# Administrateur | 17/09/2009 | internet
75% des internautes algériens accros de la Toile
Pour cette étude, une grande enquête a été réalisée en Algérie auprès de 5944 internautes via un questionnaire électronique publié sur plusieurs sites web populaires algériens et renforcée par une campagne de e-mailing. Après cinq semaines de terrain, l’étude vient de livrer quelques-uns de ses résultats.
Les internautes algériens, dont le nombre est estimé à 4,5 millions (12,8% de la population) sont des accros de la Toile : 75% des internautes déclarent qu’Internet est un outil indispensable. Pour plus de 90% d’entre eux, Internet fait partie de leur quotidien depuis au moins un an et ils se connectent au moins une fois par jour et passent en moyenne une à deux heures devant leur écran. Les hommes (74,2%) sont plus nombreux que les femmes (25,8%), tous âges confondus. Les deux tiers des internautes (66,2%) sont des universitaires avec un niveau d’instruction d’au moins bac+1 à 3. Que font-ils sur Internet ? On peut distinguer trois usages : 82,6% envoient et reçoivent des mails (courriers électroniques), 80,7% utilisent les moteurs de recherche, 22,9% souhaitent lier des contacts d’affaires et 80,8% des internautes lisent la presse en ligne malgré le fait que la plupart des contenus « papier » et électroniques de la presse algérienne soient semblables. Les titres les plus lus sont ceux qui ont misé sur l’interactivité avec les lecteurs. Avec Internet, les notions de « produit de presse » et de « lecteur » changent radicalement. En effet, si la presse répond à une logique d’offre, en proposant aux lecteurs tout ce qui est essentiel, à savoir pour être informé à l’instant de la parution, le web, quant à lui, répond à une logique de demande où l’internaute a une interrogation à laquelle il va chercher une réponse. Les internautes algériens sont plutôt passifs et curieux. Seuls 40,6% déclarent posséder une page personnelle, un blog ou un site sur Internet.
Le domicile est devenu le point d’accès au web pour plus de la moitié des internautes : 65% surfent le plus souvent depuis chez eux, contre 24,6% qui se connectent depuis leur lieu de travail. Cela s’explique notamment par le développement de l’offre ADSL pour les particuliers (585 455 abonnés en résidentiel, selon le MPTIC) et la baisse des tarifs d’abonnement. Les moins nantis se connectent à partir des cybercafés, des maisons de jeunes et des médiathèques. 72,1% sont insatisfaits de la qualité du débit de leur connexion à domicile et 79,7% se plaignent des coupures fréquemment subies. D’ailleurs, l’analyse de la situation générale d’Algérie Télécom, notamment au plan de l’infrastructure des télécommunications, a fait ressortir des insuffisances en matière de qualité du haut et très haut débits (source : document e-Algérie 2013). Il semblerait qu’Internet soit contagieux, puisque 61,9% des internautes déclarent qu’ils sont au moins 3 personnes à utiliser Internet dans un même domicile. Fait important à relever : 31% des internautes algériens déclarent se connecter à Internet via leur téléphone mobile, mais se plaignent cependant de la lenteur de la connexion et du prix de cette dernière qu’ils estiment assez élevé. L’opérateur Nedjma a la plus grande part de marché avec 62,7% des mobinautes. L’opérateur multimédia a jeté depuis le début de son challenge en Algérie toutes ses forces dans la bataille en optant pour les nouvelles technologies. Les non-mobinautes (69%) énumèrent divers freins : prix de la connexion trop élevé, l’incompatibilité de leur téléphone mobile, la lenteur du débit et le manque de contenu intéressant. Dans ce cadre, ils sont à la recherche d’une information actualisée en permanence. Le contenu prime sur la réputation du site et sur sa présentation. Certains internautes parlent, lors de plusieurs enquêtes publiées dans la presse, de sites « trop classiques, ternes, plats et parfois austères ». D’autres avouent que certains sites sont « trop vieux et peu adaptés à des populations jeunes ». Interrogés sur le projet Ousratic, seuls 5,4% des internautes algériens déclarent en avoir bénéficié. Ils le trouvent intéressant, mais déplorent « le coût excessif de l’opération d’achat du matériel informatique, les lourdeurs administratives rencontrées et pensent que les banques n’ont pas vraiment joué le jeu ».
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Par Kamel Benelkadi
El Watan, publié Jeudi 17 septembre
# Administrateur | 10/09/2009 | internet
Internet. Malgré la crise, les ventes en ligne bondissent
Malgré la crise, les ventes sur internet ont bondi de 25% au premier semestre sur un an, soutenues par l'arrivée de milliers de nouveaux sites marchands et par des cyberacheteurs toujours plus nombreux, qui passent des commandes un peu moins onéreuses mais plus nombreuses.
11,3 milliards d'euros au 1er semestre
En France, "les ventes sur internet résistent bien à la crise dans un contexte difficile pour le commerce de détail et la consommation", souligne Marc Lolivier, délégué général de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), lors d'une conférence de presse.
Les emplettes des cyberacheteurs ont ainsi totalisé environ 11,3 milliards d'euros au premier semestre 2009. Par rapport au second semestre 2008, les ventes sur internet ont progressé cinq fois plus vite que la consommation des ménages (+0,5%).
30 milliards en 2010
Sur l'ensemble de l'année, le chiffre d'affaires du commerce électronique devrait s'élever à 25 milliards d'euros, conformément aux prévisions établies il y a un an par la Fevad.
"Si cette tendance se poursuivait, on va certainement atteindre en 2010 les 30 milliards d'euros", ajoute M. Lolivier.
13 000 nouveaux sites
Le commerce sur la Toile a notamment bénéficié de l'entrée en scène de nombreux nouveaux sites marchands, puisque leur nombre a augmenté de presque un tiers (28%), pour s'établir à 56000, contre 43700 un an plus tôt. Parmi eux, des boutiques qui existent uniquement sur le net mais aussi des enseignes qui disposaient déjà d'un réseau physique de magasins. "Plus de la moitié de la croissance des ventes en ligne (55%) résulte de l'apparition de ces nouveaux sites".
Plus de cyberacheteurs
Les ventes sur internet ont également été portées par l'augmentation du nombre de cyberacheteurs, au nombre de 22,5 millions au deuxième trimestre (+7% sur un an), selon l'Observatoire des usages internet de Médiamétrie.
Plus grande confiance
A noter que le nombre d'acheteurs en ligne progresse trois fois plus vite que le nombre d'internautes. "Des anciens internautes se mettent aussi à acheter en ligne", explique Bertrand Krug, directeur du département de mesure d'efficacité Online pour Médiamétrie/NetRatings, soulignant que la confiance dans l'achat en ligne se stabilise.
En majorité des femmes
Les cyberacheteurs sont en majorité des femmes (53,5%). Près de quatre cyberacheteurs sur dix appartiennent à des catégories socioprofessionnelles aisées (CSP+). Les moins de 25 ans et les plus de 65 ans sont sous-représentés: les premiers sont confrontés en masse au chômage, les seconds ne sont pas toujours familiarisés avec l'ordinateur.
Montant moyen de 89€ en baisse
Les Français passent davantage de commandes sur le net mais pour des sommes un peu plus faibles: le montant moyen des transactions a ainsi reculé de 4% à 89 euros contre 93 euros au premier semestre 2008. Dans le même temps, le nombre de transactions par carte a augmenté de 35% à 110 millions, selon
Des emplois
"Le e-commerce n'a jamais autant pris qu'en 2009 de parts de marché sur la distribution traditionnelle", a estimé Pierre Kosciusko-Morizet, patron de PriceMinister, qui a annoncé avoir créé 50 emplois cette année.
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ouest-france.fr, publié jeudi 10 septembre 2009
# Administrateur | 08/09/2009 | internet
Un an de connexion gratuite Ă internet
Algérie Telecom offre une connexion gratuite à Internet via le 1515 pour ses abonnés dont les lignes téléphoniques ont été résiliées pour défaut de payement et qui s’acquittent de la totalité de leurs factures avant la fin de l’année.
Ce cadeau vise, selon la chef du bureau des contentieux et recouvrement (BCR) d’Algérie Poste, Mme Zaim Nora, à inciter les quelques 22 000 clients en litige avec l’opérateur national dans la wilaya de Biskra, comptant actuellement plus de 45 600 abonnées actifs, à régulariser et à récupérer leurs lignes téléphoniques.
Selon notre interlocutrice qui dit privilégier « le contact direct avec les clients au courrier impersonnel, lequel n’arrive parfois jamais à destination, aux procédures judiciaires », 15% des clients, dont des particuliers, des entreprises privées et publiques, réticents à payer leurs factures téléphoniques, ont répondu aux sollicitations personnalisées des agents de cette entreprise qui font du porte-à -porte pour les rencontrer. Cette opération suit son cours à un rythme « tout a fait satisfaisant », estime-t-elle.
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Par H. Moussaoui
El Watan, publié le 08 Septembre 2009
# Administrateur | 10/08/2009 | internet
La Poste américaine concurrencée par l’internet
Des boîtes à lettres qui se raréfient, des bureaux de poste qui ferment, un volume de courrier en chute libre : la Poste américaine traverse une mauvaise passe, concurrencée par l’Internet et déprimée par la récession.
Jusqu’à un millier de bureaux de poste pourraient disparaître aux États-Unis sur les quelque 32 000 en activité alors que la Poste a subi une chute du volume du courrier la plus sévère de son histoire, a averti récemment la direction de l’US Postal Service (USPS) lors d’une audience au Congrès. Pour la première fois depuis des décennies, la Poste américaine est tombée dans le rouge en 2008, avec un déficit de 2 milliards de dollars qui devrait plus que tripler à -7,1 milliards de dollars en 2009. « La situation financière de la Poste est grave », a souligné récemment Jordan Small, le vice-président de l’entreprise publique, devant la commission de surveillance de la Chambre des représentants. La Poste devrait distribuer 175 milliards de lettres et colis en 2009, soit 38 milliards de moins qu’en 2007, alors que l’organisation est bâtie pour en distribuer 300 milliards par an. La baisse de 13,7% du volume en 2009 constitue « la chute la plus importante depuis la Grande dépression » des années 1930, a noté dans un rapport la Cour des comptes américaine (GAO). L’instance a placé l’USPS sur la liste des agences gouvernementales dont la situation financière est « à haut risque ». La part du marché postal est dévorée par l’Internet, alors que les entreprises comme les consommateurs ont opté pour le courrier électronique et les transactions électroniques sans que le commerce par correspondance généré sur la Toile ait jamais compensé la perte de volume de trafic. En 2000 par exemple, le pourcentage de foyers payant leurs factures par courrier était de 80%. Il est tombé en 2008 à 56%, selon le GAO.
À partir de fin 2006, le déclin du trafic « s’est accéléré avec la récession économique, particulièrement parmi les grands utilisateurs de la poste comme les secteurs de la publicité, des services financiers et de l’immobilier », a ajouté le GAO, soulignant que « les projections à 5 ans suggèrent que ce trafic perdu ne reviendra pas ». Le parc de boîtes à lettres a été réduit de moitié ces vingt dernières années, tombant à 175 000 dans tout le pays. Pour 2010, les perspectives sont tout aussi sombres, malgré l’augmentation des tarifs postaux en mai dernier. « L’USPS s’attend à des problèmes financiers continus en 2010, avec un déficit du même ordre, même en réalisant de plus grandes économies », s’alarme le rapport, soulignant que la dette va dépasser les 13 milliards de dollars. Alors que les effectifs comptent 640.000 personnes en 2009, après 150.000 départs depuis 2000, d’autres coupes sont prévues. L’activité de quelque 3 200 bureaux de poste urbains et de banlieue va être « évaluée » dans l’optique d’une restructuration « et près d’un millier de ces bureaux devraient être candidats à une évaluation plus poussée », a indiqué le vice-président Jordan Small laissant entendre que plusieurs centaines de bureaux sont condamnés à fermer ou fusionner lors d’un plan de restructuration qui n’interviendra pas avant fin septembre.
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Par A.F.P., Samir Ben
El Watan, publié le 10 août 2009
# Administrateur | 07/08/2009 | internet
Un nouveau visage pour la presse nationale sur internet
Le quotidien public Horizons vient de lancer cette semaine son nouveau site internet relooké (horizons-algerie.com).
Une interface interactive, avec comme contenu l’essentiel de l’actualité nationale et internationale et, en un clic, l’accès à l’édition du jour en PDF. Ainsi, un vent de changement souffle sur les portails web de la presse nationale. Le quotidien étatique El Moudjahid a été le premier journal à inaugurer le bal, en procédant au changement de l’interface de son site web ainsi que ses rubriques (www.elmoudjahid.com). Du côté de la presse du secteur privé, le journal Ennahar El Jadid mettra bientôt son nouveau site internet en ligne (www.ennaharonline.com), peut-on lire sur le portail du quotidien. D’après des indiscrétions du secteur, la plupart des titres de la presse privée procéderont prochainement au lancement de leurs nouveaux sites web. Le lancement du nouveau visage de l’édition web du quotidien El Watan (www.elwatan.com) est prévu pour le mois de janvier prochain, avec une présentation moderne et une équipe de rédaction web spécialisée.
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Par Zouheir AĂŻt Mouhoub
El Watan, publié le 07 Août 2009
# Administrateur | 04/08/2009 | internet
Firefox mis à jour… encore
La fondation Mozilla a mis à disposition une nouvelle mise à jour pour son navigateur Firefox. Un mois à peine après le lancement de la version 3.5, cette nouvelle mouture vient notamment corriger quatre failles de sécurité considérées comme critiques.
Jamais deux sans trois. La fondation Mozilla signale la mise en ligne d’une nouvelle mise à jour pour Mozilla Firefox, trois semaines seulement après la sortie de la version 3.5.1.
Estampillée logiquement 3.5.2, la dernière mouture du navigateur au petit panda corrige quelques problèmes d’affichage mais vient surtout colmater les failles de sécurité et des problèmes de stabilité du logiciel. Quatre vulnérabilités considérées comme « critiques » se voient corrigées.
Par ailleurs, la version 3.0 du navigateur est également corrigée avec une nouvelle version estampillée 3.0.13 qui comble là encore des trous de sécurité dont le détail n’a pas été communiqué.
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Par Jérémy Chauche (St.)
lesoir.be, publié mardi 04 août 2009, 17:07
# Administrateur | 16/07/2009 | internet
Le recrutement au bout du clic
Discrets, simples, rapides et efficaces, les sites Internet pour le recrutement et la demande d’emploi connaissent un grand essor en Algérie ces dernières années.
C’est le mois de juin. Des milliers d’étudiants viennent de décrocher leurs diplômes de fin d’études. Certains fêtent leur réussite avec leurs familles, ou vont profiter de leurs vacances d’été bien méritées après un travail laborieux, alors que d’autres préfèrent se mettre tout de suite à la recherche d’un travail. Et pour cela, les idées ne manquent pas. Feuilleter les petites annonces dans les journaux, faire du porte-à -porte, envoyer des CV un peu partout, ou encore faire le tour des salons du recrutement sont les exercices de base auxquels s’adonnent les demandeurs d’emploi.
Toutefois, toute cette panoplie s’est enrichie ces dernières années d’un nouveau moyen à même de faciliter leur quête et non des moindres, celle du recrutement par Internet. En effet, le recrutement par simple clic est devenu incontestablement, le premier moyen auquel ont recours la plupart des demandeurs d’emploi. Accélérant le processus de recrutement, améliorant la procédure de collecte de CV et réduisant les coûts de diffusion, ces sites offrent de nombreux avantages qui n’ont pas manqué de séduire les candidats et les recruteurs. Discrets, simples, rapides et efficaces, les sites Internet pour le recrutement et la demande d’emploi connaissent un grand essor en Algérie ces dernières années.
Depuis la création du premier site Internet de l’emploi en Algérie en 2006 dans le cadre de l’Ansej, le e-recrutement a fait du chemin, et aujourd’hui c’est pas moins d’une douzaine de sites qui se sont spécialisés dans ce créneau. Le premier qui est le site Emploitic.com. Ce pionnier dans le domaine a été créé par deux jeunes universitaires revenus de l’Hexagone pour s’investir dans leur pays. Et ils ont choisi un créneau à la fois difficile et prometteur, celui de trouver un emploi pour des millions de jeunes chômeurs algériens en proposant des solutions aux demandeurs d’emploi ainsi qu’aux entreprises à la recherche de ressources humaines, habilitées pour pourvoir des postes d’emploi. Une tâche des plus ardues donc mais qui a très vite donné ses fruits. Puisque seulement trois ans après son lancement, le site affiche des bilans plus que positifs. Rien que pour la seule année 2008, Emploitic.com a réussi à pourvoir plus de 7 000 postes d’emploi, contre 4000 en 2007. Aussi, entre 2006 et 2009, Emploitic.com a enregistré l’inscription de 150.000 candidats et 1500 entreprises de différentes tailles et divers secteurs.
D’autres chiffres encore indiquent que ce dernier est consulté par 300.000 visiteurs par mois, soit 10.000 visiteurs par jour.
Ce sont les candidats à la recherche de métiers relatifs à la gestion, la comptabilité et la finance qui se taillent la part du lion avec 15%. Viennent en deuxième position les métiers liés aux marketing et commerce avec 13%. Alors que la 3e place est occupée par les métiers de l’informatique, de la technologie et de l’administration avec 12% chacun. Par tranches d’âge, la répartition fait ressortir que 67% des candidats inscrits dans ce site ont entre 25 et 34 ans, viennent ensuite ceux âgés entre 35 et 49 ans avec 15%, et les jeunes ayant 18 et 24 ans représentent également 15% des candidats inscrits. Quant à la répartition par niveau d’instruction, 35% des candidats inscrits à ce site ont un Bac+5 et plus et 28% ont un Bac+4. Alors que les candidats ayant un niveau de terminale ou un Bac+2 ou 3, représentent chacun 19% du nombre d’inscrits. Autant dire, des chiffres effarants pour un créneau aussi récent. Pourtant, il suffit de faire un tour dans les cybercafés pour le constater. Munis de leur clé USB contenant leurs CV et lettre de motivation, il suffit aux clients d’introduire leur identifiant et leur mot de passe pour accéder gratuitement à des centaines d’offres d’emploi qui cachent peut-être leur futur job.
« Pour trouver un poste de travail c’est soit le bouche-à -oreille, et encore ce n’est pas sûr que ça marche, soit on fait jouer ses connaissances, et lorsqu’on n’en a pas, il y’a Internet » a indiqué Mourad, un demandeur d’emploi rencontré dans un cybercafé de l’Algérois. Après avoir fait entrer dans le site le nom de la fonction qu’il cherche et un seul clic, Mourad a pu accéder à la liste d’emplois correspondants. C’est alors qu’il a commencé à envoyer C.V. et lettre de motivation à destination des recruteurs. Il a indiqué: « C’est un ami à moi qui m’en a parlé, il a été recruté comme ça (...) on n’a rien à perdre et tout à gagner, difficile de faire mieux.»
Pourtant certains veulent faire mieux justement en voulant s’attaquer au marché international. C’est le cas d’Emploitic.com. Ce dernier a conclut plusieurs accords de partenariat avec des « job board » à audience internationale.
Puisqu’il a annoncé au mois de mai dernièr, un accord d’alliance avec The Network.com, leader mondial du e-recrutement, représentant un partenariat de 36 portails de recrutement issus de plus de 80 agences actives dans 100 pays de par le monde. Ce dernier dispose également de plus d’un millier de clients et donne accès à plus de 70 millions de chercheurs d’emploi.
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Par Yasmine ZOUAGHI
L'Expression, publié le 16 Juillet 2009
# Administrateur | 28/06/2009 | internet
Internet, version arabe, lancé
Il s’agit de combler un manque de documentation récente pour les chercheurs arabes ne maîtrisant pas les autres langues.
Le conseil d’administration chargé de la supervision du projet de la banque de données en version arabe sur Internet a été installé hier au Cercle national de l’armée de Beni Messous (Alger), en présence du représentant de la Ligue arabe et des ambassadeurs des pays arabes accrédités en Algérie. Notre pays abritera désormais le siège du conseil d’administration de la nouvelle Fondation relevant de la Ligue arabe appelée communément « Trésor de la langue arabe;», organisme chargé du projet de l’Internet arabe.
Ce projet consiste en une banque de données sur Internet qui contiendra toute la production littéraire et scientifique, ancienne et actuelle, en langue arabe. Il sera lancé prochainement avec le soutien de 18 pays arabes. Il s’agit, selon le président de l’Académie algérienne de la langue arabe, Abderrahmane Hadj- Salah, de « mettre en place un recueil de données textuelles en arabe qui servira de référence à tout travail de recherche pour les universitaires mais aussi au grand public ».
Cette banque de données, ajoute l’orateur « est ouverte à tous les volontaires pour enrichissement. Elle consiste en la traduction en langue arabe de toutes les recherches et études récentes effectuées dans différents domaines (science, technologie, sociologie, économie, etc.) parues dans les revues internationales spécialisées afin de les mettre à la disposition du public arabe ». Pour M.Hadj-Salah, il est surtout question de combler un manque de documentation récente pour les chercheurs arabes, dont une bonne partie ne maîtrise pas les autres langues, tels le français ou l’anglais.
Les diplomates ayant pris part hier à la cérémonie sont invités, chacun selon ses prérogatives, à contribuer à la réussite de ce long travail de traduction qui vise, entre autres, la valorisation de l’arabe comme langue de recherche et des sciences. « A présent 62% des sciences et technologies sur le Net sont en langue anglaise », a indiqué M.Hadj- Salah. L’orateur a affirmé au cours d’un point de presse que la réalisation de cette banque de données arabe ou Internet arabe « était extrêmement difficile vu les exigences en termes d’efforts et de moyens financiers ». Aussi, dira-t-il, il a été proposé le principe de la libre participation des entreprises scientifiques et culturelles de chaque pays avec une aide financière étatique. « La gestion de la réalisation de cette entreprise reviendra ensuite dans chaque pays à une commission régionale ou nationale présidée par le responsable local du projet proposé par son gouvernement et nommé par le secrétaire général de la Ligue arabe », a tenu à préciser M.Hadj- Salah. S’agissant des avantages de ce projet, il a affirmé « qu’il permettra aux chercheurs d’obtenir la terminologie voulue en temps réel et dans une liste complète qui couvre tout le domaine conceptuel choisi, et constituera la source crédible de tous types d’informations ». Proposé par l’Algérie, le projet de la banque de données arabe a été adopté à l’unanimité par le Conseil ministériel de la Ligue arabe en septembre 2004, puis soumis lors des différents sommets arabes, notamment les sommets de Riadh et de Damas qui avaient recommandé son exécution effective et la désignation de représentants de pays arabes pour sa réalisation.
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Par Lynda BEDAR
L'Expression, publié le 28 juin 2009
# Administrateur | 23/06/2009 | internet
Choisir son fournisseur de fibre optique, ça va être possible
INTERNET - L'autorité de régulation des télécoms autorise chaque opérateur à installer son propre réseau au sein d'un même foyer. Une opération qui profite au consommateur...
Il sera désormais plus facile pour un particulier de changer d’opérateur Internet. Lundi, l'autorité de régulation des télécoms (Arcep) a en effet autorisé les opérateurs du secteur à installer plusieurs fibres optiques par logement dans les grandes villes. Une victoire pour les concurrents de France Télécom (Orange), qui veillait jalousement sur son monopole.
Concrètement, tout opérateur (Free, Orange, SFR…) pourra demander de «disposer d’une fibre supplémentaire pour chaque logement», avec une limite de «4 fibres en tout». Par exemple, dans un immeuble où Orange est choisi par la co-propriété pour installer le réseau, Iliad (Free) ou SFR seront en droit de réclamer une fibre qui leur sera dédiée par foyer. Seule condition: assumer le coût des travaux et financer une partie des équipements communs. Un «surcoût de 5%» estimé «entre 3 et 4 milliards d'euros» selon le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani. Un boîtier avec plusieurs prises sera installé dans chaque appartement. Les abonnés pourront ainsi changer plus facilement d'opérateur.
Cette décision concerne pour le moment 148 communes, situées dans des zones de grandes agglomérations (Paris, Lille, Nantes, Tours, Marseille, Lyon…), soit 5,16 millions de foyers. Le projet de l'Arcep devrait entrer en vigueur à l'automne, après consultation de l'Autorité de la concurrence et de la Commission européenne. L’Arcep planchera ensuite, d’ici la fin de l’année, sur le déploiement de la fibre optique dans les zones moins denses.
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Avec agence
20minutes.fr, publié le 23.06.09 à 14h29
# Administrateur | 15/06/2009 | internet
Le domaine .dz peu exploité
Aouaouche El Maouhab, directrice de la division réseaux au Cerist, a affirmé dans un exposé que « le Centre a enregistré 2380 noms de domaine en Algérie en .dz. Depuis quelques mois, le mouvement s’accentue avec une moyenne de 300 noms de domaine par mois. La gestion des enregistrements des noms de domaine sous .dz est une activité initiée par le Cerist avec l’introduction d’internet en Algérie, en 1994. Toutes les entités établies dans le pays ou ayant une représentation légale en Algérie ou disposant d’un document justifiant les droits de propriété de nom dans le pays peuvent se faire attribuer ce nom de domaine ». Pour booster ce secteur, il a été décidé la suppression des frais d’enregistrement en mode délégation et la possibilité d’effectuer l’opération d’enregistrement en ligne. Il a été proposé la création d’un comité éthique du .dz pour « proposer les règles d’octroi de noms de domaine et les règles de règlement de litiges et participer à la promotion du .dz ». L’enregistrement effectif se fait à travers des entités d’enregistrement appelées « registrar » : AnwarNet, Djaweb, SLC, Caci, KDConcept, Webidees, Cetic, Satlinker et Wissal.
Cependant, plusieurs entraves ont été relevées par les opérateurs économiques. Réserver un nom de domaine en Algérie relève de toute une acrobatie bureaucratique. Sous d’autres cieux, il faut quelques secondes ou quelques clics pour disposer d’un domaine, juste le temps de vérifier qu’il n’a pas déjà été attribué. « Obtenir un nom de domaine en .dz ressemble à une demande de visa », ironise un internaute sur notre site web. Pourtant, le potentiel de croissance du nom de domaine algérien est énorme, sachant qu’il existe 519 526 entreprises (PME/PMI) dans le domaine commercial (source : site internet du ministère de la PME et de l’Artisanat). Des actions sont à mener en direction de tous les détenteurs de registres du commerce et des organismes gouvernementaux publics et privés. Kahlane Ali, P-DG de Satlinker, jette un véritable pavé dans... la toile en soulignant qu’il existe quelque 45 000 sites internet algériens hébergés à l’étranger (essentiellement en .com). A ses yeux, pour rattraper le retard, il faut « aller vers le développement du contenu ». Les pouvoirs publics doivent s’impliquer davantage. Le développement d’une économie numérique et de contenus locaux passe par une accessibilité accrue aux noms de domaine. La stratégie « e-Algérie 2013 » a consacré une bonne place à l’amélioration de la visibilité de l’Algérie sur internet à travers une gestion efficace du nom de domaine .dz.
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Par Kamel Benelkadi
El Watan, publié le 15 Juin 2009
# Administrateur | 10/06/2009 | internet
Cette journée s’inscrit dans une action d’information et de vulgarisation pour promouvoir l’identité algérienne sur Internet et garantir la pérennité de l’infrastructure basée sur l’identification des noms de domaines. Une agrégation des chiffres donnés par Algérie Télécom et un recoupement des chiffres officiels donnés par les instances techniques internationales, telles que l’ITU (Union Internationale des Télécommunications) et l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), nous permettent d’avancer le nombre de 3.5 millions d’utilisateurs Algériens d’Internet (taux de pénétration de moins de 10%) pour un peu moins de 400 000 connectés à l’ADSL. Pour les sites web, nous sommes aux alentours de 10 000 sites, tout enregistrement confondu, sachant que le CERIST a enregistré un peu plus de 1600 noms de domaine en Algérie (.DZ). La gestion des enregistrements des noms de domaine sous .dz est une activité qui a été initiée par le CERIST avec l’introduction d’Internet en Algérie en 1994. L’enregistrement auprès de l’ICANN a été opérationnel en mai 1995. Toutes les entités établies dans le pays ou ayant une représentation légale en Algérie ou disposant d’un document justifiant les droits de propriété de nom dans le pays peuvent se faire attribuer un nom de domaine sous le domaine DZ. Combien de temps prend un enregistrement d’un nom de domaine sous dz ? Après le dépôt du dossier par le client, l’opération d’activation du nom de domaine ne dépasse pas les 48 heures.
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Par Kamel Benelkadi
El Watan, Publié le 10 Juin 2009
# Administrateur | 25/05/2009 | internet
Les innovations se bousculent
En l’espace de deux semaines, Google aura présenté de nouvelles fonctionnalités, Yahoo ! lance un nouveau concept et Microsoft annonce son nouveau moteur de recherche, tandis qu’un petit nouveau, WolframAlpha, est parvenu à susciter la curiosité des milieux spécialisés. A en croire ces sociétés, les internautes pourront d’un clic trouver les réponses qu’il leur faut, qui iront au-delà du simple menu de liens internet vous dirigeant vers tel ou tel site. Même Google, qui a fondé sa domination du secteur sur la simplicité de l’affichage de liens vers les sites les mieux à même de fournir les réponses recherchées, promet de nouvelles expériences. Ainsi, dès la fin du mois, sera lancé « Google Squared » (Google au carré) : « à la différence d’un moteur de recherche normal, cette fonctionnalité ne se contente pas de trouver des pages sur le sujet qui vous intéresse, elle va automatiquement chercher et organiser des faits qu’elle trouve sur internet ».
A vrai dire, Google a déjà bien commencé à exploiter cette ambition : il n’est pas rare, si on tape un titre de film, de voir s’afficher une carte indiquant la localisation des cinémas où il passe, voire l’heure des séances. Mais Google était condamné à prendre les devants, histoire de ne pas rester inerte devant les prétentions de ses rivaux. Yahoo !, qui est deuxième du marché (20,4%) a, en effet, vanté cette semaine ses propres progrès en matière de recherche, introduisant le concept « WOO » (« web on objects », l’internet sur les objets), par opposition au « WOL » (web on links, l’internet sur les liens). Il s’agit de « vous mener directement à ce qui vous intéresse », a expliqué l’homme à l’origine de ce concept, Phrabhakar Raghavan, dans un entretien au site spécialisé AllThingsDigital. A le croire, cette évolution répond à un besoin des internautes : « Nos recherches montrent que les gens sont impatients, ils veulent quelque chose d’autre que d’être simplement dirigés vers des liens. »
C’est déjà cette idée qu’a exploitée le génie des mathématiques, Stephen Wolfram qui, la semaine dernière, a lancé son site de recherche « WolframAlpha », un outil qui compile des bases de données pour trouver des réponses à quelques questions précises, comme le calcul des calories d’un sandwich au thon ou un record de température. Le géant Microsoft, qui cherche désespérément à être plus présent sur le marché (8,3% en avril), présentera quant à lui la semaine prochaine son nouveau moteur de recherche. Une ébauche dévoilée en mars de ce nouveau site, baptisé provisoirement « Kumo », a révélé des fonctions permettant d’afficher les résultats par genre (images, vidéos...) et un espace réservé aux liens commerciaux.
Surtout, « Kumo » revendique une technique de recherche sémantique plus fine que la simple addition de mots-clés utilisés dans la requête. Mais pour David Sullivan, rédacteur en chef de Searchengine.com, toutes ces nouveautés s’apparentent surtout à des « relations publiques », ne répondant pas à ce que semblent réellement rechercher de plus en plus d’internautes : l’information en temps réel. Et là , paradoxalement, ce n’est pas sur les moteurs de recherche qu’ils la trouvent, mais sur des sites de socialisation comme Twitter : c’est dans ses microblogs que les internautes ont pu le plus vite découvrir les conséquences (limitées) du séisme de Los Angeles de dimanche dernier, alors qu’une recherche sur Google ne donnait rien.
[ via ]
Par A.F.P., Samir Ben
El Watan, publié le 25 Mai 2009
# Administrateur | 18/05/2009 | internet
Des milliers d’abonnés otages du conflit opposant l’EEPAD à Algérie Télécom
Les internautes ne sont pas rassurés. En dépit de l’annonce faite hier par Algérie Télécom qui a décidé de rétablir la connexion du service Internet au profit de l’EEPAD tout en établissant un échéancier de payement des créances avant la date du 26 mai 2009, plusieurs abonnés du provider privé font part de leur angoisse et de leur appréhension quant au devenir de leur connexion internet à la lumière de ce conflit qui n’en finit pas de rebondir.
« C’est inacceptable ! On nous fait payer une situation qui nous ne concerne même pas. Nous avons été privés de connexion pendant 3 jours. Pourtant, nous n’avons jamais cessé de payer notre abonnement. Qui va nous dédommager ? Qui va nous assurer au cas où il y aura d’autres coupures ? », s’interrogent un groupe de jeunes étudiants de la fac centrale visiblement très en colère contre EEPAD et Algérie Télécom, les deux parties prenantes d’un conflit qui les a pris en otage. « Chaque abonné paie mensuellement 2 500 DA pour un débit d’un méga. D’autres encore ont payé cash un abonnement de six mois [15 000 DA] en plus du modem, dont les prix varient selon les marques. C’est vous dire que la connexion Internet c’est tout un investissement dans notre pays. Malheureusement, la qualité des services n’a jamais été à la hauteur des attentes. Souvent, le débit pour lequel on paie est faible et lent.
Il suffit d’une petite pluie pour que des coupures et des déconnexions surviennent. Et le rétablissement de la connexion peut accuser beaucoup de retard. Honnêtement, je me sens chaque jour arnaqué», confie tout de go Nacim, architecte, un citoyen dépité qui utilise internet dans un but professionnel. A ce propos, force est de constater qu’il n’est guère le seul à se plaindre du manque de professionnalisme des fournisseurs de services Internet. « Moi, j’ai ras-le-bol des providers et de leurs services piteux. Je possède un cybercafé qui nourrit toute ma famille. Les coupures et les problèmes de déconnexion m’ont fait perdre beaucoup d’argent. Alors que je paie rubis sur l’ongle l’abonnement Internet et les autres factures inhérentes à mon activité. Sincèrement, j’ai bien peur de mettre la clé sous le paillasson dans les prochains jours », confie avec beaucoup d’amertume Khaled, gérant d’un cybercafé situé à Birkhadem, qui fait partie des 160 cybercafés touchés ces derniers jours par les déconnexions d’Algérie Télécom sur tout le parc d’abonnés de l’EEPAD, lequel est accusé de ne pas avoir honoré ses créances. Cet épisode est venu semer le désarroi parmi les internautes algériens.
Des internautes qui s’inquiètent sérieusement de l’évolution «problématique» en Algérie. C’est ce qui explique, relèvent les experts des nouvelles technologies numériques, que l’Algérie accuse beaucoup de retard par rapport à ses voisins et à d’autres pays. Pour preuve, notre pays compte à peine 200 000 abonnés à l’ADSL contre 2 millions en Tunisie. Concernant les sites, l’Algérie en compte seulement quelque 7 000 contre plus de 16 000 en Tunisie, 28 millions aux USA, 12 millions en Allemagne et 25 millions en Angleterre.
Autre symbole de ce retard qui pénalise le développement numérique et technologique du pays, l’ancien ministre de la Poste et des Télécommunications, Boudjemaa Haïchour avait annoncé, à maintes reprises, que l’ensemble des communes d’Algérie disposera de connexion Internet à haut débit (ADSL) avant la fin du premier trimestre 2008. Objectif qui ne sera jamais atteint puisque, aujourd’hui, bon nombre de communes ne sont pas encore reliées au réseau de fibre optique.
Se contentant seulement de baisser les prix des abonnements pour démocratiser l’accès à Internet, les pouvoirs publics sont passés à côté de la principale revendication de la majorité écrasante des abonnés et des internautes algériens. Et pour cause, ces derniers ne demandent qu’une chose : beaucoup plus de débit. Un débit meilleur permettra à tout internaute de créer du contenu. « Avec un débit meilleur, chacun pourra créer son blog sans trop galérer, chacun pourra s’exprimer à travers une web-radio hébergée chez lui », explique un internaute chevronné qui a bien peur que le conflit opposant l’EEPAD à Algérie Télécom ne porte préjudice au développement de la Toile made in DZ.
[ source ]
La Tribune, publié le 18 Mai 2009
# Administrateur | 21/04/2009 | internet
MADRID
Un congrès mondial pour les 20 ans du web
Madrid accueille du lundi 20 au vendredi 24 avril un congrès mondial sur internet, réunissant plus de mille professionnels, scientifiques et experts, à l'heure où le World Wide Web fête ses 20 ans d'existence.
Vingt ans après la naissance du web au Centre européen de recherche nucléaire, le Cern en Suisse, "Madrid en devient la capitale mondiale, avec la célébration du 18e Congrès international World Wide Web", soulignent les organisateurs dans un communiqué.
Cet événement, qui se tient chaque année, a pour but de "favoriser le débat et la diffusion des aspects les plus pointus de la recherche" sur le web a indiqué l'IW3C2, la société organisatrice du congrès.
La société estime que l'innovation et l'amélioration permanentes de cette technologie sont la cause de ce succès "fulgurant".
"Opportunité unique"
Le Britannique Tim Berners-Lee, considéré comme le co-inventeur au Cern du World Wide Web et l'Américain Vinton Cerf, pionnier d'internet seront faits Docteurs honoris causa à l'Université Polytechnique de Madrid avant de participer à un débat mercredi.
Un nombre de 105 communications scientifiques traitant, entre autres, de la télévision interactive, des applications de téléphonie mobile ou la concurrence du web aux médias traditionnels seront présentées pendant cette manifestation.
Pour Juan Quemada, universitaire espagnol et participant à l'organisation, ce congrès est une "opportunité unique" pour accélérer le développement d'internet en Espagne.
Selon un classement 2008-2009 du Forum économique mondial, l'Espagne ne se situe qu'à la 34e position des pays utilisateurs d'internet, tout juste derrière Chypre, tandis que les trois premiers pays sont le Danemark, la Suède et les États-Unis. La France ne se situe, quant à elle, qu'au 19e rang de ce classement.
[ source ]
Par NOUVELOBS.COM | 20.04.2009 | 18:28
NOUVELOBS.COM, publié le 21 Avril 2009
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