# Administrateur | 19/09/2009 | Transports
A la veille de l’aïd el fitr : La station de transport de voyageurs du Caroubier prise d’assaut
Des milliers de travailleurs et des familles habitant ou travaillant à Alger ont commencé à prendre le départ vers différentes destinations et ce, depuis les premiers jours de la semaine dernière. Profitant de l’approche du week-end, des milliers de personnes ont ainsi programmé leur voyage durant les journées du mercredi et jeudi derniers.
Devant les guichets, c’est la débandade. Les agents de contrôle et de sécurité de l’agence ne pouvaient plus maîtriser la situation devant le grand nombre de voyageurs qui se bousculaient devant les guichets pour pouvoir acheter le billet de voyage. « Dans la soirée du jeudi, nous étions subitement envahis par un flux important de personnes qui voulaient prendre le bus juste après le f’tour. Alors que dans la matinée de la même journée, l’agence connaît une totale fluidité sans la moindre bousculade », raconte un responsable de sécurité. Selon lui, la société Sogral a été contrainte, cette nuit-là , à recourir à d’autres transporteurs privés pour renforcer les départs vers les quatre coins du pays.
C’est la destination de l’est, notamment nord-est et sud-est, qui connaît le plus d’affluence, d’après notre interlocuteur. La station de taxis a été elle aussi envahie par les voyageurs.
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Par M. Kedada
photo Sogral
Horizons, publié, le 17 September 2009 07:00:00
# Administrateur | 16/09/2009 | Transports
Fret ferroviaire: 7 milliards pour développer le rail
Le gouvernement consacrera plus de 7 milliards d'euros au développement des infrastructures du fret ferroviaire d'ici 2020, afin de favoriser le report de la route vers le rail, a annoncé le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo.
"Il est vital de développer le fret", a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse, en annonçant ce plan de 7 milliards d'euros en faveur du fret ferroviaire.
Le gouvernement a retenu huit axes de développement (lire ci-dessous) pour favoriser le transport de camions par le train.
"Préparer l'après-pétrole"
Cette annonce s'inscrit dans le droit fil du Grenelle de l'Environnement, qui prévoit de faire passer la part des transports de marchandises alternatifs à la route de 14 à 25% d'ici 2022.
"Il est indispensable d'augmenter la part du fret ferroviaire contre l'aérien et le transport routier" et de "préparer l'après-pétrole", a expliqué M. Borloo.
Le gouvernement espère réduire d'ici 2020 de plus de 2 millions le nombre de trajets de poids lourds sur les routes chaque année et vise plus de 2 millions de tonnes de Co2 émises en moins.
L'effort d'investissement sera réparti entre l'Etat, Réseau ferré de France (RFF, le gestionnaire public des infrastructures ferroviaires) et la SNCF.
Le fret en perte de vitesse Ă la SNCF
Sur les 7 milliards d'argent public du plan, la compagnie nationale va notamment investir dans les cinq prochaines années un milliard d'euros au moins dans des solutions innovantes de transport de marchandises.
Il n'a pas été décidé à ce stade si l'Etat aurait recours au grand emprunt national pour financer ces dépenses, a indiqué M. Borloo. Elles doivent pour l'instant être inscrites dans le budget.
La SNCF s'apprête, de son côté, à présenter ses projets de réorganisation pour son activité de fret, en perte chronique, lors du comité central d'entreprise et de son conseil d'administration les 22 et 23 septembre.
Frappé de plein fouet par la crise, le fret SNCF devrait perdre 600 millions d'euros cette année, après un déficit de 340 millions d'euros en 2008.
Huit axes de développement
- Créer un réseau d'"autoroutes ferroviaires" en France, permettant de mettre plus de camions sur les trains (230 millions d'euros).
- Aider le développement du transport combiné, soit la combinaison d'au moins deux modes de transport sur un même trajet. Le but est de limiter le transport par la route et d'encourager le rail, le transport fluvial ou maritime. Concrètement, plus de conteneurs de marchandises doivent être mis sur les trains (300 millions).
- Développer les "opérateurs ferroviaires de proximité". Il s'agit d'encourager la création de PME ferroviaires pour desservir les territoires et les zones portuaires avec des organisations légères et adaptées. Le gouvernement souhaite l'apparition d'au moins trois opérateurs d'ici la fin de l'année (fonds de 80 millions).
- Développer le fret ferroviaire à grande vitesse entre les aéroports, avec l'utilisation des lignes à grande vitesse en dehors des heures de pointe pour le transport de marchandises (170 millions).
- Créer un réseau où les trains de fret seront prioritaires, appelé "réseau orienté fret" (ROF) (1,5 milliard)
- Supprimer les goulets d'étranglement (notamment pour l'agglomération lyonnaise et entre Nîmes et Montpellier), principaux points de congestion du réseau ferré national. Le gouvernement prévoit la création de lignes de contournement ferroviaire (4,5 milliards).
- Améliorer la desserte ferroviaire des grands ports français. Un opérateur ferroviaire portuaire doit voir le jour au Havre et un autre à La Rochelle cette année (350 millions).
- Moderniser la gestion des "sillons", les créneaux horaires de circulation alloués aux opérateurs, en traitant le fret comme une priorité. Le but est d'améliorer les temps de parcours et de favoriser le respect des horaires des trains de fret.
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ouest-france.fr, publié le 16 Septembre 2009
# Administrateur | 15/09/2009 | Transports
Brest et Dijon s'unissent pour l'achat de 52 rames de tramway
Les Communautés d’Agglomération de Brest et de Dijon ont annoncé aujourd’hui leur décision de choisir Alstom pour la fourniture de 52 rames de tramways Citadis pour un montant de 106 millions d’euros. Lors de l’appel d’offres, les deux agglomérations avaient en effet décidé de s’associer afin de rationaliser les investissements et de mutualiser les besoins. Vingt rames sont destinées à Brest et 32 rames à Dijon.
C'est la première fois que des collectivités s'unissent ainsi pour réaliser des économies sur ce type de contrat.
500 000€ d'économie par rame
Cette commande groupée représente "un gain financier important qu'on peut évaluer à près de 500000 euros par rame par rapport à notre budget initial", s'est félicité le maire de Brest, François Cuillandre, lors d'une conférence de presse à Paris.
Le coût de chacune des 52 rames commandées s'élève à 2,05 millions d'euros, pour un contrat total de 106 millions. L'économie réalisée par les deux agglomérations s'élève à près de 36 millions d'euros.
"C'est, par rapport à ce qui a pu se faire dans d'autres agglomérations, une économie sur les rames de 25% à 30% qui a été réalisée", ajoute le maire de Dijon François Rebsamen.
Bonne chose pour l'économie française
Alstom, dont les tramway Citadis dominent largement le marché français, était en concurrence avec le canadien Bombardier, l'espagnol Caf et le suisse Stadler. A ce jour, 1 239 Citadis ont été commandés par 30 villes dans le monde, a précisé Alstom dans un communiqué. Les rames Citadis seront conçues dans l’usine Alstom de Valenciennes. Cinq autres sites d’Alstom Transport participeront à la fabrication : Tarbes pour les équipements électriques et électroniques de la chaîne de traction, Ornans pour les moteurs, Le Creusot pour les bogies, Villeurbanne pour l’électronique embarquée et la Rochelle pour l’assemblage.
"Nous nous réjouissons que ce soit un groupe français. C'est une bonne chose pour notre économie et nos emplois", précise M. Rebsamen.
Le tram Ă Brest en 2012
Les deux villes avaient signé un appel d'offre commun en novembre 2008 afin de réduire les frais d'étude et le coût du matériel roulant. Le Havre, Besançon et Tours avaient un temps songé à les rejoindre sur ce projet avant de renoncer.
Brest doit mettre en service une ligne de tramway de 14,3 kilomètres sur un axe est-ouest d'ici la fin juin 2012. "La ville doit aussi lancer une étude pour une seconde ligne sur l'axe nord-sud", indique François Cuillandre.
Dijon prévoit pour sa part de mettre en service deux lignes sur 20 kilomètres d'ici le début de 2013.
"On peut imaginer que ces groupement de commandes soient multipliés à l'infini dans nos marchés publics", commente encore le maire de Brest. Les groupements de commandes sont une procédure assez fréquente mais portent en général sur des contrats de bien moindre importance.
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ouest-france.fr, publié mardi 15 septembre 2009
# Administrateur | 05/09/2009 | Transports
Air France prépare la refonte de son réseau moyen courrier
› Comme annoncé le 30 juillet dernier, Air France confirme vendredi préparer une refonte de son réseau moyen-courrier "tant en termes de réseau que de produit".
La compagnie a précisé que ces mesures seraient mises en oeuvre au début de l'année 2010. Dans une interview au Wall Street Journal, Pierre-Henri Gourgeon, PDG de la compagnie, évoque "une diminution du nombre de destinations et l'utilisation d'avions plus grands".
On n'en sait pas plus pour l'instant, mais de nouvelles synergies avec sa filiale Transavia.com seront sûrement développées. Une offre inspirée de celle des compagnies low cost serait-elle aussi envisagée ? Avec des bagages en soute payants, des prestations a bord payantes, des abonnements annuels pour accéder aux salons, attribution des places a bord payantes, etc. ? Pourquoi pas. Par ailleurs, Air France a fait part au comité d'entreprise de la "mise en oeuvre d’un projet de plan de 1500 départs volontaires".
Ces mesures doivent faire l’objet de concertations dès la semaine prochaine, en vue d’une présentation du projet de plan de départs volontaires au CE du 21 octobre.
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Le Quotidien du Tourisme, publié vendredi 04 septembre 2009 (16h09)
# Administrateur | 28/08/2009 | Transports
Les transporteurs d’Alger menacent de recourir à la grève
Les transporteurs de voyageurs sont en colère. Et cette fois-ci ils n’entendent pas rester les bras croisés face à ce qu’ils considèrent comme un danger pour « leur gagne-pain ». Cette menace a pour nom : Tahkout. Depuis quelques jours, plusieurs rumeurs ont laissé entendre que la société privée Tahkout envisagerait de se lancer dans le transport urbain. Aujourd’hui, selon les syndicats des transporteurs de voyageurs, ces rumeurs se confirment au vu du silence observé par la direction des transports de la wilaya d’Alger à ce propos et les avis de recrutement publiés quotidiennement dans les colonnes de certains journaux. Dans ce contexte, l’Union nationale des transporteurs (UNAT), l’Organisation nationale des transporteurs algériens (ONTA), l’UGCCA et la Fédération nationale des transporteurs de voyageurs et de marchandises ont tenu hier une conférence de presse pour exprimer « leur refus total » de l’ouverture de lignes supplémentaires.
Il faut savoir que Amar Tou a instruit récemment les directions des transports de de wilaya d’augmenter le nombre de transporteurs pour couvrir totalement la demande des citoyens. Or, cette mesure n’est pas du goût des transporteurs privés. Selon eux, cette décision ne fera qu’aggraver l’anarchie du secteur. « Le secteur a besoin d’une véritable investigation avant de prendre une quelconque décision.» « Toute décision dans le secteur doit être précédée d’une étude car jusqu’à aujourd’hui nous ne disposons d’aucun plan de transport au niveau national comme au niveau de chaque wilaya. Quant aux plans de circulation existants dans les grandes villes, ils sont pour la plupart dépassés », nous a-t-on encore expliqué hier. Concernant Alger, les représentants des transporteurs de voyageurs ont révélé que l’offre est nettement supérieure à la demande. « Pour preuve, il y a 2 000 bus en plus. Le marché est complètement saturé », indique-t-on. « Alors, dans quelle configuration les 500 lignes de Tahkout vont-elles être mises en service ?» s’interrogent les transporteurs qui ne mâchent pas leurs mots, menaçant carrément de recourir à une grève illimitée si la décision d’octroyer ces lignes à Tahkout sera prise. « L’introduction d’un tel opérateur dans des lignes saturées menace carrément notre survie. On cherche à confier le marché à un baron qui ramassera tout sur son passage. Nos revenus vont chuter et beaucoup d’entre nous mettront la clé sous le paillasson. On joue avec notre gagne-pain et cela on ne l’acceptera jamais », s’écrient les transporteurs de voyageurs de la capitale lors de la conférence de presse organisée dans les bureaux de l’UNAT à la gare routière de Kharouba. L’avertissement est donc lancé. Et de belles empoignades rythmeront les jours à venir dans le secteur des transports en commun.
Sur un autre chapitre, la création des entreprises publiques de transport urbain dans plusieurs wilayas menacerait également l’avenir de milliers de transporteurs, soulignent les syndicats des transporteurs. Et pour cause, « cela va accentuer la concurrence en générant une régression de l’activité comme service public », affirment-ils en dénonçant l’absence d’une équité dans la tarification. « Il y a des Algériens qui paient le double du prix réel de leur ticket. Du temps du regretté Maghlaoui, nous avions réussi à nous mettre d’accord sur un tarif urbain. Mais le gouvernement n’avait pas avalisé notre proposition. Du coup, aujourd’hui, seul le transport inter-wilayas offre une tarification homogène », assure Aïder Mohand, président de l’UNAT. Notre interlocuteur dénoncera le non-respect de la réglementation par les directions de transport de wilaya (DTW), lesquelles sont accusées d’attribuer les lignes de transport. Il est à signaler enfin que 95% des moyens de transport en commun sont constitués de transporteurs privés. C’est dire tout leur poids dans le transport urbain. Un poids qu’ils comptent bien exploiter pour obliger le département de Amar Tou à revenir sur ces décisions arbitraires unilatérales.
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Par Abderrahmane Semmar
La Tribune, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 28/08/2009 | Transports
Une haute saison bien remplie
Pour donner un ordre de grandeur sur le flux de voyageurs en haute saison, comme c’est le cas en ce moment, le ferry a transporté durant la journée du 30 juillet, au départ d’Alger à destination de Marseille, 961 passagers et 288 véhicules. C’est ce que nous a déclaré un membre du staff du car-ferry sous le sceau de l’anonymat, avant de souligner que « le pic a été atteint à la mi-juillet avec 1262 passagers. Durant la haute saison, nos meilleures dessertes font entre 1100 et 1200 passagers ».
« Maintenant, c’est la période des retours avec la fin des vacances et la rentrée des classes qui se profilent », ajoute notre interlocuteur. Interrogé sur les retards observés sur certaines traversées, le représentant d’Algérie Ferries en impute la raison aux formalités douanières et sécuritaires.
Il rassure par ailleurs qu’« aucun cas de grippe porcine n’a été enregistré pour le moment sur nos lignes ». Durant la basse saison, en hiver, le taux de remplissage de la ligne Alger-Marseille-Alger avoisine les 500 passagers, soit une baisse de presque 50%. Selon Le Soir d’Algérie (édition du 20 août), durant le premier semestre 2009, l’ENTMV a fait 382 traversées, transportant plus de 243 000 passagers et 74631 véhicules pour une capacité de 53 4507 passagers et 149 700 voitures. Entre le 25 juin et le 31 juillet 2009, 145 traversées ont été effectuées sur l’ensemble des lignes de la compagnie dont 81 vers la France.
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Par Mustapha Benfodil
El Watan, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 28/08/2009 | Transports
Transports : Vers un important projet de réhabilitation des gares ferroviaires et de la pénalisation des auteurs de jets de pierres sur les trains.
Tous les projets liés au rail s'inscrivant dans le cadre du schéma directeur de développement du secteur pour 2010-2014 seront engagés à temps, soit en 2010, a indiqué jeudi à Alger le ministre des Transports, M. Amar Tou.
Ces projets d'importance dont la durée de réalisation s'étale entre 35 et 48 mois, permettront à terme, soit en 2014, d'établir un véritable maillage du réseau ferré, a ajouté le ministre des Transport lors d'une tournée à travers différents chantiers d'Alger.
"A partir de 2010 nous allons commencer a réceptionner les projets de 2005-2010", a encore ajouté le ministre.
Pour la rocade des hauts plateaux qui va de Tébessa à Moulay slissen (longueur 1.106 km), et qui s'inscrit dans les projets 2010-2014, "l'ensemble des marchés ont été attribués", a précisé M. Tou.
"La grande réalisation qui sera réceptionnée à la fin de l'année c'est la ligne reliant le sud de Bel Abbés à Bechar sur 580 km, le projet est en phase finale", a précisé M. Tou, mentionnant un important projet de réhabilitation des gares ferroviaires.
Le ministre a visité lors de sa tournée le projet de réalisation des installations de remisage des rames automotrice (Caroubier), la nouvelle gare de triage de Dar El Beida qui sera inaugurée en octobre 2009, la base de maintenance des locomotives et enfin l'institut supérieur de formation ferroviaire, situés tous les deux à Rouiba.
Au niveau de chaque projet, le ministre n'a pas manqué de mettre l'accent sur le respect des délais.
M. Tou a abordé le problème des jets de pierres sur les trains et a évoqué "la possibilité de faire payer l'îlot d'ou est parti le jet comme cela se fait dans certains pays". A ce propos, la SNTF a enregistré 113 jets de pierres de janvier 2009 à ce jour contre 150 jets durant 2008 occasionnant des dégâts notamment sur les autorails nouvellement acquis.
Dans le domaine du transport ferroviaire l'effort des pouvoirs publics porte notamment sur l'extension et la modernisation du réseau et des moyens, et l'amélioration des conditions de transports de voyageurs.
Au cours des cinq dernières années, le secteur a enregistré la réalisation de 1.100 kilomètres de voies ferrées, la reprise du transport de voyageur sur 600 kilomètres de réseau, la réalisation de l'électrification, de la signalisation et des équipements de télécommunications sur 400 kilomètres de voies ferrées, l'engagement sur plus de 700 kilomètres, de la mise à niveau du réseau à 220 kilomètres heure, norme désormais systématisée pour tous les nouveaux projets.
Il s'agit également de mentionner sur le plan matériel, la réception de 30 locomotives diesel, de 17 autorails et de 42 rames automotrices.
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Par APS
La Tribune, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 28/08/2009 | Transports
Permis de conduire / APN : Nouvelles mesures contenues dans le projet de loi relatif à la circulation routière.
De nouvelles mesures ont été introduites dans le projet de loi relatif à l'organisation, la sécurité et la police de la circulation routière pour lutter contre l'insécurité routière "devenue un problème de santé publique".
Ce projet de loi, qui a été déposé à l'Assemblée populaire nationale (APN) et renvoyé devant la commission spécialisée, relève que le développement du niveau de l'insécurité routière en Algérie "enregistre depuis plusieurs années une courbe ascendante ayant mené les pouvoirs publics à s'atteler à endiguer progressivement ce fléau devenu un problème de santé publique et qui constitue une préoccupation majeure affectant le PIB national".
Dans ce sens, plusieurs mesures ont été introduites dans ce projet de loi portant approbation de l'ordonnance du 22 juillet 2009 modifiant et complétant la loi du 19 août 2001 relative à l'organisation, la sécurité et la police de la circulation routière telles que l'introduction de nouvelles définitions et enrichissement d'autres définitions existantes.
La consécration du principe de la rétention du permis de conduire, l'introduction du permis à points et la restructuration du chapitre VI relatif au régime des sanctions aux infractions aux règles de la circulation routière figurent également parmi les principales mesures de la présente ordonnance.
Ce nouveau projet prévoit aussi le classement et la hiérarchisation des contraventions structurées en quatre degrés par rapport aux délits, la révision à la hausse des niveaux des paliers d'amendes forfaitaires, l'introduction de certaines infractions en délits et le renvoi à la forme réglementaire pour réviser l'organisation et le fonctionnement de la commission de suspension du permis de conduire.
Selon le législateur, "si les effets escomptés sur les comportements délictueux sont tangibles pour certaines infractions telles le non port de la ceinture de sécurité ou l'usage manuel du téléphone portable durant la conduite du véhicule, d'autres infractions plus graves sont malheureusement toujours enregistrées et nécessitent donc une thérapie plus lourde" L'excès de vitesse continue, en effet, à causer pas moins de 20% des accidents recensés sur le territoire, le recours à la motocyclette en milieu urbain notamment pour contourner les effets de la congestion dans nos grandes villes ne s'est pas accompagné du port systématique du casque sachant par ailleurs qu'une chute de l'engin lancé à une vitesse de 27 km/h peut déjà occasionner la rupture des vertèbres cervicales, note le texte.
"Les comportements délictueux observés, selon le projet de loi, ont pour origine notamment l'impunité générée par l'absence de poursuites pour le recouvrement des amendes forfaitaires dont le niveau demeure dérisoire", lit-on dans le texte.
Pour le législateur "cette situation qui a mis en place un incivisme chronique, entraînant la courbe ascendante du phénomène du non respect du code de la route nous interpelle sur la nécessité de traiter avec la diligence requise en pareille circonstance les infractions et délits via des mécanismes juridiques appropriés".
"Cette mesure qui présente l'avantage de sauvegarder les droits du citoyen conducteur permet, non seulement le recouvrement certain des amendes forfaitaires qui constituent une des sources de financement de l'action de l'Etat en matière de sécurité et de prévention routières, mais aussi la sanction par voie judiciaire des infractions à l'origine de 57% des causes d'accidents enregistrés", indique le projet.
"Segment d'une démarche globale, le durcissement de l'arsenal législatif est le produit d'une réflexion collégiale menée par un comité interministériel piloté par le ministère des Transports conformément aux conclusions dégagées lors du CIM consacré à l'examen de ce dossier en date du 12 janvier de l'année en cours", ajoute-t-on.
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Par APS
La Tribune, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 27/08/2009 | Transports
Des promos Algérie Ferries pour le Ramadhan
Le bas de gamme, c’est la catégorie « fauteuil », et c’est 20 400 DA la place en aller-retour. La catégorie « couchette » est à 23 000 DA tandis que la première classe cabine est à 31 000 DA. Pour une formule « cabine avec véhicule », le tarif est de 36 000 DA.
Il convient toutefois de signaler que le ministère de la Solidarité nationale vient de décider d’une subvention des billets ENTMV au profit de la communauté algérienne établie à l’étranger, et ce, à l’occasion du Ramadhan, afin de permettre aux émigrés qui le désirent de passer le mois « sucré » au pays. Ainsi, une réduction de 57% est consentie dans ce sens, promo valable jusqu’au 16 septembre, selon le quotidien Liberté. Pour les enfants, il sera appliqué un tarif symbolique de 50 euros pour les passagers en provenance de Marseille et 40 euros pour ceux qui embarquent à Barcelone.
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Par Mustapha Benfodil
El Watan, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 27/08/2009 | Transports
Projet du tramway : Les travaux reprennent…enfin !
Quoi qu’il en soit, c’est un grand soulagement : les travaux sont en cours et « la réalisation de la première ligne du tram de la ville des Ponts est entrée dans sa phase active ». Un premier tronçon qui devra relier la ville à l’actuelle station terminale de bus de Zouaghi. C’est ce qu’a déclaré à l’APS, Abdelghani Abride, responsable de l’Entreprise Métro d’Alger, qui a annoncé que « la réception des rails du tramway, qui englobera 27 rames avec 300 à 400 passagers, est attendue pour la fin du mois de septembre prochain et leur pose débutera en fonction de l’avancement des travaux ».
Ce projet est réellement source de préoccupation pour les Constantinois, qui ne cessent d’exprimer leur mécontentement de l’absence d’informations relatives à l’avancement des travaux, d’autant plus qu’il s’agit d’un des plus importants ouvrages de la ville des Ponts, s’inscrivant dans le cadre de la stratégie de développement du transport public. Avec la canicule ayant caractérisé l’été constantinois, qui plus est au mois de Ramadhan, le chantier semble reprendre à une allure normale, donnant ainsi de l’espoir à la population, qui espère, grâce à ce projet, voir changer la physionomie d’une ville devenue chaotique, et acquérir de ce fait une meilleure qualité de vie à l’avenir. Les travaux sont perceptibles au niveau de l’université Mentouri, allant vers le chemin menant à la faculté de droit jusqu’à la résidence Aïcha Oum El Mouminine. Mais pas de panique, des passages ont été prévus pour faciliter l’accès des voitures et des étudiants à l’enceinte de l’université. Autrement dit, aucun désagrément ne viendra entraver le bon déroulement de la prochaine rentrée universitaire.
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Par Selma B.
El Watan, publié le 27 Août 2009
# Administrateur | 26/08/2009 | Transports
Bouteflika insiste sur la modernisation du transport ferroviaire
La modernisation et le développement est désormais l’une des plus importantes priorités de l’Algérie. C’est ce que le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, a clairement expliqué lors d’une réunion d’évaluation, tenue lundi, consacrée au secteur des transports. Dans ce sens, le premier magistrat du pays a instruit le ministre des Transports, Amar Tou, de veiller « à la conduite des programmes nationaux de développement ferroviaire, à amener les entreprises de réalisation ou fournisseurs d’équipements, à s’engager dans des investissements et des partenariats, pour la formation des compétences, le développement de l’outil local de réalisation et d’entretien, ainsi que la production, le montage et la réparation des équipements roulants, qu’il s’agisse du chemin de fer, du métro ou des tramways notamment ».
Par ailleurs, « l’élargissement du réseau ferroviaire, qui nécessite un investissement lourd, devra essentiellement s’intégrer en permanence avec le schéma directeur d’aménagement du territoire, tenir compte de sa complémentarité avec le réseaux routier et se projeter enfin sur le moyen terme pour s’adapter aux capacités financières du pays », a ajouté Abdelaziz Bouteflika qui a recommandé avec beaucoup d’insistance «la persévérance dans l’effort de prise en charge des préoccupations des citoyens dans leur quotidien en matière de déplacements, en veillant à l’amélioration des conditions de sécurité, de confort et de gain de temps ». Cependant, il n’omettra pas de souligner que « le développement de moyens de transport au profit des populations devra s’inscrire dans une vision cohérente et une organisation à la mesure des besoins exprimés par les citoyens en vue d’éliminer les disparités existantes ». Pour ce faire, durant les cinq prochaines années, de nombreux projets en cours de réalisation seront réceptionnés. Ce qui devra contribuer à moderniser le transport ferroviaire. Et parmi ces projets, ô combien importants pour le pays, on peut citer la construction de nouvelles voies, dont certains tronçons sont au stade des études ou en chantier. Ces nouvelles voies comprendront le parachèvement de la rocade des Hauts-Plateaux, et s’étendront également à travers 18 autres wilayas, notamment au sud du pays. La finalisation du dédoublement et de l’électrification de la rocade ferroviaire au nord du pays, avec l’augmentation de la vitesse de circulation, ainsi que la multiplication des liaisons rapides par autorail sont également au programme.
En parallèle, les capacités du transport ferroviaire seront renforcées à la fois en moyens de réalisation, à travers la création d’un groupe industriel réunissant les entreprises publiques de travaux dans le domaine, mais aussi en moyens de transport grâce à la modernisation de la gestion et des capacités de la Société nationale de transports ferroviaires (SNTF). S’agissant du tramway d’Alger, il est à signaler que la ligne Oued Kniss-Bordj El Kiffan sera réceptionnée en 2010, alors que son prolongement jusqu’à Dergana sera livré en 2011. D’autre part, les chantiers des tramways d’Oran et de Constantine seront réceptionnés en 2011. En même temps, les études d’extension du tramway d’Oran et de Constantine sont en voie de lancement. En même temps, il est prévu prochainement le lancement des études pour la réalisation des tramways d’Annaba, de Sétif, de Sidi Bel Abbès, de Ouargla, de Batna et de Mostaganem.
Rappelons enfin que de nombreuses réalisations ont été accomplies dans le secteur ferroviaire durant ces dernières années, à l’instar de la mise en service de 17 autorails et de 42 rames automotrices ainsi que la réalisation de pas moins 1 100 kilomètres de voies ferrées. Il reste tout de même à signaler que la qualité des services proposés par la SNTF est loin de satisfaire les usagers.
De nombreux problèmes de gestion émaillent encore cette entreprise. Finalement, c’est le pauvre citoyen qui paie les pots cassés.
C’est à cette réalité amère qu’il faut remédier pour faire sortir le transport ferroviaire de l’ornière…
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Par Abderrahmane Semmar
La Tribune, publié le 26 Août 2009
# Administrateur | 26/08/2009 | Transports
L’appel d’offres pour l’étude du projet vient d’être lancé : Bientôt le TGV en Algérie ?
L’Agence nationale des études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF) vient de lancer, par voie de presse, un avis d’appel d’offres national et international restreint pour l’étude du projet d’une ligne TGV de 1.200 km de long, traversant le territoire national d’est en ouest, pour une vitesse d’exploitation de 350 km/h.
Selon l’annonce d’ANESRIF parue hier sur les journaux, 25 wilayas sont concernées par le TGV : il s’agit de Tlemcen, Sidi Bel-Abbès, Aïn Témouchent, Oran, Mostaganem, Mascara, Relizane, Chlef, Aïn Defla, Blida, Alger, Médéa, Djelfa, Laghouat, Ghardaïa, Ouargla, Boumerdès, Bouira, Bordj Bou-Arréridj, Sétif, Constantine, Guelma, Skikda, Annaba et El Tarf.
L’appel s’adresse particulièrement aux bureaux d’études, groupements de bureaux d’études nationaux et étrangers agréés et disposant de l’expérience et des compétences nécessaires pour ce faire, lesquels doivent également se conformer aux conditions strictes de participation à cet appel d’offres. La date du dépôt des offres est fixée au 25 octobre à 12 h.
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El Moudjahid, publié le 26 Août 2009
# Administrateur | 26/08/2009 | Transports
Le secteur des transports se cherche une vision cohérente
Engagé dans un cycle de mutations dans la perspective d’améliorer la qualité des services offerts aux usagers, le secteur des transports peine à réaliser ses objectifs, nonobstant l’achèvement de certaines infrastructures. Il est ainsi vrai que la capacité nationale en matière de transport s’est nettement renforcée sans que cela ne génère des améliorations dans les services, aussi bien dans ce qui concerne le transport urbain que celui ferroviaire. Le citoyen vérifie quotidiennement les défaillances et autres carences qui entourent le secteur des transports, qui se cherche encore une organisation adaptée aux spécificités de chaque localité.
Son importance réside dans le fait qu’il constitue un facteur essentiel dans la gestion des villes. Toutes les villes du pays, notamment les plus peuplées, souffrent de l’anarchie qui caractérise la gestion du transport. C’est dans l’objectif d’évaluer ce qui a été réalisé et ce qui devrait être que le chef de l’Etat a auditionné avant-hier le ministre des Transports, M. Amar Tou. Les deux parties se sont entendues sur l’amélioration des infrastructures et des capacités nationales de transport, qui doit se poursuivre avec le souci de développer l’ensemble des régions du pays. Le président de la République a ainsi exigé « une vision cohérente et une organisation à la mesure des besoins exprimés par les citoyens en vue d’éliminer les disparités existantes ». Pour le premier magistrat du pays l’élargissement du réseau ferroviaire, qui est un investissement lourd, devra, nécessairement, s’intégrer en permanence avec le schéma directeur d’aménagement du territoire, tenir compte de sa complémentarité avec le réseaux routier, et se projeter enfin sur le moyen terme, pour s’adapter aux capacités financières du pays. Le président Abdelaziz Bouteflika a ainsi recommandé au représentant du gouvernement de veiller « dans la conduite des programmes nationaux de développement ferroviaire à amener les entreprises de réalisation ou les fournisseurs d’équipements à s’engager dans des investissements et des partenariats pour la formation des compétences, le développement de l’outil local de réalisation et d’entretien, ainsi que la production, le montage et la réparation des équipements roulants, qu’il s’agisse du chemin de fer, du métro ou du tramway notamment ».
L’autre sujet abordé par le chef de l’Etat et le ministre des Transports a trait au transport urbain qui n’arrive pas à satisfaire la demande des citoyens. Le chef de l’Etat a ainsi indiqué qu’il attend la poursuite de l’amélioration du service public par la réalisation d’infrastructures modernes et le développement d’entreprises publiques de transport urbain. Ce n’est pas tout dans le sens ou M. Abdelaziz Bouteflika a évoqué l’encadrement et la régulation de l’intervention des opérateurs privés dans ce domaine, qu’il s’agisse du service taxi ou des transports collectifs. Concernant la nouvelle législation de la sécurité routière, le chef de l’Etat a ordonné aux services de sécurité de veiller fermement au respect de la nouvelle législation sur la circulation routière.
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Par Amirouche Yazid
La Tribune, publié le 26 Août 2009
# Administrateur | 26/08/2009 | Transports
A quand les aéroglisseurs ?
Les premiers embarqués expriment leur grande satisfaction à bord de ces deux nouveaux fleurons de la marine marchande dédiés spécialement aux transports intérieurs. Orchestres à bord et restauration. Mais cela est du domaine du rêve. Cette fiction sera-t-elle réalité un jour ? Pour l’instant, les Algériens expatriés ont le monopole du voyage par mer. Et pour cause, depuis 1962, la boussole de la grande compagnie est coincée sur deux points cardinaux : le Nord et le Sud. Patiemment, sagement, on attend de nos décideurs un élargissement est-ouest pour l’allégement des routes et apprécier enfin la majesté des flots marins qui nous sont interdits par un décret fantôme. La côte méditerranéenne, qui étale son ruban de dentelles sur 1600 km, est figée malheureusement dans une fonction de décor posé par Dame nature tout juste pour l’esthétique du paysage. La mer est trop écartée de nos consciences. Peu de gens oseraient imaginer un parcours Alger-Oran ou Annaba-Ghazaouet par bateau. On pourrait même, dans une audace suprême, envisager l’embarquement de son véhicule personnel pour éviter tous les méfaits de l’usage de la route ; encombrements et chaleurs estivales. Cette négligence d’un marché aux potentialités insoupçonnables nous vient d’une façon de penser campée depuis 1962 sur une vocation maritime exclusivement internationale tournée vers les destinations de la France et l’Espagne. Les Algériens expatriés fournissent ainsi la masse exclusive des clients de la CNAN et ce n’est pas normal. Un automobiliste algérien moyen peut parcourir 20 à 40 000 km par an en longeant la côte sans jamais prendre le bateau pour une destination nationale. Il n’y pense même pas. Les services publics étalent fièrement les réalisations en termes de réseaux routiers avec plus de 110 000 km de routes dont 80 000 goudronnées et 4 756 ouvrages d’art. C’est un travail franchement colossal, mais il confirme la certitude d’un grand pays marin par la géographie mais frileux et récalcitrant à l’eau par la culture de ses dirigeants.
Interurbain par la mer
Un aéroglisseur est une plateforme de navigation simple d’utilisation et d’entretien qui peut transporter en l’espace de moins de 2 heures 120 passagers entre Boumerdès et Cherchell par temps calme ou modéré. L’expérience a été tentée à l’occasion d’une édition de la Foire internationale. Une station pour un aéroglisseur (overcraft) est un espace de 20 m de plage avec des aménagements à peu de frais. Le transport routier soutiendrait difficilement la concurrence dans les plaisirs, le confort, la sécurité, la rapidité et le coût. En effet, pour le même trajet, il faut envisager une demi-journée d’enfer dans le chaos des encombrements de la période estivale avec les risques en vies humaines et les dégradations de la qualité de vie en termes de pollution atmosphérique et les atteintes à l’environnement urbain. C’est ainsi que la République du Sénégal a pu régler la question des transports de voyageurs dans sa façade atlantique. Notre pedigree de paysans rivés à la terre ferme nous désoriente quand il s’agit de la grande bleue. C’est un espace qui fait peur aux terriens irréductibles que nous sommes dans nos rapports avec la mer, confinés à une pêche traditionnelle et quelques plongeons en été. Ce point de vue très réductible fondé sur des peurs archaïques enfouies dans nos têtes fait subir à toutes les villes côtières un régime anachronique de « pieds sur terre dos à la mer » dans un climat de circulation routière saturée proche de l’insoutenable. Mais d’où nous viennent ces réflexes de peur ? L’histoire nous apprend qu’à la suite de la conquête coloniale, les Français ont interdit à tout Algérien de naviguer sur un voilier. Seul était permis l’usage d’une barque à quatre rames où pouvaient embarquer deux pêcheurs. Pas plus. Cette règle a fini par nous faire oublier nos vocations premières de marins et de constructeurs de bateaux qui pouvaient tenir la mer par vents et marées et taquiner les côtes méditerranéennes et atlantiques jusqu’aux berges de la Hollande... Depuis, on attend de prendre conscience de ce fait et faire la paix enfin avec cet espace de l’Algérie qui attend d’être exploité.
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Par Rachid Lourdjane
El Watan, publié le 26 Août 2009
# Administrateur | 24/08/2009 | Transports
La SNTF supprime les trains rapides
C’est ainsi qu’elle a réduit considérablement les navettes entre Alger et Oran en supprimant carrément les trains rapides, en particulier celui reliant les deux grandes villes en question, qui observait un seul arrêt à Chlef, ainsi que le nouvel autorail Chlef-Oran. Elle n’a gardé que l’autorail Chlef-Alger qui n’effectue d’ailleurs qu’une seule rotation quotidienne au lieu de deux précédemment. Vendredi après-midi, il n’y avait personne à la gare de Chlef pour expliquer aux usagers les motivations de leur tutelle. Selon un agent de l’entretien rencontré sur place, il s’agirait de la même décision qui est prise chaque Ramadhan par la SNTF pour les mêmes raisons liées, semble-t-il, à la fréquentation des trains.
Or, la réalité est tout autre puisqu’il y a de plus en plus de voyageurs qui empruntent le train, surtout depuis la mise en service du nouvel autorail et du train rapide Alger-Oran. Malheureusement, au lieu de six dessertes quotidiennes entre la wilaya de Chlef et les grandes villes Alger et Oran, il n’en reste que deux au départ de la gare locale, dont le parking est d’ailleurs interdit au stationnement pour des raisons obscures. Beaucoup de passagers qui devaient prendre le train la veille du Ramadhan ont été désagréablement surpris par cette mesure et ont dû retourner bredouilles, sans que la SNTF ait daigné les informer de ces changements inattendus.
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Par A. Y.
El Watan, publié le 24 Août 2009
# Administration | 20/08/2009 | Transports
Alger : Transport public assuré de nuit durant le Ramadhan
Ce service sera assuré, a ajouté la même source, sur la ligne de la place du 1er Mai vers la place du 8 Mai 45, El Madania, Bir Mourad Raïs, Ben Aknoun, Bouzaréah, Bab El Oued et Bachedjerrah.
Le transport durant les soirées de Ramadhan sera également assuré de la place Audin vers Hydra, El Madania et El Biar, et de Bab El Oued vers le Palais du peuple. L’entreprise informe les usagers que les déplacements de la place du 8 Mai 45 vers Vieux Kouba, Aïn Benian, Ben Aknoun, Bouzaréah, El Harrach et Bachedjerrah seront également assurés.
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Par APS
El Watan, publié le 20 Août 2009
# Administrateur | 19/08/2009 | Transports
Vols supplémentaires au départ d’Alger, Bejaïa et Oran
Dans son communiqué Aigle Azur, précise que « pour satisfaire toutes les demandes relatives aux retours de vacances, la compagnie ajoute trois vols supplémentaires le dernier week end d’août, au départ d’Alger, Bejaïa et Oran. »
Les vols auront lieu les 27, 28 et 29 aout prochains.
Jeudi 27 août : au départ d’Alger ZI 814 Alger / Paris Charles de Gaulle 2B : 03h10 > 06h20
Vendredi 28 août : au départ de Bejaïa ZI 886 Bejaïa / Paris Charles de Gaulle 2B : 20h15 > 23h35
Samedi 29 août : au départ d’Oran ZI 876 Oran / Paris Orly Sud : 03h00 > 06h20
Pour de plus amples informations la compagnie a mis en place deux lignes téléphoniques dans les deux pays. :
France : 0 810 797 997,
Algérie : 021 64 20 20,
site Internet : www.aigle-azur.fr.
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El Watan, publié le 19 Août 2009
# Administrateur | 19/08/2009 | Transports
Les prix des billets de bateau réduits de moitié
Cette décision est prise à la faveur d’une convention signée par l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs et le ministère de la Solidarité.
Une nouvelle mesure a été décidée en faveur des membres de la communauté nationale établie à l’étranger désirant passer le mois de Ramadhan au pays et y fêter l’Aïd El Fitr.
Il s’agit d’un accord conclu lundi entre le ministère de la Solidarité nationale et de la Communauté nationale à l’étranger et l’Entreprise nationale maritime de transport des voyageurs (Enmtv). L’accord porte sur une réduction substantielle de 50% des tarifs des billets de transport par bateau vers et à partir de l’Algérie.
Le ministre du secteur, Ould Abbès, a indiqué dans une conférence de presse tenue au siège de son ministère en présence de représentants de l’Enmtv que « cette réduction touche tous les membres de la communauté nationale désirant passer le Ramadhan dans le pays sans condition aucune ».
Le représentant de l’Entmv a affirmé pour sa part, que cette nouvelle réduction, qui s’ajoute à celle décidée précédemment, « tend à encourager les émigrés établis notamment en France et en Espagne, à passer le mois de Ramadhan parmi les leurs dans le pays ». Les tarifs des billets, a-t-il dit, verront «des réductions de plus de 50% pour les adultes alors que les billets pour enfants ne dépassent pas 50 euros à partir de Marseille vers l’Algérie et 40 euros à partir de Barcelone.»
Ainsi, la solidarité avec nos émigrés aux revenus modestes, telle que promise lors de la campagne électorale présidentielle d’avril dernier, se concrétise. Cette promesse faite par Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, devant des membres de la communauté algérienne établie à Paris, avait été matérialisée avant même la réélection du président pour un troisième mandat.
Elle avait, en premier lieu, concerné la communauté algérienne établie en France et en Espagne, avant qu’elle ne soit, avait-on assuré alors, généralisée à d’autres pays accueillant des émigrés algériens.
Pour mener à bien cette opération nommée « Solidarité avec les émigrés aux revenus modestes », le ministère de la Solidarité nationale a alloué une enveloppe de 50 milliards de centimes. Le département de Ould Abbès a aussi réservé un budget spécial pour la prise en charge effective de ces ressortissants « dès leur arrivée en Algérie, pour rejoindre leur wilaya d’origine par les différents moyens de transport, terrestre et aérien, ainsi que pour la réservation d’hôtel ». C’est ce qu’avait assuré le ministre lors de la signature de la convention avec Air Algérie. Cette compagnie a également procédé, suite à la signature le 02 avril dernier, d’une convention, à une réduction des tarifs en faveur de certaines catégories de cette «diaspora algérienne» installée à l’étranger. Toutefois, cette démarche incitative ne concerne pas tous les Algériens émigrés. En effet, seuls les salariés touchant moins de 1200 euros par mois, l’équivalent du Smig français, et les personnes âgées de plus de 60 ans ayant des revenus modestes pourront profiter de cette offre généreuse.
Parmi les autres promesses faites aux émigrés par Sellal, directeur de campagne de Bouteflika, figure notamment, l’octroi de logements pour ceux qui veulent garder le lien « ombilical » avec leur pays, en incitant les banques à ouvrir des succursales en France en vue de «favoriser les opérations d’épargne logement». Cette dernière proposition souligne, on ne peut mieux, les efforts déployés en direction de la communauté émigrée pour un retour définitif au pays.
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Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 19 Août 2009
# Administrateur | 18/08/2009 | Transports
Avions: Prêt à payer pour une place près du hublot ou vers une sortie de secours?
DEBAT - Pour faire face à la crise et à la concurrence, les compagnies aériennes rivalisent d'imagination. Votre avis...
Ryanair voulait taxer les obèses, offrir des places en position debout et faire payer les toilettes à bord de ses avions. British Airways compte faire payer les repas servis pendant le trajet. Northwest fait payer 15 dollars supplémentaires les places situées à côté d’un hublot. Désormais, c’est au tour d’Air France de demander 50 euros de plus aux passagers de classe économique désirant réserver un siège à côté des issues de secours, une place qui offre plus d’espace pour étendre ses jambes.
Pour faire face à la crise et à la concurrence de plus en plus rude sur les prix, les compagnies aériennes dégainent des offres à qui mieux mieux, au risque de déplaire aux passagers. Nous vous avons demandé ce que vous en pensiez:
« Il y a effectivement des places moins inconfortables que d'autres, lance par exemple Ali. Alors faut-il payer pour moins d'inconfort? Pourquoi pas.» Et Aristide d'ajouter, « même en classe éco il est évident que les places côté issues de secours sont bien plus agréables que les autres et c'est un peu normal de payer exprès pour les avoir, tout le monde espère être assis à ces places de toutes façons, alors verser 50 euros de plus (sur un long courrier) pour avoir le bonheur d'étendre ses jambes, ça vaut franchement le coup ». Sonia va même jusqu'à estimer qu'il est normal de « faire payer davantage une personne obèse qui prend deux sièges au lieu d'un ». « Cette personne n'est nullement obligée de prendre l'avion et ce n'est pas aux autres passagers d'en faire les frais », ajoute-t-elle.
« Je mesure 1,98 m et pour moi l'espace aux jambes n'est pas une question de confort mais bien de survie sur les trajets de plus de deux heures », répond Poney.
« On en lâcherait presque une larme »
Yakop, de son côté, s'exprime ainsi: « Faire payer l'utilisation des toilettes, du casque audio ou l'obtention d'un meilleur siège. Tout cela n'augmente que le prix du ticket d'un petit pourcentage. Habitant aux Etats Unis, je viens de réserver mes billets d'avion pour revenir en Europe pour deux semaines et malgré mes efforts à chercher le prix le plus abordable, je paye plus en taxes et frais que le prix de mon voyage. Je pense qu'il est temps que toutes les compagnies aériennes fassent face aux aéroports et trouve une solution pour réduire les taxes sans compromettre la sécurité. Cela permettrait de réduire le prix du ticket et de ne pas avoir autant de problèmes à faire payer plus pour le confort.»
Pour Yben, « toutes ces mesures n'ont pas grand-chose à voir avec la crise. Ça passe juste mieux auprès des clients. On en lâcherait presque une larme. J'étais aux Etats-Unis bien avant la crise et pendant le vol, des messages sonores nous annonçaient qu'à partir du 1er juin 2008, les casques audio seraient payant et ce dans un souci d'écologie... maintenant la raison, c'est la crise.»
Continuez à donner votre avis sur ces différentes mesures ci-dessous, dans les commentaires...
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Par Paul Ackermann
20minutes.fr, publié le 18.08.09 à 16h25
# Administrateur | 17/08/2009 | Transports
Des aéroports de l’intérieur peu rentables
Si le train, le tramway et le transport routier sont en passe de devenir des moyens de transport grand public pour lesquels le gouvernement avait également mis les gros moyens, le transport aérien, lui, reste encore un luxe pour une bonne partie de nos concitoyens. La faible rentabilité de certains aéroports du pays le confirme. Et pour illustrer encore cette faible rentabilité, rappelons qu’il y a quelques mois deux aéroports, qui répondent aux normes sécuritaires et techniques internationales, ont été fermés.
Des structures qui attendent le public
Il s’agit des aéroports de Ghris, dans la wilaya de Mascara, et de Ahmed Medghri, dans la wilaya de Laghouat. Pour expliquer cette fermeture, les responsables avaient justifié la décision par leur faible rentabilité économique. Il est vrai que prendre un avion reste excessivement cher pour les bourses moyennes ; toutefois, la réalisation de telles infrastructures coûte aussi des sommes faramineuses au budget de l’Etat. En fait, depuis quelques années, l’Algérie a engagé des sommes considérables dans la mise à niveau de ces infrastructures de base. Tout un programme a été lancé il y a quelques années. Il comprend, outre la réhabilitation de certaines pistes d’atterrissage, la réalisation de 11 aérogares.
Il s’agit des aéroports de Constantine, Annaba, In Amenas et In Salah, dont certains ont été déjà réceptionnés. Parmi les infrastructures réalisées ou en cours de finalisation, trois projets relatifs à la navigation aérienne, un centre régional de contrôle aérien à Tamanrasset, la réalisation de tours de contrôle au niveau des grands aéroports, ainsi que la réalisation d’un réseau de radars couvrant l’ensemble de l’espace aérien national. Citons, entre autres, les grandes opérations réalisées dans le secteur, la réhabilitation de l’aéroport de Tlemcen pour un montant de 800 000 000 DA et celui de Béjaïa pour 600 000 000 DA. En somme, de nombreuses structures, notamment celles de Tébessa, d’Oran, de Béjaïa, de Annaba, de Tlemcen, d’Adrar, d’In Amenas, de Ouargla, de Béchar et de Timimoun ont bénéficié d’une mise à niveau. Donc, l’infrastructure existe et elle est conforme aux normes requises; cependant, certaines destinations sont toujours désertées par les clients.
On affirme, en fait, que seules quelques destinations sont rentables, à l’exemple d’Alger, Hassi Messaoud, Hassi Rmel, Béjaïa et Tlemcen.
Pour les responsables de l’EGSA, l’Entreprise de gestion des structures aéroportuaires, la tendance internationale tourne autour de la promotion des investissements dans ces établissements aéroportuaires, à la fois pour assurer leur autonomie financière et pour baisser les taxes. Et c’est dans cette optique qu’un plan a été élaboré. Il vise à porter le taux de croissance de ces structures à 6% à l’horizon 2025 et comporte plusieurs actions de mise à niveau.
Pour le gouvernement cette situation ne devrait pas perdurer. Dans son plan d’action, le Premier ministre Ahmed Ouyahia a fait état d’une stratégie qui vise à moderniser toutes les structures concernées. Il veillera notamment à la poursuite de l’extension et de la maintenance des aéroports et aérogares, dont 15 opérations seront achevées en 2009. En parallèle, le dispositif de sécurité de l’aviation civile sera consolidé avec la modernisation de la couverture radar du trafic dans l’ensemble du sud du pays après la finalisation du réseau couvrant le nord du pays. Le renforcement en cours de la flotte nationale de transport aérien permettra d’améliorer également les dessertes sur le réseau interne, notamment au Sud du pays et dans les Hauts Plateaux, de renforcer le réseau international et les parts de marché et de développer l’offre pour le transport du fret.
Taxis aériens : la solution ?
Outre cette stratégie globale, il est utile de rappeler que le ciel algérien est déjà ouvert aux taxis aériens privés, un système très réputé à travers le monde, notamment aux Etats-Unis, le Canada et les pays européens. Et deux compagnies assurent ce genre de transports dans le sud du pays, notamment la Star-Aviation et Air Express. Au niveau national, Tassili Airlines (TAL), filiale de Sonatrach, est désormais la compagnie concurrente d’Air Algérie. TAL, qui a lancé récemment des appels d’offres pour l’acquisition de nouveaux avions, compte assurer le transport public et desservir, particulièrement, les villes qui le sont mal actuellement, affirmait Chakib Khelil. Il reste à dire que ces taxis ne sont pas destinés au transport des voyageurs. Selon les responsables du secteur «ils sont destinés à assurer le transport sur une courte distance et selon des besoins bien précis. Ceci, en fait, limite la portée de cette décision. Car, en l’absence d’une politique des prix bien étudiée l’affluence restera toujours faible et ces aéroports ne pourront pas se prendre en charge.
En fait, si le transport routier et maritime se sont taillé la part du lion c’est parce que le transport aérien, qui reste pour le moment le plus sûr et le plus rapide, est cher. C’est le facteur numéro un qui revient tel un leitmotiv. L’Algérie, qui déteint 17 aéroports, dont 12 sont internationaux, a investi énormément dans l’infrastructure de base. Ce qui reste maintenant, affirme-t-on, c’est une modernisation et un renouvellement de la flotte de la compagnie nationale ainsi qu’une tarification des vols sur les lignes intérieures qui devrait être étudiée selon les régions. Inutile d’interroger les économistes pour connaître les atouts d’un réseau domestiques performant et développé. Tous les secteurs économiques en dépendent.
À commencer par le tourisme qui fait ses premiers pas dans le Sahara et attire maintenant un nombre considérable de touristes.
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Par SmaĂŻl Boughazi
La Tribune, publié le 17 Août 2009
# Administrateur | 13/08/2009 | Transports
200 passagers de SN Brussels Airlines bloqués à Dakar
Deux cents passagers de SN Brussels Airlines sont en rade au Sénégal, à Dakar. Leur appareil devait décoller mercredi pour Bruxelles mais il est resté cloué au sol à la suite de problèmes techniques. Selon le porte-parole de la compagnie, Geert Sciot, les pièces de rechange nécessaires ont été envoyées de Bruxelles et l’avion, un Airbus 330 âgé d’une douzaine d’années, devrait être réparé pour ce jeudi soir.
Une équipe de techniciens, en possession des pièces de rechange nécessaires, est attendue jeudi après-midi à l’aéroport de Dakar. Les réparations devraient prendre environ deux heures, selon le porte-parole qui relève que les conditions de travail dans les aéroports africains ne sont pas comparables à celles qui existent par exemple dans les aéroports européens.
C’était la seule solution possible. Les passagers bloqués ont été hébergés dans des hôtels ou sont rentrés chez eux dans la mesure où la majorité d’entre eux ne sont pas de nationalité belge. Des repas ont également été servis, a encore précisé le porte-parole.
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Par belga
lesoir.be, publié jeudi 13 août 2009, 15:35
# Administrateur | 11/08/2009 | Transports
L’anarchie dans les stations
Au Caroubier, à la gare des Invalides, gérée par la SOGRAL, c’est le même spectacle qui s’offre aux voyageurs : manque de commodités. « On ne sait où aller, des centaines de personnes s’entassent là , à l’entrée, dans l’indifférence, aucun n’y prête attention. Il suffit de venir un jeudi pour voir ce spectacle désolant de gens presque égarés allongés sur les quais des chauffeurs de taxi. La direction de la SOGRAL, qui a pris en charge une partie de la structure, doit mettre davantage de commodités, la gare s’apparenterait sans cela, à un hangar dégarni », se désole Zohir, allongé sur le trottoir à l’entrée de la structure qui reçoit plusieurs centaines de voyageurs, chacun choisissant dans la cohue sa destination ou happé à sa descente des bus de Tafourah par des « rabatteurs » qui les conduisent manu militari vers les guichets. « C’est à peine si tu n’est pas agressé, d’ailleurs un voyageur a failli s’en prendre à l’un des receveurs ameutés », ajoute Zohir qui rallie les Issers à Boumerdès. « Pour espérer partir, il faut se plier en quatre puisque les receveurs de Tizi n’acceptent que des voyageurs qui restent debout », se désole-t-il. En plus du manque d’infrastructures, le comportement de quelques agents est vivement dénoncé. « J’ai été confronté à une situation malheureuse. Un chauffeur n’a pas voulu me laisser monter dans le bus de Tizi-Ouzou après m’avoir vu prendre un autre bus que j’ai trouvé plein. Les chefs de quais n’ont rien trouvé à redire, personne parmi eux n’a voulu prendre la chose en main. Même réaction des policiers de la gare.
Des conciliabules avec le chauffeur et le receveur qu’un agent a fait venir, rien n’est sorti puisque les mis en cause ont été libérés et le policier est resté là sans trop réagir », soutient Mourad qui affirme qu’aucun procès-verbal n’a été consigné à leur encontre. Non loin de là , à la station de taxi interwilayas c’est tout aussi la désolation. Les chauffeurs de taxi affirment pourtant qu’un mieux a été constaté au niveau de la station ouverte il y a à peine quelques mois. « Une autre buvette devrait ouvrir ces jours-ci, nous avons reçu les assurances des gestionnaires que des commodités seront installées dans la station », assure un membre de l’Union nationale des chauffeurs de taxi (UNACT), qui a mené la fronde pour éviter, sans résultat, que la station ne soit délocalisée. Autre son de cloche des voyageurs de Brossette, nombreux à se trouver dans cette station ouverte aux quatre vents. Ils ne trouvent, assurent-ils que quelques abribus. « Avec l’été c’est la souffrance, la chaleur et le froid, c’est pareil. Pour aller à El Eulma, je dois venir tôt et là je ne trouve rien, tout juste l’unique buvette qui est tout le temps prise d’assaut », relève Khaled qui part dans cette daïra de Sétif tous les 15 jours. Insécurité ? L’endroit a été sécurisé par la présence d’un poste de police. Brossette connaît pourtant des actes d’agression récurrents, surtout sur la rue piétonnière qui fait la jonction avec la rue Tripoli à Hussein Dey. « Quand il y a du travail, il y a moins de problèmes. Des taxieurs des daïras ont été transférés vers la station d’El Harrach. Ici il en reste quelques-uns, mais ils ne gênent personne. Ils sont de Bou Saâda, d’El Khemis, de Mila ou encore de Ferdjioua. Une mue s’est opérée dans cette station qui ouvre à 5h pour ne fermer qu’à minuit passé », assure Aziouez. La wilaya devait récupérer l’espace situé non loin de la pompe à essence. « Le ministère des Transports et le wali se sont impliqués, c’est un bien de la société Naftal, à laquelle la tutelle a proposé une autre parcelle. 300 personnes travaillent en permanence ici. »
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Par Nadir Iddir
El Watan, publié le 11 août 2009
# Administrateur | 09/08/2009 | Transports
Métro d’Alger : Réception de la dernière rame
Composée de six voitures d’une capacité totale de 1200 passagers, soit quelque 200 passagers par voiture, cette rame a été débarquée du bateau Teleghma de la Compagnie nationale de navigation (CNAN) avant d’être acheminée vers le site de maintenance de l’EMA à Bachdjarah. Fabriquées par le constructeur espagnol Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles (CAF), l’acquisition des 14 rames est destinée à la dotation de la première ligne du métro d’Alger reliant la Grande-Poste à Haï El Badr, a estimé Tayeb Zendaoui, directeur général adjoint de l’EMA.
La dernière rame doit subir les mêmes essais techniques que ceux effectués sur les 13 autres et dont le coût est de quelque 8 millions d’euros chacune (plus de 800 millions de dinars), ajoute la même source. La mise en exploitation commerciale du métro d’Alger est prévue avant la fin 2009, a-t-il réaffirmé. D’une longueur initiale de 9,5 km, le projet du métro d’Alger devra desservir sur dix stations, les communes de Bachdjarrah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M’hamed et Alger-Centre. La réalisation de cette première ligne a coûté 90 milliards de dinars
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Par R. E.
El Watan, publié le 09 août 2009
# Administrateur | 08/08/2009 | Transports
Ruée estivale vers la Corse : les ferries battent des records
Avec la crise économique, les experts s’attendaient à une baisse du trafic passagers. Ils se sont trompés. Jamais les deux compagnies maritimes qui déservent la Corse n’ont transporté autant de voyageurs. Avec plus de 3 millions de voyageurs transportés, l’été 2009 devrait être celui de tous les records.
Corsica ferries et la SNCM enregistrent une croissance du nombre de passagers de l’ordre de 8%. La Corsica Ferries a enregistré le week-end dernier un record historique avec 122 320 passagers sur ses neuf
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france-info, publié le 08 août 2009 - 08:27
# Administrateur | 08/08/2009 | Transports
Air France a transporté 6,9 millions de passagers le mois dernier
Une augmentation du cœfficient d’occupation pour ce qui est du transport des passagers et une baisse du trafic stabilisée de même qu’un ajustement progressif de l’offre à la demande pour ce qui est de l’activité cargo sont enregistrés par la compagnie aérienne Air France. Dans un communiqué de presse transmis à notre rédaction émanant de ce transporteur aérien, les statistiques du trafic passagers pour le mois de juillet dernier font état d’une baisse du trafic limitée à moins de 3,3%, après un premier trimestre à 5,8%. Cette baisse est inférieure à celle des capacités (-4,1%), permettant ainsi au coefficient d’occupation de gagner 0,7 point se fixant ainsi à 85,1%. Les chiffres font montre de 6,9 millions de passagers (-4,5%) transportés par ce groupe. Toujours selon le même communiqué, « la dégradation des recettes unitaires est un peu plus limitée que dans les mois précédents ».
Sur l’ensemble des réseaux, une baisse du trafic est à relever à l’exception de celui de l’Afrique et du Moyen-Orient où une progression est à souligner. Cette progression est de l’ordre de 3,3% pour des capacités en augmentation de 4,3%. Le taux d’occupation, lui, perd 0,8 points à 85,1%.
Sur le réseau Amériques, le trafic est en baisse de 4,3% pour des capacités en recul de 5,9%. Le coefficient d’occupation est en augmentation de 1,5 point à 89,9%. Le réseau Asie s’est un peu amélioré par rapport aux mois précédents, affirme Air France, avec une baisse du trafic de 5,5%, moindre que celle des capacités qui enregistre moins de 6,2%. Ainsi, le coefficient d’occupation gagne 0,7 point à 87,8%. Pour ce qui est du trafic sur le réseau Caraïbes et océan Indien, il baisse de 1% pour des capacités en retrait de 0,5%. Le coefficient d’occupation, quant à lui, s’est établi à 82,4%, soit à moins de 0,4 point.
Sur le réseau européen, la baisse du trafic de moins de 4,8% est moins importante que celle des capacités établie à moins 6%. Le coefficient d’occupation gagne, pour sa part, 1 point à 76,7%.Concernant l’activité cargo, la baisse du trafic est de moins 17,2% et est en ligne avec celle des capacités qui enregistre moins de 17%, permettant ainsi une stabilité du coefficient de remplissage à 64%. Ces chiffres, fait savoir la compagnie Air France, confirment la tendance à la stabilisation de l’activité cargo et à un ajustement progressif de l’offre à la demande. Air France, dans son communiqué, tient à préciser que les chiffres du trafic cargo et de ses capacités pour le mois de juillet sont des chiffres pro forma incluant Martinair.
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Par Badiaa Amarni
La Tribune, publié le 08 août 2009
# Administrateur | 05/08/2009 | Transports
ACCIDENT
Le réacteur d'un avion prend feu à Orly
Le réacteur d'un Airbus A 320 de la compagnie lowcost espagnole Vueling a pris feu juste avant le décollage à Orly Ouest mercredi 5 août. Sept passagers ont été légèrement blessés dans l'évacuation de l'appareil, selon la Sécurité civile. L'appareil devait relier mercredi Paris à Alicante (Espagne).
Les pompiers ont rapidement maîtrisé l'incendie et les 169 passagers ont été évacués par les toboggans.
Selon une source aéroportuaire à Orly, qui a précisé qu'il s'agissait "d'un petit départ de feu sur le réacteur numéro 2", le "feu a été circonscrit très vite: l'alerte a été donnée à 10H35 et la fin de l'alerte à 11H09".
Selon l'un des passagers à bord, une fumée noire s'est dégagée de l'un des réacteurs alors que l'avion s'apprêtait à décoller, sur la piste d'envol.
Blessés lors de l'évacuation
"Les pompiers sont arrivés moins de deux minutes plus tard, un stewart a ouvert les portes, déclenché l'ouverture des toboggans et une hôtesse nous a crié en espagnol d'évacuer", a précisé ce passager, Terry Volante.
Selon lui, les sept passagers ont été légèrement blessés lors de l'évacuation, un à la cheville et plusieurs souffrant de contusions sans gravité.
Les passagers ont été réunis dans l'un des terminaux où un déjeuner leur a été servi et s'apprêtaient à la mi-journée à récupérer leurs bagages.
Un avion de la compagnie espagnole Iberia, actionnaire de Vueling, était attendu en début d'après-midi en provenance de Barcelone afin de prendre en charge les passagers et les conduire à Alicante, a précisé Terry Volante.
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Par nouvelobs.com avec AFP
Nouvelobs.com, publié le 05.08.2009 | 15:10
# Administrateur | 30/07/2009 | Transports
Air France: un avion percute un bâtiment, pas de blessé
CONGO - L'appareil doit repartir en France sans passager...
Un Airbus A330 de la compagnie française Air France a percuté un bâtiment « juste après son atterrissage », mercredi soir à Brazzaville, sans qu'il y ait de blessé. Il a ensuite été interdit de décoller avec des passagers, a annoncé ce jeudi le ministre congolais de l'Aviation civile.
Plusieurs dizaines de personnes Ă bord
« Cet avion a subi un léger accident hier (mercredi) soir sur le tarmac de l'aéroport de Maya-Maya de Brazzaville. Alors qu'il faisait la manoeuvre sur le tarmac, juste après son atterrissage, le bout de son aile droite a percuté un bâtiment», a expliqué le ministre Emile Ouosso, également chargé des Transports. « L'aile de l'appareil a juste une éraflure, l'avion roulait à 3 km/heure », a précisé Air France à 20minutes.fr. Les 168 passagers ont été pris en charge par la compagnie. « Un avion va aller à Brazzaville pour permettre aux passagers de rentrer », précise la compagnie aériene.
« Les responsables de la compagnie Air France m'ont assuré que techniquement l'avion pouvait voler sans problème. Mais, par précaution et mesure de sécurité, nous l'avons cloué au sol. L'appareil doit repartir en France sans passager », a poursuivi Emile Ouosso. Selon Air France, l'avion doit être réparé dans les ateliers à côté de Paris.
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Par MD (Avec agence)
20minutes.fr, publié le 30.07.09 à 17h58
# Administrateur | 30/07/2009 | Transports
Aigle Azur : L’e-ticket dans toutes les agences
Elle est parvenue, en moins de six années d’activité en Algérie, à équiper en conséquence l’ensemble de ses 210 agences partenaires à l’effet d’émettre des billets électroniques. Une formation préalable du personnel concerné a été, à l’évidence, nécessaire pour rendre possible ce service qui requiert une parfaite maîtrise du logiciel de référence. Progressivement remplacé par le billet électronique, le billet papier, communément appelé « billet d’avion » est appelé à disparaître pour, à terme, laisser place à la billetterie moderne qui facilite considérablement le travail des agences et des préposés aux guichets des aéroports.
Après quelques doutes rapidement dissipés, les Algériens qui ont eu recours pour la première fois à l’e-ticket, se sont vite rendu compte à quel point cette nouvelle formule de billet de voyage est non seulement pratique, mais également très efficace. L’e-ticket qui rend déjà d’inestimables services en matière d’efficacité et de gain de temps connaîtra, à n’en pas douter, un essor prodigieux lorsque le système financier algérien, qui s’y prépare, permettra aux voyageurs d’acheter leurs billets à distance, au moyen notamment d’internet et des cartes de crédit. Les équipements de paiement par cartes de crédit ayant commencé, selon les propos d’un responsable de l’Association des banques (ABEF), à être installés dans certains grands commerces d’Alger, tout porte à croire que ce système moderne de paiement ne tardera pas à se développer, au moins dans la capitale.
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Par Nordine Grim
El Watan, publié le 30 juillet 2009
# Administrateur | 25/07/2009 | Transports
Transport aérien : Air Algérie est considérée comme transporteur correct par un Observatoire de la sécurité aérienne suisse.
L’Observatoire de la sécurité aérienne et du tourisme, basé à Genève, publie un baromètre de la sécurité des compagnies aériennes les plus sûres. Air Algérie ne fait pas partie des mieux notés. La compagnie publique a été classée comme un transporteur « correct », par cet organisme qui évalue les transporteurs aériens sur la base de critères de sécurité, tels que l’âge des avions, la maintenance effectuée, le nombre d’incidents rencontrés et la manière dont ils ont été gérés. Il existe 5 niveaux de classement : bon, correct, sous réserve, à éviter, interdites en Europe ou à interdire. Lufthansa, Qatar Airways, Singapore Airlines, United Airlines et Tunisair figurent dans la catégorie « A ». Air Algérie comme Air France, Royal Air Maroc, Air India, China Airlines, Air Europa (Espagne) sont classées dans la catégorie « B ». Les crashs aériens se multiplient ces derniers temps.
Pour dresser le baromètre de la sécurité des compagnies, l’Observatoire de la Sécurité aérienne et du tourisme (Obssat) publie des informations. Cet organisme indépendant actualise tous les jours des fiches de renseignements sur plus de 1.300 compagnies et recense l’ensemble des incidents. Grâce à ses informations, l’organisme classe les compagnies dans cinq catégories. « A » pour les compagnies de « bon niveau », qui n’ont pas eu d’incidents sérieux, « B » pour les compagnies « correctes » mais qui peuvent s’améliorer jusqu’à la classe « E qui regroupe les compagnies à éviter car interdites en Europe ou dangereuse. Le classement est établi à partir de nombreuses données : l’âge des avions, leur entretien, la formation de l’équipage, le respect des temps de repos ou encore l’environnement économique dans lequel évolue la compagnie.
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La Tribune, publié le 25 Juillet 2009
# Administrateur | 21/07/2009 | Transports
Transports : Appels d'offres pour la réalisation des études de 5 nouvelles lignes ferroviaires
L'Agence nationale d'études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif) a lancé des appels d'offres national et international pour l'élaboration des études relatives à la réalisation de nouvelles lignes ferroviaires électrifiées reliant Boussaâda-Djelfa, Bouira-Sour El Ghozlane, Chlef-Tenès, Aflou-Laghouat et El Bayadh-Djelfa. Les appels d'offres portent notamment sur l'élaboration des études d'avant projet détaillé (APD) de ces nouvelles lignes, selon les avis d'appel publiés, hier, par la presse nationale. La première ligne entre Boussaâda et Djelfa est de 105 km pour une exploitation à 220 km/h, la seconde entre Bouira et Sour El Ghozlane est de 35 km pour une exploitation à 220 km/h, alors que celle reliant Chlef à Tenès est de 50 km pour une exploitation à 160 km/h. Pour ce qui est de la ligne entre Aflou et Laghouat, celle-ci est de 85 km pour une exploitation à 220 km/h, alors que la ligne entre El Bayadh et Djelfa est de 280 km pour une exploitation à 220 km/h. Les critères relatifs à l'offre technique stipulent que les bureaux d'études ou groupements de bureaux d'études soumissionnaires devraient se prévaloir d'un capital expérience dans les études ferroviaires, appuyé par au moins une étude similaire réalisée au cours des cinq dernières années. Les soumissionnaires pour ces lignes devront déposer leurs offres avant la fin des délais prévus entre le 23 et 28 septembre 2009.
L'Anesrif a lancé récemment des avis d'appel d'offres similaires pour de nouvelles lignes ferroviaires électrifiées reliant Djebel Onk-El Oued, Saïda-El Bayadh, Aïn Témouchent-Sidi Bel-Abbès et Relizane Mostaganem.
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El Moudjahid, publié le 21 Juillet 2009
# Administrateur | 20/07/2009 | Transports
Air Algérie - Voyagistes de l’EST : Le torchon brûle
N’appréciant pas la « programmation », Farid Larbaoui, président du bureau de l’Est du SNAV interpelle le premier responsable de la compagnie : « Nous demandons l’intervention de M. Bouabdallah, seul en mesure de mettre un terme aux préjudices causés aux agences de voyages pénalisés par une telle programmation. Celle-ci ne prend pas en considération les intérêts de la profession, menacée plus que jamais de faillite. » « L’annulation des réservations pourtant confirmées, sans préavis ou motif valable, décrédibilise la profession, qui travaille dans un environnement des plus difficiles. La dernière mésaventure de Taiba, une agence de Batna surprise par l’annulation de places sur un avion en partance pour Casablanca, en est le parfait exemple. Ayant pourtant promis de répondre favorablement à toutes nos demandes relatives à la campagne de la omra du mois de Ramadhan, Air Algérie nous surprend par ces quotas attribués avec parcimonie, qui a pris des engagements non seulement avec ses clients mais avec des hôteliers saoudiens payés rubis sur l’ongle. »
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Par Kamel Beniaiche
El Watan, publié le 20 Juillet 2009
# Administrateur | 19/07/2009 | Transports
Transports : Le ferry El Djazaïr bloqué à Alicante
« Le bateau qui venait d’Oran a heurté un quai du port lors de la manœuvre d’accostage, suite à de fortes rafales de vent lui occasionnant de légers dégâts », a-t-on précisé. En attendant, l’entreprise et le consulat ont pris toutes les mesures nécessaires pour prendre en charge les passagers qui devaient embarquer samedi soir sur le même ferry à destination d’Alger.
Dans l’attente des réparations nécessaires, le consul d’Algérie à Alicante, Mohamed Chaâbane, a saisi la direction générale de la CNAN pour envoyer « dans les meilleurs délais » un autre ferry de remplacement pour assurer l’embarquement de tous les passagers. Aussitôt après cet incident, le responsable algérien s’est rendu au port d’Alicante pour s’enquérir de la situation et suivre de près la prise en charge des passagers algériens, dont nombreux sont venus de France.
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Par APS
El Watan, publié le 19 Juillet 2009
# Administrateur | 18/07/2009 | Transports
Ould Abbès définit les critères
Le ministre a indiqué que l’ensemble de ces réductions concernent, selon les clauses de ladite convention, près de 14.000 destinations tout au long de la période estivale.
Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, Djamel Ould Abbès a accueilli jeudi au port d’Alger, des membres de la communauté nationale établie en France. Ces derniers sont arrivés à bord du car-ferry Tarek Ibn Ziad pour passer la saison estivale en Algérie.
L’occasion de faire une première évaluation de la convention signée entre son département et l’Entreprise nationale du transport maritime des voyageurs (Entmv) sur la réduction des tarifs des billets pour les membres de la communauté nationale à l’étranger.
A cet effet, le ministre a affirmé que « des moyens seront mobilisés à travers les médias pour faire connaître cette mesure » qui, a-t-il dit, « en est encore à sa première phase», rappelant qu’elle repose sur plusieurs conditions en réponse aux diverses interrogations autour de cette opération. Il a ensuite énuméré les conditions et objectifs mentionnés dans cette convention, avant de préciser que « cette opération concerne uniquement les personnes âgées et les familles algériennes de plus de 5 membres résidant à l’étranger afin de leur faciliter le déplacement vers l’Algérie grâce à la réduction de 50% du tarif des billets ».
Dans le même contexte, le ministre a indiqué que l’ensemble de ces réductions concernent, selon les clauses de ladite convention, près de 14.000 destinations tout au long de la période estivale, avant de rappeler que le nombre global de la communauté nationale établie à l’étranger qui se déplace en Algérie durant la période des vacances s’élève à quelque 900.000 personnes, « d’où l’impossibilité, selon lui, de les faire bénéficier tous de cette mesure ». Sur le terrain, le ministre a été à l’écoute des préoccupations des membres de la communauté nationale ayant bénéficié de cette mesure qui se disent satisfaits de cette réduction.
Lancée au début de la saison estivale, cette réduction s’étalera jusqu’au mois de septembre prochain pour faciliter aux membres de la communauté algérienne, notamment ceux établis en France, de se déplacer vers l’Algérie durant la période estivale.
Une nouvelle disposition qui vient conforter les actions déployées l’année dernière lors de la saison estivale. Pas moins de 25 espaces d’accueil ont été mis sur pied en plus de 4 points frontaliers.
Les services de sécurité et des douanes ont été renforcés et des psychologues ont été mis à contribution dans le but de faciliter les arrivées et les départs des ressortissants algériens qui viennent passer leurs vacances au pays.
Toutefois et quant à la mise en oeuvre de la convention signée le 2 avril dernier entre son département ministériel et la compagnie aérienne Air Algérie, le ministre n’a pas soufflé mot. Celle-ci justement pose de nombreux problèmes techniques à la compagnie aérienne et met sérieusement un doute sur sa faisabilité.
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Par Yasmine ZOUAGHI
L'Expression, publié le 18 Juillet 2009
# Administrateur | 14/07/2009 | Transports
Air Algérie et Tassili Airlines : Malaise dans le transport aérien
Après plusieurs années déficitaires, elle remonte lentement la pente, améliorant son chiffre d’affaires et faisant baisser son endettement. Mais les problèmes qui ont terni l’image de l’entreprise sont toujours là . Le manque de ponctualité, la cherté des billets et la fuite des cadres vers des compagnies étrangères restent les principaux points noirs de la compagnie. Air Algérie n’est certes pas la seule responsable des retards enregistrés, mais ce problème est devenu indissociable de la compagnie aérienne. Selon les cadres de l’entreprise, des facteurs « exogènes » participent à maintenir la situation. Les conditions météorologiques, les embouteillages entravant l’accès à l’aéroport, ou certains aéroports de l’intérieur qui ne disposent pas des équipements nécessaires pour l’atterrissage peuvent retarder les avions d’Air Algérie, nous a expliqué l’un des responsables de la compagnie.
Dans la mesure où la compagnie programme des rotations de vols à la fois nationaux et internationaux, un seul retard peut entraîner un effet domino sur tous les vols. Les syndicalistes de la compagnie estiment, de leur côté, qu’il s’agit d’un problème « d’organisation horaire » et de « gestion obsolète ». Pour le patron d’Air Algérie, « le programme de la compagnie est encore surdimensionné par rapport à la flotte de la compagnie. La totalité des avions sont en exploitation. Nous avons eu à gérer le transport des participants au Panaf’, la charge de travail est importante », explique M. Bouabdallah. Il estime le taux de ponctualité à près de 75%.
500 pilotes seront formés d’ici l’année prochaine
L’autre tare d’Air Algérie est liée à la cherté des billets d’avion. L’Algérie est l’une des destinations les plus chères au monde. « Oui, il est vrai que les prix sont encore trop élevés. Le problème est que nous ne pouvons pas les diminuer lorsque l’offre n’est pas élevée », explique M. Bouabdallah. La compagnie se retrouve ainsi face un dilemme. « C’est bientôt Ramadhan et nous ne savons pas quel sera le comportement des clients », affirme le numéro un de la compagnie. Pour ce qui est des départs des pilotes vers les compagnies plus rémunératrices, un cadre d’Air Algérie nous a expliqué que cela n’est pas lié uniquement aux salaires proposés par les compagnies étrangères, mais également à la « qualité de vie » et aux conditions de travail. Le patron d’Air Algérie a souligné, dans une intervention médiatique, que 500 pilotes seront formés d’ici l’année prochaine et également que 144 pilotes de la défunte Khalifa Airways ont été recrutés ces dernières années. Il est à rappeler que le chiffre d’affaires d’Air Algérie a atteint 54,364 milliards de dinars contre 49,423 milliards pour l’exercice 2007, soit une hausse de 10%. Le bénéfice après impôts est de 2,989 milliards de dinars, contre 2,107 milliards en 2007. L’endettement de la compagnie a marqué un recul de 13%. En 2008, Air Algérie a transporté plus de 3,2 millions de passagers, dont 1,8 million sur le réseau international, soit un accroissement de 9% par rapport à 2007. La compagnie aérienne a lancé un plan d’investissement de 100 milliards de dinars (environ un milliard d’euros) entre 2009 et 2014.
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Par Amel B.
El Watan, publié le 14 Juillet 2009
# Administrateur | 14/07/2009 | Transports
Air Algérie décroche son test de sécurité
Dans un contexte de morosité suite à des accidents émouvants, la compagnie nationale se distingue par ses résultats.
Air Algérie est classée dans la catégorie B en matière de sécurité à côté d’autres compagnies internationales comme Air France. Dans le même classement figurent aussi des compagnies comme Royal Air Maroc, Air India, China Airlines et Air Europa (Espagne).
D’autres compagnies arabes ont pu décrocher de meilleurs classements. C’est le cas pour Tunisair et Qatar Airways. C’est l’Observatoire de la sécurité aérienne et du tourisme, basé à Genève, qui a révélé cette information. Cette démarche est entreprise afin d’informer les passagers sur le niveau de sécurité de la compagnie empruntée. Les crashs d’avions qui se sont produites lors des six premiers mois de l’année rappellent que le degré zéro du danger ne peut exister.
Malgré ses déboires, le transport aérien, y compris en Algérie, reste sûr comparativement à d’autres moyens de locomotion comme les véhicules terrestres. Les pays européens sont intéressés par ce genre d’informations sur la sécurité afin d’interdire aux compagnies défectueuses d’emprunter leurs aéroports, voire de pénétrer leur espace aérien. La compagnie nationale, Air Algérie, qui transporte annuellement près de 3 millions de passagers sur ses lignes régulières, ne cesse de faire des efforts pour l’entretien de sa flotte.
L’achat de nouveaux appareils est une autre donne qui milite en faveur du respect des normes de sécurité.
Une autre donne qui ne devrait pas être négligée est celle de la formation des pilotes qui se déroule actuellement dans des écoles étrangères notamment arabes. La formation continue vient de faire ses premiers pas en Algérie.
La flotte est composée d’une trentaine d’appareils qui sont d’un âge moyen de 5 ans. Elle est l’une des flottes les plus jeunes du secteur.
La sécurité n’est pas seulement importante pour les passagers et les équipages, c’est aussi un atout commercial qui peut être exploité afin d’attirer un nombre croissant de clients.
L’ouverture de nouvelles lignes vers le continent européen, l’Asie ou l’Amérique du Nord ne pouvait être réalisée sans que des normes strictes de sécurité ne soient respectées, car les contrôles des instances en charge de ces questions ne sont pas connues pour leur laxisme. La base de maintenance de l’aéroport d’Alger constitue un acquis important pour répondre à ces exigences.
La certification et l’introduction d’un système qualité permettant aussi à la compagnie de se hisser aux standards internationaux. L’audit de sécurité de l’Iata regroupe à lui seul 1200 standards concernant les services opérationnels et techniques liés à l’exploitation des avions.
Pourtant, la conjoncture économique mondiale n’est pas des plus favorables à l’aviation civile et cette donne aurait pu pousser les dirigeants à consacrer un budget moindre à l’entretien et au respect des normes de sécurité pour réaliser des économies. D’autres dépenses peuvent être générées par une forte augmentation du poste carburant dans les coûts d’exploitation des compagnies.
Néanmoins, le fait que la compagnie ait acquis 28 appareils entre 2000 et 2007, la dispense d’effectuer de grosses dépenses pour l’entretien. Elle a même lancé en janvier 2009 deux appels d’offres pour l’acquisition de quatre avions neufs d’une capacité de 70 sièges et de sept avions de 150 places. Auparavant, il arrivait qu’elle consacrât un demi-milliard de dinars rien que pour l’achat de pièces détachées.
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Par Ahmed MESBAH
L'Expression, publié le 14 Juillet 2009
# Administrateur | 09/07/2009 | Transports
« Tassili Airlines est désormais une concurrente d’Air Algérie »
Celle-ci est désormais, « concurrente de la compagnie Air Algérie », a insisté le ministre, aux fins d’améliorer les offres de services et répondre à la demande croissante. « La régulation sera cependant strictement appliquée par la tutelle », a expliqué Amar Tou, afin d’éviter tout abus ou prise de parts de marché juteuses de la part d’une entreprise au détriment de l’autre. De son côté, Chakib Khelil a souligné que le redéploiement de Tassili se fera de manière progressive car la compagnie, filiale de Sonatrach, n’a pas encore les moyens d’assurer un programme de vols national et international en dehors de son secteur de prédilection et ses missions premières qui sont notamment liées au transport des pétroliers travaillant au sud du pays. Il insistera cependant sur la volonté de l’entreprise aérienne de se doter de moyens supplémentaires pour assurer le transport grand public et notamment les villes mal desservies dans le sud du pays. Le ministre des Transports a estimé pour sa part que le nombre d’avions dont dispose le secteur actuellement – 32 aéronefs – reste en deçà de la demande et des capacités antérieures du transport aérien qui disposait de pas moins de 52 aéronefs.
Il notera que les appels d’offres lancés récemment pour l’acquisition de nouveaux avions de 150 et 170 places augmenteront les capacités de manière appréciable, mais estimera toutefois qu’il restera toujours un effort à faire pour arriver à totaliser le même nombre d’avions assurant le transport aérien il y a quelques années. L’offre du brésilien Embraer refusée Il est à noter que Tassili Airlines et le constructeur américain Boeing ont signé hier, au siège de Sonatrach un contrat portant sur la livraison par Boeing de 4 avions jets type B737-800 de 150 sièges pour une valeur globale de 228,4 millions de dollars. Le contrat avait été attribué au constructeur américain lors de l’ouverture publique des offres commerciales, le 6 juillet dernier.
Lors de cette même cérémonie, une offre du constructeur brésilien Embraer avait été acceptée par Tassili Airlines en vue de l’acquisition de 3 avions jets type ERJ190 de 100 sièges. L’offre définitive du constructeur brésilien a finalement été rejetée pour non-conformité, selon les constatations de la commission d’ouverture des plis de la compagnie Tassili Airlines. Sur ce rejet – qui est une première depuis le début du processus d’ouverture des plis initié par Sonatrach il y a quelques années – aucune explication n’a été clairement donnée hier par la compagnie. Le ministre de l’Energie et des Mines s’est contenté de dire que les compagnies concernées ne jugeaient pas utile de donner les détails de l’annulation de l’offre brésilienne.
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Par Zhor Hadjam
El Watan, publié le 09 Juillet 2009
# Administrateur | 06/07/2009 | Transports
Transport : L’itinéraire du métro d’Alger aura des extensions dans l’avenir
L'itinéraire initial du métro d’Alger qui reliera la Grande Poste à Haï El-Badr, sur une distance de plus de 9,5 km, connaîtra des extensions dans l’avenir vers d’autres quartiers de la capitale, a indiqué, hier, le ministre des Transports, M. Amar Tou.
"Il s’agit de l’extension Haï El-Badr-El Harrach, dont les travaux ont déjà commencé et sont bien avancés, et celle reliant Haï El-Badr à Aïn-Naâdja dont l’appel d’offres sera lancé avant la fin de l’année", a précisé M. Tou en marge d’une exposition sur le métro d’Alger.
Confirmant que le métro d’Alger sera "bien réceptionné cette année", le ministre a relevé que 12 rames sur les 14 que compte ce métro ont été réceptionnées, ajoutant que les deux dernières le seront avant la fin de ce mois de juillet. Il a également fait savoir que la formation des conducteurs du métro d’Alger a été lancée par le groupe français RATP qui sera chargé de la gestion au compte de l’Etat du métro d’Alger.
Interrogé sur les prix qui seront pratiqués par le métro, il a indiqué qu’une étude a été réalisée dans ce sens et que le ministère dispose actuellement de trois variantes, précisant que ce tarif dépendra également de l’apport du Fonds national pour la promotion des transports publics, prévu dans le projet de loi de finances complémentaire de 2009. En outre, le ministre a annoncé le lancement hier, des essais dynamiques sur l'ensemble de la ligne du métro, de la Grande Poste à Haï El Badr.
L’exposition, qui s’étalera jusqu’au 28 juillet vise, selon ses organisateurs, à donner aux Algérois un aperçu sur les différentes stations et équipements du métro qui viendra bientôt relier les principaux quartiers de leur ville.
Une rame de métro a été mise en place au milieu de la salle où a lieu l’exposition qui comprend également une série de photos sur les différentes stations du métro d’Alger qui relira la Grande Poste à Haï El Badr, en passant par Khelifa Boukhalfa, 1er Mai, Aïssat Idir, Hamma, le jardin d’Essais, les Fusillés, cité Amirouche et enfin Mer et Soleil. Quelque 50.000 invitations ont été distribuées aux citoyens qui habitent à proximité des stations de métro pour se rendre à cette exposition organisée par le groupe RATP.
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El Moudjahid, publié le 06 Juillet 2009
# Administrateur | 06/07/2009 | Transports
« Il sera opérationnel avant la fin de l’année »
Une convention d’une durée de huit ans avec des formateurs français est en vigueur aux fins de formation de 500 conducteurs de métro.
Le rêve devient réalité. Tant attendu, tant désiré, le métro d’Alger sera enfin opérationnel avant la fin de l’année en cours. « Je vous donne rendez-vous avant la fin de cette année pour prendre part à la fête de l’inauguration officielle du métro d’Alger », a affirmé hier le ministre des Transports, Amar Tou, devant un parterre de journalistes représentant de nombreux médias.
Harcelé par ces derniers, M.Tou n’a pas voulu donner le moindre détail sur la date exacte de l’inauguration officielle. Lors de sa visite de travail, le ministre des Transports a procédé au lancement des essais dynamiques du métro sur l’ensemble de la ligne à partir de la station de la Grande-Poste jusqu’à la station de Haï El Badr en passant par les ateliers de maintenance de Bachdjarah.
A noter que la cérémonie d’hier a été marquée la présence d’un grand nombre de ministres et de hauts responsables des collectivités locales, ainsi que les présidents des communes de Sidi M’Hamed et d’Alger-Centre.
Belles et modernes, les rames du métro ont commencé à arriver en Algérie depuis la fin de l’année 2008. « Avec son design futuriste, la rame du métro d’Alger est tout ce qu’il y a de plus moderne », selon les responsables de la société espagnole CAF qui l’a construite et qui fournit également les rames des métros de Hong Kong, Washington, Mexico et Rome.
Rappelons que l’Algérie a reçu jusqu’à présent 12 rames, les deux dernières seront réceptionnées à la fin du mois courant. Arrivés à la Grande-Poste, les invités ont eu le privilège d’être les premiers à emprunter le métro. L’intérieur de la rame est aménagé avec de nombreux sièges, offrant aux nombreux passagers un grand confort et des barres d’appui. Composée de six voitures climatisées, la rame est d’une longueur de 108,5 m et de 2,80 m de largeur avec 70 km/h la vitesse maximale pour une capacité de 1200 voyageurs.
Au cours d’un point de presse qu’il a animé, M.Amar Tou a indiqué que « les travaux de l’extension vers El Harrach sont bien avancés. S’agissant de l’extension vers la place des Martyrs, le marché vient d’être lancé. Quant à l’extension vers Aïn Nâadja, l’appel d’offres sera lancé au courant de cette année».
L’orateur a fait savoir que «des appels d’offres seront lancés pour ce qui est des lignes: place des Martyrs-Chevalley, Aïn Naâdja- Baraki, El Harrach- Bab Ezzouar ainsi que la place des Martyrs-Chevalley. A présent, toutes ces lignes sont en phase d’étude. Nous attendons donc les offres des bureaux d’expertise ».
A bord du métro, le directeur des contrats au niveau de la société française Vinci Construction, M.Denis Drouard, a confié à L’Expression: «Vous allez avoir le plus beau métro qui sera mieux que celui de Paris. Le métro d’Alger est plus moderne, plus rapide. En revanche celui de Paris est vieux.» Et de renchérir: « Regardez là , les sièges sont prépondérants pour gagner plus d’espace.»
A noter que tous les membres du gouvernement ainsi que des collectivités locales ont affiché leur satisfaction, voire leur fierté d’avoir acquis un tel projet. Quant à M.Abdelaziz Belkhadem, il a insisté sur la question de la sécurité, notamment lors de l’exposition du projet de l’extension vers El Harrach. « Attention, vous devriez bien prendre en charge la sécurité des usagers », souligne le ministre d’Etat.
Pour sa part, le ministre des Transports a déclaré à la presse: « Une convention d’une durée de huit ans avec des formateurs français est en vigueur. L’objectif est de former 500 conducteurs de métro. Ces derniers seront formés par des experts français.»
Durant cette visite d’inspection, les invités ont pu prendre connaissance du poste de commande centralisée (PCC) au niveau de la rue des Fusillés (El Anassers). C’est à partir de ce poste que sont centralisées toutes les informations relatives au bon fonctionnement du métro.
Enfin, le périple s’est achevé par la visite des ateliers de maintenance au niveau de Bachdjarah. D’une superficie de 18 hectares, ces ateliers sont destinés à assurer la maintenance du matériel roulant et des équipements électromécaniques ainsi que le stockage des pièces de rechange.
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Par Lynda BEDAR
L'Expression, publié le 06 Juillet 2009
# Administrateur | 06/07/2009 | Transports
Transport aérien : Une ligne Alger-Oujda
La ligne Alger-Oujda-Alger sera ouverte dans les prochains jours, si l’on se fie aux déclarations du président-directeur général de la Royal Air Maroc (RAM), Driss Benhima, qui vient d’annoncer le lancement de cette desserte à raison de deux vols directs par semaine : « Il existe actuellement 6 vols entre Casablanca et Alger. Nous allons en réserver deux pour une liaison entre Oujda et Alger », selon le premier responsable de la compagnie marocaine. Les prix seront concurrentiels, compétitifs et surprendront tout le monde… « Il y a quelques mois, une agence de voyages algérienne basée à Tlemcen avait annoncé en grande pompe l’inauguration de la desserte Oran-Oujda-Oran, à raison d’un vol tous les quinze jours. Les tarifs avaient été indiqués (20 800 DA) et des réservations faites. Curieusement, à deux semaines du premier vol, tout a été annulé sur instruction d’en haut », nous avait-on déclaré du côté de l’agence sans trop de précision. Notons que la ville d’Oujda (Maroc oriental) est distante de Maghnia de 28 km seulement.
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Par Par C. Berriah
El Watan, publié le 06 Juillet 2009
# Administrateur | 03/07/2009 | Transports
Yemenia suspend ses liaisons avec Marseille
ACCIDENT - Après le crash de son Airbus A310, mardi, qui a fait 152 morts, la communauté comorienne locale faisait pression sur la compagnie...
La compagnie aérienne Yemenia a annoncé jeudi qu'elle suspendait «dès à présent» ses vols au départ et à destination de Marseille «pour une durée indéterminée», après l'accident de son Airbus A310 mardi près des Comores qui a fait 152 morts dont 61 venus de Marseille.
Dans un communiqué, la compagnie yéménite, qui a dû annuler deux vols depuis Marseille mercredi et jeudi sous la pression de manifestations de la communauté comorienne locale, a invoqué «un cas de force majeure» et lié sa décision «aux graves événements survenus à l'aéroport de Marseille-Provence ces deux derniers jours et aux comportements violents qui sont à y déplorer».
Yemenia « ne peut poursuivre normalement l'exploitation de ses lignes au départ et à destination de cet aéroport sans mettre gravement en péril la sécurité des passagers, des usagers et des personnels qui y travaillent », selon le communiqué.
« La compagnie déplore que cette période de deuil soit affectée par des comportements inadmissibles qui interdisent la recherche sereine des causes de cette catastrophe et empêchent d'acheminer les familles des victimes jusqu'à Moroni », ajoute-t-elle.
« Yemenia, assassin »
Yemenia « s'engage à assurer le remboursement des billets (pendant) l'intégralité de la durée ».
Cette annonce, intervenue après plus de quatre heures de discussions entre Yemenia, la direction de l'aéroport et des représentants de la communauté comorienne de Marseille, a été accueillie aux cris de « supprimez, supprimez » et « Yemenia, assassin » par une centaine de manifestants d'origine comorienne qui souhaitaient obtenir l'annulation définitive des vols ou au moins durant la saison d'été.
« On nous a menés en bateau », a dit Nasser Moegne qui avait représenté la communauté comorienne pendant les discussions, « on ne veut plus de Yemenia (pour) les vols (vers les) Comores ».
Vers 21H30, les manifestants ont quitté le hall de l'aéroport alors qu'ils s'étaient dit déterminés une heure auparavant à y passer la nuit pour obtenir satisfaction.
Un commissaire de police de l'aéroport était venu les assurer que le président Nicolas Sarkozy avait promis d'affréter un avion pour les parents des victimes et que le parquet de Bobigny, chargé de l'enquête sur l'accident, s'engageait à faire régulièrement le point avec la communauté comorienne de Marseille.
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(avec agence)
20minutes.fr, publié le 03.07.09 à 07h36
# Administrateur | 03/07/2009 | Transports
Un demi-siècle à rouler dans Alger
Elle en a transporté des générations d’Algérois ! Bien avant l’indépendance de l’Algérie, l’Etusa –qui ne s’appelait pas encore comme cela– assurait déjà le transport public sous le nom de la Régie syndicale des transports algérois (RSTA). Comme Londres qui a ses bus rouges, Alger a les siens en blanc et bleu. Ses « trolleys ». Un vrai patrimoine. Créée en 1959, elle gérait les réseaux de bus, trolleybus (le nom est même resté en derja (dialectal) et tramway d’Alger. Après 1962 et l’abandon des lignes de tramway et de trolleybus, la RSTA a continué d’être le seul opérateur de transport public jusqu’à l’ouverture du secteur par décret en février 1987. Mais les années 1990 marquent le début d’une période difficile suite au désengagement de l’Etat qui subventionne encore aujourd’hui l’entreprise et à la concurrence sans merci du transport privé, plus dynamique et soumis à moins de contraintes. A l’aube des années 2000, marquées par le retour de la croissance économique, les pouvoirs publics prennent conscience de la piètre situation dont souffre la RSTA, ils relancent alors l’entreprise publique. Pour commencer, ils lui donnent un nouveau nom. L’obsolète RSTA devient l’Entreprise de transport urbain et suburbain (Etusa).
Ensuite, ils lui donnent les moyens de moderniser tout son réseau d’infrastructures de maintenance et de formation, grâce à une convention avec la Coopération technique belge (CTB) qui s’achève en 2007. Sauvée de la liquidation, la nouvelle Etusa a tout de même perdu 300 travailleurs, victimes de compression. Après avoir été transformée, en 1998, en société par actions (SPA), en 2002 le gouvernement la transforme en Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC). Depuis quelques années, l’ex-RSTA s’est dotée de 214 nouveaux bus de marque Vanhool, dont 12 mégabus de 24m de long, ce qui porte son parc à plus de 300 bus, le but assigné par la direction étant d’arriver à 400 bus pour couvrir l’ensemble de son réseau, composé de 99 lignes dont 39 urbaines. L’Etusa dessert les Algérois aussi en téléphériques, ascenseurs publics et escaliers mécaniques. Pour les premiers, les Algérois ont le choix entre le Mémorial reliant le jardin d’Essai du Hamma-Mémorial du Chahid, Oued Kniss-Palais de la culture, Sidi M’hamed-El Madania (180 m) et celui de Notre-Dame d’Afrique qui s’étend jusqu’à Bologhine. Par ailleurs, les téléphériques ont été récemment rénovés par l’entreprise française Pomagalsky. Les deux ascenseurs de la gare Agha et de la rue Dr Saâdane sont, quant à eux, à l’arrêt pour cause de travaux, le premier par mesure de sécurité, le second, depuis l’attentat du Palais du gouvernement.
Bientôt des cartes magnétiques
Depuis la grève de 2008 ayant paralysé l’entreprise et qui a eu pour revendications le versement de la subvention promise par l’Etat et le changement du directeur de l’ex-RSTA, les choses ont plutôt pris une tournure positive, puisque plusieurs défaillances ont été comblées en quelques mois. « On a rouvert la ligne 65 qui, jadis, rendait beaucoup de services reliant Diar Saâda à la place du 1er Mai. C’est un service de navette qu’on installe à la demande, car nous avons des régulateurs qui veillent au bon déroulement des services de l’Etusa dans les différentes station de bus », explique le directeur général de l’entreprise, Krim Yacine. En outre, l’entreprise a même pensé aux familles désireuses de se déplacer vers les espaces de détente, les week-ends, en assurant des navettes vers le parc de la Foire d’Alger et celui de Ben Aknoun à partir de la place du 1er Mai, les places des Martyrs et Chevalley. « Ce sont des lignes qui marchent plus ou moins bien, quoique les Algériens préfèrent utiliser la voiture », regrette Krim Yacine. Parmi les dernières réalisations de l’ex-RSTA, le renforcement des lignes qui a touché plusieurs itinéraires jugés très empruntés tels que Audin-Hydra, Audin-Ben Aknoun, Audin-El Biar, Audin-El Mouradia.
D’autres destinations ont connu une amélioration en matière de service de transport : la place des Martyrs vers El Biar, Ben Aknoun, Chevalley et de la place du 1er Mai vers El Biar et Ben Aknoun. Pour la période estivale, l’Etusa a prévu de rallonger les horaires jusqu’à minuit concernant les téléphériques et de mettre en place des bus assurant le transport durant la période des festivités. « Pour le Festival international de littérature et du livre de jeunesse, nous avons établi un programme de navette entre Riadh El Feth vers la place du 1er Mai, la place des Martyrs, El Harrach et Chevalley », a précisé le directeur avant d’ajouter : « Nous allons assurer aussi les services pendant la période du Festival panafricain, du Palais de la culture, la Foire d’Alger, Riadh El Feth vers la place Audin , la place des Martyrs et Ben Aknoun. » Par ailleurs, des brigades de nuit sont au service des Algérois jusqu’à minuit et ce, tout au long de l’année, de la place Audin à Ben Aknoun (une vieille ligne de 50 ans), Audin-El Mouradia, Audin-Diar Saâda. D’après le directeur de l’Etusa, d’ici la fin de l’année, il sera possible d’acheter des tickets magnétiques, disponibles dans les différents points de vente. Les habitués, quant à eux, circuleront avec des cartes d’abonnement plus d’utilisation plus facile et disponibles dans tous les points de vente de l’entreprise…
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Par LamiaTagzout
El Watan, publié le 03 juillet 2009
# Administrateur | 02/07/2009 | Transports
Bahia, 12 ans, la miraculée du vol des Comores, de retour en France
Cette adolescente timide, qui vit en banlieue parisienne, a surnagé pendant douze heures. Après avoir été hospitalisée à Moroni, elle est de retour en France.
Toujours le mystère sur la cause du crash
La petite miraculée de 12 ans ne réalise pas encore ce qui est arrivé. Unique rescapée du crash de l'A-310 reliant Sanaa (Yémen) à Moroni (153 disparus), qui a perdu sa mère dans la catastrophe, la jeune Bahia Bakari est arrivée en France. Elle a été accueillie à l'aéroport par son père.
Souffrant d'une fracture de la clavicule et de brûlures au genou, Bahia a été transportée ensuite sur un brancard. Une ambulance du Samu l'attendait à sa descente d'avion pour la transporter à un hôpital parisien.
Son père s'est dit « abasourdi » quand il a appris que sa fille était en vie. « Elle est très, très timide. Je n'aurais jamais pensé qu'elle allait s'en sortir comme ça, elle sait à peine nager ». L'adolescente lui a raconté son calvaire. Des consignes pour boucler la ceinture, une sensation d'électricité, puis elle aurait été expulsée de l'avion. Elle s'est retrouvée dans l'eau, en pleine nuit. Elle a entendu des gens parler autour d'elle, mais n'a vu personne.
Infime espoir pour les autres passagers
Les sauveteurs ont aperçu une jeune fille cramponnée à un débris d'avion, flottant au milieu de corps, dans une mer agitée. L'un d'eux raconte : « Je lui ai lancé une bouée, elle n'a pas pu la prendre. J'ai dû sauter pour la récupérer. Elle n'arrêtait pas de trembler. On l'a remontée sur le bateau, enroulée dans des draps et emmenée tout de suite à l'hôpital. » Bahia Bakari aurait survécu dans l'eau pendant douze heures.
Alain Joyandet, le secrétaire d'État à la Coopération, s'est rendu, hier, à son chevet.
Son sauvetage a relancé l'espoir chez les familles des victimes. Plus tôt dans la journée, des informations circulaient sur la présence d'une deuxième personne en vie. Infirmées un peu plus tard par Alain Joyandet, qui estimait quand même qu'il y avait « encore une chance de trouver des survivants ».
D'importants moyens de recherches français et américains ont été déployés dans la zone pour aider les Comoriens. Mais, selon lui, « il faut plutôt voir comment évacuer les corps ». Bahia Bakari deviendra peut-être la douzième survivante unique d'un crash aérien, depuis 1970.
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ouest-france.fr, publié le 02 juillet 2009
# Administrateur | 01/07/2009 | Transports
Transport maritime : Le groupe CNAN présente sa nouvelle stratégie
Selon le Directeur commercial de CNAN-Nord, par cette rencontre, il s’agit surtout de repositionner le pavillon national sur le marché algérien et international et avoir sa part du marché dans ce secteur avec, notamment, l’ouverture de nouvelles dessertes maritimes vers les ports de certains pays de l’Extrême-Orient. Il s’agit maintenant de tenir compte de l’ouverture du marché et surtout faire face à une concurrence. Le domaine du transport de marchandises par voie maritime, a-t-il indiqué, ne cesse d’évoluer en devenant, par la force des choses, un important champ concurrentiel où des pavillons nationaux commencent à disparaître. Évoquant le cas de la CNAN, l’orateur a relevé que ce groupe, qui dispose d’une flotte importante, doit rapprocher les opérateurs par des actions publicitaires ou autres. Il doit assurer le renouvellement et l’adaptation de ces équipements en tenant compte du trafic et du nouveau mode de transport maritime. C’est grâce à la présence d’une flotte de six navires dont quatre de type « Trampco » d’une capacité de 8 100 tonnes chacun, qu’a été réalisé un trafic, l’an dernier, de 270 000 tonnes de marchandises et autres produits manufacturés pour un chiffre d’affaires de 3,7 milliards de dinars. Pour sa part, la filiale « Nashco », qui tourne avec un collectif de 282 agents, a assuré, durant cette même période, la consignation de 561 000 navires pour un montant de 600 millions de DA. Elle a généré, selon son directeur général, des bénéfices de 65 millions de DA. La filiale envisage de réaliser des ports secs avec des parcs sous douanes à Alger, Oran et Annaba. Le directeur du port de Mostaganem, présent à cette rencontre d’information, a invité les responsables du groupe à examiner sa demande pour une reprise du trafic de marchandises sur Marseille en raison de la forte demande des opérateurs de cette région. L’on saura que le port de Mostaganem a comptabilisé, en 2008, un million de tonnes marchandises pour un trafic de 450 navires.
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Par Tegguer Kaddour
El Watan, publié le 1er Juillet 2009
# Administrateur | 30/06/2009 | Transports
Créer une liste noire mondiale des compagnies aériennes risque d'être difficile
ACCIDENT - Après le crash de l'avion de la Yemenia, Bruxelles rappelle que la liste noire actuelle ne concerne que l'Europe, et propose une liste noire mondiale...
Antonio Tajani, commissaire européen aux Transports, a déclaré lors d’une conférence de presse vouloir « proposer une liste noire mondiale semblable à la liste noire qui est utilisée dans l'Union européenne », à la suite du crash de ce mardi.
Il a précisé qu'il ferait cette proposition « dans quelques jours », lors d'une rencontre à Bruxelles avec les présidents du conseil de l'OACI (Organisation de l'aviation civile internationale). « Nous avons une liste noire, mais cette liste noire est seulement valable en Europe. En dehors de l'Europe, c'est seulement une indication », a-t-il expliqué. Une liste mondiale serait ainsi une garantie pour les voyageurs.
Mais créer une telle liste impliquerait de nombreux contrôles, notamment hors d’Europe, ce qui semble compliqué à réaliser, notamment d’un point de vue légal.
Il n’est pas possible de contrôler tous les avions
Sur la liste noire actuelle, uniquement valable à l’échelon européen, on lit la mise en garde suivante: « les autorités responsables de l’aviation civile des États membres de la Communauté européenne sont seulement en mesure d’inspecter les avions des compagnies aériennes exploitant des vols à destination ou au départ des aéroports de la Communauté et, compte tenu du caractère aléatoire de ces inspections, il n’est pas possible de contrôler tous les avions qui atterrissent à chaque aéroport de la Communauté. Le fait qu’une compagnie aérienne ne figure pas sur la liste communautaire ne signifie donc pas automatiquement qu’elle respecte les normes de sécurité applicables.»
De plus, une compagnie peut avoir un comportement et des appareils irréprochables sur le territoire européen, mais être beaucoup moins sûre dans ses comportements hors Union européenne. Difficile, dans ces conditions, de tout vérifier…
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Par O.R. (avec agence)
20minutes.fr, publié le 30.06.09 à 19h01
# Administrateur | 30/06/2009 | Transports
Crash Yemenia: La liste des passagers de l'Airbus A310 a été donnée... Un enfant retrouvé vivant
HEURE PAR HEURE - Suivez les recherches de l'Airbus qui reliait Sanaa Ă Moroni, avec 153 passagers Ă son bord...
Un Airbus A310 de la compagnie Yemenia, transportant des passagers en provenance notamment de Roissy et de Marseille, entre Sanaa (Yémen) et Moroni (Comores), a disparu dans la nuit de lundi à mardi entre le Yemen et les Comores avec 153 personnes à bord, dont 11 membres d'équipage et 66 Français. Parmi elles, de nombreuses familles comoriennes rentrant au pays pour les vacances.
18h02: Madagascar envoie un bateau aux Comores sur les lieux de l'accident aérien
L'Etat malgache a décidé de dépêcher un navire-patrouilleur pour aider aux recherches d'éventuels survivants de l'accident à proximité des côtes comoriennes.
17h38: Le gouvernement comorien réuni d'urgence
Le gouvernement comorien s'est réuni d'urgence après l'accident de l'Airbus A310 de la compagnie Yemenia avec 153 personnes à son bord et a appelé à l'aide ses partenaires pour appuyer les efforts des secours comoriens.
17h11: Près de 200 compagnies sont sur la liste noire de l'Union européenne
Malgré un avertissement reçu en juillet 2008, la compagnie Yemenia a évité son iscription sur la liste noire après s'être mise en conformité.
16h54: Ambiance très tendue à l'aéroport de Marignane
Après plusieurs heures d'attente, des jeunes de la communauté comorienne de Marseille, très remontés à l'encontre de la compagnie Yemenia qui tardait à publier la liste des passagers, ont investi le salon réservé aux familles des victimes avant d'en être expulsés par les forces de l'ordre après des échauffourées. Peu de temps après, les familles de victimes se sont fait lire la liste des 142 passagers de l'A310.
16h42: L'avion a disparu après avoir vainement tenté un atterrissage
« L'avion était à environ 50 mètres du sol en approche de la piste, et au lieu de prendre la piste, il a dévié et est sorti de l'axe de la piste en empruntant un chemin anormal vers la mer », a déclaré un agent de la police de l'air et des frontières comorienne qui a souhaité garder l'anonymat.
16h08: Messes et prières à la cathédrale Notre-Dame de Paris et à la Mosquée de Paris
La messe du jeudi 2 juillet à la cathédrale Notre-Dame de Paris sera dite à la mémoire des victimes du crash de l'Airbus d'Air Yemenia se rendant aux Comores, tandis qu'à la Mosquée de Paris la prière de l'Absent sera dite vendredi 3 juillet.
15h37: La confusion règne...
Selon Dominique Bussereau, l'avion aurait été «exclu du sol national» pour «irrégularités» il y a quelques années. Pourtant, à la DGAC, on n'évoquait pas d'exclusion.
15h21: La DGAC a les noms des passagers
Communiqués tardivement par la compagnie Yemenia, ils devraient être rendus publics dans l'après-midi.
15h20: Recueillement à l'Assemblée nationale
« Un grave accident d'avion s'est déroulé cette nuit au large des Comores, faisant de nombreuses victimes en particulier françaises, ou résidant en France. Au nom de tous, je voudrais exprimer notre émotion face à cette catastrophe et assurer les familles des victimes de notre entière solidarité.» L'hommage est signé Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale, et a été prononcé en ouverture de la séance des questions au gouvernement. Le gouvernement et l'ensemble des députés se sont levés et ont observé un instant de silence.
15h05: Pour le Yémen, pas de problème technique particulier sur l'avion
Le ministre yéménite du Transport Khaled al-Wazir a affirmé mardi que l'Airbus A310-300 n'avait pas de problème technique particulier et avait assuré la semaine dernière un vol sur Londres. L'appareil avait « été révisé en mai 2009 et assurait des liaisons courantes avec l'Europe. Il y a une semaine, il avait fait une liaison avec Londres ».
« En 2007, il y avait des remarques sur cet avion. Ces remarques concernaient des sièges et des questions de décor dans la cabine des passagers. Et l'on en a remédié à temps », a-t-il précisé, « la dernière révision technique d'ensemble sur l'avion a été effectuée en mai 2009 à Sanaa, sous la supervision d'Airbus ». Jointe par 20Minutes.fr, la DGAC confirme que le contrôle inoppiné (SAFA), effectué par ses inspecteurs en 2007, n'était pas rédibitoire, sinon l'avion serait resté au sol. L'appareil « n'était pas satisfaisant, mais il n'y avait pas de problème de sécurité.»
13h10: Aux Comores, des proches disent avoir vu l'avion disparaître
« J'ai vu l'appareil en train de se poser. Je suis entré dans l'aérogare pour chercher ma mère. Mais il n'y avait pas d'avion », a déclaré un jeune homme, Moussa Boina, encore sous le choc.
12h45: La liste des passagers tarde à être communiquée
Le préfet de police de Marseille attend « incessamment » la liste des passagers, que la compagnie Yemenia tarde à remettre. Il confirme que 78 personnes ont embarqué à Marignane, parmi lesquelles 61 ont pris l’avion pour Moroni, dont 10 enfants. Le survivant est un enfant de 3 ans, actuellement en réanimation dans un hôpital comorien. Le parquet de Bobigny est saisi.
12h41: Bruxelles propose une liste loire mondiale
La Commission européenne propose ce mardi de « constituer une liste noire mondiale » des compagnies aériennes dangereuses après l'accident d'un Airbus A310 de la compagnie Yemenia près des Comores. « Nous avons une liste noire, mais cette liste noire est seulement valable en Europe. En dehors de l'Europe, c'est seulement une indication », a précisé le commissaire européen aux Transports, Antonio Tajani.
12h29: Des habitants de la Courneuve Ă bord de l'avion
Des Français d'origine comorienne et des Comoriens résidant à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) se trouvaient à bord de l'Airbus A310. « Sur environ 60 Comoriens qui ont embarqué à Roissy, une bonne partie venait de La Courneuve mais on ne sait pas combien sont restés à Sanaa et combien sont repartis à Moroni », a déclaré à l'AFP, Bacar Soilihi, 40 ans, lui-même Français d'origine comorienne, collaborateur du député PS de Seine-Saint-Denis, Daniel Goldberg. « Malheureusement des hommes, des femmes et des enfants de La Courneuve étaient à bord mais on ne connaît pas leur nombre exact. Ce qui est sûr c'est qu'on dénombre déjà trois familles touchées », a indiqué pour sa part la mairie.
12h18: Le parcours du vol Ă destination des Comores
11h45 Le consul des Comores à Marseille voit dans ce drame la « réalité mondiale des diasporas »
Stéphane Salord, consul des Comores à Marseille, rappelle que « la réalité mondiale des diasporas, c’est souvent ça… Quand vous n’êtes pas sur des lignes de pays développés, depuis les pays développés, vous rentrez par des lignes secondaires. Il faut beaucoup de lucidité sur ces sujets.»
11h30: A l'aéroport de Marseille, les Comoriens en colère
« On est en train de calmer les familles, note Farid Soilihi, porte-parole de SOS Voyage Comores. Mais le sentiment de colère contre les conditions de vol sur cette ligne existe depuis quatre ans.» L’association, créée il y a un an pour dénoncer le délabrement des avions de Yemenia, a contacté le ministère des Affaires étrangères français la semaine dernière. La communauté comorienne de Marseille a prévu de se retrouver à 14 heures sur la Canebière.
11h30: Un enfant retrouvé vivant
On ne sait pas encore s'il s'agit du mĂŞme survivant ou pas...
11h07: Pas d'orages au moment du crash
C'est ce qu'affirme Météo France. « On n'a pas du tout de phénomène orageux, là on ne parle pas de pot au noir, il n'y a rien de tel dans ce cas », a expliqué Jean-Marie Carrière, directeur de la prévision à Météo France, faisant référence aux conditions météo lors du récent crash de l'Airbus d'Air France, dans l'atlantique sud, au large du Brésil. Par contre, il a fait état d'un « vent de secteur sud un peu marqué avec des rafales qui peuvent dépasser 60 km/h près du sol, à proximité de l'aéroport de Moroni et un peu partout sur la zone ». « Ce n'est pas énorme mais ça peut gêner une approche d'un avion près d'un aéroport », a-t-il estimé.
11h01: Un survivant a été retrouvé
Il a été découvert sur le lieu de l'accident, a déclaré à l'AFP Mohammad al-Soumaïri, directeur général adjoint de Yemenia pour les opérations. En outre, a-t-il ajouté, « trois corps ont été repêchés » lors des opérations de recherches.
10h50: Trois corps auraient été découverts
Selon la radio comorienne, citée par ITélé, les dépouilles de trois passagers du vol auraient été découverts.
10h17: Le BEA va se rendre sur place
Le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) est en train de constituer une équipe d'enquêteurs qui va se rendre sur les lieux de l'accident. Le BEA, organisme public français chargé des enquêtes techniques des accidents d'avions, devrait intervenir dans cette enquête, même si l'accident s'est passé à l'étranger, car le constructeur de l'avion, Airbus, est partiellement français.
10h01: Des défauts constatés sur l'avion de Yemenia
Dominique Bussereau a annoncé sur i-télé que de « très nombreux défauts (avaient été) constatés » sur l'avion de la compagnie Yemenia qui était « très surveillée » par les autorités françaises.
9h57: Sarkozy demande à l'armée de « tout mettre en oeuvre pour porter secours »
Il a aussi demandé à Dominique Bussereau, secrétaire d'État chargé des Transports, de se rendre au PC de crise activé à l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle pour suivre au plus près l'évolution de la situation.
9h41: Un remorqueur se rend sur place
Un remorqueur d'une société privée avec à son bord une équipe médicale et des plongeurs de la gendarmerie s'apprêtait à se rendre dans la zone, a annoncé la préfecture de Mayotte. L'avion se serait abîmé en mer à quelque 8 milles nautiques (environ 15 km) de l'île de Grande Comore à 01H50.
9h31: Un avion mis en service en 1990
Dans un communiqué de presse, Airbus déplore l'accident et donne des précisions sur l'appareil: il s'agit d'un Airbus A310-300, mis en service en 1990 et racheté par la compagnie Yemenia en 1999. Il avait 51.900 heures de vol à son compteur.
9h09: « Des conditions météorologiques défavorables »
Selon le directeur de l'aéroport international de Moroni, la météo était défavorable, ce qui pourrait expliquer les difficultés rencontrées par l'avion. « Avant son atterrissage, la tour de contrôle a perdu communication avec l'équipage. Les conditions météorologiques étaient défavorables avec de fortes rafales de vent », a déclaré Hadji Mmadi Ali.
8h48: La carlingue a été repérée
Un premier élément de l'appareil a été repéré dans l'eau, au large des Comores.
8h36: 66 passagers français à bord de l'avion
Montés à Roissy et à Marseille, une partie des passagers sont des ressortissants français.
8h28: La météo, peut-être responsable de l'accident
Selon Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, l'A310 est un avion fiable.
8h15: Des corps repérés
L'aviation civile du Yémen a déclaré avoir repéré des corps, au large des Comores.
8h07: La France dépêche deux bateaux et un avion pour les recherches
Le pays va dépêcher deux bâtiments de la Marine nationale et un Transall dans la zone de l'accident d'un Airbus A310 de Yemenia, a annoncé l'état-major des armées à Paris.
1h: heure d'arrivée prévue de l'avion aux Comores
L'aéroport est sans nouvelle du vol IY 626.
# Administrateur | 29/06/2009 | Transports
Bien sûr, Air Algérie a toujours bon dos !
Le 20 mai dernier, le respectable quotidien El Watan, a publié un article intitulé « Colomb-Béchar existe encore : un autre retard d’Air Algérie », fort documenté sur la région et la ville de Béchar et sur les baptisations et débaptisations de son aérodrome. Ce billet attribue à Air Algérie la rémanence du nom de code de ce terrain d’aviation et son auteur s’insurge contre la passivité de ce transporteur national face à ce que l’auteur de l’article considère être une « aberration d’une autre époque ».
En commettant son écrit, le journaliste réalise une légère erreur d’appréciation car, aucun des aéroports et aérodromes que fréquentent les avions d’Air Algérie ne lui appartient en propre et aucun n’est réservé exclusivement à sa flotte. Une fois attribué par l’association internationale des transporteurs aériens (IATA), le code d’un lieu est utilisable par tout le monde, mais seule l’IATA peut le changer. Il est vrai, cependant, que lorsqu’Air Algérie doit desservir pour la première fois un aéroport par un service régulier ouvert au public et qu’à cet aéroport l’IATA n’a pas encore attribué de code de trois lettres, c’est à Air Algérie de soumettre une proposition de code. L’lATA vérifie si ce dernier n’est pas déjà attribué avant de le faire figurer dans le recueil des codes diffusé à travers la planète. Dans le cas contraire, le demandeur est requis de faire un autre choix et le processus de vérification se déroule à nouveau autant de fois que nécessaire, jusqu’à trouver le cryptogramme qui convient. Cela a notamment été le cas pour Sétif, Batna, El Bayadh, Méchéria, etc.
S’agissant d’un aérodrome pour lequel un code IATA a déjà été attribué, la possibilité de changement est possible mais dans des cas exceptionnels de risque de confusion. C’est la raison pour laquelle tous les pays anciennement colonisés gardent les codes attribués à leurs aéroports du temps de la colonisation. Au demeurant, le code n’a aucune signification en soi. Sait-on par exemple que Sétif a pour code QSF, Batna BLJ et illizi VVZ ? Lorsqu’on entre dans une base de données les lettres CBH, c’est bien le nom Béchar qui sort et non pas Colomb-Béchar. Sétif doit changer de code pour la simple raison que QSF est le code IATA de l’aéroport métropolitain de San Francisco aux Etats-Unis. Le journaliste a commis une erreur également en affirmant que le code CBH apparaît sur les étiquettes des bagages des passagers en provenance de Béchar et débarquant dans les aéroports du nord du pays.
En effet, les étiquettes des bagages portent le code de l’aéroport de destination et non celui de l’aéroport d’origine. De même, il est dans l’erreur lorsqu’il énonce que la « fiche d’identification, remise peu avant l’atterrissage des appareils sur les aéroports du Nord en provenance de Béchar, continue toujours à porter des inscriptions coloniales CBH ». En effet, aucune fiche d’identification n’est remise aux passagers des vols à l’intérieur du pays. De plus, la caricature accompagnant l’article est également trompeuse car le personnel de bord d’Air Algérie, en s’adressant aux passagers, n’annonce jamais « Colomb-Béchar » mais simplement « Béchar ».
# Administrateur | 28/06/2009 | Transports
Transport aérien : Autorisations de vols aux compagnies Air Méditerranée et Aigle Azur par le ministère des transports.
Le ministère des Transports a communiqué dimanche les autorisations de vols octroyées au pavillon français.
Ces vols s'ajoutent aux programmes antérieurs concernant les compagnies "Air Méditerranée" et "Aigle Azur", précise-t-on auprès du ministère.
Selon les modalités arrêtées par le ministère de tutelle, la compagnie Air Méditerranée assurera cinq (5) vols Tours-Oran les 8, 14, 21, 30 juillet et 2 août 2009. Cette compagnie est autorisée à effectuer trois (3) vols Toulouse-Oran les 7, 8 et 10 juillet 2009. Les retours Oran-Tours et Oran-Toulouse se feront à vide, précise le ministère.
Concernant Aigle Azur, cette compagnie assure trois (3) vols Paris-Oran les 1, 8 et 15 juillet 2009.
- Trois (3) vols Paris-Alger les 26 juin, 4 et 11 juillet 2009.
- Six vols Paris-Bejaia les 29 et 30 juin, les 6, 7, 13 et 14 juillet 2009.
Les vols Oran-Paris, Alger-Paris et Bejaia-Paris se feront également à vide. Le reste du programme au delà du 15 juillet demeure à l'étude, précise le communiqué du ministère.
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Par APS
La Tribune-Online, publié le 28 Juin 2009
# Administrateur | 27/06/2009 | Transports
« Paris-Algérie, c’est 62 fréquences par semaine »
Comment se présente la saison estivale ? Qu’est-ce qui la distingue de celle de 2008 ?
Une saison ne saurait démarrer sans un bon programme de vols et d’avions et sa préparation se fait en amont. Nous avons pour principe de prendre comme ancrage la saison qui précède, à partir de laquelle nous tirons un certain nombre d’enseignements qui nous permettent d’apporter les améliorations possibles. La compagnie nationale déploie, à l’occasion de l’été, des moyens volants et humains très importants, puisque nous renforçons d’une manière générale toutes les escales de départ et d’accueil. Des personnels d’assistance viennent en renfort d’Algérie encadrer les personnels locaux en matière d’accueil, d’orientation, de renseignement et de prise en charge des passagers. Le secteur France est le plus porteur et le plus dynamique en termes de trafic de passagers. Pour la compagnie aérienne nationale c’est, en dehors du réseau domestique, le pôle qui génère le maximum de passagers et de recettes, de manière globale, et particulièrement l’été.
Qu’avez-vous tiré comme enseignements de la saison précédente ?
Paris dessert une dizaine d’escales vers l’Algérie. Il s’agit d’apporter un programme qui réponde à la demande. Pour cela, il s’agit de mettre le bon module d’avion sur la bonne ligne.
Ce n’est pas nouveau ?
Nous améliorons. Nous avons ouvert des lignes avec des Boeing 737-600 et nous nous sommes rendu compte que sur ces lignes, il fallait changer le module, voire l’augmenter. Cela n’apparaît pas en termes de fréquences hebdomadaires, mais Paris-Algérie, c’est 62 fréquences par semaine, soit jusqu’à 10 vols par jour. Et il ne s’agit là que des vols réguliers. Ces derniers sont renforcés par des vols supplémentaires en cas de besoin. Les plages horaires supplémentaires sont très difficiles à obtenir et avec les autorités aéroportuaires locales, nous essayons d’obtenir le bon créneau pour que le passager n’ait pas beaucoup à souffrir des horaires. Cela paraît infime pour le passager, peut-être, mais derrière cela, il y a des procédures.
Quel est le volume de l’offre vers l’Algérie mise à disposition de la clientèle depuis Paris ?
L’offre au départ de Paris pour la saison de pointe, qui va du dernier week-end de juin jusqu’au 26 septembre, a augmenté de 4% par rapport à l’année dernière. Soit 13 909 sièges en moyenne hebdomadaire en 2009 pour 12 818 sièges en 2008. Cela représente un pont aérien entre Paris et l’Algérie.
Qu’en est-il du taux de remplissage ?
Pour la phase aller, au 19 juin, 93% des capacités d’Air Algérie étaient engagées. C’est un très bon taux ; les ventes commencent très tôt, elles ont débuté cette année le 4 février. Généralement, à la fin juin tout est vendu et après nous faisons de la régulation. Au fur et à mesure que la pointe arrive à exploitation, le nombre de sièges disponibles se réduit et les délais d’option (d’un mois à 48 heures) sont de plus en plus limités dans un souci d’optimisation maximale des sièges. La destination phare reste Alger, desservie de Roissy et d’Orly avec le plus grand nombre de fréquences : 3 vols au départ d’Orly et un au départ de Roissy en gros porteurs. L’offre hebdomadaire Paris Alger est de 7219 sièges. Il n’y a pratiquement plus de vols supplémentaires sur la phase France-Algérie car les capacités sont optimisées et parce que la période de vente est plus étalée. Les vols supplémentaires sont plus sollicités sur la phase retour, qui se situe sur une période de trois semaines. D’Alger vers Paris, nous mettons 1691 sièges supplémentaires, soit l’équivalent de 7 à 8 vols par semaine et au global (depuis Alger plus les 8 autres villes qui desservent Paris, ndlr), 2520 sièges. De gros porteurs également desservent Oran et Constantine depuis Paris. L’offre globale des vols réguliers et supplémentaires Paris-Algérie est de 15 329 sièges par semaine.
Comment le marché France-Algérie est-il fixé ?
Le marché est défini entre les deux Etats à travers un accord aérien ; il dépasse la volonté des compagnies. Le marché France-Algérie est théoriquement partagé à parts égales. La part algérienne revient à Air Algérie et la part française est répartie entre Air France et Aigle Azur ; un troisième opérateur français, Air Méditerranée, va entrer sur le marché à partir du 7 juillet. Même quand la compagnie française s’était retirée, Air Algérie avait continué à fonctionner sur ses propres parts de marché. C’est la façon d’optimiser les capacités qui fait la différence. On est à 52% de nos parts de marché. L’objectif assigné à la compagnie par son PDG est de porter les parts de marché d’Air Algérie sur le segment France à 60% en 2014.
Et la question si sensible des tarifs…
Sur le marché français, les tarifs sont homologués. Les compagnies s’alignent sur ces tarifs, il en est de même en Algérie. Il reste que la gamme tarifaire proposée par Air Algérie sur les 12 mois de l’année est très intéressante, contrairement à ce que peuvent dire les uns ou les autres. Le tarif de référence Paris-Alger fixé par l’IATA est de 803 euros. Air Algérie le réduit de 40% pour les nationaux résidant en France. En plus de cette réduction, nous avons encore fait des baisses en application de la convention signée avec le ministre de la Solidarité nationale en créant un tarif famille à 467 euros TTC. Ce tarif était disponible jusqu’au 15 juin.
Cette disposition n’a-t-elle pas souffert de malentendus, voire d’une information insuffisante ?
Air Algérie a été très claire dans sa position en disant qu’elle s’impliquait de la manière la plus totale dans les décisions prises de mettre à la disposition de nos ressortissants, pour la France, une tarification particulière. Nous avons proposé de gérer l’affaire, notre PDG a lui-même participé à la création de ces tarifs, il en a lui-même fixé les niveaux. Il n’y a pas eu de quiproquo, la mise en œuvre a pris du temps entre le 2 avril (date de la signature de la convention) et sa mise en œuvre, il s’est passé un mois. Or, nous, nous avons commencé à vendre nos billets en février ; il y a eu un petit creux, les gens attendaient un tarif, on a fait des réductions de 48%, il ne faut pas attendre plus que cela. La compagnie a joué le jeu de la commercialité et aussi de la solidarité. On ne peut pas vendre ces billets indéfiniment, on a mis comme date butoir le 15 juin. Un autre tarif, 3e âge, à 487 euros, est valable toute l’année. 7% des capacités globales ont été réservés aux tarifs de solidarité. Pour le Ramadhan et l’Aïd, nous avons fait une promotion à 234 euros TTC. Durant toute l’année, nous réalisons des promotions, soit une douzaine de tarifs sur lesquels il y a des conditions de vente, comme c’est la règle dans toutes les compagnies pour les tarifs promotionnels.
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Par Nadjia Bouzeghrane
El Watan, publié le 27 Juin 2009
# Administrateur | 20/06/2009 | Transports
Tout sauf le cabotage
Le ministre des Transports a déclaré que ce moyen de transport reste ouvert aux privés soumis à la loi algérienne.
Le gouvernement algérien écarte toute possibilité d’investir dans le transport maritime côtier. Amar Tou, ministre des Transports, a réitéré l’attachement de l’Etat à la décision de ne pas investir dans ce moyen de transport. En réponse à une question d’un membre du Conseil de la nation réuni jeudi en séance plénière, Amar Tou a répondu qu’un bon nombre de contraintes empêchent le développement du cabotage sur les côtes algériennes. Il fait ressortir, notamment, que les voyageurs seraient ainsi soumis à un contrôle de documents à chaque embarquement et débarquement.
Autrement dit, les mêmes formalités appliquées pour les passagers se déplaçant entre l’Algérie et un autre pays seraient appliquées à ceux se déplaçant sur les côtes de leur pays. A ce sujet, M.Tou estime qu’il serait judicieux de trouver de nouveaux mécanismes pour résoudre cette problématique avant de passer au lancement de ce moyen de transport. Cependant, le ministre a affirmé que le secteur est ouvert aux investisseurs privés qui désirent y investir. Selon M.Tou, le marché reste ouvert aux privés soumis à la loi algérienne. Dans un autre registre et afin de réduire les accidents de la route, le ministre a dévoilé que la mouture du projet d’amendement du Code de la route est sur le point d’être finalisée. Il a même réaffirmé qu’elle sera soumise au Parlement avant la fin de l’année en cours. Les amendements apportés permettent d’infliger des peines plus sévères aux auteurs de dépassements. Parmi les nouveaux amendements proposés figurent la création d’un centre national de sections spécialisées au niveau des tribunaux en vue d’examiner en urgence les affaires portant sur des accidents de la circulation, d’autres sanctions à l’encontre des mauvais chauffeurs, des poursuites judiciaires contre des moniteurs d’auto-écoles et les ingénieurs des examens ayant remis le permis de conduire à des non-méritants, l’élargissement de la formation en conduite de manière à couvrir tout le centre-ville, et enfin, l’introduction de certains aspects théoriques et pratiques dans l’apprentissage de la conduite. En ce qui concerne le permis à points, le ministre a affirmé que le gouvernement aura recours à cette méthode dans le proche avenir. Le même responsable a annoncé la création du fichier national concernant le permis de conduire, la carte grise et les contraventions.
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Par Tahar FATTANI
L'Expression, publié le 20 Juin 2009
# Administrateur | 18/06/2009 | Transports
Air Algérie : le temps des performances
Air Algérie a réalisé un chiffre d'affaires de 54,4 milliards de dinars en 2008.
Conférence de presse de M. Abdelwahid Bouabdallah
La compagnie "Air Algérie" a réalisé un chiffre d'affaires de 54,4 milliards de dinars au cours de l'exercice 2008, en hausse de 10% par rapport à l'année précédente, a indiqué hier, à Alger le PDG de la compagnie, M. Abdelwahid Bouabdallah.
En terme de trafic passagers, Air Algérie a transporté 3,2 millions personnes en 2008 (dont 1,8 million sur les lignes internationales), soit une croissance de 9% par rapport à 2007, a précisé le PDG, lors d'une conférence de presse consacrée au bilan des activités de la compagnie de l'année 2008.
Les principales destinations ont connu un rebond et sur le réseau France, l'accroissement a été de 2% en 2008, en dépit de la forte concurrence exercée par les compagnies étrangères, a ajouté M. Bouabdallah précisant que "cette embellie financière a permis de financer l'achat de deux ATR (70 places) acquis auprès de l'ex-Khalifa Airways et de lancer les travaux du futur siège de la Direction générale qui sera implanté à Dar El Beida, a-t-il expliqué.
"Ainsi, après trois années de déficit, la compagnie renoue avec les bénéfices avec 210 millions de DA engrangés en 2008", s'est réjoui M. Bouabdallah qui a parlé de "réveil commercial", appelant les travailleurs à persévérer dans leurs efforts.
Selon M. Bouabdallah, cette performance a été enregistrée en période de crise économique mondiale "qui n'a pas eu de conséquences sur les activités de la compagnie pour 2008 mais qui risque d'avoir un impact au cours des années à venir", a souligné le PDG d'Air Algérie évoquant un vaste plan de relance.
Ce plan s'appuiera notamment sur un redéploiement de la flotte sur les lignes jugées rentables et l'acquisition de 11 nouveaux appareils.
Il s'agit de 4 avions de 70 places et de 7 avions de 150 places qui seront financés à travers un prêt à 2,5% sur 25 ans du Fonds national d'investissement (FNI) avec une période de grâce de 15 ans.
Le renforcement de la flotte va permettre à l'horizon 2014, de prendre en charge quelque 6 millions de passagers que la compagnie vise à transporter à la faveur du développement du tourisme en Algérie, a dit M. Bouabdallah.
De plus, "l'Etat veut que le pavillon reprenne le fret (cargo) et est prêt à aider Air Algérie à prendre une part de marché dans ce secteur", a fait savoir M. Bouabdallah.
Dans ce contexte, il a fait part du projet d'Air Algérie de créer une filiale fret totalement indépendante ainsi qu'une filiale catering (restauration).
Pour le fret, "les gens se bousculent au portillon pour prendre une part de marché dans ce secteur en Algérie", a-t-il déclaré.
A propos des emprunts obligataires, le PDG d'Air Algérie a précise que l'opération réalisée en 2004-2005, a permis de lever un montant de 41,6 milliards de DA et de financer l'achat de 14 avions dont 6 ATR, 5 Airbus A330 et 3 Boeing.
A ce jour, la compagnie a remboursé 11,90 milliards de DA en principal et 5,60 milliards en intérêts, a souligné le premier responsable d'Air Algérie qualifiant ce mode de financement de "très avantageux".
Par ailleurs, M. Bouabdallah a beaucoup insisté pour faire de l'aéroport international d'Alger, un HUB (plate-forme) qui facilite les procédures en matière de transport aérien. Exemple: un citoyen de Biskra se rendant à Paris, enregistre à Biskra même ses bagages et dans ce HUB il est considéré en zone internationale.
En outre, l'aéroport doit être relié directement au centre ville par voie ferrée, selon lui.
La compagnie, qui emploie 8.800 personnes, assure aujourd'hui 70 destinations alors que le nombre d'appareils a baissé de 40 à 30 au cours de ces dernières années, "c'est pourquoi, nous enregistrons des retards sur les vols, même si dans beaucoup de cas, les retards sont dus à des facteurs exogènes à la compagnie", a dit M. Bouabdallah.
Concernant l'ouverture de nouvelles lignes, le PDG d'Air Algérie a confirmé l'ouverture des lignes Alger-New York et Alger-Téhéran. Pour la première ligne, "une mission de responsables de l'aviation civile américains sera prochainement à Alger pour visiter nos installations et nous sommes confiants", a-t-il dit.
Par ailleurs, Air Algérie veut se redéployer en Afrique ou elle perd des marchés au profit d'autres compagnies régionales. Dans ce sens, "la compagnie nationale veut lancer la ligne Alger-Lagos et plus tard, assurer la continuité sur l'Afrique du Sud en "code share" avec une autre compagnie", a dit le PDG. A une question sur un premier bilan de la ligne Alger-Pékin lancée récemment, le premier responsable d'Air Algérie s'est dit satisfait de cette ligne à telle enseigne qu'il envisage d'ouvrir un second vol, pour porter la fréquence à deux vols par semaine sur la Chine. Dans le sens inverse, il fait part de la décision d'une compagnie chinoise de desservir Alger et s'attend à une concurrence sur cette ligne. A une question sur les sondes des Airbus d'Air Algérie, M. Bouabdallah a rassuré que "ce problème n'existe pas sur nos appareils, les sondes sont d'un modèle différent (de l'Airbus qui a fait un crash aux larges du Brésil) et à titre préventif ont fait l'objet d'une inspection récemment. Il n'y a aucun souci à se faire à ce sujet", a-t-il dit.
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El Moudjahid, publié le 18 Juin 2009
# Administrateur | 17/06/2009 | Transports
Après la baisse de salaire, le travail gratuit?
Il y a un mois, l’entreprise Hertz demandait un «effort de solidarité» à ses employés: accepter une baisse de salaire. Ce mardi, c’est British Airways, selon Reuters, qui demande à ses salariés de travailler gratuitement.
La compagnie aérienne, dont les chiffres rendus publics le mois dernier font état d’un record de pertes, y voit une solution pour garantir sa survie. La mesure ne concerne que les employés travaillant en Grande-Bretagne, et se fera sur la base du volontariat.
Concrètement, il s’agira de congé sans solde ou de journées de travail (une semaine à un mois) non rémunérées. Le directeur général, Willie Walsh, aurait d’ors et déjà promis de travailler gratuitement tout le mois de juillet.
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20minutes.fr, publié le 17.06.09 à 10h58
# Administrateur | 15/06/2009 | Transports
Le Bourget ouvre ses portes dans une ambiance morose
Le 48e Salon de l'aéronautique et de l'espace du Bourget ouvre lundi dans un climat plombé par la crise, synonyme de moindres commandes pour les avionneurs, et par le crash toujours inexpliqué de l'Airbus A330 qui met le constructeur sous pression.
Plus grand rendez-vous du secteur, ce salon "sera assombri par deux événements", l'accident du Rio-Paris et la crise, a ainsi jugé le président d'Airbus, Thomas Enders.
Le constructeur européen, tout comme son rival américain Boeing, devrait annoncer peu de commandes lors de ce salon professionnel, qui se tient tous les deux ans dans la banlieue de Paris et fête son centenaire.
L'Association internationale du transport aérien prévoit une baisse de 8% du nombre de passagers cette année, faisant perdre 9 milliards de dollars aux compagnies aériennes, un coup encore plus rude que celui porté par les attentats du 11 septembre.
Côté défense, Dassault a répété qu'il ne fallait pas s'attendre à un contrat à l'export pour le Rafale cette semaine.
L'accident de l'A330 d'Air France, qui a fait 228 morts le 1er juin, sera aussi dans tous les esprits. Une catastrophe toujours inexpliquée, bien que les sondes de vitesse défectueuses de l'avion aient été montrées du doigt.
Face aux multiples spéculations, Airbus a dû monter au créneau pour défendre la fiabilité de ses appareils.
De tels accidents sont habituellement la résultat de la "convergence de différentes causes", a souligné Louis Gallois, président exécutif d'EADS, maison-mère d'Airbus.
Boeing est même venu à la rescousse de son rival européen, qui pourrait subir la défiance du public, en soulignant que "l'A330 est un appareil fiable et éprouvé".
Malgré ce contexte difficile, des centaines de milliers de personnes devrait venir admirer les avions pendant les journées publiques, de vendredi à dimanche. La Patrouille de France sera en particulier très attendue pour son grand retour au Bourget après 36 ans d'absence.
Mais le grand événement aura peut-être lieu de l'autre côté de l'Atlantique, où Boeing s'apprête à faire voler pour la première fois son nouveau long-courrier, le 787 "Dreamliner", à une date non encore divulguée.
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Par L'Expansion.com - 15/06/2009 09:54:00
# Administrateur | 10/06/2009 | Transports
Un Airbus 340-300 atterrit d'urgence en Russie
Un Airbus 340-300 avec 155 passagers à son bord a fait mardi un atterrissage d'urgence à l'aéroport Cheremetievo de Moscou, a rapporté l'agence de presse russe Ria-Novosti.
Il s'agissait d'un avion de la compagnie chinoise Air China, qui effectuait un vol en provenance de Milan vers Pékin et transitant par la Russie. L'incident s'est produit à la suite d'une défaillance d'un des moteurs, selon une porte-parole de l'aéroport, citée par l'agence,."L'atterrissage, qui a eu lieu à 21H07 (17H07 GMT), s'est bien passé", a-t-elle indiqué, soulignant qu'aucun des passagers n'avait pas été blessé.
Selon la porte-parole, 85 passagers pourront se rendre à Pékin dès mardi soir dans un avion de la compagnie aérienne russe Aeroflot, les passagers restant ont été installés dans des hôtels de Moscou et doivent partir pour Pékin mercredi.
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Par AFP
El Moudjahid, Publié le 09 Juin 2009
# Administrateur | 08/06/2009 | Transports
AERONAUTIQUE
Transport aérien : 9 milliards de dollars de perte
L'Association internationale du transport aérien prévoit que l'industrie perde 9 milliards de dollars (6,4 milliards d'euros) en 2009.
L'association IATA, qui représente 230 compagnies, a donné ce chiffre qui est deux fois plus pessimiste que celui délivré en mars, 4,7 milliards.
Les revenus vont tomber de 15%, passant de 528 milliards de dollars en 2008 Ă 448 (320 miliards d'euros) en 2009.
La donne a changé avec le ralentissement économique, a estimé en substance le président de l'association Giovanni Bisignani, appelant l'industrie du transport aérien à revoir sa manière de faire des affaires.
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Par nouvelobs.com avec AP
nouvelobs.com, publié le 08.06.2009 | 09:50
# Administrateur | 02/06/2009 | Transports
Aigle Azur baisse ses prix
La compagnie aérienne, Aigle Azur, annonce une baisse des prix des billets d’avion pour le mois sacré du Ramadhan: à partir de 209 euros TTC aller/retour au départ de Mulhouse, Lille et Paris, de 199 euros aller/retour au départ de Lyon et Toulouse et de 189 euros TTC aller/retour au départ de Marseille. Cette offre est valable jusqu’au 5 juin 2009, au départ de toute la France à destination de l’Algérie, pour des voyages effectués du 5 août au 29 septembre 2009 (derniers retours possibles le 5 octobre). Ce programme a été annoncé, hier, par le Président-directeur général de la compagnie, Arezki Idjerouidène, invité au forum d’El Moudjahid. Il indique que cette baisse peut atteindre un taux de 60%. «Aigle Azur lance des tarifs attractifs pour le Ramadhan afin de favoriser le rapprochement des familles durant cette période propice à la convivialité», explique M. Idjerouidène. Aigle Azur en est ainsi à sa sixième promotion pour cette année. La compagnie a renforcé sensiblement son programme été. Auparavant, elle avait baissé ses tarifs durant la période allant du 22 avril au 22 juin 2009 vers toute l’Algérie à partir de 229 euros TTC aller/retour au départ de Lille, Lyon, Mulhouse, Paris et Toulouse et de 219 euros TTC aller/retour au départ de Marseille. S’ajoute à ce programme promotionnel le lancement de nouvelles destinations sur son réseau. En effet, Aigle Azur lance deux nouvelles lignes à destination d’Oran, au départ de Paris Charles de Gaulle et de Lille. La compagnie dessert Oran à compter du 30 mars en vols biclasses. Cette ligne intervient en complément des vols quotidiens déjà opérés au départ de Paris Orly Sud, facilitant ainsi les déplacements professionnels, soutient le patron d’Aigle Azur. Elle lance aussi la ligne Lille/ Oran du 24 juin au 5 août en monoclasse. Durant l’été 2007, la compagnie a assuré 1278 vols. Ce chiffre est passé à 3185 en 2009. S’agissant de sa flotte, la compagnie a réceptionné son premier Airbus en mai dernier alors que deux autres Airbus vont rejoindre sa flotte en octobre 2009 et mai 2010 pour un investissement de 4,5 millions d’euros. «Aigle Azur dispose d’une flotte homogène et moderne exclusivement composée d’appareils Airbus (A321, A320 et A319) biclasses», a précisé M.Idjerouidène. Il révèle aussi que sa compagnie a doté ses 11 appareils de défibrillateurs semi-automatiques pour garantir une sécurité optimale à ses passagers.
La part de marché d’Aigle Azur, toutes destinations confondues, départ de France vers l’Algérie, est de 43%. Le nombre de ses agences a dépassé les 200 en Algérie, 4200 en France et 1800 en Europe.
Sur un autre chapitre et interrogé sur la baisse des tarifs des billets décidée par le ministère de la Solidarité au profit des ressortissants algériens à faible revenu, M.Idjerouidène répond: «Je ne crois pas à une baisse ordonnée par l’Etat. Seule la concurrence et le marché pourraient la déterminer». Le patron d’Aigle Azur trouve «injuste» de favoriser une catégorie par rapport à une autre. «Signer une convention pour accorder des tarifs spéciaux à une certaine catégorie de voyageurs et pas à une autre, me semble injuste», a-t-il martelé. Le ministère de la Solidarité nationale et la compagnie nationale Air Algérie ont, rappelons-le, signé une convention portant réduction des prix des billets d’avion aux ressortissants algériens à faible revenu. Une enveloppe de 50 milliards de centimes a été consacrée à cet effet. Par ailleurs, s’exprimant sur le service off-line, l’invité du forum d’El Moudjahid dira que «dès la prochaine rentrée, nous annoncerons les compagnies avec lesquelles nous signerons les contrats et nous mettrons en place ce service». Concernant l’exploitation des lignes intérieures, M. Idjerouidène souligne que sa compagnie reste toujours intéressée mais respecte la décision du gouvernement qui, dit-il, semble ne pas vouloir pour l’instant ouvrir les lignes intérieures à la concurrence. S’agissant de l’ouverture du capital d’Aigle Azur, il pense que c’est trop tôt pour le moment d’aborder ce chapitre. «Nous sommes intéressés par une des filiales seulement mais les règles ne sont pas encore claires», explique-t-il. Enfin, interrogé sur la participation de la compagnie à la Omra, Idjerouidène répondra qu’elle est prête à mettre à la disposition des voyageurs ses avions. Mais, précisera-t-il, ce n’est pas facile car l’aviation civile n’est pas prête à les autoriser.
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Par NaĂŻma HAMIDACHE
L'Expression, publié le 02 Juin 2009
# Administrateur | 02/06/2009 | Transports
Transport aérien : Aigle Azur intéressée par des filiales d’Air Algérie
Son président-directeur général, Arezki Idjerouidène, s’est montré contrarié par cette initiative lors de la conférence de presse qu’il a animée hier au centre de presse d’El Moudjahid. « A mon sens, mettre en place une convention avec le ministère de la Solidarité pour accorder une aide à certains au détriment d’autres est assez tiré par les cheveux », juge-t-il, indiquant qu’Aigle Azur s’est retrouvée, en partie, obligée de baisser ses tarifs. Selon lui, L’Etat ne doit pas dicter les prix. « Seule la concurrence est en mesure de le faire », commente-t-il, en faisant savoir que les baisses des prix ont permis d’augmenter le taux de remplissage des avions d’Aigle Azur à hauteur de 85%. Des baisses qui visent, selon lui, à faire face à la concurrence et à satisfaire ses clients. L’orateur dit encore attendre avec impatience l’ouverture des lignes intérieures à l’exploitation des compagnies étrangères. « Nous restons intéressés. Mais nous respectons les décisions du gouvernement algérien de ne pas ouvrir le marché », affirmera-t-il, en indiquant que sa compagnie avait réalisé, en 2008, un chiffre d’affaires d’environ 300 millions d’euros dont plus de 40% sont réalisés sur le marché algérien. Interrogé sur ses intentions d’acquérir des filiales d’Air Algérie, le conférencier a affiché son désir de mettre un pied dans les capitaux de certaines filiales, notamment le cargo et la maintenance technique.
La fermeture du marché de transport maritime aux compagnies étrangères de droit algérien est « aberrante », estime M. Idjerouidène. « Le monde entier est ouvert. Où est l’intérêt de l’Algérie à ne pas encourager la création d’une compagnie étrangère de droit algérien ? », s’est-il interrogé, en estimant qu’avec l’ouverture du marché, l’Algérie engrangera plus de profits. « Il y a environ une trentaine de navires qui stationnent en rade. Le moins cher coûte jusqu’a 24 000 dollars la journée. Et c’est le citoyen qui paie », regrette-t-il. Par ailleurs, Aigle Azur, compagnie aérienne du groupe Gofast, a décidé, en perspective de la saison estivale, de renforcer ses dessertes entre l’Algérie et la France, à hauteur de 30% par rapport au programme d’hiver de cette année, révèle Méziane Idjerouidène, directeur général de la compagnie. Il s’agit, entre autres, du renforcement des lignes Paris-Oran (2 vols par semaine), Lille-Oran (1 vol par semaine), Annaba-Paris (4 vols par semaine). Aussi, cette compagnie lance des tarifs attractifs pour le mois du Ramadhan à partir de 209 euros TTC (aller/retour) au départ de Mulhouse, Lille et Paris, 199 euros TTC au départ de Lyon et Toulouse et 189 euros au départ de Marseille. Cette offre est valable à compter du 25 mai jusqu’au 5 juin pour des voyages effectués du 5 août au 29 septembre 2009. Le DG d’Aigle Azur, également fils du PDG, a indiqué que leur compagnie dispose de 43% des parts de marché sur 7 aéroports en France et 13 aéroports en Algérie. Selon lui, Aigle Azur, qui dispose de 10 avions, a renforcé sa flotte avec l’acquisition d’un nouvel airbus A 320 en mai dernier et va en réceptionner deux autres, respectivement en octobre prochain et juin 2010. Cette compagnie compte, selon M. Idjerouidène, plus de 6000 agences agréées dans le monde, dont 200 en Algérie.
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Par Hocine Lamriben
El Watan, publié le 02 Juin 2009
# Administrateur | 02/06/2009 | Transports
La compagnie détient 43% des parts du marché
La compagnie aérienne Aigle Azur annonce un renforcement de son réseau à l’occasion de la saison estivale. Estimé à 30%, comparativement à celui qui était en vigueur durant l’été 2008, le renforcement du trafic aérien de la compagnie s’articule sur l’ouverture de certaines lignes ainsi que sur la multiplication du nombre de vols de certaines lignes qui se distinguent par une forte demande des clients, particulièrement à l’occasion des vacances.
L’annonce a été faite hier au cours de la conférence de presse animée par le président-directeur général de l’entreprise, M. Arezki Idjerouidene, au forum du quotidien El Moudjahid qui fera savoir que la compagnie détient 43% du marché du transport aérien entre l’Algérie et la France.
A titre d’exemple, la ligne Alger-Paris sera renforcée alors que celle liant Marseille-Alger deviendra quotidienne au cours de cet été. Le premier responsable de la compagnie n’a pas manqué l’occasion d’évoquer certaines questions liées au transport aérien.
Tout en annonçant une baisse substantielle des prix au prochain mois de ramadhan, M. Idjerouidene a noté que les précédentes baisses ont permis d’augmenter le taux de remplissage de nos appareils à 85%. A propos de la question tarifaire, M. Idjerouidene a estimé que la comparaison entre le marché algérien et les autres marchés -notamment au Maroc et aux Etats-Unis- ne se justifie pas puisque «les marchés ne sont pas comparables». Le conférencier ajoute que «l’année 2009 sera celle de la transition. Elle connaîtra un bouleversement majeur». La raison pour M. Idjerouidene réside dans le changement du comportement du client. Selon l’invité d’El Moudjahid, 89% des ménages achètent leur billet sur le Net. Une telle évolution semble dicter aux responsables de la compagnie de faire appel aux nouvelles technologies. C’est ce qu’a reconnu par ailleurs le conférencier, qui cite quelques projets de cette même perspective. Au sujet de la baisse des tarifs pour les ressortissants algériens établis à l’étranger -une mesure annoncée en grande pompe par le ministre de la Solidarité nationale- le premier responsable de la compagnie aérienne a laissé comprendre, sans s’y opposer ouvertement, que la convention est inappropriée dans la mesure où elle exclut une catégorie au détriment des autres.
M. Idjerouidene retient néanmoins un point positif dans la mesure du département d’Ould Abbes. «La mesure nous a encouragés à baisser les prix», dira le conférencier. L’orateur insistera sur le fait que la modernisation de la flotte, la modernisation des services ne sont pas moins importants que la réduction des tarifs. Pour ce qui est de l’ouverture du capital de certaines filières de la compagnie Air Algérie, M. Idjerouidene dira qu’Aigle Azur est intéressé pour quelques filières, à l’image du cargo et de la maintenance technique. Il faudrait retenir qu’Aigle Azur vient d’acquérir un nouvel Airbus en mai dernier et va réceptionner deux autres pour respectivement octobre prochain et juin 2010.
Abordant la question du transport maritime, M. Idjerouidene a qualifié la «fermeture maritime» de mesure « aberrante ». L’Algérie a intérêt à créer une compagnie maritime de droit algérien.
Des défibrillateurs semi-automatiques pour des cas d’urgence
Pour garantir une sécurité optimale à ses passagers la compagnie vient de doter des appareils de défibrillateurs semi-automatiques. Cette nouvelle acquisition de sécurité permettra une réanimation cardio-respiratoire fiable. Elle est indispensable une fois
sur deux en cas d’accident cardiaque. Le défibrillateur externe agit en produisant un message cardiaque prompt à refaire circuler le sang dans le corps et le cerveau.
Le P-DG de la compagnie déclare que le recours à ce moyen d’intervention s’est imposé après qu’un décès eut été enregistré suite à une attaque cardiaque subie par un voyageur sur un vol d’Aigle Azur. A. Y.
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Par Amirouche Yazid
La Tribune, publié le 02 Juin 2009
# Administrateur | 28/05/2009 | Transports
La compagnie Air Algérie va lancer, du 4 juillet au 26 septembre, un vol hebdomadaire au départ d’Alger vers Strasbourg et retour. Les vols seront effectués sur un Boeing 737 de 108 sièges.
Cette nouvelle desserte répond aux besoins à la fois d’une clientèle d’origine algérienne, mais aussi d’hommes d’affaires alsaciens pour qui le marché maghrébin représente un fort potentiel de développement.
En cas de succès, la compagnie algérienne envisage de reconduire la liaison, durant l’été 2010, à raison de deux vols hebdomadaires.
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La Tribune, publié le 28 Mai 2009
# Administrateur | 28/05/2009 | Transports
A l'approche du ramadan, Aigle Azur, comme d’autres acteurs économiques dans les prochaines semaines, profite de l’occasion pour attirer de nouveaux clients. Beaucoup aiment en effet passer le mois de ramadan dans leur pays d’origine. Avec un premier prix à 189 euros aller-retour (au départ de Marseille), Aigle Azur frappe fort et devrait convaincre même ceux qui n’envisageaient pas de passer le mois de ramadan en Algérie. Seule condition : il faut acheter ses billets entre le 25 mai et le 5 juin 2009. L’offre est valable pour la période du 5 août au 29 septembre 2009.
# Administrateur | 27/05/2009 | Transports
Inauguration de la ligne Alger-Barcelone
La traversée inaugurale a eu lieu le week-end dernier à bord du Tassili II, un des trois navires composant la flotte en propriété de l’Entmv. Au bout d’une traversée de douze heures, le Tassili II a ainsi accosté le port de Barcelone dans la matinée de jeudi dernier. La délégation de l’Entmv, conduite par le président directeur général de l’entreprise, Ahcène Graïria, a été accueillie sur place par les autorités portuaires locales qui n’ont pas manqué de faire montre de l’intérêt attaché au développement du transport maritime entre l’Algérie et l’Espagne. En ce sens, nous a affirmé le directeur commercial du port de Barcelone, Juan Madrid Suberviola : « L’Espagne accorde un intérêt particulier à l’intensification de ses échanges avec l’Algérie, d’où l’importance que revêt le développement du réseau de transport maritime entre les deux pays. » Dans le même ordre d’idées, a-t-il ajouté, « l’ouverture de cette nouvelle ligne maritime de transport de voyageurs entre Alger et Barcelone boostera à coup sûr les échanges touristiques et culturels entre les deux pays ». Ouverte dans un premier temps jusqu’au mois de septembre prochain, notamment pour faire face à la forte demande coïncidant avec la saison estivale, cette nouvelle ligne devra être consolidée sur douze mois, escomptent aussi bien les autorités du port de Barcelone que les responsables de l’Entmv. Pour le court terme, nous a indiqué le directeur commercial de l’Entmv, Chérifi Iqbal, il est prévu au total 18 traversées via cette nouvelle ligne Alger-Barcelone, avec une capacité ciblée de quelque 20 000 passagers et une tarification établie à partir de 15 000 dinars au départ d’Alger.
S’agissant des raisons ayant suscité l’ouverture de cette nouvelle ligne maritime, les responsables de l’Entmv mettent en avant la nécessité d’alléger la pression sur les ports de Marseille et d’Alicante et de faciliter par la même la circulation des passagers vers et en provenance de ces régions d’Europe. La desserte vers Barcelone, nous a ainsi précisé M.Lamri, assistant du Pdg de l’Entmv, « permettra surtout de désengorger le trafic sur la ligne Alger- Marseille, qui constitue notre principale ligne ». Interrogé sur les raisons de la relative baisse enregistrée par l’Entmv en termes de nombre de traversées et de passagers durant l’exercice écoulé, M.Lamri nous a affirmé que ce constat découle en fait de la mise en place d’une politique de rationalisation de la gestion au sein de l’entreprise. Cette politique, a-t-il indiqué, « est axée sur l’espacement des traversées ainsi que sur la rationalisation des dépenses et de l’exploitation des navires ; l’objectif étant avant tout d’en optimiser la productivité en ciblant l’amélioration du taux de remplissage sur chaque traversée ». Ce faisant, bien que le nombre de traversées soit passé de 923 en 2007, avec un total de 484 696 passagers à 757 traversées pour 443 800 passagers en 2008, l’Entmv a réduit de quelque 12% le volume de ses charges durant la période considérée, selon M.Lamri. En parallèle, souligne notre interlocuteur, « l’entreprise a vu son chiffre d’affaires s’accroître de 10,89 % en 2008, tout en réalisant un résultat d’exploitation de l’ordre de 323 millions de dinars pour le même exercice ». Et de préciser en ce sens « qu’une mesure d’assainissement partielle, décidée par les pouvoirs publics fin 2008, a permis à l’Entmv de renflouer sa trésorerie et de renouer par la même avec les résultats positifs ».
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Par Akli Rezouali, envoyé spécial à Barcelone (Espagne).
El Watan, publié le 27 Mai 2009
# Administrateur | 26/05/2009 | Transports
Air Algérie souhaite desservir Shangai
« Outre la question d’un aménagement souhaité des horaires de la ligne directe Alger-Pékin, assurée par Air Algérie, le souhait de cette compagnie de desservir également Shangai a été exprimé » par le ministre, qui a reçu l’ambassadeur de Chine au siège de son département ministériel, selon la même source. La compagnie Air Algérie avait inauguré son vol sans escale entre Alger et Pékin en février 2009 et la traversée se fait en 10 heures et 30 minutes, rappelle-t-on.
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Par R. N.
El Watan, publié le 26 Mai 2009
# Administrateur | 24/05/2009 | Transports
Bientot un vol direct Alger-New York
C’est ce qu’à annoncé dimanche l’ambassadeur américain à Alger, David D. Pearce, au cours d’une conférence de presse. Il a précisé que les négociations entre les deux pays pour l’ouverture de cette ligne sont en bonne voie.
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El Watan, publié le 24 Mai 2009
# Administrateur | 22/05/2009 | Transports
Autorail Béjaïa-Alger : Les premières défaillances
Il ne reprendra son chemin qu’une heure plus tard avec à son bord près d’une soixantaine de passagers, dont 53 embarqués au départ de la gare de Béjaïa. Plus de 80 passages à niveau, gardés et non gardés, ponctuent la ligne du rail entre Béjaïa-Beni Mansour, selon une source de l’administration du transport ferroviaire. Chez les hommes et les femmes du rail, les points de croisement non gardés sont désignés sous l’appellation de « passages à niveau clandestins ». La SNTF n’a pas les moyens de les faire disparaître de sitôt. Encore moins de tous les faire garder. Son programme de modernisation projette d’en supprimer un « maximum » en construisant des murs des deux côtés du rail comme cela a été fait au niveau de quelques gares. Il est aussi question, et cela paraît plus compliqué, d’ouvrir des passages souterrains ou surélevés. Amar Tou, ministre des Transports, a annoncé dernièrement à Béjaïa que dans le programme national un financement est dégagé pour supprimer 92 passages à niveau. Ce qui ne fera lever qu’une partie des contraintes qui font obstacle à l’ambitieux programme de modernisation des chemins de fer et de la reconquête du public. La cherté du ticket peut en être une. Une place dans l’autorail Béjaïa-Alger est à 690 DA. La cherté de la prestation n’a pas permis à la gare de Béjaïa de réaliser un grand taux de fréquentation. Hier, 53 passagers seulement y ont embarqué.
Avant cela, on a pu avoir que 73 voyageurs. Un pic d’à peine 37%. Pour remédier à cela, la SNTF tente d’intéresser le public avec le lancement d’une remise de 200 DA pour un ticket en aller-retour. La SNTF a tracé entre autres objectifs celui d’arriver à faire le trajet Béjaïa-Alger en près de 3 heures 30mn. Mais en attendant que cela soit possible, la desserte y est annoncée pour presque quatre heures, soit 3h 55mn. On finira par la porter à quatre heures pile, à son lancement le dimanche 3 mai dernier, mais on n’en est pas à quelques minutes près. L’autorail de retour de la gare de l’Agha à 14h 10 est attendu à la gare de Béjaïa, son terminus, à 18h 10mn. Il y a quelques jours, il est entré en gare vers… 22h. Quatre heures de retard pleines. La raison ? Il a déraillé entre Alger et Thenia, nous apprend un cheminot. Et c’est la deuxième fois au moins que l’autorail Béjaïa-Alger fait un accident sur une ligne qui présente encore des points noirs et autres contraintes qui autorisent la question de savoir si l’on n’a pas mis la charrue avant les bœufs.
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Par K. Mejdoub, du bureau El Watan de BĂ©jaĂŻa
El Watan, publié le 22 Mai 2009
# Administrateur | 17/05/2009 | Transports
Le futur TGV sur le tracé du chemin touristique
Le facteur tourisme déterminera le tracé du futur TGV Algérien (Train à grande vitesse) a déclaré, vendredi à Jijel, le ministre des Transports, Amar Tou, en marge de l’inauguration de la liaison ferroviaire commerciale par automotrice Jijel/Constantine.
Le ministre a précisé qu’une «réflexion est engagée» en ce sens. Elle devrait déterminer le tracé que devra emprunter le TGV en Algérie, ou plutôt le LGV (Ligne à grande vitesse) appellation adoptée actuellement pour désigner ce mode de transport ferroviaire rapide tant attendu.
Ce projet s’inscrit, rappelle-t-on, dans le cadre du développement du rail dans le pays à l’horizon 2014. Aujourd’hui, le train n’assure que 35% des déplacements Alger-Oran, contre 60% pour la route et 5% pour l’avion. La future bataille du rail aura-t-elle commencé? Qu’en est-il pour celle du fret? Pour les remporter toutes les deux, la Sntf devra engager de vastes transformations.
L’installation de l’automotrice reliant Jijel à Constantine et la mise en service de 17 autorails dans différentes régions du pays offrent l’opportunité de se questionner sur le projet «TGV» qui doit être redimensionné, sachant qu’un kilomètre de voie «TGV» revient à un milliard/DA. Le citoyen algérien est convié, maladroitement, au vu des tarifs pratiqués jugés « élevés » (550 DA pour un aller-simple Jijel-Constantine), à renouer avec le rail, en hibernation depuis près d’une décennie pour « non rentabilité ».
Ces tarifs pourraient cependant être «revus à la baisse» pour être à la portée de tous. Mais le TGV sera-t-il pour autant économiquement rentable à court terme? La question mérite d’être posée sans les résultats de l’étude de rentabilité du projet.
Une rétrospective sur ce projet nous rappelle que l’Algérie est déterminée à s’impliquer dans le secteur ultra-stratégique de la «grande vitesse» ferroviaire.
Cette perspective est plus que prometteuse en Algérie qui veut faire partie du peloton de tête que sont l’Argentine, le Maroc et l’Arabie Saoudite, déjà engagés dans des projets similaires. En attendant l’engagement de pays comme l’Inde ou la Chine, à l’horizon 2020, les spécialistes pensent que les lignes à grande vitesse dans le monde, longues de 8000 km, vont doubler.
Chez nous, un ambitieux programme, évalué à 120 milliards/DA, prévoit 6 LGV à court terme. La première devra relier Bordj Bou-Arréridj à Khemis Miliana; (320 km). La seconde s’étirera sur 220 km, de Oued Tlélat à la frontière algéro-marocaine en desservant les villes de Tlemcen et Sidi Bel Abbès. La troisième reliera Oued Sly à Yellel sur 100 km. Trois autres lignes à voie unique sont prévues dans le sens Nord-Sud. Ce sont des pénétrantes devant relier la rocade des Hauts-Plateaux à celle du Nord et à désenclaver de vastes régions non desservies par le rail.
La première de ces lignes du Sud (160 km) reliera Touggourt à Hassi Messaoud. La seconde ira de Bou Medfaâ à Djelfa en passant par la ville nouvelle de Boughezoul et par Aïn Oussera, s’étirant sur 260 km. La troisième (180 km) remplacera l’ancienne ligne à voie étroite entre Relizane, sur la rocade nord, et Tiaret, sur celle des Hauts-Plateaux, tout en desservant, pour la première fois, Tissemsilt.
Sur l’ensemble du programme LGV, soit 1 220 km, trois lignes ont déjà fait l’objet d’appels d’offres relatifs à la conception et à la réalisation. Il s’agit des lignes BBA-Khemis Miliana, Bou Medfaâ-Djelfa et Touggourt-Hassi Messaoud. Six groupes étrangers ont manifesté leur intérêt. Le français Vinci et Bouygues, l’italien Astaldi et Pizzarotti, l’espagnol OHL et enfin la société américaine Bechtel.
Dans ses efforts de modernisation, la Sntf a déjà acheté 17 autorails chez le constructeur espagnol CAF pour 102 millions d’euros. En outre, l’Algérie a reçu en juillet dernier le premier lot d’une commande de 30 locomotives construites au Canada et d’un montant global de 82 millions de dollars.
Un partenaire étranger devra signer un contrat de gestion et d’exploitation pour une durée de cinq ans et demi.
Il travaillera avec la Société de transport ferroviaire de la banlieue d’Alger (Sntfba), filiale de la Sntf, récemment créée pour les besoins des transports urbains et suburbains de voyageurs dans la banlieue algéroise.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 17 Mai 2009
# Administrateur | 16/05/2009 | Transports
La ligne TĂ©bessa-Constantine fonctionnelle
Le premier autorail assurant la ligne Tébessa-Constantine a été mis en exploitation ce week-end en présence du ministre des Transports, Amar Tou.
Il s’agit d’une navette quotidienne en aller- retour, entre les deux villes distantes de 290 km.
Ce transport rapide, confortable et sûr dessert également Aïn Beïda, Oum El Bouaghi, Aïn M’lila et El Khroub. Cette nouvelle ligne a nécessité la réalisation de 165 km de voie ferrée entre Aïn M’lila et Tébessa, d’un coût de 18 milliards de DA. Elle vient en appoint de la desserte Tébessa-Annaba par train diesel reliant depuis fin mars dernier et après plusieurs années d’interruption, l’antique Hippone via Souk Ahras et Guelma.
Les perspectives de développement des transports terrestre et ferroviaire, voire maritime, en Algérie, d’ici 2015 ont été développées par Amar Tou à cette occasion. Selon lui, le réseau ferroviaire national qui sera, à terme totalement électrifié, a bénéficié depuis 2000, d’importantes extensions qui seront suivies par d’autres avant la fin 2015, par la reprise des anciens projets inscrits au début des années 80 et la remise en exploitation d’anciennes lignes. De nouvelles extensions sont prévues entre les wilayas des Hauts-Plateaux et du Sud-Ouest, pour relier Tindouf (au nord) par Béchar, a ajouté le ministre, soulignant que cette ligne aura aussi pour objectif le transport de minerai de fer des gisements du Sud. Une voie ferrée est également envisagée entre Ghardaïa et Tamanrasset, via In Salah. Ces projets, qui vont désenclaver les populations isolées du Sud et servir l’économie de ces régions, vont de pair avec le futur projet de doublement de la ligne ferroviaire Transmaghrébine et l’extension de voies ferrées vers des pays africains, évoqués par le ministre.
Le réseau ferré est passé en Algérie de 1373 km en 1881 à 4724 km en 1932. Son histoire a commencé un certain 8 avril 1857, avec la construction de 1357 km de voies ferrées. Le premier chantier démarre alors le 12 décembre 1859. Il porte sur la construction de la ligne Alger-Blida ouverte au service des voyageurs le 8 septembre 1862.
Quelques décennies plus tard, 2035 km de lignes de chemin de fer vont s’ajouter au réseau, constituant l’armature du futur filet ferroviaire algérien. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le réseau s’étendait sur 5015 km. Le 30 juin 1959 est créée la Compagnie des chemins de fer français en Algérie (Ccfa) qui devient en 1963 la Sncfa (Société nationale des chemins de fer algériens) aujourd’hui Sntf (Société nationale des transports ferroviaires). En 1995, le parc roulant de la Sntf se composait de 24 locomotives électriques, 154 locomotives diesel 59 locomotives de manoeuvres et de 674 voitures. La longueur des lignes exploitées s’étendait sur 3 572 km, dont presque la totalité est non électrifiée (3289 km) contre seulement 283 km électrifiées.
Le large programme d’investissement lancé à partir de 1980 se caractérise par la modernisation et l’accroissement de la capacité des lignes, les grands aménagements régionaux et l’extension géographique du réseau. Il a permis, notamment la réalisation des lignes nouvelles Jijel-Ramdane-Djamel (Skikda) sur 140 km, les dessertes des cimenteries de Beni Saf (23 km), de Saïda (23 km) et Aïn-Touta (15 km). On peut y ajouter le renouvellement complet d’une grande partie des voies (1 400 km), le doublement de voies sur divers tronçons de la rocade nord (200 km), l’aménagement, la modernisation et la reconstruction de l’ensemble des gares dont celles des régions de Annaba et d’Alger. Il est ainsi prévu que le réseau national des chemins de fer atteindra, d’ici à 2014? 10.000 km, dans la phase terminale de la modernisation du réseau ferroviaire algérien.
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Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 16 Mai 2009
# Administrateur | 15/05/2009 | Transports
Aigle Azur entretient la jeunesse de sa flotte. La compagnie française a mis en service un nouvel A320 le 14 mai lors d’un vol Paris (Orly) – Alger.
L’appareil est fraîchement sorti des usines de l’avionneur à Toulouse, doté d’une configuration biclasse pouvant accueillir jusqu’à vingt-quatre passagers en classe affaires. Il est immatriculé F-HBII.
Un second appareil devrait intégrer la flotte d’Aigle Azur à la rentrée. Tous deux remplaceront deux A320 qui ont été retirés du service en février et en mars.
Aigle Azur exploite aujourd’hui une flotte composée de dix monocouloirs d’Airbus : trois A319, trois A320 et quatre A321. La compagnie française réalise trois cents vols réguliers par semaine, principalement vers des destinations d’Afrique du Nord. L’Algérie est son marché le plus important mais elle se rend aussi au Maroc, en Tunisie, au Mali et au Portugal à partir des principales villes de France.
[ source ]
La Tribune, publié le 14 Mai 2009
# Administrateur | 07/05/2009 | Transports
80 DA pour Alger-Thénia et 100 DA pour Alger-El Affroun
Suite au tollé soulevé ces derniers jours au sujet des tarifs de transport de voyageurs sur les autorails et les trains de la banlieue d’Alger, la SNTF a organisé hier une conférence de presse. « La mise en exploitation des trains a automotrice électrique génère des charges colossales dont l’équilibre oblige à rehausser les prix », a expliqué M. Tawfik Rahmouni, directeur de la clientèle. Ces tarifs d’équilibre sont de l’ordre de 180 DA pour la ligne Alger–Thénia et de 230 DA pour celle d’Alger-El Affroun. Les prix étudiés et proposés, sans marge (prise en considération de la durée du matériel…), sont de 130 DA pour la première ligne et de 165 DA pour la seconde. Rappelons que ces lignes ont été citées en exemple, car elles sont les plus usitées. « Nous espérons que les pouvoirs publics prendront en charge la différence », poursuit-il.
Pour les lignes Alger-Thénia et Alger-El Affroun, utilisées par les citoyens au pouvoir d’achat limité de la banlieue d’Alger, la SNTF fait un effort supplémentaire puisque ce « service de transport de masse vise des clients réguliers et quotidiens, lesquels seront considérés comme des abonnés de fait », poursuit M. Rahmouni. Dans ce cas, le voyageur, devra s’acquitter de 80 DA pour un ticket Alger-Thénia, et de 100 DA pour Alger-El Affroun, alors que sur les tarifs précédents (avant les autorails) étaient respectivement de 75 DA et 60 DA. Pour le directeur de la clientèle, les citoyens n’ont pas véritablement saisi les nouveaux tarifs. Interrogé sur le temps nécessaire, avec ses nouveaux tarifs, pour amortir le coût des investissements dans le chemin de fer ces dernières années, M. Rahmouni se limitera à la réponse suivante : « Pour amortir, il faut appliquer les prix de 180 et 230 DA. C’est pour cela qu’on attend beaucoup des pouvoirs publics.»
S’agissant des abonnements mensuels, il a expliqué que pour la ligne Alger-Thénia le montant est de 3 787 DA et Alger–El Affroun de 4 875 DA. Par ailleurs, il informe que, dans le plan d’action établi par l’entreprise, il est prévu de sensibiliser les employés de l’entreprise à la communication et au marketing afin de pouvoir informer les voyageurs sur les différentes offres de l’entreprise. « Les voyageurs ne sont pas très au fait des avantages offerts. Ils ne savent pas qu’en s’abonnant ils peuvent bénéficier de plusieurs mois de transports gratuits », ajoute-t-il. M. Rahmouni révèle également que l’entreprise s’est préoccupée du confort des voyageurs avant même de penser aux retards.Notons que le transport ferroviaire a été emprunté en 2008 par plus de 21 millions de voyageurs au niveau national et 18 millions sur la banlieue d’Alger, qui compte 55 000 voyageurs par jour. Sur les 64 automotrices commandées, 22 ont été reçues et 12 déjà en exploitation. « On reçoit une moyenne de 2 locomotives par mois », explique M. Rahmouni. Au sujet du transport de fret, il a affirmé que l’entreprise est « en négociation périodique avec ses principaux partenaires pour développer ce secteur. Une filiale pour développer ce créneau est créée, il s’agit de Railing Algérie », poursuit-il.
[ source ]
Par Samir Azzoug
La Tribune, publié le 07 Mai 2009
# Administrateur | 07/05/2009 | Transports
Air Algérie annonce des réductions de prix
Ces réductions, qui seront appliquées « exceptionnellement » sur le réseau France de la compagnie nationale dans le sens France-Algérie, sont de 48% pour les familles, de 45% pour les seniors et de 40% pour les jeunes, indique un communiqué d’Air Algérie. La compagnie précise que pour pouvoir bénéficier de ces réductions, les billets devraient être achetés avant le 15 juin 2009. Le communiqué annonce par ailleurs une augmentation à 30 kg de la franchise bagages sur tous ses vols internationaux.
[ source ]
Par APS
El Watan, publié le 07 Mai 2009
# Administrateur | 06/05/2009 | Transports
L’autorail de Béjaïa démarre mal
Pour son baptême du feu, seules onze personnes étaient du voyage et quarante au deuxième jour de sa mise en circulation.
Le pari de la Sntf de reconquérir les voyageurs qui ont déserté les gares depuis une décennie au profit des autobus et autres taxis collectifs s’annonce d’ores et déjà difficile. En effet, aucune étude managériale n’a été élaborée, notamment en matière d’adaptation des prix au pouvoir d’achat des larges couches sociales d’une part et des horaires saisonniers de départs et d’arrivées d’autre part. La mise en service samedi dernier de la ligne autorail Béjaïa-Alger se fait timidement et en deçà des attentes et de l’engouement attendus à l’ère du développement des Ntic (nouvelles techniques d’informations et de communication) et du management-marketing. Suspendue depuis cinq ans, la ligne d’autorail reliant Bejaïa à Alger a été inaugurée officiellement le 2 mai 2009 et opérationnelle le lendemain matin à partir de la gare de Béjaïa. Après des essais concluants et satisfaisants, dont l’ultime essai technique remonte au 7 avril dernier, et des mises en circulations programmées puis repoussées ultérieurement pour des raisons purement techniques, l’autorail tant attendu par les citoyens de Béjaïa est bel et bien fonctionnel et opérationnel depuis le dimanche 3 mai après son inauguration officielle, la veille, par le Président Bouteflika. Les Béjaouis peuvent désormais se rendre à Alger en 4 heures de temps grâce à l’autorail. Ce qui leur permettrait d’éviter les fréquents bouchons routiers. D’une capacité de 200 places assises et de quelque 160 places debout, l’autorail pourrait même jumeler avec un autre autorail pour doubler sa capacité. Pour son baptême du feu, seules onze personnes étaient du voyage et quarante au deuxième jour de sa mise en circulation. Néanmoins, au troisième jour, ils n’étaient que 26 personnes à bord pour le voyage de 6h25, soit 14 voyageurs de moins. Les raisons sont d’ordre pécuniaire et technique.
«Je pense que le prix arrêté à 690 DA pour Béjaïa-Alger est un peu excessif compte tenu du pouvoir d’achat des larges couches des citoyens, tandis que les horaires fixées n’arrangent personne. Partir pour Alger et arriver à 10h20 pour revenir à 15h15, ne laisse pas de temps pour régler ses affaires», soulignent plusieurs voyageurs rencontrés dans la salle d’attente de la gare de Béjaïa. «On aurait aimé que l’horaire de départ soit avancé et celui du retour reculé», souligne un autre citoyen venu s’informer sur le fameux autorail. Il n’en demeure pas moins que même si l’engouement est timide les premiers jours, avec ses atouts de modernité, confort, vitesse, sécurité et climatisation, l’autorail Béjaïa-Alger peut conquérir ses voyageurs à condition d’être au diapason de la réalité pour ne pas retomber dans le subterfuge de rentabilité qui a fait perdre d’autres dessertes pour la wilaya vers la capitale. D’autant qu’il est prévu des tarifs spéciaux en matière d’abonnement (35%) de réduction, billet aller-retour(15%), carte de famille nombreuse(30%), carte jeune (20%), carte 3e âge (20%) carte demi-tarif (50%) et autres voyages groupés (30%) selon la qualité et le nombre. Mais le chemin est encore loin au plus vieux moyen de transport motorisé pour reprendre la place qui est la sienne, à l’instar des pays développés.
[ source ]
Par Boualem CHOUALI
L'Expression, publié le 06 Mai 2009
# Administrateur | 02/05/2009 | Transports
Mise en service de deux lignes ferroviaires électriques et deux lignes d’autorail
Les deux lignes de rames automotrices électriques, dont l’exploitation est entrée ne vigueur le jour même, relient Alger/Thenia et Alger/El-Affroun. Ce projet d’un coût global de 14 milliards de dinars, conclu avec le constructeur suisse Stadler Bussnang AG, entre dans le cadre du programme de soutien à la relance économique dans son chapitre lié à la modernisation de la voie ferrée.
Avec l’acquisition de ces trains, la Société nationale du transport ferroviaire (SNTF) aura la possibilité d’avoir des "fréquences plus importantes", a expliqué M. Dahmane Badaoui, directeur de projet électrification de la banlieue algéroise relevant de l’agence nationale d’études et de suivi des investissements ferroviaires. S’agissant de l’impact de ces nouvelles rames sur le transport des voyageurs, le même responsable a cité notamment le confort et la vitesse, dans la mesure où, a-t-il indiqué, "il y aura un train toutes les 7 minutes".
Il a ajouté que d’autres liaisons similaires sont en projet, comme celles reliant Bab-Ezzouar et l’aéroport Houari-Boumediene, Zeralda-Birtouta en passant par la nouvelle ville de Sidi Abdellah, Thenia/Tizi-Ouzou et Thenia/Bordj Bou-Arréridj, ainsi qu’un projet portant sur l’électrification de la rocade nord d’Alger en 25 KV. Le marché conclu avec le constructeur suisse porte également sur la fourniture d’un simulateur de conduite, d’un lot d’équipements et d’outillage spécial, l’assistance technique pour l’exploitation et la maintenance des rames automotrices durant les trois premières années, ainsi que sur la formation du personnel de la SNTF.
Pour ce qui est des deux lignes d’autorail diesel hydraulique, elles relient Alger à Béjaïa et Alger à Sétif sur des distances respectives de 256 et 300 km. Elles ont été acquises par la SNTF dans le cadre d’un marché conclu avec le constructeur espagnol (Construccionès Y Auxiliar De Ferrocarrilès SA), portant sur la fourniture de 17 autorails, d’un outillage spécial et de l’assistance technique pour le suivi et l’entretien des autorails. D’un coût global de plus de 9 milliards de dinars, ce projet permet à la SNTF de poursuivre, de manière progressive, la modernisation des lignes long trajet.
[ source ]
Par APS
El Watan, publié le 02 Mai 2009
# Administrateur | 01/05/2009 | Transports
En attendant l’été, ça solde chez les transporteurs aériens
• Vers la France. Air Algérie propose une offre spéciale à 22 810 DA TTC sur toute la France. Pour cela, vous devez acheter votre billet avant le 15 mai et voyager pour l’aller entre le 18 mai et le 18 juin, et pour le retour, entre le 21 mai et le 21 juin. Si vous partez sur Paris, Air France propose le billet à 26 000 DA TTC et Aigle Azur, aux environs de 26 000 DA (16 000 DA HT) pour la classe économique. Si vous partez sur Marseille, Air France la propose à 22 048 DA TTC et Aigle Azur à 26 000 DA TTC environ.
• Vers les capitales européennes. Air Algérie et British Airways proposent le billet vers Londres à 25 000 DA TTC. Air Algérie propose l’aller-retour vers Frankfurt pour 35 553 DA TTC contre quant 42 000 DA environ chez Lufthansa.
• Les long-courriers. Alors qu’Air France maintient son plein tarif à 85 266 DA TTC sur New York, British Airways le vend à 35 000 DA TTC. La nouvelle ligne Alger-Pékin est en promotion à 65 000 DA l’aller-retour chez Air Algérie. Une offre intéressante si on la compare aux 107 000 DA généralement pratiqués par les autres compagnies :
• Air France, Lufthansa, British Airways, Alitalia et Qatar Airways. Air Algérie a par ailleurs baissé ses prix vers Dubaï : le billet est à 56 564 DA avec escale. Vous le trouverez moins cher chez Turkish Airlines, Egypt Air, à environ 54 000 DA TTC. Loin devant Qatar Airways qui le vend à 97 000 DA.
[ source ]
Par Ahmed Tazir , Zouheir AĂŻt Mouhoub
El Watan, publié le 1er Mai 2009
# Administrateur | 30/04/2009 | Transports
Alstom présente l’étude préliminaire
Les Français semblent particulièrement intéressés par le développement du rail algérien. C’est à ce titre justement, que la société Alstom a présenté, lundi au ministre des Transports, Amar Tou, une étude relative au projet de réalisation d’une unité de montage de tramways en Algérie. Selon cette étude préliminaire, l’assemblage de tramways «Citadis» en Algérie pourrait s’effectuer en deux phases. La première consiste à réceptionner des voitures prémontées alors que la seconde concernera la réception des sous-ensembles mécaniques des cabines et kits de composants.
A la faveur de la deuxième phase sera assurée l’intégration des PME/PMI nationales qui prendront en charge la fabrication de certains éléments du tramway, précise un communiqué du ministère des Transports. De même, les unités de maintenance de la Sntf qui ont été visitées par les représentants d’Alstom pourront contribuer à cette intégration, ajoute la même source. Il a été convenu que les deux phases auront lieu sur un même site, une fois que celui-ci aura été choisi par les autorités algériennes. Pour ce qui est de l’hypothèse de travail sur le montage juridique du joint-venture à créer, la question pourra être étudiée ultérieurement par les deux parties qui conviendront d’un commun accord des mécanismes d’actionnariat et de managemente, a-t-on fait savoir.
Le choix des partenaires, le mode constitutif et opérateur du joint-venture, la signature du pacte d’actionnaires et la finalisation de la création de la société sont des étapes qui devraient être franchies avant la fin de cette année, informe encore le communiqué. Il est à noter que M.Amar Tou s’est déjà exprimé sur ce projet en mars dernier. Il avait indiqué qu’à la faveur de la dernière visite en Algérie du président français Nicolas Sarkozy, il a été décidé de procéder, à long terme, au montage en Algérie des rames de tramway: «C’est un volet extrêmement important du partenariat algéro-français», selon le ministre. Dans sa stratégie de développement du secteur des transports, «l’Algérie vise surtout à bâtir une industrie autour des grands projets ferroviaires avec le transfert de la technologie pour pouvoir produire plus tard des rames, et Alstom peut s’inscrire dans cette perspective», avait ajouté le premier responsable du secteur.
Le groupement Alstom, faut-il le souligner, est chargé de la réalisation de la première ligne du projet du tramway d’Alger, dont la mise en service est programmée pour 2010. La première rame du projet a été livrée le 18 mars par Alstom à l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) en présence du ministre Amar Tou.
Construite en France, cette rame qui est longue de 43 mètres se compose de trois voitures avec une capacité globale de 400 passagers. La capacité de transport est de 6000 voyageurs/heure avec une vitesse commerciale de 21 km/heure et une fréquence de 4 minutes en heure de pointe et de 8 minutes en heure creuse. L’arrivée de la nouvelle ram.e ouvre la livraison des 41 autres rames commandées par l’EMA, qui se poursuit à raison de trois rames par mois durant les années 2009 et 2010.
[ source ]
Par NaĂŻma HAMIDACHE
photo Alstom Transports
L'Expression, publié le 29 Avril 2009
# Administrateur | 19/04/2009 | Transports
Ouverture de la ligne Oran-Istanbul cet été
Il est prévu, d’ici le début de l’été 2009, la mise en service d’une nouvelle ligne aérienne reliant la capitale de l’Ouest à l’Europe de l’Est, apprend-on de sources responsables au niveau de la direction régionale Ouest d’Air Algérie.
Il s’agit, en effet, de la ligne Oran-Istanbul, pour laquelle des pourparlers sont en cours entre la compagnie algérienne de transport aérien et son homologue turque, en vue de programmer un voyage par semaine, à partir du mois de juin prochain, et ce, dans un objectif de satisfaction des besoins d’une importante clientèle d’Air Algérie et d’amélioration de ses prestations de services, notamment durant la période estivale, sachant que cette desserte a été suspendue pendant plusieurs années pour des raisons qui n’ont pas été révélées. L’on notera, à ce propos, que l’ouverture de cette ligne viendra renforcer le transit des voyageurs par voie aérienne vers les villes européennes à l’instar de Paris, Marseille, Barcelone … Par ailleurs, dans le cadre du plan de renforcement du transport aérien au niveau local, l’on saura, de mêmes sources d’information, que la ligne Oran-Tiaret sera inaugurée dans les prochains jours, à raison d’un voyage par semaine qui ne durera pas plus de 50 minutes.
Rappelons toutefois que la compagnie aérienne gère actuellement les dessertes Oran-Béjaïa, Oran-Ghardaïa qui ont été récemment mises en service à la demande des habitants des régions Est et Sud du pays, en plus des lignes Oran-Alger, Oran-Annaba et autres qui permettent un gain important en temps pour les grands clients d’Air Algérie.
[ source ]
Par A. Yacine
El Watan, publié le 19 Avril 2009
# Administrateur | 17/04/2009 | Transports
Le gouvernement algérien a décidé d'ouvrir le capital d'Air Algérie en filialisant les branches catering, maintenance et cargo. Le processus devrait être bouclé d'ici la fin du premier semestre 2010.
"La filialisation d’Air Algérie intéresse plusieurs compagnies étrangères. Dans le catering, les gens se bousculent, alors que pour l’activité fret et cargo, nous sommes encore à la recherche d’un partenaire stratégique", a déclaré récemment, sur une chaîne de télévision algérienne, le Pdg de la compagnie Abdelwahid Bouabdellah.
Il a par ailleurs précisé que des négociations sont en cours avec de grandes compagnies étrangères comme Lufthansa ou Iberia.
[ source ]
La Tribune, publié le 17 Avril 2009
# Administrateur | 16/04/2009 | Transports
› La compagnie scandinave propose une offre spéciale vers certaines de ses destinations longcourriers.
Les billets peuvent être achetés entre le 17 avril et le 17 mai 2009, pour des voyages en classe économique qui doivent s’effectuer avant le 19 juin 2009 pour les destinations américaines, avant le 20 juin pour Tokyo et avant le 30 juillet pour Pékin.
- Paris - New-York : 469 € TTC A/R*
- Paris - Washington : 469 € TTC A/R*
- Paris - Seattle : 469 € TTC A/R*
- Paris - Chicago : 469 € TTC A/R*
- Paris - Pékin : 561 € TTC A/R*
- Paris - Tokyo : 620 € TTC A/R*
[ source ]
www.flysas.fr, 16 avril 2009 (11h09)
Le Quotidien du Tourisme, publié le 16 avril 2009
# Administrateur | 14/04/2009 | Transports
Une promotion spéciale pour les émigrés
Le programme de la saison estivale qu’établit chaque année Air Algérie sera difficile à élaborer cette année. «Nous ne savons pas comment vont se comporter les voyageurs algériens cet été sachant que le mois de Ramadhan aura lieu cette année au mois d’août. Mais bon, il nous faudra gérer...», a déclaré Wahid Bouabdallah P-DG d’Air Algérie hier sur les ondes de la Chaîne III. Ce qui revient à dire qu’il devra faire appel au flair et au sixième sens pour le programme 2009. Ceci est d’ailleurs valable pour toutes les autres sociétés de transports aérien, maritime et terrestre. On peut toutefois s’avancer à dire que les arrivées dans les ports et aéroports d’Algérie ainsi que les départs lors des prochaines vacances seront des plus imprévisibles.
La raison? Les réductions de tarifs en direction des Algériens résidant à l’étranger favoriseront sans nul doute beaucoup de bénéficiaires à venir passer ce mois sacré au pays. D’autant que la mesure a été également adoptée par Aigle Azur et l’Enmtv pour le maritime. Toutefois, et M.Bouabdallah a bien fait de le préciser au cours de l’émission, cette réduction des tarifs ne s’appliquera qu’à certaines catégories de voyageurs. Il a cité les formules de voyage en «famille», les «personnes au revenu mensuel égal ou inférieur à 1200 euros, ainsi que les personnes âgées». Quoi qu’il en soit, la procédure d’identification des bénéficiaires devra s’effectuer auprès des consulats. Ce qui ne permet pas pour l’instant de prévoir le nombre de personnes qui ont droit à cette réduction et partant, ne facilite pas le travail d’élaboration du programme de la saison estivale. Sacré casse-tête pour les dirigeants des compagnies de transport concernées.
L’autre sujet abordé par le P-DG de la compagnie nationale et qui a un lien direct avec les prévisions de la saison estivale est lié aux retards des avions qui continuent de malmener l’image de marque d’Air Algérie. Des retards qui, en période de pointe, imposent le recours à l’affrètement, c’est-à -dire la location d’avions sur le marché international. Celui-ci doit être prévu des mois à l’avance avec versement d’avances (des arrhes). Or, et à toutes les données manquantes que nous avons énoncées plus haut, il est hasardeux pour Air Algérie de se lancer dès maintenant dans des contrats d’affrètement. Autre obstacle énoncé par M.Bouabdallah: «La réglementation actuelle ne nous permet pas de verser des avances en devises. Nous avons demandé aux pouvoirs publics de résoudre ce problème.»
Au-delà de cette équation à multiples inconnues que doit, malgré tout, «gérer» (c’est lui qui le dit) le premier responsable d’Air Algérie, il faut savoir que la mesure de réduction des tarifs au profit de nos émigrés ne concerne que nos ressortissants «en France et en Espagne», ceci d’une part. D’autre part, cette mesure contient deux volets: l’un du ressort d’Air Algérie et l’autre du ministère de la Solidarité nationale.
Pour Air Algérie, comme l’a expliqué son premier responsable, il n’y a aucune compensation du différentiel à attendre du Trésor public. C’est purement du marketing comme pour toutes les promotions que peuvent décider toutes les compagnies aériennes du monde. Le ministère de la Solidarité nationale intervient à l’atterrissage sur le sol algérien de nos compatriotes ayant bénéficié de la mesure. Pour une meilleure compréhension, prenons l’exemple des voyageurs entrant dans le cadre de la mesure et qui atterrissent à Alger alors qu’ils doivent se rendre à Tamanrasset.
Les nuitées à l’hôtel éventuellement et le transport jusqu’à leur destination finale sont pris en charge par les services du ministère de la Solidarité nationale. Ce qui suppose l’installation d’antennes de ces services dans les ports et aéroports du pays. Vaste programme. Et ce sont ces dépenses qui seront prises en charge par le Trésor public puisées dans le budget alloué à cet effet au ministère de la Solidarité nationale. Pour être complet, signalons à nos compatriotes qui bénéficieront de cette mesure et qui choisiront le bateau, que le billet de transport de leurs véhicules à bord en est exclu.
Comme on peut le voir, cette mesure d’aide en direction de nos émigrés mobilisera beaucoup de moyens. D’abord, nos services consulaires qui devront traiter les dossiers des demandeurs. Ensuite, Air Algérie qui est «condamnée» à coller au rythme que prendra le trafic malgré l’absence de beaucoup de données comme on l’a vu plus haut et enfin le ministère de la Solidarité qui devra être présent à tous les points d’arrivées et de départs, faire preuve d’efficacité malgré la nouveauté de la tâche pour lui. Dans le cas contraire, c’est l’inévitable retour de manivelle.
A la moindre défaillance c’est toute la mesure qui en prendra un coup. D’une généreuse mesure de solidarité à haute portée, elle se transformerait en opération négative au compte de l’Etat dans son ensemble. Les responsables chargés de cette opération le savent. Beau défi!
[ source ]
Par Zouhir MEBARKI
L'Expression, publié le 14 Avril 2009
# Administrateur | 08/04/2009 | Transports
Le métro d’Alger coûtera 139 milliards de dinars
D’un coût de 9000 milliards de centimes, la première ligne du métro d’Alger sera mise en service l’été prochain, a annoncé hier le ministre des Transports, M.Amar Tou. Cette ligne devra relier Haï El Badr à la Grande Poste. S’exprimant sur les ondes de la Radio nationale au lendemain des premiers essais dynamiques de la rame du métro, le ministre a précisé que cette somme n’inclut pas les travaux d’extension vers El Harrach et la place des Martyrs qui devraient porter à 139 milliards de dinars, le coût total du projet.
Le financement de ces travaux d’extension se fera à la faveur du prochain plan quinquennal pour la période 2009-2014, a-t-il affirmé.
Toutes les conditions matérielles et humaines nécessaires seront réunies au niveau des ateliers de Bachdjarah, pour assurer la maintenance du projet, a indiqué Tou. « Nous comptons, en outre, engager les services d’une entreprise étrangère de gestion du métro comme la RTP française pour une certaine période », a encore précisé le ministre.
A propos d’éventuels projets de métro dans d’autres grandes villes du pays, il a indiqué que toutes les possibilités sont actuellement étudiées par le ministère, mais qu’aucune décision n’a été prise concernant une extension aux autres villes bien que « l’accord du gouvernement ait été acquis pour engager des études de faisabilité ».
Il a également annoncé le lancement immédiat de travaux de jonction de la station des Fusillés à la future ligne du tramway qui prendra son départ de la même station multimodale pour desservir toute la partie est de la capitale jusqu’à Dergana.
D’une longueur initiale de 9,5 km, le métro d’Alger desservira, sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Maqaria, Hussein Dey, Sidi M’hamed et Alger-Centre.
La demande prévisionnelle moyenne de transport par métro est estimée, en heure de pointe, à 21.000 passagers/heure dans le sens place des Martyrs -Haï El Badr, avant d’atteindre par la suite le nombre de 40.000.
Le trafic devrait atteindre, à terme, les 150 millions de voyageurs/an, selon l’Entreprise du métro d’Alger (EMA).
Pour rappel, la réalisation de ce projet avait été décidée dans les débuts des années 80 mais sa mise en oeuvre avait été mise à l’arrêt faute de ressources financières. Elle a été relancée à la faveur des programmes d’investissement public engagés par l’Etat dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique 2000-2005 et du Plan complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 08 Avril 2009
# Administrateur | 08/04/2009 | Transports
Transport : RĂ©duction des prix des billets
Dans le cadre de la mise en œuvre des clauses des deux conventions conclues entre le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger et Air Algérie, d’une part, et l’Entreprise nationale de transport maritime des voyageurs, d’autre part, qui vient à réduire les tarifs des billets de transport au profit des ressortissants algériens à revenu modeste, le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger a tenu une réunion de travail avec les différents partenaires concernés. Cette réunion a porté sur l’organisation du processus de mise en œuvre des deux conventions ainsi que les modalités de diffusion et de vulgarisation de l’information concernant ce dispositif auprès de la communauté algérienne établie en France et en Espagne.
Les bénéficiaires de cette opération, qui s’adresse particulièrement aux familles algériennes à revenu modeste établies à l’étranger, notamment en France et en Espagne, devront répondre à un ensemble de critères à savoir :
- être immatriculé auprès des consulats d’Algérie en France et en Espagne ;
- avoir une source de revenus équivalente ou inférieur au SMIG des deux pays d’accueil ;
- de bénéficier, dans le cadre de cette opération, d’un seul titre de transport au cours de la saison estivale. Et afin de garantir une meilleure efficacité et maîtrise de l’opération, les services consulaires d’Algérie en France et en Espagne seront chargés d’adresser au ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger la liste des bénéficiaires pour validation, et ce, avant de la transmettre à la direction générale d’Air Algérie et de l’ENTMV.
[ source ]
Par El Moudjahid., 07-04-2009 Ă 20:55
El Moudjahid, publié le 08 Avril 2009
# Administrateur | 07/04/2009 | Transports
Entre les stations « Haï El Badr » et « Les Fusillés »
Le métro d’Alger a roulé hier entre les stations Haï El Badr, Mer et soleil, Amirouche et Les Fusillés. Cela s’est passé en présence du ministre des Transports, Amar Tou, accompagné de Nourredine Yazid Zerhouni, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Chakib Khelil, le ministre de l’Energie et des Mines, Azzedine Mihoubi, le secrétaire d’Etat à la communication, des responsables de la Protection civile, de la police et de personnes anonymes qui tenaient tout simplement à être les premiers voyageurs du métro.
Quoiqu’il ne s’agit là que d’un essai. Un premier essai dynamique, en prévision de sa mise sur rails. Annoncée pour la fin de l’année 2008, la mise en service de ce nouveau moyen de transport, qui reliera la Grande Poste à Hai El Badr, attendu depuis près de 30 ans par les Algérois, ne sera possible qu’à partir de cette année 2009. Probablement durant l’été, selon Amar Tou, qui ne fixe pas de date précise. La délégation ministérielle s’est donc rendue hier dans les quatre stations pour s’enquérir des conditions de mise en marche de la rame du métro mais aussi des conditions d’accueil des usagers. La sécurité de ces derniers en constitue l’élément premier. Pour ce faire, plus de 200 agents de police viennent de bénéficier d’une formation spécialisée pour leur déploiement dans les bouches du métro et dans tout le tunnel. D’autres sont en cours de formation à Kouba. Par ailleurs, indique le ministre, les travaux d’extension du métro vers El Harrach ont commencé. Des appels d’offres portant sur d’autres extensions vers Aïn Naâdja, Dély Brahim, Chéraga, Baraki… ont étés lancés. Interrogé sur la grève des conducteurs de train qui paralysent tout Alger depuis samedi dernier, et plusieurs autres wilayas du pays, à partir de dimanche, le ministre des Transports a carrément refusé de se prononcer sur le sujet, accusant les journalistes de vouloir occulter les grands chantiers : «Je parle du métro, vous me parlez des cheminots! Vous êtes de ceux qui veulent occulter les grands projets du pays» a-t-il lancé sur un ton empreint de colère.
[ source ]
Par Karima Mokrani
La Tribune, publié le 07 Avril 2009
# Administrateur | 04/04/2009 | Transports
Les tarifs des billets aériens réduits
Le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger et la compagnie nationale de transport aérien Air Algérie, ont signé en fin de semaine une convention de partenariat sur les tarifs aériens allers et retours vers l’Algérie. Ladite convention est relative à la réduction des tarifs des billets d’avion aux ressortissants algériens à faible revenu. Facilitant leur déplacement vers leur pays, cette convention de partenariat répond aux préoccupations des familles, à revenu modeste, établies à l’étranger, notamment en France, où la communauté algérienne est la plus importante. Cette convention permettra également à nos ressortissants installés à l’étranger de consolider davantage leurs liens avec le pays. Cette heureuse initiative a été initiée dans le cadre d’une enveloppe de 50 milliards de centimes consacrée à cet effet. Une première tranche de 30 milliards de centimes a été débloquée dès la signature de cet accord avec Air Algérie, a-t-on précisé auprès du ministère. Cette décision sera certainement la bienvenue chez les émigrés qui verront leurs déplacements facilités, particulièrement en période estivale.
Le ministre de la Solidarité, Djamel Ould Abbès, a précisé que le budget débloqué comprend également la prise en charge de nos ressortissants après leur arrivée en Algérie pour leur transport vers leurs wilayas d’origine. « Dès leur arrivée en Algérie, le ministère les prend en charge pour rejoindre leurs wilayas d’origine par les différents moyens de transport, terrestre et aérien, ainsi que pour la réservation d’hôtel », a-t-il affirmé. Saluant le «très bon geste» d’Air Algérie, le ministre a encouragé les autres compagnies ou les autres sociétés de transport, y compris maritimes, à adhérer a cette louable initiative. En effet, une autre convention du genre devrait être signée avec la compagnie maritime de transports de voyageurs. Pour mieux acheminer les familles concernées vers leurs lieux de destination, Air Algérie accordera notamment, et ce, à titre exceptionnel, un droit d’accès au «stock siège» réservé aux tarifs spécifiques dans la limite des places disponibles. La compagnie nationale offrira par ailleurs, à l’occasion de la saison estivale, en faveur de chaque membre de la famille à revenu modeste établie en France, des tarifs réduits fixés selon la catégorie d’âge. Pour les parents, la réduction oscille entre 30% et 38%. Pour les enfants âgés de 2 à 12 ans, elle sera de 56% à 59%. Les jeunes âgés de 12 à 26 ans, bénéficieront pour leur part de 45% à 49% de réduction. En outre, à titre exceptionnel, Air Algérie offrira la possibilité pour la catégorie 3e âge à revenu modeste de voyager sur le vol «AH-1007» à destination d’Alger au tarif «Bsenior» représentant 53% de réduction. Par ailleurs, les deux parties se sont engagées à se concerter régulièrement sur les questions liées à la mise en oeuvre de cette convention. Elles se tiendront mutuellement informées quant à la progression des actions prévues pour la diffusion et la vulgarisation de toutes les informations nécessaires.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 04 Avril 2009
# Administrateur | 27/03/2009 | Transports
Transport ferroviaire
Projet • Le transport de voyageurs par autorail est en phase de généralisation totale à la faveur de la réfection de plusieurs voies ferrées et la livraison attendue de nouvelles lignes.
Ce projet entre dans le cadre d’un programme mis au point par le département de Amar Tou en vue de la réhabilitation de plusieurs voies ferrées à l’image de la ligne Oran-Béchar sur 600 km et l’ouverture prochaine de nouvelles lignes.
En visite, hier, mercredi à Sétif, le ministre des Transports a précisé que si des projets sont actuellement à l’étape de la consultation et des appels d’offres, d’autres ont été livrés. Le ministre a notamment cité les lignes M’sila-Relizane-Tiaret-Tissemsilt et 4 «grandes lignes» en phase d’étude pour être opérationnelles durant le plan 2009-2014.
«L’achèvement des travaux de réfection entrepris sur plusieurs voies ferrées et la livraison attendue de nouvelles lignes permettront de généraliser le transport de voyageurs par autorail», a-t-il affirmé. Tou a également rappelé que 6 nouvelles lignes d’autorail faisant actuellement l’objet d’ultimes essais techniques seront exploitées commercialement en avril prochain.
Au plan des infrastructures bâties, le ministre des Transports a indiqué que plusieurs nouvelles gares ferroviaires seront construites, notamment à Béchar, M’sila, Aïn M’lila et Tébessa. Tou a saisi cette occasion pour rappeler la nécessité d’entretenir ou de restaurer les anciennes gares qui constituent, souvent, des patrimoines architecturaux à préserver, à l’exemple de la gare de Sétif. L’électrification du réseau ferroviaire national a nécessité la constitution d'un groupement d'entreprises pour l’achèvement de ce programme.
Ainsi, un accord a été signé entre plusieurs entreprises dont Kahrakib et Kahrif, filiales du groupe Sonelgaz, et Rail Electrique et Infrarail, filiales de la Société nationale du transport ferroviaire (Sntf). Le groupement dénommé Groupement d'entreprises nationales pour l'électrification du réseau ferroviaire (Generf), est destiné exclusivement à la réalisation des projets d'électrification du réseau ferroviaire.
Tou a, par ailleurs, fait savoir que la création d'un autre groupement entre la Sntf et l'Entreprise nationale de construction de matériels et d'équipements ferroviaire (Ferrovial) est en cours d'étude pour répondre aux besoins de la Sntf en matière d'équipements.
[ source ]
Synthèse R. N.
InfoSoir, publié le 26 Mars 2009
# Administrateur | 27/03/2009 | Transports
L’entreprise française EGIS/AVIA et Sonatrach activité aval ont signé récemment un contrat pour la réalisation d'un chapiteau aérogare au niveau de l'aéroport international d'Oran, un projet qui s'inscrit en prévision de la conférence internationale du gaz GNL 16 qui devra se dérouler à Oran entre le 18 et le 21 avril 2010.
Un projet qui s'inscrit en prévision de la conférence internationale du gaz GNL 16 qui devra se dérouler à Oran entre le 18 et le 21 avril 2010. En effet, selon M. A. Feghouli, vice président de Sonatrach activité aval, qui est également Président du comité national d'organisation du GNL 16, le nouveau terminal permettra de fournir aux participants à ce rendez-vous un certain nombre de prestations de service dignes d'une infrastructure internationale.
Pour un montant de 9 millions d'euros, le contrat prévoit la réception provisoire du projet pour décembre 2009, soit au minimum trois mois avant la rencontre du GNL 16. S'étendant sur une superficie de 5.000 m², le chapiteau aérogare disposera d'une zone de départ et d'une autre d'arrivée, avec tout ce que cela induit comme services et équipements : des salons publics 1ère classe, un SAS d'entrée équipé de scanner et de portiques de détection des métaux, un bureau d'accueil et un espace d'enregistrement, des zones de contrôle de douanes et de police des frontières, une zone de distribution des bagages et même des magasins. Dans son intervention précédant la signature du contrat, M. Feghouli a souligné le caractère « durable » de cette nouvelle infrastructure qui aura une durée de vie comprise, selon M. Christian Rognone, directeur général adjoint d'EGIS Avia, entre 15 et 20 ans. Le directeur général de l'Entreprise de Gestion et de Services aéroportuaire (EGSA) d'Oran, M. Hadj Larbi, a mis l'accent, pour sa part, sur l'apport considérable que devra apporter cette extension à l'aéroport international d'Oran, notamment en matière de capacité d'accueil, qui devra passer de 2,4 millions de passagers/an à près de 3 millions de passagers/an.
M.Hadj Larbi a rappelé par ailleurs les diverses actions menées ou en phase d'être menées au niveau de l'aéroport en vue d'en améliorer les performances, parmi lesquelles, il a cité la réalisation d'une deuxième piste d'atterrissage de 3.000 m, la réalisation d'un bloc technique comprenant une nouvelle tour de contrôle sans compter l'opération de lifting qui vient d'être lancée au niveau de l'aérogare et qui prévoit la mise en place de nouveau tapis à bagages et d'un nouveau système de téléaffichage, entre autres. A noter que dans ce cadre, un contrat a été signé dernièrement entre EGSA Oran et EGIS/AVIA pour une étude sur la réalisation d'une nouvelle aérogare internationale à l'aéroport d'Oran et la réhabilitation de l'ancienne qui devra servir pour les lignes domestiques et les lignes charters. L'étude sera lancée dès que le contrat aura été validé par la commission nationale des marchés.
[ source ]
Par Badiaa Amarni
La Tribune, publié le 27 Mars 2009
# Administrateur | 24/03/2009 | Transports
Essais techniques sur 6 auto-rails
Il a indiqué en outre que la date de la mise en service officielle de ces auto-rails sera annoncée après l’élection présidentielle du 9 avril. L’Etat s’est lancé ces dernières années dans de grands programmes de développement et de modernisation des transports ferroviaires. Ils doivent permettre de hisser de service à un niveau très élevée terme de qualité et de sécurité. La SNTF se dote progressivement d’un parc de matériel moderne et plus rapide. L’une des ambitions est de rapprocher les régions et les villes : il s’agit de mettre Oran à 3h30 d’Alger et de ramener le temps de parcours entre Alger et Constantine à 4 h 00 au lieu de 6 h 00 actuellement. La SNTF envisage de transporter à l’horizon 2012 quelques 80 millions de passagers/an et atteindre 120 millions de voyageurs vers 2015.
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, publié le 24 Mars 2009
# Administrateur | 18/03/2009 | Transports
Le vol Oran-Oujda annulé
Les vols charters, programmés par l'agence de voyages Zenata Voyages, à destination de la ville marocaine de Oujda ont été annulés. L'agence en question avait programmé des vols hebdomadaires. Le premier vol à destination de cette ville était prévu pour le 26 mars et le prix du billet était fixé à 14.800 DA. La direction régionale de Zenata Voyages affirme que cette annulation est indépendante de sa volonté.
[ source ]
par J. B.
Le Quotidien d'Oran, publié le 18 Mars 2009
# Administrateur | 18/03/2009 | Transports
Lufthansa assurera la desserte Alger-PĂ©kin
Alors que l’aviation traverse l’une des périodes les plus difficiles de son histoire, la compagnie aérienne allemande Lufthansa choisit d’investir en Algérie. Ainsi et après le tassement mondial du trafic aérien, Lufthansa trouve judicieux d’investir dans le ciel algérien. Selon M.Sylvain Heydlauf, Directeur général pour l’Algérie, cette décision intervient après plusieurs années d’observation du marché de l’Afrique du Nord en général et de l’Algérie en particulier.
En effet, ce responsable fait savoir qu’en dépit des fortes turbulences que traverse son secteur d’activité, Lufthansa continue d’enregistrer un nombre croissant de passagers en Algérie. «Nous sommes convaincus que cette tendance se poursuivra durablement dans la région!» a-t-il encore mentionné. Ainsi, et de l’avis de MM.Heydlauf et Werner Kellerhals, qui ont animé une conférence de presse hier à l’hôtel Hilton, à Alger, cette attitude sereine se traduit par le renforcement immédiat des capacités de dessertes de Lufthansa au départ de et vers l’Algérie, notamment l’instauration de deux vols supplémentaires de jour vers Frankfurt, une escale qui ouvre désormais aux voyageurs en partance d’Alger toutes les destinations du monde, dont l’Atlantique Nord, l’Asie ou l’Australie, à titre non exhaustif. Finalement, Lufthansa, qui s’est installée en Algérie dès 2005, a depuis 2007 introduit trois vols de jour en supplément de cinq vols qui s’effectuaient exclusivement de nuit. Aujourd’hui, ce quota diurne est porté à cinq vols, d’où un total de dix départs par semaine.
La compagnie allemande a assorti ce trafic d’une grande nouveauté, à savoir l’inauguration de la destination Chine à partir de la capitale algérienne, une mesure qui épargnera dorénavant aux itinérants vers cet empire les classiques problèmes de visa, même si une courte escale de quelques minutes est à chaque fois prévue à l’aéroport de Frankfurt. En contrepartie, les passagers qui seront à bord d’appareils de type Boeing 737-500 (111 places) Boeing 737-300 (127 places) ainsi qu’à bord de modèles A 319, A 320 et A 321 de la famille Airbus (de 132 à 190 places) configurés en deux classes, profiteront de la renommée de la marque Lufthansa, synonyme d’un service de qualité supérieure et d’exclusivité. Les conférenciers ont assuré que Lufthansa garantira une excellente connexion avec la Chine, un pays et un marché où la compagnie est très bien positionnée et où elle établira des liaisons avec pas moins de quatre villes différentes, dont Pékin et Hong Kong.
Afin de doper les ventes sur les lignes Alger- Frankfurt, les clients bénéficient de billets au meilleur prix. Les passagers de Lufthansa peuvent profiter d’une promotion spéciale «Découvrez le monde». Pour se rendre en Chine, un vol en classe économique s’élèvera à 56.000 DA (Shanghai, Nanjing, Hong Kong) alors que pour d’autres horizons comme les Etats-Unis (New York, Philadelphie et Washington) il faut compter 45.000 DA. Enfin, pour voyager en Europe (Berlin, Munich, Varsovie, Vienne, Copenhague, Bucarest) il faut prévoir 25.000 DA, les billets pouvant être réservés en ligne à l’adresse www.lufthansa.com, sinon auprès des bureaux de vente à Alger. Cette promotion, qui se poursuivra jusqu’au mois d’avril, sera suivie d’autres «surprises» en été. A la clé de ces promotions, des systèmes et autres programmes de fidélisation, à l’instar du Miles & More, à destination des individus et des sociétés. Ils permettent à terme de voyager gratuitement. L’Algérie reste une destination pétrolière, un marché au potentiel prometteur pour Lufthansa.
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Par Salim BENALIA
L'Expression, publié le 18 Mars 2009
# Administrateur | 11/03/2009 | Transports
Par rapport à l'été 2008, l'offre mise sur le marché par le groupe franco-néerlandais va baisser de 3,4% tant sur le réseau long -courrier que sur le réseau moyen-courrier. Si on se focalise sur le seul programme d'Air France, on s'aperçoit que l'offre globale va chuter de 2,7%. Le long-courrier reculant de 2,5% et le court et moyen courrier de 3,1%. Un ajustement qui est le fruit "d'une rationalisation des dessertes consistant à diminuer le nombre des fréquences plutôt qu'à fermer des lignes". Côté long-courrier, on notera en particulier la baisse à 48 fréquences hebdomadaires des liaisons entre Paris et New-York ou encore la suppression de la route Paris-Chenai. En revanche, la compagnie va monter en puissance vers "les destinations du réseau aujourd'hui moins affectées par l'érosion du trafic" que sont Montréal, Beyrouth, Saint Martin, La Havane ou la Réunion. Enfin, avec une offre en augmentation de plus de 10% c'est l'Afrique de l'Ouest et "principalement ses destinations pétrolières", qui est la grande gagnante de ce programme. En moyen-courrier, la compagnie tranche dans le vif de son réseau domestique, "doublement touché par la crise et par la progression constante des parts de marché du ferroviaire" avec une baisse de 6,4% de l'offre, se traduisant par 8 suppressions de fréquences "principalement au départ d'Orly". La baisse sur le réseau Europe/Afrique du Nord est pour sa part de 1,1%.
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Par Mathieu Garcia mercredi 11 mars 2009 (14h40)
Quotidien du Tourisme, publié le 11 Mars 2009
# Administrateur | 07/03/2009 | Transports
Plusieurs vols annulés
Les conditions climatiques ayant sévi ces dernières 48 heures à l’est du pays n’ont pas été favorables au trafic aérien. Air Algérie a été contrainte d’annuler plusieurs vols sur les lignes intérieures et internationales. Les passagers, et a la grande déception de cette compagnie, sont restés dans la confusion, notamment ceux qui devaient se rendre en Arabie Saoudite pour accomplir la Omra. C’est dire la force des vents violents, et les importantes chutes de neige et de pluie qui se sont abattues sur la ville. La situation a rendu la piste de l’aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine impraticable.
Le trafic ne devrait pas reprendre avant aujourd’hui, à condition que les conditions climatiques s’améliorent. De même que la circulation a été rendue impossible au niveau de certains axes routiers de Constantine. D’ailleurs, il a été déconseillé de prendre les routes interwilayas. En outre, le froid glacial, a également contraint les Constantinois à rester chez eux. Si certains sont bien au chaud, beaucoup souffrent de ce froid glacial, notamment au niveau des bidonvilles. Par ailleurs, plusieurs quartiers comme la cité El Bir ont été inondés par les eaux pluviales. Les conduites des eaux usées ont même cédé comme constaté de visu à la cité du 20-Août et la cité Filali, pourtant réparées. Les services de la Protection civile au niveau de la wilaya ont été mis en alerte pour intervenir en cas d’urgence, néanmoins et à l’heure où nous mettons sous presse, rien de particulier n’est à signaler. Certaines unités de la Protection civile sont sur le terrain pour des constats de reconnaissance devant permettre de signaler les bâtisses menacées d’effondrement. L’on souligne, cependant que les dégâts surviennent parfois, après l’amélioration du temps.
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Par Ikram GHIOUA
L'Expression, publié le 07 Mars 2009
# Administrateur | 07/03/2009 | Transports
Le trafic aérien suspendu
Sétif et sa région sont sous d’importantes chutes de neige accompagnées de vent violent atteignant parfois les 60 km/h. C’est pour cette raison que la direction de l’Aéroport de Sétif a décidé de suspendre son trafic aérien (Intérieur et extérieur) pour ces jours, en attendant une amélioration des conditions atmosphériques.
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Par R.N
L'Expression, publié le 07 Mars 2009
# Administrateur | 28/02/2009 | Transports
Le train Alger-BĂ©jaĂŻa arrivera en mars
« La ligne Béjaïa- Alger fait partie des cinq lignes ferroviaires qui seront mises en exploitation dès le mois de mars », a indiqué jeudi, le ministre des Transports en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Béjaïa. L’extension du port, la gare routière, la gare maritime, le téléphérique et le tramway ont été au menu de cette importante visite du ministre des Transports.
Amar Tou s’est enquis de la situation de tous les chantiers en cours de son secteur, annonçant même des projets qui ne manqueront pas d’apporter un plus dans la wilaya de Béjaïa. «Le ministre a donné son accord pour le lancement des études pour le tramway et le téléphérique», nous a confié, de son côté, le député Omar Allilat. Le ministre des Transports a, en effet, parcouru la wilaya de bout en bout inspectant différents chantiers de son secteur au niveau de la wilaya. Arrivée à Tazmalt, la première halte, par voiture, la délégation ministérielle a été accueillie par les autorités de wilaya et les députés de la région.
Sans attendre, elle s’est immédiatement rendue à la gare de la ville. Avant de rejoindre le train, qui le mènera à Béjaïa, le ministre a estimé la nécessité de réhabiliter cette gare.
La délégation se dirigera ensuite, par train, vers Béjaïa. Même si la date exacte de l’exploitation de cette ligne ferroviaire, refaite à 100%, n’a pas été précisée, il reste que l’acquisition d’un autorail est un prélude à une imminente relance de cette ligne au profit des voyageurs.
Des voyageurs qui n’auront plus à passer des heures sur la route avec tous les risques d’accidents que cela comporte. Alger sera ralliée en 3h 35 mn. Mars sera le mois de la mise en service de cette ligne de quatre autres niveaux nationaux.
A Béjaïa, le ministre s’est rendu au port où il a inspecté les installations du terminal des conteneurs ainsi que le chantier de réparation navale qui accueille le navire à passagers le «Tarik Ibn Ziad» en cale sèche depuis la mi-février, les réparations jusque-là effectuées à l’étranger se font désormais localement.
La gare maritime et l’extension du port ont été abordées dans le sens de l’amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs. Avant de se rendre à l’aéroport Soummam-Abane Ramdane, le ministre a observé un arrêt au niveau de la gare routière en construction. Cette infrastructure qui manque tant à la ville de Béjaïa sera réceptionnée en mai 2010. En quittant la gare routière, ce dernier a décidé la création d’un arrêt qui fera la jonction entre la gare routière et la ligne de chemins de fer. Dans ce sens, les voyageurs venus d’Alger devant prendre la correspondance vers l’est de la wilaya n’auront pas à aller jusqu’au terminus puis revenir jusqu’à la gare pour prendre son bus. Le ministre procédera aussi à l’inspection du chantier de la gare routière, l’aéroport ainsi que le projet d’aérogare de la ville et l’école de formation maritime où la visite prendra fin. Le ministre s’est déplacé dans l’après-midi en direction de Jijel où il sera accueilli officiellement et à Ziama Mansouriah, au port de pêche d’El Aouna.
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Par Arezki SLIMANI
L'Expression, publié le 28 Février 2009
# Administrateur | 23/02/2009 | Transports
Le vol Alger-Pékin a décollé
Pour un coût de 68.000 DA aller-retour, une soixantaine de passagers sont déjà inscrits pour ce vol, la majorité d’entre eux étant des hommes d’affaires chinois installés en Algérie.
Ça y est. C’est officiel, la compagnie Air Algérie a inauguré hier le premier vol sans escale entre Alger et Pékin. La cérémonie d’inauguration a eu lieu en présence du président-directeur général de la compagnie aérienne nationale, Abdelwahid Bouabdallah et Liu Yuhe, ambassadeur de la République populaire de Chine en Algérie. Selon M.Yuhe, cette nouvelle destination vise à consolider les relations entre les deux pays, à promouvoir les échanges commerciaux et à encourager le tourisme. Il a indiqué à l’occasion que 30.000 Chinois sont présents en Algérie avec une trentaine d’entreprises. Ils travaillent notamment dans le bâtiment et les travaux publics. Air Algérie prévoit près de 15.000 voyageurs par an sur cette ligne.
De son côté, M.Bouabdallah a indiqué que ce premier vol est assuré par un Airbus A-330 qui doit effectuer la traversée en 10h et 30mn.
La liaison Alger-Pékin sera assurée deux fois par semaine, à savoir le dimanche et le jeudi. Les départs sont fixés à 10h30 (heure locale) et l’arrivée à Pékin à 4h30 du matin le jour suivant (J+1). Il s’agit d’horaires étudiés permettant des correspondances aussi bien en Algérie, pour les travailleurs chinois employés dans les chantiers à l’intérieur du pays, qu’en Chine. L’avion a décollé d’Alger à 10h et devrait atteindre Pékin demain lundi à 5h30 (heure locale). Pour un coût de 68.000 DA aller-retour, une soixantaine de passagers étaient inscrits pour ce vol, la majorité d’entre eux sont des hommes d’affaires chinois installés en Algérie.
En revanche, 130 sièges ont été réservés pour le vol retour, a précisé M.Bouabdallah. En plus de Pékin, il est fort possible qu’Air Algérie desserve d’autres aéroports en Chine, comme celui de Shanghai, et ce en fonction de la demande et si les autorisations sont accordées par les autorités de l’aviation civile chinoise.
La compagnie, qui exploite depuis juin 2007 une liaison aérienne entre Alger et Montréal au Canada, compte également lancer prochainement les lignes Alger-Téhéran et Alger-New York. A propos de la multiplication de l’ouverture de lignes et de dessertes aussi bien en Algérie qu’à l’international, le P-DG d’Air Algérie a estimé que « toutes les décisions d’ouverture de nouvelles lignes obéissent à un souci: faire de la croissance compétitive en prenant des parts de marché dans les zones couvertes ».
M.Bouabdallah avait souligné, auparavant, que la compagnie affiche l’ambition de devenir un acteur majeur implanté dans les quatre coins du monde. «Notre but est d’être présent dans les quatre coins du monde», indique-t-il, avant d’ajouter: «On est en train de renforcer notre flotte ainsi que nos personnels qualifiés.»
Il est à noter que le projet de la nouvelle ligne Alger-Pékin s’inscrit dans le cadre d’un accord aérien signé le 12 juillet 2006 entre les directeurs respectifs de l’aviation civile de l’Algérie et de la Chine.
Par ailleurs, l’ambassadeur de Chine a émis le voeu de construire un quartier chinois «Chinatown» à Alger qui, selon lui, fera le bonheur des milliers de Chinois résidant en Algérie.
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Par Wassila BENHAMED
Photo : archives, algerieautrefois
L'Expression, publié le 23 Février 2009
# Administrateur | 16/02/2009 | Transports
De nouvelles lignes Aigle Azur vers Oran
Aigle Azur lance deux nouvelles lignes à destination d’Oran, au départ de Paris Charles de Gaulle et de Lille. Avec ces deux nouvelles lignes, la destination Oran est désormais desservie par Aigle Azur à raison de 21 vols par semaine, au départ de Paris Orly Sud, Paris Charles de Gaulle, Lille, Lyon, Marseille et Toulouse. A compter du 30 mars, tous les lundis et jeudis, en vols biclasses :Paris Charles de Gaulle 2B : 14h50 ; Oran : 16h20 et Oran : 10h10 ; Paris Charles de Gaulle 2B : 13h40. Cette ligne intervient en complément des vols quotidiens déjà opérés au départ de Paris Orly Sud, dont les nouveaux horaires permettent désormais d’effectuer un aller-retour journée les lundis et jeudis, facilitant ainsi les déplacements professionnels. Et Lille -Oran du 24 juin au 5 août, tous les mercredis, en monoclasse : Lille : 15h20 ; Oran : 17h00, Oran : 10h10 ; Lille : 13h50. Solidarité avec Ghaza.
[ source ]
Par RFA
El Watan, publié le 16 Février 2009
# Administrateur | 16/02/2009 | Transports
Le téléphérique de « Notre-Dame d’Afrique » boudé
Sa mise en place ne nuit nullement aux transporteurs privés.
Les usagers de la ligne Bab El Oued vers les quartiers de la basilique de Notre-Dame d’Afrique, desservis par le transport privé, sont unanimes pour exprimer leur indifférence quant au relancement du téléphérique reliant cette localité, juchée sur une colline, vers Bologhine, plus bas, sur le littoral.
Ce nouveau moyen de transport, moderne, propre et pratique, pour grimper la colline qui surplombe, notamment les quartiers de Bologhine et Bab El Oued, ne semble pas recevoir l’adhésion, du moins pas l’approbation de tout le monde. «C’est trop loin du marché de Bab El Oued et des boutiques du quartier», nous lance une dame chargée de paquets de victuailles achetées justement dans ce marché.
L’apostrophant alors qu’elle attendait le transport privé, elle enchaîna: «L’éloignement ne réside pas uniquement ici, au départ, mais aussi à l’arrivée.» Jugez-en vous-même, dit-elle au journaliste de L’Expression, «un passager qui habite Zeghara (deux ou trois kilomètres plus loin que la basilique) et qui emprunte le téléphérique n’est pas gâté. Ni celui, du reste, qui habite plus bas, une marche, souvent harassante est incontournable».
Un septuagénaire, abordé sur les mêmes lieux, affiche quelque peu son courroux devant ce manque de «considération» dit-il. «Même les taxis refusent de nous accompagner sur cette route tortueuse qui grimpe en lacets et dont l’état est tout simplement lamentable. Alors comment faire pour une urgence, ou pour transporter un malade?...» s’interroge cet usager d’un air dépité et outré. Intervenant, de son côté, dans ce dialogue, une citoyenne voilée à l’ancienne, trahissant une citadine en mal d’adaptation, regrette les anciens trolley-bus, dotés d’une plate-forme à l’arrière (les CS-60) en forme de «balcon» s’ouvrant sur la belle route qui se déroulait sur quelques kilomètres tout le long du parcours qui relie le côté sud de l’hôpital Maillot à Notre-Dame d’Afrique.
Pour les quelques chauffeurs de fourgons assurant cette ligne, l’installation du téléphérique leur importe peu. «Les affaires continuent à marcher. Nous travaillons autant qu’avant, car notre transport est plus adapté aux citoyens qui doivent se déplacer dans différents endroits de la ville.» Cependant, estime l’un d’eux, nous souhaiterions qu’une agence, (un terminus) soit installée dans un espace autre que celui-ci. Nous sommes obligés, aujourd’hui, de parcourir une partie de Bab El Oued à vide pour parvenir jusqu’ici.
En effet, grand comme un mouchoir de poche, un terminus a été aménagé et les fourgons sont envahis dès leur arrivée par une nuée de passagers, favorisés hier par un temps clément lors de leur...longue attente.
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Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 16 Février 2009
# Administrateur | 16/02/2009 | Transports
Hussein Dey pleure ses arbres
Les commerçants sont inquiets quant au devenir de la rue Tripoli, alors que les riverains soulignent le manque de coordination dans les travaux annexes du tramway.
Unanimes, les commerçants de la plus longue avenue d’Alger, la rue Tripoli à Hussein Dey, dénoncent l’arrachage programmé des arbres centenaires qui bordent, l’avenue de cette importante commune urbaine et populeuse du Grand-Alger.
Destinée à servir de passage principal au futur tramway d’Alger en direction des lointaines banlieues de l’est de la capitale, Dergana, Bordj El Kiffan, Kahwet Chergui..., la rue Tripoli à Hussein Dey, jadis fleuron de la petite industrie de proximité, se meurt tristement.
Les travaux de préparation pour la pose incessante des rails du «futur» tramway s’éternisent. Bien acceptés par certains riverains, ils le sont mal par d’autres. Ces derniers se plaignent de la lenteur des travaux, des nuisances qu’ils engendrent aux commerçants du quartier, entendez par là poussière, gravats, bruits, boue...et surtout du manque à gagner se plaignent-ils au vu d’une diminution drastique de la clientèle. D’aucuns s’élèvent contre la mauvaise, voire inexistante coordination entre les différents services concernés par le déplacement des différentes conduites (eau, gaz, électricité, téléphone..) pour laisser le passage au tramway. «On creuse par-ci, par-là pour faire passer l’eau, le gaz, l’électricité...on remblaie et on "reviendra" plus tard pour réaliser le branchement...» C’est là une réflexion commune à tous les commerçants installés le long de cette avenue qui se plaignent de ce manque de savoir-faire et du mépris dont ils font l’objet dans toute cette entreprise. Sollicité par L’Expression pour donner un avis, négatif ou positif, sur ce projet de tramway, un photographe renommé de la place se dit inquiet pour l’avenir de ce quartier qui «s’éteint». Une clientèle de plus en plus rare, les rues qui se vident dès 17h, des déménagements incessants, délocalisation d’entreprises, destruction de certains immeubles...autant de désagréments qui «affolent» quelque part ces braves négociants qui ont pignon sur rue depuis 1948 pour certains et après 1962 pour d’autres. Un fleuriste avait les larmes aux yeux avant d’admettre que c’est là «le tribut du modernisme qu’on paye». Quant à la rue des Fusillés, qui s’étire du quartier Lafarge au rond point des Anassers, semble en grande partie assainie après la destruction des gargotes et autres restaurants qui faisaient la réputation de ce quartier. Elle sert de tracé à une bonne partie du futur tramway qui suit le côté des abattoirs d’Alger près duquel cinq ou six restaurateurs subsistent encore malgré les «on-dit» colportés par de nombreuses gens. Sollicité pour donner son avis, le propriétaire de l’un de ces restaurants «rescapés», établissement classé et recommandé dans le guide touristique d’Alger, s’est dit «confiant» du moment qu’un accès à leurs établissements a été aménagé provisoirement en travers la voie ferrée du tramway. Les abattoirs, dit-il, sont toujours là et pour longtemps encore malgré un projet de délocalisation hors de la ville.
L’achèvement d’une trémie mitoyenne et sa livraison dans les semaines à venir, induira une nette transformation du plan de circulation dans cet important carrefour où font jonction les communes de Hussein Dey, Kouba et Belouizdad. Elle reliera, en effet, directement l’avenue de l’ALN au chemin Fernane-Hanafi en longeant la cour d’Alger, flambant neuf.
Ce chemin, communément (et tristement) appelé encore chemin Vauban, est appelé à devenir une grande avenue, débarrassée des constructions basses qui le bordent. Il deviendra ainsi une voie de circulation importante qui sera parallèle à la rue Tripoli dans le sens allant vers «Brossette». Pour sa part, la rue principale de Hussein Dey deviendra à sens unique allant dans le sens contraire, c’est-à -dire vers Alger-Centre et la place du 1er-Mai.
Des plaques ont d’ailleurs été installées pour guider les automobilistes qui veulent se rendre à la rue de Tripoli.
Sur le site même du chantier de la trémie, le responsable des travaux n’a pas voulu se prêter aux questions de notre journaliste sans autorisation préalable de la direction des transports de la wilaya d’Alger.
Notre quotidien a sollicité plusieurs fois, sans succès, les responsables de la direction des transports de la wilaya d’Alger, pour en savoir plus sur les chantiers engagés à Alger, notamment la réalisation du tramway devant traverser la commune de Hussein Dey.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, publié le 15 Février 2009
# Administrateur | 14/02/2009 | Transports
Une nouvelle ligne Oran- BĂ©jaĂŻa Ă partir de mars
Deux vols hebdomadaires, le samedi et mercredi, sont programmĂ©s pour cette ligne entre Oran et Bejaia avec un aller et retour. Les dĂ©parts d’Oran sont fixĂ©s Ă 6h du matin, le samedi, et Ă 14h 45, le mercredi. Pour Bejaia, le retour est prĂ©vu Ă 7h50 le samedi et 16h35 pour le mercredi. Toujours dans le cadre du renforcement de son rĂ©seau intĂ©rieur, la compagnie nationale envisage, dans le courant de cette annĂ©e, la mise en place de nouvelles dessertes aĂ©riennes entre la capitale de l’Ouest du pays et d’autres villes du territoire national. Dans le courant de l’annĂ©e 2008, rappelons que des lignes aĂ©riennes ont Ă©tĂ© ouvertes pour relier les villes de Tiaret et Mecheria Ă partir dâ€Oran sachant que « Air AlgĂ©rie » dessert, Ă partir de la capitale de l’Ouest, quelque huit villes du pays. Trois de celles-ci, incluses dans le programme, sont situĂ©es au sud-ouest et l’extrĂŞme sud du pays. D’autre part, dans le cadre du renforcement de son rĂ©seau international, il est prĂ©vu l’ouverture, dans le courant de ce premier trimestre, de deux nouvelles dessertes Ă partir d’Oran vers le Maroc, il s’agit des villes de Oujda et Fès. Le lancement des ces lignes est assujetti au feu vert des autoritĂ©s marocaines chargĂ©es de lâ€aviation civile sachant qu’il existe actuellement un vol vers le royaume entre Oran et Casablanca.
Gros porteurs
Au sujet du trafic aĂ©roportuaire pour l’exercice de l’annĂ©e 2008 Ă partir d’Oran, le bilan communiquĂ© par la direction du Transport fait Ă©tat d’un mouvement de 11 164 avions. Ces derniers ont assurĂ©, durant cette pĂ©riode, le transport de 974 529 passagers et près de 2,8 millions de kg de fret. A titre d’information, l’on aura qu’au titre du 16ème Congrès International sur le GNL que doit abriter Oran en avril 2010, l’Entreprise de Gestion des Entreprises AĂ©roportuaires dâ€Oran a bĂ©nĂ©ficiĂ© de 2,5 milliards de dinars pour des travaux de rĂ©alisation d’une nouvelle piste d’atterrissage qui est conçue pour accueillir la nouvelle gĂ©nĂ©ration de gros porteurs avec des aires de stationnement et autres ainsi que d’autres opĂ©rations de rĂ©novation et dâ€amĂ©nagements de l’actuelle aĂ©rogare.
[ source ]
Par Tegguer Kaddour
El Watan, publié le 14 Février 2009
# Administrateur | 03/02/2009 | Transports
Ralentissement du trafic passagers
Le trafic fret a notamment payé un lourd tribut à la crise : il dégringole de 22,6% en glissement annuel, portant son déclin en 2008 à 4%. Le trafic passagers est médiocre, avec une baisse de 4,6% en décembre, mais une légère progression de 1,6% sur l’ensemble de l’année. Le ralentissement constaté après l’été, puis la diminution du trafic à l’automne expliquent ces résultats. Cette tendance baissière devrait se confirmer cette année, voire même s’accentuer, craint l’association. "Les compagnies aériennes luttent pour faire correspondre la capacité à la baisse rapide de la demande. Tant que l’équilibre ne sera pas revenu, même la forte baisse du prix du carburant ne parviendra pas à sauver le secteur d’une fin sanglante", a déclaré Giovanni Bisignani, Directeur Général et Chef de la Direction de l’IATA. Dans ce contexte, les compagnies aériennes qui desservent l’Algérie ont décidé d’entrer dans la bataille des "continuations". Lufthansa vient de lancer une promotion pour l’hiver 2009 sur plus de 20 destinations phares aux Etats-Unis, en Asie et en Europe. Les tarifs sont applicables si l’achat des billets est fait 7 jours avant le départ, entre le 12 janvier et le 22 février, et si le voyage est effectué uniquement du 19 janvier au 31 mars 2009 avec une date retour maximum au 30 avril. Le billet doit être acheté 72 heures après la réservation et les vols longs courriers doivent être uniquement des vols Lufthansa. Grâce au Hub de Roissy Charles de Gaulle, Air France relie Alger à 189 destinations dans le monde. La compagnie nationale Air Algérie a annoncé le lancement à partir du 22 février d’une nouvelle liaison directe entre Alger et Pékin. Elle table sur 15 000 voyageurs par an sur cette ligne. Des milliers de Chinois sont présents depuis 2000 en Algérie où ils travaillent notamment dans le bâtiment et les travaux publics.
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, publié le 03 Février 2009
# Administrateur | 28/01/2009 | Transports
Aéroport du 8 mai 1945 : La piste principale portée à 2.900 mètres
Trois compagnies desservent déjà cette structure aéroportuaire qui a déjà traité 450 000 passagers dont 70 % à l’International.
La piste de l’aéroport de Sétif a été portée de 1900 à 2900 mètres renforçant ainsi la vocation internationale de ce pôle économique important des Hauts-Plateaux.
Trois compagnies desservent déjà cette structure aéroportuaire qui a déjà traité 450 000 passagers dont 70 % à l’International.
L’aéroport a connu 2400 mouvements d’avions en 2008 et est appelé à connaître un plus grand essor avec la réalisation d’autres ouvrages permettant ainsi un meilleur rayonnement sur cette vaste région destinée à devenir un grand pôle technologique.
[ source ]
Par El Moudjahid, 27-01-2009 Ă 20:37
Photo de : Krache D
El Moudjahid, publié le 28 Janvier 2009
# Administrateur | 28/01/2009 | Transports
Un avion quitte la piste de décollage
La panique s’empare du personnel de piste, qui se rend très vite sur place, craignant le pire. Les passagers encore groggy ont été évacués immédiatement et l’avion, ne présentant aucun danger imminent, a été pris en charge par une équipe technique pour évaluer les dégâts. Il s’avère, selon les premiers éléments de l’enquête, qu’un pneu aurait éclaté juste avant que l’avion ne prenne son envol. Le vent soufflant très fort a sans doute poussé l’avion hors piste où il aurait, toujours selon les premières constatations, buté sur une pierre. Tous les passagers du vol AH 6027 sont sortis indemnes de l’accident, de même que les membres d’équipage. Le wali de Constantine s’est déplacé sur les lieux pour s’enquérir des conditions qui ont fait qu’un tel accident survienne au moment où tous les cadres d’Air Algérie étaient à l’écoute du procès d’un des leurs, confondu pour avoir embarqué il y a quelques mois des passagers sur Paris… sans billet !
[ source ]
Par Hamid Bellagha, M. F. GaĂŻdi
El Watan, publié le 28 Janvier 2009
# Administrateur | 26/01/2009 | Transports
La Sntf investit 65 milliards de dinars
Cette enveloppe permettra la modernisation des moyens de transport et la réhabilitation du parc roulant vétuste à 70%.
« La Société nationale des transports ferroviaires (Sntf), propose un nouveau plan de développement pour booster le secteur », a déclaré hier son président-directeur général, Soulimane Benameur, lors de son passage sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale. Un plan qui permettra à la société de reprendre une large part du marché des transports, qui risque de lui glisser entre les mains comme du sable fin...et de récupérer une clientèle qui commence à «fuir» le transport ferroviaire pour diverses raisons. Pour ce faire, 65 milliards de dinars sont nécessaires à la modernisation du transport ferroviaire qui, en raison de la vétusté du matériel roulant, a accusé un retard important. Cette enveloppe permettra la modernisation des moyens de production et la réhabilitation du parc roulant qui est vétuste à 70%. Ce plan de modernisation est, cependant, soumis à l’aval du ministère des Transports. Dans son intervention, Soulimane Benameur a indiqué qu’«un programme d’investissement de l’ordre de 65 milliards de dinars est déjà engagé pour l’acquisition du matériel roulant et il faudra aussi acquérir d’autres moyens pour pouvoir répondre à tout ce qui va être réceptionné comme nouvelles installations. A moyen terme, il faudra un équivalent de 65 milliards d’investissements pour les besoins de modernisation de ce secteur». Devant l’ampleur de l’investissement, Soulimane Benameur fait appel à l’Etat pour accompagner ce plan de modernisation à même de permettre à la Sntf de reconquérir ses parts de marché, dans une première phase, et de les accroître dans une seconde phase afin de contribuer au développement économique national. S’agissant de l’électrification du réseau, les Chemins de fer algériens ont déjà acquis 17 autorails fabriqués par le constructeur espagnol CAF pour 102 millions d’euros. Ils ont été mis en exploitation à partir de janvier de l’année 2008. En outre, l’Algérie a reçu, en juillet dernier, la première tranche d’une commande de 30 locomotives construites au Canada, d’un montant global de 82 millions de dollars. 64 autres rames automotrices pour la desserte de la banlieue d’Alger, ont été acquises en Suisse pour un montant de 280 millions d’euros. Parmi les autres défis que compte relever l’invité de la rédaction, celui de porter en hausse le nombre de voyageurs utilisant le transport ferroviaire. Estimé actuellement à 20 millions, ce chiffre devrait atteindre les 85 millions de voyageurs à l’horizon 2013. Un challenge pour M.Benameur et l’ensemble des effectifs de la Sntf car de nos jours, le transport ferroviaire ne répond pas aux conditions exigées. Les risques sont multiples. Les trains sont dans un état vétuste. Des agressions sont quotidiennes. En sus des voyageurs, plusieurs conducteurs ont péri...suite à des jets de pierres. En somme, c’est au déclin du rail comme moyen de transport par rapport à celui routier, que la Sntf, sous la coupe de Soulimane Benameur, veut mettre fin. En termes de réalisation, la ligne reliant la gare de Thénia et celle de Tizi Ouzou, fermée jusque-là , sera rouverte prochainement. Le groupe chargé dudit projet est déjà désigné. Une fois cette ligne ouverte, le trajet entre Alger et Tizi Ouzou se fera en moins d’une heure et 10 minutes pour atteindre ensuite Oued Aïssi.
Dans une autre optique, le P-DG de la Sntf a écarté l’éventualité de privatiser l’entreprise publique des transports ferroviaires. Toutefois, le processus de privatisation de certaines filiales a été déjà lancé. L’exemple d’Infrarail, spécialisé dans les travaux d’infrastructures ferroviaires, production d’éléments divers de béton et agrégats, génie civil et travaux publics, en est une preuve concrète. La Sntf souligne que la cession d’Infrarail se fera à un groupe disposant d’une notoriété, ayant une expérience et une expertise avérée et reconnue dans les domaines d’activités de la filiale.
[ source ]
Par Fouad IRNATENE
L'Expression, publié 26 Janvier 2009
# Administrateur | 21/01/2009 | Transports
Algérie : appels d’offres pour l’acquisition de onze avions
La compagnie aérienne publique algérienne Air Algérie a lancé mercredi deux appels d'offres pour l'acquisition de quatre avions neufs d'une capacité de 70 sièges et de sept avions d'une capacité de 150 places.
Le premier appel d'offres concerne l'achat de quatre appareils turbopropulseurs en version passagers d'une capacité d'environ 70 sièges, a précisé Air Algérie.
Le second appel d'offres est destiné à l'acquisition de sept avions à réaction dont un en option, version passagers, d'une capacité d'environ 150 sièges, a ajouté Air Algérie.
La date limite de dépôt des offres est fixée au 28 février, a-t-elle indiqué.
Le PDG d'Air Algérie Abdelouahid Bouabdellah avait annoncé le 22 septembre que sa compagnie allait acquérir onze nouveaux appareils pour un montant de 500 millions de dollars dans le cadre d'un plan de développement de la société d'un budget de 800 à 900 millions de dollars.
"Nous avons reçu l'accord de l'Etat pour acheter 11 appareils supplémentaires pour un montant de près de 500 millions de dollars" (environ 344 millions d'euros), avait déclaré M. Bouabdellah.
Il avait précisé qu'Air Algérie allait acquérir quatre avions de type régionaux de 50 à 70 places, avec un simulateur de vol, pour un montant de 80 millions d'euros (116,4 millions de dollars), citant les sociétés ATR et Bombardier comme possibles fournisseurs.
Ces avions seront destinés à assurer des liaisons avec l'extrême-sud algérien, a-t-il dit.
Le plan de renouvellement de la flotte de la compagnie prévoit également l'achat de cinq moyens porteurs et de deux avions cargos, avait encore précisé le PDG d'Air Algérie pour lequel Boeing et Airbus entreront vraisemblablement en concurrence, avait-t-il dit.
Air Algérie a acheté 28 appareils toutes versions confondues entre 2000 et 2007, dans le cadre du plan de renouvellement de sa flotte qui compte 33 appareils.
[ source ]
D’après AFP 21 January, 2009 06:30:00
dz-web, publié le 21 Janvier 2009
# Administrateur | 19/01/2009 | Transports
"Nous allons reprendre le réseau intérieur de la RAM récemment abandonné par Régional Airlines" confirme Driss Benhima, PDG du groupe qui jugeait impensable de laisser vide le ciel marocain. Régionale Airlines, qui vient de passer sous le contrôle d'Air Arabia, une compagnie low-cost des Emirats Arabes Unis, devrait disparaître au profit d'une nouvelle entité qui, à partir du hub de Rabat à l'intention de pénétrer les marchés d'Afrique du nord et d'Europe du sud. Pur produit maison, la nouvelle compagnie RAM disposera quant à elle de 8 appareils de 70 sièges et sera "aux couleurs de la RAM, avec des hôtesses de la RAM", comme aime à le souligner son PDG. Cette substitution sur le marché domestique devrait s'opérer en deux phases. Tout d'abord, une phase de remplacement avec multiplication des fréquences vers des villes à fort potentiel telles: Oujda, Tanger, Fès et bien sûr Agadir. Ensuite, une phase de croissance avec augmentation des fréquences de vols, mise en place d'horaires plus conviviaux et d'un service de qualité. "C'est la marque Royal Air Maroc que nous engageons ici. Nous devons donc offrir un produit de qualité à nos concitoyens" insiste Driss Benhima. Outre un accroissement des connexions qui rendra moins longs le temps de transit à Casablanca pour les vols internationaux (accès sur GDS code AT), ce plan de diversification sur le réseau intérieur aura surtout l'avantage de permettre aux Marocains de voyager plus aisément à l'intérieur du royaume à des prix raisonnables. Hasard du calendrier ou concertation, cette nouvelle compagnie s'inscrit parfaitement dans le plan de développement d'un tourisme intérieur voulu, présenté et baptisé "Biladi" (mon pays) par le ministère du tourisme.
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Par Sarah Douag dimanche 18 janvier 2009 (23h10)
Le Quotidien du Tourisme, publié le 19 Janvier 2009
# Administrateur | 22/12/2008 | Transports
Eucalyptus : Nouvelle station de transport
L’enveloppe financière a été annoncée par le P/APC lors de la récente réunion du comité de la ville. « C’est dans le cadre du programme de développement local que s’inscrit ce projet qui permettra d’améliorer les prestations de transport urbain sur toutes les lignes existantes afin d’assurer la jonction entre les différents quartiers de la ville qui est en expansion de jour en jour », souligne M. Ichir, le chef de l’exécutif de cette commune comptant plus de 140 000 habitants selon le recensement de l’année 2007. La station permettra le stationnement de plus de 50 bus de transport collectif public et privé, indique-t-on. L’ancien arrêt de bus a été improvisé en 2001 pour répondre à une situation urgentes. Le nombre de transporteurs au sein de la ville se limitait à 5. Puis, les besoins en la matière ont augmenté avec le retour des habitants ayant fui leur maison à cause du terrorisme, rappelle-t-on. Suite aux facilités accordées pour l’obtention des agréments relatifs à l’exploitation des lignes urbaines,le nombre de bus s’est vu remarquablement croître à tel point que la gestion de ce service posait de sérieux problèmes, portant parfois atteinte aux droits des usagers, notamment par rapport aux tarifs. L’absence de station a exposé les conducteurs et les clients aux risques des intempéries. En outre, dès l’année 2003, l’insécurité s’est fait ressentir et a été dénoncée par le public venant de toutes les localités.
Plusieurs vols et agressions ont été constatés à maintes reprises, surtout au cours du mois de Ramadhan. En outre, les déplacements des familles à l’occasion de l’Aïd ont été si contraignants que les transporteurs ont eu l’audace d’imposer leur diktat. Situation contestée par le syndicat qui a saisi les responsables locaux. Ces derniers, affirme-t-on, ont vite réagi et promettent d’améliorer les conditions de transport urbain.
[ source ]
Par R. A. I.
El Watan, Ă©dition du 22 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 20/12/2008 | Transports
Cette annonce a été faire par son PDG, Abdelwahid Bouabdallah, lors de la cérémonie d’inauguration officielle de la première agence de la compagnie à Montréal, qui s’est déroulée jeudi dernier. Abdelwahid Bouabdallah, a expliqué qu’en plus des deux vols hebdomadaires habituels (mardi et vendredi), deux autres vols viendront s’ajouter pendant la saison estivale. Pour l’hiver de l’année prochaine, il prévoit de rajouter seulement un vol supplémentaire. « Nous attendons la réponse des Canadiens », a-t-il affirmé. L’accord aérien entre l’Algérie et le Canada va être revu pour pouvoir passer, à terme, à un vol par jour, selon lui. Le PDG d’Air Algérie a aussi indiqué que sa compagnie va développer le créneau Hadj et Omra à partir de Montréal via Alger. L’expérience avec les Mauritanines et les Sénégalais étant concluante, son extension à une clientèle nord-américaine est prévue. Pour son projet d’acquisition de quatre avions régionaux pour les lignes intérieures, il a affirmé que « par souci d’homogénéité de la flotte qui est composée de 8 ATR de l’européen EADS, l’option des avions Bombardiers ne sera pas retenue. Si Bombardier nous rachète nos ATR on prendra ses avions. ». A noter que le PDG d’Air Algérie a visité ce jeudi les ateliers de Bomabardier à Mirabel dans la banlieue de Montréal.
[ source ]
Par Samir Ben
El Watan, Ă©dition du 20 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 20/12/2008 | Transports
Transport : Arrivée de la deuxième rame de métro d'Alger en provenance d'Espagne
La deuxième rame du métro d'Alger a été débarquée jeudi matin au port d'Alger en provenance d'Espagne pour être livrée à l'Entreprise du métro d'Alger (EMA), a-t-on constaté sur place. Cette rame, dont la livraison intervient après celle effectuée en septembre dernier, est d'une longueur de 108 mètres et se compose de six voitures pour une capacité de 1.200 voyageurs.
Il s'agit de la deuxième livraison sur les 14 prévues avant juillet 2009, a indiqué à l'APS le P-DG de l'EMA, M. Abdelkader Mekerbi, précisant que "toutes ces rames sont aujourd'hui construites et prêtes à être expédiées'' de Saragosse (Espagne) où se trouve le chantier du constructeur espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles).
A partir de janvier 2009, le rythme des livraisons se fera Ă raison de deux rames par mois, selon le mĂŞme responsable.
Ces premiers équipements font partie ainsi des 14 rames qui doteront, dans une première phase, la première ligne reliant la Grande-Poste à Haï El-Badr avant d'être portées, par la suite, à 24 rames. Les premiers essais techniques en surface d'une rame du métro d'Alger ont été effectués en novembre dernier au niveau des ateliers de maintenance de Bach-Djarah (Alger).
L'ouverture du métro d'Alger au public est programmée pour l'été 2009, selon les dernières déclarations du ministre des Transports.
Les opérations d'extension de la première ligne du métro seront lancées par une ligne complémentaire assurant la liaison Grande poste-Place des martyrs jusqu'à Dély-Brahim et Chéraga, en passant par Bab El-Oued.
[ source ]
Par EL MOUDJAHID - 19-12-2008 Ă 20:12
El Moudjahid, Ă©dition du 20 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 17/12/2008 | Transports
Durant ces si longues années d’inactivité, les différentes décisions prises pour la réouverture de cette infrastructure de transport n’ont été que de sombres promesses qui, en vérité, n’ont suscité que désolation et amertume de la part de la population. L’ouverture au trafic aérien de l’aéroport « Cheikh-Bouamama » semble cette fois-ci imminente et débutera incessamment par une nouvelle ligne Oran-Mecheria-Béchar avec un vol hebdomadaire tous les lundis, a-t-on appris de sources certaines. Notons aussi qu’auparavant, pour le renforcement des infrastructures aéroportuaires, une enveloppe de 30 milliards de cts a été investie. Un budget destiné à l’aménagement de l’aérogare et ses dépendances notamment, ainsi qu’aux travaux de bitumage de la piste secondaire.
[ source ]
Par D. S.
El Watan, Ă©dition du 17 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 12/12/2008 | Transports
Transport aérien : Nouvelles liaisons à partir d’Oran
Il s’agit, indique-t-on, de deux nouvelles dessertes vers les villes de la zone steppique de Mécheria et celle des Hauts-Plateaux, Tiaret. Pour la ville de Mecheria, cette nouvelle ligne aérienne sera opérationnelle dès le 15 décembre avec au programme un départ hebdomadaire tous les lundis à 9 h 40 et le retour à 17 h 50 la même journée. Pour ce vol, il est prévu également une liaison de correspondance toujours les lundis pour relier l’aéroport de Bechar au Sud-ouest du pays. Un vol à partir de Mecheria dès 11 h 55 et le retour à 14h10 est prévu. Pour la ville de Tiaret, à destination de l’aéroport de Bouchekif, la nouvelle ligne aérienne programmée à partir d’Oran sera, quant à elle, lancée le 20 décembre prochain avec au menu un vol hebdomadaire.
Il est prĂ©vu un dĂ©part tous les samedis Ă 13 h 45 avec le retour Ă 13 h 15. Toujours Ă partir de l’aĂ©roport de Bouchekif, la compagnie nationale aĂ©rienne a programmĂ© une nouvelle desserte vers celui d’Alger tous le dĂ©buts de semaine. L’horaire du programme prĂ©voit un dĂ©part Ă partir de Tiaret dans le courant de lâ€après-midi Ă 15 h 5 et le retour dans le courant de la matinĂ©e Ă 11 h 20. Pour l’extension de son rĂ©seau intĂ©rieur, Air AlgĂ©rie va lancer, Ă partir du 21 et 24 dĂ©cembre prochain, de nouvelles liaisons aĂ©riennes entre Alger-El Bayadh-Bechar ainsi que Alger–Laghouat–Ghardaia. L’on saura, pour ce qui est du rĂ©seau national, que l’aĂ©roport d’Oran assure actuellement des liaisons aĂ©riennes quotidiennes ou hebdomadaires pour une dizaine de villes du pays. Il s’agit des villes d’Alger, Constantine, Annaba, Hassi Messaoud, Ouargla, Timimoun, Bechar, GhardaĂŻa, Ouargla et AĂŻn AmĂ©nas. D’autre part, Ă titre d’information, l’aĂ©roport international, qui a Ă©tĂ© conçu en 1980 pour traiter en moyenne plus de 3 millions de passagers par an sur les deux rĂ©seaux, vient de bĂ©nĂ©ficier, au titre du plan quinquennal (2004-2009), d’un ambitieux programme pour sa mise Ă niveau ainsi que la rĂ©alisation de nouvelles pistes, aires de stations et autres structures pour l’accueil de gros porteurs.
[ source ]
Par Tegguer Kaddour
El Watan, Ă©dition du 12 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 04/12/2008 | Transports
La mise en service de la nouvelle ligne ferroviaire Oran-Arzew est prévue avant fin décembre, a annoncé jeudi le ministre des Transports, M. Amar Tou, lors d'une visite de travail dans la wilaya.
"Toutes les conditions sont aujourd'hui réunies pour permettre l'inauguration de cette ligne ferroviaire avant la fin du mois en cours", a indiqué le ministre après avoir parcouru la nouvelle voie à bord d'un train d'inspection.
M. Tou a affirmé que les contraintes d'ordre technique et juridique, liées notamment aux procédures d'expropriation à l'origine du retard accusé par le passé dans l'aboutissement de ce projet, ont été "totalement levées".
La desserte Oran-Arzew s'effectuera sur une distance de près de 40 kilomètres à destination de la zone industrielle, alors que son prolongement vers Arzew-ville fera prochainement l'objet d'un avis d'appel d'offres, a-t-il fait savoir.
Le train assurant cette liaison marquera également des arrêts successifs au niveau des gares projetées dans les localités de Sidi Maarouf, Hassi Ameur, Hassi Ben Okba, Gdyel, Hassi Mefsoukh et El-Mohgoun.
M. Tou a instruit, dans ce contexte, les responsables concernés d'entamer la réalisation des infrastructures (gares) dans les plus brefs délais pour offrir les conditions d'accueil adéquates aux usagers de la future voie de communication à partir de ces localités.
Le ministre a annoncé, en outre, l'entrée en exploitation de l'autorail Oran-Chlef à la même date retenue pour la mise en service de la ligne Oran-Arzew.
Ce moyen de locomotion moderne, d'une capacité de transport de 200 voyageurs, constituera la deuxième acquisition du genre au niveau de la région Ouest du pays, après celui reliant depuis quelques mois la capitale de l'Ouest et Tlemcen.
A ce titre, M.Tou a également annoncé l'inscription d'une nouvelle opération visant l'extension de la desserte Oran-Tlemcen par autorail jusqu'à la ville frontalière de Maghnia.
Il s'est enquis, par ailleurs, de l'état d'avancement du projet de réalisation du tramway d'Oran en confirmant que son tracé actuel fera l'objet de deux prolongements, l'un vers le Sud en direction de l'aéroport international d'Es-Sénia, et l'autre à l'Est menant au nouveau pôle universitaire de Bir El-Djir.
Les perspectives de développement de l'infrastructure portuaire d'Oran figuraient aussi au menu de la visite de travail du ministre.
Dans ce contexte, les ambitions affichées par l'Entreprise portuaire (EPO) ont été mises en relief à travers la présentation des projets de confortement de la jetée du large, d'extension du terminal à conteneurs et de création d'une nouvelle voie d'accès au site portuaire.
[ source ]
Par APS
La Tribune, Ă©dition du 04 DĂ©cembre 2008
# Administrateur | 01/12/2008 | Transports
Transport maritime
Les fameuses autoroutes de la mer déjà à l’œuvre sur plusieurs lignes maritimes internationales sont en passe d’être adoptées à une plus grande échelle entre les deux ports de Béjaïa et Marseille. Selon les responsables de l’Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB), ce mode de transport moderne qui a largement démontré son efficacité connaîtra une plus grande utilisation, rapporte l’APS.
Toujours selon cette même source, les deux entreprises portuaires comptent développer le roulier. Il est à rappeler que l’expérience amorcée en 2007 avec la Société nationale Corse Méditerranée (SNCM) pour la promotion d’un concept novateur, appelé «Ropax», abréviation anglaise désignant le transport combiné de passagers et de marchandises grâce au matériel roulant (remorques) n’a pas donné l’effet escompté du fait du retrait de cette entreprise de la ligne Béjaïa-Sète pour cause de rentabilité. Mais les échanges commerciaux entre le centre de la Méditerranée et le reste du monde, les opportunités d’affaires, d’une part, et le dynamisme qui caractérise l’économie algérienne, d’autre part, ont plaidé en faveur de la reprise de ce service maritime qui a le mérite d’être plus pratique que le conteneur par plusieurs aspects, est-il indiqué dans le communiqué. Cette même source explique que ce mode de transport maritime novateur présente plusieurs avantages : peu coûteux en termes d’investissements, simple dans sa mise en œuvre et permet un gain de temps considérable en matière de traitement de la remorque et des séjours à quai des navires.
Les responsables de l’EPB rappellent dans leur communiqué que l’axe de service Marseille-Béjaïa, assuré par une noria d’armateurs parmi lesquels figurent la CNAN MED (roulier) et CMA/CGM (conteneurs), a absorbé, en 2007, un trafic de 144 834 tonnes, essentiellement composé de navires à conteneurs et de rouliers, soit 19% des échanges entre les ports français et celui de Béjaïa. Le reste du trafic en provenance de l’Hexagone étant pour l’essentiel des vracs solides acheminés depuis le port de Rouen.
« Il y a un potentiel à développer, qu’il s’agisse du roulier ou du conteneur », a assuré M. Achour, P-DG adjoint de l’EPB, soulignant que ce volume de trafic a représenté dans la formule roulier 27 rotations en 2007, soit près de 14 000 tonnes de marchandises.
Ce service maritime, appelé à se développer en coordination avec les spécialistes de la commission européenne chargée du projet des ADM, devrait se faire en appoint au trafic habituel, intégrant autant le conteneur, les marchandises diverses que le vrac. A titre de rappel, les ports de Béjaïa et Marseille sont unis dans le projet Meda-Mos des autoroutes de la mer.
[ source ]
Par Ziad Abdelhadi
La Tribune, Ă©dition du 01 DĂ©cembre 2008
# Administration | 30/11/2008 | Transports
La compagnie française propose une promotion Paris-Alger à 26.900 dinars et 24.000 dinars à destination de Marseille.
Les Algériens sont de plus en plus nombreux à se rendre sur le continent asiatique. Ils sont plus de 50% à se déplacer en Chine et 30% au Japon. Ces clients, pour la plupart des hommes d’affaires, font le bonheur de la compagnie aérienne Air France. En plus des dessertes ordinaires Alger-Paris et Alger-Marseille, la compagnie compte un grand nombre d’Algériens dans ses long-courriers. Le directeur général pour la région Europe-Afrique du Nord, Pierre Descaseux, affiche une grande satisfaction quant à l’opportunité qu’offre le marché algérien. Lors d’une conférence de presse qu’il a animée hier à l’hôtel Sofitel d’Alger, M.Descaseaux a déclaré: « Plus de 44% des clients vont au-delà de la capitale française, plus particulièrement vers l’Amérique du Nord et l’Asie.» En plus, il ne s’agit pas d’une simple clientèle. Selon M.Descaseux, plus de 40% sont de la catégorie de haut standing, c’est-à -dire des hommes d’affaires. Véritable exploit pour la compagnie française! Malgré le contexte international fragilisé par la crise financière, le marché algérien continue d’enregistrer une évolution constante de son activité.
Durant le premier semestre 2008, les recettes ont évolué de plus de 15% par rapport à la même période de l’année précédente. Rien que pour la ligne Paris-Alger, cette évolution est de plus de 53%. « L’Algérie reste un pôle de croissance important par rapport à d’autres pays», a estimé M.Descaseaux. Pour sa part, Jean-François Fauveau, directeur régional Algérie, a dit: « Le marché algérien affiche de très bon résultats et de bons engagements dans les trois mois à venir.»
Ailleurs, le trafic aérien connaît une baisse d’activité, en Algérie il poursuit une évolution constante. Dans le souci de fidéliser sa clientèle, le géant du transport aérien, qui boucle ses 75 ans d’existence, multiplie ses offres et tente de proposer le meilleur confort à bord. Dans ce contexte, il propose une importante promotion pour la fin de l’année en cours. Le billet Paris-Alger est soldé à 26.900 dinars contre 49.000 actuellement. Idem pour la ligne Marseille-Alger qui sera accessible à 24.000 dinars. Valable du 5 jusqu’au 30 janvier prochain, cette offre coïncide avec la période des soldes. Les amateurs de soldes peuvent se procurer le billet du 1 au 14 décembre.
De plus, la compagnie compte introduire les billets électroniques à travers toutes les agences de voyage. Lancée il y a quelques mois seulement, la vente des billets en ligne a atteint un taux record jamais enregistré. Les ventes ont atteint un taux de 98%, affirme le directeur de la région Europe-Afrique du Nord en la qualifiant de « montée spectaculaire ». Ce n’est pas tout. Innovant dans les prestations de service, la compagnie française propose également aux entreprises le système «blue connect» qui leur permet d’effectuer les réservations et l’enregistrement sans pour autant se déplacer à l’agence. Appliqué avec 15 entreprises, Air France compte élargir ce service à 20 autres entreprises.
Pour les voyageurs en Chine, Air France offre un service « China pass », qui leur permet de se déplacer de la manière la plus simple et la plus économique. Désormais, le voyageur a la possibilité de se déplacer dans trois villes chinoises avec un tarif réduit. Lors de son intervention, M.Descaseaux a fait un exposé global de la situation de la compagnie française. Malgré le contexte marqué par la récession économique, indique-t-il, la compagnie a enregistré un taux de croissance de 4% et un bénéfice de plus de 639 millions d’euros durant le premier semestre. « Nous sommes très contents de ces résultats », a-t-il déclaré. Cependant, M.Descaseux n’écarte pas le recours de la compagnie française à la réduction de ses offres sur les long-courriers.
Air France compte même temporiser ses investissements. A la question de savoir si la compagnie française compte assurer d’autres dessertes à travers l’Algérie, M.Descaseux répondra: « On n’envisage pas d’ouvrir de nouvelles destinations.»
[ source ]
Par Nadia BENAKLI
L'Expression, Ă©dition du 30 Novembre 2008
# Administrateur | 30/11/2008 | Transports
Trop de bruit sur les rails du métro et du tramway d’Alger. Les travaux avancent, mais le métro et le tramway sont toujours à quai. Concernant le tramway d’abord, la totalité du projet sera livrée vers le premier semestre de l’année...2011. «Le tramway d’Alger sera installé définitivement sur rails vers le mois de mai 2011», a confié à L’Expression un responsable du tramway d’Alger, en présence de Rafik Sana, président-directeur général du groupe Alstom, chargé de la réalisation du projet. Le même responsable revient à la livraison tranche par tranche. «Les travaux de la première tranche qui s’étale du carrefour de Cinq-Maisons à Fort de l’eau seront terminés au mois de décembre 2009. Soit dans une année exactement.» Le même interlocuteur précise qu’il s’agit seulement de l’installation. «La mise en service du tramway, concernant cette tranche, interviendrait vers le premier trimestre 2010.» Concernant la deuxième tranche, Hussein Dey-El Harrach, les travaux prendront fin vers l’été 2010. Pour la troisième et la dernière tranche, Fort de l’eau-Dergana, il a fait savoir qu’elle est prévue pour l’année 2011.
M.Sana a annoncé que son entreprise a mis en place un programme d’accélération afin de parachever les travaux de la première tranche vers la fin de l’année prochaine. C’est une façon de justifier et de rattraper le temps perdu. A propos des tramways de Constantine et d’Oran, le même responsable s’est contenté de dire que «les travaux ont commencé». Interrogé sur l’unité de montage des tramways, qui serait installée dans la ville de Annaba, ce responsable a bien voulu apporter quelques clarifications sur les propos rapportés par les responsables de la mission économique de l’ambassade de France en Algérie. M.Sana a précisé qu’il s’agit seulement de la création « d’une commission mixte pour étudier la faisabilité du projet ». Cette commission regroupe, selon le même responsable, des représentants d’Alstom, du ministère des Transports et de l’entreprise du métro d’Alger. « Le lieu n’a pas encore été choisi. Cette commission étudiera l’implantation et la capacité de cette unité de montage.» Ce qui laisse entendre que le choix du lieu n’est pas encore tranché. M.Sana a expliqué que « la priorité sera accordée à satisfaire le marché algérien », notamment les grands chantiers des tramways d’Alger, Constantine et d’Oran, «et de penser, par la suite, aux perspectives de l’international». De son côté, Phillipe Sauvard, directeur du projet métro d’Alger a réitéré que « sa mise en service à Alger en 2009 reste notre objectif ». Intervenant dans un atelier-débat animé à l’occasion des Journées technologiques françaises qui se tiennent au Palais des nations, M.Sauvard est revenu sur les différents obstacles qu’a connus ce projet depuis la naissance de l’idée du métro d’Alger. «Le métro a connu des démarrages et des freinages. En 1983 il y a eu l’arrêt des travaux à cause de la crise pétrolière. Il a causé 25 ans de retard. Les travaux ont été relancés en 2003 où la partie appelée génie civil a été réalisée dans des conditions d’insécurité» au vu de la situation sécuritaire qu’a connue l’Algérie dans les années 90. En ce qui concerne l’avancement des travaux, il a fait savoir que «les travaux sont toujours en phase d’installation. On procédera par la suite aux essais».
[ source ]
Par Tahar FATTANI
L'Expression, Ă©dition du 30 Novembre 2008
# Administrateur | 29/11/2008 | Transports
15% de progression sur le marché algérien
Une bonne nouvelle pour la compagnie au moment ou le secteur aérien mondial est affecté par la crise financière. 44 % des passagers partent au-delà de Paris, essentiellement en Asie (Japon et Chine et au Canada). C’est pour cette raison que la compagnie française mise toute sa stratégie sur le hub de Roissy-Charles-de-Gaulle, "une carte maîtresse pour assurer son développement dans les années à venir".
Concernant le billet électronique, 98 % des clients l’ont adopté, "une véritable révolution est en marche qui démontre bien l’attrait des nouvelles technologies pour les clients algériens", est-il mis en exergue dans un communiqué de presse. Les raisons de ce succès : le client algérien à l’instar du client international recherche de plus en plus d’autonomie, de gain de temps et de fluidité en matière de voyage. Il a été annoncé qu’à partir de janvier, les agences de voyages pourront remplacer les billets papiers par le billet électronique. L’avenir est à Internet, selon la direction de la compagnie, c’est pour cette raison qu’au lieu d’étendre le réseau commercial à travers les agences propres à la compagnie, le billet électronique sera plutôt encouragé. Les deux agences qui vendent directement des billets se trouvent à l’aéroport international Houari Boumédiène et à la tour Algeria Business Center, Pins maritimes à Alger, une tour d’affaires à mi-chemin entre la ville et l’aéroport. Revenant sur les rapports avec Air Algérie, le délégué régional dira que même "si on est concurrent sur le plan commercial, on est partenaire pour la formation et l’informatique.
C’est vrai que lorsque Air Algérie ouvre une ligne sur Pékin, c’est une concurrence directe mais le client choisira". Ses concurrents les plus redoutables sont la Lufthansa, British Airways et les compagnies du golfe telle que Emirates. Pierre Descazeaux, directeur général Europe et Afrique du Nord, a brosse un tableau du contexte de l’évolution du transport aérien mettant en évidence au passage les points forts de la compagnie (solidité financière, plate forme de Roissy-Charles-de-Gaulle, fusion avec KLM et alliance Sky Team).
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Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©dition du 29 Novembre 2008
# Administrateur | 23/11/2008 | Transports
Air Algérie : Une ligne aérienne Constantine-Tunis "avant la fin de l'année"
Bientôt des vols charter à partir de Constantine et Batna en direction d’Istanbul.
Une ligne aérienne bi-hebdomadaire reliera les aéroports Mohamed-Boudiaf de Constantine et Tunis-Carthage "à partir de décembre prochain", a annoncé hier le directeur régional de la compagnie "Air Algérie".
Ce vol s’effectuera "chaque dimanche et mercredi " par la compagnie nationale avec un appareil de type ATR de 72 places, a précisé à l'APS M. Badreddine Mekroud, signalant que l’ouverture de cette nouvelle ligne au courant de la deuxième quinzaine de décembre prochain coïncidera avec l’inauguration, à la même période, du vol Oran-Oujda (Maroc).
Ces deux nouvelles dessertes qui s'inscrivent dans le cadre de la stratégie de redéploiement d'Air Algérie en direction des pays limitrophes du Maghreb et de la région, sont également destinées à fidéliser une clientèle potentielle constituée en majorité d'hommes d'affaires et estimée à 4.000 voyageurs par an "rien que sur la ligne Constantine-Tunis", a noté le même responsable.
M. Mekroud a en outre affirmé que la direction d'Air Algérie envisage l'ouverture, à partir des aéroports de Constantine et de Batna, de deux vols "charter" en direction de la grande métropole turque Istanbul.
Le réseau actuellement couvert par Air Algérie, qui transporte plus de 3 millions de passagers et près de 20.000 tonnes de fret par an, est de quelque 96.400 km, soit 2,4 fois le tour de la Terre, a rappelé le directeur régional de la compagnie.
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Par EL MOUDJAHID, 22-11-2008 Ă 20:59
El Moudjahid, Ă©dition du 23 Novembre 2008
# Administrateur | 19/11/2008 | Transports
l’ouverture du capital de la société mère n’est pas à l’ordre du jour
Afin de consolider sa position dans la perspective de l’ouverture de l’espace algérien à la concurrence étrangère, la compagnie
nationale Air Algérie est en train d’opérer une vaste action de restructuration destinée à améliorer ses capacités de gestion et d’exploitation. Il s’agit de la filialisation, à compter du début de l’année prochaine, de ses activités de catering, de fret et de
maintenance technique. Les filiales «Air Algérie catering», «Air Algérie fret et cargo» et «Air Algérie maintenance technique» seront ainsi opérationnelles dans quelques mois. C’est ce qu’a indiqué hier le président-directeur général de cette compagnie, Abdelwahid Bouabdallah, lors d’une conférence de presse tenue au CIP d’Alger. Le capital de chacune de ces trois filiales sera ouvert, précise la même source. Quant à la société mère (Air Algérie), elle restera sous la tutelle de l’Etat pour « des raisons stratégiques ».
« Cela [l’ouverture du capital d’Air Algérie] n’est pas du tout à l’ordre du jour », tranche-t-il, avant d’expliquer que le capital d’Air Algérie catering sera ouvert dans une fourchette de 10 à 30%. « Le capital d’Air Algérie catering sera ouvert au premier trimestre 2009 en offrant complètement le management au repreneur ». Qu’en est-il d’Air Algérie fret et cargo ? Le P-DG d’Air Algérie prévoit que « le champ sera plus ouvert », en ce sens que la compagnie est actuellement à la recherche d’un partenaire stratégique pour reprendre les parts du marché national en fret et cargo qui demeure l’« otage » des compagnies aériennes étrangères. En ce qui concerne l’ouverture du capital de la filiale maintenance technique, elle se fera dans des conditions « un peu plus compliquées », contrairement aux autres filiales. Et pour cause, l’effort déployé dans cette activité est, ajoute Bouabdellah, « lourdement affecté par le départ massif et volontaire de techniciens compétents [au nombre de 400] ». L’autre sujet abordé est la politique de désenclavement, qui demeure l’une de ses priorités. Il a indiqué que celle-ci joue un rôle majeur à travers son intervention dans l’aménagement du territoire. Preuve, en est, argue-t-il, l’ouverture récente de la ligne Alger-Tamanrasset, ainsi que les villes de Laghouat, Mécheria et Tiaret qui sont reliées à Alger et Oran. Il laissera entendre que les fréquences sur les lignes intérieures ont été renforcées nonobstant la non-rentabilité de ces lignes. « Certaines lignes intérieures ne sont pas rentables, mais la compagnie nationale a une obligation de service public en contrepartie de laquelle elle reçoit une subvention de l’Etat », a-t-il indiqué. S’agissant des acquisitions, Air Algérie, aux dires de son premier responsable, compte acheter 11 nouveaux appareils (appareils régionaux, moyens porteurs et cargos). Il s’agit de quatre petits avions (70 places) destinés aux régions les plus isolées du Sud, payés sur le budget de l’Etat, de cinq appareils d’une capacité de 150 places chacun et de deux avions-cargos. L’autre chapitre évoqué lors de cette rencontre est l’ouverture de lignes aériennes. M. Bouabdellah annonce que la ligne Alger-Pékin sera ouverte le mois de février 2009, suivie d’Alger-Shanghai dans une deuxième étape. « La ligne aérienne Alger-Pékin sera ouverte le mois de février, et avec des prix concurrentiels [6 8000 DA HT]», souligne-t-il. Pour ce qui est de la ligne Alger-New York, elle est actuellement en négociations : «Un accord de principe a été accordé par les autorités américaines.»
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Par Salah Benreguia
La Tribune, Ă©dition du 19 Novembre 2008
# Administrateur | 18/11/2008 | Transports
Air Algérie : Cap constant sur les attentes du client : Vers l’ouverture du capital de la compagnie ?
Pour consolider sa position dans la perspective de l'ouverture de l'espace algérien à la concurrence étrangère, la compagnie nationale de navigation aérienne, Air Algérie, entame une vaste action de restructuration destinée à améliorer ses capacités de gestion et d'exploitation. Dans cette optique des filières seront créées en partenariat dans les domaines du catering, le cargo et la maintenance. Toutefois, précisera son P-DG sur les ondes de la Chaîne III, la société restera sous la tutelle de l'Etat pour des raisons stratégiques évidentes. M. Abdelwahid Bouabdallah a affirmé, dans le même contexte que le client et les prestations de service sont les axes fondamentaux dans cette démarche qui vise à redorer le blason de la compagnie. Pour mieux répondre aux attentes du client, la compagnie procédera à la formation de 2 800 personnes versées dans le commercial.
Il fera état également de l'acquisition imminente par la compagnie de 11 nouveaux appareils de types régional, moyen porteur et cargo. Il sera question de quatre petits avions régionaux (70 places) destinés aux régions le plus enclavées du pays, et de sept autres avions dont cinq appareils d'une capacité de 150 places et de deux cargos. Un appel d'offres international a été initié dans ce sens. Le financement de ces avions sera prospecté sur le marché financier national affirmera M. Bouabdallah. Concernant la vieille flotte, dont l'avion immobilisé depuis 2002 au niveau du tarmac, le premier responsable de Air Algérie parlera de « s'en débarrasser ». Un contrat de vente a été signé dans ce sens pour une enveloppe de 20 millions de dollars. Sur un autre registre, il a déclaré que la ligne Alger-Pékin sera ouverte le 22 février 2009 et sera suivie de la ligne Alger-Shanghai.
Le P-DG de la compagnie a indiqué dans le même ordre d'idées que la ligne Alger-New York est en phase de négociations. Par ailleurs, il ajoutera que la ligne Alger-Moscou subventionnée par l'Etat pourrait éventuellement être jumelée à la ligne qui sera ouverte sur Téhéran. M. Bouabdallah abordera, d'autre part la problématique de rentabilité de certaines lignes intérieures subventionnées par l'Etat dans le cadre de la politique de désenclavement des régions de l'intérieur du pays pour suggérer que l'Etat oriente cette subvention vers l'individu au lieu de la flotte. Des réductions sur les tarifs pourraient être opérées à l'instar de ce qui se fait dans les îles des Baléares (Espagne). A propos du transport des pèlerins aux Lieux saints de l'Islam, il soulignera le bon déroulement de l'opération qui s'étalera a-t-il précisé jusqu'au 1er janvier 2009 et concerne 36.000 pèlerins dont 26.000 sont transportés par Air Algérie et le reste par la compagnie saoudienne. Pour cette année, une quinzaine d'aéroports ont été retenus dont trois nouveaux à savoir Tamanrasset, El Oued et Tlemcen indiquera M. Bouabdallah. Une question reste posée, en définitive, la compagnie s’achemine-t-elle vers l’ouverture de son capital pour faire face à ses contraintes?
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Par D.Akila - 16-11-2008 Ă 21:34
El Moudjahid, Ă©dition du 18 Novembre 2008
# Administrateur | 18/11/2008 | Transports
Les entreprises turques sont de plus en plus présentes en Algérie. La société Özgun Insaat, filiale du groupe Özgun en est une. Cette société active dans notre pays depuis 2004, spécialisée dans le secteur des travaux publics et de la construction, Özgun Insaat a déjà amorcé plusieurs chantiers en Algérie. «La société réalise actuellement trois tunnels à Tizi Ouzou, des ouvrages d’art et des excavations...», a indiqué, hier, son directeur d’administration, M.H.Erdinc Palaz, lors d’une conférence de presse animée en marge du 6e Salon international des travaux publics qui se tient à la Safex. Ce n’est pas tout puisque Özgun a récemment remporté quatre nouveaux projets sur la base de ses références. Il s’agit, selon le conférencier, de l’aménagement de la RN43 sur 11,5km (Béjaïa), du doublement de la voie ferrée avec rectification du tracé entre les gares d’El Affroun et Khemis Miliana (55km), de la conception et la réalisation d’une ligne à double voie électrique entre Thénia et Bordj Bou Arréridj (175km) ainsi que l’exécution des travaux de modernisation de la ligne Thenia-Tizi Ouzou (50km) et son électrification jusqu’à Oued Aïssi (14km). Sa quote-part pour ces quatre projets avoisine les 800 millions d’euros sur les 2 milliards d’euros que le Groupe compte investir dans ces mêmes projets, a fait savoir M.Palaz, qui prévoit la création de plus de 1000 emplois grâce à cet investissement. «Parce que nous sommes convaincus que la force d’une société est dans l’efficacité de son équipe, nous accordons une très grande importance au bien-être de notre personnel et à l’organisation des différentes compétences en vue de créer la synergie optimale à la réalisation de nos projets dans les meilleures conditions», a-t-il soutenu. La société s’intéresse, en outre, au projet du métro d’Alger, notamment dans son volet génie-civil. La société a déjà réalisé le métro d’Istanbul, indique son patron. «D’autres projets, poursuit-il, sont en cours d’étude et nous pensons que notre activité poursuivra son évolution en Algérie pour les années à venir.» Le patron d’Özgun Insaat précise que le marché algérien est le plus important pour la société. «Stratégiquement, nous sommes beaucoup plus présents en Algérie qu’en Libye.» Le même responsable souligne que la philosophie Özgun est basée sur trois facteurs, à savoir la sécurité des intervenants sur les chantiers, l’esthétique dans les édifices réalisés et la suppression de tout gaspillage qui engendre des coûts inutiles à ses clients. Par ailleurs, Özgun est très sensible à la préservation de l’environnement. Créé en Turquie en 1993, Özgun Group compte aujourd’hui quatre sociétés qui proposent leurs services dans les secteurs de la construction, les travaux publics, l’assurance et l’énergie. Son effectif compte aujourd’hui plus de 2000 collaborateurs. Plus de 50 chantiers sont à son actif dans différents pays.
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Par NaĂŻma HAMIDACHE
L'Expression, Ă©dition du 18 Novembre 2008
# Administrateur | 15/11/2008 | Transports
Algérie : Le ministère des Transports veut mettre de l'ordre dans les routes
C'est du moins ce que l'on peut déduire de la réunion des cadres du secteur, tenue, hier, au siège du ministère à Alger sous la présidence du ministre Amar Tou.
Réunion consacrée à la réflexion sur la mise à niveau de quatre principaux volets liés au domaine. Il s'agit de la circulation routière, des auto-écoles, des taxis et de l'amendement de la loi régissant le code de la route.
«Le sentiment d'impunité est toujours présent dans les esprits», constate M. Kenniche présentant les propositions de son atelier relatives à la révision des sanctions des infractions liées au code de la route. La ceinture de sécurité, le port de casque pour les conducteurs de moto et notamment la limitation de vitesse sont les points éclaircis par ce cadre du ministère.
Réitérant dans les nouvelles propositions formulées l'obligation du port de la ceinture de sécurité aux premiers sièges de véhicules, l'intervenant propose, en revanche, une exception dans ce sens pour les services de sécurité et de la protection civile en service, « pour plus de liberté de mouvement», a-t-il estimé.
Au sujet du port du casque moto, rappelant le sentiment d' « impunité », il note que «même si la loi est claire, il est constaté que cet aspect là n'est pas respecté à la lettre par les usagers d'où la nécessité, voire l'urgence de renforcer les textes y afférents et les rendre applicables».
A ce point précis, M. Kenniche fera savoir que le non- port du casque représente 09% des victimes des accidents de la route en Algérie. Le non-respect de la limitation de vitesse est responsable, lui, poursuit l'orateur, de 24% des drames de la circulation routière.
«Des mesures coercitives à l'encontre des contrevenants doivent être entreprises », a-t-il enchaîné ajoutant, à titre d'exemple, que « la peine d'homicide involontaire devrait être portée à 04 ans de prison au lieu de 02 ans tel qu'il est en vigueur ».
Plus loin, poursuivant l'exposé des propositions de son atelier, cet intervenant souhaite voir « tous » les dossiers ayant lien aux infractions du code de la route, transférés devant des tribunaux, «au lieu d'être traités au niveau des daïras ».
Dans le même chapitre des suggestions, l'orateur propose l'élaboration d'un fichier national des infractions du code de la route. En clair, il explique que ce fichier servirait d' «identification» mais surtout de «recherche» des conducteurs dépassant les règles et lois de la route.
Concernant la nouvelle politique de gestion des auto-écoles, initiée ces derniers mois par le ministère, le chargé d'examen de ce dossier a fait savoir qu'«une bonne partie » du nouveau programme élaboré par le département des Transports est en cours d'application.
Le volume horaire qui était de 30 heures durant toute la formation, est porté, confirme-t-il, à 55 heures : 30 h de pratique et 25 h de théorie. La formation des exploitants des auto-écoles sera, ajoute cet intervenant, la prochaine phase du programme en question.
De son côté, le ministre a indiqué en marge de cette rencontre que l'objectif des travaux des ateliers est de faire des propositions à même de remettre de l'ordre dans le secteur mais surtout, insiste-t-il, de durcir le volet pénalité aux contrevenants.
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Par Horizon 15 November, 2008 01:18:00
dz-web.org, Ă©dition du 15 Novembre 2008
# Administrateur | 14/11/2008 | Transports
Métro d'Alger : Essais techniques de la première rame
Le sifflet résonnait si fort que tous les regards se sont retournés comme d’un geste mécanique. Le voilà qui arrive, le métro d’Alger est en marche. Ce n’est certes qu’un essai technique, mais vu l’importance du projet, il a laissé rêveur plus d’un. Le groupe de cadres et journalistes qui accompagnait Amar Tou dans sa visite de travail, et ce, dans les ateliers de maintenance du premier métro de l’Algérie indépendante, voyaient ainsi un rêve de longue date se réaliser enfin. Voir le métro d’Alger en marche est désormais chose faite pour eux. De surcroît, les essais sont accomplis avec un succès irréprochable «reste à le voir parcourir les tunnels de la capitale», confère le ministre des Transports. Pour M. Amar Tou, ce succès signifie le premier pas vers un désengorgement de la capitale, «le métro, ajouté au tramway, aux huit téléphériques et au train de banlieue, saura lever la pression sur les routes», expliquera-t-il à l’adresse des représentants des médias.
En effet, la mise en circulation au courant de l’été prochain de la première ligne, reliant la Grande Poste à la cité Haï El Badr, du métro d’Alger est très attendue par la population et par les pouvoirs publics qui en font un vecteur de développement du tourisme. Le métro d’Alger sera ensuite prolongé vers l’ouest en direction de la place des Martyrs pour être relié au tramway d’Alger ouest et à l’est en direction d’El Harrach pour être connecté aux trains de la banlieue algéroise. «C’est là l’un des quatre métros automatisés qui existent dans le monde. Beaucoup de pays œuvrent à renouveler leur parc en s’équipant d’un métro de telle technicité», renchérit le ministre visiblement satisfait de l’évolution du projet. Selon le même responsable, l’acheminement chaque mois de deux rames à partir de décembre se fera systématiquement, «pas moins de huit rames sont déjà fabriquées au niveau des usines» atteste le ministre. Cet équipement est fourni par le groupement composé des entreprises Siemens, Vinci Construction et de l’espagnol Construction Y Auxiliar de Ferrocariles (CAF) pour un contrat d’équipement évalué à 35 milliards de dinars. La délégation ministérielle s’est également rendue sur le chantier de réalisation du poste de commandement centralisé aux Anassers. Un complexe technico-administratif qu’on préfère appeler «le cerveau du métro». C’est, en effet, de là qu’est géré tout le réseau et d’où sont déclenchées toutes les interventions de sécurité nécessaires. Cette installation, dont la livraison est prévue d’ici à la fin de l’année, sera elle aussi équipée d’installations de dernière technologie. «Nous avons accordé toute l’importance qu’il faut au volet sécuritaire. La vie n’a pas de prix», atteste le ministre.
L’imposant immeuble de six étages a pris forme et sera équipé d’ici à la deuxième quinzaine du mois de février, expliquent des représentants du groupement. Composé d’un poste de haute tension et de groupe de secours en cas de panne, le PCC alimentera tout le réseau sous une tension de 60 KV au niveau du poste principal. Aussi, le programme de formation de jeunes ingénieurs algériens a été lancé par la RATP, à la quelle est confiée la gestion du métro d’Alger, et ce dans le cadre, précise le ministre, d’un transfert graduel du savoir-faire. Le ministre a également souligné l’effort de la DGSN, qui s’est lancée dans un programme de formation de 250 agents spécialisés dans la sécurisation des tunnels et métros. La formation à débuté l’année dernière.
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Par A.Fadila, 11-11-2008 Ă 21:42
Photo : T. Rouiabah
El Moudjahid, Ă©dition du 12 Novembre 2008
# Administrateur | 14/11/2008 | Transports
Métro d’Alger : La RATP formera les futurs cadres du poste de contrôle centralisé
La Régie Autonome des Transports Parisiens dénommée Ratp Développement, qui a décroché le contrat de gestion du futur métro d’Alger, a lancé des programmes de formation destinés aux cadres et ingénieurs devant occuper le staff administratif et technique du PCC (poste de contrôle centralisé, sis à la rue des Fusillés (ex-Ruisseau). Cet établissement, dont l’achèvement est annoncé pour la fin de l’année, sera, d’après les experts, équipé d’un matériel de haute technicité qui nécessite un savoir-faire de haut niveau, explique le ministre des Transports qui précisera à l’occasion que le volet formation est placé au cœur des priorités de son staff ministériel. «Que l’on veuille ou pas, nous avons besoin de la compétence étrangère pour maîtriser un domaine qui nous échappe à l’heure actuelle», confère le ministre. C’est à partir du PCC que sera en effet géré tout le réseau et d’où sont déclenchées l’ensemble des interventions possibles sur le terrain.
RATP a en effet signé un contrat de dix ans qui s’inscrit en réponse aux insuffisances relevées dans la gestion des infrastructures de transports urbains. Une expérience que beaucoup d’entre les cadres du ministère n’hésitent pas à qualifier d’opportunité pour le transfert du savoir-faire en allant vers une gestion locale de l’infrastructure. Un programme de formation des conducteurs et cadres algériens est en effet inclus dans les clauses du contrat qui focalise par ailleurs sur l’aspect sécurité des lignes et qualité des prestations de services.
Le choix de la société française sanctionne les résultats d’un avis d’appel d’offres ayant attiré bon nombre de soumissionnaires parmi lesquels figure la Société nationale des chemins de fer (SNCF) à travers sa filiale Kéolis. RATP qui, pour précision, gère le transport urbain de la ville parisienne et sa banlieue, est appelée à assurer la gestion de l’exploitation et de la maintenance du métro d’Alger. Un marché évalué à 12 milliards de dinars, apprend-on. L’ouverture des plis relatifs à cette opération s’est déroulée à Alger et a porté sur l’évaluation des offres techniques et financières de ladite société qui a cumulé un total de 3.763 points sur 4.200 points fixés par l’Entreprise du Métro d’Alger EMA. Avec un chiffre d’affaire de 3,7 milliards d’euros, la RATP Développement figure parmi les sociétés de transport ferroviaire les plus importantes en Europe. Soulignons enfin que la première ligne, reliant la Grande Poste à la cité Haï El Badr sera mise en exploitation durant l’été 2009 et sera prolongée à l’ouest en direction de la place des Martyrs pour être reliée au tramway d’Alger ouest et à l’est en direction d’El Harrach pour être connectée aux trains de la banlieue algéroise. Les premiers essais techniques ont eu lieux mardi dernier en présence du ministre. Selon des sources du ministère des Transports, ces deux extensions sont actuellement en phase d’études. La mise en service de ce métro très attendu par les Algérois introduit un mode de transport nouveau à même d’améliorer les temps de déplacement et la qualité des services tout en garantissant une meilleure régularité, sécurité et confort à ses utilisateurs.
[ source ]
Par Fadila
El Moudjahid, Ă©dition du 13 Novembre 2008
# Administrateur | 09/11/2008 | Transports
Economie
Premier vol entre Paris et Tamanrasset
Apres 10 ans de suspension à cause de la dégradation de la situation sécuritaire, Air Algérie a effectué, hier, le premier vol International reliant la ville de Tamanrasset à la capitale Française Paris.
Plusieurs personnalités et des touristes ainsi que 20 journalistes, pour assurer la couverture de cet événement, ont assisté à ce premier vol qui rentre dans le cadre de la promotion de la destination Algérienne notamment vers le Sud.
[ source ]
Par S. B. A / Traduit par H. By
El Khabar, Ă©dition du 09 Novembre 2008
# Administrateur | 06/11/2008 | Transports
Les agences algériennes de voyages émettent des billets électroniques sur les vols de la compagnie française Aigle Azur depuis le 3 novembre dernier. C’est ce qu’annonce Aigle Azur dans un communiqué de presse parvenue à notre rédaction hier. Selon cette même source, la compagnie aérienne a généralisé le billet électronique auprès de l’ensemble de son réseau de distribution sur le territoire national, soit plus de 350 points de vente. Rappelons qu’Aigle Azur assure des liaisons à partir de sept aéroports français vers 13 villes algériennes, notamment la capitale avec des vols quotidiens et le Grand Sud du pays hebdomadairement. Il est expliqué dans le communiqué de la compagnie aérienne que l’e-ticket permet de faciliter le voyage des passagers : stocké sous format électronique, il peut être imprimé à volonté ! Ainsi, les voyageurs ne peuvent plus le perdre. Il leur suffit de se présenter directement à l’enregistrement munis de leurs pièces d’identité en cours de validité.
[ source ]
La Tribune, Ă©dition du 06 Novembre 2008
# Administrateur | 05/11/2008 | Transports
La nouvelle ligne transcontinentale reliant Alger à Pékin sera lancée à la mi février 2009, a indiqué mercredi à Alger, le représentant général de la compagnie Air Algérie dans la capitale chinoise, M. Boutemadja Samy.
"Toutes les autorisations nécessaires sont acquises et tout est réglé pour effectuer le premier vol vers Pékin en février 2009", a souligné ce responsable dans une déclaration à l'APS, en marge d'une rencontre entre Air Algérie et les représentants des agences intermédiaires agréées.
La compagnie nationale est en train de mettre en place sa représentation à Pékin et "le dossier est bien avancé", a ajouté M.Boutemadja, mentionnant que le plan marketing accompagnant cette ligne doit être lancé incessamment.
Sur le plan technique, la liaison Alger-Pékin (11 heures de vol) sera assurée à raison de deux fois par semaine (dimanche et jeudi) par un appareil Airbus A330. Le tarif commence à partir de 70.000 DA.
Les départs sont fixés à 10h30 (heure locale) et l'arrivée à Pékin à 4h30 du matin le jour suivant (J+1), précise le responsable de la compagnie, ajoutant qu'il s'agit d'horaires étudiés permettant des correspondances aussi bien en Algérie, pour le travailleurs chinois employés dans les chantiers à l'intérieur du pays, qu'en Chine.
Selon les prévisions d'Air Algérie, 15.000 voyageurs-an sont attendus sur cette ligne long courrier, la deuxième lancée dans ce segment après celle de Montréal (Canada).
Après Pékin, Air Algérie compte lancer la ligne Alger-New York, dans un proche avenir.
[ source ]
Par APS
La Tribune, Ă©dition du 05 Novembre 2008
# Administrateur | 05/11/2008 | Transports
Afin de rattraper les retards enregistrés sur le projet
L’installation d’un comité de pilotage, tel que prévu par le ministre des Transports, pour veiller à l’exécution des travaux de réalisation du tramway d’Alger dans les délais impartis, est prévue prochainement. L’annonce de cette décision a été faite officiellement, hier, par M. Amar Tou, ministre des Transports, lors d’une audience qu’il a accordée à une délégation du groupe Alstom-Transport chargé du projet. Le premier responsable du secteur a mis l’accent sur la nécessité d’étudier toutes les possibilités afin de rattraper les retards observés au niveau, notamment, de certains chantiers du tramway. D’ailleurs, lors d’une visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée au niveau de la capitale, M. Tou a indiqué que le taux d’avancement des travaux de réalisation du tramway d’Alger, devant être livré durant l’été 2010, a atteint 25% et, partant, avec cet accord, l’augmentation de la cadence du travail s’imposait. Après avoir entendu un exposé des travaux engagés par le groupe pour la réalisation de ce projet de grande envergure et l’électrification du réseau ferroviaire de la banlieue d’Alger, le ministre a insisté sur le respect des délais pour la mise en exploitation de ce dernier. Il a suggéré dans ce contexte que les essais à blanc interviennent incessamment aussi bien sur l’axe Alger-Thenia que sur celui d’Alger-El Afroune.
Abordant la question relative à l’implantation d’une unité de montage de tramways en Algérie, le premier responsable du secteur a rappelé qu’«une réponse est toujours attendue de la part d’Alstom-Transport», tout en soulignant que le projet est «un facteur appréciable d’intégration dans la dynamique globale du développement du pays compte tenu de son impact prévisible sur la région du Maghreb et au niveau africain». A cet effet, il a été décidé, a souligné le ministre, de mettre en place un comité chargé d’œuvrer à la préparation et à la réalisation de ce projet. Rappelons, par ailleurs, que le tramway d’Alger fait partie d’un grand projet d’envergure consistant à mettre en service des tramways dans les 4 grandes métropoles du pays, à savoir Alger, Oran, Constantine et Annaba. Le tramway d’Alger, mode de transport propre et performant, offre une capacité de 6 800 voyageurs par heure et 185 000 personnes/jour, soit près de 50 millions d’usagers par an. Il y a lieu de préciser aussi que le tramway est composé de 41 rames, d’une capacité de 400 usagers chacune. Le coût dudit tramway, dont le contrat de réalisation a été signé, faut-il le rappeler, récemment dans la capitale entre l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) et le groupement international Mediterail englobant les sociétés Alstom (France), Todini (Italie) et BTPRH (Algérie), est évalué à 35 milliards de dinars (320 millions d’euros). La Todini est le chef de file avec 50% pour la partie concernant les œuvres de génie civil dont la valeur est de 100 millions d’euros. Cette première ligne du tramway d’Alger, d’une longueur de 16,3 km, reliera le quartier El Annasser à Bordj El Kiffan sur trente stations qui atteindront 38 à la réception définitive du projet qui s’étendra jusqu’à Dergana et touchera une population estimée à 500 000 habitants avec une fréquence de rotation de 4 minutes pendant les heures de pointe, selon les termes de ce contrat. Elle desservira les secteurs d’Hussein Dey, El Harrach, Cinq Maisons, Cité les Bananiers, Bab Ezzouar et Bordj El Kiffan. Le futur tramway doit transporter, selon certaines estimations, entre 150 000 et 185 000 personnes par jour.
[ source ]
Par Nabila Belbachir
La Tribune, Ă©dition du 05 Novembre 2008
# Administrateur | 03/11/2008 | Transports
Air Algérie
Augmentation des fréquences
Cette décision a été assimilée par certains observateurs à une réaction face à la concurrence qui a commencé à glaner des parts de marché de plus en plus importantes. Le réseau Europe et plus particulièrement la France demeure son premier marché à l’international, suivi par le réseau Moyen-Orient et Afrique. Elle dessert aussi le Canada. La compagnie française Aigle Azur ajoute de nouvelles fréquences vers Alger et parie sur le Marseille-Alger. Air France se place en challenger sur le marché algérien et mise plutôt sur son hub de Paris Charles de Gaulle pour les nombreuses continuation au-delà de Paris (Chine, Canada). Visant ouvertement le marché des Algériens de France, ces trois compagnies se sont aussi positionnées sur le créneau couru des hommes d’affaires. Air Algérie qui a perdu son monopole est aujourd’hui, malgré elle, pleinement engagée dans « la bataille du ciel ». Le taux de remplissage d’Air Algérie de 63,19% pour l’année 2007 est jugé "acceptable". Elle a transporté l’année dernière 3 724 000 passagers.
[ source ]
Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©dition du 03 Novembre 2008
# Administrateur | 29/10/2008 | Transports
Air Algérie : Une nouvelle desserte Constantine-Nice depuis hier
Le vol saisonnier de la compagnie Air Algérie reliant chaque été la ville de Constantine à l'aéroport Français "Nice côte d'Azur" est devenu depuis lundi vol régulier hebdomadaire.
Le vol saisonnier de la compagnie Air Algérie reliant chaque été la ville de Constantine à l'aéroport Français "Nice côte d'Azur" est devenu depuis lundi vol régulier hebdomadaire.
Le vol inaugural s'est effectué, lundi matin, à bord d'un Boeing 737-800 où ont pris place, en plus des cadres de la compagnie Air Algérie, des représentants des entreprises aéroportuaires nationales, des autorités de la wilaya de Constantine et des hommes de la presse.
L'ouverture de cette ligne aérienne entre les deux villes Algérienne et Française, séparées désormais par 1h 20 de vol, "s'inscrit dans le cadre de la stratégie de redéploiement d'Air Algérie qui est mue par le souci de se rapprocher davantage de ses clients et leur faciliter leurs déplacements", a souligné le directeur régional de la compagnie aérienne, M. Badreddine Mekroud, dans une allocution prononcée à l'arrivée de l'aéronef sur le territoire Français, lors d’une réception organisée au niveau de l'aéroport de Nice.
La cérémonie à notamment regroupé, outre Mme Anissa Benabdallah, consule-adjointe et M. Nasreddine Nasri, vice-consul représentant le consul d'Algérie à Nice, M. Hadj Mokhtar Louhibi, ancien ambassadeur d'Algérie à Athènes (Grèce), des personnalités Françaises dont M. Roddy Salles, vice-président de l'assemblée nationale Française et adjoint au maire de Nice, le chef d'escale de la compagnie Air France, des représentants des autorités aéroportuaires de Nice et un invité de la compagnie de transport aérien tunisien Tunis Air.
Les représentants du consulat d'Algérie à Nice ont affirmé à l'APS que ce nouveau redéploiement de la compagnie Algérienne "vise à capter une clientèle estimée à 35.000 ressortissants Algériens issus principalement de l'Est de l'Algérie et répartis à travers les quatre départements couvrant les Alpes maritimes et dont Nice est le chef-lieu".
De son côté, M. Malek Abed, directeur des ressources humaines à Air Algérie et représentant personnel du président directeur général de la compagnie, a affirmé que la pavillon national est "en passe de renforcer son réseau par l'augmentation de fréquences au niveau de certaines destinations qui seront choisies en fonction du besoin et l'exploitation de nouvelles lignes à travers le monde".
L'ouverture, avant fin 2008, d'une ligne aérienne Alger-Pékin (Chine) et d’une desserte bihebdomadaire Constantine-Tunis "à la fin novembre" figurent notamment au programme de l'entreprise.
Cela a nécessité, selon le même responsable, la commande de 18 nouveaux appareils dont quatre appareils de types ATR de module 70 places chacun, de 7 avions moyen-courrier de 150 places, en plus de 7 autres appareils d'une capacité de 19 places destinés à assurer les petites liaisons aériennes de l'intérieur du pays comme les wilayas des hauts plateaux et des villes du sud.
[ source ]
Par EL MOUDJAHID, 27-10-2008 Ă 20:39
El Moudjahid, Ă©dition du 29 Octobre 2008
# Administrateur | 24/10/2008 | Transports
Dorénavant, huit vols hebdomadaires seront assurés par la Royal Air Maroc. C’est ce qu’a affirmé hier, Hassen Benhina, directeur régional pour l’Algérie de la Royal Air Maroc. Un accord a été trouvé avec la compagnie nationale Air Algérie, a-t-il ajouté. Auparavant, la Royal Air Maroc n’assurait que six vols par semaine à partir de
l’aéroport international d’Alger. Désormais, les voyageurs de l’Oranie auront droit à deux vols par semaine pour se rendre directement au Royaume chérifien. Cependant, Hassen Benhini a tenu à préciser que «les jours de départs ne sont pas encore fixés mais ils le seront incessamment». Cette décision a été prise dans le but de répondre à une demande en constante augmentation. Selon notre interlocuteur, la RAM a assuré entre juin et fin août, dix vols charters sur Agadir avec un taux de remplissage dépassant les 70%. Sur un autre plan, Hasen Benhini a tenu à démentir catégoriquement les informations rapportées par la presse marocaine faisant état de l’ouverture du capital de la compagnie qui couvre actuellement 23 destinations vers l’Afrique via le hub de Casablanca.
[ source ]
Par Smail ROUHA
L'Expression, Ă©dition du 23 Octobre 2008
# Administrateur | 20/10/2008 | Transports
Tramway d’Alger : Les premières rames livrées en mars 2009
Les travaux du tramway d’Alger avancent, atteignant un taux de réalisation de 25%. Ce projet, en effet, qui s’étend sur 23 km, desservant 28 stations, se matérialise désormais avec la réception en mars prochain des premières rames et la mise en service du projet dans sa totalité, vers la fin de 2010, c’est ce qu’a confirmé, hier, le ministre des Transports, Amar Tou, lors de la visite qu’il a effectuée à la ligne est de Bordj El-Kiffan, où les équipes sont à pied d’œuvre.
Le ministre, qui s’est rendu au niveau des chantiers de Bordj El-Kiffan et des Bananiers, s’est montré très satisfait de l’état d’avancement du projet, caractérisé par la réalisation de 1.700 mètres en voie ferrée à Bordj El-Kiffan et entre 2.800 et 3.000 mètres linéaires, au niveau des Bananiers. M. Tou a écouté les explications des responsables du tranmway qui annoncent que des négociations sont en cours avec Alstom pour l’installation d’une usine de montage de matériels roulants à Alger, de tranmway et de métro et qu’une étude de faisabilité a été réalisée. Ils préciseront par ailleurs que ce projet sera discuté lors de la réunion, prévue le 3 novembre prochain, avec les représentants du Groupe Alstom.
Intervenant à cette occasion, le chargé du secteur tiendra à souligner que le tramway ainsi que l’exploitation du métro et l’électrification des trains de la banlieue, qui assureront le déplacement de près de 170 millions d’usagers, sont à même de désengorger la circulation à Alger, avant de poursuivre que la tutelle prévoit l’amendement du code de la route pour faire baisser le nombre des accidents de la route qui vont crescendo et qu’un schéma de circulation routière pour la capitale est en cours d’élaboration. Pour rappel, le tramway d’Alger, mode de transport propre et performant, offre une capacité de 6.800 voyageurs par heure et 185.000 personnes/jour, soit près de 50 millions d’usagers par an. Il y a lieu de préciser aussi que le tramway est composé de 41 rames, d’une capacité de 400 usagers chacune..
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El Moudjahid, Ă©dition du 20 Octobre 2008
# Administrateur | 17/10/2008 | Transports
Tassili-Airlines attend le feu vert du ministère des Transports
L’on apprend du responsable du département de communication au niveau de la Tassili Airlines que l’ensemble des démarches et préparatifs inhérents à l’entrée en vigueur de la desserte Oran-Alger sont fin prêts et le premier vol officiel n’attend que l’autorisation du ministère des transports dont la délivrance devrait intervenir dans peu de temps. Par ailleurs et s’agissant de l’appel d’offres pour l’acquisition de 09 avions de 70 à 150 sièges, lancé au mois d’août dernier et l’ouverture des plis des offres soumissionnées ont eu lieu hier au siège de la direction générale de la compagnie en présence des représentants des soumissionnaires. L’acquisition par la compagnie de ces 09 appareils a suscité l’intérêt de 06 grands constructeurs d’avions de nationalités différentes. Il s’agit de Super-jet international, EMBRAER, Boeing, Mitsubishi, AirBus et Bombardier. Ces offres seront remises, bien sûr, à la commission d’évaluation appelée à statuer sur les offres techniques, suite à quoi le processus du dépôt des offres commerciales sera lancé. Tassili Airlines desservira les lignes intérieures des wilayas d’Alger, Oran, Constantine et Ghardaïa et Oran abritera la deuxième implantation de la compagnie, après Alger, a-t-on noté. L’implantation des infrastructures locales de la compagnie au niveau des wilayas sont en cours, Tassili Airlines détenue à 100% par le groupe SONATRACH, se veut un nouvel outil d’organisation et d’exploitation de services aériens de transport par aéronef, sur le réseau national et international. Et ce, à travers la réalisation de vols réguliers et non réguliers, des vols à la demande, fret et affrètement d’avions, l’entretien technique des avions ainsi que la formation du personnel technique aéronautique. Toujours est-il que l’arrivée de cette compagnie sur le marché du transport aérien suscitera le grand «Ouf» des milliers de citoyens usagers de transport aérien qui endurent l’amertume depuis la disparition de la compagnie Khalifa Airways.
[ source ]
Par Amel S.
La Voix de l'Oranie, Ă©dition du 16 Octobre 2008
# Administrateur | 16/10/2008 | Transports
Pour l’acquisition de nouveaux avions :
Le chargé de l’Information des compagnies « Tassili Airlines » a affirmé que 6 compagnies internationales ont participé à l’appel d’offres international pour obtenir 9 avions qui renforceront son arsenal aérien en prévision d’effectuer prochainement des vols intérieurs. L’appel d’offre a été lancé par cette compagnie, filiale de Sonatrach, le mois d’Août dernier.
Les six compagnies qui ont pris part à cet appel d’offres, dont les plis ont été ouverts, hier, au siège de cette compagnie sont « Super Jet », la compagnie Brésilienne « empereur Air », l’Américaine « Boeing », la japonaise « Mitsubishi Aircraft », l’Européenne « Airbus » et la Canadienne « Bombardier ».
La compagnie Tassili Airlines vise à travers cet appel d’offres à obtenir deux avions « Jet » d’une capacité de 70 sièges et 3 avions « Jet » de 100 sièges ainsi que 4 avions « jet » de 150 sièges.
Le cahier des charges de Tassili Airlines exige que ces avions soient accompagnés de toutes les prestations, notamment techniques en plus des pièces de rechanges.
Pour ce qui est des vols intérieurs que la compagnie « Tassili Airlines » compte ouvrir, en dehors du transport des employés de Sonatrach, le même interlocuteur a expliqué que cette compagnie attend toujours le feu vert du ministère de Transport.
[ source ]
Par S. Bouayad/ Rubrique Traduction
El Khabar, Ă©dition du 16 Octobre 2008
# Administrateur | 07/10/2008 | Transports
En marge de la réception de la première rame du métro d’Alger, Amar Tou annonce :
Après une attente qui aura duré des années (essentiellement pour des contraintes d’ordre budgétaire et sécuritaire), les Algérois vont pouvoir, dès l’été prochain, monter à bord du métro de leur capitale. C’est en tout cas ce qui ressort de la déclaration faite, hier, par M. Amar Tou, ministre des Transports, à l’occasion de la cérémonie officielle de la réception de la première rame du métro d’Alger, arrivée en Algérie le 29 septembre dernier. « La vision mondiale veut qu’il faut qu’il y ait une concurrence entre les différents moyens de transport. Dans ce cadre, la priorité doit être donnée au transport par le biais de la voie ferroviaire », dira en substance le ministre des Transports, ajoutant que le métro ne pourra qu’avoir une incidence positive sur les transports au niveau de la capitale, dans la mesure où il permettra le désengorgement de cette dernière. « L’asphyxie en matière de circulation routière au niveau de la capitale est indéniable. Un pareil projet ne peut que s’avérer salutaire», tiendra à ajouter le ministre. Pour ce dernier, la mise en service du métro d’Alger est prévue pour le mois de juillet de l’année prochaine. « On prévoit à partir du mois de décembre prochain la réception de 13 autres rames [comptant six voitures chacune], à raison de deux rames par mois», affirmera M. Tou. C’est à la Régie autonome des transports parisiens (RATP) qu’a été confié le volet relatif à la gestion du futur métro de la capitale. S’agissant de l’aspect technique (dont la maintenance), ce sont des entreprises algériennes, associées à des entreprises étrangères, qui s’en chargeront.
A la faveur des explications données au responsable n°1 du secteur des transports dans notre pays, à l’issue de sa visite d’inspection à la voie d’essai du métro d’Alger située à Bachdjarah, il ressort que l’essai de la première rame du métro (dont le centre de direction automatique est situé aux Annassers) est prévu pour la fin du mois en cours. S’agissant de la ligne 1 du métro d’Alger, reliant Hai El Badr à la Grande Poste, elle dessert six communes, en l’occurrence Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Hamma, Sidi M’hamed et Alger-centre. Cette ligne devrait être étendue vers la place des Martyrs (pour desservir les communes d’Alger-centre et de la Casbah), El Harrach (pour desservir la commune de Gué de Constantine) ainsi que Aïn Naadja, laquelle desservira la commune de Gué de Constantine. Au sujet des infrastructures de cette ligne (tunnels, stations, complexe de maintenance, poste haute tension, pose de câbles et montage de divers autres équipements), les explications attestent qu’elles ont toutes été achevées.
Emboîtant le pas au ministre des Transports, M. Zendaoui, directeur général de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), insistera pour dire que le futur métro de la capitale ne pourra que chambouler les habitudes des Algérois.
« Lorsqu’on sait qu’avec le métro d’Alger, il nous suffira d’à peine 15 minutes pour parcourir des itinéraires jadis parcourus en plus de deux heures [encombrement oblige], eh bien, on ne peut qu’être réconfortés », tiendra-t-il à préciser, non sans mettre l’accent sur la nécessité, pour le citoyen, de faire preuve de civisme afin de ne pas détériorer le matériel importé à coups de devises sonnantes et trébuchantes. « Les voitures constituant les rames ont une durée de vie de 40 ans. Il est vital que les usagers s’impliquent afin de ne pas porter atteinte aux voitures et à tout ce qui s’attache au métro [tunnels, stations…]. En tout cas, nous comptons, pendant les quelques mois qui nous séparent de la mise en service du métro, lancer une campagne de sensibilisation au profit du citoyen en général et de l’usager du métro de façon particulière. Tout compte fait, c’est à lui que profite ce moyen de transport, véritable indice du développement d’une nation », conclura le DG de l’EMA. Avant de prendre congé des journalistes, le ministre des Transports leur donnera rendez-vous dans très peu de temps «afin que nous puissions ensemble visiter la station de commande centralisée, équipée de moyens audiovisuels en liaison avec toutes les stations», précisera M. Tou.
[ source ]
Par Billal Larbi
Photo : S. Zoheir
La Tribune, Ă©dition du 07 Octobre 2008
# Administrateur | 01/10/2008 | Transports
Aïd El Fitr : Air Algérie annule plusieurs vols
Air Algérie précise, dans un avis, avoir annulé les vols à destination des escales suivantes sans donner de détails sur les raisons de ces annulations. Pour mardi 30 septembre 2008 : Alger/Touggourt/El Oued et retour (vol AH 6252/53) Alger/Oran et retour (vol AH 6102/03) Ghardaïa/Illizi et retour (vol AH 6470/71). Pour mercredi 1er octobre 2008 : Oran/Annaba et retour (vol AH 6164/65) Alger/Tébessa et retour (vol AH 6032/33) Alger/Sétif et retour (vol AH 6212/13) Alger/Jijel et retour (vol AH 6058/59) Alger/Oran et retour (vol AH 6104/01) Tamanrasset/Bordj Badji Mokhtar et retour (vol AH 6454/55) Alger/Ghardaïa (vol AH 6200) Alger/Annaba et retour (vol AH 6002/01). La compagnie invite par ailleurs sa clientèle à se rapprocher de ses agences ou points de ventes agréés pour de plus amples informations.
[ source ]
Par APS
El Watan, Ă©dition du 30 Septembre 2008
# Administrateur | 01/10/2008 | Transports
Transports : La SNTF renforce ses dessertes
Compte tenu du nombre croissant de citoyens préférant voyager par train en raison des tarifs abordables, la SNTF a tout mis en œuvre pour faciliter le transport des voyageurs vers les différentes régions du pays, a souligné le responsable du service clients et voyageurs, Samir Kamouri. Tous les moyens matériels et humains nécessaires ont été mobilisés par la SNTF, a-t-il ajouté. Le programme tracé à cet effet et entré en vigueur le 24 septembre prévoit des wagons supplémentaires et l’augmentation du nombre de sièges à 6000 pour accueillir près de 120 000 voyageurs attendus durant cette période. En outre, et afin de réduire la pression sur les lignes de l’ouest du pays, la SNTF a prévu deux nouveaux trains qui s’ajoutent aux deux anciens reliant Alger à Oran. Quant aux régions est du pays, la pression que connaissait la ligne Alger-Annaba par le passé a diminué à la faveur de l’augmentation du nombre de wagons par la SNTF. M. Kamouri a, dans ce contexte, affirmé que « toutes les mesures ont été prises pour faciliter le travail des agents des gares ferroviaires et permettre aux citoyens de voyager dans les meilleures conditions », précisant que « les congés ont été suspendus et tous les travailleurs ont été mobilisés » à cet effet. Les horaires des rotations ont également été adaptés au mois sacré, a-t-il ajouté.
[ source ]
Par APS
El Watan, Ă©dition du 30 Septembre 2008
# Administrateur | 29/09/2008 | Transports
ITALIE
"Tout est bien qui finit bien" dans l'affaire Alitalia, pour Berlusconi
Tout est bien qui finit bien" dans l'affaire Alitalia, a déclaré le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, alors que les deux derniers syndicats ont donné leur accord lundi 29 septembre au plan de reprise.
Silvio Berlusconi, cité par l'agence Ansa, a également souligné "l'importance absolue d'avoir dans notre pays une compagnie nationale".
Le chef du gouvernement est à l'origine de la mise sur pied d'un groupe de repreneurs italiens après avoir vivement critiqué l'offre de reprise d'Air France-KLM, rejetée en avril dernier par les syndicats, en pleine campagne électorale pour les législatives.
Sauvé de la faillite
Un échec de la reprise d'Alitalia ou sa faillite auraient été un grave revers pour le chef du gouvernement.
Le même jour, les deux derniers syndicats d'Alitalia encore réticents sur le plan de sauvetage de la compagnie aérienne italienne, ont annoncé lundi à la presse avoir finalement donné leur accord. Ces deux syndicats, la SDL et l'Avia, représentent environ 80% des hôtesses et des stewards de la compagnie italienne.
"Nous avons signé l'accord mais il n'y a rien à fêter", a déclaré le responsable de l'Avia, Antonio Di Vietri, cité par les agences italiennes.
Alitalia est en passe d'être sauvée de la faillite, tous les syndicats de la compagnie ayant désormais donné leur accord à sa reprise par une alliance de grands patrons italiens, regroupés au sein de la Compagnie aérienne italienne (Cai).
[ source ]
NOUVELOBS.COM | 29.09.2008 | 15:18
# Administrateur | 29/09/2008 | Transports
Métro d’Alger : Arrivée des 6 premières rames
Faisant partie des 14 rames qui doteront, dans une première phase, la première ligne reliant la Grande-Poste à Haï El Badr, les 6 rames, construites en Espagne, sont fournies par le groupement constitué des entreprises françaises Siemens et Vinci Construction ainsi que de l’espagnole CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles) sur la base d’un contrat signé en janvier 2006 avec l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) portant sur les équipements fixes, le matériel roulant et les aménagements intérieurs des stations, rappelle la même source.
Le contrat d’équipement de la ligne Tafourah-Haï El Badr est de 35 milliards de dinars (300 millions d’euros pour la partie devises et 4 milliards de dinars non convertibles) précise-t-on. Outre l’acquisition de 14 rames, le contrat porte aussi sur l’installation de la signalisation à base numérique de 23 escaliers mécaniques et des postes de commande centralisés.
[ source ]
Par M. M.
El Watan, Ă©dition du 29 Septembre 2008
# Administrateur | 26/09/2008 | Transports
Fin du trou d'air pour Alitalia ? Le sauvetage de la compagnie aérienne italienne est peut-être en marche, après l'accord surprise donné au plan de reprise hier par la CGIL, plus important syndicat transalpin. La CGIL, qui avait rejeté la semaine dernière le plan de la Compagnie aérienne italienne (CAI) soutenu par le gouvernement Berlusconi, a changé de position, expliquant que la CAI avait fait des concessions salariales et sociales. Reste à connaître l'avis des syndicats de pilotes et de personnel navigant, qui pourraient dire non selon les agences italiennes. En cas de reprise, la CAI devrait ensuite nouer une alliance avec une compagnie étrangère. Air France-KLM, Lufthansa et British Airways sont sur les rangs.
[ source ]
Par A.F.
20 Minutes, Ă©ditions du 26/09/2008 - 07h08
# Administrateur | 24/09/2008 | Transports
EUROTUNNEL
Une panne d'Eurostar provoque de nouveaux retards
Le trafic dans le tunnel sous la Manche, déjà nettement réduit en raison d'un incendie le 11 septembre, a subi des retards supplémentaires, mercredi 24 septembre, en raison de la panne d'un train Eurostar, a indiqué la compagnie.
Le train, qui avait quitté Londres pour Paris à 05h55 GMT, a été contraint de s'arrêter une demi-heure après que le conducteur a remarqué la défaillance d'un pantographe, le dispositif qui permet à la locomotive de capter le courant, selon une porte-parole d'Eurostar.
Le train est ensuite reparti mais Ă petite vitesse, ralentissant la circulation, a-t-elle poursuivi.
"Pas de lien avec le tunnel"
Une porte-parole d'Eurotunnel a précisé de son côté que l'incident n'avait "pas de lien avec le tunnel".
De nouveaux retards sont cependant Ă craindre, pouvait aller jusqu'Ă deux heures entre Londres et Paris, a averti Eurostar.
Le trafic sous la Manche a été fortement perturbé par un incendie survenu le 11 septembre sur une navette embarquant 27 poids lourds dans le tunnel nord (sens Angleterre-France).
La remise en service lundi dernier d'un tronçon de 17 kilomètres du tunnel nord a permis à Eurotunnel de porter le nombre de trains en circulation à près de 170 par tranche de 24 heures, contre 300 à 400 habituellement.
[ source ]
NOUVELOBS.COM | 24.09.2008 | 12:37
# Administrateur | 24/09/2008 | Transports
Air Algérie obtient la certification de son système qualité pour ses activités
La compagnie aérienne nationale Air Algérie a obtenu, en juillet dernier, la certification de son système qualité pour l'ensemble de ses activités par l'organisme international AIB Vinçotte, apprend-on hier, auprès de cette compagnie. Ce certificat a été délivré par cet organisme mondial selon la norme ISO 9001 (version 2000) qui s'ajoute, ainsi, à la certification IOSA (IATA Operational Safety Audit) attribuée auparavant. Cette performance, ajoute la même source, ''démontre la maîtrise par la compagnie des procédures et systèmes d'intervention technique sur avion garantissant un niveau de sécurité aux normes internationales les plus strictes''. Outre cette certification, Air Algérie est actuellement en cours d'audit pour le renouvellement du Label IOSA.Il est à souligner, par ailleurs, que l'assemblée générale de cette compagnie, tenue à la fin août dernier, lui a autorisé l'acquisition de onze nouveaux avions qui devraient être réceptionnés entre 2011 et 2014. Sur l'ensemble de ces nouveaux appareils, sept sont ceux de module 150 passagers dont deux en version cargo, c'est-à -dire des appareils qui vont être programmés principalement sur les liaisons internationales d'Air Algérie. Quant aux quatre autres appareils, qui seront financés sur le budget de l'Etat, il s'agit d'avions destinés essentiellement au réseau domestique, notamment pour le Sud, avec des capacités de 70 places, indique-t-on de même source. Il est à rappeler qu'Air Algérie, qui dispose actuellement de 31 appareils d'une moyenne d'âge de quatre ans, assure 6,5 millions de sièges/an dont 44% sur le réseau domestique lequel assure 12% des recettes.
[ source ]
El Moudjahid, Ă©dition du 24 Septembre 2008
# Administrateur | 24/09/2008 | Transports
Aviation - Bombardier : Le 3e constructeur mondial à la conquête du marché algérien
A priori, aucune prétention de concurrencer Boeing ou Airbus, mais une grande ambition pour s’accrocher dans cette industrie aéronautique en choisissant, par exemple, la voie la plus courte, c’est-à -dire le moyen courrier comme pour signifier l’option de l’efficacité dans le développement de la technologie et l’adaptation d’un moyen de transport aux exigences d’une clientèle.
Bombardier, ce troisième constructeur aéronautique mondial, plane en toute assurance ces derniers temps et semble bien s’accommoder avec la vitesse de ses nouveaux appareils dont l’appellation série “Q” de l’expression “Quiet”, c’est-à -dire silencieux, résume toute la réussite. Encore, une lettre évoquant également le confort, la sérénité, la direction et la préservation d’un environnement tant que le processus de fabrication obéit à l’ensemble de ces paramètres.
Ce système “Quiet” offre la cabine passagers la plus silencieuse et la plus dénuée de vibration de n’importe quel appareil à hélices et les sondages indépendants tenus ont révélé que de tels appareils demeurent considérablement plus confortables que les autres à turbo propulsion ou certains à réaction. Pour ce faire, les cadres de Bombardier sont catégoriques et restent persuadés de la fiabilité de ces nouveaux produits, aujourd’hui très sollicités dans tous les continents de par leur performance.
On insiste avec fierté sur les performances des nouveaux équipements au niveau de l’encadrement de ce grand constructeur qui, au gré de cette visite sur les lieux, n’ont pas manqué d’exhiber leur savoir-faire et d’exprimer surtout leur ambition quant à la conquête du marché mondial. Et par l’Afrique, il faut entendre surtout l’Algérie après la finalisation de contrats avec Tassili Airlines (TAL) portant sur l’acquisition de huit appareils régionaux d cette série Se. 4 avions de type Q400 et quatre autre de type Q200, des appareils de 47 places d’une vitesse de croisière maximale de 667 km/h à même d’atteindre une altitude de 7.620 mètres.
Après étude d’ailleurs, les responsables de Tassili sont satisfaits de par la perception d’une meilleure adaptation de ces appareils dans leur catégorie aux conditions prévalant en Algérie. C’est d’ailleurs cette satisfaction qui motive le constructeur aéronautique canadien à s’intéresser davantage à toute compagnie en phase d’extension et de mutation avec évidemment des perspectives ambitieuses d’augmentation de la flotte et d’assurance de transport à un million de passagers.
De telles données ne laissent guère indifférents les gestionnaires de Bombardier, déterminés à imposer leur vision des choses et à accompagner notre compagnie dans son œuvre. Pas mois d’une dizaine de communications ont été données lors de ce séjour sur Bombardier Aéronautique avec les engouements de taille sur les capacités du constructeur et les performances de ses produits.
Avec un effectif dépassant les 27.900 employés dans le monde, puisqu’il est représenté par au moins quatre sites manufacturiers se trouvant à Toronto, Montréal, Wichita (Kansas), Belfast (Irlande du Nord) et au Querataro au Mexique, Bombardier Aéronautique est considéré comme un chef de file mondial dans la conception, la prestation et la fabrication de produits et services aéronautiques novateurs, destinés aux marchés des avions d’affaires, régionaux et amphibies, avec un capital expérience dépassant les 250 ans. Faut-il aussi ajouter que 24 nouveaux avions depuis 1989 ont été réalisés, ce qui dénote cet esprit de recherche et ce sens de l’entreprise des cadres soucieux d’un développement et d’un épanouissement de l’entreprise.
Les Stephane Lizotte, Philippe King, Benjamin Boehm, Philippe Poutssen, Robert Renneret, Marc Duchesne, John Armone et autres exhibent avec fierté une situation financière des plus florissantes avec un revenu de 1,8 milliard de dollars américains pour le premier trimestre 2008, un revenu de 9,7 milliards pour l’exercice de l’année, alors que le carnet de commandes atteint en avril les 24,1 milliards de dollars.
En termes physiques, ce premier trimestre s’est traduit par la livraison de 87 avions, dont 58 d’affaires, 28 commerciaux et 1 amphibie. Cette santé financière a amené le conseil d’administration à développer la gamme et à promouvoir la gamme de C series aux sociétés aériennes.
Des équipements qui intègrent la plus récente technologie disponible pour générer les améliorations et matière d’économie, de performance et de confort exigées par les partenaires et dont l’entrée en service, prévue en 2013, des avions de 100 et 150 places avec tout le support technique qu’assure Bombardier.
Un capital expérience, un esprit de recherche d’une équipe et une volonté d’entreprendre une troisième voie jugée la plus courte, Bombardier balise une piste pour servir les destinations intérieures des pays et maîtriser ses plans de vol...
Abbès Bellaha
Le sens de l’hospitalité de Stephane Lizotte
Stephane Lizotte, le directeur du département Africa International Sales, s’est vraiment distingué par cette amabilité et cette hospitalité évoquant curieusement l’esprit méditerranéen. Il ne s’est guère empêché pour inviter les journalistes à un dîner hors du commun, non pas seulement qu’il soit copieux mais du fait du site choisi. La tour “Canada National”, un restaurant pivotant pour observer tout le mouvement de Toronto.
On vous invitera à un couscous, lui répliquera un confrère en signe de reconnaissance et de gratitude.
L’admiration pour l’équipement de la Radio nationale
En recueillant les impressions des cadres de Bombardier à l’aide d’un enregistreur sophistiqué et très performant (marque Nagra), le journaliste de la Chaîne III fut envahi par les questions de ses interlocuteurs sur cet équipement. Comme quoi, on ne lésine pas sur les moyens pour le développement de la communication en Algérie.
C’était un moyen de s’étaler également sur la presse nationale et le pas franchi en matière de liberté d’expression.
Tassili Airlines
Le premier acquéreur d’appareil Bombardier
Les responsables de Tassili Airlines se sont mobilisés pour la mission de la délégation des journalistes en exprimant une certaine disponibilité et en fournissant tous les détails sur les contrats signés. Une réunion de coordination et d’évaluation a été tenue la veille.
C’est dire tout le sens du marketing observé par cette compagnie, soucieuse de favoriser les moyens de transport aérien de moyen et petit courrier.
Houda Rouabah (journaliste de l’ENTV)
L’efficacité dans la discrétion...
Trop discrète durant tout le long de la mission mais efficace dans la perception et le traitement des informations, la journaliste de l’ENTV, Houda Rouabah, fut vraiment à la hauteur pour susciter l’admiration. Connaissant parfaitement les lieux pour avoir séjourné pendant des années en famille, notre consœur a été d’une grande utilité pour notre mission. Et même au plan professionnel, elle a eu l’idée d’interroger l’ensemble des cadres de Bombardier particulièrement ceux provenant de pays étrangers comme pour relever le caractère de diversité du Canada.
Toute notre reconnaissance Houda...
L’accompagnateur allemand Clemens Bollinger :
Disponibilité et rationalité...
Disponibilité et rationalité, des sentiments forts sont relevés du comportement de l’accompagnateur allemand, Clemens Bollinger qui s’est dépensé sans compter pour faciliter la tâche de la délégation des journalistes. Notre guide demeure un interlocuteur de taille de Bombardier pour s’occuper de ses intérêts en Europe. Toujours est-il, notre ami a laissé une très bonne impression au sein de l’équipe...
Tout bonnement, la correction allemande.
5 “B” chez Bombardier
Curieusement, les noms de la délégation de journalistes composée à l’occasion commencent tous par la lettre B ce qui a fait dire à un cadre du constructeur aéronautique canadien, 5 “B” chez Bombardier… c’a était une belle entrée en matière pour favoriser une communication et développer les échanges...
[ source ]
Par Abbès Bellaha - envoyé spécial
El Moudjahid, Ă©dition du 24 Septembre 2008
# Administrateur | 24/09/2008 | Transports
Air France : Des promotions vers Paris et les provinces
Elle permet aussi aux voyageurs d’aller à Lille pour 27 090 DA TTC, Nantes à 35 549 DA TTC, Toulouse à 35 689 DA TTC et Lyon à 35 945 DA TTC. Ces tarifs sont vendables jusqu’au 3 octobre 2008 pour des billets dont le départ s’effectuera entre le 6 octobre et le 26 novembre 2008. Ces tarifs en aller-retour en classe économique sont cependant soumis à trois conditions : une validité d’un mois, le billet est modifiable avec une pénalité de 50 euros et il n’est pas remboursable.
Ce genre de promotion vise à favoriser les déplacements en périodes creuses. C’est aussi une manière de remplir les avions. Le but est également de dynamiser ces lignes et de permettre aux Algériens de prévoir leurs déplacements à l’avance. Air France veut aussi ne pas se laisser distancer par Air Algérie dont le réseau France demeure son premier marché à l’international, soit 48% du trafic global passagers. Le retour progressif des compagnies étrangères a bouleversé le paysage aérien. Désormais, la concurrence est rude. Les nouvelles compagnies tentent par tous les moyens de s’imposer.
En plus de l’escale de Paris, les lignes desservant les autres aéroports français sont les plus rentables. Autre ligne rentable : Djeddah. L’Arabie Saoudite est une destination importante, non seulement durant la période du hadj, mais aussi tout au long de l’année pour le petit pèlerinage (omra). Face à cette concurrence, Air France dispose d’atouts stratégiques qui permettent à la compagnie de remporter la confiance de sa clientèle : un réseau puissant, complémentaire avec celui de KLM, des hubs efficaces et des services aux standards internationaux.
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Par Kamel Benelkadi
El Watan, Ă©dition du 24 Septembre 2008
# Administrateur | 24/09/2008 | Transports
Transport aérien : Air Algérie va acquérir 11 nouveaux avions pour 500 millions de dollars
Air Algérie voit grand et ce, en dépit des multiples problèmes énumérés, hier, par le président-directeur général de la compagnie nationale aérienne lors de son intervention sur les ondes de la Chaîne III. M. Abdelwahid Bouabdallah a en effet jonglé entre difficultés et perspectives d’avenir. Des perspectives qui, dit-il, s’appuient sur le rattrapage des erreurs du passé et feront de la ponctualité et de la qualité des services une devise inébranlable. Ce même responsable relie les difficultés dont souffre la compagnie qu’il gère depuis mars dernier à la « mauvaise gestion ». Pour la première fois, il évoquera une mauvaise gestion du programme de renouvellement de la flotte et une mauvaise programmation des vols « la qualité des services reste une préoccupation majeure et celle de la plus haute autorité de l’Etat. Je peux vous dire que le client est redevenu l’axe principal de notre programme de redéploiement », explique le PDG.
Air Algérie poursuit en effet le renouvellement de la flotte qui, jusque-là , focalisait l’effort des responsables de la compagnie. Un accord pour l’acquisition de 4 avions de 50 à 70 places vient d’être signé pour renforcer les lignes intérieures. Ces appareils seront, précise M. Bouabdallah, financés sur budget de l’Etat « ils coûteront jusqu'à 80 millions d’euros », ajoutera-t-il. Aussi, sept autres appareils, dont deux avions cargo, seront également achetés par la compagnie. Chaque avion est d’une capacité de 150 places. Ils viendront renforcer la flotte actuellement en circulation. M. Bouabdallah a en effet souligné l’impact d’un retrait massif des appareils de Air Algérie. Cette dernière roule avec seulement 60% de remplacement, sachant que ce sont, essentiellement, les gros porteurs qui ont été concernés par ce retrait. Les 40% de capacité qui manquent à la compagnie ont empiré une situation déjà pas très reluisante « pourtant les avions retirés pouvaient naviguer dans le ciel européen jusqu’en 2011 », précise M. Bouabdallah. Ce fut en effet un coup dur pour Air Algérie qui perd ainsi 40% de sa part de marché. Une perte «considérable» qui, pour d’autres compagnie, est synonyme de «faillite déclarée» explique-t-il.
L’opération de renouvellement a non seulement été mal engagée mais également bafouée par un laisser-aller qui a fait que des appareils qui valent de l’or restent stockés dans les hangars de la compagnie. Au bout d’une année d’immobilisation, un avion coûte trop cher à son propriétaire et ce, en raison des multiples chek-up et autres opérations de contrôle qui deviennent indispensables « il fallait pourtant vendre immédiatement ces avions pour que l’opération puisse être économiquement bénéfiques à l’entreprise », souligne M. Bouabdallah. Ces avions ont finalement été vendus à 2 millions de dollars. « 60% de la flotte achetée va être vendue à la ferraille », précise le PDG. Autres bourdes constatées par le nouveau PDG et pour lesquelles il promet des solutions définitives, M. Bouabdallah évoque un décalage entre la programmation des vols et le temps réel que nécessite la préparation du vol. Ces décalage n’auront plus lieu d’être dès cet hiver. « Je ne pouvais pas intervenir sur le programme de l’été car il été déjà lancé mais je peux vous promettre une meilleure ponctualité dès cet hiver », dira-t-il en précisant que les retards des vols ont déjà régressé par 10.
Parallèlement à cette réorganisation qui ne dit pas son nom, Air Algérie ambitionne d’ouvrir une nouvelle ligne vers New York. Les services d’Air Algérie n’attendent en effet que l’accord de l’ARPT (Autorité de Régulation de la Poste et des Télécoms) pour que Cedex, DHL et UPS ne soient pas, de ce fait, taxés sur certains colis « cette ligne sera certainement ouverte d’ici à 2009 », stipule le PDG. Les longs courriers semblent bien profiter à la compagnie et « nous disposons de tous les moyens pour les couvrir », explique M. Bouabdallah. Avec les trois 737 et 5 Airbus, rien ne semble inquiéter le boss qui soulignera, à l’occasion, qu’une demande de hisser le nombre de fréquences vers Montréal à quatre vols hebdomadaires (actuellement deux) a été formulée à l’Aviation civile canadienne et que le vol inaugural Alger-Pékin aura lieu au courant de l’hiver prochain.
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Par A. Fadila
El Moudjahid, Ă©dition du 23 Septembre 2008
# Administrateur | 22/09/2008 | Transports
Une ultime tentative de vente d'Alitalia a été lancée ce lundi pour éviter la faillite de la compagnie aérienne italienne, alors que ses avions pourraient être cloués au sol d'ici quelques jours, faute d'argent.
Sur le site Internet de la compagnie, le commissaire extraordinaire d'Alitalia, Augusto Fantozzi, a lancé un dernier appel à des repreneurs potentiels après le retrait jeudi de l'offre de rachat de la Compagnie aérienne italienne (Cai), alliance de patrons italiens.
Alitalia risque d'être bientôt clouée au sol
Augusto Fantozzi « invite quiconque en mesure de garantir la continuité à moyen terme du service de transport (...) à présenter des manifestions d'intérêt pour l'acquisition d'une ou plusieurs branches d'Alitalia », indique ce texte. Les propositions devront lui parvenir avant le 30 septembre, 12h (10h GMT).
L'acheteur pourra reprendre les actifs d'Alitalia qui l'intéressent sans être responsable de la dette. Cette annonce doit être publiée mardi dans trois quotidiens italiens et dans le « Financial Times ».
Alitalia, qui perd 3 millions d'euros par jour, pourrait de toute façon être clouée au sol avant cette échéance, si elle ne présente pas d'ici jeudi un plan d'économies drastiques, a averti l'Enac, l'autorité de l'aviation civile italienne.
Quatre syndicats pourraient présenter une offre
L'unique offre de reprise de la compagnie au bord de la faillite a été retirée jeudi par les investisseurs italiens (la CAI) face à l'opposition des syndicats.
La première confédération syndicale italienne, la CGIL s'est félicitée dimanche de la nouvelle recherche d'un acheteur. «Une faillite serait un drame. (...) S'il reprend les négociations en mains, nous retournerons à la table» des discussions, a commenté son secrétaire général, Guglielmo Epifani.
Quatre syndicats autonomes, dont ceux des pilotes Anpac et Up ont d'autre part indiqué avoir des contacts en vue de bâtir une alliance avec des investisseurs et présenter une offre, pour laquelle ils pourraient mobiliser de leur côté environ 340 millions d'euros.
« Fantozzi est le nouveau super héros du front anti-Berlusconi »
Ce qui fait dire au quotidien La Stampa que «Fantozzi est le nouveau super héros du front anti-Berlusconi», le chef du gouvernement à l'origine du plan de reprise de la CAI.
Le gouvernement semblait de son côté encore parier sur la CAI, qui pourrait revenir dans la course. «Il n'y a que la Cai. Si les organisations syndicales signent, on peut tenter de renouer» les discussions, a indiqué le ministre des Transports Altero Matteoli.
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avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 22/09/2008 - 16h45
# Administrateur | 21/09/2008 | Transports
Bouteflika : “Air Algérie doit renforcer ses dessertes dans les chefs-lieux des wilayas du Sud”
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a considéré que la compagnie Air Algérie doit améliorer ses prestations et ses performances pour affermir sa compétitivité et élargir sa part de marché à l'international.
S'exprimant lors d'une réunion d'évaluation restreinte consacrée au secteur des Transports, le chef de l'Etat a salué les efforts entrepris par cette compagnie nationale pour l'assainissement et le renouvellement de sa flotte mais a estimé, cependant, qu'elle doit "accélérer son programme de restructuration et achever sa modernisation".
Par ailleurs, le Président Bouteflika a déclaré qu'il attend d'Air Algérie "un renforcement de la desserte des principaux chefs lieux des wilayas du Sud" en ajoutant que ''le gouvernement est chargé d'apporter son soutien à la compagnie nationale dans le cadre de cette mission de service public".
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EL MOUDJAHID, Ă©dition du 21 Septembre 2008
# Administrateur | 21/09/2008 | Transports
Appelant à renforcer les transports ferroviaire et aérien
Malgré les «améliorations sensibles» enregistrées sur le réseau routier, le président de la République, qui a suivi l’exposé de son ministre lors de son audition hier, a exprimé sa préoccupation devant le nombre toujours élevé des accidents de la circulation qui engendrent de nombreuses séquelles et endeuillent les familles. Constatant que le durcissement des sanctions introduit dernièrement par la législation pour les infractions au code de la route ne semble pas avoir donné son effet, le président Bouteflika a indiqué que «le gouvernement doit introduire des mesures additionnelles pour les aggraver». Il a également ordonné à ce que la formation des moniteurs et examinateurs du permis de conduire soit consolidée et que la durée de la formation des candidats au permis de conduire soit renforcée. Concernant le développement du réseau ferroviaire, qui connaît aujourd’hui un véritable programme de modernisation et d’élargissement, le président de la République a relevé que «l’investissement dans le chemin de fer est une œuvre durable» et que les efforts seront poursuivis au bénéfice de toutes les régions du pays.
Le chef de l’Etat a, en même temps, marqué de son accord le lancement des études et de la réalisation de nouvelles liaisons ferroviaires et l’électrification du réseau à inclure dans le programme de développement pour les années 2009-2014. Dans le même ordre, il a donné son accord pour la réouverture et la modernisation graduelle des voies ferrées qui ont été délaissées depuis l’indépendance et la création de nouvelles dessertes qui, aujourd’hui, sont requises pour répondre au développement du pays.
Dans le domaine du transport maritime, le président de la République, très mécontent, a interpellé le gouvernement sur la situation actuelle du pavillon national qui est loin de détenir les conditions minimales de sa préservation face à la concurrence internationale accrue dans le transport des voyageurs et surtout dans le transport des marchandises. «Le gouvernement est invité à montrer plus d’ambition en la matière, en recherchant les voies et moyens qui permettent de refonder le pavillon maritime national par la promotion de l’investissement et du professionnalisme, la recherche du partenariat stratégique et la modernisation du management des entreprises du secteur», a déclaré Abdelaziz Bouteflika. Un peu plus satisfait en matière de transport aérien, le chef de l’Etat a souligné les efforts entrepris pour l’assainissement et le renouvellement de la flotte de la compagnie nationale mais a également relevé que cette dernière «doit accélérer son programme de restructuration et achever sa modernisation». Appelée à améliorer ses prestations et ses performances pour acquérir le marché international, Air Algérie doit également, selon les orientations du président Bouteflika, renforcer la desserte des principaux chefs-lieux des wilayas du Sud. «Le gouvernement est chargé d’apporter son soutien à la compagnie nationale dans le cadre de cette mission de service public», a ajouté le Président.
Pour revenir à l’exposé du ministre des Transports, M. Amar Tou, ce dernier a fait état de la politique de redressement national mise en œuvre durant la période 2005-2009 où de grands projets dans le domaine ferroviaire ont été lancés.
Dans le cadre du Schéma national d’aménagement du territoire (SNAT 2025), le ministre rappelle les crédits consacrés à la réalisation d’un programme d’infrastructures et d’équipements de l’ensemble des modes de transport, à la sécurité de la navigation aérienne et maritime ainsi qu’à la météorologie. M. Tou a, dans le même ordre d’idées, détaillé la modernisation du réseau de transport ferroviaire à travers le dédoublement des voies, la signalisation et l’électrification, les liaisons ferroviaires des Hauts Plateaux ou encore les pénétrantes et boucles du Sud, et fait état des améliorations enregistrées dans le transport collectif urbain. Abordant le projet du métro d’Alger, dont le démarrage remonte à plus de deux décennies, M. Amar Tou a annoncé la reprise des travaux et «la livraison de la première rame, sur les 14 acquises, prévue pour juillet 2009. L’appel d’offres pour la réalisation de l’extension du métro vers la place des Martyres sera lancé courant septembre 2008». Le ministre fera état des nombreux projets lancés ou en étude à l’exemple des projets de tramway, de téléphériques et de gares routières, avant de conclure sur les efforts fournis par ses services depuis 2004 en vue de réduire le nombre d’accidents de la circulation, malgré l’importance du parc de véhicules qui est passé de 3 millions de véhicules de tourisme en 2005 à plus de 5 millions en 2007. Ces efforts ont concerné, notamment, l’instauration généralisée du contrôle technique des véhicules automobiles, la mise en place d’un centre national des permis de conduire pour une gestion suivie des examens et examinateurs et pour une réorganisation pédagogique et la mise à niveau des auto-écoles pour une prestation de qualité conforme aux exigences de la sécurité routière et la décentralisation des activités du Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR) au niveau des wilayas en vue de la participation de toutes les structures concernées par la prévention et la sécurité routières.
[ source ]
Par Hasna Yacoub
La Tribune, Ă©dition du 21 Septembre 2008
# Administrateur | 20/09/2008 | Transports
Un cahier des charges est en cours d’élaboration pour le transport collectif des voyageurs et concernera tant les taxis que les cars, a indiqué hier à Aïn Témouchent, le ministre des Transports, M.Amar Tou. Ce document prendra en considération toutes les dispositions pratiques de sécurité et d’hygiène, notamment un contrôle technique fiable, l’âge du véhicule et les références de conduite, dont l’âge du chauffeur, a précisé le ministre qui s’est rendu au chevet des blessés de l’accident d’El Maleh, hospitalisés à l’hôpital « Ahmed Medeghri » de Aïn Témouchent. Dans une déclaration à la presse, le ministre des Transports a mis l’accent sur le « sérieux qui doit présider lors des contrôles des véhicules, notamment de transport collectif. Ce qui n’a pas été le cas du car accidenté d’El Malah, dont des organes étaient attachés avec du fil de fer ». « Pour cela et une fois identifié, l’établissement de contrôle technique de ce car fera l’objet d’une fermeture,comme mesure conservatoire, préalablement aux autres poursuites »,a précisé M.Tou. Le ministre des Transports a signalé, par ailleurs, que la législation actuelle ne permet pas de « retirer de la circulation un véhicule ancien et celui d’El Maleh avait 32 ans d’âge ».
« Cette disposition sera bientôt intégrée », a-t-il indiqué, avant de rappeler que d’ autres mesures seront mises en branle pour « diminuer le nombre d’accidents de la route », comme, entre autres, « le renforcement du travail des auto-écoles », « la célérité qui doit marquer les examens du permis de conduire ». D’autres mesures, telles « la densification des barrages de contrôle » et « la célérité dans l’application de la loi », ont également été soulignées par le ministre. Huit personnes ont trouvé la mort, selon un nouveau bilan et 21 autres ont été blessées suite au dérapage, jeudi, d’un car de transport de voyageurs assurant la ligne Oran-Aïn Témouchent et qui a percuté un arbre au niveau de la commune d’El Malah.
[ source ]
Par R.N
L'Expression, Ă©dition du 20 Septembre 2008
# Administrateur | 18/09/2008 | Transports
Air Algérie - A partir du 26 octobre : 2e vol hebdomadaire Alger-Dakar
La compagnie Air Algérie renforcera sa desserte Alger-Dakar-Alger en inaugurant le 26 octobre prochain son deuxième vol hebdomadaire, a-t-on appris hier auprès du délégué régional de la compagnie pour l’Afrique de l’Ouest, M. Hafid Mechta. En plus du vol habituel de samedi l’aéroport international de Dakar accueillera le deuxième vol d’Air Algérie chaque mercredi, selon M. Mechta qui a rappelé, dans une déclaration à l’APS, que la compagnie algérienne est la seule à avoir jusque-là un seul vol par semaine sur Dakar qui devient "un véritable carrefour pour la région de l’Afrique de l’Ouest". "Le renforcement de la desserte Alger-Dakar-Alger s’inscrit, a-t-il ajouté, dans le cadre du renforcement du réseau de la compagnie nationale en plein redéploiement pour faire face à la concurrence mettant aux prises, en Afrique de l’Ouest, pas moins de 24 compagnies régulières et 8 charters".
En outre, la décision de programmer ce deuxième vol intervient suite à la forte demande qu’Air Algérie ne cesse d’enregistrer et les avantages qu’elle est en train d’offrir, depuis ces deux dernières années, au profit de ses passagers allant de la région ouest-africaine vers le Maghreb, l’Europe et l’Orient via Alger. "Avec cette deuxième fréquence les passagers d’Air Algérie en transit via l’aéroport Houari-Boumediène n’auront pas beaucoup de temps à passer à Alger", a fait remarquer M. Mechta qui a tenu à souligner qu’avec l’avènement de l’actuel directeur général d’Air Algérie, M. Wahid Bouabdellah, la compagnie accorde "une attention particulière à l’Afrique", en renforçant, par ailleurs, ses dessertes sur Ouagadougou, Niamey, Nouakchott et Bamako. S’exprimant au lendemain de sa nomination à la tête d’Air Algérie, M. Boubdellah, avait indiqué que "le redéploiement s’inscrit dans le programme de développement de la compagnie pour l’année 2008", à travers notamment la consolidation de la flotte avec 11 nouveaux avions. Le développement de la compagnie lui permettra de reprendre une clientèle, convoitée également par d’autres compagnies des pays du Maghreb ayant pris une grande part du marché grâce au renforcement de leurs dessertes à partir et vers Dakar.
[ source ]
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 18 Septembre 2008
# Administrateur | 18/09/2008 | Transports
Il est le nouveau représentant d’Air Algérie à Paris : Abdelkrim Benahmed à pied d’œuvre
A la faveur d’une rencontre informelle sur le stand algérien du Salon du tourisme Top Resa 2008, qui se tient à Paris du 16 au 19 de ce mois, il aborde avec les représentantes d’El Watan et du Soir d’Algérie, dans une discussion à bâtons rompus, les grandes lignes de sa mission, dans l’attente d’une rencontre avec la presse programmée pour les prochains jours. Ayant dirigé la direction commerciale d’Air Algérie, Abdelkrim Benahmed connaît bien son sujet, voire la « maison » qu’il représente en France. Il s’agit en tout premier lieu de préserver les parts de marché de la compagnie nationale en tant que transporteur face aux compagnies étrangères concurrentes, Paris étant une plateforme d’activités extrêmement importante ; de poursuivre l’amélioration de la qualité des prestations de la compagnie ; de participer à la promotion du tourisme algérien. En matière d’activités de transport, Air Algérie dispose d’atouts certains, elle est très fortement implantée en France et en Algérie avec plus de dix plateformes dans l’un et l’autre pays ; d’une bonne flotte qui est appelée à être développée par des moyens porteurs pour les dessertes internationales et des petits porteurs pour le trafic domestique, souligne M. Benahmed. A titre d’exemple, les lignes reliant l’Afrique depuis Alger vont être doublées « La représentation de Paris est très fortement sollicitée par tous les tours opérators, ce qui n’enlève rien à l’intérêt manifesté auprès des représentations de Lyon et de Marseille », nous affirme son responsable.
Une première réunion a eu lieu la semaine dernière avec les principaux voyagistes spécialisés dans le produit « désert » comme Point Afrique, Terres d’aventures, Voyageurs du Monde, Explorator, Nouvelles Frontières, Clio, Zig Zag… Il s’agira d’être attractif par rapport à des pays qui offrent le même produit. « Nous allons répondre aux aspirations des tours opérators », affirme M. Benahmed, relevant qu’un des atouts du Sud algérien est l’offre de dépaysement à des touristes en quête de curiosité et de découverte. Ainsi la desserte Paris Tamanrasset – une destination phare – sera réactivée cet automne. S’agissant de la destination Ghardaïa que le ministère du Tourisme veut promouvoir, M. Benahmed préconise la mise en place d’un hub, soit d’une plateforme qui distribuerait le sud du pays.
Et de signaler que le tourisme est aussi à développer dans d’autres régions. « L’Algérie pêche par défaut de communication », relève M. Benahmed. En ce qui concerne Air Algérie, si la communication institutionnelle est prise en charge à Alger, il assure que son rôle, à Paris, est d’« être à l’écoute du terrain et des partenaires de la compagnie ». « Nous participerons à toutes les manifestations où nous pourrons communiquer, nous sponsoriserons des événements comme la soirée du Ramadhan organisée par la mairie de Paris samedi dernier ». « Il n’y aura pas de tabou » en matière de communication, « ni de restriction d’information ».
[ source ]
Par Nadjia Bouzeghrane - Bureau de Paris (France)
El Watan, Ă©dition du 16 Septembre 2008
# Administrateur | 15/09/2008 | Transports
La signature dans la nuit de dimanche à lundi d'un accord-cadre sur la restructuration d'Alitalia, grâce à l'explosion du front syndical, a permis de relancer in extremis les négociations et sauve la face du gouvernement italien, mais n'écarte pas le spectre d'une faillite.
Après des heures de tractations, les quatre confédérations syndicales (Cgil, Cisl, Uil et Ugl), les repreneurs et le gouvernement sont parvenus à un accord-cadre fixant notamment les effectifs de la nouvelle compagnie à 12.500 personnes (1.550 pilotes, 3.300 hôtesses et stewards et 7.650 techniciens, employés et cadres dirigeants), selon l'agence Ansa.
Le sort d'un millier de salariés en suspens
Une avancée car les repreneurs ne prévoyaient jusqu'à présent que de reprendre 11.500 salariés sur les 17.500 d'Alitalia et d'Air One, deuxième compagnie de la péninsule, avec laquelle elle doit fusionner, selon le plan de sauvetage.
Alitalia emploie pour sa part environ 11.000 personnes actuellement dans le transport de passagers. Les suppressions d'emplois devraient donc être d'environ 3.000 dans ce secteur. En outre, les activités de maintenance et de fret qui emploient environ 2.000 personnes doivent être cédées. Le sort d'un millier de personnes travaillant notamment pour la plate-forme téléphonique d'Alitalia n'était pas encore clair ce lundi.
Ce premier document ne concerne cependant que le plan industriel et ne règle pas le problème du contrat unique de travail proposé par la Cai (Compagnie Aérienne Italienne), l'alliance des repreneurs italiens, et rejeté par l'ensemble des salariés. Cette épineuse question doit être abordée lors d'une nouvelle réunion avec les confédérations lundi à 11h.
Vols assurés ce lundi
La signature de cet accord par les confédérations marque une rupture profonde entre les syndicats. Le gouvernement qui faisait tout pour renouer le dialogue, depuis le retrait des repreneurs des négociations vendredi, a préféré contourner les autres organisations plus arc-boutées sur leurs positions (Sdl, Anpac, Up, Anpav et Avia). Ils doivent être reconvoqués en début d'après-midi.
L'accord permet de sauver la face du gouvernement de Silvio Berlusconi, qui avait promis qu'il trouverait des repreneurs italiens, après l'échec de la tentative d'Air France-KLM qui s'était heurtée au rejet des syndicats en avril. C'est «une solide base de départ pour l'avenir de la compagnie nationale», s'est félicité le ministre du Travail Maurizio Sacconi.
Par ailleurs, malgré le manque de carburant, tous les vols sont assurés normalement ce lundi, assure-t-on chez Alitalia.
[ source ]
Avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 15/09/2008 - 11h18
# Administrateur | 14/09/2008 | Transports
Les vols de la compagnie aérienne italienne Alitalia « sont garantis pour dimanche mais ne le seront plus à partir de lundi », a annoncé Augusto Fantozzi, le commissaire extraordinaire nommé par le gouvernement cité par les syndicats d'Alitalia. « Jusqu'à demain nous avons des vols garantis, mais lundi non car ils ne nous fourniront plus de kérosène », a-t-il déclaré.
Le commissaire a également annoncé que, faute d'accord de dernière minute pour sauver Alitalia, il se verrait contraint d'entamer dès lundi la procédure de licenciement pour les équipages des avions actuellement non utilisés par la compagnie.
Diminution des salaires et des congès
Augusto Fantozzi a convoqué les neuf syndicats de la compagnie nationale samedi après-midi à Rome pour une tentative de la dernière chance pour sortir les négociations de l'impasse et éviter la faillite totale de la société.
L'alliance d'investisseurs, qui était prête à mettre un milliard d'euros pour former une nouvelle compagnie nationale, avait annoncé vendredi matin qu'elle se retirait de la table des discussions, estimant que « les conditions n'existaient plus pour (les) poursuivre ». Les investisseurs n'ont cependant pas annoncé le retrait définitif de leur offre de reprise, ce qui laisse encore en principe la porte ouverte à la poursuite des tractations.
Les syndicats refusent les diminutions de salaires et de congés ainsi que le contrat de travail unique proposés par les repreneurs.
[ source ]
Avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 13/09/2008 - 16h08
# Administrateur | 13/09/2008 | Transports
L'électrification de la voie ferrée Ouest de la banlieue algéroise reliant Alger à El Affroun, en voie d'achèvement avec un taux de réalisation de 90%, sera mise sous tension fin novembre 2008, a indiqué vendredi le ministre des Transports, M. Amar Tou, lors d'une visite d'inspection effectué entre Agha et Blida.
Les essais techniques sont prévus fin novembre sur cette ligne longue de 66 km et son exploitation commerciale est programmée au cours du premier trimestre 2009, a encore ajouté le ministre.
Les voyageurs pourront effectuer la liaison entre Alger et El Affroun en 40 mn seulement contre 75 mn actuellement à bord de train ultra modernes roulant à 160 km/h, ont expliqué des responsables de la Société Nationale des Transports Ferroviaires (SNTF).
Coté Est, les travaux sur la ligne reliant Alger à Thenia (50 km) sont totalement achevés, a dit M. Tou soulignant que la ligne sera ouverte aux voyageurs en décembre 2008.
"Les essais techniques effectués récemment sur la voie Est ont été concluants" a souligné M. Tou.
Le montant du projet d'électrification de la banlieue algéroise s'inscrivant dans le cadre du programme de modernisation des chemins de fer, est de 12 milliards de dinars. Ce projet est pris en charge par le groupe français Alstom.
La banlieue d'Alger longue de 280 km est constitué de deux voies Alger-El Affroun et Alger Thénia. Il est prévu dans le cadre de sa modernisation, son électrification en double voies (350 km de câbles) ainsi que sa dotation en 64 automotrices commandées chez le suisse Stadler.
Pour l'heure, 6 automotrices sur les 64 ont été réceptionnées, selon les responsables de la SNTF. Le reste parvient au rythme de 2 voitures par mois qui seront intégrées progressivement au réseau.
[ source ]
Par APS
La Tribune, Ă©dition du 13 Septembre 2008
# Administrateur | 10/09/2008 | Transports
Transport aérien : British Airways baisse ses tarifs
En effet, les responsables de cette compagnie aérienne, dont le symbole est l’écharpe bleue et rouge, ont décidé d’une nouvelle offre promotionnelle alléchante. L’annonce a été faite par David Fordham, Country, manager de la Zone Afrique du Nord, auprès de BA, en marge d’une soirée « post ftour » à Alger. Selon lui, il s’agit d’une réduction de prix sur la ligne Alger-Londres qui passe ainsi de 33 000 DA à 29 000 DA (Httc). La vente des billets a déjà débuté le 15 août dernier pour prendre fin au 30 septembre prochain. Ces billets sont valables entre le 1er octobre et le 31 mars 2009. « Le marché algérien est en pleine expansion. C’est pourquoi nous devons accompagner ce boom », a fait valoir David Fordham. Présente en Algérie depuis le 5 janvier 2004, date de son premier vol inaugural, entre les deux capitales, British Airways a beaucoup évolué. D’un volume de 3 vols par semaine en 2005, BA passe à sa vitesse de croisière en instaurant un vol quotidien depuis janvier dernier. Selon le même responsable, la saison estivale a été bénéfique pour BA. « C’est l’une de nos meilleures saisons », commente notre interlocuteur. De son côté, Air Algérie n’assure que trois vols par semaine entre Alger et Londres. Cela renforce les responsables de BA dans leur suprématie sur cette ligne, affirme le représentant de la compagnie aérienne britannique.
Le passage au terminal 5 de Heathrow est pour beaucoup dans la fréquence des vols. « Nous voulons faire bénéficier les Algériens des avantages du terminal 5 », a-t-il indiqué. La réalisation de ce terminal basé à Heathrow, un des premiers aéroports dans le monde, a coûté la bagatelle de 8 milliards d’euros. Environ un million d’arbres a été planté autour de ce bijou architectural, inauguré au mois de mars dernier. Le terminal 5, désigné également sous le vocable T5, est doté de diverses technologies de pointe, susceptibles d’assurer un meilleur service aux voyageurs et assouplir les formalités d’enregistrement et d’embarquement. « C’est le plus grand, le plus avancé et le plus moderne », s’enorgueillit M. Fordham. Par ailleurs, le conférencier n’a pas écarté la possibilité de lancer d’autres lignes dans l’avenir en Algérie. « Nous pensons rajouter des vols. Certaines lignes sont à l’étude », précise-t-il encore, en indiquant que British Airways dispose de 166 lignes directes et 660 destinations avec ses partenaires de l’alliance Oneworld qui comprend huit compagnies aériennes. Disposant d’une agence à l’hôtel Sofitel et d’une autre ouverte récemment à la Bibliothèque nationale du Hamma, la compagnie anglaise s’appuie et collabore avec un important réseau d’agences de voyages. Sur un autre chapitre, British Airways compte renouveler sa flotte. « De nouvelles commandes ont été faites l’année dernière pour l’acquisition de 12 avions A380 », notera à ce propos M. Fordham. Selon le rapport annuel de BA, 33 millions de passagers ont embarqué à bord des avions de la compagnie pendant la saison 2007-2008. Son chiffre d’affaires était de 8,7 milliards de livres sterling, soit plus de 3,1% que celui enregistré l’année précédente. Vers la fin du mois de mars 2008, British Airways disposait de 245 avions en service, alors qu’ils n’étaient que 242 en mars 2007.
[ source ]
Par Hocine Lamriben
El Watan, Ă©dition du 09 Septembre 2008
# Administrateur | 08/09/2008 | Transports
A l’occasion du mois de ramadhan, la compagnie aérienne française « Air France » opère une baisse de ses tarifs de billets d’avion en partance d’Alger pour différentes villes de l’hexagone. A partir de 7 septembre prochain, le billet d’avion au départ d’Alger vers Paris coûtera 26 000 DA en TTC. Il sera de 20 128 DA à destination de Marseille.
Ces tarifs exceptionnels » valables du 03 septembre au 03 octobre 2008 pour des billets dont le départ s’effectuera entre le 06 octobre et le 26 novembre 2008 touchent également d’autres destinations. Toujours en partance de l’aéroport d’Alger, un billet vers Lille coûtera 27 090 DA, Nantes 35 549 DA, Bordeaux 35 615 DA, Nice 35 691 DA, Strasbourg 35 787 DA, Lyon 35 945 DA, Mulhouse 35 734 DA et Toulouse 35 689 DA.
Toute fois, ces tarifs sont soumis à certaines conditions fait savoir la compagnie et qui sont : une validité d’un mois, billets non remboursables et modifiables avec une pénalité de 50 euros.
[ source ]
La Tribune, Ă©dition du 08 Septembre 2008
# Administrateur | 07/09/2008 | Transports
Aigle Azur : Nouvelles lignes France-Algérie
La liaison Marseille-Alger et retour s’effectuera les lundis, mercredis, vendredis, samedis et dimanches, soit à partir de Marseille à 9h30 et d’Alger à 19h50, informe la compagnie aérienne dans un communiqué de presse.
Les tarifs de lancement sont de 139 euros TTC en classe économique et de 400 euros TTC en classe affaires ou à partir d’Algérie 13 222 DZD TTC en classe économique et 38 842 DZD TTC en classe affaires. Cette nouvelle liaison complète l’offre existante au départ de Marseille-Provence (MP1), en portant à 8 le nombre de lignes (Alger, Annaba, Béjaïa, Chlef, Constantine, Oran, Sétif, Tlemcen), soit 18 vols. La compagnie exploite désormais 2 avions basés à l’aéroport de Marseille. Quant à la ligne Lyon-Béjaïa, elle sera hebdomadaire, soit tous les mardis à raison d’un vol, à 9h du matin à partir de Lyon et à 11h45 depuis Béjaïa. Tarif à partir de 14 000 DZD TTC depuis l’Algérie. Cette nouvelle ligne porte désormais à 6 le nombre de lignes Aigle Azur au départ de Lyon (vers Alger, Béjaïa, Constantine, Oran, Sétif, et Tlemcen), soit 14 vols par semaine. Les billets sont en vente sur le site www.aigleazur.fr et dans toutes les agences de voyages.
Il est à rappeler qu’Aigle Azur transporte chaque année 1,6 million de passagers avec près de 300 vols réguliers par semaine au départ de sept aéroports français : Paris (Orly et Charles de Gaulle), Lille, Lyon, Marseille, Mulhouse et Toulouse vers des villes d’Algérie, du Mali, du Maroc, du Portugal et de Tunisie, sachant que l’essentiel de ses vols réguliers s’effectue vers l’Algérie.
[ source ]
Par N. B. - bureau de Paris
El Watan, Ă©dition du 07 Septembre 2008
# Administrateur | 05/09/2008 | Transports
C’est une première mondiale sur des vols internationaux en aller et retour: Air France a lancé ce jeudi la carte d'embarquement électronique sur téléphone portable a annoncé la compagnie aérienne. Tous les passagers des 15 vols quotidiens reliant Paris-Charles de Gaulle à Amsterdam-Schiphol peuvent accéder à l'avion sans autre document papier qu'une simple pièce d'identité, selon la compagnie.
Après s'être enregistré sur le site internet mobile: http://mobile.airfrance.com, le passager d'un vol Paris-Amsterdam-Paris peut recevoir sur son téléphone portable sa carte d'embarquement dotée d'un code-barres sécurisé, sous forme de SMS ou de MMS s'il s'agit d'un téléphone classique ou par email s'il s'agit d'un téléphone muni d'un accès internet.
… Pour enregistrer ses bagages avec un code barre
Cette carte d'embarquement reprend toutes les données d'une carte d'accès à bord traditionnelle (heure d'embarquement, porte d'embarquement, heure de départ, numéro de siège et classe de voyage). Arrivé à l'aéroport, le client montre sa carte d'embarquement affichée sur son téléphone portable pour enregistrer des éventuels bagages au comptoir dépose bagages avec lecture du code-barres, passer au poste de sûreté, en présentant l'écran. Quand le passager embarque en porte, le code-barres est lu optiquement par une machine et à son entrée dans l'avion, il présente l'écran au personnel navigant.
Existe déjà chez Lufthansa, Spanair, BMI, Delta…
Un tel service existe déjà dans d'autres compagnies sur des vols intérieurs (mais pas sur des aller/retour internationaux), telles l'allemande Lufthansa, l'espagnole Spanair, le britannique BMI, les américaines Delta, Continental et Northwest.
« Cette démarche s'inscrit dans le cadre du voeu «d'aller vers le zéro papier» émis par l'Association internationale du transport aérien (Iata) --représentant plus de 240 compagnies aériennes et 94% du trafic international régulier-- », a précisé un porte-parole d'Air France.
Cette dernière avait déjà fixé au 1er juin dernier l'abandon du billet d'avion en papier pour passer au ticket électronique. Une mesure suivie par les membres de IATA et dont profite l'environnement, souligne l'industrie du transport aérien. Air France n'a pas précisé le coût de l'équipement pour cette nouvelle technologie ni les économies qu'elle pourrait réaliser. Ce service d'Air France devrait être étendu à d'autres vols, après une phase test sur le Paris-Amsterdam, dont la durée n'a toutefois pas été indiquée.
[ source ]
avec agence
20Minutes.fr, Ă©ditions du 04/09/2008 - 15h23
# | 03/09/2008 | Transports
Transport aérien
La compagnie Aigle Azur lancera, à partir du 26 octobre prochain, sa ligne Marseille-Alger-Marseille, apprend-on sur le site internet de cette compagnie aérienne. Le tarif promotionnel de lancement sera de 139 euros toutes taxes comprises (environ 13 046 DA). Avec cette nouvelle ligne, Aigle Azur élargit la desserte entre l’Algérie et la France dans le cadre de son plan de développement annoncé par son PDG, Arezki Idjerouidène, lors de sa dernière conférence de presse à Alger.
[ source ]
Par APS
El Watan, Ă©dition du 03 Septembre 2008
# Administrateur | 25/08/2008 | Transports
Un programme de modernisation a été lancé par la SNTF
La Société nationale des transports ferroviaires SNTF, entreprise publique à caractère industriel et commercial (EPIC), s’est lancée dans un programme ambitieux pour faire du transport ferroviaire l’un des moyens de déplacement les plus importants. alors qu’il est fortement concurrencé par l’aérien et le transport routier, actuellement, les pouvoirs publics veulent cependant inverser la tendance en lançant un vaste programme pour la modernisation des chemins de fer afin de donner à ce secteur ses lettres de noblesse. Délaissé depuis près de trois décennies, le secteur ferroviaire algérien a vu ses équipements devenir obsolètes, diminuant son attractivité auprès des usagers. Conscient de cette situation, l’Etat a décidé de mettre le paquet en dégageant une importante enveloppe qui « servira à la modernisation de l’infrastructure ferroviaire, devenue une nécessité absolue compte tenu de la vétusté de l’infrastructure existante », avait indiqué le directeur général de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif), Hassene Saïdi, dans une déclaration officielle. Pas moins de 16,6 milliards de dollars sont alloués par l’Etat pour la concrétisation du schéma directeur du plan de développement des transports ferroviaires à l’horizon 2025. Avec ces investissements, les pouvoirs publics espèrent ramener, à terme, la part du rail dans le transport national de voyageurs de 5 à 20%, à l’horizon 2015, avec près de 80 millions de personnes transportées, selon les prévisions de la SNTF.
Comment s’est construit le réseau ferroviaire algérien
La réalisation du réseau de chemin de fer algérien remonte au 19e siècle. Elle s’est faite par étapes successives. Durant la période coloniale, trois programmes ont été initiés par l’administration française. Il s’agit du programme de 1857, de 1879 et celui de 1907.
Le premier programme remonte au 8 avril 1857. Il autorise la construction de 1 357 km de lignes. Le 12 décembre 1859, l’armée d’occupation ouvre le chantier de la ligne Alger-Blida. Une entreprise de statut privé‚ appelée «Compagnie des chemins de fer algériens» est créée et prend le relais de l’armée à partir du 11 juillet 1860 pour achever la ligne. Cette compagnie obtient en même temps une concession pour la réalisation des lignes Oran-Sig et Constantine-Skikda, mais elle rencontre des problèmes de financement et seule la ligne Alger-Blida a pu être réalisée et ouverte au service voyageurs le 8 septembre 1862. La poursuite des travaux pour les autres lignes est assurée par cinq compagnies, à savoir la Compagnie Bône-Guelma (BG, la Compagnie de l’Est algérien (EA), la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée (PLM), la Compagnie de l’Ouest algérien (OA) et la Compagnie franco-algérienne (FA) Quant au programme de 1879, il a décrété le classement des lignes en deux catégories : d’intérêt général ou d’intérêt local. Seules les lignes d’intérêt général peuvent bénéficier d’une participation financière de l’Etat pour leur réalisation. Une loi datée du 18 juillet 1879 définit les lignes d’intérêt général et ajoute un programme de 1 747 km de lignes nouvelles au réseau existant.
Au cours de la période 1879-1906, les lignes ou tronçons de lignes suivants, totalisant une longueur de 2 035 km, ont été réalisés ou entamés. Il s’agit des lignes Souk Ahras-Tébessa-Le Kouif et embranchement vers la frontière, Aïn-Mokra-Ramdane Djamel, Ouled Rahmoune-Khenchela, El Guerrah-Biskra, Sétif-Thénia avec embranchements vers Tizi Ouzou, Béjaïa et Sour El Ghozlane, Blida-Berrouaghia, Mostaganem-Relizane-Tiaret, Oran-Arzew, Sénia-Témouchent, Sidi Bel Abbès-Tlemcen-frontière et Tabia-Crampel, Mécheria-Béchar, Tizi-Mascara. Le programme de 1907, portant sur 1 256 km de lignes est établi et vient s’ajouter au réseau existant de 3 400 km de lignes ouvertes ou en cours de réalisation. Durant la période 1907-1946, les lignes ou tronçons de lignes suivants, totalisant une longueur de 1 614 km, ont été réalisés.
En 1946, le réseau algérien comprend 5 014 km de lignes en exploitation sans compter les embranchements miniers, et les lignes de chemin de fer sur routes (CFRA)Les compagnies concessionnaires ont connu des déficits d’exploitation et l’Etat a racheté les concessions des compagnies franco-algériennes, Est algérien, Bône-Guelma et Ouest algérien en 1900, 1908, 1905 et 1920.
Le 27 septembre 1912, est créée la Compagnie des chemins de fer algériens de l’Etat (CFAE) qui prend le relais de l’exploitation des réseaux des concessionnaires à l’exception du réseau PLM. Le 1er juillet 1921, la CFAE et PLM se répartissent les lignes : la PLM exploite la ligne Alger-Oran, et les lignes Oran-Témouchent, SBA-Tlemcen-Oujda-Crampel, Blida-Hassi Bahbah tandis que la CFAE exploite le reste du réseau. Le 30 mai 1938, les lignes CFAE et PLM d’intérêt général sont rattachées à la SNCF récemment constituée, et le réseau algérien en devient une région. Le 1er janvier 1939 est institué un Office des chemins de fer algériens (Office CFA). Le 30 juin 1959, est établie la convention entre l’Etat et l’office CFA. Le 1er janvier 1960 est créée une Société des chemins de fer français en Algérie qui sera régie par la convention de juin 1959 jusqu’au 16 juin 1963, date à laquelle sera créée la Société nationale des chemins de fer algériens (SNCFA). La convention de juin 1959 continuera à régir les relations entre l’Etat et la SNCFA jusqu’au 31 mars 1976, date à laquelle cette dernière a été restructurée en trois entreprises.
Les investissements après l’indépendance
En 1980, une convention définissant les responsabilités respectives de l’Etat et de la SNTF a été instituée par décret n° 88-128 du 28 juin 1988. Cette convention est toujours en vigueur ; elle reprend certaines dispositions de l’ancienne convention de juin 1959 concernant l’infrastructure et la compensation de service public.
Le programme d’investissement de 1980 est considéré comme le plus large programme jamais accordé au secteur. Il a été lancé à partir de 1980 et se caractérise surtout par la modernisation et l’accroissement de la capacité des lignes du réseau, les grands aménagements ferroviaires régionaux et l’extension géographique du réseau.
Ce programme a permis les réalisations de nouvelles lignes à savoir : Jijel- Ramdane-Djamel sur une distance de 140 km, la desserte des cimenteries de Beni-Saf et de Saïda sur une distance de 23 km chacune et celle d’Aïn-Touta sur 15 km.
Le programme de 1980 a permis surtout un renouvellement complet des voies et ballasts d’une grande partie du réseau, soit un total de 1 400 km de voies. Il a également permis une mise à double voie de tronçons de la rocade nord sur 200 km, l’aménagement, la modernisation et la reconstruction des gares réparties sur le réseau ainsi que l’aménagement ferroviaire des régions d’Annaba et d’Alger. Depuis décembre 1990, la SNTF est dotée d’un statut d’établissement public à caractère industriel et commercial. Ses activités comprennent le transport des voyageurs et des marchandises, la gestion du réseau ferroviaire et la gestion du patrimoine ferroviaire.
La SNTF a une organisation décentralisée comprenant les organismes suivants : la SNTF, société nationale chargée de l’exploitation et de l’entretien du réseau ferroviaire ; la SNERIF, société nationale chargée du renouvellement et de l’extension du réseau ferroviaire ; la SIF, société d’engineering et de réalisation d’infrastructures ferroviaires. Cette réorganisation avait pour objectif de séparer les activités d’exploitation et d’entretien de celles du renouvellement et l’extension du réseau. Cette expérience n’a pas atteint les objectifs attendus et les deux sociétés SNERIF et SIF ont été ainsi dissoutes.
Un nouveau programme pour remettre le train sur les rails :
Outre le projet engagé par la SNTF en collaboration avec le groupe « SNCF International » pour l’assistance technique et le suivi du parc ferroviaire en Algérie, des contacts avancés sont en cours avec l’Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon (France), pour bénéficier de l’expérience de cet institut dans le domaine de la recherche en mécanique et la sécurité des équipements ferroviaires. Le savoir-faire acquis permettra de proposer des solutions fiables à des problèmes techniques très précis qui surviennent en cours de vie des équipements. L’atout de l’INSA est qu’il propose des prestations de services « clés en main » pour des problèmes techniques auxquels font face, quotidiennement, les mécaniciens de la SNTF. Le programme de modernisation vise essentiellement à parvenir à attirer de 80 millions de voyageurs en Algérie à l’horizon 2015. C’est pourquoi s’imposait, dès 2007, une rénovation des équipements de transport et de traction. La SNTF compte acquérir au cours de cette année 30 locomotives électriques, dont 16 appareils à motorisation diesel pour la traction des wagons de marchandises et 14 autres pour le transport des voyageurs. Le 10 mars dernier, intervient enfin, l’évènement tant attendu qui, comme le souhaite la compagnie nationale, transformera notablement le monde du rail. La mise en service d’autorails intervilles flambant neufs.
Les premiers autorails qui ont été mis en circulation assurèrent les dessertes régionales entre Sétif et Alger et entre Tlemcen et Oran et très récemment entre Alger et Chlef en navettes à des horaires bien étudiés correspondant aux besoins de la clientèle. Ces nouveaux autorails d’un confort égal aux meilleurs standards européens sont des trains régionaux qui viennent compléter le maillage des dessertes traditionnelles assurées par la SNTF. Les autorails qui ont relié les villes de l’intérieur aux villes côtières ont facilité la circulation quotidienne des vacanciers vers les plages, offrant, par la même occasion, un transport moderne et performant et procurant aux citoyens qui les ont fréquentés confort et sécurité.
A noter que d’autres liaisons seront bientôt desservies par ces autorails au fur et à mesure de leur réception en Algérie. La commande passée par la SNTF auprès du constructeur espagnol CAF des 17 autorails sera entièrement satisfaite au mois de novembre de l’année en cours, date à laquelle les principales villes du pays seront desservies. Le montant de la transaction est de 102 millions d’euros. Il convient de relever que la SNTF compte harmoniser l’ensemble de son parc avec les projets d’acquisition de matériels neufs et réinjecter du potentiel aux voitures, afin de prolonger leur durée de vie pour offrir à toutes les catégories d’usagers du train, des conditions de voyage nouvelles et attractives. Rien n’est négligé dans le cadre de la nouvelle stratégie. La SNTF se donne les moyens de relever le défi.
Dans le cadre du programme d’organisation et du positionnement stratégique de la SNTF et conformément à la résolution n° 11/77/21/07/2007 du Conseil des participations de l’Etat du 21 juillet 2007, la SNTF a lancé, par voie de presse en date du lundi 3 septembre 2007, une invitation à manifestation d’intérêt à l’adresse des investisseurs potentiels pour exprimer leur intérêt afin d’acquérir une participation dans sa filiale Infrarail spa. Une SPA dont le capital social de 1 080 000 000 de dinars entièrement libéré, Spécialisée dans les travaux d’infrastructures ferroviaires et routières, notamment les travaux de génie civil et VRD, les travaux de pose de la voie ferrée, les travaux d’entretien de la voie ferrée et les travaux de spécialité béton (bâtiment, ouvrages d’art, aménagement des voies).
Pour réaliser son plan de charge, elle dispose de cinq centres de production situés sur des terrains du domaine public ferroviaire moyennant baux à long terme.
En plus de ces moyens de production, Infrarail spa dispose d’un parc de moyens modernes de travaux. Alors, l’année 2008 sera-t-elle l’année du rail comme le souhaitent les responsables de l’entreprise ? Vraisemblablement, c’est bien parti. Le train a bel et bien quitté la gare.
[ source ]
Par Ghada Hamrouche
La Tribune, Ă©dition du 25 AOUT 2008
# Administrateur | 22/08/2008 | Transports
Tramway de Sidi Bel Abbès
L’étude en question, qui sera lancée en septembre prochain, devrait permettre d’identifier le tracé et d’arrêter le coût du projet, avait déclaré M. Salhi, directeur central au ministère des Transports, en marge de la récente visite effectuée par le ministre du secteur, Amar Tou. Selon lui, l’étude de faisabilité portera, dans sa phase préliminaire, sur la collecte, le traitement et l’analyse des données de base relatives aux déplacements, aux points d’arrêt et à la prévision du nombre des usagers potentiels du futur tramway. Une autre étude détaillée sera effectuée avant de passer à la réalisation du tramway.
[ source ]
Par M. Abdelkrim
El Watan, Ă©dition du 21 Aout 2008
# Administrateur | 15/08/2008 | Transports
Le Groupe Tassili Airlines (TAL) va réceptionner, demain, un nouvel appareil de type Bombardier Q200, qui fait partie d'une commande de quatre avions de ce même type de 35 places, passée l'an dernier auprès du constructeur aéronautique numéro 3 mondial, le Canadien Bombardier.
C'est ce qu'a appris Le Quotidien d'Oran auprès du chargé de communication de Tassili Airlines qui a précisé que les trois autres appareils seront livrés avant la fin de l'année. L'acquisition par TAL de ces quatre nouveaux appareils entre dans le cadre du deuxième contrat conclu avec Bombardier lequel a fourni, l'année précédente, 4 avions de type Q 400, des bi-turbopropulseurs de 74 places. Les Q 200, quant à eux, sont des avions bi-turbopropulseurs, également, mais d'une capacité de 35 places. Le premier contrat d'achat a été attribué à Bombardier en 2006.
A la faveur de ces acquisitions, Tassili est ainsi devenu le premier exploitant des avions de ligne Q400 et de ligne Q200 en Algérie et l'un des principaux clients de Bombardier dans tout le continent africain. À terme, le plan de développement de TAL, d'une enveloppe globale de plus de 1,2 milliard de dollars, prévoit l'achat d'une quarantaine d'avions. Avec les 23 appareils dont elle dispose actuellement, TAL, qui est une filiale de Sonatrach, aura une flotte d'une cinquantaine d'avions.
Dans son programme, Tassili Airlines aura à prendre en charge le transport aérien national et international. Elle accordera la priorité aux pétroliers et para-pétroliers et aura un marché de 1 million de passagers par an.
Il faut rappeler que TAL est un groupe aérien composé de trois filiales: Naftassili Air, créée pour répondre aux besoins du secteur pétrolier et para-pétrolier, notamment en ce qui concerne l'organisation et l'exploitation de services aériens, intérieur et international, surveillance d'installations industrielles, entre autres. La seconde, TAL, sera chargée du transport aérien national et international. Tassili Agro-Aérien, quant à elle, a été mise en place pour prendre en charge les opérations liées au domaine agricole telles que la lutte antiacridienne, la surveillance des feux de forêt, le relevé aéro-topographique...
Par ailleurs, on apprend de même source que la première desserte intérieure, qui sera ouverte par TAL, est Alger-Oran. Le vol inaugural de cette ligne, projet en phase de réalisation, devra intervenir avant la fin de l'année en cours. Il sera suivi de l'ouverture de deux autres lignes : Alger-Constantine et Alger-Ghardaïa, avant la fin de l'année.
[ source ]
par H. SaaĂŻdia
Le Quotidien d'Oran, Ă©dition du 14 Aout 2008
# Administrateur | 12/08/2008 | Transports
Allache Tahar. Directeur général de l’aéroport d’Alger
Deux ans après la mise en service de l’aéroport international d’Alger, quel bilan faites-vous jusque-là ? Et quelle idée faites-vous de la gestion des Aéroports de Paris (ADP) ?
Je tiens d’abord à préciser que ce n’est pas ADP qui gère l’aéroport, mais c’est un partenaire dans le cadre d’un contrat de gestion. C’est la société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires qui gère l’aéroport. Nous avons un contrat de gestion avec ADP sur 4 ans. Ils sont là pour nous assister et nous aider. Il ne faut pas oublier que la nouvelle aérogare est un bâtiment nouveau et nous avons des équipements sophistiqués. Nous n’avons pas l’habitude d’exploiter ces équipements, c’est pourquoi nous avons fait appel à ADP qui est une boîte expérimentée. Actuellement, nous avançons très bien et nous avons de bons résultats : tout ce qui est maintenance assistée par ordinateur, comptabilité analytique, procédures de maintenance et d’exploitation est mis en place. Avoir tous ces outils de gestion c’est très important pour un gestionnaire. Pour l’aéroport, la nouvelle aérogare est d’une capacité de 6 millions de passagers. Actuellement, nous traitons 2 400 000 passagers, donc on est loin de la saturation. Tout le monde apprécie la qualité des services de l’aérogare et de l’espace. Je suis très étonné, en particulier, par l’appréciation des étrangers. L’aéroport d’Alger est conçu d’une manière à donner plus de satisfaction aux passagers qu’aux autres. Je m’explique, cela veut dire que le passager a le chemin le plus court. Le passager bénéficie du meilleur circuit. Cela fonctionne très bien, mais nous n’avons pas encore atteint le niveau de performance. Nous faisons des améliorations en permanence. Nous avons mis des outils (des enquêtes) qui nous interpellent à chaque fois et nous essayons d’améliorer la qualité. Nous sommes engagés dans une certification ISO 9001 management qualité pour tous les services de l’EGSA et également dans le management de l’environnement (14 001) nous avons un bureau qui nous accompagne pour aller vers la certification (c’est en cours et elle doit se faire en 18 mois).
L’octroi du marché de gestion de l’aéroport international à ADP a été critiqué par des partis politiques, en affirmant que cette dernière n’a pas formé le personnel algérien. Que répondez-vous ?
Moi, je ne fais pas de politique, je suis un gestionnaire. Je juge le rendement et pour le moment je suis satisfait des résultats réalisés. La collaboration avec ADP se passe très bien et tout ce qui est prévu dans le contrat est en train de se réaliser normalement.
Comme vous venez de le dire, la nouvelle aérogare a une capacité d’accueil de 6 millions de passagers/an. Avez-vous atteint ce niveau ?
La capacité d’accueil de la nouvelle aérogare est de 6 millions de passagers. Le domestique actuel a une capacité d’accueil de 2,5 millions de personnes. L’ancienne aérogare nationale a une capacité d’un million. Pour la totalité, nous avons 9,5 millions de passagers/an. Actuellement nous traitons 4 millions de passagers au niveau de l’aéroport d’Alger et nous avons une marge de 5,5 millions. Au niveau de la nouvelle aérogare, nous traitons 2 400 000 passagers /an, donc nous avons une marge de 3 600 000 passagers/an que nous pouvons encore traiter.
Vous avez annoncé récemment l’intention de la direction de l’aéroport de mettre de l’ordre dans le domaine du transport assurant la liaison entre l’infrastructure et la ville d’Alger. Qu’en est-il exactement ?
Cela entre dans nos prérogatives et nos priorités d’améliorer et donner plus de satisfaction aux passagers, notamment concernant le transport par taxi. Vous savez que le problème de transport public existe même en dehors de l’aéroport. Les pouvoirs publics sont en train d’essayer d’apporter des solutions à travers des investissements tels que le train, le métro…Cela sera aussi bénéfique pour nous. Déjà , pour desservir l’aéroport, les autorités ont prévu le train en 2011. Les études ont été réalisées pour ramener le train de Bab Ezzouar jusqu’à l’aéroport. Nous avons également saisi l’entreprise de métro pour voir s’il y a une possibilité de faire une extension et de ramener le métro jusqu’à l’aéroport d’Alger. Nous sommes en train de voir avec la direction des transports de la wilaya d’Alger pour consacrer des lignes de bus spéciales pour l’aéroport. Mais des bus de bonne qualité. Pour ce qui est des taxis, nous voulons que la direction de l’aéroport soit consultée avant d’agréer un taxi pour l’aéroport. Nous avons effectué une démarche dans ce sens auprès de la direction des transports. On va essayer de conventionner les taxis.
[ source ]
Par Madjid Makedhi
El Watan, Ă©dition du 12 Aout 2008
# Administrateur | 01/08/2008 | Transports
M. Amar Tou a visité le projet du téléphérique reliant le site historique du grand bassin au plateau de Lalla Setti située sur une hauteur de 600 mètres d'attitude, en passant par la station du lycée de Benzerdjeb.
Selon le chargé du projet qui est représentant de la société suisse d'équipement "Graventa, la mise en service expérimentale sera effective le 31 août prochain alors que sa réception s'effectuera le 30 septembre, sachant que ce projet a accusé un retard pour l'élaboration de sa supra-structure.
Le téléphérique, (6,4 milliards de da), comporte 17 cabines de 15 places chacune devant transporter 255 personnes pour une rotation de 7 minutes soit 1000 voyageurs par heure.
[ source ]
La Tribune, Ă©dition du 31 Juillet 2008
# Administrateur | 26/07/2008 | Transports
Transports : L’autorail Constantine-Annaba enfin opérationnel
L'autorail Constantine-Annaba a sillonné avant-hier pour la première fois la voie ferrée reliant les deux villes de l'est du pays sur une distance de 168 kilomètres. Ce trajet couvert en un temps record de 2h15 minutes avec une vitesse variant entre 80 et 140 kilomètres inaugure en fait deux liaisons quotidiennes entre les deux métropoles de l’est du pays.
Le ministre des Transports, M. Amar Tou, qui a pris place à bord de ce nouveau moyen de transports, moderne, confortable, climatisé et rapide à l’issue d’une visite de travail dans la wilaya de Constantine durant laquelle il a inspecté des projets relevant de son secteur, a auparavant indiqué que l’Etat œuvre actuellement à moderniser et conforter le transport ferroviaire en renforçant le secteur qui atteindra, à l’horizon 2015, 6.000 kilomètres linéaires de voies ferrées.
Dans ce contexte, le ministre a rappelé l’ampleur des projets inscrits au profit du secteur du rail en faisant état notamment des travaux en cours de réalisation du dédoublement de la voie ferrée au niveau de l’axe Ramdane Djamel- Annaba afin de réconforter la pénétrante Ramdane Djamel-Skikda. Les lignes Tebessa-M’sila -Bordj Bou Arreridj et Ain M’lila-Ain El Baida (W. Oum El-Bouaghi) viendront bientôt réconforter le transport ferroviaire, ce qui permettra ultérieurement de compléter la boucle ferroviaire entre l’est et l’ouest du pays, a-t-il précisé.
Avant les trois coups de sifflet traditionnels de départ de l’autorail, le ministre avait inspecté ce nouveau moyen de locomotion long de 75 mètres dont le coût est estimé à six millions d’euros et qui est constitué de trois caisses composées de deux motrices et d’une remorque conçues pour accueillir 200 passagers.
Auparavant, M. Tou a longuement inspecté le projet de concrétisation de la station multimodale de la cité Zouaghi sur les hauteurs du plateau de Aïn El-Bey.
Sur place, le ministre a instruit les responsables concernés de réaliser, en trois mois, une étude de faisabilité pour concevoir et réaliser une halte ferroviaire au niveau de cette future gare routière. Cette gare dont les travaux ont été récemment lancés sera un point de connexion entre tous les moyens de transport public que ce soit de la route ou du rail que constituera notamment le futur tramway, qui sera érigé sur les hauteurs du plateau de Ain El-Bey face à la cité Zouaghi Slimane, à quelque kilomètres de l’aéroport "Mohamed Boudiaf" de Constantine, a-t-on encore précisé.
Une fois concrétisé, le futur terminal multimodal remplacera l’actuelle gare routière de l’est située à proximité du stade chahid Hamlaoui, ce qui contribuera dans une large mesure à fluidifier la circulation et atténuer les fréquents bouchons dus au trafic dense enregistré sur cet axe incontournable d’accès à la ville des ponts et ces deux nouvelles grandes tentacules urbaines que sont les agglomérations de Ali-Mendjeli et Massinissa.
La nouvelle aérogare de Constantine a constitué une autre étape de la visite de travail et d’inspection du ministre des transports qui s’est enquis de l’état des travaux qui ont repris après deux ans d’arrêt "pour des contraintes techniques et financières" comme l’a expliqué l’un des responsables chargés de la réalisation du projet.
M. Tou a instruit les cinq entrepreneurs chargés du projet de livrer cette aérogare avant fin 2008.
La démolition en cours d’une partie des tribunes du stade Ben Abdelmalek Ramdane pour libérer le terrain d’emprise et le tracé du futur tramway de Constantine ainsi que le téléphérique, mis en service le 5 juin dernier ont constitué les autres points inscrits au programme de la visite de travail du ministre des transports dans la wilaya de Constantine.
[ source ]
Par EL MOUDJAHID - 25-07-2008 Ă 20:32
Ph. : D.R.
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 26 Juillet 2008
# Administrateur | 25/07/2008 | Transports
TRANSPORTS
Les voyages en avion facilités pour les handicapés
Les personnes handicapées ou à mobilité réduite devraient bénéficier obligatoirement de services spécifiques dans les aéroports à partir de samedi 26 juillet, journée d'entrée en vigueur d'une série de dispositions visant à leur faciliter l'accès au transport aérien. Le Parlement européen a adopté il y a deux ans l'introduction de ces règles, ce qui "permettra de mettre un terme aux discriminations et d'offrir aux passagers handicapés et âgés l'assistance dont ils ont besoin dans leurs déplacements. Ces nouveaux droits constituent un progrès fondamental pour l'Europe du citoyen", a assuré Antonio Tajani, commissaire européen chargé des transports. Des exceptions restent possibles, mais uniquement pour des raisons liées à la sécurité ou à une impossibilité technique, comme la taille de l'avion.
500 aéroports concernés
Les quelque 127 millions de personnes à mobilité réduite de l'Union européenne représentent près du tiers de la population en comptant les personnes âgées. Elles devront pouvoir bénéficier d'une assistance gratuite dans les aéroports de l'Union, a indiqué la Commission.
Les quelque 500 aéroports européens devront leur offrir un ensemble de services spécifiques, depuis l'entrée de l'aéroport jusqu'à la porte d'embarquement, dans l'aéroport de départ comme dans celui d'arrivée. L'assistance devra être adaptée à la capacité de mobilité de la personne qui en bénéficie.
Le règlement interdit aussi aux compagnies aériennes européennes et aux voyagistes de refuser une réservation ou l'embarquement en raison d'un handicap ou d'un problème de mobilité, pour les vols décollant d'un aéroport de l'UE, comme pour ceux quittant un aéroport situé dans un pays tiers à destination d'un aéroport de l'UE.
Les personnes concernées, devront signaler leurs besoins au plus tard 48 heures avant le départ, "pour obtenir une assistance adaptée à leurs besoins", souligne la Commission. Pour éviter les discriminations, les pays membres sont également, tenus d'instaurer un organisme de contrôle chargé d'appliquer le règlement sur leur territoire, et qui sera également chargé d'examiner toute plainte.
[ source ]
NOUVELOBS.COM | 24.07.2008 | 15:00
Photo : (c) Reuters
NOUVELOBS.COM, Ă©ditions du 25.07.2008
# Administrateur | 24/07/2008 | Transports
Transport ferroviaire à l’est du pays : Retard dans le lancement de l’autorail
L’autorail a mis le cap sur Sétif, dimanche dernier, à partir de Constantine, et fera la même chose en direction de Annaba, lundi dernier. « Nous sommes en train de faire les derniers réglages », nous dira un cheminot rencontré sur les quais. Mais, quant à la date effective du lancement de l’autorail, rien n’a filtré. Pourtant, que de satisfecit lors de la visite du wali à la SNTF à l’occasion de la réception de l’autorail le 27 mai dernier ! Ce même wali a exhorté les responsables à redoubler d’efforts « pour que l’autorail soit prêt pour la saison estivale, du moins entre Constantine, Annaba et Skikda », et ce afin que les estivants profitent de la grande bleue en empruntant un moyen de transport moderne. Cela devait se faire au plus tard à la fin du mois de juin dernier, du moins pour les villes côtières. Hélas, le mois de juin, étant à inscrire au passé, l’on reparlera de l’autorail, discrètement, au début du mois de juillet, puis c’est le silence radio . Au niveau des ateliers de Constantine, l’on nous a assuré que « le personnel adéquat a été formé il y a longtemps. Les essais ont été concluants. Si un problème se pose, il doit se situer au niveau des rails ».
Il faut savoir que l’état des rails, au niveau de l’est algérien, pose toujours problème, malgré des travaux de réfection pratiquement en non-stop. La wilaya de Bordj Bou Arréridj, et celle de Skikda étant les plus « atteintes », surtout au niveau du tunnel de Ramdane Djamel, il n’en demeure pas moins que les abords de Constantine, comme au niveau de Békira, restent de véritables freins, sans jeu de mots, pour qu’un train, fusse-t-il le nouvel autorail, puisse atteindre des pointes de vitesses respectables. Quand on sait que ce même autorail peut « grimper » jusqu’à 160 km/h sur des rails adéquats, l’on ne peut que rester sceptique par rapport à de telles performances. Au niveau de la direction régionale de Constantine, c’est le black-out total. Aucun cadre n’a pu nous renseigner sur les impondérables qui ont retardé la mise sur les…rails de l’autorail. « Nous avons des dizaines de cadres, mais personne ne veut prendre la responsabilité de donner le Ok pour la mise en service », nous dira-t-on, toujours au niveau des ateliers. Finalement, ce sera à la direction générale, à Alger, de nous informer que « des instructions fermes ont été données pour que l’autorail roule à partir du vendredi 25 juillet, uniquement vers Annaba, avec deux voyages en aller-retour par jour ». Malheureusement, la même direction se rétractera quelques heures plus tard pour préciser que « d’autres essais sont nécessaires avant la mise en circulation de l’autorail, et que de ce fait l’inauguration du 25 juillet est reportée à une date ultérieure ». Il faut néanmoins savoir aussi que pour les autres destinations de l’autorail, à savoir Sétif, Jijel, Skikda, Bordj Bou Arréridj, Biskra et Aïn Béïda, rien n’a filtré, car l’information récoltée auprès de la direction générale n’y fait aucune allusion.
[ source ]
Par Hamid Bellagha
El Watan, Ă©dition du 24 Juillet 2008
# Administrateur | 24/07/2008 | Transports
Transport aérien : 24 vols supplémentaires à partir de Béjaïa
24 navettes (aller-retour) supplémentaires ont été ajoutées aux programmes des vols à partir de l’aéroport de Béjaïa dont l’entrée en vigueur, de la fin août jusqu'à la mi-septembre, vise à permettre un retour sans encombre à la communauté algérienne établie à l’étranger, a annoncé la direction de l’EGSA de Béjaïa. Depuis l’ouverture de la saison estivale, ce sont plus de 30.000 passagers qui ont transité par l’aéroport "Abane Ramdane-Soummam" dont plus de 65 % en provenance de l’étranger exclusivement de France et le reste, issus d’Alger et accessoirement de Hassi Messaoud, a-t-on assuré. Ce flux de voyageurs, en augmentation de 5 % par rapport à la même période de la saison dernière, a nécessité la mise en service de 42 vols internationaux et 18 vols domestiques, sans pour autant faire face à toute la demande qui s’est manifestée, l’intégralité des vols ayant affiché complet, a-t-on souligné. Une effervescence similaire a été relevée au niveau du port, marquée par l’entrée en gare maritime de quelque 7000 voyageurs en provenance de Marseille, en l’espace de six escales. Ce qui laisse augurer, selon les responsables du port, une amélioration sensible à la fin de saison, sachant qu’en 2007, sur l’année, à peine 10.000 personnes ont choisi l’option du voyage par bateau. Le bilan prévisionnel des deux infrastructures table sur un volume cumulé de voyageurs de l’ordre de 130.000 personnes durant la saison estivale, qui s’achèvera le 3 octobre.
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>EL MOUDJAHID, Ă©dition du 24 Juillet 2008
# Administrateur | 24/07/2008 | Transports
Il reliera Constantine Ă Annaba : Mise en service d'un autorail interville
Un nouvel autorail interville reliant Constantine à Annaba vient d'être mis en service, a indiqué la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) hier dans un communiqué. Cet autorail qui assurera deux navettes quotidiennement avec une quinzaine d'arrêts effectuera le trajet entre les deux villes en un temps maximum de 2h15mn, précise la SNTF. Cet autorail fabriqué en Espagne fait partie d'un quota de sept ou huit autres engins destinés à desservir les villes de l'Est du pays. D'une capacité de 200 places, cet engin au design moderne et aérodynamique, est équipé d'un système de climatisation et pourvu de toutes les commodités de confort et de bien-être du voyageur dont des aménagements spécifiques aux personnes handicapées.
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Par EL MOUDJAHID 24-07-2008 Ă 01:49
EL MOUDJAHID, Ă©dition du 24 Juillet 2008
# Administrateur | 21/07/2008 | Transports
LA PLUS GRANDE GARE FERROVIAIRE D’ALGÉRIE À EL HAMMA
200.000 voyageurs y transiteront chaque jour
L’ouverture des plis techniques s’est effectuée hier au siège de l’Anesrif.
Cinq soumissionnaires internationaux, dont deux groupements algéro-allemands, ont présenté hier leurs offres techniques pour la réalisation de la plus grande infrastructure ferroviaire en Algérie. Cette réalisation s’inscrit dans le shéma global de l’Aménagement ferroviaire de la région algéroise (Afra) dont les travaux d’aménagement vont bientôt être lancés. Les cinq offres qui ont été présentées hier font suite au retrait de 14 cahiers des charges. Ces offres ont été ouvertes au siège de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif), à Rouiba. Elles répondent à un appel lancé en avril 2008. Implantée au Hamma, dans le quartier algérois les Ateliers, cette infrastructure, première gare ferroviaire de cette envergure en Algérie, sera proche d’une gare multinodale qui comprendra tous les moyens de transport: bus et minibus, tramways, métro, téléphérique (vers Riadh El Feth) et taxis. 200.000 voyageurs et accompagnateurs transiteront journellement sur ses quais alors qu’actuellement, la gare centrale d’Alger n’assure le transit que pour quelque 70.000 voyageurs/jour. Très accessible grâce à un aménagement de routes judicieux, la gare du Hamma se situera près du Jardin d’Essai, de la Bibliothèque nationale, de l’hôtel Sofitel et non loin du complexe de Riadh El Feth et fera face à la mer. Elle comprendra toutes les commodités nécessaires aux voyageurs qui y trouveront «une petite ville» à leur disposition qui réponde à leurs besoins de l’heure. Centre commercial, agencements administratifs divers (poste, téléphone, banques, Internet, urgences sanitaires, police...) et parking, seront proposés dans cette gare qui se veut être une «gare durable» comme qualifié par un représentant de l’Anesrif. Les soumissionnaires, dont les offres sont toutes recevables, sont le groupe algéro-espagnol dont le Berep (Bureau d’études de recherche engeenering-projets) est le chef de file. Il comprend l’espagnol B 720 et Ana Lucia. Deux autres soumissionnaires sont espagnols «Tech 4», installé depuis 30 mois à Alger, et Ayesa.
Les deux autres sont allemands. Il s’agit du bureau d’études Obermeyer et du groupement algéro-allemand composé de 3 allemands et de 2 algériens. L’Atelier 4 D Architekten, qui est le chef de file, Csz et Gre sont tous trois allemands, les algériens étant Scte Algérie et MSC Algérie.
Cette séance précède l’ouverture des plis financiers qui aura lieu après étude par une commission spéciale.
[ source ]
Par Abdelkrim AMARNI
L'Expression, Ă©dition du 21 Juillet 2008
# Administrateur | 19/07/2008 | Transports
Tassili Airlines : Avis pour l’achat de 9 avions de ligne
L’avis a été publié jeudi dernier dans la presse. Selon le placard, la compagnie aérienne a lancé un avis d’appel d’offres international en vue de l’acquisition d’avions de ligne neufs, d’équipements, de matériels et de services associés se présentant en un seul lot composé de 2 avions de type jet et de module 70 sièges, de trois avions de type jet et de module 100 sièges et de 4 avions de type jet et de module 150 sièges, d’un lot initial de pièces de rechange, des équipements spécifiques, du matériel de servitude et des services liés. Au total, l’avis concerne 9 avions de ligne. Selon Tassili Airlines, l’avis est adressé aux seuls constructeurs d’avions, à l’exclusion de tout intermédiaire et le soumissionnaire doit présenter une offre pour au moins deux modules.
L’information sur cet achat de 9 avions avait été déjà révélée à la presse le 1er juillet par le président du conseil d’administration de Tassili Airlines et directeur exécutif des finances de Sonatrach, Ali Rezaiguia. Sonatrach, à travers sa filiale Tassili Airlines, projette d’acquérir environ 41 avions pour un budget de 1 milliard de dollars dans trois types de modules : 35, 70 et 120 à 130 places. Si la priorité des priorités reste la relève, c’est-à -dire le transport des travailleurs des compagnies pétrolières et parapétrolières, la compagnie va investir le transport aérien grand public. En réalité, le holding Tassili Airlines est composé de trois sociétés spécialisées dans le transport pour les pétroliers et parapétroliers, pour les services agroaériens et pour le transport de voyageurs national et international.
[ source ]
Par Liès Sahar
El Watan, Ă©dition du 19 Juillet 2008
# Administrateur | 08/07/2008 | Transports
TRANSPORT AÉRIEN
Plus de 500.000 voyageurs attendus
Les compagnies aériennes desservant l’Algérie n’arrivent pas à satisfaire la demande.
Le problème des places pour les immigrés algériens se pose toujours et avec la même intensité. Pour espérer avoir un billet de transport d’un vol vers l’Algérie, il faut se lever tôt, même très tôt.
Tous les vols en partance de Paris et à destination d’Alger, affichent complet. Aucun espoir pour les vacanciers. Les agences d’Air Algérie en France, ont pourtant organisé trois vols par jours Alger/Paris, ce qui est loin d’être suffisant pour satisfaire la forte demande.
De source proche d’Air Algérie, on indique que plus d’un demi-million de passagers ont été recensés par les compagnies aériennes pour l’ensemble des départs: Paris, Lyon, Marseille, Lille ou Nice à destination des grande villes algériennes, en particulier Alger.
Même si Air Algérie lance, en période creuse, des promotions, celles-ci ne sont pas suffisantes et les vols de la compagnie en dehors de la période estivale « partent avec beaucoup de sièges vides ».
Chaque année, à la même période, avec la régularité d’un métronome, le même scénario revient comme un leitmotiv, plongeant dans une détresse et une colère infinies des milliers de familles.
Cependant, les compagnies aériennes, Air Algérie, Aigle Azur et Air France-KLM n’arrivent pas encore à trouver la parade à cette problématique. Bien malin qui apportera enfin une solution à ces naufragés des grandes vacances. Bien vrai qu’ils sont des milliers à venir passer leurs vacances dans le pays, il reste un bon nombre d’entre eux coincés en France.
La problématique de la disponibilité de sièges, de la ponctualité des vols et de la propreté des appareils demeure le souci primordial des responsables d’Air Algérie.
Toujours selon la même source, la compagnie nationale Air Algérie se taille la part du lion sur ce marché. A côté d’elle, deux autres compagnies, Air France et Aigle Azur, font également le plein de voyageurs.
Et comme c’est encore insuffisant, les tour-opérateurs sont contraints d’affréter des vols charters. Ajoutons à cela les prix des billets qui restent tout de même exorbitants.
Le problème récurrent des réservations et de la vente de billets d’avion en prévision de la saison estivale, enregistre les plus importants pics de l’année chez les responsables des compagnies aériennes.
La cherté des billets, la qualité des prestations dispensées par les transporteurs, celle de l’accueil, sont entre autres griefs mis en lumière par les vacanciers. Pourtant, Ouahid Bouabdallah, dont la désignation à la tête de la compagnie nationale est toute récente, s’est engagé à apporter des améliorations pour cette saison par le recours à l’affrètement conséquent d’avions.
De plus, un effort particulier était prévu en ce qui concerne l’amélioration de l’accueil des usagers de la compagnie.
[ source ]
Par Wassila BENHAMED
L'Expression, Ă©dition du 08 Juillet 2008
# Administrateur | 24/06/2008 | Transports
TRANSPORT AÉRIEN ET MARITIME
605.955 étrangers sont entrés en Algérie en 2007
Pas moins de 605.955 étrangers sont entrés en Algérie en 2007, alors qu’ils étaient au nombre de 32.150 en 2002. C’est ce qui ressort des journées portes ouvertes de la police des frontières, dont l’exposition a eu lieu à l’aérodrome de Constantine. La manifestation qui a débuté le 21, sera clôturée le 25 du mois courant. Les organisateurs ont, sur des panneaux, inscrit, toutes les informations nécessaires, de même que la Police des frontières a présenté un matériel ultra-moderne, utile à sa mission, notamment pour lutter contre toute forme de criminalité, à savoir, faux document, trafic d’armes et l’immigration clandestine. En ce sens, l’aérodrome Mohamed-Boudiaf a, dans le cadre du renforcement de la lutte contre les divers fléaux, bénéficié d’une nouvelle structure plus spacieuse. Elle a été réalisée en 12 mois, pour un coût de 37 millions de dinars. A rappeler que la Police des frontières a pour mission d’assurer le contrôle de la circulation au niveau des frontières, des personnes, en leur fournissant la sécurité. Dans ce contexte, l’on souligne qu’il existe deux brigades centrales, celle du port d’Alger et celle de l’aéroport international Houari-Boumediene, lesquels chapeautent les services régionaux de Maghnia, Souk Ahras, Ouargla, Tamanrasset, Oran, Constantine, Illizi et Béchar.
[ source ]
Par Ikram GHIOUA
L'Expression, Ă©dition du 24 Juin 2008
# Administrateur | 17/06/2008 | Transports
Transport aérien : Aigle Azur lance « Azur Plus »
Paris : De notre bureau
Ce « produit sur mesure » est destiné à récompenser les plus fidèles passagers de la compagnie aérienne française en leur permettant de cumuler des miles qui seront alors convertibles en billets primes, excédents de bagages, surclassements…, annonce Aigle Azur. La compagnie signale que dès son inscription, l’adhérent bénéficie en guise de bienvenue d’un bonus qui double les miles gagnés sur son premier vol. Il peut aussi faire créditer les vols qu’il a effectués dans les 30 jours précédant son adhésion. Trois cartes correspondant à des seuils de fidélité sont proposées : Azur Plus Ciel, Azur Plus Espace et Azur Plus Infini qui ouvrent droit à des avantages exclusifs, tels que la priorité des bagages, les excédents de bagages offerts, la priorité sur les listes d’attente et l’accès aux salons VIP. Une carte Azur Plus Jeune concerne les voyageurs âgés de 2 à 24 ans, avec des promotions spéciales. Une carte Azur Plus Corporate est exclusivement réservée aux entreprises. Avec sa carte Azur Plus, la compagnie Aigle Azur assure qu’elle « s’adresse ainsi à tous les segments de clientèle ». Ce produit est valable dans tous les pays et villes desservis par Aigle Azur. A signaler enfin que l’adhésion à Azur Plus est gratuite et rapide ; elle se fait soit en ligne sur le site internet www.azurplus.fr, soit au niveau des agences Aigle Azur.
[ source ]
Par N. B.
El Watan, Ă©dition 17 Juin 2008
# Administrateur | 16/06/2008 | Transports
AÉROPORT ABANE-RAMDANE DE BÉJAÏA
Bon pour l’atterrissage
L’aéroport de Béjaïa commence à vivre une affluence qui ne lui est pas coutumière.
C’est le constat que nous avons eu à vérifier lors de notre déplacement sur les lieux. Nos émigrés arrivent de plus en plus tôt. L’important flux des mois de juillet et août avec toutes les conséquences sur les réservations de retour a fini par convaincre beaucoup de nos compatriotes au choix des mois de mai et juin pour des vacances moins contraignantes. Le contraste avec le décor que présente la ville de Béjaïa vous saisit dès que vous franchissez le poste de contrôle de l’aéroport. C’est dans un tout autre environnement que vous plongez: des espaces verts, une pelouse taillée, un parking bien organisé et surtout un accueil des plus agréables de la part des agents chargés du contrôle. Mesures de sécurité oblige, la fouille est systématique, mais de manière respectueuse.
Le renforcement en personnel fait que le contrôle est fluide donc rapide. Répartie en deux salles, l’une destinée aux voyageurs des lignes intérieures et l’autre à ceux des lignes internationales, la salle d’embarcation n’a rien à envier à celle que l’on connaît en Europe. Selon un émigré, qui rentre au pays après neuf ans d’absence: «Je ne savais pas que les choses ont évolué si bien» commente-t-il, non sans faire montre d’une joie pas facile à dissimuler. Cette nouveauté n’avait pas manqué de réjouir d’autres voyageurs l’an passé. Les aménagements apportés après la fermeture de la structure aéroportuaire ont donné une autre dimension à cet aéroport qui, pour rappel, est classé national depuis 1982. Néanmoins, son développement rapide a abouti à son ouverture au trafic international durant l’année 1993 et ce, au grand bonheur des populations de cette région du pays. L’aérodrome de Béjaïa a été baptisé par décret présidentiel au nom de Abane Ramdane, en 1999. À noter que cette infrastructure aéroportuaire dispose d’une aérogare d’une capacité d’environ 800 passagers/jour.
L’aéroport Abane-Ramdane a été réouvert il y a tout juste une année, après six mois de grand lifting. Ces travaux de réfection ont concerné la piste d’atterrissage, qui s’étend sur 2400m de longueur et 45m de largeur, comportant l’élargissement des deux bretelles de 23m de large, mais aussi de la voie de circulation et de l’aérogare. 14 vols hebdomadaires internationaux et 11 vols internes sont programmés par la compagnie nationale Air Algérie et la compagnie française Aigle Azur vers Lyon, Marseille et Paris. L’aéroport de Béjaïa a un nouveau statut d’aéroport international de catégorie B, décidé par décret ministériel, dont la promulgation est intervenue juste après la réouverture de cette infrastructure aéroportuaire, d’une capacité de 500.000 passagers par an. Actuellement, elle ne tourne pas à plein régime, en raison de l’absence de liaison interne vers les grandes villes du pays, comme Alger, Oran et Constantine. Les habituels passagers vous rappelleront la belle époque durant laquelle on pouvait se rendre à Alger par avion et dans la même journée. L’ex-Khalifa Air Ways assurait alors une navette quotidienne vers Alger, avec un départ le matin et un retour le soir. Beaucoup d’habitants de la région de basse Kabylie voyageaient par avion.
Il existait 120.000 passagers potentiels sur les lignes intérieures durant les années 2001 et 2002. A l’intérieur du hall d’embarcation, on est frappé par toutes les améliorations apportées. L’éclairage, la sonorisation, la signalisation, des passages pour personnes à mobilité réduite...Bref tout y est pour un fonctionnement à la hauteur des attentes. «Les prévisions pour la saison 2008 sont de 100.000 passagers», indiquait M.N.Kerrouche, directeur de l’aéroport de Béjaïa. Notre interlocuteur mettait en exergue toute les mesures prises à l’issue de la réunion d’avant-saison qui a regroupé toutes les parties concernées. En un mot, l’aéroport de Béjaïa est fin prêt pour une saison estivale 2008 que tout un chacun, passagers et responsables, souhaite la meilleure possible.
[ source ]
Par Arezki SLIMANI
L'Expression, Ă©dition du 16 Juin 2008
# Administrateur | 14/06/2008 | Transports
CNAN : un regain de confiance de la clientèle
La CNAN Nord et la CNAN Med, filiale du groupe CNAN, sont présentes à la 41ème Foire internationale d’Alger (FIA) avec un stand très attrayant et surtout beaucoup de volonté de revenir sur le devant de la scène.
Ces deux filiales, issues de la nouvelle restructuration du groupe en 2005, desservent le nord de l’Europe et des Etats-Unis, l’Espagne, la Méditerranée orientale, le Moyen-Orient, et l’Extrême-Orient qui est traité à la demande. Cela pour la première filiale qui dispose de 4 navires «Trampco» en propriété. La deuxième filiale, CNAN Med, qui dispose de deux navires, se charge uniquement de desservir la Méditerranée, à savoir Marseille, Barcelone et Aspiezia en Italie. Ces deux filiales transportent des marchandises diverses et conteneurisées, de même que les cargos project. Selon M. Djoudi, directeur commercial, que nous avons rencontré au niveau du stand de cette société nationale, «actuellement, nous affichons des complets sur toutes les lignes et dessertes que nous assurons, ce qui nous oblige à faire des affrètements de navire [une moyenne de 4 navires] pour faire face à la forte demande que nous enregistrons». Et d’ajouter que «nous enregistrons un véritable regain de confiance de la part de notre clientèle», surtout après le douloureux naufrage du navire le Béchar. La CNAN essaye de se renforcer davantage sur le marché national en prenant en charge l’aspect marketing. D’ailleurs, «nous avons conçu un stand qui est lui-même un message fort en direction des opérateurs publics et privés. C’est en plus la première fois que notre groupe axe sur le marketing en utilisant toutes ses techniques», explique encore notre interlocuteur. Ce dernier rappelle que «nous sommes le seul armateur qui fait du direct pour toutes les liaisons maritimes». M. Djoudi dira que l’entreprise CNAN est en train de développer sa communication, un aspect qui peut aider à son redressement. «Nous lançons un message fort pour dire que la CNAN est toujours présente sur le marché, et qu’elle est un partenaire incontournable. Nous demeurons toujours le pavillon national et les régulateurs du fret», ajoute notre interlocuteur.
A signaler, selon notre interlocuteur, que les navires de la CNAN sont certifiés aux codes ISM-ISP (normes de sécurité et de management). «Nous sommes aussi en phase d’obtention de la certification ISO qualité», a conclu M. Djoudi.
[ source ]
Par Badiaa Amarni
La Tribune, Ă©ditions du 14 Juin 2008
# Administrateur | 12/06/2008 | Transports
Sa flotte atteindra 50 avions à l’horizon 2025
Air Algérie à l’heure au rendez-vous du e-ticket
La compagnie nationale aérienne Air Algérie est en train de poursuivre son inexorable ascension. Après avoir procédé au renouvellement d’une partie de la flotte vieillissante, son président-directeur général, Abdelwahid Bouabdallah, annonce la poursuite de cette opération, grâce à laquelle la flotte porte-étendard national atteindra 50 avions à l’horizon 2025. M. Bouabdallah a précisé hier que le programme de renouvellement de la flotte de la compagnie, entamé depuis des mois, prévoit l’acquisition de 10 avions moyen-courriers à 150 sièges et de deux avions-cargos. Cette opération permettra de renouveler la flotte de la compagnie et d’améliorer ses performances, a ajouté le responsable, qui a précisé qu’Air Algérie a également affrété des avions pour répondre à la demande croissante de ses clients face à la grande concurrence imposée par les compagnies aériennes mondiales.
La flotte d’Air Algérie compte actuellement 33 avions : 31 pour le transport des passagers et deux avions-cargos. Air Algérie, indique son directeur général, a respecté le délai du 31 mai 2008 fixé par l’Organisation internationale de l’aviation civile à toutes les compagnies aériennes dans le monde pour l’utilisation du billet électronique et l’abandon du billet classique. Abdelwahid Bouabdallah a affirmé, en marge de la cérémonie de signature d’une convention avec les sections syndicales du secteur, que le taux d’utilisation du billet électronique en Algérie, qui était de 2% en mars dernier, est passé à 40% en avril pour atteindre 100% fin mai dernier.
Ce projet, a-t-il précisé, lancé en 2005 et qui a nécessité beaucoup d’argent et d’efforts «permettra à la compagnie d’entrer dans le professionnalisme souhaité par tous».
Le billet électronique qui commence à se généraliser dans le monde présente plusieurs avantages dont la réduction du coût du billet (ne nécessitant pas de papier) et l’impossibilité de son utilisation par un tiers en cas
de perte.
[ source ]
Par Amar Rafa
Photo : S. ZoheĂŻr
La Tribune, Edition du 12 Juin 2008
# Administrateur | 11/06/2008 | Transports
Transports : Air Algérie comptera 50 avions à l'horizon 2025
La flotte d'Air Algérie devrait atteindre 50 avions tous types confondus à l'horizon 2025, a déclaré mercredi à Alger son PDG, Abdelwahid Bouabdallah. Le patron de la compagnie aérienne nationale a ajouté que le programme de renouvellement de la flotte d'Air Algérie lancé depuis plusieurs mois consistera en l'acquisition de 10 avions moyen-courriers à 150 sièges et de deux avions cargos.
Le PDG d'Air Algérie n'a indiqué ni le nombre d'avions déjà achetés depuis le lancement de cette deuxième opération de renouvellement de la flotte, ni les fournisseurs de ces avions. En attendant l'arrivée de nouveaux appareils, Air Algérie a affrété des avions pour répondre à la demande sur les lignes intérieures et extérieures et faire face à la concurrence des compagnies aériennes étrangères présentes en Algérie. La flotte d'Air Algérie compte actuellement 33 avions dont 31 pour le transport des passagers et deux avions-cargos.
[ source ]
Par ali idir le 11/06/2008 Ă 15:05
Tout sur l'Algérie, Edition du 11 Juin 2008
# Administrateur | 04/06/2008 | Transports
Il est probable que le projet ne voit pas le jour
La commission de transport, des communications et des télécommunications de l’Assemblée populaire nationale a adressé « un appel d’aide » au président de la République afin qu’il intervienne pour sauver le projet du métro d’Alger sur lequel plane le spectre des retards consécutifs, et elle a exprimé des craintes que « le projet ne voit pas le jour » dans les délais annoncés par le ministère des Transports.
Cet appel est intervenu après une tournée organisée par la commission de transport aux stations de La Grande-Poste-Tafoura au centre d’Alger et Mer et Soleil dans la commune de Hussein Day dans la banlieue-est, où les députés se sont arrêtés sur les lenteurs que connaît le projet.
Dans ce contexte, Ben Hammou a déclaré : « Avant d’entendre les propos rassurants des responsables du projet, nous avions peur qu’il soit annulé suite à des informations indiquant que la cahier des charges n’a pas été respecté, notamment en ce qui concerne les aspects techniques et les mesures de sécurité ».
En ce qui concerne l’alliance franco-espagnole Vinci-Siemens a qui le ministère des Transports a confié la mission de finir le projet, du point de vue technique et des mesures de sécurité, « la durée de réalisation fixée à 35 mois dans le cahier des charges représente un véritable défi que nous tentons de relever », a indiqué le directeur du projet qui est d’origine française.
Il a cependant assuré qu’il est impossible d’adopter la méthode de travail des compagnies chinoises avec des équipes qui travaillent chacune huit heures, à cause des complications du travail souterrain, mais cela n’a pas convaincu les membres de la commission de transport qui ont pris l’exemple des expériences réussies en Europe comme le tunnel sous la Manche et l’Eurostar.
[ source ]
Par D. Bouâti/ Traduit par F.L
El Khabar - Edition du 04 Juin 2008
# Administrateur | 28/05/2008 | Transports
ALGER
Le métro...bientôt
L’opération de pose de la voie du métro d’Alger tire à sa fin, puisque 95% de cette dernière ont été réalisés à l’intérieur du tunnel, a indiqué le président-directeur général de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), Abdelkader Mekerdi. « La voie est posée de bout en bout du tunnel, et les travaux avancent à un rythme satisfaisant qui nous permet d’affirmer que l’ensemble du projet sera terminé à la fin de l’année », a-t-il précisé. Selon lui, les premières rames de métro sont aujourd’hui achevées et arriveront à Alger au cours du mois prochain. Ainsi, quatorze d’entre elles doteront la première ligne reliant la Grande-Poste à Hai El Badr, et ce, sur une longueur de 11km. Ce tronçon dont l’inauguration est prévue pour le mois de décembre prochain, fera l’objet de plusieurs essais techniques. Ces opérations assurées par l’EMA ont été qualifiées par M.Mekerbi comme étant « complexes et extrêmement importantes ». Il s’agira de tester, en premier lieu, les équipements un à un, puis dans un deuxième temps, il sera procédé à l’essai de l’ensemble de ces derniers pour voir leur niveau de synchronisation. En dernier, les rames seront mises en marche à vide pour une rotation à blanc.
Par ailleurs, M.Mekerbi a aussi indiqué que des extensions prévues pour ce projet ne tarderont pas à commencer: « les travaux d’extension Est de Haï El Badr à El Harrach, confiés au groupement Diwidag-Cosider, vont débuter incessamment » a-t-il déclaré. Ce tronçon de 3.8 km, comprend 4 stations dont celle d’El Harrach. Cette dernière servira de «surface» de liaison avec le réseau de la Société nationale des transports ferroviaires (Sntf). Il a aussi indiqué, dans ce contexte, que toutes les conditions sont réunies pour le lancement des travaux, en soulignant que « le problème des expropriations sur cette ligne est réglé à 80% ». S’agissant de l’extension vers l’Ouest, comprenant le tronçon de la Grande Poste à la place des Martyrs, le responsable a indiqué qu’un avis d’appel d’offres sera lancé prochainement.
Il y a lieu de rappeler que l’Entreprise du métro d’Alger a confié en 2006 la réalisation de la première ligne de métro de la capitale au groupement constitué des entreprises françaises Siemens Transportation Systems pour la pose du matériel fixe, la signalisation et l’électrification, Vinci Construction Grands projets pour le génie civil, ainsi que de l’entreprise espagnole Construccions Y Auxiliar de Ferrocarriles (CAF) pour le matériel roulant.
Ce groupement international utilise la technologie « Trainguard Mt Cbtc » utilisée et mise en oeuvre sur les lignes du métro parisien.
En outre, la CPE, groupement de deux entreprises françaises, la Ratp Développement et la société d’ingénierie Systra, s’est vu attribuer en 2006 l’appel d’offres lancé par l’EMA concernant une assistance du maître d’ouvrage délégué pour l’EMA. Cette assistance porte sur le suivi des études et sur la mise en place des installations fixes, en vue de la mise en service de la première tranche de métro prévue pour la fin de l’année en cours. Ce projet initié en 1980 et dont le coût global dépasse le milliard de dollars, devra, selon les prévisions des experts, assurer un trafic annuel de l’ordre de 150 millions de voyageurs.
[ source ]
Par Yasmine ZOUAGHI
L'Expression - Edition du 28 Mai 2008
# Administrateur | 28/05/2008 | Transports
L’autorail est arrivé
Telles sont les caractéristiques vantant l’autorail ou « l’interville », un train qui reliera toutes les régions de l’est à Constantine, en un temps appréciable, si l’état des rails le permet. Ce mardi a été l’occasion de présenter l’autorail aux autorités, à leur tête le wali, qui a exhorté les responsables de la SNTF à redoubler d’efforts « pour que l’autorail soit prêt pour la saison estivale, du moins entre Constantine Annaba et Skikda », sachant que la mise en service n’était pas au programme, c’était tout juste une balade entre la gare de Constantine et celle d’El Khroub, une sorte de baptême avant l’heure. L’entrée en fonction de l’autorail « sera effective à la fin du mois de juin », selon les responsables des chemins de fer, qui ont passé des nuits blanches afin d’acheminer les autorails à Constantine, étant donné que suite à l’accident du tunnel de Boumerdès, il n’était plus possible de faire parvenir le nouveau matériel à partir du port d’Alger. Celui de Annaba viendra à la rescousse des cheminots, avec cependant encore un problème de tunnel non conforme au niveau de la wilaya de Skikda. Le problème, et au prix de mille astuces, sera résolu, et l’autorail arrivera finalement à la gare de Constantine, mais avec quelques mois de retard. Toutefois, les voyageurs devront encore patienter quelques semaines avant de profiter de « la flèche bleue », si d’ici-là d’autres obstacles ne viennent pas perturber la mise en service de l’autorail, qui est déjà opérationnel, rappelons-le, au centre et à l’ouest du pays. A l’issue des essais techniques, le wali a insisté sur la « nécessité de préserver cet acquis dont l’unité a coûté à l’Etat l’équivalent de dix (10) millions d’euros ».
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Par Hamid B.
El Watan - Edition du 28 Mai 2008
# Administrateur | 27/05/2008 | Transports
C'est aujourd'hui mardi, que la direction régionale de la Société nationale des chemins de fer (SNTF) va procéder aux premiers essais techniques sur voie, des nouveaux autorails fabriqués en Espagne, et récemment réceptionnés.
Ces essais qui constituent le point de départ de la reprise des liaisons ferroviaires entre la capitale de l'Est algérien et les villes de Sétif, Biskra, Jijel, Skikda et Annaba, interrompue depuis plusieurs années, se feront en présence du wali.
Selon des informations recueillies auprès de la direction régionale de la SNTF, les essais en question se dérouleront entre Constantine et El-Khroub. Ils consistent notamment à tester les performances techniques de l'engin, ses capacités de freinages en urgence, ses vitesses de pointe sur des sections de ligne déterminées, etc.
A noter qu'à l'occasion de précédents tests effectués sur des lignes de l'Algérois, ces autorails, d'une capacité de deux cents places chacun, ont réalisé des pointes de vitesse de 170 kilomètres à l'heure.
L'événement se déroulera donc aujourd'hui, en présence des autorités de la wilaya ainsi que des responsables et techniciens de la SNTF de la direction générale et régionale.
Pour rappel, 17 autorails ont été acquis par la SNTF auprès d'une firme espagnole, pour assurer des liaisons rapides intervilles desservies par le réseau ferroviaire.
Si les quotas destinés aux régions centre et ouest seront normalement débarqués au port d'Alger, celui destiné à la région Est, au nombre de 06, a été dévié sur le port de Annaba, ceci suite à la coupure de la ligne des chemins de fer Alger - Constantine - Annaba, survenue à hauteur de Lakhdaria, à 70 kilomètres d'Alger.
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par A. C.
Le Quotidien d'Oran - Edition du 27 Mai 2008
# Administrateur | 26/05/2008 | Transports
Réalisation du tramway : Le chantier sera lancé le 2 août
« Un tramway ça ne tombe pas du ciel, et ça sera dur », a déclaré, hier, Jean-Louis Reveillau, membre de la délégation du groupement de réalisation Alstom-Pizzaroti et maître d’ouvrage Ingerop-Egisrail, à l’occasion d’une présentation faite à la maison de la culture Malek Haddad. Les détails de ces travaux ont été livrés devant les autorités de la wilaya, et ont permis aux ingénieurs d’exposer les dix secteurs qui composent la ligne Benabdelmalek-Zouaghi, et dont les chantiers seront lancés plus ou moins simultanément avec des délais de réalisation variant entre 13 et 25 mois, notamment pour le point le plus difficile qui compte le viaduc de l’université. Le chantier débutera par la démolition de la tribune du stade Benabdelmalek, qui nécessitera probablement le recours à l’explosif, et la fermeture de la voie attenante durant plusieurs mois. Auparavant, la station de bus sera évacuée pour les besoins du chantier et, selon le directeur du transport, des stations de substitution seront proposées dans les jours à venir, alors que des plans de déviation imposés par le chantier seront établis conséquemment aux plans livrés par le maître d’ouvrage. La circulation ne sera jamais coupée, a, cependant, promis J-L. Reveillau, mais ceci dit, des fermetures ponctuelles auront lieu en cas de besoin.
Le chantier nécessitera aussi de raser le parc de la police, situé à l’entrée de la zone industrielle Palma et la suppression de la station de bus de l’université Mentouri. Choses qui ne semblent pas poser problèmes aux autorités locales qui, visiblement, ont anticipé sur tout cela. Le représentant de l’Entreprise Métro d’Alger, maître d’ouvrage délégué, a promis aussi que la clôture de la mosquée l’Emir Abdelkader ne sera pas touchée, mettant fin définitivement à la polémique soulevée sur cette question, et que le problème posé par la trémie à ce niveau sera réglé par l’extension de cette dernière vers le bas.L’on saura aussi que la date du 10 juin prochain a été fixée pour la présentation de la maquette de la gare multimodale, qui prendra place à Zouaghi et jouera le rôle de station relais, et que le wali de Constantine insiste pour en faire un ouvrage moderne et grandiose. Par ailleurs, le projet du tramway de Constantine devra générer environ 3 000 postes d’emploi, toutes catégories confondues, selon le responsable de l’EMA, et coûtera 269 millions d’Euros, soit environ 29 milliards de dinars, sans compter la gare multimodale, dont le coût n’est pas encore évalué. A la question de savoir si la pénétration du tramway jusqu’à la place des Martyrs a été abandonnée officiellement, notre interlocuteur a répondu que non, mais qu’en ce moment, des contraintes techniques empêchent cette option qui a été remplacée par l’extension de la ligne jusqu’à la nouvelle ville Ali Mendjeli.
En marge de la présentation des travaux de réalisation du tramway, le wali de Constantine a déclaré que des avis d’appel d’offres seront lancés, la semaine prochaine, pour la réalisation de cinq parkings à étages sur les sites de Zouaghi, la nouvelle ville Ali Mendjeli, El Khroub, Daksi et Benabdelmalek. Cette infrastructure servira à solutionner le problème de stationnement dans la ville.
[ source ]
N. N.
El Watan - Edition du 26 Mai 2008
# Administrateur | 25/05/2008 | Transports
Tramway de Constantine
Après la phase d’étude et celle de déviation des réseaux souterrains, la pose des rails de la ligne Benabdelmalek-Zouaghi, étalée sur 9 km, sera donc engagée pour un délai de 29 mois. Les travaux qui nécessiteront la démolition des tribunes du stade Benabdelmalek et la déviation de la circulation de la voie occupée par le chantier impliqueront des désagréments que devra supporter la population avant de jouir du confort de ce moyen moderne de transport, appelé à décongestionner le trafic routier dans la ville de Constantine. A noter que ce projet, qui devra générer quelque 3000 emplois, coûtera 269 millions d’euros, l’équivalent de 29 milliards de dinars. La ligne actuelle qui rallie notamment l’université Mentouri sera cependant prolongée jusqu’à la nouvelle ville Ali Mendjeli pour atteindre une longueur de 22 km, en passant par la ville universitaire, dont le chantier est en cours.
[ source ]
Par Nouri Nesrouche
El Watan - Edition du 25 Mai 2008
# Administrateur | 25/05/2008 | Transports
Aigle Azur. Acquisition d’un nouvel Airbus A319
L’appareil de 144 sièges est configuré en biclasses d’une autonomie de 5h30 et d’un rayon d’action de 6000 km. Cette nouvelle acquisition porte à 11 le total des appareils de la flotte d’Aigle Azur, entièrement composée d’Airbus. Le nouvel avion viendra renforcer le réseau, à savoir 33 vols hebdomadaires vers Alger. Et aussi Annaba, Batna, Béjaïa, Biskra, Chlef, Constantine, Hassi Messaoud, Oran, Tlemcen, Sétif au départ de Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Mulhouse, Lille. En plus de l’Algérie, il faut ajouter deux vols hebdomadaires à destination de Bamako ; deux vols hebdomadaires à destination d’Agadir et d’Oujda, un vol quotidien à destination de Casablanca, trois vols hebdomadaires à destination de Rabat et Marrakech, un vol hebdomadaire vers Tanger ; Porto et Lisbonne en quotidien et Faro, deux fois par semaine et enfin deux vols hebdomadaires vers Djerba.
[ source ]
Par N. B.
El Watan - Edition du 25 Mai 2008
# Administrateur | 21/05/2008 | Transports
Métro d’Alger : Réalisation de la ligne Haï El Badr-El Harrach
Les travaux de réalisation de la nouvelle ligne Haï El Badr-El Harrach débuteront en juin prochain. La partie aérienne de la ligne est comprise entre la station terminus implantée dans la localité de Haï El Badr et le complexe de tennis de Bachedjarah. Selon une source proche de cet important pôle tennistique, les travaux concernant la concrétisation de la partie souterraine de la ligne toucheront sept courts de tennis. « Les courts allant du numéro 3 à 9 seront fermés pour permettre à l’entreprise de poursuivre les travaux. Aucune compétition n’y sera programmée. Toutefois, les conditions de sécurité seront assurées pour maintenir l’activité sportive dans les autres cours afin de ne pas priver les jeunes de leur sport favori », a indiqué notre source. Le délai fixé pour ces travaux s’étaleront sur une période de 32 mois. « L’entreprise Gama, faisant partie du groupement algéro-allemand, a présenté des engagements pour réhabiliter les courts de tennis touchés par les travaux et les remettre dans un état meilleur », a encore indiqué la même source.
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El Watan - Edition du 21 Mai 2008
# Administrateur | 17/05/2008 | Transports
par L'un De Nos Correspondants A Paris S. Raouf
L'agence Air Algérie de Paris a connu, cette semaine, une affluence inhabituelle. Contre toute attente, les agents commerciaux de la compagnie ont dû faire face à une forte demande. Une petite queue était perceptible avant l'ouverture de l'agence avant de disparaître sous l'effet du traitement rapide des dossiers. Cela est dû à la multiplication des jours fériés pendant le mois de mai. Autant de congés qui génèrent automatiquement un rush sur les autres jours, explique-t-on à la représentation générale de la compagnie. Jeudi et vendredi, la demande s'est desserrée et l'affluence a repris son cours normal.
Les délais de traitement ont été sensiblement réduits. L'entrée en service, le 2 mai, du billet électronique, n'est pas étrangère à cette parade. « Manifestement, cela nous a permis de gagner du temps et de faire face à la demande », explique-t-on à la représentation de la compagnie. Première des représentations de la compagnie à l'étranger, France-nord est, comme son nom l'indique, en charge de toute la partie nord de l'Hexagone. Outre Paris (Orly et Roissy Charles de Gaulle), elle gère les escales de Lille et de Metz auxquelles s'ajoute celle, provisoire, de Mulhouse à la frontière est. La vente du programme d'été - la période allant du 26 juin à début septembre-a commencé prématurément cette année. Air Algérie a mis en ligne son offre «été» le 6 février, précipitant le dispositif d'un mois par rapport à la saison dernière. Pour la seule France-nord, la compagnie a mobilisé quelque 79.000 sièges dans le sens aller vers l'Algérie. Le gros de l'affluence est attendu entre fin juin et début août. Pour le retour vers l'Hexagone, des vols supplémentaires ont été d'ores et déjà prévus pour parer à toute éventualité.
Rien que sur Paris - la région Ile de France étant la première zone de concentration de l'immigration algérienne -, le pavillon national a jugé utile de renforcer son programme par 37 vols supplémentaires. 15 vols décolleront depuis Alger, 9 vols partiront d'Oran et de Béjaïa, 3 de Tlemcen et 1 de Sétif.
14 autres supplémentaire relieront l'Algérie à Metz : 6 d'Oran, 2 de Béjaïa, 5 de Constantine et 1 de Chlef. Autre région à forte implantation algérienne, Lille sera reliée à l'Algérie par 8 vols supplémentaires pour la phase retour : 3 depuis Oran, 2 depuis Tlemcen, 2 depuis Constantine et un à partir de Béjaïa.
Mulhouse, un aéroport également fréquenté par les Algériens installés en Suisse et en Allemagne, bénéficiera de deux vols supplémentaires depuis Annaba. Cette offre additive en siège répond à la singularité de cette année. « La rentrée des classes coïncidant avec le début du Ramadan, Air Algérie a décidé de mettre tous les atouts de son côté pour assurer aux ressortissants un retour dans les meilleures conditions », dit-on à la représentation de l'avenue de l'Opéra.
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Le Quotidien d'Oran - Edition du 17 Mai 2008
# Administrateur | 11/05/2008 | Transports
UN AUTRE LOT A ÉTÉ LIVRÉ À L’ETUSA
Plus de 600 bus belges circulent en Algérie
C’est une nouvelle étape d’un vaste projet de coopération entre les deux pays en matière de transport urbain par autobus.
La coopération algéro-belge dans le domaine des transports se renforce davantage. Cent bus Van Hool seront livrés tout prochainement à l’entreprise de transport public Etusa. Une convention de financement a été conclue entre les gouvernements algérien et belge. «C’est une nouvelle étape d’un vaste projet de coopération entre les deux pays en matière de transport urbain par autobus», annonce l’ambassade du Royaume de Belgique, dans un communiqué parvenu à notre rédaction.
Ces véhicules sont destinés à dix villes, à savoir Blida, Djelfa, M’sila, Sétif, Tizi Ouzou, Tébessa, Skikda, Batna et Tlemcen, à raison de 30 véhicules chacune Une livraison décidée suite au «franc» succès de la première étape de l’opération.
Cette dernière, clôturée depuis longtemps, a concerné les 300 bus qui desservent aujourd’hui les grandes villes Alger, Oran, Annaba et Constantine. «En 2002, le président Bouteflika avait effectué une visite d’Etat en Belgique et avait, à cette occasion, exprimé le souhait que les Belges prennent en charge la modernisation de l’Etusa par la fourniture, avec des crédits concessionnels, d’un très grand nombre d’autobus de la dernière génération», rappelle la même source. Ensuite, poursuivent les rédacteurs du communiqué, le président Bouteflika a demandé au gouvernement belge une deuxième tranche au profit, cette fois-ci, de dix villes moyennes.
L’ambassade informe qu’à l’heure actuelle, 200 bus supplémentaires ont été livrés par la société Van Hool et le réseau est opérationnel dans cinq villes (Blida, Djelfa, Tiaret, Skikda et Sétif) en attendant de desservir les cinq villes restantes dans les prochaines semaines. «Au total, et dans le cadre de ce vaste programme de crédits à taux concessionnels fort généreux de la Belgique, plus de 600 bus Van Hool circulent déjà ou circuleront bientôt en Algérie, sous les couleurs de l’Etusa», indique la même source. Toujours dans le cadre de cette coopération avec les Belges, la société Van Hool a livré à l’Etusa et à la Mpva (une filiale de Sonelgaz), dix bus fonctionnant au gaz naturel comprimé. «Le but de l’expérience», explique l’ambassade, est de voir dans quelle mesure et dans quels délais cette technologie de pointe pourrait s’appliquer en Algérie.
Cette fourniture d’autobus a été accompagnée aux mêmes conditions financières avec la fourniture d’équipements divers (matériel de communication et système de billetterie automatique) par la société belge Transurb-Technirail. Il s’agit de garantir une gestion ultramoderne de ce parc d’autobus pour optimaliser les revenus de l’Etusa tout en respectant les standards internationaux de qualité en matière de ponctualité, de propreté et d’information des usagers.
Ce projet algéro-belge concerne aussi le volet de la maintenance afin de préserver le plus longtemps possible cette flotte d’autobus. Le gouvernement belge a équipé quatre ateliers de réparation d’autobus, un pour la réhabilitation et trois pour la maintenance préventive en plus d’un centre de formation. Le tout a nécessité un budget de plus de 4,6 millions d’euros.
L’ambassade assure que la coopération se poursuivra dans l’avenir. Cette flotte devrait se renforcer encore en fonction des besoins de l’Etusa et d’autres sociétés de transport urbain ou interurbain, ajoute le communiqué.
[ source ]
# Administrateur | 10/05/2008 | Transports
RAPPORT ANNUEL SUR LA SÉCURITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN
Les spécialistes félicitent Air Algérie
Pas moins de 100 accidents sont survenus dans le monde durant l’année écoulée contre 77 en 2006.
L’année 2007 est la plus sécurisée pour l’Algérie en matière d’accidents dans le transport aérien. Le rapport annuel sur la sécurité de l’Association internationale du transport aérien (Iata) a particulièrement relevé «les formidables progrès» enregistrés d’une année sur l’autre dans notre pays ainsi qu’en Russie.
Ces deux pays, auxquels l’Iata a consacré beaucoup de temps, essentiellement via des formations, n’ont déploré aucun accident en 2007, révèle le rapport. Il faut dire que la compagnie aérienne nationale Air Algérie oeuvre, à travers sa stratégie de développement, à assurer à ses passagers le maximum de sécurité possible.
Le coût de la maintenance des appareils de la compagnie est estimé à 30 millions de dollars par an, selon ses responsables. Aussi, toutes les pièces de rechange sont livrées par les constructeurs. Des certificats de conformité d’origine sont établis lors de l’achat des pièces. Quant à la maintenance, elle est assurée par le personnel d’Air Algérie, estimé à 1500 employés, dont plus de 800 techniciens hautement qualifiés. S’ajoute à cela, le renouvellement de la flotte. Air Algérie a déjà obtenu de l’Iata la certification Iosa (Iata Operational Safety Audit), un programme d’évaluation et de certification standard en matière de sûreté et de qualité opérationnelle des compagnies aériennes. Le taux d’accidents dans le transport aérien dans le monde a augmenté donc en 2007. Pas moins de 100 accidents sont survenus durant l’année écoulée, contre 77 en 2006, indique le rapport de l’Iata. Parmi ces accidents, 57 ont impliqué des jets et 43 des avions turbopropulseurs (à hélices), précise l’association.
En termes de décès, le chiffre est toutefois en baisse. Il est passé de 855 à 692 décès. Les records d’accidents sont détenus par le continent africain dont beaucoup de transporteurs ne sont pas membres de l’Iata. La région accuse, selon l’association, un taux d’accidents de 4,09. La région Asie-Pacifique enregistre un taux de 2,76, l’Amérique latine de 1,61 et le Moyen-Orient 1,08. L’Asie du Nord est à 0,88.
Contrairement à l’année précédente, la Russie et la Communauté des Etats indépendants n’ont déploré aucun accident alors que l’Amérique du Nord affiche un taux de 0,09 et l’Europe 0,29. Selon le directeur général de l’Iata, Giovanni Bisignani, certaines compagnies aériennes ne veulent pas du standard de sécurité, et surtout, certains gouvernements ne prennent tout simplement pas la sécurité au sérieux.
«Sans volonté politique, l’Iata ne peut rien faire», a-t-il ajouté, faisant référence aux responsabilités incombant aux pouvoirs publics pour les contrôles en aéroport et les programmes de formation des personnels et pilotes.
La plupart des accidents sont survenus à l’atterrissage, mais sont aussi dus à des problèmes techniques, note encore le rapport. Parmi les autres causes d’accident figurent les dégâts survenus au sol, la maintenance et les lacunes dans la formation des équipages. L’Iatat compte environ 240 compagnies aériennes membres, qui assurent 94% du trafic aérien mondial.
[ source ]
Par NaĂŻma HAMIDACHE
L'Expression - Edition du 10 Mai 2008
# Administrateur | 08/05/2008 | Transports
TRANSPORT MARITIME ET AÉRIEN
L’été 2008 annonce la couleur
La compagnie maritime Entmv recommande à sa clientèle de programmer les retours en dehors de la période du 18 août au 5 septembre.
« Tout est en place pour une bonne saison estivale », ont assuré les responsables de représentations Air Algérie, Cnan et Algérie Ferries à l’issue d’une rencontre-bilan tenue hier avec l’ambassadeur d’Algérie à Paris, M.Missoum Sbih. Ces représentants se sont déclarés « confiants » dans leurs programmes élaborés spécialement pour la saison estivale 2008. On annonce la couleur pour cet été 2008. Le représentant d’Air Algérie pour la région France-Nord a indiqué que «le programme de vols réguliers, quant à la période qui s’étale du 29 juin au 10 août, prévoit 79.562 sièges au départ de Paris vers toutes les destinations en Algérie». A cet acquis s’ajoutent des vols supplémentaires, pour la phase aller, dont 2 de Mulhouse, 13 de Metz et 8 de Lille. Les satisfactions ne manquent pas. La représentation Air Algérie basée à Lyon, qui prévoit 4 vols supplémentaires, ainsi que celle de Marseille, se sont déclarées fin prêtes pour assurer « un flux normal de passagers durant une période exceptionnelle ».
Toutefois, un défi de timing en phase retour attend la représentation d’Air Algérie à Paris. La raison est que cette phase s’opérera uniquement sur deux semaines tandis que celle de l’ aller s’étalera sur 5 à 6 semaines. Afin de faciliter les flux de passagers, Air Algérie a lancé, en plus de la diffusion d’un indicateur de vols, de poche, une campagne par le biais de radios communautaires ainsi que des flashs d’informations sur la disponibilité de son produit à travers l’ensemble du réseau de ventes intermédiaires agréé. En termes de facilitations, une assurance similaire pour la saison estivale est aussi affichée par les transporteurs maritimes tels que Algérie Ferries (Enmtv). Celle-ci mobilisera ses 3 cars-ferries (Tariq Ibn Zyad, El-Djazair II et Tassili II) ainsi que l’affrètement du car-ferry Riviera Adriatica. Cette compagnie, qui prévoit un total de 348 traversées sur les lignes France-Algérie et Espagne-Algérie, offre, du 15 juin au 15 septembre, 233.030 places (passagers) pour la première liaison et 195.024 pour la seconde.
S’agissant du transport des véhicules, les places offertes s’élèvent à 119.145 au total. L’Entmv prévoit une demande importante sur les départs du mois de juillet et de la première semaine d’août ainsi que sur les retours entre le 15 août et le 10 septembre.
La compagnie maritime recommande donc à sa clientèle de programmer les retours en dehors de la période du 18 août au 5 septembre. Jugeant la rencontre d’hier d’une grande importance, M.Sbih a précisé que ce type de rencontres permet «une cohésion dans les démarches» de ces entreprises avec les autorités françaises.
[ source ]
Par Fouad IRNATENE
L'Expression - Edition du 8 Mai 2008
# Administrateur | 07/05/2008 | Transports
Chlef : Le transport aérien dans l’attente de nouvelles dessertes
Deux vols d’été, à raison d’une seule liaison en aller et retour pour chaque destination, sont programmés durant la période estivale entre Chlef - Metz et Chlef -Paris.
Cependant, pour ce qui est du vol régulier vers Paris, comme cela était annoncé depuis longtemps, aucune information officielle n’a filtré sur le sujet, ce qui met tout le monde dans l’expectative (passagers, autorités aéroportuaires et agences de voyages). Il faut signaler que cette desserte fait l’objet d’une forte demande, en particulier des nationaux installés dans la capitale française et des opérateurs économiques nationaux et étrangers. Les premiers cités sont pour la plupart issus du centre-ouest du pays et aimeraient transiter par l’aéroport le plus proche, à savoir celui de Chlef, dont la mise en service remonte au 8 juin 2006. Les hommes d’affaires souhaiteraient, eux aussi, utiliser l’aéroport local pour se rendre à Paris, car l’éloignement de ceux d’Alger et d’Oran (distants de 220 Km) leur cause de sérieux désagréments, selon certains d’entre eux. Pour le moment, l’infrastructure aéroportuaire qui a coûté plus de 300 milliards de cts n’est exploitée que deux fois par semaine, à raison d’un vol régulier tous les jeudis et samedis, entre Chlef et Marseille, à bord d’avions des compagnies Air Algérie et Aigle Azur.
[ source ]
par A. Yechkour
El Watan - Edition du 7 Mai 2008
# Administrateur | 05/05/2008 | Transports
Transport aérien : 4 nouvelles destinations vers l’Europe
Dans le cadre de la préparation de la saison estivale 2008, les services d’Air Algérie viennent de concocter un riche programme destiné au renforcement du transport aérien vers plusieurs pays et l’ouverture de lignes vers le continent européen, apprend-on de sources au niveau de cette structure.
Il s’agit, en effet, des villes de Bordeau (France), Bruxelles (Belgique) ainsi que Genève et Monthey (Suisse), vers où la compagnie algérienne du trasport aérien a prévu 8 dessertes par semaine, à partir du mois de juin et jusqu’à septembre prochain. Ceci, en plus du renforcement des destinations sur Alicante, Paris, Lyon et Marseille, à partir de l’aéroport international d’Oran. Et pour ce qui est des pays arabes, les mêmes services entendent assurer 6 dessertes par semaine vers la ville marocaine de Casa Blanca et une douzaine de dessertes vers la ville de Jedah (Arabie Saoudite). En ce qui concerne les lignes intérieures, nos interlocuteurs indiquent que Air Algérie avait déjà prévu, à compter d’avril dernier et jusqu’au mois de septembre prochain, de renforcer les lignes d’Alger (110 dessertes), Annaba (6), Béchar (12), Hassi Messaoud (12), Constantine (12) ainsi que Ourgla et In Amenas (6).
[ source ]
Par A. Yacine
El Watan - Edition du 5 Mai 2008
# Administrateur | 27/04/2008 | Transports
Transport aérien : Des améliorations dès cet été, annonce le PDG d’Air Algérie
Des promesses aux actes. Le député RCD de la zone Nord, le Dr Rafik Hassani, avait lors de sa campagne électorale pris l’engagement auprès de la communauté algérienne émigrée en France de porter auprès des responsables nationaux concernés une de leurs préoccupations majeures : les conditions et le coût du transport aérien vers le pays natal. Promesse tenue.
C’est ainsi que le député RCD France, Rafik Hassani, qui a rencontré récemment le nouveau PDG d’Air Algérie, Abdelwahid Bouabdallah lui a soumis les préoccupations de la communauté algérienne de France, notamment celle relative au prix des billets. Le député a proposé au dirigeant de l’entreprise aérienne nationale d’examiner la possibilité d’« aller plus loin dans les réductions appliquées », sans que cela prête à « conséquence sur la trésorerie de la compagnie nationale et avec l’avantage de susciter le goût du voyage ».Et le député d’argumenter que « les mentalités et les habitudes ont changé avec l’aménagement des périodes de travail ». En effet, a-t-il fait valoir, « les Algériens de France sont prêts à fractionner leurs vacances, pour peu que soit mise en place une politique adaptée et, pourquoi pas, agressive des prix ». Rafik Hassani a, par ailleurs, posé le problème des disponibilités de sièges, l’été, ainsi que celui de la ponctualité des vols et de la propreté des appareils. Selon le député RCD France, le PDG d’Air Algérie, en place depuis peu de temps, a déclaré avoir « trouvé une saison estivale déjà installée ». Il s’est toutefois engagé à « apporter des améliorations dès cet été par le recours à l’affrètement conséquent d’avions ». Le premier responsable de la compagnie aérienne a aussi fortement insisté sur l’effort qui sera fait quant à l’accueil des vacanciers. Air Algérie va également « mener une réflexion à propos du transport des dépouilles dans le sens d’un effort sur les prix pratiqués, notamment en direction des plus démunis », a souligné Rafik Hassani. Quant au scandale rapporté par la presse la semaine dernière à propos d’un trafic concernant précisément le transport des cercueils, M. Bouabdellah a annoncé que « des mesures ont été prises » et qu’ « une enquête est en cours ». Enfin, il a émis le souhait de rencontrer des représentants de notre communauté prochainement à Paris.
[ source ]
par Nadjia Bouzeghrane
El Watan - Edition du 28 Avril 2008
# Administrateur | 25/04/2008 | Transports
L’Etat a consacré 1,5 milliard de dinars pour le plan d’indemnisation des citoyens expropriés dans le cadre du projet du tramway. Quelque 600 millions de dinars seront réservés pour l’acquisition de logements et le reste de la somme pour l’acquisition des commerces. C’est ce qu’a déclaré à l’APS le directeur des projets du tramway et du transport par câbles de l’Entreprise du métro d’Alger, M. Amar Khelouia.
Ces questions ont constitué les principaux problèmes rencontrés par l’entreprise lors de la réalisation de ce grand projet, a affirmé M. Khelouia.
Il a, également, souligné l’octroi de 138 logements pour le recasement des propriétaires déplacés. L’entreprise qui a recensé 180 commerces concernés par l’indemnisation a dû acquérir 180 locaux auprès de l’Agence d’amélioration et de développement du logement (AADL) d’Alger. Il s’agit de 90 locaux à la cité des Bananiers. Le premier tronçon de la ligne du tramway d’Alger, qui reliera la cité des Bananiers à la commune de Bordj El-Kiffane, sera réceptionné dans les délais fixés, en août 2009, a affirmé le directeur des projets du tramway et du transport par câbles de l’Entreprise du métro d’Alger, M. Amar Khelouia. Les premiers essais des rames du tramway auront lieu en août 2009, a précisé M. Khelouia, annonçant la réception du premier lot de rames importé de la société française ALSTOM, en novembre prochain. Les résultats des essais des rames détermineront la date de leur mise en service commerciale, a souligné M. Khelouia, ajoutant que la période des essais devra durer entre deux et six mois. Par ailleurs, M. Khelouia a indiqué que les chantiers de maintenance qui devront accueillir les équipements du tramway termineront leurs travaux en janvier 2009, alors que les travaux relatifs à l’assiette du premier tronçon de cette ligne qui s’étendra sur 8 km, s’achèveront en mars 2009. Ces délais ont été fixés à l’issue de la rencontre d’évaluation organisée par l’entreprise du métro d’Alger, en coordination avec toutes les parties prenantes au projet du tramway. Concernant le deuxième tronçon reliant la cité des Bananiers au boulevard des Fusillés (Hussein Dey),
M. Khelouia a rappelé que la fin des travaux est prévue en mars 2010, alors que les essais des rames prendront moins de temps que celui de la première phase de ce projet.
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Par S. H.
Le Jour d'Algérie - Edition du 25 Avril 2008
# Administrateur | 23/04/2008 | Transports
Le ministre des Transports, Mohammed Meghlaoui Ă El Khabar
Dans une déclaration à El Khabar, le ministre des Transports, M. Mohammed Meghlaoui a affirmé que son ministère n’a pas encore privatisé le transport aérien, à l’exception de Tassili Airlines.
Toutefois, ce dernier le fera et effectuera une étude technique si la décision vient d’en haut, en allusion au président de la République.
Le ministre des Transports, M. Mohammed Meghlaoui a indiqué qu’il est possible d’ouvrir le domaine du transport aérien aux particuliers, après l’annonce de l’homme d’affaire Koweitien El Babitine d’un projet dans ce sens, lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika au Koweït.
Le ministre a déclaré que le transport aérien en Algérie a été ouvert à l’entreprise Tassili, dans le cadre de ce qui a été appelé « avions taxis ». Il a indiqué qu’il est prévu qu’une délégation Koweitienne et Qatarie arrive en Algérie pour s’enquérir des projets.
En marge de l’ouverture de la première session du Congrès de l’Unité Africaine, M. Meghlaoui n’a pas écarté la réouverture de ce domaine aux particuliers, après la position « ferme » adoptée après le scandale « Khalifa ». Cette option est envisageable sauf si la décision vient d’en haut en allusion à la présidence de la République. Il a ajouté que, dans ce cas, le ministère des Transports étudiera l’aspect technique des dossiers.
Par ailleurs, les participants à la première session du congrès de l’Unité Africaine des ministres des transports, ont été unanimes sur la nécessité de développer le secteur afin de réaliser un développement durable dans tout le continent africain et pour atteindre les objectifs du millénaire.
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Par S. Bouayad/ Rubrique Traduction
El Khabar - Edition du 22 Avril 2008
# Administrateur | 23/04/2008 | Transports
ABDELWAHID BOUABDALLAH
«Air Algérie reprendra ses parts de marché»
La compagnie aérienne envisage d’entrer dans le capital des compagnies aériennes africaines.
La compagnie aérienne nationale Air Algérie entend se redéployer sur la destination France. Le président-directeur général, Abdelwahid Bouabdallah, a souligné sa détermination à reprendre les parts du marché, notamment en direction de la France. « Ces dernières années, nos parts de marché sur la France sont passées de 60 à 52%. Mais si nous améliorions nos prestations, l’Algérien voyagera sur Air Algérie.
Ça sera difficile, mais nous reprendrons nos parts de marché », a-t-il affirmé, dans un entretien publié dans la dernière livraison de Jeune Afrique, repris par l’APS. Air Algérie continue aussi de développer d’ambitieux projets. Elle enclenche la vitesse supérieure pour diversifier ses destinations. La compagnie envisage, en effet, de rentrer dans le capital des compagnies aériennes africaines.
L’objectif étant de développer des destinations comme l’Afrique du Sud, le Nigeria, la Corne et l’Ouest de l’Afrique. «Nous disposons déjà d’une plate-forme au Burkina-Faso.
Il y a beaucoup de destinations à développer en Afrique, mais l’idée est de bénéficier d’abord de subventions de l’UE pour désenclaver le continent. Nous ne voulons pas créer un fonds de commerce à perte pour que d’autres en profitent après», a précisé le patron de la compagnie.
La compagnie va, selon M.Bouabdellah, acheter plus de 11 appareils d’ici 2009, pour lesquels des appels d’offres seront bientôt lancés.
Il a indiqué que la compagnie, qui a remboursé par anticipation les 12 avions achetés en 2004, « peut être très rentable à court terme grâce à son personnel. Sa force, ce sont les ressources humaines ». Pour le P-DG d’Air Algérie, un nouvel organigramme est une de ses priorités. « Je veux créer une équipe de jeunes talents. Il y a beaucoup de diplômés qui ne sont pas exploités à la mesure de leurs capacités », a-t-il indiqué. Air Algérie, estime-t-il, sait très bien faire voler des avions, mais a de grandes lacunes en matière de prestations et de qualité de services. Il a souligné la nécessité de «réapprendre» aux services à travailler ensemble. « Il faut décentraliser les décisions. Les procédures sont complexes. L’information doit circuler très vite et les décisions doivent être prises rapidement avec un contrôle a posteriori.
J’ai décelé une grande disponibilité du personnel qu’il faudrait fédérer autour d’un projet », a-t-il soutenu.
Le patron d’Air Algérie a insisté sur une utilisation rationnelle des ressources humaines, soulignant la nécessite de faire émerger des métiers manquants comme le contrôle de gestion, la prospective, la qualité de services, les sondages auprès des utilisateurs. « La concurrence ne nous fait pas peur et il est impossible d’être aussi performant que nous en Algérie », a-t-il lancé. Il reconnaît néanmoins que sur l’international, « ça sera plus rude, mais nous avons une force: le passager algérien.
Pour peu que l’on augmente la qualité de services et la ponctualité, nous ferons peur à nos concurrents. Nous mettrons le paquet dans la formation commerciale ». M.Bouabdellah a également annoncé l’ouverture d’une fréquence vers la Chine et une troisième liaison vers le Canada et l’acquisition d’avions navettes est imminente pour relier entre elles des villes comme Alger, Oran, Constantine et Annaba.
M.Bouabdallah s’est montré optimiste quant à l’avenir de la compagnie aérienne nationale. « Ce sera une entreprise-phare du Bassin méditerranéen », a-t-il estimé.
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Par NaĂŻma HAMIDACHE
L'Expression - Edition du 23 Avril 2008
# Administrateur | 12/04/2008 | Transports
Transport
L’Entreprise du métro d’Alger (EMA) a signé jeudi dernier avec le groupe d’ingénierie et de transport ferroviaire Alstom et ses partenaires deux contrats pour fournir les systèmes de tramways clés en main des villes d’Oran et de Constantine.
Les deux contrats comprennent le génie civil, le matériel roulant et les infrastructures et représentent un montant total de l’ordre de 662 millions d’euros, dont 326 millions d’euros pour Alstom, a indiqué un communiqué de presse d’Alstom. Le contrat pour la ville d’Oran, qui comprend le génie civil, les infrastructures et le matériel roulant, représente un montant total de 355 millions d’euros, dont 148 millions d’euros pour Alstom. Il porte sur une ligne de 18 km desservant 32 stations. Alstom fournira 30 tramways Citadis alors que la mise en service des premières rames interviendra 26 mois après l’entrée en vigueur du contrat, précise-t-on. Le contrat pour Constantine s’élève au total à 307 millions d’euros, dont 178 millions d’euros pour Alstom, qui livrera 27 tramways Citadis, les voies, l’alimentation électrique, le système d’exploitation (signalisation et télécommunication) et les équipements du dépôt. La société Pizzarotti réalisera les travaux de génie civil. La mise en service des premières rames interviendra 27 mois après l’entrée en vigueur du contrat, ajoute le même communiqué. Alstom indique avoir totalisé plus de 1000 rames de tramway Citadis vendues dans le monde depuis le lancement de la gamme en 1997.
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par M. M.
Al Watan - Edition du 12 Avril 2008
# Administrateur | 12/04/2008 | Transports
Une usine de montage d’avions légers s’implantera à El Amria ( Aïn Témouchent)
Une entreprise d’assemblage d’avions légers devrait entrer en production avant fin 2008 à El Amria.
C’est ce qu’a annoncé Yacine Halim, le promoteur du projet, en association avec un partenaire nord américain. L’entreprise dénommée West Aéronotic Construction Cie (WAAC), devrait disposer de 5 ha sur les 121 de l’aérodrome de l’aéro-club de la wilaya. Les autorités locales ont favorablement accueilli le projet, selon la déclaration faite par le promoteur à un parterre de présidents d’aéro-clubs du pays. WACC produira deux types d’avions. Le premier, un monomoteur biplace, servirait à l’écolage pour les aéro-clubs. Le second, un quadriplace à décollage rapide (60m), est utilitaire. Pouvant décoller de n’importe quel lieu, il doit servir entre autres à l’évacuation sanitaire, à la lutte contre les incendies, au tourisme et à la messagerie. Conçue pour que l’assemblage aille progressivement avec l’intégration progressive des procédés de fabrication, WACC devrait promouvoir un pôle de développement de l’aviation légère, un moyen de transport qui, avec l’ouverture du ciel, est appelé à un essor important, selon le promoteur.
[ source ]
par M. Kali
Al Watan - Edition du 12 Avril 2008
# Administrateur | 10/04/2008 | Transports
Après Alger et Constantine, Aigle Azur lance une troisième ligne à destination de Sétif au départ de Mulhouse.
Ce vol part tous les mercredis à 11 h 30 de Sétif pour arriver à 14 h 45. Puis il repart de Mulhouse à 15 h 55 pour arriver à 17 h 10 à Sétif. Le prix est à partir de 306 euros A/R TTC. Aigle Azur dessert déjà Sétif au départ de Paris Orly Sud, Lyon et Marseille.
[ source ]
par NaĂŻma HAMIDACHE
Le Quotidien du Tourisme - Edition du 10 Avril 2008
# Administrateur | 06/04/2008 | Transports
Le métro sera opérationnel avant la fin de l'année : La gestion sera confiée à la RATP
Les deux projets s'alignent de la place des Martyrs Ă El Harrach.
Des études ont été lancées pour relier le métro d'Alger avec les deux sections du futur tramway. C'est M. Maghlaoui qui en a fait l'annonce récemment lors de son passage au Conseil de la nation. Tout en confirmant la livraison de ce grand projet avant la fin de l'année, le ministre des Transports a affirmé que l'Etat a élaboré plusieurs programmes pour la promotion du transport collectif qui absorbe, aujourd'hui, un total de 50% des déplacements dans la seule wilaya d'Alger, contre 10% en taxis et 40% en véhicules particuliers.
La première ligne du métro reliant la Grande Poste à la cité Haï El Badr contribuera à renforcer davantage la quote-part du transport en commun, étant une ligne qui brosse la périphérie algéroise et touche les plus peuplés des quartiers de la capitale. Le prolongement de cette ligne vers l'ouest en direction de la place des Martyrs pour être reliée au tramway d'Alger-Ouest et à l'est en direction d'El Harrach pour être connectée au train de la banlieue algéroise (El Affroun-Thénia) confortera davantage la position de ce type de transport longtemps défavorisé par un service privé peu performant, voire menaçant. Ces deux extensions seront achevées d'ici au 4e trimestre de l'année 2009.
Côté gestion de l'infrastructure, il est à rappeler que le métro de la capitale sera confié à une société spécialisée dans la gestion des transports urbains. C'est en effet la Régie autonome des transports parisiens dénommée Ratp Développement qui a finalement décroché le contrat de gestion du futur métro d'Alger. Un contrat de dix ans qui s'inscrit en réponse aux insuffisances, voire incompétences, relevées dans la gestion des infrastructures de transports urbains et se propose en tant qu'opportunité pour le transfert du savoir-faire en allant vers une gestion locale de l'infrastructure. Un programme de formation des conducteurs et cadres algériens est en effet inclus dans les clauses du contrat, qui focalise par ailleurs sur l'aspect sécurité des lignes et qualité des prestations de services.
A fin janvier 2006, l'entreprise Métro d'Alger a, en effet, signé avec le groupement Siemens Vinci et Caf un contrat portant sur les équipements fixes, le matériel roulant et les aménagements intérieurs des stations. Ils se chargent de l'installation de pas moins de 14 trains de 6 voitures chacun. Chaque rame (wagon) est d'une longueur de 108 mètres pouvant transporter jusqu'à 1.216 personnes dont 208 assises. La réalisation d'un atelier de maintenance à Bachdjarrah, de la signalisation numérique CBTC, du réseau de télécommunication multifonctionnel et des équipements électromécaniques de ventilation et de désenfumage sont également autant de projets auxquels s'attellent le groupement depuis cette date et jusqu'à l'achèvement total du projet fixé, sur les contrats, au mois de septembre prochain.
D'un coût total de 77 milliards de dinars dont 30 pour la partie génie civil et 47 pour l'équipement, le métro d'Alger permettra le déplacement de 41.000 voyageurs par heure soit 150 millions de voyageurs par an, avec des intervalles d'exploitation allant jusqu'à 108 secondes (moins de 2 minutes). D'une vitesse maximale atteignant 70 kilomètres/heure, le métro sera disponible de 5h à 23h, apprend- t-on, et permet de satisfaire des niveaux de demande qu'aucun autre mode de transport ne peut assurer avec les conditions requises de confort et de sécurité, et de disposer d'un transport régulier à rotations rapprochées et ce, sans compter les impacts qu'il aura sur le nombre d'accidents de la circulation et sur les atteintes à l'environnement. Les 8,5 kilomètres reliant la station de Haï El Badr à celle de la Grande Poste qui, faut-il le rappeler, desservent six communes, à savoir Bachdjarrah, El Maqaria, Hussein-Dey, Hamma, Sidi M'hamed et Alger-Centre, constituent la première tranche d'un schéma global constitué de 3 lignes totalisant 56 kilomètres avec 54 stations.
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par A. Fadila - 05-04-2008 Ă 21:41
EL MOUDJAHID - Edition du 6 Avril 2008
# Administrateur | 20/03/2008 | Transports
LE TRANSPORT AÉRIEN S’OUVRE AU PRIVÉ
Des avions taxis dans le ciel d’Algérie
Ce service d’exploitation est destiné à assurer le transport sur de courtes distances et selon des besoins bien précis.
Le ciel algérien est, désormais, ouvert aux taxis aériens privés. Le réseau domestique du transport aérien offre des possibilités d’exploitation à chaque personne qui en exprime le désir. La direction de l’aviation civile et de la météorologie (Dacm) vient de lancer « un avis d’appel à manifestation d’intérêt pour l’exploitation de service de transport aérien dit taxis aériens », conformément aux nouveaux textes de loi régissant l’exploitation de ce genre de transport. « Conformément aux dispositions de la loi n°08/02 du 15 Moharram modifiant et complétant la loi 98-06 du Rabie el Aouel 1419 correspondant au 27 juin 1998, notamment l’article 5, les services de transport aérien dits taxis aériens sont autorisés à utiliser des aéronefs...», souligne un communiqué émanant de ladite direction, paru dans la presse nationale sous forme d’insertion publicitaire.
Ce même communiqué précise que les aéronefs autorisés doivent être «d’une capacité égale ou inférieure à 20 sièges ou à 2000 kilogrammes de fret». Ainsi, les personnes physiques de nationalité algérienne et morales de droit algérien peuvent, désormais, exploiter un tel service. M.Azzi Youcef, sous-directeur du transport aérien au ministère des Transports, a expliqué qu’il s’agit de nouvelles modifications apportées aux textes déjà existants. «L’Algérie a ouvert, depuis longtemps, son ciel à l’exploitation du service des taxis aériens. On possédait déjà quelques compagnies. Les anciens textes exigent que les aéronefs soient d’une capacité de 12 sièges, soit 1200 kilogrammes de fret. Mais, comme tout le monde le sait, l’aviation en général et les avions en particulier ont beaucoup évolué. Les normes d’aujourd’hui, (internationales, Ndlr), exigent que les aéronefs aient une capacité de 20 sièges ou 2000 kilogrammes de fret. Cela en conformité avec les avions vendus à travers le monde», a expliqué M.Azzi. Selon notre interlocuteur, comme les anciens aéronefs avaient des capacités limitées, les soumissionnaires étaient moins enthousiastes pour l’acquisition de ces petits avions.
« C’est pour cette raison que je parle de modification des textes de loi », rajoute M.Azzi.
A noter que deux compagnies assurent ce genre de transport dans le sud du pays.
« Il s’agit de la Star-Aviation et d’Air Express qui flottent dans le ciel algérien ». Les soumissionnaires sont appelés à répondre aux cahiers des charges du ministère des Transports. Interpellé sur ce sujet, la même source précise que les soumissionnaires doivent répondre aux conditions et aux modalités fixées dans le cahier des charges. Les personnes intéressées sont appelées à présenter leurs projets et présenter un état de ce qu’ils envisagent de faire ainsi que les moyens correspondant à leurs projets.
« Il s’agit d’une meilleure organisation pour l’acquisition d’une autorisation », explique encore M.Azzi. A noter que les taxis aériens ne sont pas destinés aux transports des voyageurs. « Les taxis aériens sont destinés à assurer le transport sur une courte distance et selon des besoins bien précis », précise-t-il. Quelques exceptions à retenir: « Les entreprises conventionnées avec les compagnies autorisées pour l’exploitation du transport des taxis aériens peuvent assurer leurs déplacements dans ces aéronefs en tant que partenaires », conclut-il.
Le ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui, a évoqué ce sujet lors de son passage devant la chambre basse. Il a fait allusion à ces nouvelles perspectives dans le secteur aérien, notamment l’introduction des taxis aériens et les facilitations accordées pour encourager l’investissement privé.
Ce système de transport est très réputé à travers le monde, notamment aux Etats-Unis d’Amérique, le Canada et les pays européens, notamment en Suisse.
[ source ]
par Tahar FATTANI
L'Expression - Edition du 20 Mars 2008
# Administrateur | 19/03/2008 | Transports
La wali l’a annoncé hier : Lancement des travaux du tramway
Les travaux du projet du tramway seront lancés avant la fin du mois de mars.
L’annonce a été faite hier par le wali de Constantine, lors d’une rencontre animée à la bibliothèque Mohamed Boudrebala de la ville de Aïn Abid, à l’issue d’une visite d’inspection. Les travaux, qui devront être entamés par un groupement de sociétés italiennes, seront menés en parallèle avec le chantier de la nouvelle station multimodale. Cette dernière sera appelée à remplacer, à moyen terme, la « vieille » gare routière Est, située en face du stade Chahid Hamlaoui. Selon le wali, cette assiette sera réservée pour accueillir le futur palais des congrès, dont l’étude est en cours, en même temps que celle qui aura pour finalité la réalisation d’un nouveau recalibrage pour l’oued Rhummel. Notons que la visite du wali, effectuée hier, dans les communes de Aïn Abid et de Benbadis, est la première du genre depuis les élections locales du 29 novembre dernier. Cette virée a été effectuée surtout pour inspecter le site de Douames, qui sera érigé en zone d’activités, et dont des lots ont été réservés pour accueillir les ferrailleurs de Guettar El Aïch.
[ source ]
par S. A.
El Watan - Edition du 18 Mars 2008
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