©s en principe avant le lancement des travaux de la ligne. Chose toutefois qui est en train de se faire pour les tramways de Constantine et Oran ».

Le taux d’avancement des études d’ouvrages d’arts accuse un certain retard, évalué actuellement à 20%. Les études des sous-stations électriques, quant à elles, sont réalisées à 100%. S’agissant de l’aménagement urbain des stations, les études sont à hauteur de 20%. Soulignons que, selon toujours notre interlocuteur, « la première rame sera réceptionnée en novembre 2008, les ateliers de maintenance en janvier 2009 et la plateforme allant de Bordj El Kiffan aux Bananiers, sur 8 km, sera réceptionnée en mars 2009. La fin du montage des équipements en ligne et les sous-stations seront réceptionnées en août 2009 ». Et d’enchaîner : « La fin des travaux pour la ligne allant des Bananiers aux Fusillés est programmée pour mars 2010. » A notre question concernant les 612 arbres qui seront abattus dans la commune de Bordj El Kiffan, le même responsable dira : « Nous nous engageons à replanter deux fois plus d’arbres et à les entretenir. »
[ source ]
Par K. Saci
El Watan - Edition du 25 FĂ©vrier 2008

Eau potable Alger : Un centre de contrĂ´le pour la capitale

# Administrateur | 24/02/2008 | Info

Alimentation en eau potable

Un centre de contrĂ´le pour la capitale


Du nouveau dans la gestion de l'alimentation en eau potable pour la capitale.
Alger sera dotée d'un centre de contrôle qui sera installé à Kouba, le premier au niveau national. L'annonce a été faite hier par le directeur de l'alimentation au ministère des Ressources en eau. Cette nouvelle structure sera d'un apport considérable pour la capitale qui souffre, des années durant, de perte et de fuites d'eau estimée, à près de 50% dans certains endroits. Il faut dire que des réseaux sont dans un état obsolète, d'où les travaux entamés par la SEAAL pour moderniser l'alimentation en eau potable. Messaoud Terra, invité de la radio Chaîne III, hier, a fait savoir que le centre de Kouba " reliera tous les systèmes de production ". Ainsi, les incidents seront signalés grâce à la " télégestion et des ordres seront donnés pour mener les travaux nécessaires ". De gros efforts sont donc consentis pour faire de la capitale et de son système d'alimentation d'eau potable un exemple " répondant aux normes internationales ", a souligné le directeur de l'alimentation au ministère des Ressources en eau. La rénovation des réseaux en est un des axes que le secteur entend mener à terme d'ici 2009. " Alger a 4 000 km de canalisations dont 50 km sont rénovés chaque année ", a-t-il précisé. Mais ce programme ne concerne pas uniquement la capitale puisque " 30 villes sont déjà identifiées pour la mise à niveau de leur système d'alimentation, les études sont en cours et les travaux seront lancés incessamment ".

Le coût de cette opération est estimé à " 20 milliards de dinars ", selon Messaoud Terra. Abordant le prix de l'eau, le responsable du ministère des ressources en eau a balayé d'un revers de la main toute éventualité d'augmentation du prix du m3. " Le prix de l'eau est toujours administré en Algérie et aucune société ne peut décider de procéder à des augmentations ". S'il est vrai que le coût de revient est très élevé "l'Etat a toujours pris en charge le surcoût " a tenu à préciser Messaoud Terra. Concernant la réception de la station de dessalement d'eau de mer d'El-Hamma à Alger, prévue aujourd'hui, dont le lancement officiel sera donné par le président de la République, le directeur de l'alimentation a souligné que " 200 000 m3 d'eau dessalée seront produits par jour ". Ce qui est une bonne nouvelle pour les habitants de la capitale dont les robinets de certains quartiers de la capitale sont parfois à sec pendant des jours. La réalisation de cette station a nécessité la mobilisation de fonds importants. " 250 millions de dollars ont été dégagés pour la construction de la station d'El-Hamma ". Selon Messaoud Terra, le ministère des Ressources en eau a bénéficié d'une enveloppe conséquente : " 14 000 milliards de dinars" pour mener à terme les grands projets. Il s'agit entre autre de "la mise en eau de 13 barrages et la réalisation de grandes adductions dans plusieurs villes du pays ". D'autres projets concernent les stations de dessalement d'eau de mer. Au total " 13 stations sont inscrites dans ce programme qui s'étale jusqu'à 2010, qui seront implantées dans des villes de l'est, du centre, et de l'ouest du pays ". L'objectif c'est d'arriver à sécuriser les populations en alimentation en eau potable.

L'ouest du pays qui connaît une sécheresse endémique sera mieux approvisionné et le secteur des ressources rassure que de nouvelles améliorations seront prévues. " Oran ne connaît plus de pénurie mais l'eau sera toujours rationnée ". Cette amélioration est constatée après la mise en service de la station de dessalement d'Arzew avec une capacité de " 200 000 m3 " en attendant la réalisation cette année de "la station de Beni Saf à Aïn Témouchent qui apportera 100 000 m3/jour supplémentaires ". La wilaya de Skikda est également touchée par ce programme puisqu'une station verra le jour au courant de cette année. Le ministère, affirme en outre Messaoud Terran ne délaissera pas les eaux conventionnelles. " A partir de dimanche prochain le grand barrage de Taksebt dans la wilaya de Tizi Ouzou sera opérationnel et alimentera, entre autres, la capitale ", a déclaré le directeur de l'alimentation au ministère des Ressources en eau.
[ source ]
par Abdelghani M.
Le Maghreb - Edition du 24 FĂ©vrier 2008

Tramway d’Alger : Le premier tronçon réceptionné en août

# Administrateur | 23/02/2008 | Info

Tramway d’Alger : Le premier tronçon réceptionné en août 2009


Le premier tronçon de la ligne du tramway d’Alger, qui reliera la cité des Bananiers à la commune de Bordj El Kiffan, sera réceptionné dans les délais fixés, en août 2009, a affirmé le directeur des projets du tramway et du transport par câbles de l’Entreprise du métro d’Alger, Amar Khelouia. Les premiers essais des rames du tramway auront lieu en août 2009, a précisé M. Khelouia, annonçant la réception du premier lot de rames importé de la société française Alstom, en novembre prochain.

Les résultats des essais des rames détermineront la date de leur mise en service commerciale, a souligné M. Khelouia, ajoutant que la période des essais devra durer entre deux et six mois. Par ailleurs, M. Khelouia a indiqué que les chantiers de maintenance qui devront accueillir les équipements du tramway termineront leurs travaux en janvier 2009, alors que les travaux relatifs à l’assiette du premier tronçon de cette ligne, qui s’étendra sur 8 km, s’achèveront en mars 2009. Ces délais ont été fixés à l’issue de la rencontre d’évaluation organisée par l’Entreprise du métro d’Alger, en coordination avec toutes les parties prenantes au projet du tramway. Concernant le deuxième tronçon reliant la cité des Bananiers à l’avenue des Fusillés (Hussein Dey), M. Khelouia a rappelé que la fin des travaux est prévue en mars 2010, alors que les essais des rames prendront moins de temps que celui de la première phase de ce projet.
[ source ]
par R. N.
El Watan - Edition du 23 FĂ©vrier 2008

ALGER : "L’eau d’El Hamma être classifiée comme eau minérale"

# Administrateur | 23/02/2008 | Info

Georges El Haddad (Directeur général de Hamma Water Dessalination)
"L’eau d’El Hamma être classifiée comme eau minérale"

Dans cet entretien, le directeur général de Hamma Water Dessalination (HWD), Georges El Haddad, estime que l’eau de la baie d’Alger est une eau propre et très pure. Et pour lui, l’eau qui est dessalée dans cette usine peut être classifiée comme eau minérale. Georges El Haddad écarte tout danger sur l’écosystème marin de la baie d’Alger en raison du rejet des effluents liquides en mer.



Pourriez-vous tout d’abord nous résumer ce système de dessalement ?

On effectue à l’aide de tuyaux une prise d’eau de mer à 550 m au large. L’eau est tirée de cet endroit à une profondeur de 10 m par gravité. Elle est par la suite pompée à l’aide de quatre pompes (une reste en stand-by) dans le premier système de filtration. Ce système permet de retenir les matériaux en suspension et tous les déchets avant que l’eau se dirige vers un deuxième bâtiment de filtrage constitué de sable et de gravier. L’eau est ensuite pompée à haute pression vers un troisième système de filtrage ultraphase (la microfiltration). L’eau devient à ce niveau propre et pure. Puis elle arrive dans le bâtiment d’osmose inverse qui comprend neuf trains de dessalement (un train reste en stand-by). Chaque train peut produire jusqu’à 25 000 m3 d’eau dessalée pour une capacité maximale de l’usine de 225 000 m3. Mais l’usine, selon le contrat, doit produire 200 000 m3, les 25 000 m3 restants sont pour garantir la capacité.

L’osmose inverse consiste à faire ressortir le sel de l’eau à une pression de 60 bars. On sépare les minéraux des petites particules de molécules de sel. Quand l’eau salée traverse une membrane très fine, le sel est retenu. On a 37 000 mg/l de sel dans l’eau de mer, elle sort à 200 mg/l. C’est le seuil de l’eau potable qui est acceptable partout dans le monde. La membrane peut retenir jusqu’à 99,99% de sel de l’eau de mer. Après l’osmose inverse, l’eau se dirige vers le post-traitement. En résumé, on a le prétraitement, le traitement lui-même et le post-traitement. Pour ce qui est de ce dernier procédé, il s’agit de rajouter des minéraux à l’eau pour qu’elle devienne potable. A noter qu’il y a plusieurs systèmes qui permettent de rendre la qualité de l’eau de niveau mondial, selon les normes de l’OMS. Cela sans omettre de signaler que Sonatrach et l’ADE ont exigé leur seuil dans le contrat. L’eau est ensuite refoulée vers des réservoirs de production de 5 000 m3 d’où elle est refoulée dans le système externe de l’ADE. De là, trois pompes (une reste en stand-by) permettent d’évacuer vers les bassins de l’ADE qui se trouvent à Harcha, Kouba et Garidi. Il convient de préciser qu’on aspire 500 000 m3 d’eau de mer et on fait le dessalement de 200 000 m3, le reste est rejeté dans la mer.


Justement, n’y a-t-il pas danger sur l’écosystème marin en rejetant cette eau ? A-t-on prévu un prétraitement avant le rejet des effluents liquides en mer ?

Cette question est très importante. Ce n’est pas une question de prétraitement. On dispose d’un bassin de neutralisation où l’on s’assure que l’eau a un pH acceptable avant de l’envoyer dans le bassin de rejet. Deuxièmement, il y a un décret qui dit qu’il y a des limites pour les effluents. Ces limites sont un seuil pour les rejets qu’il ne faut pas dépasser. A ce titre, on fait des prélèvements tout le temps pour s’assurer que le rejet respecte toujours la loi. De toute façon, le ministre de l’Environnement fait des visites surprises pour s’assurer que ces limites sont respectées. Il faut préciser qu’une étude d’impact a été effectuée avant le démarrage du projet en 2004. Cette étude a assuré qu’il n’y a pas de danger sur l’environnement. Sinon, ce projet n’aurait jamais été réalisé. Les investisseurs et surtout les prêteurs, à hauteur de 75%, qui ont financé le projet, n’auraient pas injecté de l’argent. Si l’étude de l’impact n’a pas été concluante, ils n’auraient pas financé le projet. Cette étude a été faite et elle a donné de bons résultats. Je peux vous assurer qu’il n’y aura pas d’impact sur l’environnement, que ce soit sur la faune ou sur la flore.

Pourtant, certains n’écartent pas l’idée que l’usine pourrait subir des arrêts en raison, notamment, de la qualité de l’eau captée qui est, selon eux, très polluée…

Je tiens à rassurer le peuple algérien et les Algérois en particulier que l’eau de la baie d’Alger est très pure et très propre. Malgré les rumeurs qui disent qu’en raison du port d’Alger l’eau est très polluée, la qualité de l’eau qu’on reçoit à l’intérieur de l’usine est pure et propre. Car, l’eau est prise à 550 m au large à une profondeur de 10 m, donc à ce niveau elle est propre. L’eau qu’on capte pour le dessalement est loin d’être polluée sauf s’il y a une tempête. Le concept pour lequel nous avons opté, notamment le système de filtrage, peut assurer, même pendant les hautes tempêtes, le dessalement, et grâce au système de prétraitement, l’eau peut être purifiée, comme en période d’été.

Des scientifiques estiment que le prix de revient de l’eau dessalée serait relativement élevé en raison, notamment, de l’usage de beaucoup de réactifs chimiques dans ce procédé. Quel est votre avis ?

Non, ce ne sont pas les réactifs chimiques qui influent sur le prix, car ces derniers ne représentent que 10% du coût de l’eau, mais plutôt l’électricité qui coûte 30% à 35% du prix de l’eau et la structure financière du projet qui joue aussi son rôle. Comme c’est un projet BOO, (construire, maintenir et opérer l’usine), c’est l’investisseur qui prend les risques. L’Etat ne prend aucun risque dans ce genre de projet. C’est seulement l’investisseur qui subit tous les risques, et à la fin du contrat, qui est de 25 ans, je croix que le gouvernement le prolongera, car la technologie de dessalement va encore progresser. Plus la technologie progresse plus le coût de l’énergie sera réduit, car l’entreprise utilisera la récupération de l’énergie dans le système. C’est le système qui est utilisé pour l’usine d’El Hamma, qui s’appelle l’échangeur d’énergie, qui récupère dans le cas de cette usine les 59 bars de l’eau refoulée pour réduire l’énergie.

Quelle garantie donneriez-vous à la population d’Alger pour ce qui est de la pureté de cette eau ?

Je peux vous garantir que cette eau peut être classifiée comme eau minérale. Car quand l’eau passe par l’osmose inverse, c’est une eau pure, qui manque de minéraux et avec le post-traitement qu’on lui effectue elle redevient, suivant les normes internationales, de l’eau potable. Les règles, les normes, la qualité et les caractéristiques de l’eau sont respectées et je ne vois pas comment ne pas la qualifier d’eau minérale.
[ source ]
par R. Bel
El Watan - Edition du 23 FĂ©vrier 2008

ALGER : Séisme de magnitude 2,8 sur Richter au sud-ouest de Boumerdès

# Administrateur | 23/02/2008 | Info

Jeudi à 7h 16 mn : Séisme de magnitude 2,8 sur Richter au sud-ouest de Boumerdès


Un tremblement de terre de magnitude 2,8 degrés sur l'échelle de Richter a été enregistré jeudi dernier à 7h 16 mn (heure locale) dans la wilaya de Boumerdès, a indiqué le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG).
L'épicentre de ce séisme a été localisé à 10 km au sud-ouest de la ville de Boumerdès, ajoute la même source.
[ source ]
par El MOUDJAHID - 22-02-2008 Ă  22:00

Ghazaouet (Algérie) : Battues aux sangliers

# Administrateur | 22/02/2008 | Info

Ghazaouet : Battues aux sangliers


Conformément à la réglementation en vigueur, une grande battue aux sangliers a été autorisée afin de réguler la population de l’espèce porcine en constante augmentation. En effet, de nombreux agriculteurs se sont plaints, à maintes reprises, de l’ampleur des dégâts occasionnés par des sangliers venant des zones forestières limitrophes chercher leur pâture dans les champs céréaliers et autres jardins de culture maraîchère. Aussi, la prolifération de cette espèce risque d’être à l’origine de graves accidents de circulation. Selon les riverains de la RN 98, aux environs de Dar Ben Tata, Bab Khroufa, dès que la nuit tombe, une procession de pachydermes traverse la route nationale pour regagner la plaine où une variété de culture somptueuse l’attend. Cette opération qui s’étalera sur deux mois est dirigée par l’association locale de chasse. Il y’a lieu de rappeler que depuis le début de cette opération, 4 battues ont été effectuées et 13 sangliers ont été abattus.
[ source ]
par O. El. Bachir
El Watan - Edition du 21 FĂ©vrier 2008

Algérie : Le poulet de chair coûtera plus cher

# Administrateur | 18/02/2008 | Info

APRĂS L’HUILE, LA SEMOULE, LES FRUITS ET LES LÉGUMES
Le poulet de chair coûtera plus cher


Le prix du poulet avoisinera, dans les prochains jours, le seuil des 250 dinars le kilo, alors qu’il est actuellement à 130 dinars.


Cher poulet! Après la semoule, l’huile, les fruits et légumes, c’est le poulet qui verra son prix flamber dans les prochains jours. Ainsi, le poulet déploie ses ailes pour...s’envoler. Il coûtera plus cher puisque son prix va, au minimum, doubler.
Ainsi, selon les prévisions des spécialistes, le prix du kilo de poulet passera de 130 à 250 dinars.
Cette nouvelle ne sera pas du goût des ménages dont le portefeuille est déjà suffisamment malmené. A ce stade, certains consommateurs vont certainement revoir leur budget en cas d’achat de viande blanche. Déjà, l’affirmation selon laquelle les Algériens ne consomment pas de la viande constitue en soi un pléonasme; or, l’érosion du pouvoir d’achat se fait sentir de jour en jour. Selon des statistiques, un Algérien ne consomme que 10 kilos de viande de poulet par an. Cette moyenne est loin, même très loin, d’égaler la norme mondiale qui est, elle, de 30kg par habitant et par an.
A ce propos, d’aucuns s’interrogent sur le pourquoi des fluctuations des prix du poulet d’un mois à l’autre. D’autres se demandent également si c’est vraiment la production avicole qui fait défaut? En plus, quand des aviculteurs se plaignent aussi de cette situation, c’est toute la filière avicole qui subit les affres du marché international.
En effet, cette tendance à la hausse des prix du poulet s’explique de toute évidence par le manque en approvisionnement en aliments. Aussi, cette flambée s’explique par la cherté des intrants au niveau international. L’Algérie qui importe presque 100% des intrants servant à la fabrication de l’aliment du poulet et celui du bétail, subit de plein fouet les retombées des nouvelles réorientations agricoles. Depuis quelques années, les principaux producteurs mondiaux de soja et de maïs réservent le gros de leurs récoltes à d’autres besoins industriels, à savoir la fabrication des biocarburants. Et la reconversion n’a pas été sans conséquences sur les éleveurs nationaux et la production des aliments. Il y a lieu de préciser que les aviculteurs s’enlisent dans les difficultés induites par l’absence des subventions de l’Etat. Revendiquant cette subvention, les éleveurs soutiennent qu’ils ne peuvent pas, à eux seuls, «honorer les factures exorbitantes de location, d’électricité et surtout des traitements vétérinaires pour leurs élevages».
En outre, au vu de la menace de grippe aviaire, beaucoup d’éleveurs ont dû changer d’activité.
L’Office national des aliments de bétail (Onab), qui ne joue plus depuis longtemps son rôle de régulateur de ce marché, se disculpe de ce fait de cette situation. Intervenant hier sur les ondes de la Radio nationale Chaîne II, le président de l’Association des aviculteurs tire la sonnette d’alarme: «Nous plaidons pour la suppression des taxes et des impôts imposés sur les aliments du bétail.» Faute de quoi, explique-t-il, la production de l’aliment connaîtra une réduction «considérable». Cependant, les économistes estiment que la subvention n’est pas la meilleure solution. Pour sauver la filière avicole réellement menacée, les mêmes économistes plaident en faveur de la suppression des taxes et des impôts. Ainsi, si les pouvoirs publics n’interviennent pas pour réguler ce marché, il est clair qu’en plus de la filière avicole, ce sont d’autres filières qui subiront de plein fouet cette crise. Il s’agit, notamment, des élevages ovins et bovins. Par effet «d’avalanche» c’est aussi, le prix de la viande rouge qui subira une hausse.
[ source ]
par Yazid MADI
L'Expression - Edition du 18 FĂ©vrier 2008

Algérie : Les prix des aliments du bétail flambent

# Administrateur | 18/02/2008 | Info

Les prix des aliments du bétail flambent

Grave crise dans la filière avicole


Au train où vont les prix des aliments du bétail importés, les Algériens devront s’attendre à payer dans les prochaines semaines 250, voire 300 DA/kg de poulet et 10 DA l’œuf.


La viande de bœuf devrait, quant à elle, dépasser allégrement les 1200 DA. Les 2000 aviculteurs privés encore en activité y laisseront évidemment des plumes avec la fermeture déjà largement entamée de nombreuses unités de production de viandes blanches et d’œufs. Plus de 50 000 emplois, pour la plupart exercés dans le milieu rural, seraient effectivement menacés avec le danger d’exacerbation de l’exode vers les villes qui souffrent déjà de trop-plein. C’est en substance le cri d’alarme que la corporation des aviculteurs vient de lancer, par le biais de leur syndicat, au chef du gouvernement et aux ministres concernés. Ils n’ont eu à ce jour aucune réponse en dépit de l’acuité du problème soulevé. Bien que dotée d’un énorme potentiel agricole qui lui permettait, il y a quelques décennies, d’exporter des céréales et bien d’autres produits de la terre, l’Algérie est depuis quelques années réduite à les importer pour nourrir non seulement sa population, mais également son bétail. Essentiellement fabriqués à base de céréales, les aliments du bétail subissent de plein fouet les hausses démesurées des prix qui affectent à travers le monde des produits stratégiques comme le blé et le maïs. Induites par des causes structurelles (baisse des cultures de céréales au profit de celles destinées aux biocarburants, augmentation de la demande mondiale), mais également conjoncturelles (hausse du cours de l’euro, perturbations climatiques), les hausses de prix des produits céréaliers n’ont à l’évidence aucune raison de s’arrêter aux niveaux records qu’ils viennent pourtant d’atteindre. Par le seul jeu du taux de change, il faut savoir que lorsque le quintal de blé ou de maïs augmente d’un euro, il augmente automatiquement de 100 DA (sans compter les impôts et taxes dus) au taux actuel de 1 euro pour 100 dinars. La facture globale des aliments du bétail s’est, pour toutes ces raisons, accrue d’environ 30% durant l’année écoulée, nous apprend un membre du syndicat national des aviculteurs et tout indique qu’elle sera encore plus lourde cette année.

Allégement de la pression fiscale

Les aviculteurs ont déjà perdu quelque 13 milliards de dinars, ce qui a considérablement fragilisé la corporation, dont une bonne partie a déjà mis la clé sous le paillasson, en attendant d’être suivis par ceux, fort nombreux, qui supportent un trop lourd surendettement. Mais que peut faire le gouvernement face à ces envolées de prix qui affectent pratiquement tous les produits importés ? La solution radicale aurait évidemment consisté à insuffler une nouvelle dynamique à la production nationale, seul moyen de réduire significativement les importations de produits agroalimentaires. Mais cela reste, au regard des intentions affichées par le pouvoir en place, un vœu pieux. C’est sans doute pour cela que les aviculteurs n’ont en fait réclamé dans leurs doléances adressées au gouvernement qu’un allégement de la pression fiscale qui s’exerce sur les divers composants de l’aliment du bétail, les produits pharmaceutiques et les traitements phytosanitaires, que les impôts et taxes ont fortement renchéris. Ils demandent également aux autorités concernées de prendre des mesures incitatives concrètes (hausses des prix à la production, octroi de crédits à taux bonifiés, etc.) pour impulser une nouvelle dynamique à l’amont agricole. Les aviculteurs tiennent à ce que l’on sache qu’ils n’ont à aucun moment demandé un soutien des prix, comme celui qui vient d’être récemment décidé pour la semoule, car cela pourrait être très préjudiciable pour le fonctionnement logique de l’économie. Ce qui est vrai, car imaginons quelle sera la réaction des aviculteurs lorsque le prix de l’aliment du bétail atteindra, voire dépassera celui de la semoule. Ne seraient-ils pas tentés de nourrir leurs volailles avec de la semoule ? Le pain rassis servant déjà d’aliment du bétail dans certains élevages, il ne faudrait pas s’étonner que la semoule devienne prochainement l’aliment de base de nos poulets.
[ source ]
par Nordine Grim
El Watan - Edition du 18 FĂ©vrier 2008

- Algérie - Recensement de la population en avril prochain

# Administrateur | 16/02/2008 | Info

RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA POPULATION EN AVRIL PROCHAIN


70.000 agents mobilisés


Le dénombrement décennal de la population s’étalera sur une quinzaine de jours à partir de la mi-avril.


Le recensement général de la population et de l’habitat (RGPH 2008) aura lieu du 16 au 29 avril prochain, a indiqué jeudi Noureddine Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, à l’issue de la rencontre l’ayant réuni, à Alger, avec les walis et les délégués au recencement.
Cette opération, la 5e du genre depuis l’Indépendance du pays, sera menée par 70.000 agents qui vont bénéficier d’une formation spécifique et seront dotés de documents d’identification et d’habilitation, ajoutera-t-il.
Aussi, M.Zerhouni a indiqué que des innovations seront apportées au questionnaire de recensement, appelé désormais «Questionnaire communautaire et de proximité». Cet outil, selon le ministre, est conçu pour recueillir le maximum d’éléments d’informations relatifs aux conditions générales de la vie quotidienne des citoyens.

Ce recensement, dont les préparatifs ont été engagés depuis septembre 2006, se fixe pour objectif de déterminer la population résidente, recueillir les caractéristiques démographiques et socioéconomiques de la population, ses conditions de vie, ainsi que l’importance des constructions et des logements.
Les questions à poser portent entre autres aspects sur l’alimentation en eau potable, l’assainissement, l’éducation, la santé, le transport, l’habitat, l’environnement et l’énergie, a-t-il précisé. Les problèmes de la jeunesse à l’exemple de l’emploi et des loisirs seront également abordés dans cette opération.
Les données une fois récoltées serviront d’indicateurs importants pour l’Etat et les collectivités locales en matière d’analyse et de planification d’actions concernant la lutte contre le chômage, l’habitat, la structure démographique et le niveau d’instruction. M.Zerhouni soulignera, en ce sens, que les résultats de ce recensement sont nécessaires pour «le développement du pays et l’amélioration des conditions de vie des citoyens».
Par ailleurs, après avoir affirmé que l’opération «n’aura aucun effet contraignant», M.Zerhouni assurera que «le secret de la vie privée sera préservé dans le traitement des données et des statistiques découlant de cette opération». Les informations fournies par les ménages seront traitées «de la manière la plus anonyme», a-t-il soutenu, en précisant que «les noms des personnes consultées ne figureront pas dans le processus de centralisation d’analyse et de gestion des indicateurs économiques et sociaux recueillis».
Il faut dire, sur ce point, que les 4 recensements de la population initiés à ce jour ont buté, entre autres problèmes, sur la «défiance» de la société. Par manque de confiance à l’égard de l’administration ou réflexe négatif, plusieurs ménages donnent de fausses informations.
Les agents de recensement sont délibérément mal reçus par certains ménages en quête de logement ou d’aide sociale.
C’est dans le but d’inciter les citoyens à donner des informations correctes que M.Zerhouni exhortera les responsables des 48 wilayas d’impliquer le mouvement associatif et la société civile dans ce recensement. Cette opération dont le succès «dépendra de la bonne compréhension et de la disponibilité des ménages qui seront tous sollicités par les agents de recensement» sera soutenue par une campagne de sensibilisation, indiquera-t-il.

Le ministre de l’Intérieur a indiqué, d’autre part, que le prochain recensement se fera en principe au cours de l’année 2013. «C’est une opération très lourde, mais nous pouvons dire qu’aujourd’hui l’Etat dispose de moyens humains et matériels qui nous permettent de rapprocher les échéances et de ramener le recensement général de la population à tous les cinq ans».
Notons, enfin, que le RGPH 2008, sera mis en oeuvre par l’Office national des statistiques (ONS) en collaboration avec les Collectivités locales.
Ce 5e recensement sera supervisé par un comité national présidé par le ministre de l’Intérieur.
[ source ]
par Farouk DJOUADI
L'Expression - Edition du 16 FĂ©vrier 2008

Air Algérie veut garder ses pilotes

# Administrateur | 14/02/2008 | Info

La compagnie décide d’une revalorisation des salaires pour stopper l’hémorragie


Air Algérie veut garder ses pilotes



Selon M. Alleche, le directeur des opérations aériennes, il y aura du nouveau dans les prochains jours. “Une augmentation de salaire pour les pilotes a été décidée et le conseil d’administration a déjà donné son accord.” Il ne donnera pas plus de détails, mais il n’omettra pas de revenir sur les pilotes qui quittent Air Algérie pour rejoindre des compagnies étrangères. “Je ne connais pas leur nombre, mais cela devrait être une trentaine environ.”

Le flou dans le secteur aérien ne disparaîtra pas de sitôt. C’est le premier constat qu’on peut tirer de la première journée des Assises d’Air Algérie qui ont débuté, hier, et devront se terminer demain vendredi.

Ni le ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui ni encore le directeur général par intérim de la compagnie aérienne, Abdelnacer Hadj Rabia, n’ont pu donner des indications claires sur les proches perspectives alors que la situation est loin d’être reluisante. Ainsi, et à propos de l’ouverture du capital d’Air Algérie, le premier responsable du secteur déclare que “la question n’est pas d’actualité”. Il ajoutera que “les efforts sont concentrés actuellement sur la restructuration de la compagnie et la filialisation de ses activités annexes”. Soit carrément le même discours d’il y a deux ans lorsqu’il affirmait que la filialisation devait être la première étape avant l’ouverture du capital. Ce stand-by est aussi mis en exergue concernant l’ouverture de l’espace aérien. Le ministre a toutefois essayé d’être plus “prolixe” et moins vague en précisant que ce sera fait… “un jour ou l’autre”.

Pourtant les arguments pour accélérer les choses ne manquent pas et c’est lui-même qui les présente : “Nous sommes dans un monde qui évolue. Il y a, entre autres, notre prochaine adhésion à l’OMC. C’est pourquoi Air Algérie doit s’y préparer. C’est le seul représentant du pavillon national et elle doit s’adapter à ce qui se passe ailleurs.” Il survolera aussi la question de l’installation d’un P-DG à la tête de la compagnie qui est gérée depuis la mort de son patron, M. Benouis, (survenu en août dernier) par un DG par intérim.
[ Plus de détail ]
par Salim KOUDIL
Liberté - Edition du 14 Février 2008

Industrie Spatial : L’Algérie dans la cour des grands

# Administrateur | 14/02/2008 | Info

INDUSTRIE SPATIALE


L’Algérie dans la cour des grands

L’Algérie a pu faire partie d’un consortium de cinq pays exploitant en commun leurs cinq satellites au service de la gestion des catastrophes dans le monde.



L’Algérie, qui a déjà rejoint le club de l’espace en lançant son premier microsatellite Alsat1, joue aujourd’hui dans la cour des grands en mettant résolument en branle son programme spatial qui s’étale jusqu’en 2020. Ce dernier aura, entre autres missions, l’observation de la terre, les télécommunications, la gestion des ressources naturelles, la protection de l’environnement, la prévention des catastrophes naturelles et industrielles, la sécurité nationale, les ressources minières et pétrolières. C’est ce que rapporte la revue El Djeich dans sa dernière édition.

Cette publication, qui se réfère à une communication animée par M.Azzedine Oussedik, directeur général de l’Agence spatiale algérienne (Asal) insiste sur l’étape actuelle de ce programme, entamé en 2006 et qui consiste désormais à concevoir et à réaliser des systèmes spatiaux répondant aux besoins nationaux propres. Egalement à développer une coopération internationale où le leitmotiv est le transfert de technologie et de savoir-faire. Avec, à la clé, un partenariat mutuellement bénéfique, où l’activité spatiale nationale est inscrite dans le cadre des conventions et traités internationaux sur l’espace. L’article insiste aussi sur la nécessaire émergence d’un tissu industriel spécialisé en la matière; ce qui favorisera le développement durable et renforcera l’autonomie et la souveraineté nationale.

Rappelons que Alsat1 a déjà transmis un nombre impressionnant de photos au profit des utilisateurs dans les secteurs du développement national et régional, des télécommunications, de l’agriculture et des ressources hydriques.
Il a, de même, joué un rôle après le tremblement de terre à Zemmouri et les zones environnantes en 2003, comme il a servi la coopération internationale suite au tsunami qui a ravagé l’Asie du Sud-Est et les derniers incendies de la forêt française. Aussi, la revue El Djeich cite les remarquables avancées du programme en question et évoque des équipes pluridisciplinaires pour l’exploitation des technologies de l’information et de la communication. Lesquelles vont permettre une large autonomie dans le domaine des télécommunications.

En effet, après la production, largement entamée d’un satellite plus puissant nommé Alsat2, il est plus que jamais question d’un troisième satellite algérien principalement dédié aux télécommunications, lequel sera lancé en 2012. Avec cet instrument, l’Algérie acquérra indéniablement un savoir-faire dans la conception et l’exploitation des satellites de télécommunications. Ce qui permettta de répondre, notamment aux besoins nationaux en matière de transmission, de téléphonies fixe et mobile, de télémédecine, de télé-épidémiologie, d’Internet, des télécommunications, d’accès à l’information, comme elle pourra assurer la continuité du fonctionnement de ces services en cas de catastrophe majeure.
D’ailleurs, c’est avec cet arsenal en construction que l’Algérie a pu faire partie d’un consortium de cinq pays, exploitant en commun leurs cinq satellites au service de la gestion des catastrophes dans le monde.

En projet, également, la mise en orbite d’Alsat 2 qui va renforcer les capacités nationales, en parallèle à la mise en place du Centre de développement de satellites (CDS). La revue El Djeïch conclut en mentionnant la nécessité pour l’Algérie de participer aux programmes spatiaux internationaux, mais aussi dans celui de la formation et du transfert des technologies, comme tend à le confirmer l’ouverture imminente d’une école doctorale des technologies et des applications spatiales.
[ source ]
par Salim BENALIA
L'Expression - Edition du 14 FĂ©vrier 2008

Henri Salvador. Sortie de scène

# Administrateur | 14/02/2008 | Info

Henri Salvador. Sortie de scène


Faut rigoler…


Il fut le compagnon de Boris Vian avec lequel il contribua à introduire le jazz en France. Ensemble, il écrirent dans les années cinquante « La blouse du dentiste » et « Faut rigoler », chansons humoristiques symptomatiques qui marquèrent la génération optimiste de l’après-guerre.


il était né en juillet 1917, en pleine première guerre mondiale, tout près du bagne de Cayenne, en Guyanne, où l’on envoyait croupir les révolutionnaires de France et les insurgés d’Algérie. L’exil de sa famille lui permet de connaître Parius très tôt mais jamais il ne rompit avec ses racines culturelles, et s’il fit montre tout au long de sa carrière d’une incroyable éclectisme musical, c’est vers les sonorités du Sud qu’il inclinait et aussi qu’il excellait, cultivant un style nonchalant et une faculté de rire qui paraissait parfois excesssive mais qui était devenue son enseigne. C’est à travers les classiques du jazz que sa rencontre avec la musique s’est faite et son eouvre en resta si marqué que même dans des gennres différents, le souffle et les accents du jazz étaient toujours là. Excellent et précoce guitariste, il est sur les scènes des grands cabarets de Paris à l’âge de 16 ans et s’il accompagne alors le grand guitariste Djengo Reinhardt, c’est qu’il avait de quoi le convaincre. En 1941, sa tournée en Amérique latine le fait reconnaître par les grands publics et le Brésil l’adopte comme l’un des siens. A cette période se manifeste déjà son grand talent de « mélangeur » de genres et si cela n’est pas recopnnu il fut un précurseur de la world music actuelle. En décembre dernbier au Palais des Congrès de Paris, il : « Aznavour a 83 ans, Chevalier est mort à 84, Trenet à 86 ou 88. Il n’y a que Jeanne Calment qui m’ait battu, mais elle chantait comme une enclume ! » Quant à la mort il la percevait dans sa dimension cosmique : « Je crois à l’éternité, à l’infini. Dans notre galaxie, il y a des milliards d’étoiles, et combien y a-t-il de milliards de galaxie ? Vous vous rendez compte du nombre de vies qu’on a à vivre ! » De son vivant, il en eut plusieurs avec pour seule ombre à sa bonhommie l’histoire de ce fils, Jean-Maris Périer, photographe des artistes et que Salvador n’aurait jamais voulu reconnaitre ni même rencontrer. De nombreux Algériens quadra ou quinquagénaires l’appréciaient mais avec son come-back inoui de la fin des années 90 le fit découvrir par les plus jeunes. Allez, faut rigoler, avant que le ciel ne nous tombe sur la tête... Il n’a pas attendu. Il a ri et il a fini lui par monter au ciel.
[ Source ]
par Salima Tlemçani
El Watan - Edition du 14 FĂ©vrier 2008

Du Nouveau : Stations régionales de la télévision algérienne

# Administrateur | 09/02/2008 | Info

Stations régionales de la télévision algérienne


CRT, CT et décrochage à l’ENTV


C’est sans doute pour désenclaver l’information régionale et lui donner la place qui lui revient dans l’échiquier de la télévision nationale que l’ENTV innove en créant un « décrochage », c’est le terme utilisé pour les stations régionales.


En effet, dès le troisième trimestre 2008, chaque station régionale de télévision (il en existe 5 : Oran, Constantine, Ouargla, Béchar et Alger : ndlr) sera tenue de transmettre deux heures par jour, et pour toujours, pour reprendre la célèbre formule en marketing des programmes spécifiques à sa région. Pour Constantine, par exemple, " une grille initiale a déjà été établie. Elle comportera, sous toutes réserves, des fictions, des documentaires, des infos, des dossiers, des débats, des divertissements et des émissions interactives. Le tout aura une teinte régionale, au sens noble du terme, où tous les aspects inhérents à une province ou une ville, qui relève de notre circonscription, seront mis en évidence ", nous dira M. Kamel Brouki, directeur régional de la station de télévision de Constantine. La même “cuisine” sera concoctée au niveau des quatre autres stations régionales, dont Alger, qui sera considérée, pendant deux heures, non plus comme le “nombril”du pays, mais comme une ville, une région, au même titre que les Aurès ou le Titri.

Au moment du décrochage de deux heures, chaque région ne pourra regarder que son propre programme car, entre-temps, le programme national aura…décroché. Pour le moment le créneau qui a été retenu commence à 11 h du matin pour s’achever à 13 h, et tout augure que cette " nouveauté ", en attendant l’ouverture médiatique audiovisuelle, au privé, recevra un bon écho, car l’information régionale a toujours été le talon d’Achille de la télévision algérienne. En outre, l’ENTV compte créer, au courant de l’année, quatre centres régionaux de télévision, à Tiaret, Alger, Sétif, et Tamanrasset. Ces CRT auront, à quelques différences près, les mêmes prérogatives que les stations régionales déjà existantes, et pourront fournir de l’information " fraîche ", au lieu d’attendre que la centrale dépêche une équipe pour couvrir un évènement factuel. L’on se rappelle que lors du crash, à l’aéroport de Tamanrasset, la télévision algérienne n’a pu fournir des images sur l’accident que près de 48 heures après, et ce en l’absence d’une équipe sur place, la station de Ouargla étant trop éloignée. Il a fallu dépêcher du personnel de la centrale, " rapatrier " les films à Alger, etc. Les ambitions de l’unique ne s’arrêtent pas là, puisqu’il est aussi prévu la création de sept centres de télévision, CT, qui ne seront pourvus que d’une équipe restreinte, une caméra, et d’une cellule de montage, pour " une meilleure efficacité et une extrême rapidité ". Les sept CT seront installés dans les villes du grand Sud.
[ source ]
par Hamid Bellagha
El Watan - Edition du 7 FĂ©vrier 2008

ALGER : L'eau coulera 24h/24 dans la capitale

# Administrateur | 05/02/2008 | Info

Avec la mise en service du barrage de Taksebt


L'eau coulera 24h/24 dans la capitale avant la fin de l'année


L’ambition du département de M. Abdelmalek Sellal d'approvisionner en eau potable les Algériens 24h/24h, notamment au niveau de la capitale comme première étape, ne tardera pas à se réaliser, puisque le ministre des Ressources en eau, qui était samedi soir l'invité du forum de l'ENTV, a rassuré les Algériens qui ont, durantt de longues années, souffert de la pénurie de l'eau. Ainsi, le ministre a annoncé que "l'alimentation de l'ensemble des communes et quartiers de la capitale en eau potable sera assurée 24h/24h, avant la fin de l'année en cours". Ce rattrapage en terme de temps est dû, selon le ministre, à la réception de plusieurs projets sectoriels au centre du pays. Il s'agit essentiellement de la mise en service du barrage de Taksebt qui alimentera Alger à partir de la fin février en eau potable à raison de 150 000 m3/jour, mais aussi de la réception prévue le 24 février de la station de dessalement du Hamma qui permettra un apport journalier de l'ordre de 200 000 m3. Autre question qui touche de près la population est oued El-Harrach, celui-ci accumule un taux de mercure dans les eaux qui dépasse de 30 fois les normes acceptées mondialement. Ajouter à cela les mauvaises odeurs qui envahissent les alentours.

A ce sujet, M. Sellal a déclaré que "les services de son département lanceront, prochainement, un programme d'épuration de oued El-Harrach, en collaboration avec le groupe français "Suez", les premiers tests effectués sur place étant très satisfaisants" ; mieux encore, le ministre a évoqué même l'utilisation d'huiles essentielles dans les eaux lesquelles ont permis lors des tests de faire disparaître les mauvaises odeurs.
Quant à l'épineuse question qui revient souvent, à savoir l'augmentation du prix de l'eau, le premier responsable du secteur des Ressources en eau a tenu à assurer, une fois de plus, qu' "il demeurait subventionné par l'Etat" et d'ajouter "les prix ne changeront pas".Cela dit, le ministre a mis l'accent sur la nécessité d'une consommation rationnelle et économique de l'eau, avant d'appeler les citoyens à signaler tous les problèmes au niveau des canalisations, notamment les filtrations. Il a également souligné au passage que "35 % des communes ne payent pas leurs factures d'eau, pourtant forfaitaires, voire au prix symbolique". S'agissant du problème de l'envasement des barrages en raison de l'érosion du sol provoquée par les pluies diluviennes, portant préjudice au rendement des terres agricoles bordant ces infrastructures, le ministre des Ressources en eau a annoncé la récente installation d'une cellule au niveau de l'Agence nationale des barrages et transferts (ANBT) pour la prise en charge de cette question, tout en préconisant le lancement de campagnes intensives de boisement pour éradiquer le problème.

Dans ce même sillage, s'exprimant à propos du barrage de Beni Haroun, confronté au cours de ces derniers mois à des problèmes techniques, M. Sellal a tenu, une fois encore, à rassurer "sur l'exploitabilité de cette infrastructure qui ne présente aucun risque, les vérifications effectuées sur place par un groupe d'experts internationaux faisant foi", a-t-il dit, avant d'observer que "le barrage en question a été conçu de manière à résister à des secousses telluriques d'une magnitude de 9 degrés sur l'échelle de Richter".

Abordant le projet du transfert d'eau In Salah-Tamanrasset sur une distance dépassant 700 km , M. Sellal a précisé que " ce méga-projet sera d'un apport de près de 100.000 m3/j d'eau potable pour la ville de Tamanrasset et les localités avoisinantes, sur une durée prévisionnelle allant jusqu'à l'an 2040 ". Rappelant que les nappes phréatiques de In Salah relèvent de l'intégrité territoriale de l'Algérie, le premier responsable du secteur a indiqué, dans cet ordre d'idées, que "des projets de transferts des eaux souterraines des régions du nord du Sahara (Laghouat, El-Goléa, In Sefra...) vers les Hauts-Plateaux seront lancés à partir de 2009". Pour conclure son intervention, le ministre n'a pas omis de préciser que la sécurité hydrique de notre pays est, désormais, à la portée et cela a été rendu possible grâce à l'orientation vers la diversification des sources d'approvisionnement à savoir barrages, nappes phréatiques et dessalement d'eau de mer.

Nassima Bensalem Il faut rappeler, dans ce contexte, que l'alimentation de la capitale en eau potable 24h/24h, était prévue pour début 2009, mais, selon le ministre, elle sera finalement possible au cours de l'année 2008.
[ source ]
Le Maghreb - Edition du 4 FĂ©vrier 2008

Bouira-Algerie - 2 nouvelles gares routières en projet

# | 03/02/2008 | Info

BOUIRA


2 nouvelles gares routières en projet


Les villes qui bénéficient de ces deux projets sont le chef-lieu de la wilaya de Bouira et celui de Sour El Ghozlane.


Le secteur du transport dans la wilaya de Bouira, qui connaît un grand retard en matière d’organisation et d’infrastructures, va désormais connaître une mutation. En effet, avec le lancement de deux projets, portant sur la construction de deux gares routières, les choses iront mieux.
Les villes qui bénéficient de ces deux projets sont le chef-lieu de la wilaya de Bouira et celui de Sour El Ghozlane. Au niveau de la ville de Bouira, la nouvelle gare routière qui viendra renforcer le transport interwilaya, sera construite à la sortie ouest de la ville, non loin du tronçon d’autoroute Est-Ouest. L’enveloppe financière allouée pour la réalisation de ce projet est de 31,6 milliards de centimes.
L’étude a été faite en 2006, il reste l’approbation du marché. Cette infrastructure occupe une superficie de deux hectares et le délai pour la réalisation est fixé à 18 mois.
Pour la réalisation de la seconde gare, un budget de plus d’un milliard a été débloqué. Cette infrastructure d’une superficie d’un hectare, sera réalisée dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux.
Les deux projets vont permettre, selon les responsables du secteur, de diminuer les tracasseries des voyageurs et l’encombrement au niveau des autres stations, comme l’ancienne gare routière du chef-lieu, située près du marché hebdomadaire, lequel est dans un état lamentable. Il est utile de souligner que ces projets vont dans le sens de faciliter le déplacement des personnes et le transport des biens et des marchandises.
D’autre part, plusieurs projets sont inscrits pour améliorer le réseau des transports, outre le nouveau plan consistant en la réorganisation du secteur, prévu pour le premier semestre de l’année 2008; il s’agit de la construction d’une gare routière dans la ville de Lakhdaria et de la réhabilitation de l’ancienne gare routière de la ville de Bouira.
A cela s’ajoute un autre projet, celui de construire sept haltes routières qui seront réparties, selon la direction du transport, à travers les communes qui enregistrent un trafic dense. Concernant le transport ferroviaire, qui s’étend sur une longueur de 100km, un programme de rénovation est en cours. Les deux stations de la commune de Aomar et de Kadiria, seront rééquipées et seront opérationnelles au mois de mars de l’année en cours. Comme il a été déjà lancé, les travaux de rénovation de la station ferroviaire de la ville de Lakhdaria, ont un taux d’avancement qui a atteint 75%. Un autre projet de renouvellement de la voie ferrée reliant Thénia (Boumerdès) à Bouira. Le même projet prévoit aussi l’électrification de cette ligne dotée d’une nouvelle technologie en matière de signalisation. Un nouvel autorail électrifié, qui relie la wilaya de Boumerdès et celle de Bordj Bou Arréridj en passant par Bouira, est en cours. La fin des travaux est prévue pour 2012. Cet embellissement dans le secteur des transports, va sans doute désenclaver plusieurs régions de la wilaya. Il reste uniquement à savoir si les projets se feront dans les normes et dans les délais. [ source ]
par Ali CHERARAK
L'Expression - Edition du 3 FĂ©vrier 2008

Algérie - Semences de pomme de terre

# Administrateur | 03/02/2008 | Info

Semences de pomme de terre

Des experts coréens à Sebaine


En application d’une convention de coopération internationale entre l’Algérie et la Corée du Sud, une délégation d’experts a séjourné cette semaine à Tiaret et elle est allée dans la commune de Sebaine où devrait s’implanter un centre national pour l’amélioration des techniques de production des semences de pomme de terre.


Le choix du terrain n’a pas posé de problèmes puisque les techniciens coréens ont opté pour cet endroit où est situé L’ITGC (institut de traitement des grandes cultures). Projet co-financé par les deux parties à hauteur de 1,8 millions de dollars pour la partie coréenne et de 10 milliards de centimes pour l’Algérie, par le biais du ministère de l’Agriculture, et qui sera suivi par le CNCC (centre de certification des plantes et semences en collaboration avec l’ l’INRA). Un centre comprenant, dira notre source, un grand laboratoire s’étendant sur 1 500 mètres et de grandes serres d’acclimatation devant s’achever d’ici juin prochain et l’assistance prévue au titre du contrat prévoit une formation de techniciens algériens en Corée du Sud. L’assistance technique qui coure jusqu’à 2009 devant permettre aux jeunes algériens le maintien et l’entretien de ce centre hautement sophistiqué devant subvenir aux besoins nationaux en semences de pomme de terre à concurrence de 30% de la demande. Choix dicté, dira t-on, par l’étendue des terres vierges dans cette région de la wilaya plutôt à vocation céréalière où déjà plusieurs opérateurs privés et étrangers à l’exemple de « Mahassil » comptent s’implanter. S’agissant des cultures maraîchères, à Tiaret où en dépit des pics de 240 à 400 quintaux à l’hectares, il n’ y a, dit-on, que 1 300 ha destinés à la production de la pomme de terre, principalement à Sebaine, Takhmaret, Medroussa et Mechraa-sfa. [ source ]
par A. Fawzi
El Watan - Edition du 3 FĂ©vrier 2008

1er accord de partenariat entre les Scouts algériens et français

# Administrateur | 01/02/2008 | Info

Il a été signé, hier, au Forum d’El Moudjahid


Premier accord de partenariat entre les Scouts algériens et français



scoutsLe Centre de presse d’El Moudjahid a reçu, hier, la délégation des Scouts et Guides de France, en visite actuellement en Algérie à l’invitation du commandant des Scouts musulmans algériens (SMA), M. Noureddine Benbraham.
La délégation française de haut niveau était composée de M. Guillaume Legault, président du mouvement, M. Claude Morael, délégué général du mouvement SGDF, Mme Claire Dechenaux, commissaire internationale, M. Christian Larcher, directeur des relations internationales.

Dans son intervention, le commandant des SMA, M. Noureddine Benbraham, devait rappeler que l’année 2007, qui a été aussi l’année de la commémoration du centenaire du mouvement scout mondial, a permis à l’Algérie de participer au milieu d’autres pays au Jamboree mondial à Londres, là où fut précisément célébré le 100e anniversaire de la naissance du mouvement mondial.

Cette participation a permis à la délégation des SMA de renforcer les liens avec d’autres mouvements à travers le monde, rappeler son attachement aux grandes valeurs qui fondent le scoutisme dans le monde et la préservation de notre identité tout en marquant notre adhésion à ces valeurs universelles.

L’orateur a rappelé la complexité du monde qui nous entoure, la somme de défis que nous devons relever et dont la prise en charge sera plus conséquente si elle est entourée de solidarité, d’entraide, de compréhension mutuelle entre les peuples, d’ouverture d’esprit, de dialogue. C’est à une telle évolution que le scoutisme mondial invite et c’est au service de tels idéaux que les SMA et les SGDF orientent leurs efforts.
Un protocole cadre d’une durée de 5 ans a été conclu entre les deux mouvements. Il rassemble l’ensemble des aspirations pour une coopération plus qualitative, plus présente et diversifiée. En fait, les relations entre les deux mouvements n’ont jamais cessé. A travers la multiplication des contacts, les visites de délégations, le lien a été toujours maintenu. Aujourd’hui, on aborde un nouvel exercice, dira M. Noureddine Benbraham, où il est plaidé le lancement d’une coopération à un niveau très fort.

Evoquant la visite de la délégation des Scouts et Guides de France, le commandant Noureddine Benbraham souligne que les contacts ont été multipliés et notamment au sein de la société civile. Des visites ont été rendues aussi au président du Haut conseil islamique, du père Gonzales, représentant l’archevêque Tessier. Des visites ont été rendues aux quartiers Sidi M’hamed et Belcourt où ont été célébrées la rencontre et la coexistence entre les jeunes, l’ouverture de grands chantiers.

Pour le président des SGDF, M. Guillaume Legault, le scoutisme, c’est cette école qui permet aux jeunes de chacun de nos pays de comprendre la culture des uns et des autres, de prendre leurs responsabilités dans la vie, de comprendre les différences de vie et de milieu et de s’y imprégner, de faire de la paix dans le monde leur objectif et de lutter contre toutes les formes de violence. Pour l’orateur, nous aspirons à une communauté euro-méditerranéenne à qui il faut donner des outils très concrets. M. Legault a affirmé que durant leur séjour en Algérie, la délégation qu’il préside a été impressionnée par la structuration et l’organisation des SMA.

L’intervention des deux responsables des mouvements a été suivie par la signature d’un protocole d’accord dit de partenariat, qui court de 2008 à 2012. Le protocole fait l’historique du partenariat où il est constaté que les deux mouvements sont partenaires depuis de nombreuses années, œuvrant à une meilleure compréhension des jeunes entre eux au travers d’actions communes. L’amitié entre les membres des deux mouvements a tenu, est-il souligné, un rôle historique dans la formation du nombre de responsables et d’acteurs de la construction de l’Algérie moderne, dans l’émergence de mouvements de jeunes issus de l’émigration en France et dans la rencontre entre communautés chrétienne et musulmane. S’agissant des enjeux courus pour un tel partenariat, le protocole place le partenariat entre les SGDF et les SMA au cœur du projet éducatif de chacune des deux associations en accord avec les buts et objectifs soutenus par l’Organisation mondiale du mouvement scout. [ plus de détail ]
Par Tahar Mohamed AL ANOUAR
El Moudjahid - Edition du 30 janvier 2008

Un nouveau poste frontalier entre la Tunisie et l’Algérie

# Administrateur | 01/02/2008 | Info

Un nouveau poste frontalier entre la Tunisie et l’Algérie

Selon Tunisie Affaire, le portail des hommes d’affaires, un nouveau poste frontalier entre la Tunisie et l’Algérie sera inauguré bientôt pour accueillir plus de touristes algériens et surtout pour faciliter l’accès des personnes et des véhicules dans les villes tunisiennes, notamment dans la région de Tabarka. Ce nouveau poste frontalier est situé à Ksar El Aouda près de Melloula et sera équipé d’un complexe hôtelier et un complexe commercial, des cafétérias, des aires de repos et des restaurants. Comme il y aura une amélioration au niveau de l’infrastructure qui, pour plusieurs touristes algériens, constitue un souci majeur vu l’étroitesse de l’ancien poste frontalier. D’ailleurs, les travaux de rétablissement de l’infrastructure routière sont déjà lancés ayant pour objectif de relier Tabarka à Tunis via une nouvelle autoroute passant par d’autres villes. A noter qu’en 2007 plus de 250 000 touristes algériens sont passés par voie routière avec plus de 80 000 véhicules et on prévoit d’accueillir une moyenne d’un million de touristes algérien par an. [ source ]
par R.Ep
El Watan - Edition du 31 janvier 2008

Sidi Bel Abbès - Informatisation de l’Etat civil

# Administrateur | 01/02/2008 | Info

Informatisation de l’Etat civil
Un projet otage de la bureaucratie

Le projet de réalisation d’une solution globale de dématérialisation des processus de gestion de l’état civil avec réseau intranet, peine à se concrétiser.

Dirigé par l’entreprise Kselnet, le projet dont le coût avoisine les 3 milliards de centimes attend toujours l’« approbation des services de l’administration centrale pour sa mise en exploitation », confie un élu de l’assemblée populaire communale de Sidi Bel Abbès. Selon notre interlocuteur, le chef de Daïra n’a pas, à ce jour, donné de réponse au sujet de ce projet. « L’accord du ministère de l’Intérieur pour lancer un tel projet est indispensable », déclare un responsable de la wilaya. Pourtant, il s’agit d’un projet que l’assemblée a approuvé en 2006 par délibération. En effet, elle s’est engagée à le concrétiser afin de permettre aux citoyens de la ville de procéder à des retraits d’actes et de documents d’état civil dans les meilleures conditions possibles. « Les délibérations de l’assemblée sont exécutoires de plein droit dès qu’il a été procédé à leur approbation », estime un ex-député qui dit encore : « Une assemblée souveraine pourait lancer les travaux puisqu’il s’agit de préserver au mieux les intérêts des citoyens et de veiller à leur fournir des prestations de qualité ». Actuellement, comme peut le constater tout un chacun, le retrait d’un simple extrait de naissance relève immanquablement du parcours du combattant. « Une situation qui favorise la corruption et qui met à rude épreuve les nerfs des citoyens », proteste un élu du FNA, nouvellement élu. Il est utile de rappeler que le réseau Intranet à mettre en place est destiné, dans un premier temps, à l’utilisation de la solution de gestion des processus de l’état civil et à l’intégration des données issues de la scannérisation des registres. « Il s’agit d’améliorer la rapidité et la fluidité des informations entre les différents acteurs de l’APC ». Il permettra ainsi de relier en phase finale le siège principal de la commune aux 12 annexes réparties à travers la plupart des quartiers de la ville. La numérisation touchera le contenu de tous les registres de l’état civil. On recense plus de 982 registres d’actes de naissance, 298 d’actes de mariage et 331 d’actes de décès, soit un total 1 611 registres englobant la période allant de 1851 à 2006. Cela représente plus de 810 000 actes d’état civil à numériser, dont 142 000 autres de mariage. [ source ]
par M. A.
El Watan - Edition du 31 janvier 2008

Métro d'Alger : La 1re ligne sera livrée fin décembre

# Administrateur | 27/01/2008 | Info

MÉTRO D’ALGER


La 1re ligne sera livrée fin décembre

Elle concernera le tronçon Haï El Badr, cité Mer et Soleil, cité Amirouche vers les Fusillés.



La première ligne du métro d’Alger sera opérationnelle en décembre 2008.metro Elle concernera le tronçon Haï El Badr, cité Mer et Soleil, cité Amirouche vers les Fusillés, a annoncé à l’APS Mme Amirouche, responsable de la communication de l’Entreprise du métro d’Alger (Ema).
Le coût total de cette première phase s’élèverait à 77 milliards de DA, dont 30 milliards pour le génie civil et 47 milliards pour l’équipement, soit près de 900 millions d’euros. Mme Amirouche indique que la réception des rames, importées d’ Espagne, aura lieu avant juin prochain. Elles doivent être fournies, ajoute-t-elle, par le groupement des entreprises françaises Siemens et Vinci Construction ainsi que l’espagnole CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles). A souligner que l’EMA a signé, en janvier 2006, avec le groupe Siemens-Vinci et CAF, le contrat portant sur les équipements fixes, le matériel roulant et les aménagements intérieurs des stations. Il s’agit d’un contrat d’équipement de la ligne Tafourah-Haï El-Badr, d’un coût de 35 milliards de DA (300 millions d’euros pour la partie devises étrangères et 4 milliards de dinars non convertibles). Le système intégral englobe la totalité des installations techniques devant équiper cette ligne (9,1km) sur une dizaine de stations. Il s’agit également de l’acquisition de 14 rames, de l’installation de la signalisation à base numérique, de 23 escaliers mécaniques et des postes de commande centralisés. La même source a fait savoir également que la mise en service des autres stations se fera «graduellement», en fonction de l’état d’avancement des travaux.

Le ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui, avait déclaré, dans ce cadre, que le métro d’Alger qui coûtera à l’Etat quelque 65 milliards de DA (dont 30 milliards DA pour le creusement des tunnels), est la pièce maîtresse du plan de développement des transports de la capitale 2005-2009. Pour rappel, l’idée de la réalisation du métro d’Alger date des années 1970.
Il était prévu pour parer à l’explosion démographique et au besoin de transport collectif qui en résulte. Lancé dans les années 1980, il a été ralenti du fait des difficultés financières de l’époque. Le projet a été relancé en 2003.
Le métro d’Alger permettra le déplacement de 41.000 voyageurs/heure, soit 150 millions de voyageurs/an avec des intervalles d’exploitation allant jusqu’à moins de 2 minutes. D’une vitesse de 70km/h, le métro sera en activité de 5 heures à 23 heures. [ source ]
par Lynda BEDAR
L'Expression - Edition du 27 janvier 2008

publicité - Memac-Ogilvy ouvre un bureau à Alger

# Administrateur | 25/01/2008 | Info

Memac-Ogilvy ouvre un bureau Ă  Alger


Le géant mondial de la publicité et la communication, Memac-Ogilvy, vient d'officialiser son entrée dans le marché algérien, jeudi dernier, par l'ouverture de son bureau à Alger.



En effet, l'inauguration a eu lieu lors d'une cérémonie organisée sous l'égide de son directeur général pour les régions du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Edmond Moutaren, d'origine libanaise. "Notre enthousiasme et notre impatience d'être présents sur le marché algérien ne sont pas uniquement dus à la progression rapide du monde de la publicité dans ce marché qui a connu une croissance multipliée par deux durant ces quatre années mais c'est en premier lieu le souhait de nos clients qui veulent que nous soyons là où les futurs marchés se trouvent", a déclaré, en substance, le DG, M. Moutaren lors d'un point de presse qu'il a animé jeudi dernier à Alger. Par ailleurs, Memac Ogilvy Algérie est établi dans le but de réaliser d'importants résultats où est inscrit l'objectif de détenir 30 à 50% du marché algérien de la publicité dans les années à venir. Memac-Ogilvy compte employer 12 personnes en Algérie.

Après la Tunisie, l'Algérie est sa deuxième implantation en Afrique du Nord.En Tunisie, l'agence Label Memac Ogilvy compte parmi ses clients Attijari bank - filiale d'Attijariwafa Bank - et LU. Rappelons qu'Ogilvy appartient au groupe WPP que dirige martin Sorel, un groupe leader en matière de communication au niveau international et qui opère dans pas moins de 102 pays dans le monde. L'intérêt porté par les investisseurs arabes à l'Algérie s'est encore confirmé. Elle est la huitième destination de Memac-Ogilvy dans la région arabe, après le Bahreïn, les Emirats arabes unis, la Jordanie, l'Arabie saoudite, l'Egypte, le Koweït et la Tunisie, en attendant l'ouverture des filiales libyenne et marocaine. Son activité sera concentrée en majorité sur les relations publiques, l'activation hors médias des marques, l'interactivité et l'Internet. Elle compte déjà parmi ses clients Unilever, IBM, Kimberly Clark, Kraft Food, Gilette, DHL…. M. Edmond Moutran a affirmé que "le perfectionnement et la fidélisation de nos compétences font partie des priorités stratégiques de Memac Ogilvy Algérie. Nous leur offrons un programme global de formation afin de faire régner dans l'entreprise une culture de fidélisation et de perfectionnement", a-t-il dit. Le président du groupe Memac Ogilvy a indiqué également vouloir promouvoir les connaissances dans les sciences de la communication et du marketing dans le milieu universitaire algérien. Il annonce l'organisation chaque année d'un ou de plusieurs colloques auxquels les étudiants seront conviés et qui regroupent nombre de spécialistes et chercheurs de renommée internationale. "Ces colloques seront l'occasion de faire le point sur les dernières avancées théoriques et méthodologiques dans les sciences de la communication et du marketing", a-t-il indiqué. Edmond Moutran, président de l'association des agences publicitaires du Moyen-Orient est un homme de grande expérience en matière de communication publicitaire. Il a été nommé président du groupe Memac Ogilvy. Ce dernier compte plus de 1 000 employés et dépasse 350 millions de dollars de chiffres d'affaires. [ source ]
Synthèse Samira H.
Le Maghreb - Edition du 24 janvier 2008

Alger - PrĂŞt-Ă -porter pour femmes

# Administrateur | 25/01/2008 | Info

PrĂŞt-Ă -porter pour femmes


La marque espagnole Mango ouvre sa 1re boutique Ă  Alger


Une nouvelle franchise européenne vient de s’installer en Algérie. Il s’agit de la marque espagnole du prêt-à-porter pour femmes, Mango, qui a ouvert mardi sa première boutique à Sidi Yahia (Hydra). Introduite en Algérie par le groupe saoudien Nesk, la multinationale Mango opère dans le design, la fabrication et la commercialisation de vêtements et des accessoires pour femmes.

La marque portée par plusieurs stars de cinéma et du showbiz, à l’instar de Claudia Schiffer, Penelope & Monica Cruz arrive donc chez les Algéroises, lesquelles auront à découvrir une collection très fashion dominée par la robe et le black & white très tendance qui nous replonge dans l’esprit des années 60.
Tout comme le jeans qui revient en force, les couleurs brillantes sont également à l’honneur au niveau de l’attrayante boutique algéroise Mango.

Le directeur général de Nesk Algeria, M. Emad-Eddine Abdellah, annonce d’ores et déjà l’introduction de trois autres franchises dont la première Aldo, enseigne canadienne de chaussures hommes et femmes, sacs et accessoires, qui ouvrira ses portes demain.
La marque allemande Triumph, leader de la lingerie féminine, sera là dans deux mois, alors que la Française Okaidi, spécialisée dans l’habillement pour enfants, est attendue pour l’été prochain.

Qualifiant le marché national de très important et le consommateur algérien de connaisseur des grandes marques internationales, le DG de Minsk Algérie annonce un important investissement sur cinq ans qui permettra d’élargir les enseignes à d’autres wilayas et de créer près de 300 emplois pour les jeunes, lesquels bénéficieront de formations à l’étranger dans les domaines du marketing, des produits et de ventes. [ source ]
par El Moudjahid
El Moudjahid - Edition du 23 janvier 2008

Alger - Magasin Planet-Fashion

# Administrateur | 24/01/2008 | Info

Alger - Magasin Planet-Fashion

Ouverture d’un espace de prêt-à-porter


Planet-Fashion est un magasin de mode qui vient tout juste d’ouvrir ses portes sur l’axe routier Chéraga Ouest.



La société de droit algérien Equinox, un distributeur qui a des actions suisses et portugaises, vend des vêtements et des accessoires d’une marque magasinespagnole reconnue mondialement, à savoir Zara. Pour le project manager Sébastien Rezzonico, le but de Planet-Fashion est d’être dans trois ans le leader du prêt-à-porter en Algérie. « La demande toujours croissante des Algériennes et des Algériens de trouver sur le marché des produits de qualité à des prix accrocheurs intéresse de plus en plus d’enseignes internationales », explique-t-il.

Planet-Fashion occupe une surface de vente de plus de 1000 m2 dédiés à la mode femmes, hommes et enfants. Les responsables ont pris le risque de s’installer à l’extérieur de la ville pour offrir à sa clientèle un parking sécurisé de 50 places. Ce premier outlet-magasin, vendant des fins de collection, propose des vêtements et des accessoires de marque à des prix attractifs. Dès le seuil franchi, le visiteur est plongé dans un immense espace à design moderne où la musique bat son plein. Cet hangar, aménagé en magasin, offre, dans un premier temps, dans le rayon femmes toute une gamme d’articles exposés sur des étagères ou accrochés. A quelques mètres, on découvre la collection enfant très tendance aux couleurs chatoyantes. Un peu plus loin, la gamme vestimentaire masculine se décline avec, entre autres, des vestes, des manteaux et des pantalons. La devise de la maison est de satisfaire chaque client avec un service et une prestation « qui transformeront vos achats en un véritable plaisir », c’est du moins ce que l’on peut lire sur une pancarte.

Pour Planet-Fashion, le fait de vendre des fins de collection permet de cibler toutes les tranches de la société à des prix accessibles pour toutes les bourses. « Nous sommes en décalage de 6 mois environ, mais ce qui est important, explique Sébastien Rezzonico, c’est que la marque espagnole Zara sort des collections tous les 15 jours. » Ouvert sept jours sur sept de 10h à 21h en semaine et ce, jusqu’à 22h les week-ends, ce magasin de mode entend organiser des promotions régulières. Un fichier clientèle est, d’ailleurs, en train de s’établir. Il est à noter qu’un stock, d’une superficie de 500 m2, permettra au magasin de changer de collection tous les 15 jours. En effet, le même principe de fonctionnement des magasins Zara à l’étranger sera appliqué en Algérie pour le plus grand plaisir des clients. L’enseigne Planet-Fashion compte s’enrichir par l’ouverture d’autres magasins au niveau de la capitale algéroise, notamment à Bab Ezzouar. [ source ]
par Nacima Chabani
El Watan - Edition du 24 janvier 2008

Algérie - Sites web des banques

# Administrateur | 23/01/2008 | Info

Sites web des banques

La BEA tisse son réseau


La Banque extérieure d’Algérie (BEA) a lancé un nouveau site Internet (www.bea.dz).


Dans un communiqué de presse, il est précisé : « La mise en ligne de ce site s’inscrit dans le cadre du renforcement et de la modernisation de nos outils d’information et de communication en faveur de notre clientèle et du grand public, notamment à travers la rubrique de contact avec la hiérarchie de la banque. » La même source explique qu’à travers ce lancement, la banque « entend s’inscrire pleinement dans la dynamique d’adoption des nouvelles technologies de l’information et de la communication mises au service du client ». Conçu pour être évolutif, le site intègre déjà une banque de données relative à l’ensemble des produits bancaires (destinées aux entreprises et aux particuliers) et aux conditions d’accès à ces derniers. Le site donne également la possibilité de prendre connaissance de l’actualité et des événements internes et externes. Il éclaire sur certaines orientations stratégiques de la BEA qui entend offrir à sa clientèle une qualité de service à la hauteur de ses attentes et demeurer ainsi « une banque de référence orientée au service du développement de l’économie nationale ». Avec ce site web, la BEA veut proposer un vrai service et non une coquille vide. Nombre de sociétés algériennes foncent tête baissée sur la voie du Web. Pour faire comme les autres. Et n’en tirent parfois aucun bénéfice réel.Un site Web est un projet à part entière qu’il faut mener avec méthode : définir un besoin, estimer un budget, adopter des règles de rédaction du contenu, soigner la clarté des parcours de navigation et trouver un hébergement adapté pour les performances et la sécurité. Le site donne une image de modernité à l’opérateur bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que le secteur évolue au rythme des NTIC. De plus en plus de consommateurs dans le monde ont désormais le réflexe Internet avant de prendre une décision d’achat ou d’investissement. Et le caractère particulièrement impliquant du choix d’un produit bancaire ou financier justifie doublement que les banques soignent leurs informations en ligne. Les banques cherchent à faire d’Internet un canal de distribution à part entière et une source de croissance. [ source ]
par K. B.
El Watan - Edition du 22 janvier 2008

Algérie - Salon national du multimédia à Tlemcen

# Administrateur | 23/01/2008 | Info

Salon national du multimédia

Une première à Tlemcen


Le groupe Sacil de Tlemcen organisera, à partir du 28 janvier prochain, au niveau de la maison de la culture Abdelkader Alloula, le premier salon national de l’informatique, des multimédias et de la bureautique.


De grandes entreprises nationales spécialisées dans le domaine exposeront leurs nouveaux produits au grand public. Dans un point de presse organisé à la salle des conférences de l’hôtel Agadir, l’organisateur, Chawki Dib, a indiqué que « ce salon, qui sera une première dans la wilaya de Tlemcen, regroupera vingt-deux entreprises qui auront à exposer leurs produits de dernière génération, notamment dans la bureautique ». Selon l’orateur, pas moins de treize wilayas du pays ont déjà confirmé leur participation. « En marge de cette manifestation, des documentaires sur les nouveaux produits seront projetés, particulièrement aux universitaires et spécialistes du domaine. » Selon M. Dib toujours, « la clôture de cette rencontre sera marquée par la signature de conventions entre différentes grandes boîtes du multimédia et les oeuvres sociales d’entreprises et de l’administration, pour faire bénéficier les différentes structures de l’outil informatique. » Il ajoutera par ailleurs, « Avec cette rencontre d’envergure, Tlemcen renouera avec la science et la technologie, l’espace de dix jours. » [ source ]
par C. B.
El Watan - Edition du 22 janvier 2008

ALGER DES ANNEES 2000.

# Administrateur | 04/11/2007 | Info

Le nouveau Blog de algerieautrefois

Aujourd'hui, Alger forme une importante agglomération, siège des activités centrale de l'Etat et d'une partie de l'activité économique. Sa population a quintuplé; d'un demi-million en 1962, à 6-7 millions de nos jours (estimations 2002).
Pour ceux qui désirent connaître "la Capitale", Nous vous proposons pour la découvrir, des photographies prisent sur le vif. Nous laissons le soin à nos fidèles internautes de la décrire (détails et description de la photo) et de proposer un commentaire